Livre:Croiset - Manuel d’histoire de la littérature grecque, 10e éd.djvu
Apparence
Titre | Manuel d’histoire de la littérature grecque |
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Auteur | Alfred Croiset ; Maurice Croiset |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | s.d. (1900?, 10e éd.) |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
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[ Préface ]
LES ORIGINES
I. La race. Son origine et sa formation. — II. Premières créations du génie grec. Traditions légendaires les chanteurs thraces, Orphée, Musée, etc. ; la poésie délienne, Olen. Hymnes primitifs. — III. Indices historiques de l’existence d’une poésie primitive. — IV. Formes les plus anciennes de la poésie narrative. — V. Autres formes de poésie. Origines du lyrisme
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DÉBUTS DE L’ÉPOPÉE HÉROÏQUE : HOMÈRE ET LES HOMÉRIDES
I. Essor de la poésie épique dans la Grèce d’Asie après l’émigration. — II. Période éolienne ; période ionienne. Smyrne, Chios. — III. Homère. — IV. Les aèdes et leur public. Récitations épiques. — V. Étendue des récits épiques. Vue générale sur la formation des grandes épopées. — VI. Transmission des chants épiques. Les Homérides. Durée de la période épique. — VII. Caractères généraux de l’art épique
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L’ILIADE ET L’ODYSSÉE
I. Importance particulière de l’Iliade et de l’Odyssée. — II. Priorité de l’Iliade. Le sujet. Analyse du poème. — III. Aspect général du poème. Unité et disparates. Sa formation. — IV. Beauté d’ensemble de l’Iliade. Étendue et variété. Harmonie générale. — V. Caractère religieux et héroïque. Naïveté de croyance. Les dieux et les hommes. Idéal et réalité. Moralité du poème. — VI. Forme du poème. Discours, récits, descriptions. Le style et la langue de l’Iliade. — VII. La seconde épopée grecque. Sujet de l’Odyssée. Analyse du poème. — VIII. Structure du poème. — Son unité, sa formation. — IX. Beauté d’ensemble. Étendue et variété. Progression de l’intérêt. Quelque monotonie dans l’invention. — X. La religion de l’Odyssée. Le merveilleux. Progrès du réalisme dans certaines parties. De quelques personnages. Moralité du poème. — XI. Forme de l’Odyssée. Style et langue. — XII. Conclusions sur les deux poèmes homériques. Les deux poèmes et leur temps. Leur influence
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ÉPOPÉES CYCLIQUES ET RAPSODES
I. L’épopée après Homère. Le cycle. — IL Diffusion des chants épiques. Les rapsodes. — III. De quelques épopées héroïques en particulier. — IV. Pisandre de Rhodes. — V. Les hymnes et les épigrammes homériques. — VI. Parodies de l’épopée. Le Margitès, la Batrachomyomachie, etc. Fin de l’épopée héroïque
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HÉSIODE ET LA POÉSIE HÉSIODIQUE
I. La poésie didactique. Ses origines. — II. Hésiode. — III. Le poème des Travaux et Jours. Sa composition. — IV. Le poète principal. Sa philosophie. Son mérite poétique. Sa langue. — V. Autres poèmes moraux et techniques. — VI. La Théogonie. Sujet du poème. Son unité et sa composition. L’auteur et la date. — VII. Mérite de la Théogonie. Sa langue. — VIII. Autres poèmes hésiodiques du genre généalogique. Les Catalogues, les Éées, l’Ægimios, etc. Épisodes détachés : le Bouclier d’Héraclès, etc. — IX. Les représentants secondaires de la poésie généalogique
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LE LYRISME : CARACTÈRES GÉNÉRAUX
I. Causes du développement de la poésie lyrique. — II. Caractères essentiels de la forme lyrique. — III. Le premier genre lyrique savant : le nome ; Olympos et Terpandre. — IV. Les formes semi-lyriques : l’élégie et l’iambe. — V. Les genres lyriques proprement dits
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L’ÉLÉGIE ET L’IAMBE
I. Observations préliminaires. — II. Callinos. — III. Archiloque. — IV. Simonide d’Amorgos. — V. Tyrtée. — VI. Mimnerme. — VII. Solon. — VIII. Théognis. — IX. Phocylide. — X. L’épigramme. — XI. Hipponax
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LA POÉSIE MÉLIQUE
