Catégorie:Poèmes de Robert de Montesquiou
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Pages dans la catégorie « Poèmes de Robert de Montesquiou »
Cette catégorie comprend 101 pages, dont les 101 ci-dessous.
A
- « À la poursuite d’une rime »
- L’affreux métier de Roi, de naissance on l’exerce
- Ainsi qu’un donateur dans le coin d’un triptyque
- L’altière Montespan nous apparaît sanglée
- L’antique bénitier de Saint-Louis-en-l’Isle
- Antoinette est un lis que l’on fauche debout
- Les arbres d’un vert noir où le regard s’enfonce
- Autour de l’Astre, danse en rond le Zodiaque
- Aux pieds des Héros Grecs, des Vénus Argiennes
B
C
- C’est le rassemblement des princes douloureux
- Les caisses en argent des orangers en fleurs
- Carnage
- Ce Bacchus me séduit parmi bien des statues
- Ce fier Duc d’Orléans qu’Ingres peignit si beau
- Ce Louis-Salomon, cet Apollon-César
- Ce que fait de débris, de cendre, de poussière
- Ce que Rembrandt a mis sur le front d’un bourgmestre
- Ce sont filles de Rois que ces Grandes-Eaux Fées
- Ces bassins sont pour moi le baquet de Mesmer
- Ces Marbres que sans bruit la vétusté dénude
- Ces verts appartements dessinés par Le Nôtre
- Cette veuve de l’Astre a l’aspect de la Lune
- Le Ciel est rose et bleu pour plaire à la Marquise
- Cinq fois l’an, au sortir des coupables ruelles
- Conforme à son rôlet de monstre et de bijou
D
E
F
G
I
L
P
- Le Pacha Louis Quinze est Sire à plusieurs queues
- Païen déguisement de nos Rois très chrétiens
- Le Parc a pris, par place, un ton de rouge étrusque
- Parfois Louis Quatorze en perruque a souri
- Les parfums dans l’air mol s’exaltent : il a plu
- Pas un homme ne mange avec Adéodat
- Le pétale de rose, aux murs d’Élagabale
- Les pleurs de Niobé, les larmes d’Éloa
- Plus d’un obscur venin s’exerce en la maison
- Le plus pur des Bourbons est un orphelin blême
- Poésie (Le Figuier,...)
- La Pompadour fut Reine en son orgueil gaucher
- Portraitiste attitré du vieux Versailles, Lobre
- Prince de l’Inconnu, Roi des Sphinx et des Sphinges
S
T
- Tant de soleils sont morts dans ces bassins augustes
- Tes phases, ô Palais, sont toutes accomplies
- Le théâtre de lutte est de couleur prasine
- Tous ceux qui dans l’Éden-Versailles ont souri
- Tout est en or, tout en brocart, tout orfévri
- Toutes les fleurs de Lis dont un Bourbon est ceint
- Treize petits enfants, bien propres, sont choisis