Livre:Érasme - Éloge de la folie, trad de Nolhac, 1964.djvu

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TitreÉloge de la folie, suivi de la Lettre d’Érasme à Dorpius Voir l'entité sur Wikidata
AuteurÉrasme de Rotterdam Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurPierre de Nolhac Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionGarnier-Flammarion
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1964
Publication originale1936
BibliothèqueCollection particulière
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Les pages 129 à 174 ont été retirées du fac-similé, elles contiennent les annotations de Maurice Rat qui n’appartiennent pas au domaine public (attendre 2040).

TABLE ANALYTIQUE
des chapitres de l’Éloge de la Folie
et de la Lettre à Dorpius

A. — ÉLOGE DE LA FOLIE
IX. — 
 21

 35
LV. — 
 73
LVII. — 
 75
LVIII. — 
 76
LXVIII. — 
 94
B. — Lettre à Dorpius
I. — 
Les lettres de félicitations qu’Érasme reçoit de toutes parts lui font moins de plaisir que la lettre de reproches de son ami Dorpius 
 97
II. — 
Aussi, à peine en a-t-il connu la teneur qu’il s’empresse d’y répondre 
 97
III. — 
Il est presque fâché d’avoir écrit l’Éloge de la Folie, car si cet ouvrage lui a procuré un peu de gloire, il fait peu de cas d’une gloire où se mêle de la haine 
 98
IV. — 
Il n’a pourtant voulu blesser personne 
 98
V. — 
Ce n’est point sa manière, de répondre aux outrages par des outrages 
 99
VI. — 
Rendre le mal pour le mal n’est point d’un bon chrétien 
 99
VII. — 
Il a voulu, dans tous ses écrits, être utile et non offenser, réformer les mœurs et non scandaliser 
 100
VIII. — 
Mais, comme le conseillent Platon et Horace, comme l’a fait Lucrèce, comme le recommande saint Augustin, il a voulu dire des vérités sous une forme plaisante 
 100
IX. — 
La Folie qu’Érasme a mise en scène mérite peut-être le reproche de frivolité, mais non pas qu’on l’accuse d’aigreur 
 101
X. — 
Des circonstances qui entourèrent la composition de l’Éloge. Si l’Éloge est une sottise, que de sottises cent fois plus fortes ne pourrait-on relever ailleurs et même chez de grands théologiens 
 101
XI. — 
Érasme s’étonne, d’autre part, qu’on ait trouvé l’ouvrage trop mordant 
 102
XII. — 
Il a procédé à la façon des médecins qui emploient pour guérir les malades des drogues parfois amères 
 103
XIII. — 
La gaîté du langage n’exclut-elle pas toute offense ? 
 104
XIV. — 
Et depuis quand des railleries particulières comporteraient-elles une application universelle ? 
 104
XV. — 
Érasme n’a point attaqué tous les théologiens en en raillant certains qui sont fous ou méchants 
 105
XVI. — 
Pourquoi donc les théologiens seraient-ils plus susceptibles que les autres catégories de mortels ? 
 106
XVII. — 
À vrai dire, seuls ont pu être choqués par l’Éloge les théologiens stupides ou ignares 
 107
XVIII. — 
Mais Érasme n’a que faire de plaire à ces deux ou trois théologiens qui font cause commune avec les ennemis des belles-lettres 
 109
XIX. — 
Cette sorte de théologiens n’a-t-elle pas contribué, par son ignorance et son arrogance, à déformer la véritable figure du christianisme ? 
 109
XX. — 
Érasme a usé pourtant de grands ménagements a l’égard de ces théologiens 
 111
XXI. — 
Taxer l’Éloge d’impiété est le fait d’adversaires de mauvaise foi 
 112
XXII. — 
Érasme, si on lui reproche non le fond de son ouvrage, mais la forme, a à cet égard pour répondants les Pères mêmes de l’Église 
 113
XXIII. — 
Que de précautions du reste n’a-t-il pas prises ? 
 114
XXIV. — 
Érasme récuse le jugement des théologiens illettrés 
 115
XXV. — 
Il engage vivement, à ce propos, son ami Dorpius à apprendre le grec, sans quoi l’étude des lettres sacrées demeure incomplète et stérile 
 117
XXVI. — 
Quant à lui, il trouve vain, pour calmer la haine des théologiens, de faire la palinodie de l’Éloge de la Folie en l’Éloge de la Sagesse 
 118
XXVII. — 
Il est d’ailleurs persuadé que les mêmes théologiens à qui l’Éloge de la Folie a tant déplu désapprouveront l’édition de saint Jérôme qu’il prépare 
 118
XXVIII. — 
N’est-ce point à l’ignorance de cette sorte de théologiens qu’il faut imputer les défectuosités et les lacunes du texte de saint Jérôme ? 
 118
XXIX. — 
Érasme ne croit pas non plus que l’édition vulgaire du Nouveau Testament soit irréprochable, et, en dépit des craintes de Dorpius, il en donnera une édition critique 
 120
XXX. — 
Il récuse l’autorité des synodes en ces matières 
 122
XXXI — 
Si l’on écoutait les théologiens, le monde serait forcé d’accepter comme des oracles leurs contes à dormir debout 
 122
XXXII. — 
Érasme ne croit pas que la méthode critique détache jamais de l’enseignement du Christ 
 123
XXXIII. — 
Les travaux de Laurent Valla et de Jacques Le Febvre ne sauraient l’empêcher de poursuivre sa tâche, car, quel que soit le mérite de ces deux commentateurs, il ne partage pas leur avis sur tous les points. Il entend traduire le Nouveau Testament tout entier, en en donnant le texte grec et en justifiant par des notes sa version 
 124
XXXIV. — 
Érasme charge, pour finir, son ami Dorpius de plaider sa cause auprès de ses adversaires comme Dorpius a plaidé la leur auprès de lui 
 125
XXXV. — 
Compliments amicaux 
 126