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Livre:Froissart - Les Chroniques de Sire Jean Froissart, revues par Buchon, Tome I, 1835.djvu

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TitreLes Chroniques de Sire Jean Froissart Voir l'entité sur Wikidata
VolumeI
AuteurJean Froissart Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurJ. A. C. Buchon Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionA. Desrez
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1835
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ valider
SérieTome ITome IITome III

Pages

_ _ _ _ _ _ _ _ i ii iii iv v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xxiv xxv xxvi xxvii xxviii xxix xxx xxxi xxxii xxxiii xxxiv xxxv xxxvi xxxvii xxxviii xxxix xl xli xlii xliii xliv xlv xlvi xlvii xlviii xlix l li lii liii liv lv lvi lvii lviii lix lx 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 575 576 577 578 579 580 581 582 583 584 585 586 587 588 589 590 591 592 593 594 595 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 608 609 610 611 612 613 614 615 616 617 618 619 620 621 622 623 624 625 626 627 628 629 630 631 632 633 634 635 636 637 638 639 640 641 642 643 644 645 646 647 648 649 650 651 652 653 654 655 656 657 658 659 660 661 662 663 664 665 666 667 668 669 670 671 672 673 674 675 676 677 678 679 680 681 682 683 684 685 686 687 688 689 690 691 692 693 694 695 696 697 698 699 700 701 702 703 704 705 706 707 708 709 710 711 712 713 714 715 716 717 718 719 720 721 722 723 724 725 726 727 728 729 730 731 732 733 734 735 736 737 738 739 740

TABLE DES CHAPITRES
CONTENUS DANS CE VOLUME.

Séparateur


Prologue. — Ci commencent les Chroniques que fit Maître Jean Froissart, qui parlent des nouvelles guerres de France et d’Angleterre, de Bretagne, d’Escosse et d’Espaigne, lesquelles sont divisées en quatre parties.
1
LIVRE PREMIER.
PARTIE PREMIÈRE.




Chapitre premier. — Ci s’ensuivent les noms des preux de cette histoire.
2
Chap. ii. — Ci commence à parler du roi Édouard d’Angleterre et de l’opinion des Anglois.
4
Chap. iii. — Comment le père au roi Édouard fut marié à la fille du beau roi Philippe de France.
5
Chap. iv. — Pour quelle achoison la guerre mut entre le roi de France et le roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. v. — Comment grand’dissention mut entre les barons d’Angleterre et messire Huon le Despensier.
6
Chap. vi. — Comment plusieurs barons d’Angleterre furent décolés et comment la roine et son fils s’en affuirent en France.
Ib.
Chap. vii. — Comment le roi de France reçut honorablement sa sœur la roine d’Angleterre ; et comment elle lui conta la cause de sa venue.
7
Chap. viii. — Comment le noble roi Charles conforta sa sœur, et comment elle acquit l’amitié de plusieurs grands seigneurs qui lui promirent à la ramener en Angleterre.
8
Chap. ix. — Comment les barons d’Angleterre mandèrent secrètement à la roine qu’elle s’en retournât, elle et son fils, en Angleterre atout mille hommes d’armes.
9
Chap. x. — Comment messire Huon le Despensier corrompit le roi de France et tout son conseil par dons, afin qu’il ne renvoyât la roine en Angleterre.
Ib.
Chap. xi. — Comment le roi de France fit dire à sa sœur qu’elle vuidât hors de son royaume.
Ib.
Chap. xii. — Comment la roine d’Angleterre se partit de nuit secrètement de Paris, elle et sa route, pour peur qu’elle ne fût prise de son frère et renvoyée en Angleterre ; et s’en alla à l’Empire.
10
Chap. xiii. — Comment messire Jean de Hainaut vint à Buignicourt à l’encontre de la roine d’Angleterre.
11
Chap. xiv. — Comment messire Jean de Hainaut promit à la roine d’Angleterre qu’il ne lui fauldra jusques à mourir.
Ib.
Chap. xv. — Comment la roine d’Angleterre se partit de Buignicourt et s’en alla à Valenciennes où elle fut honorablement reçue du comte et de la comtesse de Hainaut.
12
Chap. xvi. — Comment messire Jean de Hainaut fit sa semonce de gens d’armes pour la roine d’Angleterre remener en son royaume.
Ib.
Chap. xvii. — Comment messire Jean de Hainaut prit congé de son frère et se mit sur mer pour amener la roine et son fils en Angleterre.
13
Chap. xviii. — Comment la roine d’Angleterre et messire Jean de Hainaut et leurs gens après grand’tempéte arrivèrent en Angleterre.
Ib.
Chap. xix. — Comment les barons d’Angleterre allèrent à l’encontre de la roine et eurent conseil qu’ils iroient assiéger le roi et les Despensiers qui étoient dedans Bristo.
14
Chap. xx. — Comment ceux de Bristo se rendirent à la roine, et comment messire Huon le Despensier le vieux et le comte d’Arondel furent amenés devant la roine.
15
Chap. xxi. — Comment messire Huon le Despensier le vieux et le comte d’Arondel furent mis à mort.
Ib.
Chap. xxii. — Comment le roi d’Angleterre et messire Huon le jeune furent pris et amenés devant la roine.
16
Chap. xxiii. — Comment le roi fut mené en prison à Bercler et baillé en garde au seigneur Bercler.
Ib.
Chap. xxiv. — Comment messire Hue le Despensier le jeune eut la tête tranchée et fut mis en quatre quartiers.
17
Chap. xxv. — Comment la roine d’Angleterre fut honorablement reçue à Londres, et comment les compagnons messire Jean de Hainaut s’en retournèrent en leur pays.
Ib.
Chap. xxvi. — Comment il fut ordonné en plein conseil que le roi qui étoit prisonnier n’étoit point digne de porter la couronne.
18
Chap. xxvii. — Comment le roi Édouard fut couronné, et comment il donna à messire Jean de Hainaut quatre cents marcs d’esterlins de revenu.
Ib.
Chap. xxviii. — Comment le roi d’Escosse défia le jeune roi Édouard d’Angleterre.
19
Chap. xxix. — Comment le roi Édouard fit sa semonce à tous les nobles et non nobles d’Angleterre, et espécialement à messire Jean de Hainaut pour aller contre les Escots.
20
Chap. xxx. — Comment messire Jean de Hainaut vint à belle compagnie pour secourir le roi Édouard, et quels seigneurs vinrent avec lui.
21
Chap. xxxi. — Comment grand’dissention mut entre les Hainuyers et les archers d’Angleterre, dont grand meschef en vint.
Ib.
Chap. xxxii. — Comment les Hainuyers furent en grand meschef et peine par l’espace de quatre semaines, pour la crainte des Anglois.
23
Chap. xxxiii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de la cité de Ebruich atout son ost pour aller vers Escosse, et comment les Escots entrèrent en Angleterre.
Ib.
Chap. xxxiv. — Comment les Escots se gouvernent et maintiennent quand ils sont en guerre.
25
Chap. xxxv. — Comment les Anglois se mirent en trois batailles pour cuider combattre les Escots qui tout ardoient ; mais ils ne les purent aconsuir.
Ib.
Chap. xxxvi. — Comment les Anglois se logèrent, tous armés, en un bois jusques à mie-nuit, moult travaillés de poursuir les Escots.
26
Chap. xxxvii. — Comment les Anglois chevauchèrent tous les jours par montagnes et par déserts, cuidant trouver les Escots jusques à la rivière de Tyne.
Ib.
Chap. xxxviii. — Comment les Anglois se logèrent sur la rivière de Tyne où ils souffrirent grand’mésaise.
27
Chap. xxxix. — Comment les Anglois souffrirent grand’famine, eux et leurs chevaux, tant qu’ils furent outre la rivière de Tyne.
28

Chap. xl. — Comment les Anglois repassèrent la rivière de Tyne, et comment un écuyer apporta nouvelles au roi où les Escots étoient.
28
Chap. xli. — Comment le roi d’Angleterre fit ordonner ses batailles pour aller contre les Escots ; et comment il fit l’écuyer chevalier et lui donna cent livrées de terre.
29
Chap. xlii. — Comment les Anglois et les Escots furent vingt-deux jours les uns devant les autres sans point combattre fors qu’en escarmouchant.
30
Chap. xliii. — Comment messire Guillaume de Douglas se férit entour mie-nuit atout deux cents hommes en l’ost des Anglois et en tua bien trois cents.
31
Chap. xliv. — Comment les Escots s’enfuirent par nuit, sans le sçu des Anglois, et comment les Anglois s’en retournèrent en leur pays ; et comment messire Jean de Hainaut prit congé du roi et s’en retourna en son pays.
32
Chap. xlv. — Comment les barons et les seigneurs d’Angleterre envoyèrent légats en Hainaut pour parler du mariage de la fille du comte et du roi Édouard.
34
Chap. xlvi. — Comment madame Philippe de Hainaut fut mariée au roi d’Angleterre, et comment elle fut honorablement reçue à Londres.
35
Chap. xlvii. — Comment le bon roi Robert d’Escosse, lui étant au lit de la mort, manda tous ses barons et leur recommanda son fils et son royaume, et enchargea à monseigneur Guillaume de Douglas qu’il portât son chœur au sein sépulchre.
Ib.
Chap. xlviii. — Comment messire Guillaume de Douglas, en allant outre mer fut tué en Espaigne mal fortunément, et comment le jeune roi d’Escosse fut marié à la sœur du roi d’Angleterre.
37
Chap. xlix. — Comment le roi Charles de France mourut sans hoir mâle, et comment les douze pairs et les barons élurent à roi monseigneur Philippe de Valois ; et comment il déconfit les Flamands qui s’étoient rebellés contre leur seigneur.
38
Chap. l. — Comment le roi d’Angleterre, par le faux ennortement de messire Roger de Mortimer, fit décoler le comte de Kent son oncle ; et comment ledit messire Roger mourut vilainement après.
40
Chap. li. — Comment le roi de France envoya légats en Angleterre pour sommer le roi d’Angleterre qu’il lui venist faire hommage et quelle chose le dit roi répondit aux dessus-dits légats.
42
Chap. lii. — Comment le roi d’Angleterre vint à Amiens, où il fut honorablement reçu du roi de France et lui fit hommage, mais non mie tout entièrement comment il devoit.
43
Chap. liii. — Comment le roi de France envoya en Angleterre de son plus espécial conseil, pour savoir par les registres d’Angleterre comment le dit hommage se devoit faire ; et comment le roi d’Angleterre lui envoya unes lettres, contenant le dit hommage.
45
Chap. liv. — Comment le roi de France prit en haine messine Robert d’Artois, dont il lui convint s’enfuir hors du royaume, et comment il fit mettre sa femme et ses enfans en prison qui oncques puis n’en issirent.
46
Chap. lv. — Comment la guerre recommença entre le roi d’Angleterre et le roi d’Escosse et sur quel titre ; et comment messire Robert d’Artois vint en Angleterre.
48
Chap. lvi. — Comment tout le conseil et le commun d’Angleterre conseillèrent le roi Édouard qu’il allât soumettre le roi d’Escosse, et qu’ils étoient tous désirans d’aller avec lui.
50
Chap. lvii. — Comment le roi anglois entra en Escosse où il ardit et gâta grand’partie d’Escosse et prit plusieurs châteaux et villes qu’il retint pour lui.
Ib.
Chap. lviii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siège devant Bervich et comment ceux de la cité se rendirent à lui.
51
Chap. lix. — Comment messire Guillaume de Montagu et messire Gautier de Mauny se portèrent vaillamment contre les Escots, dont ils furent grandement en la grâce du roi Édouard.
52
Chap. lx. — Comment le roi de France alla voir le pape en Avignon, et comment, à la prédication du pape, il prit la croix pour aller outre mer ; et aussi fit le roi de Behaigne, le roi de Navarre et le roi d’Arragon.
54
Chap. lxi. — Comment le roi de France fit faire son appareil et ses pourvéances pour aller outre mer contre les ennemis de Dieu.
55
Chap. lxii. — Comment le roi d’Angleterre envoya ses messages au comte de Hainaut pour avoir son conseil qu’il feroit du droit qu’il se disoit avoir en France.
56
Chap. lxiii. — Quelle chose le comte de Hainaut conseilla aux messages du roi d’Angleterre ; et comment il s’en retournèrent en Angleterre et dirent au roi ce que le comte leur avoit conseillé.
Ib.
Chap. lxiv. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec le duc de Guelres, le marquis de Juliers, l’archevêque de Cologne et le sire de Fauquemont.
58
Chap. lxv. — Comment Jacquemart d’Artevelle échut si en la grâce des Flamands que tout quant que il faisoit, nul ne lui contredisoît.
59
Chap. lxvi. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec les Flamands par donner et par promettre, et espécialement avec Jaquemart d’Artevelle.
60
Chap. lxvii. — Comment aucuns chevaliers et écuyers flamands étoient en l’île de Gagant qui gardoient ouvertement le passage contre les Anglois.
61
Chap. lxviii. — Comment le duc de Brabant envoya ses messagers par devers le roi de France pour lui excuser de l’alliance qu’il avoit faite avec les Anglois ; et comment les seigneurs d’Angleterre s’en retournèrent.
Ib.
Chap. lxix. — Comment les Anglois prirent terre sur les Flamands qui gardoient le passage de Gagant et vinrent combattre main à main.
62
Chap. lxx. — Comment les Anglois déconfirent ceux de Gagant ; et y fut pris le frère bâtard du comte de Flandre, qui puis se rendit Anglois.
63
Chap. lxxi. — Comment le roi d’Angleterre vint par deçà la mer, et comment il montra à ses alliés ses grands frais et qu’ils voulussent tenir ce que promis lui avoient ; et quelle chose ils lui répondirent.
Ib.
Chap. lxxii. — Comment les seigneurs de l’Empire mandèrent au roi d’Angleterre qu’ils étoient prêts, ainsi que convent étoit, mais que le duc de Brabant le fut.
65
Chap. lxxiii. — Comment les seigneurs de l’Empire dirent au roi qu’ils n’avoient point de cause de défier le roi de France sans le congé de l’empereur ; et qu’il veuille tant faire qu’il ait son accord.
Ib.
Chap. lxxiv. — Comment le roi d’Angleterre envoya le marquis de Juliers pardevers l’empereur pour avoir son accord ; et comment cil fit le roi d’Angleterre son vicaire par tout l’Empire.
66
Chap. lxxv. — Comment le roi David d’Escosse avec la roine sa femme vinrent à Paris au roi de France ; et comment il et tous les barons d’Escosse lui promirent et jurèrent qu’ils ne feroient point paix aux Anglois sans son conseil.
67

