L’Origine de nos Idees du Sublime et du Beau

Edmund Burke

Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau

Traduction par E. Lagentie de Lavaïsse.
Pichon et Depierreux, 1803.

TABLE

DES MATIÈRES

---

Avertissement du Traducteur.

v

Vie d’Edmund Burke.

ix

Préface de l’Auteur.

xxxiij

Errata

40

Introduction. du Goût

21

Section. 

I. 

La nouveauté.

55

II. 

La douleur et le plaisir.

57

III. 

Différence entre l’éloignement de la douleur et le plaisir positif.

60

IV. 

Du délice et du plaisir, comme opposés l’un à l’autre.

63

V. 

La joie et le chagrin.

66

VI. 

Des passions relatives à la conservation de soi.

68

VII. 

Du sublime.

69

VIII. 

Des passions relatives à la Société.

71

IX. 

Cause finale de la différence entre les passions relatives à la conservation de soi, et celles relatives à la société des sexes.

73

X. 

De la beauté.

75

XI. 

De la société et de la solitude.

77

XII. 

De la sympathie , de l’imitation et de l’ambition.

78

XIII. 

La sympathie.

79

XIV. 

Effets de la sympathie dans les malheurs de nos semblables.

81

XV. 

Des effets de la tragédie.

84

XVI. 

De l’imitation.

87

XVII. 

De l’ambition.

90

XVIII. 

Récapitulation.

92

XIX. 

Conclusion.

94

PARTIE II.

I. 

De la passion causée par le sublime.

101

II. 

La terreur.

102

III. 

L’obscurité.

104

IV. 

De la différence entre la clarté et l’obscurité par rapport aux passions.

107

(IV.) 

Suite du même sujet.

108

V. 

La puissance.

115

VI. 

La privation.

127

VII. 

Le vaste.

129

VIII. 

L’infinité.

131

IX. 

La succession et l’uniformité.

133

X. 

La grandeur de dimension en architecture.

137

XI. 

L’infinité dans les objets agréables.

138

XII. 

La difficulté.

139

XIII. 

La magnificence.

140

XIV. 

La lumières.

144

XV. 

La lumière considérée par rapport à l’architecture.

147

XVI. 

La couleur considérée comme cause du sublime.

148

XVII. 

Le son et le bruit.

149

XVIII. 

La soudaineté.

150

XIX. 

L’intermission.

151

XX. 

Les cris des animaux.

153

XXI. 

L’odorat et le goût, les amers et les puanteurs.

154

XXII. 

L’attouchement. La douleur.

157

PARTIE III.

I. 

De la beauté.

159

II. 

La proportion n’est pas la cause de la beauté dans les végétaux.

161

III. 

La proportion n’est pas la cause de la beauté dans les animaux.

167

IV. 

La proportion n’est pas la cause de la beauté dans l’espèce humaine.

170

V. 

Autres observations sur la proportion.

181

VI. 

La convenance n’est pas la cause de la beauté.

185

VII. 

Effets réels de la convenance.

190

VIII. 

Récapitulation.

194

IX. 

La perfection n’est pas la cause de la beauté.

195

X. 

Jusqu’à quel point l’idée de la beauté peut, être appliquée aux qualités de l’âme.

196

XI. 

Jusqu’à quel point l’idée de la beauté peut s’appliquer à la vertu.

199

XII. 

De la cause réelle de la beauté.

200

XIII. 

Les beaux objets sont petits.

201

XIV. 

L’uni ou le poli.

204

XV. 

De la variation graduelle.

205

XVI. 

La délicatesse.

208

XVII. 

De la beauté par rapport aux couleurs.

209

XVIII. 

Récapitulation.

211

XIX. 

La physionomie.

212

XX. 

L’œil.

212

XXI. 

La laideur.

214

XXII. 

La grâce.

215

XXIII. 

L’élégance et le spécieux.

216

XXIV. 

Le beau d’attouchement.

217

XXV. 

Le beau des sons.

220

XXVI. 

Le goût et l’odorat.

223

XXVII. 

Le sublime et le beau comparés.

224

PARTIE IV.

I. 

De la cause efficiente du sublime et du beau.

227

II. 

De l’association.

230

III. 

De la cause de la douleur et de la crainte.

232

IV. 

Suite.

235

V. 

De quelle manière le sublime est produit.

237

VI. 

Comment la douleur peut être une cause de délice.

238

VII. 

L’exercice est nécessaire aux plus délicats organes.

241

VIII. 

Pourquoi les choses non dangereuses produisent une passion telle que la terreur.

242

IX. 

Pourquoi les objets visuels qui sont grands dans leurs dimensions sont sublimes.

243

X. 

Pourquoi l’unité est nécessaire à la grandeur d’étendue.

245

XI. 

L’infini artificiel.

247

XII. 

Les vibrations doivent être semblables.

249

XIII. 

Explication de l’effet de la succession dans les objets visuels.

250

XIV. 

Examen de l’opinion de Locke concernant l’obscurité.

254

XV. 

L’obscurité est terrible par sa propre nature.

257

XVI. 

Pourquoi l’obscurité est terrible.

259

XVII. 

Effets du noir.

262

XVIII. 

Effets du noir modéré.

265

XIX. 

De la cause physique de l’amour.

266

XX. 

Pourquoi l’uni, ou le poli, est beau.

269

XXI. 

De la douceur et de sa nature.

270

XXII. 

La douceur est relâchante.

274

XXIII. 

Pourquoi la variation est belle.

277

XXIV. 

De la petitesse.

280

XXV. 

De la couleur.

285

PARTIE V.

I. 

Des Mots.

289

II. 

L’effet ordinaire de la poésie n’est pas de faire naître des idées des choses.

291

III. 

Les mots généraux passent avant les idées.

294

IV. 

Effets des mots.

297

V. 

Exemples qui montrent que les mots peuvent affecter sans faire naître des images.

299

VI. 

La poésie n’est pas rigoureusement un art d’imitation.

308

VII. 

Influence des mots sur les passions.

309

Fin de la Table des Matières.