Livre:Premier recueil de diverses poésies tant du feu sieur de Sponde que des sieurs Du Perron, de Bertaud, de Porchères et autres, non encor imprimées, recueillies par Raphaël Du Petit Val, 1604.djvu

Titre	Premier recueil de diverses poésies
Sous-titre	tant du feu sieur de Sponde que des sieurs Du Perron, de Bertaud, de Porchères et autres, non encor imprimées, recueillies par Raphaël Du Petit Val
Auteur	Jean Bertaut , Jacques Davy du Perron , Jean de Sponde , François d'Arbaud de Porchères
Maison d’édition	Imprimerie Du Petit Val
Lieu d’édition	Rouen
Année d’édition	1604
Bibliothèque	Bibliothèque nationale de France
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Avancement	À corriger

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TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)

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AU LECTEUR 

 4

Extraict du Privilege 

 5

POESIES DU SIEUR DE SPONDE 

 5

[LES AMOURS] 

 5

[SONNETS.]

I. Si c'est dessus les eaux que la terre est pressee 

 5

II. Quand je voy les efforts de ce Grand Alexandre 

 6

III. Qui seroit dans les Cieux, et baisseroit la veuë 

 6

IV. En vain mille beautez à mes yeux se presentent 

 7

V. Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre 

 7

VI. Mon Dieu, que je voudrois que ma main fust oisive 

 8

VII. Si j’avois comme vous mignardes colombelles 

 8

VIII. Ce tresor que j’ay pris avecques tant de peine 

 9

IX. Si tant de maux passez ne m’ont acquis ce Bien 

 9

X. Je ne bouge non plus qu’un escueil dedans l’onde 

 10

XI. Tous mes propos jadis ne vous faisoyent instance 

 10

XII. Mon cœur ne te rends point à ces ennuis d’absence 

 11

XIII. Tu disois, Archimede, ainsi qu’on nous fait croire 

 11

XIV. Quand le vaillant Hector, le grand rampart de Troye 

 12

XV. Ceste brave Carthage, un des honneurs du monde 

 12

XVI. Je prens exemple en toy, courageuse Numance 

 13

XVII. Je sens dedans mon ame une guerre civile 

 13

XVIII. Ne vous estonnez point si mon esprit qui passe 

 14

XIX. Je contemplois un jour le dormant de ce fleuve 

 14

XX. Les Toscans batailloyent donnant droit dedans Rome 

 15

XXI. Non, je ne cache point une flamme si belle 

 15

XXII. On dit que dans le ciel, les diverses images 

 16

XXIII. Il est vray, mon amour estoit sujet au change 

 16

XXIV. Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux 

 17

XXV. Contemplez hardiment tous ceus qui sont coustumé 

 17

XXVI. Les vents grondoyent en l'air, les plus sombres nuages 

 18

[STANCES, CHANSONS, ELEGIE.]

STANCES, « Tel estoit ce bel astre à son entree au monde » 

 18

CHANSON, « Comment pensez vous que je vive » 

 20

CHANSON, « Doux objet de mes desirs » 

 22

CHANSON, « C'est trop, je perds patience » 

 24

ELEGIE, « Vous languissez mes vers, les glaçons de l'absence » 

 25

STANCES B. D. F., « Depuis ce triste jour que mon ame captive » 

 30

Sur la mort du B. D. F., STANCES, « Braves enfans de Mars, nourrissons de Bellonne » 

 32

STANCES, « Ainsi fait le Soleil, quand il monte de l'onde » 

 34

STANCES, « Ma belle languissait dans sa funeste couche » 

 35

STANCES, « N'est-ce donc pas assez que je sois tout en flamme » 

 37

Sur la fievre 

 38

[ESSAI DE QUELQUES POEMES CHETIENS.]

STANCES DE LA MORT, FAITES PAR LE MESME Sieur de Sponde 

 40

AUTRES SONNETS SUR LE MESME SUJET PAR le dit sieur de Sponde 

 45

[POESIES DU SIEUR] DE PORCHERES 

 51

[POESIES DU SIEUR] DE BERTAULT 

 63

DU SIEUR DE CALLIER 

 75

STANCES DU SIEUR DU PERRON 

 76

INCERTAIN 

 78

PARAPHRASE DU CXLIII. PSEAU. DE DAVID 

 81

Vers de Monsieur de S. Lue sur les cheveux de sa femme morte 

 86

RESPONCE 

 85

INCERTAIN 

 86

[CHOLLIER,] Stances d'un Gentil-homme de Dauphiné, qui donna le bon jour à sa Maistresse, au lever du Soleil 

 91

Sonnet dudit Chollier 

 95