Chap. lxxvi. — Comment le roi Édouard manda à la roine sa femme qu’elle appassât la mer ; et comment le marquis de Juliers et sa compagnie, qui étoient allés devers l’empereur, s’en retournèrent.
68
Chap. lxxvii. — Comment le duc de Brabant envoya monseigneur Louis de Craneben par devers le roi de France pour lui excuser qu’il ne voulût croire nulle mauvaise information contre lui.
69
Chap. lxxviii. — Comment le roi d’Angleterre fit ses pourvéances en Angleterre pour passer la mer, et manda à ses alliés qu’ils vinssent à lui sans délai, sur la foi que promis lui avoient.
Ib.
Chap. lxxix. — Comment le roi d’Angleterre et ses alliés envoyèrent défier le roi de France ; et comment messire Gautier de Mauny cuida prendre Mortaigne, et comment il prit le châtel de Thun en Cambrésis.
70
Chap. lxxx. — Comment le roi de France se pourvut bien et grandement de gens d’armes et envoya grand’garnison au pays de Cambrésis ; et comment les Normands prirent Hantonne.
72
Chap. lxxxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Malignes et s’en vint à Bruxelles parler au duc de Brabant et pour savoir quelle étoit son intention.
73
Chap. lxxxii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Haspre et s’en vint mettre le siége devant Cambray ; et comment le duc de Brabant y vint.
75
Chap. lxxxiii. — Comment le comte Guillaume de Hainaut vint à Cambray durant le siége et y livra un dur assaut contre ceux de la ville.
76
Chap. lxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre défit son siège de Cambray et s’en vint vers le mont Saint-Martin pour entrer au royaume de France.
Ib.
Chap. lxxxv. — Comment le comte de Hainaut prit congé du roi d’Angleterre aussitôt qu’il entra au royaume de France ; et comment le roi de France envoya son connétable à Saint-Quentin pour garder la ville et la frontière.
77
Chap. lxxxvi. — Comment messire Jean de Hainaut et plusieurs autres grands seigneurs cuidèrent prendre Honnecourt ; et comment l’abbé et ceux de la ville s’y portèrent très vaillamment.
Ib.
Chap. lxxxvii. — Comment messire Jehan de Hainaut et ses compagnons se retrairent en leurs logis ; et comment le roi d’Angleterre ardit et ecilla le pays de Thierasche.
78
Chap. lxxxviii. — Comment la ville de Guise fut toute arse ; et comment ceux de Nouvion furent déconfits et tout leur avoir perdu.
79
Chap. lxxxix. — Comment le roi de France fit ses gens loger à Buironfosse pour là attendre le roi d’Angleterre ; et comment le comte de Hainaut s’en vint le servir.
80
Chap. xc. — Comment la journée fut prise et assignée entre les deux rois pour eux combattre.
Ib.
Chap. xci. — Comment le sire de Fagnoelles et le sire de Tupegny, Hainuyers, costioient l’ost des Anglois ; et comment le sire de Fagnoelles fut pris.
81
Chap. xcii. — Comment le roi d’Angleterre se traist sur les champs et ordonna ses batailles bien et faiticement ; et quels seigneurs il avoit en sa compagnie.
Ib.
Chap. xciii. — Comment le roi d’Angleterre confortoit doucement ses gens ; et comment le roi de France ordonna ses batailles, et comment la journée se passa sans bataille.
82
Chap. xciv. — Comment le roi de France donna congé à ses gens d’armes, et comment il envoya gens d’armes à Tournay en garnison et ès villes marchissant à l’Empire.
84
Chap. xcv. — Comment le roi d’Angleterre tint un grand parlement à Bruxelles ; et de la requête qu’il y fit aux Flamands.
Ib.
Chap. xcvi. — Comment le roi d’Angleterre enchargea les armes et le nom de roi de France par l’ennortement des Flamands.
85
Chap. xcvii. — Comment le roi Édouard s’en retourna en Angleterre et laissa pour garder Flandre le comte de Suffolch.
86
Chap. xcviii. — Comment messire Hue Kieret et ses compagnons conquirent grand avoir en Angleterre et la grand’nef qui s’appeloit Christophe ; et comment le roi commanda courir et ardoir la terre de messire Jean de Hainaut.
Ib.
Chap. xcix. — Comment ceux de Cambray et ceux de Thun-l’Êvêque se combattirent durement, et furent ceux de Thun-l’Évêque déconfits, et leur capitaine navré à mort.
87
Chap. c. — Comment le roi de France donna congé à ceux de Cambray de faire guerre au comte de Hainaut et comment ils prirent la ville de Haspre et l’ardirent toute et pillèrent.
88
Chap. ci. — Comment le comte de Hainaut assembla son parlement en la ville de Mons, et comment il envoya défier le roi de France.
90
Chap. cii. — Comment le comte de Hainaut s’en vint à tout son ost devant Aubenton où il eut moult dur assaut, et comment les Hainuyers gagnèrent les barrières.
90
Chap. ciii. — Comment la ville d’Aubenton fut prise et conquise par force et toute pillée et robée et arse, et tous ceux qui dedans étoient morts et pris.
91
Chap. civ. — Comment le comte de Hainaut donna congé à ses gens, et comment il monta sur mer pour aller en Angleterre.
92
Chap. cv. — Comment messire Jean de Hainaut mit bonne garnison de gens d’armes par toutes les forteresses de Hainaut marchissans au royaume de France.
93
Chap. cvi. — Comment le roi Philippe commanda au duc de Normandie son fils qu’il allât détruire le pays de Hainaut, et envoya le comte de Lisle en Gascogne son lieutenant.
Ib.
Chap. cvii. — Comment ceux de Tournay, de Lille et de Douay coururent jusques devant Courtray où ils prirent grand’proie de bêtes et tuèrent plusieurs hommes.
91
Chap. cviii. — Comment les comtes de Sallebrin et de Suffolch, qui alloient au secours des Flamands, furent pris de ceux de Lille et envoyés au roi de France.
Ib.
Chap. cix. — Comment le duc de Normandie fit très grand’assemblée de gens d’armes pour aller détruire tout le pays de Hainaut.
96
Chap. cx. — Comment le sénéchal de Hainaut fit une apperte escarmouche en l’ost du duc de Normandie, et comment les coureurs du duc ardirent plusieurs villes en Hainaut.
Ib.
Chap. cxi. — Comment le sire de Fauquemont atout cent lances se bouta en l’ost des François et en tua et prit plusieurs à prisonniers ; et comment quatre cents lances des François ardirent plusieurs villes et prirent la ville de Trith.
97
Chap. cxii. — Comment le duc de Normandie se partit de Castres et ardit plusieurs villes entre Cambray et Valenciennes et prit le château d’Escandeuvre.
99
Chap. cxiii. — Comment ceux de Douay et ceux de Lille issirent de leurs forteresses et ardirent tout le plat pays d’Ostrevant.
100
Chap. cxiv. — Comment François et Hainuyers s’entrecouroïent sus les uns sur les autres, et comment le pays de Hainaut étoit eu grand’tribulation.
101

Chap. cxv. — Comment le duc de Normandie assiégea le châtel de Thun-l’Évêque, et comment ceux de dedans eurent trêves de quinze jours à lui rendre le châtel ou à lui combattre.
101
Chap. cxvi. — Comment le comte de Hainaut fit son mandement à tous ses alliés pour aller secourir ceux de Thun-l’Évêque.
102
Chap. cxvii. — Comment le roi Philippe envoya douze cents lances eu l’ost de son fils et assez tôt après y vint lui-même comme soudoyer.
103
Chap. cxviii. — Comment Jaquemart d’Artevelle vint au secours du comte de Hainaut à plus de soixante mille Flamands ; et comment le dit comte envoya ses hérauts demander bataille au duc de Normandie.
Ib.
Chap. cxix. — Comment le comte de Hainaut envoya de rechef messire Jean de Hainaut au dit duc pour lui requérir bataille, et quelle réponse il eut.
104
Chap. cxx. — Comment le roi d’Angleterre monta sur mer pour venir en Flandre ; et comment il trouva les Normands qui lui gardoient le passage, et comment il ordonna ses batailles.
105
Chap. cxxi. — Comment le roi d’Angleterre et les Normands et autres se combattirent durement ; et comment Cristofle le grand vaisseau fut reconquis des Anglois.
106
Chap. cxxii. — Comment les Anglois déconfirent les Normands qu’oncques n’en échappa pied que tous ne fussent mis à mort.
Ib.
Chap. cxxiii. — Comment le comte de Hainaut, quant il sçut la venue du roi d’Angleterre, se partit de devant Thun-l’Évêque et s’en alla à Valenciennes ; et comment Jacquemart d’Artevelle prêcha et montra devant tous les seigneurs le droit que le roi anglois avoit en France.
107
Chap. cxxiv. — Comment le roi Philippe, quand il sçut l’arrivée du roi anglois, se partit de Thun-l’Évêque et envoya bonnes gens d’armes en garnison sur les frontières de Flandre.
108
Chap. cxxv. — Comment le roi d’Angleterre tint son parlement à Vilvort où ceux de Flandre, de Hainaut, et de Brabant jurèrent en la main dudit roi à eux entr’aider à jamais contre qui que ce fût.
109
Chap. cxxvi. — Comment le roi Philippe envoya très notable chevalerie en la cité de Tournay pour la garder et garnir de pourvéanees, pour ce que le roi anglois la devoit assiéger.
Ib.
Chap. cxxvii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Gand et alla mettre le siége devant la cité de Tournay.
110
Chap. cxxviii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay atout cinq cents lances et ardit plusieurs villages ; et comment les Flamands assaillirent ceux de Tournay.
111
Chap. cxxix. — Comment les soudoyers de Saint-Amand ardirent la ville de Hanon et violèrent l’abbaye ; et comment ils cuidèrent prendre l’abbaye de Vicogne ; et comment l’abbé y pourvéy de bon remède.
112
Chap. cxxx. — Comment les seigneurs qui étoient demeurés en Escosse capitaines, par le commandement du roi de France, recouvrèrent plusieurs forteresses en Escosse et coururent en Angleterre trois journées loin.
Ib.
Chap. cxxxi. — Comment messire Guillaume de Douglas prit le fort château de Haindebourch par grand engin et par grand’soubtiveté.
113
Chap. cxxxii. — Comment ceux de Tournay mirent hors de la cité toutes povres gens ; et comment le roi de France fit son mandement pour les secourir.
114
Chap. cxxxiii. — Comment le roi de France se logea au Pont à Bovines à trois lieues de Tournay ; et comment ceux de Bouchaing rescouirent la proie que ceux de Mortaigne emmenoient.
115
Chap. cxxxiv. — Comment aucuns Hainuyers, par l’ennortement de messire Waflart de la Croix, s’en allèrent escarmoucher en l’ost du roi de France, qui furent déconfits, et comment le dit messire Waflart fut mort.
116
Chap. cxxxv. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay et alla assiéger Mortaigne et commanda à ceux de Valenciennes qu’ils y vinssent.
117
Chap. cxxxvi. — Comment ceux de Mortaigne rompirent l’engin de ceux de Valenciennes, qui moult les grévoit, par un autre engin qu’ils firent.
118
Chap. cxxxvii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Mortaigne et s’en retourna au siége de Tournay ; et comment il prit la forteresse de Saint-Amand.
Ib.
Chap. cxxxviii. — Comment le comte de Hainaut détruisit et ardit la ville et l’abbaye de Saint-Amand ; et puis après ardit et détruisit l’abbaye de Marchiennes.
120
Chap. cxxxix. — Comment les Allemands se partirent du siége de Tournay et vinrent escarmoucher en l’ost du roi de France ; et comment le sire de Montmorency les suivit jusques au pont de Tressin.
120
Chap. cxl. — Comment le sire de Montmorency fut pris des Allemands, et bien quatre vingt gentils hommes qui étoient sous sa bannière.
122
Chap. cxli. — Comment ceux de la garnison de Saint-Omer déconfirent trois mille Flamands qui étoient venus courre devant Saint-Omer.
123
Chap. cxlii. — Comment une soudaine peur prit les Flamands environ minuit, tant que tous s’enfuirent chacun vers sa maison en grand’hâte.
124
Chap. cxliii. — Comment à la requête et prière de madame Jeanne de Valois, sœur du roi de France et mère du comte de Hainaut, les deux rois firent traité de paix.
Ib.
Chap. cxliv. — Comment les deux rois firent trêves jusques à un an ; et comment le siége se départit de devant Tournay.
125
Chap. cxlv. — Comment le roi anglois se partit ennuis de devant Tournay, et comment chacune des parties se dit avoir l’honneur de cette départie.
Ib.
Chap. cxlvi. — Comment le roi Édouard s’en alla en Angleterre, et comment au parlement d’Arras les trêves furent alongées deux ans entre les deux rois.
126
Chap. cxlvii. — Comment le duc de Bretagne mourut sans hoir male, et comment le comte de Montfort fut reçu à Nantes à duc et à seigneur.
127
Chap. cxlviii. — Comment ceux de Limoges reçurent le comte de Montfort comme droit seigneur ; et comment les barons de Bretagne ne voulurent venir à son mandement.
128
Chap. cxlix. — Comment le comte de Montfort alla à grand’foison de gens d’armes pour prendre Brest, et comment ceux de la ville se rendirent à lui.
129
Chap. cl. — Comment le comte de Montfort se partit de Brest et s’on vint devant, la cité de Rennes, et comment ceux de la cité se rendirent à lui et lui firent féauté et hommage.
130
Chap. cli. — Comment ceux de Hainnebon, de Vennes, d’Auroy, de Goy-la-Forêt et ceux de Craais se rendirent au comte de Montfort.
131
Chap. clii. — Comment le comte de Montfort s’en alla en Angleterre et fit hommage au roi d’Angleterre de la duché de Bretagne.
133

Chap. cliii. — Comment, par le conseil des douze pairs de France, le comte de Montfort fut ajourné, à Paris, et comment il y vint et puis s’en partit sans le congé du roi.
134
Chap. cliv. — Comment les douze pairs et les barons de France jugèrent que messire Charles de Blois devoit être duc de Bretagne ; et comment ledit messire Charles les pria qu’ils lui veuillent aider.
135
Chap. clv. — Comment les seigneurs de France se partirent de Paris pour aller en Bretagne, et comment ceux de Chastonceaux se rendirent à eux.
136
Chap. clvi. — Comment les seigneurs de France assiégèrent Nantes où le comte Montfort étoit ; et là eut maintes escarmouches le siége durant.
Ib.
Chap. clvii. — Comment les bourgeois de Nantes livrèrent la cité aux seigneurs de France ; et comment le comte de Montfort y fut pris et amené à Paris et comment il y mourut.
137
Chap. clviii. — Comment la comtesse de Montfort conforte ses soudoyers, et comment elle mit bonnes garnisons par toutes ses forteresses.
138
Chap. clix. — Comment le roi Édouard fit son mandement pour aller lever le siége des Escots de devant Sturmelin ; et comment ceux dudit châtel se rendirent aux Escots ; et comment il eut trêves entre les Anglois et les Escots.
139
Chap. clx. — Comment le roi d’Escosse fit son mandement pour aller détruire le royaume d’Angleterre ; et comment le comte de Moret fut pris de ceux de Neuf-Châtel.
141
Chap. clxi. — Comment le roi d’Escosse prit la cité de Duremmes et fut toute arse, et hommes et femmes et petits enfans tous mis à mort.
142
Chap. clxii. — Comment et pour quelle achoison le roi d’Escosse assiégea le fort châtel de Salebrin auquel la gentille comtesse de Salebrin étoit.
Ib.
Chap. clxiii. — Comment messire Guillaume de Montagu issit par nuit du châtel de Salebrin pour aller querre secours au roi d’Angleterre contre le roi d’Escosse.
143
Chap. clxiv. — Comment le roi d’Escosse, quand il sçut la venue du roi d’Angleterre, se partit de devant Salebrin et s’en retourna en Escosse.
144
Chap. clxv. — Comment le roi d’Angleterre vint à tout son ost devant Salebrin, cuidant trouver le roi d’Escosse ; et comment le dit roi fut surpris de l’amour à la comtesse de Salebrin.
145
Chap. clxvi. — Comment le roi Édouard dit à la comtesse qu’il convenoit qu’il fût d’elle aimé, dont elle fut fortement ébahie.
145
Chap. clxvii. — Comment le roi d’Angleterre s’assit au dîner tout pensif dont ses gens étoient fortement émerveillés.
146
Chap. clxviii. — Comment le roi d’Angleterre prit congé de la comtesse de Salebrin et s’en alla après les Escots ; et des paroles qui furent entre elle et le dît roi.
Ib.
Chap. clxix. — Comment il eut trêve entre les Anglois et les Escots jusques à deux ans, par lesquelles trêves le comte de Salebrin et le comte de Moret fürent délivrés l’un pour l’autre.
147
Chap. clxx. — Comment les seigneurs de France retournèrent en Bretagne par devers monseigneur Charles de Blois et comment ils assiégèrent la cité de Rennes que la comtesse de Montfort avoit bien garnie.
Ib.
Chap. clxxi. — Comment les seigneurs de France firent plusieurs assauts devant Rennes ; et comment la comtesse de Montfort envoya au roi d’Angleterre querre secours ; et sur quelle condition ce fut.
148
Chap. clxxii. — Comment les bourgeois de Rennes rendirent la cité à monseigneur de Blois.
149
Chap. clxxiii. — Comment les seigneurs de France se partirent de Rennes et allèrent assiéger Hainebon où la comtesse de Montfort étoit.
Ib.
Chap. clxxiv. — Comment la comtesse de Montfort ardit les tentes des seigneurs de France tandis qu’ils se combattoient aux barrières.
150
Chap. clxxv. — Comment les François assaillirent Hainebon moult asprement ; et comment messire Charles de Blois alla assiéger Aurey.
Ib.
Chap. clxxvi. — Comment messire Charles de Blois se logea devant Auroy ; et comment messire Amaury de Cliçon amena à la comtesse grand secours d’Angleterre.
151
Chap. clxxvii. — Comment l’évêque de Léon se tourna de la partie messire Charles de Blois : et comment messire Gautier de Mauny et ceux de Hainebon abattirent les engins des François qui moult les grévoient.
152
Chap. clxxviii. — Comment messire Louis d’Espaigue se délogea de devant Hainebon ; et comment messire Charles de Blois l’envoya à Dignant ; et comment il prit le châtel de Conquest.
153
Chap. clxxix. — Comment ceux de Dignant se rendirent à messire Louis d’Espaigne, et comment il prit la ville de Guerrande ; et comment il entra en mer avec partie de ses gens pour aller à l’aventure.
154
Chap. clxxx. — Comment, après la prise d’Auroy, messire Charles de Blois alla assiéger Vennes, laquelle se rendit à lui.
155
Chap. clxxxi. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Almaury de Cliçon déconfirent messire Louis d’Espaigne et sa route, et gagnèrent tout l’avoir qu’il avoit conquis ; et comment il échappa.
156
Chap. clxxxii. — Comment messire Gautier de Mauny poursuivit messire Louis d’Espaigne jusques bien près de Rennes, et comment il assaillit la Roche Périou.
Ib.
Chap. clxxxiii. — Comment ceux de Hainebon se partirent de la Roche-Périou et allèrent devant Faouet, un autre fort châtel pour l’assaillir.
157
Chap. clxxxiv. — Comment ceux de Hainebon se partirent de Faouet sans rien faire ; et comment ils prirent Goy-la-Forêt et tuèrent tous ceux qui dedans étoient.
158
Chap. clxxxv. — Comment la comtesse de Montfort reçut liement messire Gautier de Mauny et ses compagnons ; et comment la ville de Craais se rendit à messire Charles de Blois.
159
Chap. clxxxvi. — Comment messire Charles de Blois se partit de Craais et vint mettre le siège devant Hainebon ; et comment messire Louis d’Espaigne y vint.
Ib.
Chap. clxxxvii. — Comment messire Louis d’Espaigne requit à messire Charles de Blois qu’il lui donnât messire Jean le Bouteiller et messire Hubert de Fresnay pour en faire sa volonté : lequel les lui donna moult ennuis.
160
Chap. clxxxviii. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Almaury de Cliçon rescouirent les deux dessus dits chevaliers et les emmenèrent à Hainebon.
161
Chap. clxxxix. — Comment le sire de Landernaux et le châtelain de Guingamp furent pris à l’assaut de Hainebon, qui puis se tournèrent de la partie messire Charles de Blois.
162
Chap. cxc. — Comment messire Charles se partit de Hainebon et s’en vint à Craais ; et comment il prit la ville de Jugon ; et comment il eut trêves, entre lui et la comtesse ; et comment elle s’en alla en Angleterre.
Ib.
Chap. cxci. — Comment le roi d’Angleterre fit crier une grand’joute à Londres pour l’amour de la comtesse de Salebrin.
164

