Les Propos d’Alain (1920)/Tome 2
Apparence
TABLE DES MATIÈRES
I. —
Quand la terre et le ciel se mêlent
7
II. —
La vie facile, mes amis
8
III. —
« Etre radical quand on est vieux », disait Gœthe
9
IV. —
On ne parle que de la planète Mars
10
V. —
Je lisais hier un article
12
VI. —
Qu’est-ce au juste que l’Intelligence
13
VII. —
Pour peu que l’on soit intelligent
14
VIII. —
Tant que l’on n’a pas bien compris la liaison de toutes choses
16
IX. —
Une petite fille voyant qu’une promenade
17
X. —
Nous sommes dans les comètes
18
XI. —
L’autre matin, après une nuit claire
20
XII. —
J’ai observé le trou du fourmi-lion
21
XIII. —
Cuvier se moquait des théories de Lamarck
22
XIV. —
On lit souvent que chacun ne pense qu’à soi
24
XV. —
Un enfant qui se donne volontairement la mort
25
XVI. —
Il y a deux remèdes aux passions
26
XVII. —
Quand on avale de travers
28
XVIII. —
Je reviens à nos docteurs mystiques
29
XIX. —
« Supprime l’opinion fausse, tu supprimes le mal
30
XX. —
Il est bon d’avoir un peu de mal à vivre
32
XXI. —
On devrait enseigner aux enfants l’art d’être heureux
33
XXII. —
Au Mélancolique je n’ai qu’une chose à dire
34
XXIII. —
La politesse fait partie de l’hygiène
35
XXIV. —
Il est Minuit
36
XXV. —
Le plus profond de la pensée de Victor Hugo
37
XXVI. —
L’autre jour vers midi
39
XXVII. —
Les chevaux sont naturellement à peu près aveugles
40
XXVIII. —
L’institutrice attend les premières feuilles
41
XXIX. —
Il y a une vérité cachée
43
XXX. —
Il faut que l’esprit scientifique
44
XXXI. —
Le professeur Thalamas a encore reçu des pommes cuites
45
XXXII. —
Amyntas a été jeune comme tout le monde
47
XXXIII. —
Un étudiant en Sorbonne me contait ses peines
48
XXXIV. —
Nous traversons un vrai temps de Carême
49
XXXV. —
Cette idée du « Sur-Homme »
51
XXXVI. —
La morale, c’est bon pour les riches
52
XXXVII. —
Je suis bien d’avis que l’on explique aux petits garçons
53
XXXVIII. —
Beaucoup de radicaux
55
XXXIX. —
Le Sociologue dit : « Je me défie de vos idées abstraites
56
XL. —
La Justice vaincra toujours
57
XLI. —
De la neige, après de si beaux jours !
59
XLII. —
Il ne faut transformer que pour conserver
60
XLIII. —
Le Sociologue me dit
61
XLIV. —
Il est assez ordinaire que l’on attribue
62
XLV. —
Quand on creuse dans la terre
64
XLVI. —
Il y a deux espèces de moissonneurs
65
XLVII. —
Je vois trois classes chez nous
67
XLVIII. —
On dit communément que les maisons neuves
68
XLIX. —
L’occasion est belle
69
L. —
Les forces sociales sont trop puissantes encore
71
LI. —
Voici une scène réellement tragique
72
LII. —
Il y a une idée juste et profonde
74
LIII. —
« Comme on vit mal, dit l’un, avec ceux que l’on connaît trop
75
LIV. —
« Tout bon raisonnement offense
76
LV. —
J’ai lu une bonne page du sculpteur Rodin
77
LVI. —
« Ne désespérez-vous pas, puisque l’immoralité gouverne
79
LVII. —
Stendhal dans « La Chartreuse de Parme »
80
LVIII. —
Au sujet d’un de mes romans préférés
82
LIX. —
Deux hommes s’échauffaient à parler des élections
83
LX. —
