Traité élémentaire de la peinture/Index

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Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François DetervilleDeterville, Libraire (p. 312-333).


TABLE
DES MATIÈRES.

A.


Air. Couleurs et qualités de l’air, selon qu’il est plus près ou plus loin de terre, pag. 56, ch. lxix.
Air qui paroît sur la superficie de l’eau, pag. 115, ch. cxxxv.
D’où vient à l’air sa couleur d’azur, pag. 125, ch. clj, pag. 288 et 289, ch. cccxl.
Anatomie. Un Peintre, pour dessiner correctement, doit savoir l’anatomie, pag. 30, ch. xliij.
Qu’il faut étudier l’anatomie, et comment, pag. 412, ch. lvij.
Attitude. Moyen pour donner aux figures une attitude convenable, pag. 45, ch. lviij.
Attitude des enfans, pag. 44, ch. lxj.
Des vieillards, pag. 45, ch. lxij.
Des vieilles, ibid. ch. lxiij.
Des femmes, ibid. ch. lxiv.
L’attitude doit être convenable au sujet, pag. 179, ch. ccxvj.
Différences d’attitude, ibid. ch. ccxvij.
Moyen de connoître les attitudes convenables à chaque sujet, pag. 180, ch. ccxviij et suiv.
Attitude qu’il faut donner aux figures en différentes occasions, pag. 197 et 198, ch. ccxlij.
Attitude d’une figure qui montre quelque chose, pag. 198, ch. ccxliij.
Des enfans, des vieillards, pag. 209, ch. cclviij.
Des femmes, des jeunes gens, ibid. ch. cclix.
De ceux qui sautent, pag. 220, ch. cclx.
De ceux qui jettent quelque chose avec impétuosité, pag. 211, ch. cclxj.
De ceux qui arrachent quelque chose, ou qui la fichent en terre, pag. 212, ch. cclxij.
D’un homme en colère, pag. 207, ch. cclv.
D’un désespéré, ibid. ch. cclvj.
Azur. D’où vient à l’air la couleur d’azur, pag. 125, ch. clj.


B.

Bataille. Comment on doit représenter une bataille, pag. 50, ch. lxvij.
Beauté. Ce qui contribue à en donner aux visages, du côté du dessin et du côté du clair-obscur, pag. 163, ch. cxcj.
Bienséance. De l’observation des bienséances, pag. 200, ch. cclj.
Blanc. N’est point mis au nombre des couleurs, pag. 128, ch. clv.
La couleur de son ombre quand il est à la campagne, ibid.
Bonne-grace. D’où vient la bonne-grace des figures, pag. 174, ch. ccx.


C.