Chap. cxcii. — Comment, après la grand’fête qui fut à Londres, le roi d’Angleterre envoya, à grand’compagnie de gens d’armes, en Bretagne, messire Robert d’Artois avec la comtesse de Montfort.
164
Chap. cxciii. — Comment le roi d’Angleterre envoya l’évêque de Lincolle pour avoir trêves aux Escots ; mais le roi d’Escosse n’en voulut rien faire sans le congé du roi de France.
165
Chap. cxciv. — Comment il eut trêves entre les Anglois et les Escots jusques à deux ans, par le consentement du roi de France.
166
Chap. cxcv. — Comment messire Louis d’Espaigne et messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort et les autres seigneurs d’Angleterre se combattirent sur mer.
Id.
Chap. cxcvi. — Comment par grand’tempête et orage, convint les uns les autres prendre terre ; et comment messire Louis d’Espaigne y gagna quatre vaisseaux chargés de pourvéances.
167
Chap. cxcvii. — Comment messire Robert d’Artois envoya son navire à Hainebon, et comment il assiégea la cité de Vennes.
168
Chap. cxcviii. — Comment messire Louis d’Espagne perdit deux de ses vaisseaux et en prit quatre de Bayonne ; et comment il arriva en Guerrande.
Id.
Chap. cxcix. — Comment messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort prirent la cité de Vennes ; et comment le sire de Cliçon, le sire de Tournemine, le sire de Loheac et messire Hervé de Léon se sauvèrent.
Ib.
Chap. cc. — Comment le comte de Salebrin, le comte de Pennebruich, le comte de Suffolch et le comte de Cornouaille assiégèrent la cité de Rennes.
170
Chap. cci. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon assiégèrent la cité de Vennes.
Ib.
Chap. ccii. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon prirent Vennes ; et y furent messire Robert d’Artois et le sire Despensier navrés à mort ; et comment le roi d’Angleterre vint en Bretagne.
Ib.
Chap. cciii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siége devant Vennes ; et comment la comtesse de Montfort le vint voir et fêtover.
171
Chap. cciv. — Comment le roi anglois laissa une partie de ses gens devant Vennes et s’en alla devant Rennes ; et puis vint mettre le siége devant Nantes où messire Charles de Blois étoit.
173
Chap. ccv. — Comment le roi anglois laissa le comte de Kenford et plusieurs autres seigneurs devant Nantes et alla assiéger Dynant.
173
Chap. ccvi. — Comment le sire de Cliçon et le sire de Léon furent pris des Anglois à une escarmouche devant Vennes, et le sire de Stanfort y fut pris de ceux de Vennes.
174
Chap. ccvii. — Comment le roi d’Angleterre prit la ville de Dynant, et fut toute courue et robée ; et si y gagna grand avoir.
Ib.
Chap. ccviii. — Comment messire Louis d’Espaigne et ses compagnons gagnèrent quatre nefs d’Angleterre, chargées de pourvéances, et en effondrèrent trois.
175
Chap. ccix. — Comment le duc de Normandie se partit d’Angiers et s’en vint à Nantes ; et comment ceux qui tenoient le siège devant Nantes s’en allèrent à Vennes au roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccx. — Comment le duc de Normandie se partit de Nantes et s’en alla à Vennes ; et comment le roi anglois manda à ceux qui étoient au siége devant Rennes qu’ils vinssent à Vennes.
176
Chap. ccxi. — Comment le pape Clément VI envoya deux cardinaux en légation en Bretagne ; et comment les dits cardinaux firent trêves à trois ans entre le roi d’Angleterre et le duc de Normandie.
177
Chap. ccxii. — Comment le sire de Cliçon, le sire de Malestroit et son fils et plusieurs autres chevaliers et escuyers furent accusés de trahison et mis à mort de par le roi de France.
Ib.
Chap. ccxiii. — Comment le roi d’Anglelerre fonda une chapelle de Saint-George et y ordonna la fête du Bleu Gertier à être célébrée d’an en an.
179
Chap. ccxiv. — Comment le roi d’Angleterre fut moult courroucé de la mort du sire de Cliçon et des autres barons de Bretagne et de Normandie, pour laquelle cause il envoya défier le roi de France.
180
Chap. ccxv. — Comment le roi d’Angleterre ordonna le comte Derby capitaine et souverain pour aller en Gascogne, et messire Thomas d’Angorne pour aller en Bretagne conforter la comtesse de Montfort.
181
Chap. ccxvi. — Comment le comte Derby arriva en Gascogne ; et comment le comte de Lille, quand il sçut sa venue, manda tous les seigneurs de Gascogne qui tenoient la partie du roi de France.
183
Chap. ccxvii. — Comment le comte Derby se partit de Bordeaux pour aller vers Bergerac, où le comte de Lille et ses gens se tenoient.
184
Chap. ccxviii. — Comment les Anglois se combattirent aux François, devant Bergerac, et comment les Anglois gagnèrent les faubourgs, où il eut plusieurs François morts et pris.
184
Chap. ccxix. — Comment les Anglois assaillirent Bergerac par terre, où ils gagnèrent peu ; et puis eurent conseil qu’ils l’assaudroient par eau.
185
Chap. ccxx. — Comment le comte Derby assaillit Bergerac par eau et rompit un grand pan du palis ; et comment le comte de Lille et ses gens s’enfuirent à mie nuit.
186
Chap. ccxxi. — Comment ceux de Bergerac se rendirent au comte Derby, et lui firent féauté et hommage au nom du roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccxxii. — Comment le comte de Lille départit ses gens et les envoya en garnison par les forteresses de Gascogne.
187
Chap. ccxxiii. — Comment le comté Derby se partit de Bergerac, et comment il prit le châtel de Langon, et s’enfuirent ceux qui dedans étoient.
Ib.
Chap. ccxxiv. — Comment ceux du Lac se rendirent au comte Derby, et plusieurs autres forteresses qui cy s’ensuivent, les unes par force, les autres par traités.
188
Chap. ccxxv. — Comment le comte Derby prit Bonneval ; et comment ceux de Pierregord vinrent escarmoucher l’ost des Anglois et prirent le comte de Kenfort et trois ou quatre de ses chevaliers.
189
Chap. ccxxvi. — Comment le comte de Kenfort et ses compagnons furent rendus en échange du vicomte de Bosquentin, du vicomte de Châteaubon, du sire de l’Escun et du sire de Châteauneuf.
Ib.
Chap. ccxxvii. — Comment le comte de Lille et les barons de Gascogne assiégèrent Auberoche et avoient en propos qu’ils occiroient ceux de dedans, ou qu’ils se rendroient simplement.
190
Chap. ccxxviii. — Comment ceux d’Auberoche envoyèrent un de leurs varlets au comte Derby, pour dire leur nécessité, lequel fut pris de ceux de l’ost et jeté par un engin en la ville.
191
Chap. ccxxix. — Comment le comte Derby sut la nécessité de ceux d’Auberoche, et comment il fit son mandement pour les aller secourir et lever le siége du comte de Lille et des barons gascons qui devant étoient.
192

Chap. ccxxx. — Comment le comte Derby et messire Gautier de Mauny déconfirent le comte de Lille et tout son ost.
193
Chap. ccxxxi. — Comment le comte de Pennebruich vint à Auberoche après la déconfiture, moult courroucé de ce qu’il n’y avait été ; et comment les Anglois s’en retournèrent à Bordeaux.
194
Chap. ccxxxii. — Comment le comte Derby en allant vers la Réole fit rendre ceux de Sainte-Basile en l’obéissance du roi d’Angleterre ; et puis vint devant la Rochemillon.
195
Chap. ccxxxiii. — Comment le comte Derby prit la Rochemillon, et puis mit le siége devant Montsegur.
Ib.
Chap. ccxxxiv. — Comment ceux de Montsegur composèrent au comte Derby d’eux rendre dedans un mois s’ils n’avoient secours, et en baillèrent otages.
196
Chap. ccxxxv. — Comment le châtelain d’Aiguillon rendit Aiguillon au comte Derby ; et comment il fut puis pendu à Toulouse.
197
Chap. ccxxxvi. — Comment le comte Derby assiégea la Réole, et comment ceux de Montsegur se rendirent Anglois.
Ib.
Chap. ccxxxvii. — Comment ceux de la ville de la Réole traitèrent au comte Derby pour eux rendre.
Ib.
Chap. ccxxxviii. — Comment le capitaine de la Réole et ses compagnons se mirent au châtel pour le tenir ; et comment ceux de la ville se rendirent au comte Derby.
198
Chap. ccxxxix. — Comment le comte Derby commanda à miner le châtel de la Réole ; et comment messire Gautier de Mauny s’avisa que son père avait été jadis occis environ la Réole.
Ib.
Chap. ccxl. — Comment le père messire Gautier de Mauny fut jadis occis mauvaisement devant la ville de la Réole en revenant de Saint-Jacques.
199
Chap. ccxli. — Comment messire Gautier de Mauny trouva le tombel de son père et en fit porter les os, et ensevelir chez les frères mineurs de Valenciennes.
200
Chap. ccxlii. — Comment messire Aglot de Baux rendit au comte Derby le châtel de la Réole et s’en partit lui et ses compagnons, atout leurs armures seulement.
Ib.
Chap. ccxliii. — Comment le comte Derby prit Mont-Pesat et le châtel de Mauron par grand sens et avis ; et puis prit Ville-Franche ; et en chacun châtel mit bonne garnison.
201
Chap. ccxliv. — Comment le comte Derby prit plusieurs châteaux ; et puis assiégea la cité d’Angoulême ; et se composèrent ceux de la cité à eux rendre dedans un mois s’ils n’avaient secours.
202
Chap. ccxlv. — Comment ceux d’Angoulême se rendirent au comte Derby qui étoit devant Blayes où rien ne conquit, et s’en alla hiverner à Bordeaux.
203
Chap. ccxlvi. — Comment messire Godefroy de Harcourt chéy en l’indignation du roi Philippe ; et comment il fut banni du royaume de France.
Ib.
Chap. ccxlvii. — Comment le roi d’Angleterre vint à l’Escluse et amena avec lui son fils le prince de Galles, en intention de le faire seigneur de Flandre, par le consentement de Jacques d’Artevelle.
204
Chap. ccxlviii. — Comment ceux de Gand eurent en grand’indignation Jaquemart d’Àrlevelle, et comment ils le mirent à mort.
205
Chap. ccxlix. — Comment le roi d’Angleterre se partit de l’Escluse moult dolent de la mort d’Artevelle ; et comment ceux de Flandre s’en excusèrent par devers lui.
206
Chap. ccl. — Comment le comte de Hainaut fut occis en Frise et sa gent déconfite ; et comment messire Jean de Hainaut renonça au roi d’Angleterre et devint françois.
207
Chap. ccli. — Comment le roi de France envoya son fils le duc de Normandie en Gascogne contre le comte Derby.
208
Chap. cclii. — Comment le duc de Normandie prit Miremont et Ville-Franche et mit le siége devant Angoulême.
209
Chap. ccliii. — Comment le comte Derby envoya grand’garnison de gens d’armes dedans Ville-Franche ; et envoya le comte de Pennebruich plusieurs autres chevaliers dedans Aiguillon.
Ib.
Chap. ccliv. — Comment le sénéchal de Beaucaire se partit du siége d’Angoulême et prit toute la garnison de Anchenis et bien huit cents grosses bêtes.
210
Chap. cclv. — Comment le capitaine d’Angoulême et tous ses compagnons s’en allèrent subtilement avec tous leurs biens à Aiguillon.
211
Chap. cclvi. — Comment ceux d’Angouléme se rendirent au duc de Normandie ; et puis conquit le châtel de Damassan ; et comment ceux de Tonneins se rendirent ; et puis prit le port Sainte-Marie.
212
Chap. cclvii. — Comment le duc de Normandie mit le siége devant le fort châtel d’Aiguillon.
212
Chap. cclviii. — Comment le duc de Normandie commanda faire un pont sur la rivière devant Aiguillon, qui plusieurs fois fut dépecé par ceux du châtel.
214
Chap. cclix. — Comment le duc de Normandie partit son ost en quatre parties pour assaillir Aiguillon et envoya querre les engins de Toulouse.
Ib.
Chap. cclx. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Charles de Montmorency se combattirent ; et comment le dit messire Charles fut déconfit.
215
Chap. cclxi. — Comment le duc de Normandie fit assaillir Aiguillon ; et comment le pont d’Aiguilton fut conquis où il eut moult de morts et de blessés.
Ib.
Chap. cclxii. — Comment le duc de Normandie fit faire quatre grands kas sur quatre grands nefs pour assaillir Aiguillon ; et comment ils furent débrisés de ceux du châtel et un effondré.
216
Chap. cclxiii. — Comment le comte de Ghines et le comte de Tancarville se partirent du siége d’Aiguillon et vinrent à Paris dire au roi la manière du siége d’Aiguillon.
Ib.
Chap. cclxiv. — Comment le roi d’Angleterre fit son mandement pour aller en Gascogne ; mais par le conseil de messire Godefroy de Harecourt il s’en alla en Normandie.
217
Chap. cclxv. — Comment le roi d’Angleterre arriva en Normandie ; et comment le roi de France y envoya le comte de Ghines son connétable et le comte de Tancarville pour garder le pays.
218
Chap. cclxvi. — Comment le roi d’Angleterre chéy à terre en issant de son vaissel, lequel dit que c’étoit bon signe.
219
Chap. cclxvii. — Comment les Anglais ardirent et robèrent une parlie de Chierebourc et prirent Montebourc et Carentan, lesquels ils ardirent et robèrent et emmenèrent les gens avec eux.
220
Chap. cclxviii. — Comment le roi d’Angleterre fit messire Godefroy de Harecourt conduiseur de son ost, lequel ardit et exila tout le pays où il arriva.
221
Chap. cclxix. — Comment le roi de France fit son mandement de gens d’armes pour aller combattre le roi d’Angleterre qui gâtoit son pays de Normandie.
222

