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Page:Poésies complètes de Robert Burns, 1843.djvu/401

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351
TABLE
V. Rendue à la joie, la Nature voit 
 164
VI. Quand mon lit serait là-bas. Fragment 
 165
VII. Contre les arbres où les abeilles bourdonnantes 
 166
VIII. Oh ! quand j’aurai vingt et un ans, Tam 
 ib.
IX. Sombre Décembre 
 167
X. Anna, tes charmes enflamment mon sein 
 ib.
XI. Le Laboureur 
 168
XII. Va donc pour une fille avec une dot 
 ib.
XIII. Là-bas derrière ces montagnes 
 169
XIV. Voici l’heure 
 170
XV. Le bois de Craigie-Burn 
 ib.
XVI. Joyeuse elle était 
 171
XVII. J’ai été joyeux là-bas 
 172
XVIII. Les bouleaux d’Aberfeldy 
XIX. La belle petite 
 173
XX. Le Vieillard 
 ib.
XXI. Près de la rivière d’Allan 
 174
XXII. Imitation d’une vieille chanson jacobite 
 175
XXIII. Peux-tu me quitter ainsi, ma Katy 
 ib.
XXIV. Appelle les brebis sur les hauteurs 
 176
XXV. Clarinda 
 ib.
XXVI. Viens, laisse-moi te prendre sur mon sein 
 177
XXVII. Content de peu 
 ib.
XXVIII. Berger abusé 
 178
XXIX. Les Volontaires de Dumfries 
 ib.
XXX. Duncan Gray 
 179
XXXI. La plus belle des filles 
 180
XXXII. Chant de guerre 
 181
XXXIII. Adieu, onde qui coule en serpentant 
 182
XXXIV. Adieu de Mac-Pherson 
 ib.
XXXV. Lamentation d’une mère sur la mort de son fil 
 183
XXXVI. Sifflez sur le reste 
 184
XXXVII. Afton 
 ib.
XXXVIII. Délaissée, mon amour 
 185
XXXIX. Eliza 
 186
XL. Ça donc, hôtesse, additionne le compte 
 ib.
XLI. Ma belle Mary 
 187
XLII Les joncs verdissent 
 ib.
XLIII. Si j’avais un autre 
 188
XLIV. Coureur de Willie 
 ib.
XLV. Les bords de la Cree 
 189
XLVI. Voici une bouteille et un bon ami 
 190
XLVII. À la santé de celle que j’aime 
 ib.
XLVIII. Chant patriotique 
 191
XLIX. Ses boucles flouantes. Fragment 
 ib.
L. Sur les mers et bien loin 
 192
LI. Imité d’une vieille chanson anglaise 
 193
LII. Combien longue et triste est la nuit 
 ib.
LIII. Mon mari, mon mari 
 194
LIV. Je confesse que tu es si belle 
 195
LV. Je rêvais que j’étais couché 
 ib.
LVI. La fille aux yeux bleus 
 196