Campagne. Voyez paysage.
Caractère. Caractère des enfans, des vieillards, des vieilles, des femmes, pag. 45 et suiv. ch. lxj et suiv.
Carnation. Quelle lumière on doit prendre pour peindre les carnations, pag. 26, ch. xxxvj.
Carnation des visages, leur couleur, pag. 109, ch. cxxvj.
Champ. Quel champ convient à chaque ombre et à chaque lumière, pag. 116. ch. cxxxvij.
Ce qu’il faut faire quand le champ est de même couleur que le corps auquel il sert de champ, pag. 117, ch. cxxxviij.
Effet des couleurs qui servent de champ au blanc, pag. 117 et suiv. ch. cxxxix.
Du champ des figures, pag. 118, ch. cxl, pag. 234, ch. cclxxxiij.
Du champ convenable à chaque chose, pag. 119, ch. cxlj.
De la couleur du champ de quelque figure que ce soit, pag. 127, ch. cliv.
Quelle doit être la couleur du champ pour donner du relief aux figures, pag. 132 et suiv. ch. clix et clx.
Du rapport du champ avec les figures, pag. 249, ch. ccciv, pag. 283, ch. cccxxxiv.
Clair-obscur. Des jours et des ombres qu’il faut donner aux figures qu’on dessine d’après les bosses et les figures de relief, pag. 1 g et suiv. ch. xxviij, pag. 21, ch. xxix.
Donner de la grace à une tête par le moyen des ombres et des lumières convenables, pag. 25, ch. xxxv.
Si le clair-obscur l’emporte sur le dessin, pag. 42, ch. lvj.
Des degrés de teintes dans la Peinture, pag. 121 et suiv. ch. cxliv.
Des jours et des ombres qu’il faut donner aux figures, pag. 225, ch. cclxxix, pag. 230, ch. cclxxxiv, pag. 243, ch. ccciij.
Des lumières grandes ou petites, et des ombres, pag. 234, ch. cclxxxix, pag. 246, ch. cccij.
Coloris, couleur. Que l’assortiment des couleurs doit servir à détacher les figures, et à les faire paroître éloignées les unes des autres, pag. 60, ch. lxxiij.
Des couleurs réfléchies, de leur force et de leur foiblesse, pag. 73, ch. lxxxvij.
De l’assortiment des couleurs pour leur donner de la grace, pag. 84, ch. xcix.
Comment on peut rendre les couleurs belles et vives, pag. 85, ch. c.
De la couleur des ombres des couleurs, pag. 86, ch. cj.
De la variété des couleurs, qui vient de ce qu’elles sont plus éloignées ou plus proches, ibid. ch. cij.
À quelle distance les couleurs disparoissent entièrement, pag. 87, ch. ciij.
Quelle est la couleur de l’ombre du blanc, pag. 88, ch. civ.
Quelle couleur produit l’ombre la plus obscure, ibid. ch. cv.
En quelle occasion la qualité de l’air et la distance n’apportent point de changement aux couleurs, pag. 89 et suiv. ch. cvj, et pag. 95, ch. cviij.
De la perspective des couleurs, pag. 93, ch. cvij.
Des couleurs qui se perdent étant dans l’ombre, pag. 96, ch. cix.
Pourquoi on ne distingue point la couleur des choses qui sont dans un lieu qui paroît n’être point éclairé, quoiqu’il le soit, pag. 97, ch. cx.
Ce qui est nécessaire pour que la véritable couleur des choses paroisse, pag. 98, ch. cxj.
Du changement que cause aux couleurs le champ sur lequel elles sont, pag. 99, ch. cxij.
Du changement des couleurs transparentes couchées sur d’autres couleurs, pages 99 et suivantes, chap. cxiij.
Du mélange des couleurs, ibid.
Du degré de teinte où chaque couleur paroît davantage, pag. 100, ch. cxiv.
Que les couleurs qui n’ont point de lustre sont plus belles dans les parties éclairées que dans les parties sombres, pag. 101, ch. cxv.
De l’apparence des couleurs, pag. 102, ch. cxvj.
Quelle partie de la couleur doit être plus belle, ibid. ch. cxvij.
Ce qu’il y a de plus beau dans une couleur doit être placé dans les jours, pag. 103, ch. cxviij.