Chap. cclxx. — Comment le roi d’Anglelerre prit la bonne ville de Saint-Lo en Cotentin, et fut toute robée et pillée.
222
Chap. cclxxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Saint-Lo et s’en alla devers Caen ; comment ceux de Caen se mirent sur les champs pour le combattre.
223
Chap. cclxxii. — Comment ceux de Caen s’enfuirent sans coup férir : et comment le connétable et le comte de Tancarville y fut pris, et bien vingt-cinq chevaliers ; et fut la ville de Caen conquise.
Ib.
Chap. cclxxiii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Caen, et prit Louviers et Vernon, et ardit et exila tout le pays jusques à deux lieues près de Paris en costiant la rivière de Seine.
226
Chap. cclxxiv. — Comment messire Godefroy de Harecourt déconfit ceux d’Amiens ; et comment le roi d’Angleterre entra au pays de Beauvoisin.
227
Chap. cclxxv. — Comment les maréchaux du roi d’Angleterre ardirent les faubourgs de Beauvais ; et comment le roi d’Angleterre prit Argies et le châtel de Poix.
228
Chap. cclxxvi. — Comment le roi de France se partit à grand’baronie de Saint-Denis, en poursuivant le roi d’Angleterre ; et comment le roi d’Angleterre envoya ses maréchaux pour trouver passage sur la rivière de Somme.
229
Chap. cclxxvii. — Comment les maréchaux du roi d’Angleterre lui dirent qu’ils ne trouvoient point de passage ; et comment le roi de France envoya messire Godemar du Fay pour garder le passage de Blanche-Tache.
Ib.
Chap. cclxxviii. — Comment le roi de France se partit d’Amiens et s’en alla vers Airaines, cuidant trouver le roi d’Angleterre ; et comment on enseigna au roi d’Angleterre le passage de Blanche-Tache.
230
Chap. cclxxix. — Comment le roi d’Angleterre vint au gué de Blanche-Tache, où il trouva messire Godemar du Fay atout douze mille François, où il eut moult forte et dure bataille.
231
Chap. cclxxx. — Comment le roi d’Angleterre passa le passage de Blanche-Tache et déconfit messire Godemar du Fay et ses gens.
232
Chap. cclxxxi. — Comment le roi d’Angleterre guerdonna le varlet qui lui avoit enseigné le passage ; et puis s’en vint gâtant et ardant le pays jusques vers Crécy.
Ib.
Chap. cclxxxii. — Comment le roi d’Angleterre fit aviser par ses maréchaux la place où il ordonneroit ses batailles.
233
Chap. cclxxxiii. — Comment le roi de France envoya ses maréchaux pour savoir le convenant des Anglois ; et comment il donna à souper à tous les seigneurs qui avecques lui étoient ; et leur pria qu’ils fussent amis ensemble.
Ib.
Chap. cclxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre donna à souper à ses comtes et barons, et puis au matin, la messe ouïe, lui et son fils et plusieurs autres reçurent le corps de Notre Seigneur ; et comment il fit ordonner ses batailles.
234
Chap. cclxxxv. — Comment le roi de France, la messe ouïe, se partit d’Abbeville à tout son ost ; et comment il envoya quatre de ses chevaliers pour aviser le conroy des Anglois.
235
Chap. cclxxxvi. — Comment le Moine de Basele conseilla au roi de France faire arrêter ses agens en my les champs et ordonner ses batailles.
236
Chap. cclxxxvii. — Comment le roi de France commanda à ses maréchaux faire commencer la bataille par les Gennevois ; et comment les dits Gennevois turent tous déconfits.
Ib.
Chap. cclxxxviii. — Comment le roi de Behaigne, qui goute n’y véoit, se fit mener en la bataille et y fut mort lui et les siens ; et comment son fils le roi d’Allemagne s’enfuit.
238
Chap. cclxxxix. — Comment messire Jean de Hainaut conseille au roi Philippe qu’il se retraie ; et comment le comte d’Alencon et le comte de Flandre se combattirent longuement et vaillamment.
Ib.
Chap. ccxc. — Comment ceux de la bataille au prince de Galles envoyèrent au roi d’Angleterre pour avoir secours ; et comment le roi leur répondit.
239
Chap. ccxci. — Comment le comte de Harcourt, le comte d’Alençon, le comte de Flandre, le comte de Blois, le duc de Lorraine et plusieurs autres grands seigneurs furent déconfits et morts.
240
Chap. ccxcii. — Comment le roi de France se partit, lui cinquième de barons tant seulement, de la bataille de Crécy, en lamentant et complaignant de ses gens.
Ib.
Chap. ccxciii. — Cy dit comment messire Jean de Hainaut fit partir le roi de France de la bataille, ainsi comme par force.
251
Chap. ccxciv. — Comment le dimanche au matin, après la déconfiture de Crécy, les Anglois déconfirent ceux de Rouen et de Beauvais.
241
Chap. ccxcv. — Comment le roi d’Angleterre fit chercher les morts pour en savoir le nombre, et fit enterrer les corps des grands seigneurs.
243
Chap. ccxcvi. — Comment le roi de France fut courroucé des seigneurs de son sang qui morts étoient en la bataille ; et comment il voulut faire pendre messire Godemar du Fay.
244
Chap. ccxcvii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siége devant Calais.
Ib.
Chap. ccxcviii. — Comment messire Philippe de Bourgogne fut mort devant Aiguillon ; et comment le duc de Normandie se partit du siége d’Aiguillon par le commandement du roi son père.
246
Chap. ccxcix. — Comment messire Gautier de Mauny quitta à un chevalier normand sa rançon pour lui impétrer un sauf conduit du duc de Normandie pour chevaucher lui vingtième par France jusques à Calais.
247
Chap. ccc. — Comment messire Gautier de Mauny fut pris à Orliens et amené prisonnier à Paris, dont le duc de Normandie fut moult courroucé ; et comment il fut délivré.
Ib.
Chap. ccci. — Comment le comte Derby fit son mandement pour aller en Poitou, et prit plusieurs villes et châteaux en venant vers Saint-Jean-d’Angely.
248
Chap. cccii. — Comment ceux de Saint-Jean-d’Angely se rendirent au comte Derby ; et comment il prit le bourg de Saint-Maximin et la cité de Poitiers.
249
Chap. ccciii. — Comment le comte Derby se partit de Poitiers atout grand avoir et s’en vint à Saint-Jean-d’Angely ; et puis monta sur mer pour venir devant Calais.
251
Chap. ccciv. — Comment le roi d’Escosse fit secrètement son mandement pour faire guerre aux Anglois ; et comment la roine d’Angleterre fit son mandement d’autre part pour résister aux Escots.
Ib.
Chap. cccv. — Comment le roi d’Escosse entra en Angleterre ardant et détruisant le pays jusques à la cité de Bervich.
252

Chap. cccvi. — Comment les Escots et les Anglois se combattirent moult durement et comment finablement les Escots furent déconfits et y fut le roi d’Escosse pris par un écuyer.
253
Chap. cccvii. — Comment la roine d’Angleterre manda à l’écuyer qui avoit pris le roi d’Escosse, qu’il le lui amenât, lequel répondit qu’il ne le rendroit fors qu’au roi son seigneur.
254
Chap. cccviii. — Comment le dit écuyer vint au mandement du roi d’Angleterre devant Calais, lequel le reçut à grand’joie ; et comment il rendit le dit roi d’Escosse à la roine d’Angleterre.
255
Chap. cccix. — Comment le siége durant devant Calais, il y eut maintes belles escarmouches par mer et par terre d’un côté et d’autre.
256
Chap. cccx. — Comment le commun de Flandre s’accorda au mariage du comte de Flandre et de la fille du roi d’Angleterre ; et le roi de France voulut qu’il eût la fille du duc de Brabant.
257
Chap. cccxi. — Comment le comte de Flandre, qui longuement avoit été en prison en Flandre, fiança la fille du roi d’Angleterre ; et comment il s’embla d’eux et s’en affuit en Flandre.
258
Chap. cccxii. — Comment messire Robert de Namur vint au siége devant Calais et comment il devint homme du roi d’Angleterre.
259
Chap. cccxiii. — Comment ceux de la Roche-Derien se tournèrent Anglois ; et comment messire Charles de Blois atout grand’foison de gens d’armes y mit le siége.
Ib.
Chap. cccxiv. — Comment, par le conseil de messire Garnier de Quadudal, fut pris messire Charles de Blois et tout son ost déconfit devant la Roche-Derien.
261
Chap. cccxv. — Comment le roi de France fit son mandement pour combattre le roi d’Angleterre : et comment les Flamands mirent le siége devant la ville d’Aire et ardirent le pays d’environ.
262
Chap. cccxvi. — Comment le roi de France vint atout son grand ost devant Calais pour cuider lever le siége et combattre le roi d Angleterre.
264
Chap. cccxvii. — Comment le roi d’Angleterre fit traire ses naves sur le pas des dunes et bien garnir et défendre contre les François.
Ib.
Chap. cccxviii. — Comment le roi de France, voyant qu’il ne pouvoit trouver passage pour venir à Calais, manda au roi d’Angleterre qu’il lui donnât place pour le combattre, et quelle chose il lui répondit.
265
Chap. cccxix. — Comment le pape Clément envoya deux cardinaux pour traiter de la paix entre les deux rois ; et comment le roi Philippe se partit du mont de Sangattes et donna congé à toutes ses gens.
266
Chap. cccxx. — Comment ceux de Calais se voulurent rendre an roi d’Angleterre, sauves leurs vies ; et comment le dit roi voulut avoir six des plus nobles bourgeois de la ville pour en faire sa volonté.
268
Chap. cccxxi. — Comment les six bourgeois se partirent de Calais, tous nuds en leurs chemises, la hart au col, et les clefs de la ville en leurs mains ; et comment la roine d’Angleterre leur sauva les vies.
269
Chap. cccxxii. — Comment le sire de Mauny et les deux maréchaux d’Angleterre, du commandement du roi, allèrent prendre la saisine de Calais et mirent les chevaliers, qui dedans étoient, en prison, et firent partir toutes autres gens.
272
Chap. cccxxiii. — Comment le roi et la roine d’Angleterre s’en retournèrent en Angleterre ; et comment la ville de Calais fut repeuplée de purs Anglois que le roi y envoya.
273
Chap. cccxxiv. — Comment plusieurs escarmouches et plusieurs prises de châteaux et de villes se faisoient entre les Anglois, les Escots et les François.
275
Chap. cccxxv. — Comment un brigand appelé Croquard devint grand et puissant ès guerres de Bretagne, et comment il fina mauvaisement.
Ib.
Chap. cccxxvi. — Comment messire Geoffroy de Chargny acheta du capitaine de Calais la ville de Calais ; et comment le roi d’Angleterre le sçut, et quel remède il y mit.
276
Chap. cccxxvii. — Comment le roi d’Angleterre et le prince son fils vinrent â Calais sous la bannière messire Gautier de Mauny et comment ils se combattirent durement contre messire Geoffroy de Chargny.
277
Chap. cccxxviii. — Comment les Anglois et les François se combattirent moult vaillamment, et comment finablement les François furent tous morts ou pris.
279
Chap. cccxxix. — D’un chapelet de perles que le roi d’Angleterre donna à messire Eustache de Ribeumont.
280
LIVRE PREMIER.
PARTIE DEUXIÈME.




