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TABLE DES CHAPITRES.
deaux quérir secours des Anglois pour lever le siége de Pampelune.
42
Chap. xxxix. — Comment les Anglois prirent plusieurs forts en Gascogne, et comment les Espaignols, sachant la venue des Anglois, levèrent leur siége de Pampelune.
43
Chap. xl. — Comment les Espaignols partirent du siége de Pampelune ; et comment les Anglois arrivèrent en Navarre ; et comment ils s’y maintinrent.
44
Chap. xli. — De plusieurs chevauchées que firent les Anglois et Navarrois sur les Espaignols.
46
Chap. xlii. — De la paix qui fut faite entre le roi d’Espaigne et celui de Navarre, et de la mort du roi Henry d’Espaigne et du couronnement de Jean son fils.
47
Chap. xliii. — Comment le seigneur de Mucident se rendit Anglois, et comment le seigneur de Langurant fut occis par le capitaine de Carvilac, et la prise de Bouteville par les François.
49
Chap. xliv. — Du retour de messire Thomas Trivet en Angleterre.
51
Chap. xlv. — Comment le seigneur de Bournesel fui ordonné de par le roi de France pour aller en Escosse, et comment, lui étant à l’Escluse, le comte de Flandre le manda, et des paroles que lui et le duc de Bretagne lui dirent.
52
Chap. xlvi. — Comment le roi de France escripvit au comte de Flandre qu’il éloignât de lui le duc de Bretagne, dont le comte ne voult rien faire, et comment le dit duc passa en Angleterre, et du mariage du comte de Saint-Pol à la sœur du roi Richard.
54
Chap. xlvii. — Comment ceux de la garnison de Chierbourch déconfirent les François. Comment le fort château de Mont-Ventadour fut par trahison livré à Geffroy Tête-Noire, et comment Aymerigot Marcel prit plusieurs forts au pays d’Auvergne.
56
Chap. xlviii. — Comment Clément fut tenu à pape par le roi de France, et comment il envoya en France le cardinal de Poitiers.
58
Chap. xlix. — Comment messire Sevestre Bude et aucuns Bretons entrèrent en Rome et tuèrent plusieurs Romains.
60
Chap. l. — Comment la roine de Naples donna et résigna au pape Clément toutes ses seigneuries, et comment depuis ledit Clément les redonna au duc d’Anjou.
61
Chap. li. — Comment messire Jean Haccoude fut fait chef de la guerre d’entre le pape Urbain et le pape Clément, et comment le dit Clément fit décoller messire Sevestre Bude, Breton.
64
Chap. lii. — Comment le comte Louis de Flandre fit occire un bourgeois en Gand par Jean Lyon ; comment Gisebrest Mahieu machina contre Jean Lyon, et émut les Gantois à porter les blancs chaperons, dont la guerre commença en Flandre.
65
Chap. liii. — Comment les Gantois conclurent d’envoyer devers le comte remontrer leurs affaires. Comment le comte leur accorda ce qu’ils demandoient, et comment les blancs chaperons ne furent point mis jus.
70
Chap. liv. — Comment Roger d’Auterme, baillif de Gand, fut occis en Gand par Jean Lyon et ses compagnons, la bannière du comte en sa main.
72
Chap. lv. — Comment douze hommes de Gand furent envoyés devers le comte pour l’apaiser et pour mettre la ville en son amour, et comment Jean Lyon, pour toujours empirer la besogne, fut cause de rober et bouter le feu en la maison du comte, nommée Andrehen.
73
Chap. lvi. — Comment les messagers gantois retournèrent à Gand, comment ceux de Gand et ceux de Bruges promirent ensemble, et la mort de Jean Lyon.
75
Chap. lvii. — Comment ceux de Gand, après la mort de Jean Lyon, firent entre eux quatre capitaines, et comment, eux venus moult forts devant Courtray et Ypre, ouverture et recueil leur fut partout fait.
77
Chap. lviii. — Comment les Gantois et les Flamands assiégèrent Audenarde, et comment ils allèrent réveiller le comte à Tenremonde ; et comment le duc de Bourgogne traita et pacifia les Flamands au comte leur seigneur.
79
Chap. lix. — Comment le duc de Bretagne retourna en son pays. De la mort de l’empereur de Rome. Comment on envoya en Allemagne pour mariage au roi d’Angleterre, et comment le duc de Bretagne faillit au secours d’Angleterre.
83
Chap. lx. — Comment le comte Louis de Flandre alla à Gand. Comment il s’y conduisit. Des termes que on lui tint. Comment il s’en partit et comment les Gantois pensèrent à leur affaire.
85
Chap. lxi. — Comment messire Olivier d’Auterme et autres découpèrent aucuns bourgeois de Gand, et comment Jean Pruniaux et les blancs chaperons prirent Audenarde et y abattirent deux portes.
88
Chap. lvii. — Comment il appert que les Gantois étoient cause d’icelle guerre. Comment Audenarde fut rendue au comte, et comment messire Olivier d’Auterme et autres furent bannis de Flandre, et Jean Pruniaux aussi.
90
Chap. lxiii. — Comment Jean Pruniaux fut décollé à Lille. Comment les Gantois ardirent autour de Gand : comment ils sommèrent aucuns chevaliers de service, et comment ils cuidèrent assiéger Lille.
Ib.
Chap. lxiv. — De la mort messire Bertrand de Claiquin, connétable de France, et de l’honneur que le roi lui fit ; et comment le Chastel-Neuf de Randon se rendit.
93
Chap. lxv. — Comment messire Thomas, comte de Bouquenghen, mains-né fils du roi Édouard d’Angleterre, à grosse armée passa la mer et entra en Artois pour aller par terre en l’aide du duc de Bretagne.
94
Chap. lxvi. — Comment le comte de Bouquinghen et son arroi traversèrent Artois, Vermandois et Champagne, et passèrent la rivière de Saine en allant emprès Troyes ; et de leurs aventures en celui voyage.
97
Chap. lxvii. — Comment le comte de Bouquenghen fit requerre au duc de Bourgogne étant en Troyes d’avoir bataille, et de la conduite qui y fut.
103
Chap. lxviii. — Comment le roi de France, averti du fait des Anglois, rescripsit à la cité de Nantes, et comment il en fut content.
106
Chap. lxix. — Comment le comte de Bouquinghen et sa route passèrent le Gâtinois et vinrent jusques auprès de Vendôme.
Ib.
Chap. lxx. — Comment le roi Charles de France aperçut sa fin à prochain terme, et comment il ordonna du royaume avant sa mort.
109
Chap. lxxi. — Comment le comte de Bouquinghen et sa route tirèrent pays pour venir en Bretagne ; et d’aucunes choses sur La mort du roi Charles de France.
112
Chap. lxxii. — Comment le comte de Bouquinghen et son armée exploitèrent tant qu’ils vinrent à Chastelbourg en Bretagne, et là s’arrêtèrent.
114
Chap. lxxiii. — Comment le comte de Bouquinghen et le duc de Bretagne conclurent de mettre le siége devant Nantes, qui leur étoit contraire.
115
Chap. lxxiv. — Comment le jeune roi Charles fut couronné roi de France,