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TABLE DES CHAPITRES.
du voyage que le roi de France voulait faire en Bretagne sur le duc de Bretagne, pour la cause que on disoit qu’il soutenoit messire Pierre de Craon ; et comment au dit voyage le roi devint malade, pourquoi le voyage fut rompu.
153
Chap. xxx. — Comment le duc de Berry et le duc de Bourgogne, oncles du roi, eurent le gouvernement du royaume ; et comment ils firent chasser et prendre ceux qui avoient eu le gouvernement du roi.
163
Chap. xxxi. — Comment les trèves furent rallongées entre France et Angleterre, et comment le roi étoit revenu en son bon sens.
174
Chap. xxxii. — L’aventure d’une danse faite en semblance de hommes sauvages, là où le roi fut en péril.
176
Chap. xxxiii. — Comment le pape Boniface et les cardinaux de Rome envoyèrent un frère, sage clerc, devers le roi de France et son conseil.
179
Chap. xxxiv. — Comment le mariage fut traité de messire Philippe d’Artois, comte d’Eu et madame Marie de Berry, veuve, fille au duc de Berry, et comment lui fut baillée la charge de la connétablie de France et ôtée à messire Olivier de Cliçon.
181
Chap. xxxv. — De la forme de la paix qui fut faite et octroyée entre les deux rois de France et d’Angleterre, et par le moyen des quatre ducs, oncles des deux rois.
185
Chap. xxxvi. — De la mort du pape Clément d’Avignon et de l’élection du pape Bénédict.
192
Chap. xxxvii. — De un clerc nommé maître Jean de Varennes.
194
Chap. xxxviii. — Comment le roi d’Angleterre et son conseil donnèrent au duc de Lancastre, pour lui et ses hoirs perpétuellement, la duché d’Aquitaine et toutes les terres et sénéchaussées appendantes à icelle ; et comment le roi s’ordonnoit et faisoit faire ses pourvéances pour aller en Irlande et le duc pour aller en Aquitaine.
195
Chap. xxxix. — Du trépas de la roine Anne d’Angleterre, fille au roi de Bohême et empereur d’Allemagne.
196
Chap. xl. — Comment sire Jean Froissart arriva en Angleterre et du don du livre qu’il fit au roi.
197
Chap. xli. — Du refus que ceux d’Aquitaine firent au duc de Lancastre, et comment ils envoyèrent en Angleterre pour remontrer au roi et à son conseil la volonté de tout le pays.
200
Chap. xlii. — La devise du voyage et de la conquête que le roi Richard fit en Irlande, et comment il mit en son obéissance quatre rois d’icelui pays.
207
Chap. xliii. — De l’ambassade que le roi d’Angleterre envoya en France devers le roi de France, pour traiter du mariage de dame Isabel, ains-née fille de France, et de l’amiable réponse qui leur fut faite.
213
Chap. xliv. — De un écuyer nommé Robert l’Ermite ; comment il fut mis ès traités de la paix et comment il s’en alla en Angleterre devers le roi et ses oncles.
216
Chap. xlv. — De la délivrance du seigneur de la Rivière et messire Jean le Mercier, comment ils furent mis hors de prison.
221
Chap. xlvi. — De la paix et accord entre le duc de Bretagne et messire Olivier de Cliçon.
222
Chap. xlvii. — Comment le roi de Honguerie escripsit au roi de France l’état de l’Amorath-Baquin, et comment Jean de Bourgogne, fils ains-né au duc de Bourgogne, fut chef de toute l’armée qui y alla.
226
Chap. xlviii. — Comment Guillaume de Hainaut, comte d’Ostrevant et fils au duc Aubert de Hollande, entreprit le voyage pour aller en Frise.
231
Chap. xlix. — De la sentence et arrêt de parlement qui fut prononcée pour la roine de Naples et de Jérusalem, duchesse d’Anjou, contre messire Pierre de Craon.
233
Chap. l. — Comment la conclusion du mariage fut prise à Paris du roi d’Angleterre et d’Isabelle de France, ains-née fille au roi de France, et comment le duc de Lancastre se remaria.
235
Chap. li. — Comment l’ordonnance des noces du roi d’Angleterre et de la fille de France se fit, et comment le roi de France lui livra en sa tente entre Ardre et Calais.
256
Chap. lii. — Comment le siége que les François avoient mis devant la forte ville de Nicopoli en Turquie fut levé par l’Amorath-Baquin, et comment ils y furent déconfits et tués, et comment les Hongrès s’enfuirent.
260
Chap. liii. — Comment les nouvelles de la bataille de Honguerie furent sçues en l’hôtel du roi de France.
272
Chap. liv. — Comment la duchesse d’Orléans, fille au duc de Milan, fut soupçonnée de la maladie du roi.
278
Chap. lv. — Comment le duc de Bourgogne et madame sa femme prenoient grand’diligence pour trouver manière pour la rédemption du comte de Nevers, leurs fils, et des autres prisonniers étants en Turquie.
279
Chap. lvi. — Comment le duc de Glocestre subtilloit et quéroit les manières pour détruire le roi d’Angleterre, son nepveu.
283
Chap. lvii. — Comment le duc de Glocestre fut pris par le comte Maréchal au commandement du roi.
292
Chap. lviii. — De la manière de la rédemption du comte de Nevers et ses complices et comment elle fut trouvée.
293
Chap. lix. — Comment le seigneurs prisonniers en Turquie retournèrent par mer jusques à Venise, et des îles qu’ils y trouvèrent.
299
Chap. lx. — Comment les dessus dits seigneurs prisonniers retournèrent en France, et comment, depuis leur venue, le roi entendit à la union de sainte Église.
306
Chap. lxi. — De la mort du duc de Glocestre et du comte Arondel, et comment les oncles du roi d’Angleterre, c’est à savoir le duc de Lancastre et le duc d’Yorch et les Londriens s’en contentèrent.
308
Chap. lxii. — De la grand’assemblée qui fut faite en la ville de Rheims, tant de l’empire d’Allemagne comme du royaume de France sur l’état et union de sainte Église.
312
Chap. lxiii. — Comment le comte Maréchal appela de gage à outrance le comte Derby, fils au duc de Lancastre, en la présence du roi et de tout son conseil, dont depuis plusieurs maux vinrent en Angleterre.
315
Chap. lxiv. — Comment le roi Richard d’Angleterre rendit sa sentence par laquelle il bannit du pays dessus dit le comte Derby dix ans et le comte Maréchal à toujours.
320
Chap. lxv. — Comment Derby se partit d’Angleterre et de la ville de Londres pour venir en France.
321
Chap. lxvi. — Comment messire Guillaume, comte d’Ostrevant, envoyé devers le comte Derby ses messages, et comment il y fut reçu.
323
Chap. lxvii. — Comment grand’assemblée se fit en la ville de Reims de l’empereur d’Allemagne et du roi de France pour mettre union en sainte Église.
324
Chap. lxviii. — De la réponse que le duc de Lancastre fit au chevalier envoyé de par son fils le comte Derby, et comment le duc de Lancastre mourut.
331
Chap. lxix. — Du traité du mariage entre le comte Derby et la fille au duc de Berry, et comment le roi Ri-