Chap. premier. — Comment trépassèrent de ce monde la roine de France et la duchesse de Normandie, et comment le roi de France et son fils se remarièrent.
283
Chap. ii. — Comment le jeune comte Louis de Flandre épousa la fille au duc de Brabant, et comment il rentra en jouissance de ses droits.
Ib.
Chap. iii. — Comment le roi d’Angjeterre attaqua les nefs espaignoles en mer sur leur chemin de Flandre eu Espaigne, et comment il les déconfit.
284
Chap. iv. — Comment messire Geoffroy de Chargny surprit Aimery de Pavie en son châtel et le fit mourir en la ville de Saint-Omer.
288
Chap. v. — Comment les pénitents alloient par le pays par compagnies, se déchirant le dos d’aiguillons de fer ; comment il y eut dans le monde une grande épidémie, et comment les Juifs furent brûlés.
289
Chap. vi. — Comment le roi Philippe de France mourut et comment le roi Jean son fils, les trêves étant expirées, reconquit la ville de Saint-Jean-d’Angely.
Ib.
Chap. vii. — Comment messire Robert de Beaumanoir alla défier le capitaine de Ploermel, qui avait nom Brandebourcb, et comment il y eut une rude bataille de trente contre trente.
293
Chap. viii. — Comment un engagement eut lieu près de Saint-Omer entre les deux capitaines françois et anglois ; comment le capitaine anglois, messire Jean Beauchamp, fut pris avec sa troupe, et comment le capitaine des François, messire Édouard de Beaujeu, fut tué dans le combat.
295
Chap. ix. — Comment le pape Clément mourut et comment le nouveau pape Innocent obtint une trêve entre les deux rois.
297
Chap. x. — Comment le comte de Ghines fut rançonné ; comment il vint voir le roi Jean à Paris et comment le roi l’envoia en prison et lui fit couper la tête.
298
Chap. xi. — Comment le château de Ghines, les trêves durant, fut vendu aux Anglois.
299
Chap. xii. — Comment le roi Jean ordonna les chevaliers de l’Étoile â la Noble Maison de-lez Saint-Denis et comment meschef advint à cette noble compagnie.
Ib.
Chap. xiii. — Comment messire Charles d’Espaigne fut occis par le fait du roi Charles de Navarre à Laigle en Normandie, et comment le roi Jean voulut contrevenger sa mort.
301
Chap. xiv. — Comment des traiteurs se rendirent à Avignon de par le roi de France et le roi d’Angleterre, mais ne purent rien accorder ; et comment le duc de Brabant mourut.
302
Chap. xv. — Cy parle des alliances du roi Charles de Navarre et des enfans de Navarre avec le roi d’Angleterre.
303
Chap. xvi. — Comment messire Guillaume de Douglas fit une chevauchée en Angleterre et reconquit la bonne ville de Bervich.
306
Chap. xvii. — Cy parle de la demeure du roi d’Angleterre devant Blangis, et comment, sur la nouvelle de la venue des Escots à Bervich, il revint à Calais.
307
Chap. xviii. — Comment le roi Édouard fit une chevauchée en Escosse, reconquit la bonne ville de Bervich et toute Escosse et puis se mit au retour en Angleterre.
310
Chap. xix. — Comment le prince de Galles se départit de Bordeaux avec son armée et courut tout le pays de Toulousain, de Narbonnois et de Carcassonuois, ardant et exilant tout en deçà et au delà de l’Aude.
313
Chap. xx. — Comment ceux de Rouen et d’Évreux se refusèrent à l’établissement d’une gabelle sur le sel par l’ennortement du seigneur de Harecourt et du roi de Navarre, et comment le roi Jean fit mettre les mains sur le roi de Navarre ens ou châtel de Rouen.
322
Chap. xxi. — Cy parle du défi fait au roi de France par Philippe de Navarre, et de la chevauchée du duc de Lancastre et du conquêt du bourg, de la cité et du châtel d’Évreux par le roi de France.
325
Chap. xxii. — Comment nouvelles vinrent au roi de France, qui séoit devant Breteuil, de la chevauchée du prince de Galles qui prenoit son adresse pour venir en Limousin et en Berry.
332
Chap. xxiii. — Comment le roi de France fit son spécial mandement à tous les nobles de son royaume pour aller contre le prince de Galles qui gâtoit et exilloit son pays de Gasgogne.
334
Chap. xxiv. — Comment les nouvelles vinrent au prince que le roi de France venoit à grand’force de gens d’armes contre lui ; et comment le sire de Craon, messire Boucicaut et l’ermite de Chaumont escarmouchèrent les gens du prince.
Ib.
Chap. xxv. — Comment le prince fit dire aux trois chevaliers françois qui dedans Romorentin étoient qu’ils se rendissent ; et quelle chose ils répondirent.
336
Chap. xxvi. — Comment le prince fit assaillir le châtel de Romorentin ; et comment les trois chevaliers dessus nommés se rendirent au prince à sa volonté.
336
Chap. xxvii. — Comment le roi de France se partit de Chartres à grand’compagnie de gens d’armes pour aller à l’encontre du prince de Galles.
337
Chap. xxviii. — Comment le comte de Joigny, le sire de Coucy et le vicomte de Bruese en chassant les coureurs du prince se boutèrent en l’ost du prince et y furent pris.
338
Chap. xxix. — Comment les coureurs du prince se férirent en la queue de l’ost des François ; et comment le roi de France fit ses gens loger, et aussi le prince les siens.
340
Chap. xxx. — Comment le roi de France commanda que chacun se traist sur les champs ; et comment il envoya quatre chevaliers ci-après nommés pour savoir le convenant des Anglois.
Ib.
Chap. xxxi. — Comment les quatre chevaliers dessus dits rapportèrent le convenant des Anglois au roi de France.
341
Chap. xxxii. — Comment le cardinal de Pierregort se mit en grand’peine d’accorder le roi de France et le prince de Galles.
342
Chap. xxxiii. — Comment messire Jean de Clermont, maréchal de France, et messire Jean Chandos eurent grosses paroles ensemble.
344
Chap. xxxiv. — Comment les Anglois firent fossoyer et haier leurs archers ; et comment le cardinal de Pierregort prit congé du roi de France et du prince de Galles.
Ib.
Chap. xxxv. — Comment le prince ordonna ses gens pour combattre ; et cy s’ensuivent les noms des vaillans seigneurs et chevaliers qui de-lez lui étoient.
345
Chap. xxxvi. — Comment le prince de Galles reconforta sagement ses gens, et comment messire Jacques d’Audelée requit au prince qu’il commençât la bataille, lequel lui accorda.
346
Chap. xxxvii. — Comment messire Jean de Clermont, maréchal de France, fut occis ; et comment ceux de la bataille du duc de Normandie s’enfuirent.
347
Chap. xxxviii. — Comment le prince de Galles, quand il vit la bataille du duc de Normandie branler, commanda à ses gens chevaucher avant.
348
Chap. xxxix. — Comment le duc de Normandie et ses deux frères se partirent de la bataille ; et comment messire Jean de Landas et messire Thibaut de Vodenay retournèrent à la bataille.
348
Chap. xl. — Comment le roi de France fit toutes ses gens aller à pied, lequel se combattoit très vaillamment comme bon chevalier ; et aussi faisoient ses gens.
349
Chap. xli. — Comment messire Jacques d’Audelée en fut mené de la bataille moult navré ; et comment messire Jean Chandos ennorte le prince de chevaucher avant.
351
Chap. xlii. — Comment le duc de Bourbon, le duc d’Athènes et plusieurs autres barons et chevaliers furent morts, et aussi plusieurs pris.
Ib.
Chap. xliii. — Comment le sire de Renti, en fuyant de la bataille, prit un chevalier anglois qui le poursuivoit ; et comment un écuyer de Picardie, par tel parti, prit le sire de Bercler.
352
Chap. xliv. — Comment il y eut grand’occision des François devant la porte de Poitiers ; et comment le roi Jean fut pris.
353
Chap. xlv. — Comment il y eut grand débat entre les Anglois et les Gascons sur la prise du roi Jean ; et comment le prince envoya ses maréchaux pour savoir où il étoit.
357
Chap. xlvi. — Comment le prince donna à messire Jacques d’Audelée cinq cents marcs d’argent de revenue, et comment le roi de France fut présenté au prince.
358
Chap. xlvii. — Ci dit quans grans seigneurs il eut pris avec le roi Jean, et combien il y en eut de morts ; et comment les Anglois fêtèrent leurs prisonniers.
Ib.
Chap. xlviii. — Comment messire Jacques d’Audelée donna ses cinq cents marcs d’argent de revenue que le prince lui avoit donnés à ses quatre écuyers.
359
Chap. xlix. — Comment le prince de Galles donna à souper au roi et aux grands barons de France, et les servit moult humblement.
360
Chap. l. — Comment le prince et son ost se mirent à chemin pour aller à Bordeaux ; et comment le prince redonna six cents marcs d’argent de revenue à messire Jacques d’Audelée.
Ib.
Chap. li. — Comment le prince fut reçu à grand honneur de ceux de Bordeaux ; et comment le cardinal de Pierregort s’excusa sagement par devers le prince.
361
Chap. lii. — Comment les trois états furent assemblés en la cité de Paris pour ordonner du gouvernement du royaume de France.
362
Chap. liii. — Comment les trois états firent faire mounoie de fin or ; et comment ils envoyèrent gens d’armes contre messire Godefroy de Harecourt.
364
Chap. liv. — Comment messire Godefroy de Harecourt fut mort et tou le sa gent déconfite et prise.
Ib.
Chap. lv. — Comment le roi d’Angleterre envoya quatre cents hommes d’armes pour prendre la saisine de la terre messire Godefroy de Harecourt ; et comment le roi Jean fut mené en Angleterre.
366
Chap. lvi. — Comment le roi d’Escosse, qui prisonnier étoit en Angleterre, fut mis à rançon et sur quelle condition.
368
Chap. lvii. — Comment le duc de Lancastre assiégea la cité de Rennes ; et comment messire Bertran du Guesclin se combattit à messire Nicolas d’Angorne devant la dite cité ; et comment messire Olivier de Mauny combattit et prit messire Jean Bolleton.
369
Chap. lviii. — Comment messire Guillaume de Gauville parlementa avec un bourgeois d’Évreux comment ils reconquéêeroient la cité d’Évreux au roi de Navarre.
370
Chap. lix. — Comment la cité d’Évreux fut reconquise au roi de Navarre ; et comment messire Philippe de Navarre y fit sa garnison.
371
Chap. lx. — Comment l’Archiprêtre s’en alla robant et exillant le pays jusques en Avignon ; et comment le pape le reçut honnêtement.
373
Chap. lxi. — Comment une grand’compagnie de brigands s’assemblèrent entre Paris et Orléans et aussi en Normandie.
Ib.
Chap. lxii. — Comment le prévôt des marchands et ses alliés tuèrent au palais trois chevaliers en la présence du duc de Normandie.
Ib.
Chap. lxiii. — Comment le roi de Navarre fut délivré de prison par le confort du prévôt des marchands.
374
Chap. lxiv. — Comment le roi de Navarre prêcha devant le peuple à Paris et montra les grands torts qu’on lui avoit faits.
375
Chap. lxv. — Comment les communes de Beauvoisin et en plusieurs autres parties de France mettoient à mort tous gentils hommes et femmes qu’ils trouvoient.
Ib.
Chap. lxvi. — Comment le roi de Navarre et les gentilshommes de Beauvoisin tuèrent grand’foison des Jacques ; et comment le duc de Normandie défia le prévôt des marchands et ses alliés ; et comment Paris fut close.
376
Chap. lxvii. — Comment le comte de Foix et le captal de Buch vinrent à Meaux pour reconforter la duchesse de Normandie et celle d’Orléans et les autres dames qui là étoient fuies pour les Jacques.
377
Chap. lxviii. — Comment le comte de Foix, le captal de Buch et le duc d’Orléans déconfirent les Jacques, et puts mirent le feu en la ville de Meaux.
378
Chap. lxix. — Comment le duc de Normandie assiégea Paris par devers Saint-Antoine ; et comment le roi de Navarre se partit de Paris et s’en alla à Saint-Denis.
Ib.
Chap. lxx. — Comment le roi de Navarre jura solemnellement à tenir paix envers le duc de Normandie, et sur quelle condition.
379
Chap. lxxi. — Comment le roi de Navarre promit au prévôt des marchands qu’il lui aideroit de tout son pouvoir ; et comment ceux de Paris tuèrent les soudoyers anglois qui à Paris étoient.
380
Chap. lxxii. — Comment les compagnons des soudoyers anglois qui furent tués à Paris occirent grand’foison de ceux de Paris à la porte Saint-Honoré.
381
Chap. lxxiii. — Comment le prévôt des marchands et ses alliés avoient proposé de courir et détruire Paris ; et comment le dit prévôt fut mis à mort ; et comment le duc de Normandie vint à Paris.
382
Chap. lxxiv. — Comment le roi de Navarre défia le duc de Normandie et ceux de Paris ; et comment il pilla et prit plusieurs villes du royaume de France.
386
Chap. lxxv. — Comment les Navarrois de Creel et de la Harelle déconfirent les Picards et ceux de Vermandois devant Mauconseil.
387
Chap. lxxvi. — Comment les Navarrois ardirent l’abbaye d’Ourquans ; et comment ils s’espandirent en plusieurs lieux sur la rivière d’Oise et d’Esne ; et comment ils prirent la forte ville de Vely.
388
Chap. lxxvii. — Comment aucuns bourgeois d’Amiens avoient vendu la dite cité aux Navarrois ; et comment le connétable de France et le comte de Saint-Pol la gardèrent d’être prise.
389
Chap. lxxviii. — Comment le connétable de France et le comte de Saint-Pol firent décoler ceux qui avoient vendu Amiens ; et comment une très grand’cherté vint en France.
390
Chap. lxxix. — Comment le connétable de France et le comte de Saint-Pol et tous les seigneurs de Picardie assiégèrent Saint-Valery ; et comment le captal de Buch prit Clermont en Beauvoisin.
391
Chap. lxxx. — Comment ceux des forteresses navarroises gàtoient, pilloient et roboient tout le pays environ eux.
392
Chap. lxxxi. — Comment Robin l’Escot, un des capitaines de Velly, prit le fort châtel de Roussy et le comte et la comtesse et leur fille dedans.
393
Chap. lxxxii. — Comment le chanoine de Robertsart secourut le sire de Pinon contre les Navarrois de Roussy qui longuement s’étoient combattus.
Ib.
Chap. lxxxiii. — Comment le chanoine de Robertsart et le sire de Pinou déconfirent les Navarrois de Roussy.
394
Chap. lxxxiv. — Comment ceux de Saini-Vallery se rendirent au connétable de France et au comte de Saini-Pol ; et comment messire Philippe de Navarre vint pour les cuider secourre.
395
Chap. lxxxv. — Comment le connétable de France et le comte de Saint-Pol cuidèrent combattre messire Philippe de Navarre, lequel s’enfuit par nuit.
396
Chap. lxxxvi. — Comment le connétable de France et sa route poursuirent messire Philippe de Navarre et ses gens et les ratteignirent à Thorigny.
Ib.
Chap. lxxxvii. — Comment messire Philippe de Navarre et ses gens proposèrent d’eux fuir quand il seroit anuité.
397
Chap. lxxxviii. — Comment messire Philippe de Navarre et ses gens s’enfuirent par nuit ; et comment la chevauchée des François fut dépecée et défaite.
Ib.
Chap. lxxxix. — Comment messire Pierre d’Audelée cuida prendre en trahison Châlons en Champagne ; et comment le sire de Grancy secourut ceux de Châlons.
398
Chap. xc. — Comment messire Pierre d’Audeiée s’en retourna de Châlons à peu de conquêt ; et comment les Navarrois prirent Sissone ; et comment ceux de Sissone déconfirent le comte de Roussy.
400
Chap. xci. — Comment messire Eustache d’Aubrecirourt pilloit et rançonnoit tout le pays de Brie et de Champagne.
401
Chap. xcii. — Comment le duc de Normandie assiégea Melun ; et comment paix fut faite entre le roi de Navarre et le dit duc ; et comment messire Philippe de Navarre ne s’y voulut accorder.
Ib.
Chap. xciii. — Comment le jeune comte de Harecourt fut marié à la fille au duc de Bourbon ; et comment l’évêque de Troyes et messire Brokars et autres seigneurs de Champagne prirent le fort châtel de Hans.
403
Chap. cxiv. — Comment messire Eustache d’Aubrecicourt issit hors de Pons pour rencontrer les Champenois, et comment il réconforte ses gens.
404
Chap. cxv. — Comment messire Brokars et l’évêque de Troyes assaillirent roidement messire Eustache d’Aubrecicourt et sa route ; et comment les archers anglois furent déconfits.
405
Chap. xcvi. — Comment messire Eustache d’Aubrecicourt fut pris et toutes ses gens déconfits ; et comment messire Courageux de Mauny demeura comme mort en la bataille.
406
