Fichier:Seconde partie des Muses françoises, 1600.djvu
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actuel | 4 octobre 2022 à 09:04 | 878 × 1 634, 418 pages (5,88 Mio) | Cunegonde1 | {{Book |author ={{Creator|wikidata=Q4233718}} (anonyme) |Translator = |Editor =Despinelle |Illustrator = |title =Seconde partie des Muses françoises |Subtitle =r’alliees de diverses parts à Mademoiselle de Guise |Series title = |Volume = |Edition = |Publisher = chez Matthieu Guillemot |Printer = |Date = 1600 |City = Paris |Language =FR |Description = {{fr|1=Seconde partie des Muse... |
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- Avant que ce Muguet vous eust entretenue
- Beau nez, la colline d’Amour
- Belle, depuis deux ans je vais cherchant mon cœur
- Belle main plus blanche qu’albastre
- Bons dieux, qui la voyez pensivement blesmie
- Cabalistes menteurs, vos sciences sont vaines
- Ce n’est pas le trépas, c’est un très doux sommeil
- Comme un Musicien qui estale mignard
- Enseveli tout vif dans ma peine cruelle
- Esprits ardants coureurs qui animez le foudre
- Garrotté à l’envers aux jantes d’une roue
- Grand Homère, l’ardant Soleil
- Grand Tasse, l’honneur d’Italie
- Heureux celui qui d’un brave courage
- Je chante et pleure, et veux faire et défaire
- Je couve dans mon sein un Océan de pleurs
- Je dis en moi, que ne suis-je une mouche
- Je m’embarque joyeux, et ma voile pompeuse
- J’admiroi quelques fois vostre cœur endurci
- La vertu seule est le bien souverain
- Le baiser en l’Amour est l’octave en Musique
- Le désespoir est un Roi furieux
- Les dédains, les rigueurs, les morts
- Mars, l’Amour, et la Mort, trois superbes gensd’armes
- Mon cœur hautain médisoit de l'Amour
- Mon espoir prompt monté sur mes services
- Mustellæ vermilliacae umbra
- Mustellæ vermilliace epitaphium
- Nuit piteuse aux amants, empierre, je te prie
- O Petrarque divin
- Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
- Oses-tu bien darder tes flammes criminelles
- Peintre qui veux avoir une œuvre façonnée
- Peux-tu bien estre si cruelle
- Pour avoir adoré voz beautez inhumaines
- Poèmes d’Abraham de Vermeil
- Puisque tes subtiles merveilles
- Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants
- Puisse advenir que ma fiere Maistresse
- Quand je ravis de votre bouche
- Quand je vais contemplant la divine beauté
- Qu’inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments
- Si jadis Jupiter eust delugé les flammes
- Si mon âme est de feu, pourquoi n’est elle esteincte
- Si ton chien sort hors de ta porte
- Transporté je voyais l’astre de la grande voute
- Tu avais beau gémir, grand vieillard de Phrygie
- Tu es le rien, fortune : et si es toute chose
- Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde
- Un principe certain, plusieurs, ou infinis
- Vous estes un fleuron qui ne fait que s’espandre
- Vous ne sçauriez aymer, permettez qu'on vous aime
- Voz yeux plus prompts qu’esclairs, plus subtils que la foudre
- À Monsieur Richelet, sur l’ombre de sa Belette.
- Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable
- Ô Grand Pindare qui t’envoles
- Ô toi qui me dépars avec ta départie
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