Critique du jugement

bookCritique du jugementEmmanuel KantJules BarniLibrairie philosophique de Ladrange1846ParisCKant - Critique du jugement, trad. Barni, tome premier.djvuKant - Critique du jugement, trad. Barni, tome premier.djvu/13

TABLES DES DEUX VOLUMES.

PREMIER VOLUME.

Pages.

AVANT-PROPOS et INTRODUCTION du traducteur.

I

CRITIQUE DU JUGEMENT.

PRÉFACE

1

Introduction. — I. De la division de la philosophie

11

II.

Du domaine de la philosophie en général

16

III.

De la critique du Jugement considérée comme un lien qui réunit les deux parties de la philosophie

21

IV.

Du Jugement comme faculté législative a priori

26

V.

Le principe de la finalité formelle de la nature est un principe transcendental du Jugement

30

VI.

De l’union du sentiment de plaisir avec le concept de la finalité de la nature

39

VII.

De la représentation esthétique de la finalité de la nature

43

VIII.

De la représentation logique de la finalité de la nature

50

IX.

Du lien formé par le Jugement entre la législation de l’entendement et celle de la raison

55

Pages.

DIVISION GÉNÉRALE DE L'OUVRAGE.

61

PREMIÈRE PARTIE. — CRITIQUE DU JUGEMENT ESTHÉTIQUE

63

Première section. — Analytique du jugement esthétique

Premier livre. — Analytique du beau

Premier moment du jugement de goût, ou du jugement de goût considéré au point de vue de la qualité

§. I.

Le jugement de goût est esthétique

65

§. II.

La satisfaction qui détermine le jugement de goût est pure de tout intérêt

67

§. III.

La satisfaction attachée à l’agréable est liée à un intérêt

69

§. IV.

La satisfaction attachée au bon est accompagnée d’intérêt

72

§. V.

Comparaison des trois espèces de satisfaction

76

Définition du beau tirée du premier moment

78

Second moment du jugement de goût, ou du jugement de goût considéré au point de vue de la quantité

§. VI.

Le beau est ce qui est représenté sans concept comme l’objet d’une satisfaction universelle

79

§. VII.

Comparaison du beau avec l’agréable et le bon fondée sur la précédente observation

80

§. VIII.

L’universalité de la satisfaction est représentée dans un jugement de goût comme simplement subjective

83

§. IX.

Examen de la question de savoir si, dans le jugement du goût, le sentiment du plaisir précède le jugement porté sur l’objet ou si c’est le contraire

89

Définition du beau tirée du second moment

94

Troisième moment des jugements de goût, ou des jugements de goût considérés au point de vue de la relation de la finalité

§. X.

De la finalité en général

94

§. XI.

Le jugement de goût n’a pour principe que la forme de la finalité d’un objet (ou de sa représentation)

96

§. XII.

Le jugement de goût repose sur des principes a priori

97

§. XIII.

Le pur jugement de goût est indépendant de tout attrait et de toute émotion

100

§. XIV.

Explication par des exemples

101

§. XV.

Le jugement de goût est tout à fait indépendant du concept de la perfection

106

§. XVI.

Le jugement de goût, par lequel un objet n’est déclaré beau qu’à la condition d’un concept déterminé, n’est pas pur

111

§. XVII.

De l’idéal de la beauté

115

Définition du beau tirée du troisième moment

123

Quatrième moment du jugement de goût ou de la modalité de la satisfaction attachée à ses objets

§. XVIII.

Ce que c’est que la modalité d’un jugement du goût

124

§. XIX.

La nécessité subjective que nous attribuons au jugement du goût est conditionnelle

125

§. XX.

La condition de la nécessité que présente un jugement de goût est l’idée d’un sens commun

126

§. XXI.

Si on peut supposer avec raison un sens commun

127

§. XXII.

La nécessité du consentement universel, conçue dans un jugement de goût, est une nécessité subjective, qui est représentée comme objective sous la supposition d’un sens commun

128

Définition du beau tirée du quatrième moment

130

Remarques générales sur la première section de l’analytique

131

Deuxième livre. — Analytique du sublime

§. XXIII.

Passage de la faculté de juger du beau à celle de juger du sublime

137

§. XXIV.

Division d’un examen du sentiment du sublime

142

A. Du sublime mathématique

143

§. XXV.

Définition du mot sublime

143

§. XXVI.

De l’estimation de la grandeur des choses de la nature que suppose l’idée du sublime

149

§. XXVII.

De la qualité de la satisfaction attachée au jugement du sublime

160

B. Du sublime dynamique de la nature

166

§. XXVIII.

De la nature considérée comme une puissance

166

§. XXIX.

De la modalité du jugement sur le sublime de la nature

174

Remarque générale sur l’exposition des jugements esthétiques réfléchissants

177

§. XXX.

La déduction des jugements mathématiques sur les objets de la nature ne peut s’appliquer à ce que nous y nommons sublime, mais seulement au beau

201

§. XXXI.

De la méthode propre à la déduction des jugements de goût

204

§. XXXII.

Première propriété du jugement de goût

206

§. XXXIII.

Seconde propriété du jugement de goût

210

§. XXXIV.

