Fichier:Ronsard - Œuvres complètes, Garnier, 1923, tome 2.djvu
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- Ah longues nuicts d’hyver de ma vie bourrelles
- Aller en marchandises aux Indes precieuses
- Amour, je ne me plains de l’orgueil endurcy
- Amour, je pren congé de ta menteuse escole
- Amour, seul artisan de mes propres malheurs
- Amour, tu es trop fort, trop foible est ma Raison
- Amour tu semble au phalange qui point
- Amourette
- Au milieu de la guerre, en un siecle sans foy
- Bon jour mon cœur, bon jour ma douce vie
- Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifice
- Celuy qui boit, comme a chanté Nicandre
- Chacun me dit, Ronsard, ta Maistresse n’est telle
- Comme je regardois ces yeux (mais ceste fouldre)
- Comme on voit sur la branche au mois de May la rose
- Cruelle, il suffisoit de m’avoir pouldroyé
- Cusin, monstre à double aile, au mufle Elephantin
- Cythere entroit au bain, et te voyant pres d’elle
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Douce Maistresse, touche
- Doux cheveux, doux present de ma douce Maistresse
- D’autant que l’arrogance est pire que l’humblesse
- D’un profond pensement j’avois si fort troublée
- Est-ce le bien que tu me rends, d’avoir
- Foudroye moy le corps, ainsi que Capanée
- Genévres herissez, et vous Houx espineu
- Ha ! que je porte et de haine et d’envie
- Il ne falloit, Maistresse, autres tablettes
- Jamais Hector aux guerres n’estoit lâche
- Je faisois ces Sonets en l’antre Pieride
- Je liay d’un filet de soye cramoisie
- Je ne suis seulement amoureux de Marie
- Je suis pour vostre amour diversement malade
- Je t’avois despitée, et ja trois mois passez
- Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
- Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde
- Je vous envoye un bouquet que ma main
- J’avois esté saigné : ma Dame me vint voir
- J’ay honte de ma honte, il est temps de me taire
- J’ay pour maistresse une estrange Gorgonne
- Le Juge m’a trompé : ma Maistresse m’enserre
- Le mois d’Augst bouillonnoit d’une chaleur esprise
- Le printemps n’a point tant de fleurs
- Le vingtiesme d’Avril couché sur l’herbelette
- L’an se rajeunissoit en sa verde jouvence
- Ma Dame, je me meurs abandonné d’espoir
- Ma Dame beut à moy : puis me baillant sa tasse
- Ma maistresse est toute angelette
- Ma peine me contente, et prens en patiance
- Maintenant que l’Hyver de vagues empoullées
- Marie, baisez moy : non : ne me baisez pas
- Marie, en me tanceant vous me venez reprendre
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Marie, que je sers en trop cruel destin
- Marie, qui voudroit vostre nom retourner
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille
- Marie, vous passez en taille, et en visage
- Meschantes nuicts d'hyver
- Nouvelle Continuation des Amours (1556)
- Petit nombril, que mon penser adore
- Pièces ajoutées au Second Livre des Sonnets pour Hélène (1587)
- Pièces ajoutées aux Amours Livre II (1560)
- Pourtant si ta maistresse est un petit putain
- Prenant congé de vous, dont les yeux m’ont donté
- Puis qu’elle est tout hyver, toute la mesme glace
- Quand en songeant ma follastre j’accole
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
- Quand je pense à ce jour, où pres d’une fonteine
- Quand l’Esté dans ton lict tu te couches malade
- Quand ravy je me pais de vostre belle face
- Que tu es, Ciceron, un affetté menteur
- Quiconque a peint Amour, il fut ingenieux
- Quoy? me donner congé d’embrasser chaque femme
- Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
- Si la beauté se perd, fais-en part de bonne heure
- Si mon grand Roy n’eust veincu meinte armée
- Sommeillant sur ta face, où l’honneur se repose
- Stances (Ronsard)
- Tant de fois s’appointer, tant de fois se fascher
- Trois jours sont ja passez, que je suis affamé
- Un long voyage ou un courroux, ma Dame
- Veu que tu es plus blanche que le liz
- Vous estes le bouquet de vostre bouquet mesme
- Vous triomphez de moy, et pource je vous donne
- Voyant par les soudars ma maison saccagée
- Voyez comme tout change (hé, qui l’eust esperé!)
- Vœu à Venus, pour garder Cypre de l’armée du Turc
- « Il faut laisser maisons et vergers et jardins »
- « Je n’ai plus que les os, un Squelette je semble »
- À Phoebus
- À mon retour (hé, je m’en desespere !)
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