Chap. xcvii. — Comment ceux de Troyes reçurent à grand’joie leur évêque et les seigneurs qui avec lui étoient ; et comment messire Jean de Péquigny et plusieurs autres Anglois moururent merveilleusement.
407
Chap. xcviii. — Comment ceux de Noyon achetèrent la garnison de Mauconseil ; et Jean de Ségure vendit celle de Nogent à l’évêque de Troyes ; et comment ceux de Troyes occirent le dit Jean de Ségure.
408
Chap. xcix. — Comment le duc de Normandie et le conseil de France ne voulurent mie tenir le traité fait entre le roi Jean de France et le roi d’Angleterre.
409
Chap. c. — Comment le roi d’Angleterre fit faire grand appareil pour venir en France ; et comment l’archevêque de Reims, le comte de Porcien et le comte de Braine conquirent le châtel de Roussy.
410
Chap. ci. — Comment messire Eustache d’Aubrecicourt fut délivré de prison ; et comment il prit Athegny et plusieurs autres forteresses et gâta le pays environ Reims.
411
Chap. cii. — Comment messire Broquars de Fenestranges défia le duc de Normandie ; et comment messire Robert Canolle ardit et exilla le bon pays de Berry et d’Auvergne.
Ib.
Chap. ciii. — Comment les seigneurs d’Auvergne et de Limousin allèrent audevant de monseigneur Robert Canolle ; et comment ils ordonnèrent leurs batailles d’un côté et d’autre.
412
Chap. civ. — Comment messire Robert Canolle et ses gens s’enfuirent par nuit ; et comment les seigneurs d’Auvergne donnèrent congé à toutes manières de gens d’armes.
413
Chap. cv. — Comment tant de gens d’armes étrangers vinrent à Calais qu’on ne se savoit où loger et y furent les vivres moult chers.
413
Chap. cvi. — Comment le duc de Lancastre vint à Calais pour excuser le roi d’Angleterre vers ces étrangers, et les mena gâtant et exillant le pays vers Saint-Omer.
414
Chap. cvii. — Comment le roi d’Angleterre arriva à Calais à grand’armée et manda au duc de Lancastre qu’il s’en retournât à Calais atout ses gens.
Ib.
Chap. cviii. — Comment ces seigneurs étrangers montrèrent humblement au roi d’Angleterre leur povreté ; et quel chose il leur répondit.
415
Chap. cix. — Comment ces seigneurs étrangers furent mal contents de la réponse du roi, qui tout le leur avoient dépendu.
416
Chap. cx. — Comment le roi, ainçois qu’il partît d’Angleterre, fit mettre en prison le roi Jean et monseigneur Philippe son fils et les autres barons de France.
Ib.
Chap. cxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Calais, ses batailles bien ordonnées ; et cy sont contenus les noms des plus grands seigneurs qui avec lui étaient.
417
Chap. cxii. — Cy dit d’une aventure qui avint à messire Galehaut de Ribeumont encontre messire Berthelemieu de Bruves.
418
Chap. cxiii. — Comment messire Regnault de Boussant navra durement messire Galehault de Ribeumont ; et comment les gens du dit messire Regnault furent tous morts ou pris.
420
Chap. cxiv. — Comment le roy d’Angleterre, en gâtant le pays de Cambrésis, vint assiéger la cité de Reims.
421
Chap. cxv. — Comment messire Jean Chandos et messire Jacques d’Audelëe prirent le châtel de Charny en Dormois ; et comment le sire de Mucident y fut occis à l’assaut.
422
Chap. cxvi. — Comment le sire de Roye et le chanoine de Robertsart prirent le sire de Gommignies qui venoit au secours du roi d’Angleterre.
423
Chap. cxvii. — Comment le sire de Roye et sa route déconfirent les gens du sire de Gommignies, et furent tous morts ou pris.
424
Chap. cxviii. — Comment messire Berthelemieu de Bruves abattit la tour de Courmicy ; et comment ceux de dedans se rendirent à lui.
425
Chap. cxix. — Comment le roi d’Angleterre se partit de devant Reims sans rien faire ; et comment il prit la ville de Tonnerre.
426
Chap. cxx. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Tonnerre et s’en vint loger à Montréal, et puis de là à Guillon sur la rivière de Sellettes.
426
Chap. cxxi. — Cy dit comment les seigneurs d’Angleterre menoient avec eux toutes choses nécessaires ; et de leur manière de chevaucher.
427
Chap. cxxii. — Pour quelle cause le roi d’Angleterre ne courut point le pays de Bourgogne ; et comment il s’en vint loger au Bourg-la-Roine lez-Paris.
Ib.
Chap. cxxiii. — Comment le noble royaume de France étoit couru de tous côtés, tant d’Anglois que de Navarrois ; et comment Pierrepont fut pris des gens messire Eustache d’Aubrecicourt.
428
Chap. cxxix. — Cy s’ensuivent les prophéties du cordelier, tant sur les gens d’église que sur les seigneurs temporels.
Ib.
Chap. cxxx. — Comment le duc de Normandie, par grand sens et avis ne voulut mie consentir bataille au roi d’Angleterre ; et comment messire Gautier de Mauny et autres chevaliers anglois vinrent escarmoucher jusqu’aux barrières de Paris.
429
Chap. cxxxi. — Comment le duc de Normandie et son conseil envoyèrent légats pour traiter de la paix entre le roi de France et le roi d’Angleterre ; et comment la paix fut faite.
430
Chap. cxxxii. — Ci s’ensuit la chartre de l’ordonnance de la paix faite entre le roi d’Angleterre et ses alliés, et le roi de France et les siens.
433
Chap. xxxiii. — Comment le duc de Normandie scella la dite charte ; et comment quatre barons d’Angleterre vinrent à Paris au nom du roi anglois pour jurer à tenir le dit traité ; et comment ils furent honorablement reçus.
437
Chap. cxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Chartres et s’en retourna en son pays ; et comment le roi de France arriva à Calais ; et comment le fils du duc de Milan fut marié à la fille du roi de France.
439
Chap. cxxxv. — Comment ceux des forteresses anglesches de France, du commandement du roi d’Angleterre, se partirent ; et comment la rançon du roi de France fut apportée à Saint-Omer.
440
Chap. cxxxvi. — Comment le roi d’Angleterre vint à Calais et s’entrefêtoient chacun jour les deux rois ; et comment autres lettres de la paix furent faites et scellées des deux rois.
441
Chap. cxxxvii. — Ci s’ensuit la lettre de confédération que fit le roi d’Angleterre à Calais, en confirmant mieux la paix entre lui et le roi de France.
442
Chap. cxxxviii. — Comment, après la lettre de confédération faite, le conseil du roi de France requit au roi d’Angleterre qu’il fit lettre de renonciation.
443
Chap. cxxxix. — Ci après s’ensuit la forme et la manière de la lettre de renonciation que fit le roi d’Angleterre entre lui et le roi de France.
444
Chap. cxl. — Comment le roi d’Angleterre fit faire une commission générale, à la requête du roi de France, que tous les Anglois des forteresses de France se vidassent.
448
Chap. cxli. — Ci s’ensuit la forme et la manière de la commission générale que fit le roi d’Angleterre, à la requête du roi de France.
Ib.
Chap. cxlii. — Comment les deux rois allongèrent les trêves de Bretagne du premier jour de mai jusques à la Saint-Jean-Baptiste.
449
Chap. cxliii. — Comment les deux rois donnèrent à quatre chevaliers huit mille francs de revenue par an ; et comment le roi d’Angleterre donna à messire Jean Chandos la terre de Saint-Sauveur le Vicomte.
450
Chap. cxliv. — Comment le roi de France se partit de Calais et s’en vint tout à pied jusques à Boulogne ; et comment le roi Édouard avec les hostagiers de France s’en retourna en Angleterre.
Ib.
Chap. cxcv. — Comment le roi de France fut honorablement reçu à Paris et lui furent présentés plusieurs beaux dons.
451
Chap. cxlvi. — Comment les députés de par le roi d’Angleterre vinrent pour prendre saisine des terres et pays qui leur devoient être baillés ; et comment les seigneurs de Languedoc et de Poitou n’y vouloient obéir.
452
Chap. cxlvii. — Comment le roi d’Angleterre envoya députés de par lui pour livrer au roi de France les forteresses anglesches du royaume de France ; et comment les Compagnies commencèrent.
453
Chap. cxlviii. — Comment le roi de France rescripsit à monseigneur Jacques de Bourbon, qui étoit à Montpellier, qu’il prenist grand’foison de gens d’armes pour aller contre les Compagnies.
454
Chap. cxlix. — Comment les Compagnies s’en vinrent en la comté de Forez pour trouver messire Jacques de Bourbon ; et comment ils prirent le châtel de Brinay et là se logèrent.
Ib.
Chap. cl. — Comment les Compagnies déconfirent messire Jacques de Bourbon et sa route, et y furent le dit messire Jacques et son fils navrés à mort, et le jeune comte de Forez mort.
455
Chap. cli. — Comment les Compagnies gâtèrent et exillèrent la comté de Forez et le pays environ ; et comment ils prirent le Pont-Saint-Esprit et y firent moult de maux.
457
Chap. clii. — Comment les pilleurs du royaume de France s’avisèrent qu’ils iroient après leurs compagnons qui avoient déconfit messire Jacques de Bourbon.
458
Chap. cliii. — Comment le pape ordonna une croiserïe et absolvoit de peine et de coulpe tous ceux qui iroient contre les Compagnies.
459
Chap. cliv. — Comment le marquis de Montferrat, parmi une somme de florins, et ce que le pape les absolvoit de peine et de coulpe, emmena les Compagnies en Lombardie.
Ib.
Chap. clv. — Comment le duc Henri de Lancastre trépassa de ce siècle ; et comment aussi le jeune duc de Bourgogne trépassa en ce temps.
460
Chap. clvi. — Comment le roi de France, en visitant la duché de Bourgogne, s’en alla en Avignon ; et comment l’abbé de Saint-Victor de Marseille fut élu en pape.
461
Chap. clvii. — Comment le prince et la princesse se partirent d’Angleterre pour venir en Aquitaine ; et comment le roi d’Angleterre ordonna de l’état de ses autres enfans ; et comment la mère du dit roi mourut.
462
Chap. clviii. — Comment messire Jean Chandos alla à l’encontre du prince et de la princesse en la ville de la Rochelle ; et comment il fut fait connétable d’Aquitaine.
463
Chap. clix. — Comment le roi de Chypre vint en Avignon pour voir le pape et le roi de France et leur remontra le voyage d’outre mer ; et comment le roi de France prit la croix.
Ib.
Chap. clx. — Comment le roi de Chypre se partit d’Avignon pour aller voir l’empereur de Rome et tous les seigneurs de chrétienté pour leur ennorter le saint voyage d’outre mer.
464
Chap. clxi. — Comment le roi d’Angleterre envoya les quatre ducs de France â Calais, et pouvoient aller trois jours hors et au quart retourner.
465
Chap. clxii. — Comment le roi de Chypre vint à Paris et cuida mettre la paix entre le roi de France et le roi de Navarre, et comment il s’en alla en Angleterre.
465
Chap clxiii. — Comment le roi de Chypre arriva à Londres, où il fut grandement fété du roi d’Angleterre ; et comment le roi d’Escosse et le roi de Chypre s’entrefirent grand’fête à Londres.
466
Chap. clxiv. — Comment le roi de Chypre repassa d’Angleterre pour venir voir le prince de Galles ; et comment le roi de France eut en propos d’aller en Angleterre.
467
Chap. clxv. — Comment le roi de France se partit de Boulogne pour passer en Angleterre ; et comment le roi et la roine et les seigneurs d’Angleterre le reçurent honorablement.
468
Chap. clxvi. — Comment le roi de Chypre vint voir le prince de Galles ; et comment le roi de France trépassa en Angleterre, dont le roi et la roine furent moult courroucés.
469
Chap. clxvii. — Comment messire Bertran du Guesclin et le maréchal Boucicaut prirent la ville de Mante et celle de Meulan.
471
Chap. clxviii. — Comment le captal de Buch ariva à Chierrebourc ; et comment le duc de Normandie envoya messire Bertran faire frontière contre les Navarrois.
473
Chap. clxix. — Comment le roi de Chypre s’en retourna d’Aquitaine à Paris ; et comment le roi Jean fut apporté d’Angleterre à Saint-Denis, et là enseveli très révéremment.
474
Chap. clxx. — Comment le captal se partit d’Évreux à belle compagnie de gens d’armes pour combattre messire Bertran et les François, et en intention de destourber le couronnement du roi Charles.
475
Chap. clxxi. — Comment les Navarrois et les François sçurent nouvelles les uns des autres ; et comment le captal ordonna ses batailles.
476
Chap. clxxii. — Comment messire Bertran du Guesclin et les seigneurs de France ordonnèrent leurs batailles.
Ib.
Chap. clxxiii. — Comment les Gascons s’avisèrent d’un bon avis par quelle manière le captal seroit pris et emporté de la bataille.
477
Chap. clxxiv. — Comment les seigneurs de France eurent conseil à savoir quel cri ils crieroient et qui seroit leur chef ; et comment messire Bertran fut élu à être chef de la bataille.
478
Chap. clxxv. — Comment, par le conseil de messire Bertran, les François firent semblant de fuir ; et l’archiprêtre se partit de la bataille.
479
Chap. clxxvi. — Comment le captal fut ravi et emporté de la bataille, voyans toutes ses gens, dont fortement furent courroucés.
480
Chap. clxxvii. — Comment le pennon du captal fut conquis ; et comment les Navarrois et les Anglois furent tous morts ou pris.
481
Chap. clxxviii. — Comment messire Bertran et les François se partirent de Coucheret atout leurs prisonniers et s’en vinrent à Rouen.
482
Chap. clxxix. — Comment le duc de Normandie fut moult réjoui de la déconfiture du captal ; et comment il fut couronné à roi à grand’solennité.
483
Chap. clxxx. — Comment le roi Charles donna à messire Philippe son frère la duché de Bourgogne ; et comment le dit roi l’envoya en France contre les Navarrois et les ennemis du royaume.
Ib.
Chap. clxxxi. — Comment messire Louis de Navarre guerroyoit le pays sur la rivière de Loire ; et comment trois cents compagnons de sa route prirent la Charité-sur-Loire.
485
Chap. clxxxii. — Comment ceux de Marceranville se rendirent au duc de Bourgogne ; et comment ceux d’Aquegny se rendirent à messire Jean de la Rivière.
Ib.
Chap. clxxxiii. — Comment ceux de Camerolles et ceux de Connay se rendirent au duc de Bourgogne ; et comment le dit duc s’en alla en son pays contre le comte de Montbéliart.
486
Chap. clxxxiv. — Comment le roi de France envoya son connétable et ses maréchaux pour mettre le siége devant la Charité ; et comment le dit roi y envoya après le duc de Bourgogne.
487
Chap. clxxxv. — Comment ceux de la Charité se rendirent au duc de Bourgogne ; et comment le dit duc s’en retourna en France.
488
Chap. clxxxvi. — Comment le roi de France envoya messire Bertran du Guesclin au secours de monseigneur Charles de Blois ; et comment messire Jean Chandos vint au secours du comte de Montfort.
489
Chap. clxxxvii. — Comment messire Charles de Blois se partit de Nantes pour aller contre le comte de Montfort ; et des paroles que madame sa femme lui dit.
490
Chap. clxxxiii. — Comment le comte de Montfort se partit de devant Auray et s’en vint prendre place sur les champs pour combattre monseigneur Charles de Blois.
Ib.
Chap. clxxxix. — Comment messire Charles de Blois, par le conseil de messire Bertrand du Guesclin, ordonna ses batailles bien et faiticement.
491
Chap. cxc. — Comment messire Jeau Chandos ordonna les batailles du comte de Montfort bien et sagement.
Ib.
Chap. cxci. — Comment le sire de Beaumanoir impétra un répit entre les deux parties jusques à lendemain soleil levant.
492
Chap. cxcii. — Comment le sire de Beaumanoir vint en l’ost du comte de Montfort pour traiter de la paix ; et des paroles qui furent entre lui et messire Jean Chandos.
493
Chap. cxciii. — Ci devise comment les batailles de messire Charles de Blois et celles du comte de Montfort s’assemblèrent et comment ils se combattirent vaillamment d’un côté et d’autre.
494
Chap. cxciv. — Comment messire Olivier de Clisson et sa bataille se combattirent moult vaillamment à la bataille du comte d’Aucerre et du comte de Joigny, et comment messire Jean Chandos déconfit la dite bataille.
495
Chap. cxcv. — Comment messire Bertran du Guesclin fut pris ; et comment messire Charles de Blois fut occis en la bataille ; et toute la fleur de la chevalerie de Bretagne et de Normandie prise ou occise.
496
Chap. cxcvi. — Ci parle des paroles amoureuses que le comte de Montfort disoit à messire Jean Chandos, et des piteux regrets que le dit comte fit sur monseigneur Charles de Blois, et comment il le fit enterrer à Guingant très révéremment.
