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Page:Poésies complètes de Robert Burns, 1843.djvu/402

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352
TABLE
LVII. Personne 
 196
LVIII. Je repasserai toujours par la ville là-bas 
 197
LIX. Je te baiserai encore 
 ib.
LX. La jeune paysanne 
 198
LXI. Après tout, après tout 
 199
LXII. Imité d’une vieille chanson anglaise 
 200
LXIII. C’était la nuit du 1er d’août 
 201
LXIV. Jockey a pris le baiser du départ 
 202
LXV. John Anderson 
 ib.
LXVI. Fille aux cheveux de lin 
 203
LXVII. Ballade écossaise. En mai dernier 
 ib.
LXVIII. Que jamais femme ne se plaigne 
 204
LXIX. Sur la maladie de Chloris 
 205
LXX. Le jeune montaguard errant 
 206
LXXI. Louis, qu’est-ce que je me soucie de toi 
 ib.
LXXII. Regardez tout ce faste 
 ib.
LXXIII. Songeant à la mer rugissante 
 207
LXXIV. Chloris 
 208
LXXV. Mon père était un fermier 
 ib.
LXXVI. Tam Glen 
 210
LXXVII. Pour l’amour de quelqu’un 
 211
LXXVIII. Mon cœur est dans les Hautes-Terres 
 212
LXXIX, Peggy 
 ib.
LXXX. Aucune noble dame 
 213
LXXXI. Je ne suis point un homme d’église 
 214
LXXXXII, Maintenant collines et coteaux 
 ib.
LXXXIII. Ma Nannie est partie 
 215
LXXXIV. Charmant Davie 
 216
LXXXV. À M. Cunningham 
 ib.
LXXXVI. Composé en août 
 217
LXXXVII. Oh ! il était beau 
 218
LXXXVIII. Fragment, dans le Recueil des chants écossais de Witherspoon 
 219
LXXXIX. Le beau garçon qui est au loin 
 220
XC. Meg du moulin 
 ib.
XCI. Ô ma belle 
 221
XCII. Réponse de la femme 
 ib.
XCIII. Bess et son rouet 
 222
XCIV. Ô Logan, que ton flot était charmant 
 223
XCV. Le bouquet 
 224
XCVI. Mary Morison 
 225
XCVII. Ô Mai, ton matin ne fut jamais si doux 
 226
XCVIII. Ma dot est le joyau 
 ib.
XCIX. Lord Gregory 
 227
C. Oh ! mon amour 
 ib.
CI. Oh ! j’ai une fois aimé 
 228
CII. Duo 
 229
CIII. Ô froide pauvreté 
 230
CIV. Oh ! le souffle desséchant 
 231
CV. La belle Lesley 
 ib.
CVI. Avez-vous vu ma Phely 
 232
CVII. À l’alouette des bois 
 233