I. La poésie « mélique ». — II. L’île de Lesbos et le lyrisme semi-populaire. — III. Les scolies de Terpandre. — IV. Alcée. — V. Sappho. — VI. Anacréon. — VII Poèmes dits « anacréontiques ». — VIII Le lyrisme d’apparat :vue d’ensemble. — IX. Thalétas. — X. Alcman ; le parthénée. — XI. Arion ; le dithyrambe. — XII. Stésichore ; l’hymne héroïque et la « triade ». — XIII. Ibycos ; Vencomion. — XIV. Les grands maîtres du lyrisme choral : Simonide. — XV. Pindare. — XVI. Bacchylide. — XVII. Les poètes secondaires
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LES DÉBUTS DE LA PHILOSOPHIE ET DE L’HISTOIRE ; LA PROSE
I. La prose et l’esprit scientifique. — II. Signes précurseurs de l’esprit nouveau. — III. Hésitation entre la prose et la poésie. — IV. Les doctrines philosophiques. — V. L’art d’écrire chez les philosophes prosateurs. — VI. L’art d’écrire chez les philosophes poètes. — VII. Les « logographes » ; vue d’ensemble. — VIII. Principaux écrivains de ce groupe
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ORIGINE ET ORGANISATION DU DRAME TRAGIQUE
1. Le culte de Dionysos au viie et au vie siècle ; ses deux traits essentiels : 1o exaltation des sentiments ; plaintes et réjouissances ; 2o caractère mimique des fêtes dionysiaques. Le culte des héros. — II. Dithyrambe et chants « tragiques » dans le nord du Péloponnèse. — III. Thespis. Création de la tragédie primitive. Institution des concours tragiques à Athènes, — IV. Successeurs de Thespis. Chœrilos et Phrynichos. — V. Le drame satyrique. Pratinas. — VI. Organisation des concours tragiques au ve siècle. — VII. Structure de la tragédie. Ses parties. — VIII. Marche de l’action. Les unités. — IX. Les personnages et le chœur
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ESCHYLE
I. La personne d’Eschyle, son génie. — II. Son œuvre. Ses rapports avec l’épopée. Structure tétralogique. — III. Pièces subsistantes. — IV. Inventions d’Eschyle. Sa conception du drame. Le sentiment religieux. — V. Suite des inventions d’Eschyle. Développement de l’élément dramatique. Structure de l’action. — VI. Les sentiments et les caractères. La liberté humaine. Relations des personnages entre eux. — VII. Le lyrisme d’Eschyle ; sa langue. — VIII. Ce qu’Eschyle a fait pour la tragédie
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SOPHOCLE
I. L’homme, son caractère et son génie. — II. L’œuvre de Sophocle ; ses tragédies subsistantes. — III. Innovations de Sophocle ; l’intérêt humain mis au premier plan ; abandon de la trilogie liée ; le troisième acteur, développement de l’action. — IV. Les personnages. Vérité idéale des caractères. Limite de variations des volontés et des sentiments. Moralité du théâtre de Sophocle. — V. Le chœur. Son rôle. Le lyrisme de Sophocle. — VI. Sophocle écrivain. Son influence
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EURIPIDE. — FIN DE L’ÉVOLUTION DE LA TRAGÉDIE
I. Rôle d’Euripide. Sa vie et son caractère. Son génie. — II. Son œuvre. Pièces subsistantes. — III. Conception nouvelle du drame. Variété et pathétique. Structure de l’action. Prologues et dénouements. — IV. Les personnages. La volonté et la passion. Réalisme et idéalisme. La société contemporaine dans le théâtre d’Euripide. — V. Le lyrisme d’Euripide. — VI. Le style d’Euripide. — VII. Fin de l’évolution de la tragédie
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ORIGINE DE LA COMÉDIE
I. Premières formes de la comédie. Les chants phalliques et le comos dionysiaque. La prétendue comédie dorienne et mégarienne. Susarion, Myllos, Méson. — II. La comédie sicilienne. Épicharme. — III. Origines du mime sicilien. Sophron et Xénarque. — IV. Débuts de la comédie attique. Les concours de comédie. Premiers poètes de la comédie ancienne. Cratinos. — V. Formes et organisation des représentations comiques à Athènes. — VI. Structure de la comédie. — VII. Nature de l’action et des personnages dans la comédie du v siècle. Son esprit. Définition de la comédie dite ancienne. Sa langue
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ARISTOPHANE ET SES CONTEMPORAINS
I. Vie d’Aristophane et son œuvre. Pièces subsistantes. — II. Tendances générales d’Aristophane. Ses vues politiques, sociales, littéraires. Sa religion. — III. De l’invention dramatique chez Aristophane. Ses sujets et sa conception de l’action. — IV. Les personnages. Leur double caractère, idéal et réel. — V. Le lyrisme d’Aristophane. Sa langue. — VI. Contemporains d’Aristophane. Eupolis. Fin de la comédie ancienne
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LA PROSE IONIENNE CLASSIQUE : HÉRODOTE, HIPPOCRATE, ETC.
