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282. Les études ne servent qu'autant qu'on leur donne un but pratique, 29, 96.
Études littéraires et scientifiques. Leur différence, II, 90.
Étude des grands modèles. Son influence sur l’âme, 332.
Étudiants, 94.
Euclide, 430.
Europe moderne. Sa vie artificielle, II, 17.
Euphorion. Ce qu’il symbolise, II, 155.
Euripide, 15, 213, 301, 325.
Évangiles. Comment il faut les lire, II, 245. Considérés dans leur ensemble, leur authenticité est incontestable, 318. (Voir Bible.)

F

Fabre d’Olivet, II, 439.
Fabvier, II, 189.
Facilité, caractérise le génie, II, 119.
Facultés. Nécessité de les développer toutes, 218.
Faiblesse sentimentale du temps actuel, II, 87.
Fatalisme des musulmans. Son analogie avec la résignation des chrétiens, 339.
Fatalité moderne, 83, II, 326.
Fauriel, II, 420, 423.
Faust, 21, 43, 109. Ouvrage de fou, 151. Goethe a mangé là son héritage d’enfant du Nord, 239. N’est pas l’incarnation d’une certaine idée, 363. Analyse de la seconde partie, 399, II, 147, 150, 157, 258, 293, 299. Comment il s’achève, II, 9, 252. Comment il a été commencé, 85. Quelle musique lui conviendrait, 87. Scène écrite à Rome, 134. Traduit en français, 158. Poëme incommensurable, 159. Composé de parties indépendantes, 244. Il faut de l’érudition pour le lire avec plaisir, 253. Esprit général de la composition, 300. Illustré par Delacroix, 386.
Fautes qui rendent service, 227.
Fécondité durable des vrais grands hommes, II, 3.
Fausse fécondité des jeunes gens instruits, II, 144.
Femmes poëtes, 153. Les femmes sont de mauvais critiques, elles jugent avec le sentiment, 156, II, 37. Les femmes de Goethe, II, 54. Comparaison avec les écrivains, II, 99.
Femmes artistes, II, 153.
Fichle, II, 145.
Fielding, 146.
Filiation nécessaire dans l’art, 265.
Flemming, 265.
Flore d’un pays, influence sur les habitants, II, 104.
Flûte enchantée, opéra, 21.
Foi et science, leur séparation nécessaire, II, 349.
Folies, nécessaires de temps en temps, 73.
Fontenelle, II, 381.
Forme. Influence de la forme des poésies sur leur sens, 99.
Foscari (les), drame, 371.
Fouqué, 377, II, 33, 34.
Français. Leur style, 125. Leur caractère, 142. Effets de la littérature allemande sur la littérature française, 222. Changement des idées, 241. Comment ils jugent la Théorie des Couleurs, 255. Leur poésie repose toujours sur la réalité, 263. Développement rapide, 286. Ils aiment à partager le gouvernement avec leur chef et à dire leur mot à leur tour, 359. Ils ne reconnaissent pas à l’imagination des lois indépendantes de la raison, 372. Il n’y a plus d'inquiétude à avoir sur la liberté de l’esprit en France, 375. Les partis politiques obéissent à des idées bien plus hautes qu’en Angleterre, 376. Les Français manquent d’idéalisme historique, 378. Ils abandonnent difficilement leur point de vue propre pour juger, 381. Goethe leur doit beaucoup, II, 70. Voltaire est le français suprême, 77. Ils cherchent moins l’originalité que les Allemands, 116. Essor qu’ils prennent, 135. Leur rôle au dix-neuvième siècle, 136. Leur jugement sur le romantisme, 151. Les Allemands n’ont jamais cherché à exercer une influence sur eux, 188. Leur révolution romantique, 193. Pourquoi Goethe ne les haïssait pas, 201. Parti qu’ils sauront tirer d'Hélène, 259. Ils ont mal traduit ses ouvrages, 277. Nouveaux rapports avec l’Allemagne, 353. Leur activité féconde, 356.