Du mélange des couleurs, leur nombre, pag. 105 et suiv. ch. cxxj.
De la couleur de la surface des corps opaques, pag. 107, ch. cxxij.
Quel fond est plus propre à recevoir les couleurs, ibid. ch. cxxiij.
Quelle partie d’un corps participe davantage à la couleur de son objet, pag. 108, ch. cxxiv.
En quel endroit un corps paroîtra d’une plus belle couleur, pag. 109, ch. cxxv.
Du changement que cause dans les couleurs leur éloignement de l’œil, pag. 110, ch. cxxviij.
Quel corps fait moins paroître sa véritable couleur, pag. 112, ch. cxxxj.
Quel corps la fait mieux paroître, ibid. ch. cxxxij.
De l’affoiblissement des couleurs causé par l’éloignement, pag. 113, ch. cxxxiv.
Causé par un corps qui est entre elles et l’œil, pag. 116, ch. cxxxvj.
Des couleurs des choses qui sont éloignées de l’œil, pag. 120, ch. cxliij.
Des degrés de teintes dans la Peinture, pag. 121, ch. cxliv.
Effets des couleurs différentes opposées les unes aux autres, pag. 123, ch. cxlvj.
Couleur des ombres, ibid. ch. cxlvij.
Affoiblissement des couleurs dans les lieux obscurs, pag. 124, ch. cxlviij.
Perspective des couleurs, ibid. ch. cxlix.
Ce qui rend les couleurs plus belles, pag. 125, ch. cl.
Rapport et conformité de certaines couleurs, p. 126, ch. clij.
Des couleurs qui sont dans l’ombre, pag. 126 et suiv ch. cliij.
Quelle couleur le feu et la lumière du matin et du soir donnent aux objets, pag. 129, ch. clvj.
Couleur des lumières incidentes et des lumières réfléchies, pag. 130, ch. clvij.
Des couleurs qui résultent du mélange des autres couleurs, pag. 134, ch. clxj.
Diverses remarques sur les couleurs, pag. 135 et suiv. ch. clxij, pag. 253, ch. cccviij, pag. 254, ch. cccix.
De la couleur des montagnes, pag. 138, ch. clxiij.
Pratique de la perspective des couleurs, pag. 139, ch. clxiv.
Couleur que les rayons du soleil donnent aux objets, pag. 256, ch. cccx.
Des objets qu’on voit de loin, et au travers d’un air épais, pag. 257 et suiv. ch. cccxij et suiv.
De la couleur bleue que les ombres des corps produisent sur la fin du jour sur un corps blanc, pag. 270, ch. cccxxviij.
Diverses remarques sur les couleurs, pag. 273 et suiv. ch. cccxxxij, pag. 288, ch. cccxl.
Manière d’appliquer les couleurs sur la toile, pag. 300, ch. cccliij.
Effet des corps transparens qui sont entre l’œil et son objet, par rapport aux couleurs, p. 303, ch. ccclvij.
Composition. Il faut, dans la composition d’un tableau, mettre de la variété dans les figures, et en quoi, pag. 78, ch. xciv et pag. 82, ch. xcvij.
Il faut, dans la composition d’un tableau, observer les coutumes et les bienséances, pag. 203, 204, 205, ch. cclj et suiv.
Composition d’un tableau où l’on représente une personne qui parle à plusieurs autres, pag. 205, ch. ccliv.
D’une bataille, pag. 50 et suiv. ch. lxvij.
D’une tempête, pag. 47, ch. lxvj.
D’une nuit, pag. 46, ch. lxv.
D’un animal chimérique, pag. 231, ch. cclxxxvj.
Contour. Qu’il faut éviter la dureté des contours, p. 35, ch. lj.
L’éloignement fait perdre les contours, pag. 236, ch. ccxcj.
Contours des corps qui sont sur d’autres corps, pag. 237, ch. ccxciv.
Contour des corps du côté du jour, pag. 286, ch. cccxxxvij.
Des contours plus ou moins sensibles, pag. 286 et suiv. ch. cccxxxviij et suiv.
Contraste. Il faut du contraste dans une composition d’histoire, dans les airs de tête, les traits du visage, la situation des membres, &c. pag. 83, ch. xcviij, pag. 154, ch. clxxxiij.
Il en faut dans la situation des membres, même d’une seule figure, pag. 214, ch. cclxv.

