Le Livre pour toi

Marguerite Burnat-Provins

Le Livre pour toi

E. Sansot et Cie., 1907.

TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)

---

Offrande 

 1

I. 

Je t’aime 

 3

II. 

Parce que l’amour a noué nos corps… 

 5

III. 

J’ai regardé ton corps debout… 

 7

IV. 

Cette nuit, tu as pris ma tête entre tes doigts… 

 9

V. 

Je suis restée pâle de tes caresses 

 11

VI. 

Mes yeux sont auréolés d’une ombre chaude 

 13

VII. 

Dors, ma pensée te berce 

 15

VIII. 

Pendant cette nuit où tu étais loin de moi 

 19

IX. 

Les branches abaissées des coudres 

 21

X. 

Les fruits que tu me donnes 

 23

XI. 

Tu m’as dit, et ta voix tremblait 

 25

XII. 

Mets tes deux mains sur mes deux mains étendues 

 27

XIII. 

Ô Sylvius, je t’ai désiré dans le vent 

 29

XIV. 

Ta voix m’est plus douce 

 31

XV. 

Pendant cette minute inoubliable 

 33

XVI. 

J’ai peigné mes cheveux emmêlés 

 35

XVII. 

Il faisait noir, intensément noir 

 37

XVIII. 

Sylvius, tes mains près de ma bouche 

 39

XIX. 

Laisse mes doigts traîner sur ta peau blonde 

 41

XX. 

Écouter et ne rien entendre. 

 43

XXI. 

Il y a ce matin dans ma poitrine 

 45

XXII. 

Tu m’as dis 

 47

XXIII. 

Il y a dans tes cheveux blonds 

 49

XXIV. 

Tu m’as demandé 

 51

XXV. 

Tandis que tu reposais sur mon bras 

 53

XXVI. 

Il est midi, Sylvius 

 55

XXVII. 

J’ai tenu ta tête sous mon regard ému 

 57

XXVIII. 

Dans le chemin libre de mes années 

 59

XXIX. 

Après t’avoir tout donné 

 61

XXX. 

Longtemps après le coucher du soleil 

 63

XXXI. 

Ta bouche, dans l’ombre propice à la volupté 

 65

XXXII. 

Il est resté dans ma chambre 

 67

XXXIII. 

Tu m’as dit : Viens… 

 69

XXXIV. 

Tandis que la lune montait 

 71

XXXV. 

Éros, te voici debout devant ma porte 

 73

XXXVI. 

J’ai plongé mon bras dans l’eau glacée 

 75

XXXVII. 

Le crépuscule atteint les pentes 

 77

XXXVIII. 

Parfois, quand mes pieds aventureux étaient las 

 79

XXXIX. 

Ô Sylvius, bénissons les heures effervescentes 

 81

XL. 

Que mon âme murmure autour de ton âme 

 83

XLI. 

Une araignée tisse sa toile auprès de moi 

 85

XLII. 

Regarde, dans les vergers opulents 

 87

XLIII. 

En te quittant 

 89

XLIV. 

Demeure auprès de moi 

 91

XLV. 

Ô Sylvius, lorsque tes pas t’entraînent 

 93

XLVI. 

J’ai souffert, mes dents claquaient 

 95

XLVII. 

Tu ne me diras pas Non 

 97

XLVIII. 

Maintenant, je puis marcher légère 

 99

XLIX. 

Les mots que tu m’as dits sont des oiseaux jaseurs 

 101

L. 

Tu ne dis rien. 

 103

LI. 

Me taire, te regarder. 

 105

LII. 

Sylvius, les fleurs que tu as regardées 

 107

LIII. 

Tu descends dans le sommeil 

 109

LIV. 

Je me suis couché dans un pré jauni 

 111

LV. 

J’ai mis entre mes lèvres une tige d’absinthe grise 

 113

LVI. 

J’ai des coussins moëlleux et des robes soyeuses 

 115

LVII. 

Je ne sais pas de chant plus suave 

 117

LVIII. 

Je ne te dirai plus combien je t’aime 

 119

LIX. 

J’aime ces plis profonds et passionnés 

 121

LX. 

Je ne sais pas si tu es venu 

 123

LXI. 

Oh ! être dans tes mains 

 125

LXII. 

Je rends grâce à la vie 

 127

LXIII. 

Je veux regarder en toi comme dans le ruisseau découvert 

 129

LXIV. 

Tu m’as dit « Je ne suis pas digne » 

 131

LXV. 

Sur la terre grise des champs 

 133

LXVI. 

Écoute, j’ai regardé mourir 

 135

LXVII. 

Nous avons marché dans l’herbe déjà froide 

 137

LXVIII. 

J’ai quitté ma maison douce, sur le coteau 

 139

LXIX. 

Avant de m’en aller vers d’autres contrées 

 141

LXX. 

Maintenant de longues distances nous séparent 

 143

LXXI. 

Dans la ville inconnue 

 145

LXXII. 

Je dois te dire, Sylvius, où je portai mes pas 

 147

LXXIII. 

Je suis assise dans l’hémicycle désolé 

 151

LXXIV. 

J’ai gravi la colline qui domine la ville 

 153

LXXV. 

Près de la maison où je reposais 

 155

LXXVI. 

J’entends le marteau du forgeron sur l’enclume 

 157

LXXVII. 

Ô terre d’argent où croît l’antique olivier ! 

 159

LXXVIII. 

Le fleuve ce soir, est rouge 

 161

LXXIX. 

T’aimer comme le mistral souffle 

 163

LXXX. 

À mesure que les rives du fleuve 

 165

LXXXI. 

Le gerfaut plane 

 167

LXXXII. 

Les arènes sont vides et blanches au soleil 

 169

LXXXIII. 

Sylvius, plus que jamais je t’aime 

 171

LXXXIV. 

Devant ma fenêtre s’élève un fusain 

 173

LXXXV. 

J’ai traversé cette plaine 

 175

LXXXVI. 

En longeant le faîte des murailles épaisses 

 177

LXXXVII. 

Me voici allongée au bord de la grève 

 179

LXXXVIII. 

Les taureaux s’avancent dans le soir 

 181

LXXXIX. 

L’automne s’éloigne comme une femme douloureuse 

 183

XC. 

Lorsque j’aurai quitté la robe poudreuse du voyage 

 185

XCI. 

J’ai marché sur d’autres routes 

 187

XCII. 

Qu’y a-t-il au fond des landes tristes 

 189

XCIII. 

Que disent les sirènes au fond des ports 

 191

XCIV. 

Où es-tu ? 

 193

XCV. 

Pourquoi du soleil aujourd’hui sur l’eau verte 

 195

XCVI. 

Dans un coin de cette place 

 197

XCVII. 

J’ai faim 

 199

XCVIII. 

La nuit 

 201

XCVIX. 

Ma maison abandonnée s’est engourdie dans la froidure 

 201

C 

Sylvius, il n’y a pas d’hiver où tu respires 

 203