Kiel et Tanger

Charles Maurras

Kiel et Tanger (1910)

Nouvelle Librairie Nationale, 1915.

TABLE DES MATIÈRES

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Préface de la deuxième édition (De 1905 à 1913, histoire de huit ans) 

 vii

i. — 

Après trois ans 

 xi

ii. — 

Le passé de « Kiel et Tanger » 

 xix

iii. — 

Un gouvernement inhumain 

 xxix

iv. — 

Essai loyal d’une réforme : après Agadir 

 xlvii

v. — 

Le déclin de l’expérience Poincaré 

 lxvii

vi. — 

L’esprit du mal 

 lxxxi

vii. — 

« Faites un roi » 

 xcviii

Introduction 

 cix

PREMIÈRE PARTIE

L’Erreur des républicains modérés

(1895-1898)

i. — 

L’avènement des modérés 

 3

ii. — 

Avant 1895 : « Point d’affaires ». Aucun système 

 8

iii. — 

L’alliance russe 

 15

iv. — 

Grave erreur de principe : un système apparaît 

 19

v. — 

La République conservatrice et ses jeunes ministres 

 23

vi. — 

Du système Hanotaux : qu’il reniait la République 

 29

vii. — 

Suite du système Hanotaux : le sentiment de la Revanche 

 34

viii. — 

Suite du système Hanotaux. La mission Congo-Nil. — L’Affaire 

 39

ix. — 

Comme en Pologne 

 49

x. — 

Fin du système Hanotaux : le désarroi de la Marine 

 59

xi. — 

L’oscillation de la Marine 

 66

xii. — 

Une réforme en Monarchie 

 72

DEUXIÈME PARTIE

Le Septennat des radicaux et la politique du monde

(1898-1905).

xiii. — 

Pourquoi Loubet fut magnifique 

 83

xiv. — 

La diplomatie spéculative 

 93

xv. — 

Le réalisme universel 

 101

xvi. — 

Le précédent nous engageait 

 112

xvii. — 

Le pouvoir du roi d’Angleterre : Nos colonies 

 124

xviii. — 

L’amitié italienne et les doctrines libérales 

 134

xix. — 

Le plan Delcassé. — De la faute ou du crime 

 147

xx. — 

Le plan Delcassé (suite). — La défense républicaine 

 157

xxi. — 

« Humiliation sans précédent » et « chose unique dans l’histoire » : de mars à juin 1905 

 165

TROISIÈME PARTIE

Inertie et mouvements depuis 1906.

xxii. — 

Le retour à l’inertie 

 183

xxiii. — 

Raison de l’inertie : que nulle République ne pourra manœuvrer. — Vaines réformes qui témoignent pour le Roi 

 193

xxiv. — 

Que la France pourrait manœuvrer et grandir 

 200

ÉPILOGUE

La trahison constitutionnelle 

 215

APPENDICES

i. — 

Conversation de Scheurer-Kestner avec Jules Grévy 

 241

ii. — 

L’idée de la Revanche d’après Scheurer-Kestner, le comte de Mun, Drumont, Jaurès, Gambetta, Ranc, etc. 

 244

iii. — 

Les fonctions propres de l’État. 

 275

iv 

(suite du précédent). — « Mais il faut la violer ». 

 292

v. — 

Dirigeables et aéroplanes. 

 298

vi. — 

Le Royaume d’Italie et l’esprit révolutionnaire. 

 305

vii. — 

Le comte Tornielli. 

 319

viii. — 

La gestion extérieure de l’ancien régime, d’après M. Étienne Lamy. 

 323

ix. — 

« Dans cent ans ». 

 330

x. — 

La Monarchie et la politique extérieure. 

 336

xi. — 

Nos secrets d’État. 

 339

NOUVEAUX APPENDICES

Appendice xii. — 

Le cri de Londres : « Vive Delcassé » 

 347

Appendice xii bis. — 

L’Allemagne, puissance méditerranéenne 

 353

Appendice xiii. — 

Critique et défense de Kiel et Tanger. — M. Hanotaux 

 354

Appendice xiv. — 

M. Henry Maret 

 361

Appendice xv. — 

Marcel Sembat 

 366

Appendice xvi. — 

M. Flourens 

 369

Appendice xvii. — 

Les jeunes patriotes des « Marches de l’Est » 

 380

Appendice xviii. — 

M. André Tardieu, secrétaire d’ambassade 

 384

 M. André Tardieu et Louis XV (par Jacques Bainville) 

 394

Appendice xix. — 

Agadir 

 400

Appendice xx. — 

L’incident franco-italien de janvier 1912 

 404

Appendice xxi. — 

Gambetta, la Revanche, la République, d’après Marcel Sembat 

 413

Appendice xxii. — 

Vérités visibles en Chine 

 424

Une lettre de M. Paul Boncour 

 427

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