Livre:Bacon - Œuvres, tome 2.djvu

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De la dignité et de l’accroissement des sciences (suite)

Livre III

Livre IV

Livre V

Livre VI

TOME SECOND.
Chap. I. Division de la science en théologie et philosophie. Division de la philosophie en trois doctrines, qui ont pour objet, Dieu la nature et l’homme. La philosophie, première constituée, mère de toutes les sciences 
 1
Chap. II. De la théologie naturelle, et de la doctrine qui a pour objet les anges et les esprits ; doctrine qui est un appendice 
 17
Chap. III. Division de la philosophie naturelle en théorique et pratique. Que ces deux parties doivent être séparées, et dans l’intention de celui qui les traite, et dans le corps même du traité 
 24
Chap. IV. Division de la science spéculative de la nature, en physique spéciale et métaphysique ; la physique ayant pour objet la cause efficiente et la matière ; et la métaphysique considérant la cause formelle et la cause finale. Division de la physique en doctrine sur les principes des choses, doctrine sur la structure de l’univers, ou le système du monde et doctrine sur la variété des choses. Division de la doctrine sur la variété des choses en science des abstraits et science des concrets. La distribution de la science des concrets est renvoyée à ces mêmes divisions que reçoit l’histoire naturelle. Division de la science des abstraits en science des modifications de la matière et science des mouvements. Deux appendices de la physique particulière ; savoir : les problèmes naturels, et les opinions des anciens philosophes. Division de la métaphysique en science des formes, et science des causes finales. 
 26
Chap. V. Division de la science active de la nature en méchanique et en magie ; deux sciences qui répondent aux deux parties de la spéculative ; savoir : la méchanique, à la physique ; et la magie, à la métaphysique. Épuration du mot de magie. Deux appendices de la science active ; savoir l'inventaire des richesses humaines, et le catalogue des polychrestes 
 98
Chap. VI. De la grande appendice de la philosophie naturelle, tant spéculative que pratique, c’est-à-dire, les mathématiques ; qu’elles doivent plutôt être placées parmi les appendices, que parmi les sciences substantielles. Division des mathématiques en pures et en mixtes 
 110

Chap. I. Division de la doctrine sur l’homme en philosophie de l’humanité et philosophie civile. Division de la philosophie de l’humanité en doctrine sur le corps humain et doctrine sur l’ame humaine. Constitution d’une doctrine générale de la nature, ou de l’état de l’homme. Division de la doctrine de l’état de l’homme en doctrine de l’homme individu, et doctrine de l’alliance de l’ame et du corps. Division de la doctrine de l’homme individu en doctrine des misères de l’homme et doctrine de ses prérogatives. Division de la doctrine de l’alliance en doctrine des indications et doctrine des impressions. Attribution de la physiognomonie et de l’interprétation des songes à la doctrine des indications 
 121
Chap. II. Division de la doctrine qui a pour objet le corps humain, en médecine et en science de la volupté. Division de la médecine en trois fonctions ; savoir : conservation de la santé, guérison des maladies, et prolongation de la vie : que la dernière partie, qui traite de la prolongation de la vie, doit être séparée des deux autres. 
 143
Chap. III. Division de cette partie de la philosophie humaine qui a l’âme pour objet, en doctrine du souffle de vie, et doctrine de l’âme sensible ou produite. Seconde division de la même philosophie en doctrine de la substance et des facultés de l’âme ; et doctrine de la destination et des objets de ces facultés. Deux appendices de la doctrine des facultés de l’âme, doctrine de la divination naturelle, et doctrine de la fascination. Division des facultés de l’âme sensible en mouvement et sentiment. 
 200
Chap. I. Division de la doctrine sur la destination et les objets des facultés de l’âme humaine, en logique et morale. Division de la logique en art d’inventer, de juger, de retenir et de transmettre 
 227

Chap. II. Division de l’inventive en inventive des arts et inventive des argumens. Qu’il nous manque la première de ces deux parties qui tient le premier rang. Division de l’inventive des arts en expérience guidée et nouvel organe. Esquisse de l’expérience guidée       
 234
Chap. III. Division de l’invention des argumens en provision oratoire et en topique. Division de la topique en générale et particulière. Exemple de la topique particulière dans la recherche sur la pesanteur et la légèreté 
 284
Chap. IV. Division de l’art de juger en jugement par induction et jugement par syllogisme. On agrège le premier au nouvel organe. Seconde division du jugement par syllogisme, en réduction directe et réduction inverse. Seconde division de cette seconde partie en analytique et en doctrine des critiques. Division de la doctrine des critiques en réfutation des sophismes, critique de l’herménie et examen critique des images ou fantômes. Division des fantômes en fantômes de tribu, fantômes de caverne et fantômes de commerce. Appendice sur l’art de juger, lequel a pour objet l’analogie des démonstrations avec la nature de chaque sujet 
 307
Chap. V. Division de l’art de retenir, en doctrine des adminicules de la mémoire, et doctrine de la mémoire même. Division de la doctrine de la mémoire en prénotion et emblème 
 336

Chap. I. Division de la tradition en doctrine sur l’organe du discours, doctrine sur la méthode du discours, et doctrine sur l’embellissement du discours. Division de la doctrine sur l’organe du discours, en doctrine sur les marques des choses, sur la locution et sur l’écriture ; parties dont les deux dernières constituent la grammaire et en sont les deux divisions. Division de la doctrine sur les signes des choses, en hiéroglyphes et caractères réels. Seconde division de la grammaire en littéraire et philosophique. Aggrégation de la poésie, quant au mètre, à la doctrine sur la locution. Aggrégation de la doctrine des chiffres à la doctrine sur l’écriture 
 344
Chap. II. La doctrine sur la méthode du discours est constituée comme une partie principale et substantielle de la traditive ; on la qualifie de prudence de la traditive. Dénombrement des divers genres de méthodes, avec leurs avantages et leurs inconvéniens 
 380