I. Vue d’ensemble. — II. Hérodote ; sa vie, son œuvre. — III. La science d’Hérodote. — IV. L’art d’Hérodote. — V. Ion de Chios. — VI. Ctésias. — VII. Philosophie : Démocrite. — VIII. Médecine : Hippocrate
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LA SOPHISTIQUE ET LA RHÉTORIQUE : ANTIPHON ; SOCRATE
I. Formation de la prose attique. — II. La rhétorique sicilienne. — III. La sophistique. — IV. Les principaux sophistes : Protagoras. — V. Gorgias. — VI. Sophistes de second rang. — VII. Antiphon. — VIII. Socrate
406
THUCYDIDE ET SES SUCCESSEURS
I. Thucydide ; sa vie ; son œuvre. — II. La science de Thucydide. — III. L’art de Thucydide. — IV. Imitateurs de Thucydide : Xénophon ; Philistos. — V. Historiens disciples d’Isocrate ; Éphore. — VI. Théopompe. — VII. Les auteurs d’Atthides ; Énée « le Tacticien »
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LA PHILOSOPHIE ATTIQUE
I. Les disciples de Socrate. — II. Xénophon ; sa vie et ses œuvres ; caractère général de son talent. — III. Ses écrits socratiques. — IV. Ses écrits politiques et militaires. — V. Ses écrits historiques. — VI. Conclusion ; la Cyropédie. — VII. Platon ; sa vie et son œuvre. — VIII. La doctrine platonicienne. — IX. L’art du dialogue dans Platon. — X. Les personnages et les caractères. — XI. Le style de Platon. — XII. La composition des dialogues. — XIII. L’« Académie » après Platon. — XIV. Aristote ; sa vie ; immensité de son œuvre. — XV. Principes de la philosophie d’Aristote. — XVI. Coup d’œil sur l’ensemble de ses ouvrages ; classification sommaire. — XVII. De quelques théories d’Aristote. — XVIII. Aristote écrivain ; conclusion. — XIX. Le « Lycée » après Aristote ; Théophraste
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L’ÉLOQUENCE ATTIQUE
I. L’évolution de l’éloquence au ive siècle. — II. Les maîtres de rhétorique. — III. L’éloquence judiciaire ; Andocide. — IV. Lysias et l’art des « logographes ». — V. Isée. — VI. L’éloquence d’apparat : Isocrate : sa vie et son œuvre. — VII. Les discours d’Isocrate ; la « période oratoire ». — VIII. Ses théories sur l’éducation. — IX. L’éloquence politique ; vue d’ensemble. — X. Démosthène ; sa vie ; son œuvre. — XI. Les plaidoyers civils de Démosthène. — XII. L’éloquence politique de Démosthène : caractères généraux de l’homme d’État et de l’orateur. — XIII. Principaux discours de Démosthène ; conclusion. — XIV. Eschine. — XV. Hypéride. — XVI. Lycurgue. — XVII. Dinarque. — XVIII. Démétrios de Phalère. Conclusion sur l’éloquence attique
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LA COMÉDIE AU IVe SIÈCLE
I. Vue générale. Division traditionnelle en comédie moyenne et comédie nouvelle. — II. Période de transition. Essais d’une comédie non politique. Ses caractères. — III. Poètes de la période de transition. Antiphane et Alexis. — IV. Achèvement de la comédie nouvelle ; ses caractères propres. — V. Les maîtres de la comédie nouvelle. Philémon et Ménandre
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LA POÉSIE HORS DU THÉÂTRE AU Ve ET AU IVe SIÈCLE
I. Persistance des genres poétiques anciens au ve et au ive siècle. — II. Transformation du lyrisme au ve siècle. Le dithyrambe et le nome. Représentations lyriques. — III. Principaux poètes de dithyrambes et de nomes au ve et au ive siècle. — IV. Autres genres lyriques. L’élégie et l’iambe. — V. L’épopée au ve et au ive siècle. Panyasis ; Antimaque ; Chœrilos
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LA PHILOSOPHIE AU IVe ET AU IIIe SIÈCLE
I. Athènes et la philosophie. — II. Les écoles de second ordre. — III. Le stoïcisme ; Zénon ; Cléanthe ; Chrysippe. — IV. Épicure et l’épicurisme. — V. Pyrrhon et le scepticisme ; Timon le « Sillographe ». — VI. La « moyenne » et la « nouvelle » Académie ; Arcésilas et Carnéade
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LA RHÉTORIQUE ET L’ÉRUDITION APRÈS ALEXANDRE
(DE 300 À 150 ENVIRON)
(DE 300 À 150 ENVIRON)
I. L’hellénisme après Alexandre ; les nouvelles capitales intellectuelles : Alexandrie, Pergame, Antioche, etc. — II. La rhétorique. — III. L’histoire. — IV. La géographie. — V. Histoire de la philosophie, des lettres, des beaux-arts. — VI. Philologie et grammaire. — VII. Technologie. — VIII. Littérature semi-romanesque. — IX. Littérature judéo-grecque et littérature apocryphe
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