D.

Défauts. Moins remarquables dans les petites choses que dans les grandes, pag. 36, ch. lij.
Dessin. Manière d’apprendre à dessiner, pag. 9, ch. xij.
En dessinant il faut s’accoutumer à finir ce qu’on fait, pag. 13, ch. xviij.
Quand on dessine d’après le naturel, à quelle distance il faut être de l’objet qu’on dessine, pag. 17, ch. xxv.
De quel côté il faut prendre le jour, et à quelle hauteur il faut prendre son point de lumière pour dessiner d’après le naturel, pag. 18, ch. xxvij, pag. 23, ch. xxxj.
Comment il faut dessiner le nu, pag. 22, ch. xxx.
Manière de dessiner un paysage, ou de faire un plan de quelque campagne, pag 23, ch. xxxij.
Comment il faut dessiner à la lumière de la chandelle, pag. 24, ch. xxxiv.
Comment on doit dessiner les figures qui doivent entrer dans la composition d’un tableau, pag. 26, ch. xxxvij.
Moyen pour dessiner avec justesse d’après le naturel, pag. 27, ch. xxxviij.
Division d’une figure en différentes parties pour la bien dessiner, ibid. ch. xxxix.
Comment un Peintre doit se placer à l’égard du jour qui éclaire son modèle, pag. 28, ch. xl.
D’où vient qu’on se trompe dans le jugement qu’on fait de la beauté des parties du corps et de la justesse des proportions, pag. 29, ch. xlij.
Pour dessiner correctement, il est nécessaire de savoir l’anatomie, pag. 30, ch. xliij.
Division du dessin, pag. 33, ch. xlviij.
Proportion, attitude, expression des figures, ibid. ch. xlix, pag. 34, ch. l.
Si le dessin l’emporte sur le clair-obscur, p. 42, ch. lvj.
Manière de dessiner d’après la bosse, pag. 110, ch. cxxvij.
Mouvemens et proportions des membres de l’homme, pag. 142, ch. clxvj.
Changemens que l’âge cause dans les proportions des membres, ibid. ch. clxvij.
Différence des jointures des membres des enfans et de ceux des hommes, pag. 143, ch. clxviij.
Différence des proportions des membres des enfans et de ceux des hommes, pag. 144, ch. clxix.
Jointures des doigts, pag. 145, ch. clxx.
Des épaules, ibid. ch. clxxj.
Des mains, pag. 149, ch. clxxvj.
Des pieds, pag. 150, ch. clxxvij.
Des membres, pag. 156, ch. clxxxiv.
Mouvement des épaules, pag. 146, ch. clxxij.
Mesures des corps, pag. 146, ch. clxxiij, pag. 147, ch. clxxiv.
Plis des membres, ibid.
Leur effet, pag. 150, ch. clxxviij et clxxix, pag. 170, ch. cciv, pag. 171, ch. ccv.
Proportion des membres, pag. 148, ch. clxxv, pag. 157, ch. clxxxv.
Différens mouvemens de l’homme, pag. 151 et suiv. ch. clxxx et suiv.
Nez ; ses différentes formes ou figures, pag. 159 et suiv. ch. clxxxviij et suiv.
Muscles, comment ils doivent être marqués, pag. 163, ch. cxcj, pag. 165, ch. cxciv.
Hauteur des épaules dans les différentes actions de l’homme, pag. 166, ch. cxcvj.
À quoi il faut prendre garde en dessinant les figures, pag. 178, ch. ccxiij.
Effet des plis des membres, pag. 193, ch. ccxxxvj.
Plis qui se font aux jointures, pag. 195, ch. ccxxxviij.
Proportion des membres, pag. 202, ch. ccl.
Disposition à la Peinture différente de l’inclination, pag. 4, ch. iv.
Draperies. Des draperies, de leurs plis, &c. pag. 304 et suiv. ch. ccclviij et suiv.


E.