497
Chap. cxcvii. — Comment le comte de Montfort donna trêve pour enterrer les morts ; et comment le roi de France envoya le duc d’Anjou en Bretagne pour réconforter la femme de monseigneur Charles de Blois.
498
Chap. cxcviii. — Comment le roi d’Angleterre et le comte de Flandres, qui étoient à Douvres pour traiter du mariage de leurs enfans, furent grandement réjouis de la déconfiture d’Auray.
Ib.
Chap. cxcix. — Comment ceux d’Auray, ceux de Jugon et ceux de Dinant se rendirent au comte de Montfort ; et comment le dit comte assiégea la bonne cité de Campercorentin.
499
Chap. cc. — Comment le roi de France envoya messages pour traiter de la paix entre le comte de Montfort et le pays de Bretagne ; et comment il en demeura duc.
500
Chap. cci. — Comment le roi de France rendit à Clisson sa terre ; et comment le duc de Bretagne fut marié à la fille de la princesse de Galles ; comment le captal de Buch devint homme du roi de France et puis y renonça.
501
Chap. ccii. — Comment les Compagnies gâtoient et exiloient le royaume de France, et comment moult de gens en murmuroient contre le roi d’Angleterre et le prince de Galles son fils.
502
Chap. cciii. — Comment la guerre commença entre le roi Dam Piètre et son frère Henry le Bastard ; et comment le roi de France envoya messire Bertran du Guesclin atout les Compagnies avec le dit Henry contre Dam Piètre.
503
Chap. cciv. — Comment tous les prélats, comtes, barons et chevaliers d’Espaigne arrivèrent au bâtard Henry et le couronnèrent à roi en la cité d’Esturges.
505
Chap. ccv. — Comment le roi Henry eut en propos de faire guerre au roi de Grenade, et comment il fit messire Bertran du Guesclin connétable d’Espagne.
506
Chap. ccvi. — Comment le roi Dam Piètre envoya ses messagers par de vers le prince en lui suppliant qu’il le voulût secourir contre le bâtard Henry ; et comment le dit roi arriva à Bayonne.
507
Chap. ccvii. — Comment le roi Dam Piètre se complaint au prince du Bâtard son frère et de ses hommes ; et comment le prince le réconforta moult doucement et eut sur ce conseil.
509
Chap. ccviii. — Comment le roi d’Angleterre accorda au prince de Galles son fils qu’il mit le roi Dam Piètre arrière en son royaume.
510
Chap. ccix. — Comment le roi de Navarre accorda au prince et au roi Dam Piètre passage par son royaume ; et comment le dit prince envoya querre ses gens qui étoient en Espagne avec le roi Henry.
512
Chap. ccx. — Comment le roi d’Arragon s’allia au roi Henry, et comment le prince de Galles envoya messire Jean Chandos pour traiter au comte de Foix et aux Compagnies.
514
Chap. ccxi. — Comment messire Jean Chandos et messire Thomas de Felleton conseillèrent le prince sur le fait de la guerre d’Espagne.
515
Chap. ccxii. — Comment le sire de Labreth promît au prince mille lances, et comment le sénéchal de Toulouse et le comte de Narbonne s’en allèrent vers Montalban contre les Compagnies.
Ib.
Chap. ccxiii. — Comment le sénéchal de Toulouse et le comte de Narbonne envoyèrent leurs coureurs par devant Montalban et comment le comte de Montalban vint parler aux dits seigneurs.
516
Chap. ccxiv. — Comment messire Perducas de Labreth et les Compagnies déconfirent le sénécbal de Toulouse et le comte de Narbonne et y furent pris plus de cent chevaliers.
517
Chap. ccxv. — Comment les Compagnies envoyèrent les prisonniers sur leurs foyers et comment le pape défendit aux dits prisonniers qu’ils n’en payassent rien.
518
Chap. ccxvi. — Ci dit comment le roi de Majogres vint à Bordeaux devers le prince, et des paroles et mautalens qui furent entre le prince et le sire de Labreth.
519
Chap. ccxvii. — Comment la princesse accoucha de son fils Richard, et comment le prince se partit de Bordeaux pour aller en Espaigne, et comment messire Hue de Cavrelée prit la cité de Mirande et la ville de Pont-la-Roine en Navarre.
521
Chap. ccxviii. — Comment le roi de Navarre envoya au prince de Galles et au roi Dam Piétre passage par son royaume ; et comment messire Bertran se partit de France pour aller en Espaigne.
522
Chap. ccxix. — Comment le duc de Lancastre, qui faisoit l’avant-garde, passa les détroits de Navarre, et quels seigneurs il y avoit avecques lui.
523
Chap. ccxx. — Comment le prince de Galles et le roi Dam Piètre passèrent les détroits, et quels seigneurs il y avoit avec eux.
524
Chap. ccxxi. — Comment le roi de Mayogres, qui faisoit l’arrière-garde, passa les détroits ; et quels seigneurs il y avoit en sa compagnie.
Ib.
Chap. ccxxii. — Comment le roi Henry fit son mandement par tout sbn royaume à toutes manières de gens pour aller contre le prince de Galles.
Ib.
Chap. ccxxiii. — Comment le roi Henry manda par lettres au prince de Galles qu’il lui fît savoir par quel lieu il entreroit en son royaume et que là il lui livreroit bataille.
525
Chap. ccxxiv. — Comment messire Thomas de Felleton s’en vint escarmoucher en l’ost du roi Henry et comment messire Olivier de Mauny prit le roi de Navarre.
Ib.
Chap. ccxxv. — Comment ceux de Sauveterre se rendirent au roi Dam Piètre ; et comment messire Thomas de Felleton prit le chevalier du guet du roi Henry, et manda au prince tout le convine des Espaignois.
526
Chap. ccxxvi. — Comment le prince ordonna ses batailles sur les champs devant Vittore, et y eut ce jour fait bien trois cents chevaliers nouveaux.
527
Chap. ccxxvii. — Comment le comte Dam Tille demanda congé au roi Henry, son frère, d’aller escarmoucher en l’ost du prince ; et comment messire Bertran arriva en l’ost du roi Henry.
528
Chap. ccxxviii. — Comment le comte Dan Tille déconfit les gens messire Hue de Cavrelée et escarmoucha durement l’ost du duc de Lascastre ; et comment il déconfit messire Thomas de Felleton.
529
Chap. ccxxix. — Comment le comte Dan Tille présente au roi Henry ses prisonniers et lui conte ses aventures, dont le roi Henry fut moult joyeux.
530
Chap. ccxxx. — Comment le prince fut moult courroucé de la déconfiture monseigneur Thomas de Felleton, et comment le dit prince avoit grand défaute de vivres.
531
Chap. ccxxxi. — Cy s’ensuit la forme des lettres que le prince de Galles envoya au roi Henry.
Ib.
Chap. ccxxxii. — Comment messire Bertran du Guesclin conseille le roi Henry sur la forme de la dite lettre que le prince lui avoit envoyée.
532
Chap. ccxxxiii. — Comment le prince ordonna que ses gens s’appareillassent et suivissent les bannières des maréchaux et le pennon Saint-George.
Ib.
Chap. ccxxxiv. — Comment le roi Henry ordonna ses batailles bien et failicement, et comment le dit roi réconforte ses gens doucement.
533
Chap. ccxxxv. — Comment le prince et ses gens se logèrent sur une petite montagne ; et comment messire Jean Chandos leva ce jour bannière.
Ib.
Chap. ccxxxvi. — Comment les batailles du roi Henry et du prince de Galles s’assemblèrent ; et comment le comte Dan Tille s’enfuit sans coup férir.
534
Chap. ccxxvii. — Comment la bataille fut dure et forte et comment le roi Henry remit trois fois ses gens ensemble.
535
Chap. ccxxxviii. — Ci dit des vaillans chevaliers qui furent en la bataille du prince, et des paroles que le roi Henry disoit à ses gens.
536
Chap. ccxxxix. — Comment messire Bertran du Guesclin fut déconfit, et lui et plusieurs autres pris.
537
Chap. ccxl. — Comment les Espaignols s’enfuirent, et comment le roi Henry s’enfuit à sauveté ; et comment la cité de Najares fut prise et toute courue et pillée.
537
Chap. ccxli. — Comment le prince envoya quatre chevaliers et quatre hérauts pour savoir le nombre des morts.
538
Chap. ccxlii. — Comment le roi Dam Piètre, à la requête du prince, pardonna à ceux de Castille ses mautalens ; et comment ceux de la cité de Burgues se rendirent au roi Dam Piètre.
539
Chap. ccxliii. — Comment le prince dit au roi Dam Piètre qu’il payât ceux qui remis l’avoient en son royaume ; et quel chose il respondit.
540
Chap. ccxliv. — Comment le prince fut moult honoré par tous pays de la victoire d’Espaigne ; et comment les bourgeois de Londres en firent gran solennité.
541
Chap. ccxlv. — Comment le roi Henry laissa sa femme et ses enfans en la garde du roi d’Arragon, et s’en vint en France guerroyer la terre du prince.
Ib.
Chap. ccxlv. — Comment le prince envoya deux de ses chevaliers par devers le roi Dam Piètre pour savoir pourquoi il ne lui tenoit son convenant, et quelle chose il leur répondit.
542
Chap. ccxlvi. — Comment le prince de Galles se partit d’Espaigne, et comment le roi d’Arragon et le roi de Navarre lui octroyèrent passage par leur pays.
543
Chap. ccxlvii. — Comment messire Bertran du Guesclin fut mis à rançon ; et comment messire Lyon d’Angleterre fut marié à la fille au sire de Milan.
545
Chap. ccxlviii. — Comment les compagnies se partirent de la prinçauté et entrèrent au royaume de France ; et comment le sire de Labreth fut marié à madame Isabelle de Bourbon.
546
Chap. ccxlix. — Comment les seigneurs de Gascogne se vinrent plaindre au roi de France du fouage que le prince vouloit lever en Aquitaine.
547
Chap. ccl. — Comment le roi Henry retourna en Espagne ; et comment la cité de Burgues se rendit à lui, et aussi la cité du Valdolif, où il prit le roi de Mayogres.
548
Chap. ccli. — Comment le roi Dan Piètre s’allia au roi de Grenade, au roi de Bellemarine et au roi de Tramesannes, et comment messire Bertran arriva en l’ost du roi Henry.
549
Chap. cclii. — Comment, par le conseil de messire Bertran, le roi Henry se partit de devant Toulette pour aller à l’encontre du roi Dan Piètre ; et comment ils s’entretrouvèrent.
550
Chap. ccliii. — Comment le roi Dan Piètre et toutes ses gens furent déconfits ; et comment le dit roi s’enfuit au châtel de Montiel.
551
Chap. ccliv. — Comment le roi Dan Piètre fut pris du Bègue de Vilaines ; et comment il fut mis à mort.
552
Chap. cclv. — Comment le roi Henry demeura paisiblement roi de Castille ; et comment messire Lion d’Angleterre mourut en ce temps.
554
Chap. cclvi. — Comment le roi de France fit lire et examiner les chartres des traités faits entre lui et le roi d’Angleterre.
555
Chap. cclvii. — Ci s’ensuit la forme de la lettre sur laquelle le roi de France plus se fonda de faire guerre au roi d’Angleterre et au prince de Galles.
556
Chap. cclviii. — Comment les prélats et les barons de France dirent au roi Charles qu’il avoit juste cause de faire guerre au roi d’Angleterre et au prince son fils.
557
Chap. cclix. — Comment le roi de France envoya ajourner le prince par un appel en la chambre des pairs à Paris contre les barons de Gascogne.
559
Chap. cclx. — Ci s’ensuit la forme de l’appel que les barons de Gascogne firent faire contre le prince de Galles.
560
Chap. cclxi. — Comment le prince de Galles fit mettre en prison ceux qui avoient porté l’appel contre lui.
Ib.
Chap. cclxii. — Comment le duc de Berry et plusieurs seigneurs de France qui étoient en otage en Angleterre s’en retournèrent en France.
562
Chap. cclxiii. — Comment le comte de Pierregord, le vicomte de Carmaing, et autres barons de Gascogne, déconfirent le sénéchal de Rouergue.
563
Chap. cclxiv. — Comment le roi de France retraist devers lui plusieurs capitaines de compagnies ; et comment il envoya défier le roi d’Angleterre.
564
Chap. cclxv. — Comment les défiances furent baillées au roi d’Angleterre ; et comment le comte de Saint-Pol et le sire de Châtillon conquirent la comté de Ponthieu.
565
Chap. cclxvi. — Comment le roi d’Angleterre envoya grands gens d’armes sur les frontières d’Escosse, et comment le duc de Berry et le duc d’Anjou firent leurs mandemens pour aller contre le prince.
567
Chap. cclxvii. — Comment le roi d’Angleterre envoya le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch au prince son fils ; et comment ils passèrent parmi Bretagne.
Ib.
Chap. ccixviii. — Comment le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch arrivèrent en Angoulême ; et comment le prince les envoya à courir la comté de Pierregord.
569
Chap. cclxix. — Comment messire Simon de Burlé et messire d’Angouse furent déconfits des François, dont le roi de France fut grandement joyeux.
Ib.
Chap. cclxx. — Comment messire Jean Chandos prit Terrières ; et comment le comte de Pierregord et plusieurs autres seigneurs assiégèrent Royauville en Quersin.
570
Chap. cclxxi. — Comment l’archevêque de Toulouse convertit à la partie du roi de France la cité de Caours et plusieurs autres cités et villes ; et comment le duc de Guerle et cil de Juliers défièrent le roi de France.
571
Chap. cclxxii. — Comment le duc de Bourgogne fut marié à la fille du comte de Flandre ; et comment le roi de Navarre s’allia au roi d’Angleterre.
573
Chap. cclxxiii. — Comment le connétable de France et le connétable de Hainaut mirent sus une chevauchée de gens d’armes pour assaillir Ardre.
575
Chap. cclxxiv. — Comment la forteresse de Royauville fut prise et conquise par mine, et tous les Anglois qui dedans étoient morts sans nulle mercy.
Ib.
Chap. cclxxv. — Comment le sénéchal de Poitou ardit et exilla la terre du seigneur de Chauvigny, et prit par force d’assaut sa maître ville de Briouse.
576
Chap. cclxxvi. — Comment le prince fit messire Robert Canolle maître et gouverneur de tous les chevaliers et écuyers de son hôtel ; et comment messire Perducas de Lâbreth se retourna Anglois.
577
Chap. cclxxvii. — Comment messire Robert Canolle assiégea les compagnies en la garnison de Burviel ; et comment messire Jean Chandos prit la forteresse de Montsac.
578
Chap. ccvxxviii. — Comment messire Robert Canolle et messire Jean Chandos se partirent de Durviel sans rien faire et vinrent assiéger la garnison de Domme.
579
Chap. ccixxix. — Comment messire Robert Canolle et Chandos se partirent de Domme sans rien faire, et prirent Gramath et Rochemadour et plusieurs autres villes qui étoient tournées Françoises.
580
Chap. cclxxx. — Comment le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch prirent la garnison de Bourdille par grand avis.
581
Chap. cclxxxi. — Comment messire Robert Canolle, messire Jean Chandos, messire Thomas de Felleton et le captal de Buch ordonnèrent de leurs gens et s’en retournèrent devers le prince.
582
Chap. cclxxxii. — Comment les Compagnies anglesches prirent le châtel de Belleperche en Bourbonnois et la mère du duc de Bourbon qui étoit dedans, et aussi le châtel de Saint-Sévère.
583
Chap. cclxxxiii. — Comment le roi de France fit faire grand appareil de nefs pour envoyer en Angleterre ; et comment le duc de Lancastre, à grand’foison de gens d’armes, arriva à Calais.
584
Chap. cclxxxiv. — Comment le châtel de la Roche sur Yon fut rendu aux Anglois, et comment le capitaine du dit lieu fut mis à mort par ordre du duc d’Anjou.
586
Chap. cclxxxv. — Comment messire James d’Audelée, sénéchal de Poitou, trépassa de ce siècle ; et comment messire Jean Chandos en fut fait sénéchal.
586
Chap. cclxxxvi. — Comment le duc de Bourgogne se partit de Rouen pour venir combattre le duc de Lancastre ; et comment les deux ducs se logèrent l’un devant l’autre à Tournehen.
587
Chap. cclxxxvii. — Comment Jean Chandos fit moult de maux au pays d’Anjou ; et comment il gâta et exilla la terre du vicomte de Rochechouart, excepté les forteresses.
588
Chap. cclxxxviii. — Comment messire Louis de Sancerre surprit le comte de Pennebroch et ses gens et en occit grand’quantité ; et comment le dit comte fut assiégé en une forte maison.
589
Chap. cclxxxix. — Comment le comte de Pennebroch envoya un sien écuyer, environ minuit, à Poitiers, pour avoir secours de messire Jean Chandos.
590
Chap. ccxc. — Comment le comte de Pennebroch envoya encore un sien écuyer par devers messire Jean Chandos ; et comment le dit messire Jean Chandos le vint secourir.
