Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome26.djvu/604

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
594
TABLE DES MATIÈRES.
HOMÉLIES prononcées à Londres en 1765, dans une assemblée particulière. (1767.)
 
Première homélie. Sur l’athéisme 
 315
Deuxième homélie. Sur la superstition 
 329
Troisième homélie. Sur l’interprétation de l’Ancien Testament 
 338
Quatrième homélie. Sur l’interprétation du Nouveau Testament 
 349
MÉMOIRE présenté au ministère de France, et qui doit être mis à la tête de la nouvelle édition qu’on prépare du Siècle de Louis XIV. (1767.) 
 355
LA DÉFENSE DE MON ONCLE. (1767.) — Avertissement de Decroix, l’un des éditeurs de l’édition de Kehl 
 367
Avertissement essentiel ou inutile 
 367
Exorde, dans lequel on trouve que feu M. l’abbé Bazin était un peu railleur, et qu’il croyait que les Chinois ne descendaient pas plus des Égyptiens que des Bas-Bretons 
 369
De la Providence, où l’on relève une inadvertance assez impie d’un ennemi de mon oncle 
 370
L’apologie des dames contre le sieur Larcher, du collége Mazarin, ennemi juré du beau sexe 
 371
Où l’on montre que M. Larcher ne sait point l’Alcoran 
 375
Des Romains et d’un décret ridicule 
 377
De la sodomie, où l’on prouve contre M. Larcher que ce crime n’a jamais été autorisé 
 377
De l’inceste, où l’on prouve que l’inceste n’était point permis par la loi chez les Persans 
 379
De la bestialité, où l’on prouve que ce crime infâme n’a jamais été d’un usage public en Égypte, comme le prétend M. Larcher 
 381
D’Abraham et de Mlle  Ninon L’Enclos, où l’on relance vertement le téméraire Larcher qui a comparé Sara à Ninon, page 145 de son Supplément à la Philosophie de l’Histoire, et où l’on justifie Ninon contre une imputation impertinente 
 383
De Thèbes d’Égypte, contre plusieurs grands savants et grands exagérateurs, dans lequel on insinue qu’il faut réduire les choses à leur juste mesure 
 385
Des schoen d’Égypte, où l’on montre qu’un schoen doit être honnête 
 387
Du temple de Tyr et de son antiquité 
 388
Des Chinois, et de la nécessité que plusieurs siècles se soient écoulés avant la fondation d’un grand empire 
 389
De l’Inde, du Veidam, et surtout de l’Ézour-Veidam, livre indien très-curieux, envoyé par feu l’abbé Bazin à la Bibliothèque du roi. Ce chapitre contient une terrible réponse à la témérité de l’hérétique Warburton 
 391
Savoir si les Juifs haïssaient les autres nations, et si on hait Warburton 
 394
Représailles contre Warburton 
 396
Conclusion qui fait voir le néant de tout ce que dessus 
 399