Éloignement. Effet de l’éloignement par rapport au dessin et par rapport au coloris, pag. 236, ch. ccxcij et suiv. pag. 251, ch. cccvj, pag. 252, ch. cccvij, pag. 260 et suiv. ch. cccxvj et suiv. pag. 282, ch. cccxxxiij, pag. 303, ch. ccclv et suiv.
Enfant. Caractère et attitude des enfans, pag. 44, ch. lxj.
Équilibre. Comment en retirant le bras étendu on change l’équilibre du corps, pag. 167, ch. cxcviij.
Centre de gravité dans les mouvemens lents, pag. 168, ch. cxcix.
Équilibre dans un homme qui porte un fardeau sur ses épaules, pag. ibid. ch. cc.
Dans un homme qui se tient sur ses pieds, pag. 169, ch. ccj, pag. 178, ch. ccxiv, pag. 215, ch. cclxvj.
Dans un homme qui marche, pag. 170, ch. ccij.
Dans un animal arrêté sur ses jambes, ibid. ch. cciij.
Dans l’homme considéré en différentes attitudes, pag. 171, ch. ccvj, et pag. 173, ch. ccix.
Dans un homme qui veut élever un poids, ou le remuer, pag 179, ch. ccxv.
Dans un homme qui est en repos, pag. 212, ch. cclxiij.
Dans un homme qui est debout, pag. 213, ch. cclxiv.
Dans un homme qui marche contre le vent, pag. 238, ch. ccxcv.
Équilibre des figures, pag. 297, ch. cccl.
Esquisse. Comment il faut faire les esquisses des compositions d’histoires et des figures, pag. 9, ch. xiij.
Étude. Ordre qu’un jeune Peintre doit garder dans ses études, pag. 1, ch. j.
À quoi il doit s’appliquer principalement dans ses études, pag. 2, ch. ij.
Comment il doit se comporter dans ses études, pag. 4, ch. v.
Manière de faire des études, pag. 5, ch. vij.
Moyen pour rendre les études plus utiles, pag. 12. ch. xvij.
Dans les études il faut apprendre à finir ses ouvrages, devant que de prendre une manière prompte et hardie, pag. 13, ch. xviij.
Qu’il faut voir le naturel, et ne pas se fier aux idées qu’on s’est formé des choses, pag. 14, ch. xx.
Qu’il faut étudier l’Anatomie, et comment, pag. 42, ch. lvij.
Comment il faut étudier les mouvemens du corps humain, pag. 79, ch. xcv.
Comment il faut étudier la composition des histoires, pag. 81, ch. xcvj.
Il faut étudier la nature, pag. 219, ch. cclxxij.
Expression. Moyen de donner aux figures une expression convenable, pag. 43, ch. lviij.
Elle consiste dans le mouvement des parties du visage, et des autres membres, pag. 158, ch. clxxxvij.
Ce qu’il y faut observer, ibid.
Les mouvemens des figures doivent exprimer leurs sentimens, pag. 164, ch. cxciij.
Expressions doivent être variées selon la différence des choses que font les figures, pag. 199, ch. ccxliv.
Et selon les sentimens différens de l’ame, pag. ibid. ch. ccxlv.
Effet des sentimens de l’ame sur le corps, pag. 200, ch. ccxlvj. et suiv.
Expression du rire, de la joie, de la tristesse, pag. 208, ch. cclvij.


F.

Fautes. Il faut corriger les fautes qu’on remarque dans ses ouvrages, pag. 10, ch. xiv.
Femme. Caractère et attitude des femmes, pag. 45, ch. lxiv.
Feu. Quelle couleur le feu donne aux objets qu’il éclaire, pag. 129, ch. clvj.
Figure. De la position des figures, pag. 74, ch. lxxxix.
Finir. Quelles choses doivent être plus finies, et quelles choses doivent l’être moins, pag. 60, ch. lxxij, et pag. 228, ch. cclxxxij.
Fond. Voyez Champ.
Fumée. Remarques sur la fumée, pag. 271, ch. cccxxix, pag. 272, ch. cccxxxj.


G.

Grandeur. Comment on peut représenter la juste grandeur des objets, pag. 58, ch. lxxj.
Groupe. Comment on peut apprendre à agrouper les figures, pag. 75, ch. xc.


H.

Horizon. De l’horizon qui paroît dans l’eau, pag. 311, ch. ccclxv.


I.