Il ne peut y avoir de principe objectif du goût

213

§. XXXV.

Le principe du goût est le principe subjectif du Jugement en général

215

§. XXXVI.

Du problème de la déduction des jugements de goût

217

§. XXXVII.

Ce qu’on affirme proprement a priori dans un jugement de goût sur un objet

220

§. XXXVIII.

Déduction des jugements de goût

221

Remarque

222

§. XXXIX.

De la propriété qu’a une sensation de pouvoir être partagée

224

§. XL.

Du goût considéré comme une espèce de sensus communis

227

§. XLI.

De l’intérêt empirique du beau

233

§. XLII.

De l’intérêt intellectuel du beau

236

§. XLIII.

De l’art en général

245

§. XLIV.

Des beaux-arts

248

§. XLV.

Les beaux-arts doivent faire l’effet de la nature

250

§. XLVI.

Les beaux-arts sont des arts du génie

252

§. XLVII.

Explication et confirmation de la précédente définition du génie

254

§. XLVIII.

Du rapport du génie avec le goût

259

§. XLIX.

Des facultés de l’esprit qui constituent le génie

263

§. L.

De l’union du goût avec le génie dans les productions des beaux-arts

274

§. LI.

De la division des beaux-arts

276

§. LII.

De l’union des beaux-arts dans une seule et même production

285

§. LIII.

Comparaison de la valeur esthétique des beaux-arts

287

Remarque

294

Deuxième section. — Dialectique du jugement esthétique (§. LIV)

307

§. LV.

Exposition de l’antinomie du goût

308

§. LVI.

Solution de l’antinomie du goût

310

Première remarque

315

Deuxième remarque

320

§. LVII.

De l’idéalisme de la finalité de la nature, considérée comme art et comme principe unique du Jugement esthétique

324

§. LVIII.

De la beauté comme symbole de la moralité

333

Appendice. — De la méthodologie du goût (§. LIX)

340

DEUXIÈME VOLUME.

Pages.

DEUXIÈME PARTIE. — CRITIQUE DU JUGEMENT TÉLÉOLOGIQUE

1

§. LX.

De la finalité objective de la nature

3

Première section. — Analytique du jugement téléologique 7

§. LXI.

De la finalité objective qui est simplement formelle, à la différence de celle qui est matérielle

7

§. LXII.

De la finalité de la nature qui n’est que relative, à la différence de celle qui est intérieure

15

§. LXIII.

Du caractère propre des choses, en tant que fins de la nature

21

§. LXIV.

Les choses, en tant que fins de la nature, sont des êtres organisés

26

§. LXV.

Du principe du jugement de la finalité intérieure dans les êtres organisés

33

§. LXVI.

Du principe du jugement téléologique sur la nature considérée en général comme un système de fins

35

§. LXVII.

Du principe de la téléologie comme principe interne de la science de la nature

42

Deuxième section. — Dialectique du jugement téléologique 49

§. LXVIII.

Ce que c’est qu’une antinomie du Jugement

49

§. LXIX.

Exposition de cette antinomie

51

§. LXX.

Préparation à la solution de la précédente antinomie

55

§. LXXI.

Des divers systèmes sur la finalité de la nature

57

§. LXXII.

Aucun des systèmes précédents ne donne ce qu’il promet

63

§. LXXIII.

L’impossibilité de traiter dogmatiquement le concept d’une technique de la nature vient de l’impossibilité même d’expliquer une fin de la nature

68

§. LXXIV.

Le concept d’une finalité objective de la nature est un principe critique de la raison pour le Jugement réfléchissant

72

§. LXXV.

Remarque

78

§. LXXVI.

De la propriété de l’entendement humain par laquelle le concept d’une fin de la nature est possible pour nous

86

§. LXXVII.

De l’union du principe du mécanisme universel de la matière avec le principe téléologique dans la technique de la nature

96

Appendice. — Méthodologie du jugement téléologique

107

§. LXXVIII.

Si la téléologie doit être traitée comme une partie de la physique

107

§. LXXIX.

De la subordination nécessaire du principe du mécanisme au principe téléologiqué dans l’explication d’une chose comme fin de la nature

109

§. LXXX.

De l’adjonction du mécanisme au principe téléologique dans l’explication d’une fin de la nature, en tant que production de la nature

117

§. LXXXI.

Du système téléologique dans les rapports extérieurs des êtres organisés

122

§. LXXXII.

Du but dernier de la nature considérée comme système téléologique

131

§. LXXXIII.

Du but final de l’existence d’un monde, c’est-à-dire de la création même

139

§. LXXXIV.

De la théologie physique

143

§. LXXXV.

De la théologie morale

153

Remarque

159

§. LXXXVI.

De la preuve morale de l’existence de Dieu

168

§. LXXXVII.

Limitation de la valeur de la preuve morale

172

Remarque

182

§. LXXXVIII.

De l’utilité de l’argument moral

184

§. LXXXIX.

De l’espèce d’adhésion que réclame une preuve morale de l’existence de Dieu

188

§. XC.

De l’espèce d’adhésion produite par une croyance pratique

198

Remarque générale sur la téléologie

215