Il arrive encore assez souvent qu’un Dreyfusard
84
LXI. —
Poursuivre un évêque
86
LXII. —
Un Radical m’écrit
87
LXIII. —
Il existe des Ligues pour la Paix
88
LXIV. —
Le R. P. Philéas dit au jeune vicomte
89
LXV. —
Monsieur Lesimple, ingénieur des mines
91
LXVI. —
Je revois une toute petite ville
92
LXVII. —
Une falaise calcaire, habillée de lilas
93
LXVIII. —
On lit souvent dans les journaux
95
LXIX. —
Les sermons sur le mariage sont à la mode
96
LXX. —
Romain Rolland, dans son beau livre
97
LXXI. —
Voici une constatation
99
LXXII. —
Je reviens à ce terrible « Poil de Carotte »
100
LXXIII. —
On se tire quelquefois d’affaire au sujet des danses impudiques
101
LXXIV. —
L’homme et la femme buvaient l’absinthe
103
LXXV. —
Le jeu d’échecs n’a point changé
104
LXXVI. —
Le blé lève, c’est le temps des corbeaux
105
LXXVII. —
Ce qui distingue les socialistes de ce temps
106
LXXVIII. —
J’imagine un petit nombre d’hommes
108
LXXIX. —
Dans tous ces romans d’apparence scientifique
108
LXXX. —
Le menuisier de campagne
110
LXXXI. —
L’industrie n’est pas une fin par elle-même
111
LXXXII. —
Quand j’étais enfant
112
LXXXIII. —
On est effrayé lorsque l’on réfléchit
113
LXXXIV. —
Nous souffrirons tous, plus ou moins, de cette grève de mineurs
114
LXXXV. —
Comme j’allais mettre encore un morceau de sucre
116
LXXXVI. —
J’ai assez loué l’avare
117
LXXXVII. —
Le luxe est nuisible de deux manières
118
La grande propriété dévore la petite
119
LXXXIX. —
Quand on dit qu’une industrie est libre
121
XC. —
Le socialisme n’est pas seulement une belle construction
122
XCI. —
Fenêtres fermées et loin de ce monde imparfait
123
XCII. —
L’ouvrier parla
124
XCIII. —
Nier le droit de grève
125
XCIV. —
Plus j’y songe, et plus j’admire ce juge
127
XCV. —
J’ai connu un policier admirable
128
XCVI. —
Pourquoi vouloir qu’une punition soit juste
129
XCVII. —
Ce matin, mon journal
130
XCVIII. —
J’ai été saisi, une fois
132
XCIX. —
Les chroniqueurs ont souvent occasion
133
C. —
Quels froids et plats discours à ces congrès de médecins
134
CI. —
Je connais un homme encore jeune
136
CII. —
Au régiment il est de tradition
137
CIII. —
Ce combat entre le Nègre et le Blanc
138
CIV. —
Le vieux marquis s’appuya sur sa canne
140
CV. —
Ce juillet ressemble à un juin
141
CVI. —
Le cocher Georges, tant qu’il fut cocher
142
CVII. —
Je ne sais quel Sage de la Grèce
143
CVIII. —
« La démocratie n’est pas le règne du nombre
145
CIX. —
Le Radicalisme n’est par lui-même
146
CX. —
Notre élite ne vaut rien
147
CXI. —
« Napoléon avait été sur le point
149
CXII. —
Il ne manque pas de gens
150
CXIII. —
Ce n’est déjà pas si facile, de trouver un député
151
CXIV. —
Quand ils ont dit que la Proportionnelle
153
CXV. —
Comme je pensais au scrutin d’Arrondissement
154
CXVI. —
Les Membres de l’Association Amicale
155
CXVII. —
On est étonné lorsqu’on rencontre encore
157
CXVIII. —
Un régiment passe
158
CXIX. —
Le corps humam n’est pas toujours disposé selon la volonté
159
CXX. —
Il faudra que nous arrivions, mes amis
