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TABLE DES CHAPITRES.

Chap. cxv. — Comment le duc de Normandie assiégea le châtel de Thun-l’Évêque, et comment ceux de dedans eurent trêves de quinze jours à lui rendre le châtel ou à lui combattre.
101
Chap. cxvi. — Comment le comte de Hainaut fit son mandement à tous ses alliés pour aller secourir ceux de Thun-l’Évêque.
102
Chap. cxvii. — Comment le roi Philippe envoya douze cents lances eu l’ost de son fils et assez tôt après y vint lui-même comme soudoyer.
103
Chap. cxviii. — Comment Jaquemart d’Artevelle vint au secours du comte de Hainaut à plus de soixante mille Flamands ; et comment le dit comte envoya ses hérauts demander bataille au duc de Normandie.
Ib.
Chap. cxix. — Comment le comte de Hainaut envoya de rechef messire Jean de Hainaut au dit duc pour lui requérir bataille, et quelle réponse il eut.
104
Chap. cxx. — Comment le roi d’Angleterre monta sur mer pour venir en Flandre ; et comment il trouva les Normands qui lui gardoient le passage, et comment il ordonna ses batailles.
105
Chap. cxxi. — Comment le roi d’Angleterre et les Normands et autres se combattirent durement ; et comment Cristofle le grand vaisseau fut reconquis des Anglois.
106
Chap. cxxii. — Comment les Anglois déconfirent les Normands qu’oncques n’en échappa pied que tous ne fussent mis à mort.
Ib.
Chap. cxxiii. — Comment le comte de Hainaut, quant il sçut la venue du roi d’Angleterre, se partit de devant Thun-l’Évêque et s’en alla à Valenciennes ; et comment Jacquemart d’Artevelle prêcha et montra devant tous les seigneurs le droit que le roi anglois avoit en France.
107
Chap. cxxiv. — Comment le roi Philippe, quand il sçut l’arrivée du roi anglois, se partit de Thun-l’Évêque et envoya bonnes gens d’armes en garnison sur les frontières de Flandre.
108
Chap. cxxv. — Comment le roi d’Angleterre tint son parlement à Vilvort où ceux de Flandre, de Hainaut, et de Brabant jurèrent en la main dudit roi à eux entr’aider à jamais contre qui que ce fût.
109
Chap. cxxvi. — Comment le roi Philippe envoya très notable chevalerie en la cité de Tournay pour la garder et garnir de pourvéanees, pour ce que le roi anglois la devoit assiéger.
Ib.
Chap. cxxvii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Gand et alla mettre le siége devant la cité de Tournay.
110
Chap. cxxviii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay atout cinq cents lances et ardit plusieurs villages ; et comment les Flamands assaillirent ceux de Tournay.
111
Chap. cxxix. — Comment les soudoyers de Saint-Amand ardirent la ville de Hanon et violèrent l’abbaye ; et comment ils cuidèrent prendre l’abbaye de Vicogne ; et comment l’abbé y pourvéy de bon remède.
112
Chap. cxxx. — Comment les seigneurs qui étoient demeurés en Escosse capitaines, par le commandement du roi de France, recouvrèrent plusieurs forteresses en Escosse et coururent en Angleterre trois journées loin.
Ib.
Chap. cxxxi. — Comment messire Guillaume de Douglas prit le fort château de Haindebourch par grand engin et par grand’soubtiveté.
113
Chap. cxxxii. — Comment ceux de Tournay mirent hors de la cité toutes povres gens ; et comment le roi de France fit son mandement pour les secourir.
114
Chap. cxxxiii. — Comment le roi de France se logea au Pont à Bovines à trois lieues de Tournay ; et comment ceux de Bouchaing rescouirent la proie que ceux de Mortaigne emmenoient.
115
Chap. cxxxiv. — Comment aucuns Hainuyers, par l’ennortement de messire Waflart de la Croix, s’en allèrent escarmoucher en l’ost du roi de France, qui furent déconfits, et comment le dit messire Waflart fut mort.
116
Chap. cxxxv. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay et alla assiéger Mortaigne et commanda à ceux de Valenciennes qu’ils y vinssent.
117
Chap. cxxxvi. — Comment ceux de Mortaigne rompirent l’engin de ceux de Valenciennes, qui moult les grévoit, par un autre engin qu’ils firent.
118
Chap. cxxxvii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Mortaigne et s’en retourna au siége de Tournay ; et comment il prit la forteresse de Saint-Amand.
Ib.
Chap. cxxxviii. — Comment le comte de Hainaut détruisit et ardit la ville et l’abbaye de Saint-Amand ; et puis après ardit et détruisit l’abbaye de Marchiennes.
120
Chap. cxxxix. — Comment les Allemands se partirent du siége de Tournay et vinrent escarmoucher en l’ost du roi de France ; et comment le sire de Montmorency les suivit jusques au pont de Tressin.
120
Chap. cxl. — Comment le sire de Montmorency fut pris des Allemands, et bien quatre vingt gentils hommes qui étoient sous sa bannière.
122
Chap. cxli. — Comment ceux de la garnison de Saint-Omer déconfirent trois mille Flamands qui étoient venus courre devant Saint-Omer.
123
Chap. cxlii. — Comment une soudaine peur prit les Flamands environ minuit, tant que tous s’enfuirent chacun vers sa maison en grand’hâte.
124
Chap. cxliii. — Comment à la requête et prière de madame Jeanne de Valois, sœur du roi de France et mère du comte de Hainaut, les deux rois firent traité de paix.
Ib.
Chap. cxliv. — Comment les deux rois firent trêves jusques à un an ; et comment le siége se départit de devant Tournay.
125
Chap. cxlv. — Comment le roi anglois se partit ennuis de devant Tournay, et comment chacune des parties se dit avoir l’honneur de cette départie.
Ib.
Chap. cxlvi. — Comment le roi Édouard s’en alla en Angleterre, et comment au parlement d’Arras les trêves furent alongées deux ans entre les deux rois.
126
Chap. cxlvii. — Comment le duc de Bretagne mourut sans hoir male, et comment le comte de Montfort fut reçu à Nantes à duc et à seigneur.
127
Chap. cxlviii. — Comment ceux de Limoges reçurent le comte de Montfort comme droit seigneur ; et comment les barons de Bretagne ne voulurent venir à son mandement.
128
Chap. cxlix. — Comment le comte de Montfort alla à grand’foison de gens d’armes pour prendre Brest, et comment ceux de la ville se rendirent à lui.
129
Chap. cl. — Comment le comte de Montfort se partit de Brest et s’on vint devant, la cité de Rennes, et comment ceux de la cité se rendirent à lui et lui firent féauté et hommage.
130
Chap. cli. — Comment ceux de Hainnebon, de Vennes, d’Auroy, de Goy-la-Forêt et ceux de Craais se rendirent au comte de Montfort.
131
Chap. clii. — Comment le comte de Montfort s’en alla en Angleterre et fit hommage au roi d’Angleterre de la duché de Bretagne.
133