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Henri Cornélis Agrippa, sa vie et son oeuvre d'après sa correspondance (1486-1539)

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PREMIÈRE PARTIE
LA VIE ET L’ŒUVRE D’AGRIPPA
Pages.
Introduction. — Utilité de cette étude sur la vie et l’œuvre de Cornélis Agrippa. — Justice à lui rendre. — Division de notre étude. 
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I. — Portrait d’Agrippa au physique et au moral. — Données contradictoires sur sa vie et ses écrits. — Sa naissance en 1486. Sa famille et sa jeunesse à Cologne. — Par traditions de ses ancêtres, il débute dans le métier des armes. — De 1501 à 1507, il passe sept années au service de l’Autriche en Espagne, en Italie, dans les Pays-Bas. — Il est créé chevalier sur le champ de bataille. 
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II. — En 1507 il vient étudier à Paris. — Faute de ressources, il est obligé de revenir au foyer paternel à Cologne. — On le trouve en 1508 en expédition militaire au pied des Pyrénées. — Singulier épisode et sa lettre d’Avignon de février 1509. — Pérégrinations à Avignon, à Autun, à Dôle. — À l’université de Dôle il fait des conférences sur le Verbum mirificum de Reuchlin. — Il déchaîne contre lui la colère des moines ; sa querelle avec Catilinet et son mémoire virulent à ce sujet. 
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III. — Agrippa va en 1510 chez Jean Colet, en Angleterre. Son séjour à Londres, où il écrit ses commentaires sur les épitres de saint Paul. — La même année il reparaît à Cologne il y professe la théologie. — Voyage à Wurtzbourg, ses relations avec l’abbé Tritheim et conséquences de cette liaison. — Vers la fin de 1514 il se marie avec une jeune Italienne. — Il parcourt avec elle Milan, Brindes, Casal. — Concile de Pise où il est emmené comme théologien par le Cardinal de Sainte-Croix. — Leçons à l’Université de Pavie et de Turin. — Ses rapports avec les Suisses et le Cardinal Schinner, légat de Jules II en Lombardie. — Pour services diplomatiques il est félicité par un bref de Léon X. 
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IV. — Il est nommé en février 1518 syndic et orateur de la ville de Metz. — Son discours à son entrée en fonctions. — L’année suivante il s’absente un moment de Metz pour voir son vieux père, qui meurt peu après, en 1519. — Domination des Paraiges et des moines messins. — Discussions théologiques sur sainte Anne. — Défense énergique par Agrippa d’une vieille femme accusée de sorcellerie par l’inquisition ; son triomphe en cette cause mémorable, mais il se fait des ennemis irréconciliables. 
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V. — Sur la fin de 1519, il quitte Metz avec sa femme et son fils Théodoric. — Bonnes relations chez les Messins, entr’autres avec le curé Brennon. — Il retourne à Cologne ; là aussi querelles religieuses auxquelles il prend part. — Abandonnant Cologne, il vient à Genève. — En route, à Metz, triste événement imprévu : sa femme meurt. — Ses regrets, soins touchants de Brennon, fondations pieuses pour la défunte 
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VI. — Agrippa chez les Suisses. — Ses secondes noces à Genève le 17 septembre 1521. — Il en aura six enfants. Eustache Chapuys, official de Genève, devient son ami et le parrain du petit Haymon. — De Genève, Agrippa se rend à Fribourg au début de 1523, où, grâce aux Laurencin, il est nommé médecin de la ville. — Ère d’apaisement. — Il y exerce consciencieusement la médecine mais, par besoin de mobilité ou espérances ambitieuses, il donne sa démission. — Les conseillers Fribourgeois l’honorent d’une gratification le 8 février 1524. — Comparaison avec Rabelais. 
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VII. — Cornélis Agrippa à Lyon, en mai 1524. — Amitiés avec le puissant évêque de Bazas, agent diplomatique de Louis XII et de François Ier. — Présenté à la cour par ce prélat, il est nommé médecin de Louise de Savoie. — Superstitieuse et crédule, cette Princesse voulut en faire son devin. — Résistance d’Agrippa à cette besogne. — Lettre intime du 21 mai 1525 à Eustache Chapuys sur la politique à la cour de France. — Son peu de conviction et de loyauté politique. 