Imitation. Un Peintre ne doit pas imiter servilement un autre Peintre, pag 17, ch. xxiv.
Il doit imiter la nature, ibid.
Inclination. Inclination pour la Peinture, différente de la disposition, comment elle se connoît, pag. 4, ch. iv.
Invention. Moyen d’inventer aisément plusieurs choses, pag. 11, ch. xvj.
Jour. Voyez Clair-obscur.
Que le jour qu’on donne à un tableau est souvent différent de celui auquel on a dessiné les figures qu’on y fait entrer ; ce qu’il y a à observer sur cela, pag. 32, ch. xlvj.
Comment on doit prendre le jour en face, ou de côté, lequel donne plus de grace, pag. 61, ch. lxxiv.
Quel jour il faut prendre en peignant, pag. 238, ch. ccxcvj.
Quel jour donne plus de grace aux figures, pag. 293, ch. cccxliij.
Jugement. Jugement qu’on doit porter de ses ouvrages, pag. 14, ch. xx.
Un Peintre doit savoir les jugemens qu’on fait de ses ouvrages, ibid. ch. xix.


L.

Lointain. Comment on doit peindre un lointain, pag. 55, ch. lxviij.
Lumière. Voyez Jour et Clair-obscur.
Quelle lumière est avantageuse pour faire paroître les objets, pag 28, ch. xlj.
Division de la lumière, pag. 62 et suiv. ch. lxxvj.
Quelle lumière il faut donner aux paysages, pag. 113, ch. cxxxiij.
Lumière incidente et lumière réfléchie, leur couleur, pag. 130, ch. clvij.
Couleur des ombres, pag. 131, ch. clviij.


M.

Mer. Couleurs de l’eau de la mer, selon les divers endroits d’où elle est vue, pag. 122, ch. cxlv.
Méthode. Méthode qu’il faut donner à ceux qui veulent apprendre à peindre, pag. 2, ch. iij.
Modèle. Du choix qu’un Peintre doit faire d’un modèle, pag. 31, ch. xlv.
Montagne. Comment on doit représenter les montagnes, pag. 55 et 56, ch. lxviij.
De la couleur des montagnes, pag. 138, ch. clxiij.
Mouvement. Mouvement, course de l’homme et des animaux, pag. 165, ch. cxcv, pag. 242, ch. ccxcix.
Divers mouvemens de l’homme, pag. 172, ch. ccvij.
Le mouvement est produit par la perte de l’équilibre, pag. 173, ch. ccviij.
Liberté des membres, leur facilité à se mouvoir, pag. 175, ch. ccxj.
Mouvement de l’homme lorsqu’il tourne la tête en arrière, pag. 189, ch. ccxxxj.
Lorsqu’il approche les bras l’un de l’autre par derrière, pag. ibid. ch. ccxxxij.
Lorsqu’il se prépare à frapper de toute sa force, pag. 190, ch. ccxxxiij.
Si l’on peut tourner la jambe sans tourner la cuisse, pag. 194, ch. ccxxxvij.
Mouvement simple de l’homme, pag. 196, ch. ccxxxix.
Mouvement composé, ibid. ch. ccxl.
Mouvemens ; ils doivent être convenables à l’action qu’on représente, pag. 197, ch. ccxlj.
Mouvemens des animaux, pag 202, ch. ccxlix, pag. 216, ch. cclxvij et suiv.
Effet du mouvement dans l’homme, pag. 217, ch. cclxix.
Mouvement d’un homme qui saute, pag. ibid. ch. cclxx.
Muscle. Dans quelles figures les muscles ne doivent pas être trop marqués, pag. 182, ch. ccxx.
Des muscles gros et courts, ibid. ch. ccxxj.
Des muscles de ceux qui sont gras, pag. 183, ch. ccxxiij.
Des muscles qui disparoissent en différens mouvemens, ibid.
Dans quelles figures les muscles doivent être peu marqués, pag. 184, ch. ccxxiv, pag. 185, ch. ccxxvj.
Ce que marquent des muscles qui paroissent beaucoup, pag. 185, ch. ccxxv.
Extension et raccourcissement des muscles, p. 186, ch. ccxxvij.


