Claude Paysan
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/fb/Choquette_-_Claude_Paysan%2C_1899_%28page_4_crop%29.jpg/80px-Choquette_-_Claude_Paysan%2C_1899_%28page_4_crop%29.jpg)
Te souviens-tu de ces mots que je te signalais, l’autre jour, dans le natif et spirituel récit que fait Alphonse Daudet — à propos de son fromont jeune — de l’histoire de ses livres et de sa méthode de travail ?…
« Mais c’est ma femme qui a plus supporté ces redites du travail parlé, du sujet tourné et retourné vingt fois de suite : Que penserais-tu de faire mourir Sidonie ? Si je laissais vivre Risler ? Que doit dire Delobelle ou Frantz ou Claire en telle circonstance ? »
« Et cela du matin au soir, à toutes les minutes, aux repas, en voiture, en allant au théâtre, en revenant de soirée. »
« Ah ! pauvres femmes d’artistes ! »
Alors, à cause de ces simples lignes qui t’ont sans doute fait sourire, à cause aussi de notre Fernande et de notre Claude, à nous, je te dédie ce Claude Paysan.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8b/Choquette_-_Claude_Paysan%2C_1899.djvu/page244-450px-Choquette_-_Claude_Paysan%2C_1899.djvu.jpg)
par Leduc
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