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Ruysdaël. Observation sur ses premiers plans, 128. Ses études, II, 181.

S

Sacontala, II, 469.
Sainte-Alliance, 261.
Sainte-Beuve. Article lu par Goethe, 262. Ses œuvres à Weimar, II, 191.
Saint-Simon (duc de), II, 187.
Saint-simonisme, cherche à perfectionner la société et non l'individu, II, 235.
Salvandy, II, 135, 392, 401.
Samson, tragédie, II, 167.
Sardanapale, tragédie, 240.
Savants. Leurs défauts, 23, 74, 306, 429, II, 72, 89.
Scènes contemporaines, comédies, II, 361.
Schelling, II, 258.
Schiller s’est trop occupé de systèmes philosophiques, 61. Plus aristocrate que Goethe, 88. Beauté du style de ses lettres, 122. Schiller était par ses goûts d’accord avec son siècle, c’était le contraire pour Goethe, 125. Son portrait, 162. Ses progrès constants, 163. Il n’a pas connu Calderon, 215. Influence sur Goethe, 216. Est-il plus grand que Goethe ? 217. Il n’aimait pas ses premières pièces, 276. Schiller et Byron comparés, 282. Excès de travail, 285. Il préfère Kolzebue à Schlegel, 286. Ses premières pièces manquent de maturité, 356. Il a abusé de l'histoire et de la philosophie, 383. Amitié avec Goethe, 402. Trait d’impatience, 403. Sa franchise, II, 31. Travail commun avec Goethe, 69. Intérêt de ses lettres, 100. Son caractère hâtif, 100. Toujours malade, 152. Ses premières pièces trop longues, 215. Génie subjectif, 224. Soumis parfois à l’influence fâcheuse des femmes, 275. Son influence durable, 442.
Schlegel (les), 29. Ils surfont Tieck pour rabaisser Goethe, 121, 216. Pourquoi G. de Schlegel n’aimait pas Molière, 323. Caractère de sa critique, 324. Jugement général, 325. Visite à Goethe, 351. Où ils ont pris l’idée d'opposer le classique et le romantique, II, 224.
Schmidt, 13.
Schœne, II, 242.
Schrœder, II, 434.
Schubart, 43, 68, II, 78.
Schuchardt, 85.
Schultz, 38.
Schütze, 13, 241, 390.
Science humaine. Sa petitesse, 430. Lenteur de ses progrès, 434.
Scott (Walter), 146, 302. Lettre, 383. Supérieur aux poëtes allemands, II, 34. La jolie Fille de Perth, 35. Mot de Tieck, 41. Son habileté, 44. Son Histoire de Napoléon, 161. Créateur d’un art nouveau, 270. Rob-Roy, 271. Faute grave, 273.
Seizième siècle (grandeur du), 257.
Ségur, II, 139.
Sensibilité du génie, II, 252.
Serbes (chants), 154, 294, II, 447.
Shakspeare. Tort qu’il a fait à ses successeurs, 78. Sa grandeur, 79. Ses imitateurs, 95. Shakspeare des familles aujourd’hui nécessaire, 99. Son influence sur l’Allemagne, 146. Immensité effrayante de son génie, 229. C’est plus qu’un poète dramatique, 229. Il a perdu beaucoup de poètes allemands, 230. Pourquoi ses pièces sont-elles peu faciles à jouer ? 244. Transforme les Romains en Anglais. 301. Pourquoi il a intercalé des scènes gaies dans ses tragédies, 305. Jugé par Schlegel, 324. Doit être étudié par tout poëte, 331. Comment il a écrit ses pièces, 351. Peut-être mieux compris en Allemagne qu’en Angleterre, 379. Il n’a pas de passages faibles, II, 11. Génie inaccessible, 149. Joué à Paris, 362. Étude sur Shakspeare, 424. Il a concilié dans ses œuvres le génie antique et le génie moderne, 430. Il a écrit des poèmes dramatiques et non des pièces de théâtre, 432. La scène était trop étroite pour son génie, 433. Comparé à Calderon, 446. Avantages qu’il a dus à naître protestant, 446. Comparé à Homère, 467.
Shandy (Tristram), II, 1.
Shandysme, II, 182.
Silence gardé par Goethe sur ses compositions, 62.
Situations tragiques, combien y en a-t-il ? II, 176.
Smollet, 369.
Société. Doit se développer comme la rose, insensiblement et sans s’arrêter