N.

Nuit. Comment on doit représenter une nuit, pag. 46 et suiv. ch. lxv.


O.

Ombre. Voyez Clair-obscur.
Remarque sur les différentes ombres qu’on objet a en même temps, pag. 18, ch. xxvj.
Quelquefois les ombres ne doivent pas être trop exactement terminées, pag. 44, ch. lx.
Couleur des ombres, pag. 131, ch. clviij.
Ombre des ponts, marqués sur l’eau, pag. 296, ch. cccxlviij.


P.

Paysage. Manière de dessiner un paysage, pag. 23, ch. xxxij, pag. 24, ch. xxxiij.
Quelle lumière il faut donner aux paysages, pag. 113, ch. cxxxiij.
Dans un paysage les objets éloignés ne doivent pas avoir une teinte plus obscure, pag. 120, ch. cxlij.
Des arbres et des herbes qu’on représente dans un paysage, pag. 231, ch. cclxxxv.
Qu’il y faut observer chaque pays, pag. 293, ch. cccxliv.
Et chaque saison, pag. 294, ch. cccxlv.
Peintre, Peinture. Division générale de la Peinture, pag. 33, ch. xlvij.
Des jugemens qu’un Peintre fait de ses ouvrages et de ceux des autres, pag. 219 et suiv. ch. cclxxiij et suiv.
Usage d’un miroir en peignant, pag. 221 et suiv. ch. cclxxv.
Quelle peinture est la plus parfaite, pag. 223, ch. cclxxvj.
Quel doit être le dessein d’un Peintre et son intention, pag. 224, ch. cclxxvij.
S’il est plus important dans la Peinture de dessiner correctement ou d’entendre le clair-obscur, ibid. ch. cclxxviij.
En quel lieu il faut être placé pour bien voir un ouvrage de Peinture, pag. 227, ch. cclxxx.
Comment on doit juger des ouvrages de Peinture, pag. 284, ch. cccxxxv.
Perspective. Quand il la faut apprendre, pag. 1, ch. j.
De la perspective aérienne ou des couleurs, pag. 93, ch. cvij, pag. 113, ch. cxxxiv, pag. 140 et suiv. ch. clxv.
Pratique de la perspective des couleurs, pag. 139, ch. clxiv.
Faire paroître une figure plus grande qu’elle n’est en effet, pag. 244 et suiv. ch. ccc et suiv.
Observations sur la perspective, pag. 253, ch. cccviij, pag. 254, ch. cccix.
De la perspective linéale, pag. 264, ch. cccxxij.
Parties de la perspective par rapport à la Peinture, pag. 288 et suiv. ch. cccxl.
Usage de la perspective, pag. 297, ch. cccxlix, pag. 302, ch. cccliv.
Pluie. Effets de la pluie par rapport au coloris, p. 295, ch. cccxlvij.
Point de vue. Qu’il ne faut point peindre sur une même façade divers tableaux qui aient différens points de vue, pag. 39, ch. liv.
Un tableau n’a qu’un point de vue, pag. 43, ch. lix.
À quelle hauteur doit être le point de vue, pag. 228, ch. cclxxxj.
Portraits. Quelle lumière on doit prendre pour peindre les portraits, pag. 26, ch. xxxvj.
Observation pour faire les portraits, pag. 159, ch. clxxxviij.
Moyen de les faire, quoiqu’on n’ait vu qu’une fois la personne qu’on veut portraire, p. 161, ch. clxxxix.
Moyen de conserver l’idée des traits d’un visage, pag. 162, ch. cxc.
Poussière. Remarque sur la poussière qui s’élève, pag. 272, ch. cccxxx.
Pratique. La pratique doit suivre l’étude de la théorie, pag. 16, ch. xxiij.
Progrès. Comment on connoît le progrès qu’on fait dans la Peinture, pag. 8, ch. xj.
Proportion. Voyez Dessin.
Variété des figures qui vient de la différence des proportions, pag. 15, ch. xxj.
Quelle proportion il faut donner à la hauteur de la première figure d’un tableau d’histoire, pag. 76, ch. xcj.
Il faut toujours observer et garder les proportions, pag. 235, ch. ccxc.


