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TABLE DES CHAPITRES.
et des ordonnances qui se firent tantôt après son couronnement.
117
Chap. lxxv. — Comment le comte de Bouquinghen mit le siége devant Nantes en Bretagne, et de plusieurs saillies et escarmouches durant le siége, et comment le dit comte s’en alla sans rien faire.
118
Chap. lxxvi. — Des empéchemens que le duc de Bretagne avoit lors, pourquoi il ne pouvoit venir au siége de Nantes ; et des escarmouches qui là se faisoient.
119
Chap. lxxvii. — Comment quatre barons de Bretagne remontrèrent au duc leur seigneur que il se déportât de l’accointance des Anglois et la cause pourquoi ; et d’aucuns faits d’armes qui furent accordés à faire.
124
Chap. lxxviii. — Comment aucuns François et Anglois prirent armes en Bretagne, et comment aucuns Hainuiers et autres eurent volonté d’en faire.
125
Chap. lxxix. — Comment les trois chevaliers du Hainaut allèrent à Vennes en Bretagne pour faire armes contre trois chevaliers anglois.
128
Chap. lxxx. — Comment à Vennes en Bretagne furent faites armes par Haynuyers, Anglois et François devant le comte de Bouquinghen.
Ib.
Chap. lxxxi. — Comment Guillaume de Fermiton, chevalier anglois, navra Jean de Chastel-Morand, François, par coup de meschief.
127
Chap. lxxxii. — Comment un traité de paix et accord fut trouvé entre le roi de France et le duc de Bretagne.
128
Chap. lxxxiii. — Comment après le traité fait du roi de France et du duc de Bretagne, les Anglois partirent de Bretagne pour retourner en Angleterre.
129
Chap. lxxxiv. — Comment un écuyer françois, nommé Jean Bourcinel, oppressa de faire armes un écuyer anglois qui fort y obvia.
130
Chap. lxxxv. — Comment un écuyer anglois, nommé Nicolas Cliffort, occit un écuyer françois, nommé Jean Bourcinel, en fait d’armes, dont Nicolas ne se sçut excuser.
131
Chap. lxxxvi. — Comment ceux de la ville de Bruges et du Franc mandèrent le comte Louis ; et de l’entreprise qu’il fit sur ceux de la ville d’Ypres.
132
Chap. lxxxvii. — Comment ceux d’Yppre se mirent sur les champs en armes pour aller avec les Gantois combattre le comte Louis leur seigneur, et comment ils furent rués jus par le bâtard de Flandre, par le seigneur d’Enghien et autres.
133
Chap. lxxxviii. — Comment Jean Boulle fut par les Gantois occis à Courtray, et comment Jean de l’Aunoy eut la garde du château de Gaures.
134
Chap. lxxxix. — Comment ceux de la ville d’Yppre se rendirent au comte Louis leur seigneur, et comment plenté de peuple fut décolé à Yppre.
135
Chap. xc. — Comment ceux de Courtray furent reçus à merci du comte leur seigneur, et comment le comte alla mettre le siége à grand effort devant Gand ; et du confort que les Gantois avoient des Brabançons et Liégeois.
Ib.
Chap. xci. — Comment messire Josse de Hallewin, chevalier, fut occis devant Gand à un passage nommé le Long-Pont.
136
Chap. xcii. — Comment six mille compagnons partirent de Gand durant le siége et allèrent par assaut gagner et piller et ardoir les villes de Alost, Tenremonde et Grantmont, puis retournèrent à Gand.
137
Chap. xciii. — Comment le comte Louis de Flandre voyant l’hiver approcher et la ruine de Alost, de Tenremonde, de Grantmont et du plat pays, leva le siége de devant Gand, et comment au printemps il se remit aux champs et les Gantois aussi.
Ib.
Chap. xciv. — Comment le comte de Flandre assembla en bataille contre les Gantois, dont étoient capitaines Rasse de Harselles et Jean de Lannoy, et comment les Gantois furent reculés.
138
Chap. xcv. — Comment Rasse de Harselles et Jean de Lannoy furent occis, et bien six mille Gantois, à un village, en Flandre, appellé Nieule.
139
Chap. xcvi. — Comment les Gantois furent avertis de la mort de Rasse de Harselles et de Jean de Lannoy, et comment ils conclurent d’occire Piètre du Bois et puis de traiter au comte de Flandre leur seigneur.
140
Chap. xcvii. — Comment Piètre du Bois fut par le seigneur d’Enghien et autres chevauché et poursuivi jusques auprès de Gand.
141
Chap. xcviii. — Comment les Gantois mirent le siége devant Courtray, comment ils s’en partirent, et comment ils endommagèrent les gens du comte par deux fois.
Ib.
Chap. xcix. — Comment le seigneur d’Enghien, le bâtard de Flandre, messire Daniel de Hallevin et leur routes déconfirent Arnoux Clerc et sa sieute en l’abbaye de Exain.
142
Chap. c. — Comment les Gantois se prirent à ébahir de leur conduite et devises en requoi.
143
Chap. ci. — Comment Piètre du Bois doutant la fin de sa condition enorta Philippe d’Artevelle de prendre le gouvernement des Gantois, et comment il enorta et avertit le peuple de Gand.
144
Chap. cii. — Comment Philippe d’Artevelle fut, par le pourchas de Piètre du Bois, allé querre en son hôtel à Gand et amené sur le grand marché, et illec fait par toute la ville capitaine et chef des Gantois.
146
Chap. ciii. — Comment le roi Jean de Castille émut guerre au roi Ferrant de Portingal, et comment le roi de France et le roi d’Angleterre y tinrent la main.
Ib.
Chap. civ. — Comment, par le conseil des princes d’Angleterre, le comte de Cantebruge fut élu pour envoyer en Portingal, avec grand’puissance de gens, en l’aide du roi.
147
Chap. cv. — Comment le duc de Lancastre et le comte de Cantebruge, frères, se séparèrent pour aller en Escosse et en Portingal, et d’autres faits avenus.
149
Chap. cvi. — Comment, un prêtre nommé Jean Balle, mit en grand’commotion le menu peuple d’Angleterre.
150
Chap. cvii. — Comment ce menu peuple d’Angleterre s’émurent, bien environ soixante mille, et comment à la mère du roi et à la princesse de Galles ils firent grand’rudesse.
151
Chap. cviii. — Comment ce peuple d’Angleterre dévoyé et forcenné pilloient les pays et les bonnes maisons, et par espécial des gens de pratique, et contraindoient les nobles à les conduire dans leurs folies.
152
Chap. cix. — Comment messire Jean Mouton, chevalier, fut par ce peuple d’Angleterre envoyé à Londres ; et comment le roi promit de parler à celui peuple.
153
Chap. cx. — Comment le roi et son conseil vinrent sur la Tamise, puis retourna ; et comment le peuple paysan vint devant Londres et entrèrent dedans, et des outrages qu’ils y firent.
155
Chap. cxi. — Comment ce désolé peuple anglois s’en vint loger devant la tour de Londres, et de ce qu’il fut conseillé et avisé pour lors.
156
Chap. cxii. — Comment ces paysans anglois occirent au château de Lon-