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VIII. — Le connétable de Bourbon. — Prophéties d’Agrippa à ce prince rebelle. — Rancune de Louise de Savoie contre son médecin devin. — Dédicace de l’opuscule De sacramento matrimonii à la princesse Marguerite de Valois, qui s’en trouve peu flattée ; manque de tact d’Agrippa à cet égard. — Les suites d’une rancune de femme. À la cour, la rumeur des courtisans veut faire passer le docteur allemand pour Bourbonniste. — Départ de la Cour de Lyon pour la frontière d’Espagne au devant de François premier. Ordre est intimé à Agrippa de rester à Lyon ; son collègue Chapelain, autre médecin de la reine-mère, accompagne la cour en voyage. — Agrippa se défend du soupçon d’être Bourbonniste. 
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IX. — Ses émoluments de médecin de la cour ne lui sont pas payés. — Épisode curieux des trésoriers de France. — Sollicitations du docteur Chapelain envers Louise de Savoie en faveur de Cornélis. — Martin de Troyes et les frères Antoine et Thomas Bullioud. — Douloureuse résignation ; science et misère. — Livre d’Agrippa sur l’Incertitude et la vanité des sciences et des arts. — Secours inespéré d’un nouveau Mécène : Augustin Fornari, riche Génois. — Celui-ci, qui avait des comptoirs commerciaux à Anvers, l’engage avec d’autres amis à y venir. 
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X. — Agrippa continue sa lutte pour obtenir à tout prix ses appointements non payés. — « Bullioud me paye en bulles. » — Violente colère du docteur contre la cour. — Il se voit obligé de recommencer ses recherches sur la pierre philosophale. — Croyance qui remonte aux sources égyptiennes, babyloniennes et gnostiques. — Le rêve des alchimistes. — Agrippa écrit à Chapelain avec une explosion de joie ; doutes à ce sujet ; fausse alerte. — Il faut revenir aux frères Bullioud. — Véran Chalandat. 
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XI. — Comédie peu délicate d’Agrippa vis-à-vis de Bullioud. — Il reçoit enfin ses écus « posthumes ». — Offres du Connétable ; il les refuse. — Le duc de Bourbon est tué à l’assaut de Rome le 6 mai 1527. — Agrippa réclame de Lyon à la cour un sauf-conduit ; longue attente. — Après 3 ans de séjour en cette ville, il la quitte le 6 décembre 1527. — Descendant la Loire, il passe par Briare, Gien, Montargis. — Il arrive à Paris, où il réside pendant plus de six mois, de janvier à juillet 1528. — Pour vivre, il pratique la médecine. 
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XII. — Au 25 février 1528, il reçoit le sauf-conduit tant réclamé, document valable pour six mois et pour 10 personnes de sa suite. — Le duc de Vendôme, devenu le chef de la maison de Bourbon à la mort du connétable, refusa, occupant les frontières avec ses troupes, de contresigner le sauf-conduit. — Craintes sérieuses qu’éprouva Agrippa de la reine-mère. — Il s’enfuit nuitamment, laissant à Paris, aux soins de son parent Guy Furbity, sa femme, ses enfants, ses bagages. — Il arrive à Anvers le 23 juillet 1528. — Correspondance avec Aurélien d’Aquapendento et Chapelain. — Ses imprécations contre Louise de Savoie. — Lettre de Guy Furbity lui apprenant que Jeanne-Loyse est tombée malade à Paris. — Il s’empresse de faire venir sa famille à Anvers. — Première édition en 1528 de l’Incertitude et vanité des sciences. 
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XIII. — Sa réputation de médecin dans les Flandres et en Brabant. — Appelé en juin et juillet 1529 à Louvain et à Malines auprès de riches malades, il correspond pour ses intérêts d’affection et de famille avec Jean Wier. — Intérieur privé d’Agrippa. Douce vision ; mais il perd brusquement sa femme Jeanne-Loyse et deux de ses enfants pendant la peste d’Anvers. — Lettre touchante à Furbity sur ces morts tragiques. — Épigramme latine d’Aurélien d’Aquapendente sur le trépas de Jeanne-Loyse. — Les médecins d’Anvers désertent la ville ; Agrippa reste pour secourir les pestiférés. — Il compose un remède héroïque pour les sauver. — Le professeur Jean Thibaut l’aide dans cette tâche périlleuse. — Procès des docteurs anversois contre celui-ci pour exercice illégal de la médecine. — Agrippa le défend et gagne sa cause. 