591
Chap. ccxci. — Comment messire Louis de Sancerre se partit de Puirenon atout son gain et ses prisonniers, quand il sçut la venue de messire Jean Chandos et se retraist à la Roche de Pousoy.
592
Chap. ccxcii. — Comment la roine Philippe d’Angleterre trépassa de ce siècle, dont le royaume d’Angleterre fut moult adoulé ; et des trois dons qu’elle requit au roi son mari.
593
Chap. ccxciii. — Comment aucuns chevaliers et écuyers de l’ost du duc de Bourgogne vinrent escarmoucher en l’ost du duc de Lancastre ; et comment messire Roger de Coulongne y fut occis.
Ib.
Chap. ccxciv. — Comment le duc de Bourgogne se partit de Tournehen, environ mie-nuit, sans point combattre le duc de Lancastre.
594
Chap. ccxcv. — Comment le duc de Lancastre se partit de Tournehen, et s’en alla à Calais ; et comment le comte de Pennebroch ardit et exilla tout le pays d’Anjou.
595
Chap. ccxcvi.— Comment le duc de Lancastre se partit de Calais et courut et exilla la terre au comte de Saint-Pol, et aussi le pays de Vimeu et de Normandie ; et comment messire Hue de Châtillon fut pris.
596
Chap. ccxcvii. — Comment le duc de Lancastre donna congé à tous les étrangers de sa compagnie et s’en retourna en Angleterre.
598
Chap. ccxcviii. — Comment messire Jean Chandos cuida prendre Saint-Salvin, et comment lui et ceux de Saint-Salvin s’entretrouvèrent, et des paroles que messire Jean Chandos leur dit.
Ib.
Chap. ccxcix. — Comment messire Jean Chandos fut navré à mort, et ses gens déconfits et pris, dont le prince de Galles et tous ceux du côté d’Angleterre furent grandement courroucés.
601
Chap. ccc. — Comment le sire de Coucy et le sire de Pommiers ne vouldrent être ni d’un côté ni d’autre ; et comment le sire de Maleval et le sire de Mareuil se rendirent François.
603
Chap. ccci. — Ci s’ensuit la forme des lettres que le roi d’Angleterre envoya en Aquitaine.
604
Chap. cccii. — Comment messire Louis de Saint-Julien, messire Guillaume des Bordes et Kerlouet prirent la ville et la forteresse de Chasteauleraut.
Ib.
Chap. ccciii. — Comment le duc de Bourbon assiégea Belle-Perche, et comment le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch y vinrent pour secourir ceux de la ville.
605
Chap. ccciv. — Comment le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch mandèrent au duc de Bourbon qu’il leur voulsist livrer bataille, et quelle chose le dit duc répondit.
606
Chap. cccv. — Comment le comte de Cantebruge et le comte de Pennebroch emmenèrent de Belle-Perche madame de Bourbon et les Compagnies qui dedans étoient.
607
Chap. cccvi. — Comment le duc de Bourbon prit Belle-Perche et la répara et fortifia ; et comment messire Robert Canolle s’en alla en Angleterre.
608
Chap. cccvii. — Comment le duc d’Anjou s’en vint de Toulouse à Paris ; et comment le roi Charles envoya le dit duc d’Anjou et le duc de Berry en Aquitaine contre les Anglois.
Ib.
Chap. cccviii. — Comment le roi d’Angleterre envoya le duc de Lancastre en Aquitaine, et messire Robert Canolle en Picardie atout grand’foison de gens d’armes.
609
Chap. cccix. — Comment messire Bertran du Guesclin arriva d’Espaigne à Toulouse où le duc d’Anjou le reçut à grand’joîe.
610
Chap. cccx. — Comment ceux de Moysach, d’Agen, de Montpellier, d’Aiguillon se rendirent au duc d’Anjou, et comment le duc de Berry assiégea la cité de Limoges.
Ib.
Chap. cccxi. — Comment le prince fit un grand mandement à tous ses féaux pour aller contre les François ; et comment le captal de Buch et messire Thomas de Felleton gardèrent la ville de la Linde d’être prise.
611
Chap. cccxii. — Comment trêves furent faites entre les Escots et les Anglois ; et comment messire Robert Canolle ardit, pilla et rançonna le pays de Picardie et de Vermandois.
612
Chap. cccxiii. — Comment messire Robert Canolle vint devant la cité de Noyon, et comment un chevalier Escot y fit une grand’appertise d’armes.
614
Chap. cccxiv. — Comment ceux de Noyon prirent les Anglois qui avoient ars la ville du Pont l’Évéque ; et comment le roi Charles manda à messire Bertran qu’il vint à Paris.
615
Chap. cccxv. — Comment le duc de Lancastre arriva à Bordeaux ; et comment le duc d’Anjou dérompit sa chevauchée.
Ib.
Chap. cccxvi. — Comment ceux de Limoges se rendirent au duc de Berry ; et comment le dit duc dépeça son armée, et s’en alla chacun en son pays.
616
Chap. cccxvii. — Comment le prince se partit de Congnac et alla mettre le siége devant la cité de Limoges et la commanda à miner.
617
Chap. cccxviii. — Comment messire Robert Canolle se logea un jour et deux nuits devant Paris ; et comment un chevalier de sa route, qui hurta aux barrières de Paris, fut occis.
618
Chap. cccxix. — Comment messire Bertran du Guesclin commença à guerroyer en la vicomté de Limoges et y prit le châtel de Saint-Yrier.
619
Chap. cccxx. — Comment le prince de Galles et ses gens prirent la cité de Limoges, et comment les trois capitaines de la dite cité firent grands appertises d’armes.
Ib.
Chap. cccxxi. — Comment la cité de Limoges fut toute arse et détruite, et comment l’évêque du dit lieu fut délivré de mort à la prière du pape.
620
Chap. cccxxii. — Comment messire Bertran du Guesclin, par le conseil et avis de tous ceux du royaume, fut fait connétable de France.
621
Chap. cccxxiii. — Comment messire Bertran du Guesclin et le sire de Cliçon déconfirent à Pont-Volain les gens de monseigneur Robert Canolle.
622
Chap. cccxxiv. — Comment le pape Urbain mourut, et comment Grégoire XI fut élu en pape, dont le roi de France fut moult joyeux.
623
Chap. cccxxv. — Comment messire Raymon de Mareuil fut pris des Anglois, et comment il échappa de prison par grand’aventure.
624
Chap. cccxxvi. — Comment le prince de Galles laissa le duché d’Aquitaine en la garde du duc de Lancastre et s’en retourna en Angleterre, sa femme et ses enfans avec lui.
625
Chap. cccxxvii. — Comment quatre chevaliers bretons et leurs gens prirent le châtel de Montpaon, et comment le duc de Lancastre et les barons de Guyenne les vinrent assiéger.
626
Chap. cccxxviii. — Comment les quatre chevaliers de Montpaon se défendirent vaillamment contre le duc de Lancastre ; et comment Sevestre Budes les vint aider.
Ib.
Chap. cccxxix. — Comment le duc de Lancastre prit les quatre chevaliers de Montpaon et leurs gens à rançon, et prit la saisine de la ville.
627
Chap. cccxxx. — Comment le duc donna congé à toutes ses gens et s’en retourna en la cité de Bordeaux.
628
Chap. cccxxxi. — Comment le sire de Pons se tourna François, et comment le sénéchal de Poitou fit son mandement pour aller assiéger Montcontour.
628
Chap. cccxxxii. — Comment le sénéchal de Poitou prit Montcontour, et le donna à messire Gautier Huet, à Cresuelle, et à David Holegrave.
629
Chap. cccxxxiii. — Comment messire Bertran prit plusieurs villes et châteaux en Rouergue, et comment il assiégea la cité d’Usson.
630
Chap. cccxxxiv. — Comment ceux de la cité d’Usson se rendirent à messire Bertran, et comment messire Robert Canolle fut mal du roi d’Angleterre, et comment sa paix fut faite.
631
Chap. cccxxxv. — Comment le comte de Herefort déconfit en Bretagne sur mer plusieurs Flamands qui envahi l’avoient.
Ib.
Chap. cccxxxvi. — Comment le roi d’Angleterre mit grands gens d’armes sur mer pour aller contre les Flamands, et comment paix fut faite entre eux.
632
Chap. cccxxxvii. — Comment le roi de Mayogres fut rançonné du roi Henry d’Espaigne, et comment il fit guerre au roi d’Arragon, et comment il mourut.
Ib.
Chap. cccxxxviii. — Comment le duc de Lancastre épousa la fille aînée du roi Dan Piètre d’Espaigne ; et comment elle fut reçue à grand honneur en la cité de Bordeaux.
633
Chap. cccxxxix. — Comment grandes alliances et confédérations furent faites et scellées entre le roi de France et le roi Henry d’Espaigne.
634
Chap. cccxl. — Comment le duc de Lancastre ordonna gouverneurs en Guyenne et en Poitou, et en Xaintonge ; et s’en retourna en Angleterre et emmena sa femme avec lui.
Ib.
Chap. cccxli. — Comment le roi d’Angleterre ordonna le comte de Pennebroch, gouverneur et souverain de tout le pays de Poitou.
635
Chap. cccxlii. — Comment le comte de Pennebroch se partit d’Angleterre pour venir en Poitou ; et comment les Espaignols au hâvre de la Rochelle durement le combattirent.
636
Chap. cccxliii. — Comment ceux de la Rochelle ne vouldrent secourir le comte de Pennebroch, et comment le sénéchal de la Rochelle et trois autres chevaliers le vinrent secourir.
637
Chap. cccxliv. — Comment le comte de Pennebroch fut pris des Espaignols et tous ceux qui avec lui étoient, morts ou pris.
638
Chap. cccxlv. — Comment les Espaignols se partirent du hâvre de la Rochelle atout leurs prisonniers ; et comment ce propre jour le captal arriva à la Rochelle.
639
Chap. cccxlvi. — Comment Yvain de Galles déconfit les Anglois de l’île de Grenesie ; et comment le roi de France l’envoya en Espaigne quérir gens d’armes pour assiéger la Rochelle.
640
Chap. cccxlvii. — Ci dit des grosses paroles qui furent en Espaigne entre Yvain de Galles et le comte de Pennebroch.
641
Chap. cccxlviii. — Comment le duc de Berry, le duc de Bourbon, messire Bertran et plusieurs autres grands seigneurs de France prirent le châtel de Montmorillon.
642
Chap. cccxlix. — Comment messire Bertran du Guesclin attaqua Montcontour ; et comment ceux du dit fort se rendirent, sauves leurs vies.
Ib.
Chap. cccl. — Comment messire Bertran se partit de Montcontour, pour venir devers le duc de Berry qui se tenoit en Limousin, et comment ils assiégèrent Sainte-Sévère.
643
Chap. cccli. — Comment ceux de Sainte-Sévère, durant un moult fort assaut, se rendirent à messire Bertran du Guesclin.
645
Chap. ccclii. — Comment ceux de Poitiers se tournèrent François ; et comment les Anglois entrèrent à force en la ville de Niort.
Ib.
Chap. cccliii. — Comment le captal de Buch fut pris devant Soubise.
647
Chap. cccliv. — De plusieurs villes et forteresses qui se tournèrent Françoises.
649
Chap. ccclv. — Comment ceux de la Rochelle se tournèrent François.
651
Chap. ccclvi. — Des forteresses que messire Bertran du Guesclin férit en Rochelois.
655
Chap. ccclvii. — Comment les François mirent le siége devant Thouars ; et comment le roi d’Angleterre se mit en mer, pour venir en Poitou lever leur siége.
656
Chap. ccclviii. — Comment le seigneur de Cliçon mit le siège devant la forteresse de Mortagne.
660
Chap. ccclix. — Comment le duc de Bretagne étoit Anglois et les Bretons étoient François.
661
Chap. ccclx. — Du siége que messire Bertran du Guesclin mit en Poitou devant Chiseck.
662
Chap. ccclxi. — Ci parle de la bataille de Chiseck en Poitou, de messire Bertran du Guesclin, connétable de France, et les François d’une part, et les Anglois de l’autre.
663
Chap. cccixii. — Ci parle de la prise de Niort, Luzignan et Mortemer par messire Bertran du Guesclin, et de la dame du châtel Achard, comment elle obtint respit.
665
Chap. ccclxiii. — Du siége de Becherel, et de la mort du roi David d’Escosse, et de la paix entre les rois de France et de Navarre.
666
Chap. ccclxiv. — Comment le duc de Bretagne n’osa demeurer en son duché, et comment messire Bertran du Guesclin saisit sa terre.
668
Chap. ccclxv. — Comment le châtel de Hainebont fut pris par messire Bertran du Guesclin.
670
Chap. ccclxvi. — Comment le connétable de France prit plusieurs villes et forteresses en Bretagne ; et comment il composa avec ceux de Derval et entra dedans Nantes.
671
Chap. ccclxvii. — De l’appareil du roi d’Angleterre et du duc de Lancastre, et de la reconquêt de la Roche sur Yon.
673
Chap. ccclxviii. — Comment la forteresse de Brest en Bretagne demeura en composition.
674
Chap. ccclxix. — Comment messire Bertran du Guesclin, connétable de France, et le comte de Salebrin furent logés en ost l’un devant l’autre devant Brest.
675
Chap. ccclxx. — Ci commence la chevauchée que le duc de Lancastre et le duc de Bretagne firent au royaume de France.
677
Chap. ccclxxi. — Des Anglois et François qui s’entre-combattirent devant Ribemont.
679
Chap. ccclxxii. — Des François et des Anglois qui s’encontrèrent et qui s’entre-combattirent de-lez Soissons et Ouchy.
680
Chap. ccclxxiii. — Comment les ôtages que ceux de Derval avoient baillés furent décollés ; et comment messire Robert Canolle fit décoller les prisonniers qu’il tenoit.
682
Chap. ccclxxiv. — Des consaulx que le roi de France tint en Paris sur la guerre aux Anglois.
683
Chap. ccclxxv. — Comment le comte Jean de Pennebroch et messire Guichart d’Angle furent délivrés de leur prison du roi d’Espaigne.
684
Chap. ccclxxvi. — Des négociations entre les deux princes françois et anglois, par les légats du pape Grégoire.
685
Chap. ccclxxvii. — Comment finit la grande chevauchée du duc de Lancastre sans profit.
686
Chap. ccclxxviii. — Comment le duc d’Anjou ostoya en la Haute-Garonne.
687
Chap. ccclxxix. — Comment se partit le duc de Lancastre pour Angleterre, et comment il eut le chastel de Becherel en composition aux François.
689
Chap. ccclxxx. — Comment les seigneurs de Haute-Gascogne et le comte de Foix se mirent en l’obéissance du roi de France.
690
Chap. ccclxxxi. — Comment le comte de Saint-Pol fut pris par le seigneur de Gommignies.
691
Chap. ccclxxxii. — Comment le châtel de Becherel se rendit François.
694
Chap. ccclxxxiii. — Comment le duc de Bretagne arrive en Bretagne où il prit plusieurs villes et châteaux par force, et des trêves qui furent données entre les rois de France et d’Angleterre et leurs alliés aussi.
695
Chap. ccclxxxiv. — Comment messire Jean d’Éverues donna soins à un nouvel fort, et comment il fut assiégé par les François, puis rescous par le duc de Bretagne.
698
Chap. ccccxxxv. — Des barons de Bretagne qui furent enclos dans Camperlé, et des trêves qui bien à point leur arrivèrent.
700
Chap. cccxxxxvi. — De la chevauchée que le sire de Coucy mena en Osteriche des Compagnies.
703
Chap. cccixxxiii. — Ci parle des parlemens qui de rechef furent assignés à Bruges, et des fêtes qui furent données à Gand.
704
Chap. ccclxxxviii. — Comment fut mise à fin l’emprise du seigneur de Coucy en Osteriche ; et de la mort du prince de Galles.
705
Chap. ccclxxxix. — Comment on ne put trouver aucun traité de paix entre les deux rois, et aussi de la mort du roi d’Angleterre.
707
Chap. cccxc. — Du couronnement du jeune roi Richard, et comment plusieurs villes furent arses en Angleterre par la grand’navie des François.
710
Chap. cccxci. — De la grosse navie de France qui singla devant Calais et vint se dérompre à Harfleur.
712
Chap. cccxcii. — Comment le captal de Buch mourut prisonnier à Paris en la tour du Temple.
Ib.
Chap. cccxciii. — Comment les François prirent et recouvrèrent le château d’Ardre et plusieurs forteresses et châteaux à l’encontre de Calais.
713
Chap. cccxciv. — Des autres forteresses d’entour Calais qui furent prises par le duc de Bourgogne, et du sire de Gommignies qui alla s’excuser en Angleterre de la prise d’Ardre ; et comment le roi de France fit remparer toutes les forteresses de ce lez.
715
Chap. cccxcv. — Comment la guerre recommença entre le roi de France et le roi de Navarre ; et comment il perdit la comté d’Évreux fors Cherbourg, qui fut assiégé des François ; et de la chevauchée que le duc de Lancastre fit en Bretagne.
717
Chap. cccxcvi. — Comment le château d’Auroy en Bretagne fut rendu François, et de la garnison françoise qui fut mise à Montbourg contre ceux qui étoient de piéça en la garnison du fort château de Cherbourg.
719
Chap. cccxcvii. — Comment la garnison de Cherbourg déconfit la garnison de Montbourg ; et comment messire Guillaume des Bordes fut pris et rançonné ; et de la bonne pourvéance que le roi Charles de France y fit.
720


FIN DE LA TABLE DES CHAPITRES DU PREMIER VOLUME