Livre:Ovide - Les Amours, traduction Séguier, 1879.djvu

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TitreLes Amours Voir l'entité sur Wikidata
AuteurOvide Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurUlysse de Séguier Voir l'entité sur Wikidata
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1879
BibliothèqueInternet Archive Harvard University
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TABLE


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Élégie-Préface (10e Élégie du 4e livre des Tristes)
Ovide à la postérité 
 1
LIVRE PREMIER
Élégie I. — 
Ovide renonce à l’Épopée, pour écrire ses amours 
 9
Description du triomphe de l’Amour 
 11
Déclaration 
 14
Il enseigne à sa maîtresse par quel art ils peuvent s’entretenir à table, en présence de son mari 
 16
Élégie V. — 
Jouissance 
 20
Au portier de Corinne 
 22
Il se maudit d’avoir battu sa maîtresse 
 26
Contre une vieille entremetteuse qui cherchait à enseigner à Corinne l’art de se prostituer 
 30
Ingénieux parallèle de la guerre et de l’amour 
 35
Élégie X. — 
À Corinne, pour qu’elle ne mette point un prix à ses faveurs 
 38
Ovide prie Napé de porter un billet doux à Corinne 
 42
Il maudit les tablettes qui lui rapportaient la réponse négative de sa maîtresse 
 44
À l’Aurore, pour qu’elle tarde à paraître 
 46
À Corinne, sur la perte de ses cheveux 
 49
Contre les adversaires de la poésie 
 52
LIVRE SECOND
Élégie I. — 
Pourquoi il chante ses amours, au lieu de continuer son poème de la Gigantomachie 
 55
À l’eunuque Bagoas 
 58
Au même 
 62
Toutes les femmes lui plaisent 
 64
Élégie V. — 
Reproches à Corinne, qui, lui présent et feignant de dormir, avait donné à un convive des signes non douteux de son amour 
 67
Sur la mort du perroquet qu’il avait donné à sa maîtresse 
 72
À Corinne : il nie avoir jamais eu aucun commerce avec sa suivante Cypassis 
 73
À Cypassis : il lui demande comment sa maîtresse a pu pénétrer le secret de leur liaison 
 75
Il exhorte Cupidon à ne pas décocher tous ses traits contre lui seul 
 77
Élégie X. — 
À Grécinus : on peut fort bien aimer deux belles à la fois 
 80
Ovide cherche à détourner Corinne d’un voyage par mer à Baïa 
 83
Sa joie d’avoir enfin possédé Corinne. 
 86
Prière à Isis, pour Corinne enceinte 
 88
La convalescence 
 90
À l’anneau qu’il envoyait à sa maîtresse 
 93
Il invite Corinne à venir le voir à sa campagne de Sulmone 
 95
À Corinne, qui se prévalait trop de ses attraits 
 98
À Macer : il se justifie de se livrer tout entier à des chants érotiques 
 100
À un quidam dont il aimait la femme. 
 103
LIVRE TROISIÈME
Élégie I. — 
La Tragédie et l’Élégie se disputent la possession d’Ovide 
 107
Les jeux du Cirque 
 111
Sur son amie devenue parjure 
 115
Contre un jaloux qui enfermait sa femme 
 118
Élégie V. — 
Le songe 
 121
À un fleuve qui, grossi tout à coup, l’empêchait de se rendre auprès de sa belle 
 124
Impuissance 
 129
À sa maîtresse qui lui avait préféré un amant plus riche qu’il n’était 
 133
Sur la mort de Tibulle 
 137
Élégie X. — 
Les fêtes de Cérès. 
 141
Le poète fait le serment de ne plus aimer 
 144
Il se repent d’avoir trop célébré Corinne 
 147
Fête de Junon 
 150
À sa maîtresse 
 152
À Vénus : Il renonce au genre élégiaque 
 155