160
CXXI. —
Comme quelques-uns des bons amis avec qui je me trouvais
162
CXXII. —
Il y a longtemps que l’on compare
163
CXXIII. —
On ne juge point sa propre mère
164
CXXIV. —
Il faut penser à la question d’Alsace-Lorraine
165
CXXV. —
Ceux qui reviennent d’Allemagne
167
CXXVI. —
« Hugo von Teufelsberg, lieutenant de réserve au 10e uhlans
168
CXXVII. —
Comme je disais récemment
170
CXXVIII. —
L’élan, l’entrain, la bonne humeur
171
CXXIX. —
Nous avons une armée solide
172
CXXX. —
Comme je réfléchissais de nouveau
173
CXXXI. —
Au sujet de la Guerre
175
CXXXII. —
Il est nécessaire que les citoyens
176
CXXXIII. —
Lisons Corneille, c’est le moment
177
CXXXIV. —
Je revoyais en rêve ces Martiens
178
CXXXV. —
Un grand amî à moi me disait hier
180
CXXXVI. —
Le jugement en nous est comme la cime de l’arbre
181
CXXXVII. —
Chacun est guerrier, oui, même la plus faible femme
182
Le style des nouvelles officielles
183
CXXXIX. —
Le courage dépend de l’entraînement aussi
185
CXL. —
Le plateau, lourde terre à blé
186
CXLI. —
On dit souvent que les chemins de fer
187
CXLII. —
Au sujet de ce tableau de Poussin
188
CXLIII. —
Le jeune prince, qui s’ennuyait
189
CXLIV. —
Parmi tant de gens qui essaient de bien parler
190
CXLV. —
Hier, je partais en guerre contre les beaux-arts
192
CXLVI. —
Je lisais, ces jours-ci, les « Promenades dans Rome »
193
CXLVII. —
Il y a encore une erreur que je veux signaler
194
CXLVIII. —
Il n’y a pas longtemps, j’ai vu
195
CXLIX. —
La liberté ne vaut rien pour un artiste
197
CL. —
On se moque des cubistes
198
CLI. —
J’ai vu hier une collection de dessins d’enfants
199
CLII. —
Je me suis souvent demandé pourquoi une église neuve
201
CLIII. —
Un poète, un historien et un architecte
202
CLIV. —
Automne c’est la couleur et la musique
203
CLV. —
Il y a une beauté dans les cloches
205
CLVI. —
À un débutant qui déclamait
206
CLVII. —
Un coq de basse-cour
207
CLVIII. —
Treize heures, quatorze heures
209
CLIX. —
L’illustre Kant
210
CLX. —
Hugo n’aimait pas Stendhal
211
CLXI. —
Herriot demandait l’autre jour pourquoi Hugo
213
CLXII. —
Comment dessiner Tolstoï
214
CLXIII. —
Je lisais ces jours-ci
215
CLXIV. —
Quand les gelées ont fait tomber les feuilles
217
CLXV. —
Qu’allez-vous chercher au cimetière ?
218
CLXVI. —
Il ne manque jamais de gens pour dire
220
CLXVII. —
Le Congrès des Religions
221
CLXVIII. —
L’inconnaissable, dit Barrès
222
CLXIX. —
On finira par comprendre ce que c’est que la Foi
224
CLXX. —
Les Dieux d’Homère me gâtent l’Iliade
225
CLXXI. —
J’ai entendu ces jours-ci une conférence
226
CLXXII. —
Je connais trois pamphlets contre la religion révélée
228
CLXXIII. —
Qu’est-ce que la civilisation ?
229
CLXXIV. —
Il y a deux voies pour l’Eglise
231
CLXXV. —
Représentez-vous une Europe croyante
232
CLXXVI. —
On veut opposer la Tradition à la Libre Pensée
233
CLXXVII. —
Le culte des morts est une belle coutume
235
Ce vieux mythe de Noël nous conte
236
CLXXIX. —
La philosophie est, aux yeux de chacun
237
Tableau Analytique
245