R.

Raccourcir. En quelle occasion on peut faire des figures raccourcies, et quand on ne le peut pas, pag. 78, ch. xciij.
Reflet. Des reflets de lumière, pag. 62, ch. lxxv.
En quel endroit il ne peut y avoir de reflets, ibid. ch. lxxvj.
De la couleur des reflets, pag. 63, ch. lxxvij.
De la clarté ou de l’éclat des reflets, pag. 64, chap. lxxviij.
En quel endroit ils paroissent davantage, en quel endroit ils paroissent moins, pag. 65, ch. lxxix.
Quelle partie d’un reflet doit être plus claire, ibid. ch. lxxx.
Des reflets du coloris de la carnation, pag. 67, ch. lxxxj.
En quels endroits les reflets sont plus sensibles, pag. 68, ch. lxxxij.
Des reflets doubles et triples, ibid. ch. lxxxiij.
Que la couleur d’un reflet n’est pas simple, mais mêlée de deux ou de plusieurs couleurs, pag. 70, ch. lxxxiv.
Que les reflets sont rarement de la couleur du corps d’où ils partent, ou de la couleur du corps où ils sont portés, pag. 71, ch. lxxxv.
Des couleurs des reflets, de la vivacité et de la foiblesse de ces couleurs, pag 72, ch. lxxxvj.
Des termes des reflets, pag. 74, ch. lxxxviij.
Relief. Les choses peintes n’ont jamais le même relief que les choses naturelles, et pourquoi, pag. 37, ch. liij.
Quelle lumière peut donner un plus grand relief aux figures, pag. 41, ch. lv.
Moyen pour donner un grand relief aux figures, pag. 57, ch. lxx, et pag. 293, ch. cccxliij.
Quelle figure dans un tableau d’histoire doit avoir plus de relief, pag. 77, ch. xcij.
Comment on peut donner du relief aux visages, pag. 232 et suiv. ch. cclxxxvij, pag. 234, ch. cclxxxviij.
Relief des figures éloignées de l’œil, pag. 285, ch. cccxxxvj.
Différence entre le relief des figures peintes, et le relief des figures naturelles, pag. 290, ch. cccxlj.
Répétition. Il ne faut pas dans un même tableau répéter les mêmes choses, les mêmes attitudes, les mêmes plis de draperies, &amp ; c. pag. 30, ch. xliv, pag. 154, ch. clxxxiij, pag. 177, ch. ccxij.


S.

Statue. Pratique pour ébaucher une statue, p. 298, ch. ccclj.


T.

Teinte. Voyez Coloris.
Tempête. Comment on doit représenter une tempête, pag. 47 et suiv. ch. lxvj.
Théorie. Il faut étudier la Théorie devant que de s’adonner à une pratique prompte et légère, pag. 16, ch. xxiij.


V.

Vent. Comment il faut représenter les effets du vent, pag. 295, ch. cccxlvj.
Vert-de-gris. Du vert-de-gris, pag. 103, ch. cxix.
Moyen de le rendre plus beau, pag. 104, ch. cxx.
Verd. De la verdure de la campagne, pag. 111, ch. cxxix.
Quel verd tire plus sur le bleu, pag. ibid. ch. cxxx.
Vieilles gens. Caractère et attitude des vieillards et des vieilles, pag. 45, ch. lxij et lxiij.


U.

Universel. Un Peintre doit être universel, pag. 4, ch. v.
Ce qu’il doit faire pour être universel, p. 6 et suiv. ch. viij, ix et x, pag. 15 et suiv. ch. xxij.



fin de la table des matières.