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XIV. — Grand bruit autour de son dernier ouvrage. — Démarches faites auprès de lui s’adressant plus à l’écrivain qu’au médecin. — Le chancelier Gattinara. — Eustache Chapuys ambassadeur impérial à Londres auprès d’Henri VIII. — Le marquis de Montferrat. — Agrippa se décide à accepter de Marguerite d’Autriche, gouvernante des Pays-Bas, les fonctions d’historiographe impérial. — Il débute par la relation du Couronnement de Charles-Quint à Cologne. — Ensuite il dédie à Marguerite d’Autriche son livre sur la Supériorité du sexe féminin. 
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XV. — Il va s’établir à Malines. — Son troisième mariage. — Malheureux dans cette nouvelle union, il se livre à un travail d’une incroyable activité. — La publication de ses opuscules précède ses grands traités. — Ennuis que lui causent les moines à propos de son Incertitude et vanité des sciences, dont certaines propositions sont soumises au Conseil de Malines. — Il présente sa défense ; pression d’en haut ; Marguerite est circonvenue à son égard, mais elle meurt fin de l’année 1530. — Comme nouveau défi à ses ennemis qui ont juré sa perte, il jette dans le public sa Philosophie occulte, qu’il place sous la protection souveraine de l’Électeur de Cologne. — Cette publication ravive les querelles, empire sa situation matérielle et morale. — Depuis la publication de cet ouvrage en 1531, ses appointements de fonctionnaire impérial ne lui sont pas payés. — Deux cardinaux le tirent d’embarras. 
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XVI. — L’Ambassadeur Chapuys lui demande le concours de sa plume pour empêcher le divorce de Catherine d’Aragon. — Correspondance avec Eustache Chapuys, avec le cardinal Campegi et Mélanchton. — Le Prince-Archevêque, Électeur de Cologne, appelle Agrippa auprès de lui. — Nouveau séjour à Cologne en mars 1532 ; il a quitté furtivement Malines afin de se mettre à l’abri des poursuites de ses créanciers. — Dans la même année, il reparaît un instant en Brabant en septembre, à Francfort ; puis il vient à Bonn, où il finit par s’établir définitivement dans une spacieuse habitation ; il y passe la majeure partie des trois dernières années de sa vie. — De Bonn, il surveille la réimpression de ses ouvrages, dont le succès va grandissant. — L’inquisiteur Conrad d’Ulm interdit les nouvelles éditions de ses œuvres. — Agrippa proteste énergiquement contre ce véto ; il en réfère au sénat de Cologne. — En même temps, long factum adressé à Marie, reine de Hongrie, nouvelle gouvernante des Pays. — Inutiles efforts ; fatigue morale. — On retrouve Agrippa peu après aux eaux thermales de Wertrigies avec le Prince-Archevêque. 
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XVII. — Agrippa a l’idée funeste de revenir à Lyon. — Il pensait les anciennes haines éteintes. — Dès son arrivée, il est incarcéré. — De puissants personnages obtiennent sa libération. — Il va se réfugier à Grenoble, où il tombe malade. — Sa mort inopinée, à 49 ans, en 1535, chez le Président François de Vachon de la Roche. — L’église des Frères Prêcheurs à Grenoble reçoit sa dépouille mortelle. — Au temps de Guy Allard, l’historien du Dauphiné au xviie siècle, on voyait encore la pierre tombale dans l’emplacement de cette église détruite en 1562. — Talent d’Agrippa diversement apprécié. — Sa ressemblance avec Apulée de Madaure dans sa vie et ses écrits. — Véritable pensée d’Agrippa sur la magie et les sciences occultes. 
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SECONDE PARTIE
Extraits, annotés et traduits pour la première fois du latin, de la correspondance d’Agrippa avec ses amis et les personnages de son temps.

I. — 
Lettre d’Agrippa à Landolphe. Avignon, le 6 février 1509 
 51
II. — 
Agrippa à Jean Tritheim. En 1510 
 57
III. — 
L’abbé Jean Tritheim à Agrippa. Wurzbourg, le 8 avril 1510 
 59
IV. — 
Un ami à Agrippa. Turin, en mars 1517 
 60
V. — 
Un ami à Agrippa. Turin, mars 1517 
 60
VI. — 
Un ami à Agrippa. Turin, aux ides de mars 1517 
 61
VII. — 
Un ami à Agrippa, mai 1517 
 61
VIII. — 
Un ami à Agrippa. Genève, entre 1517 et 1519 
 62
IX. — 
Un ami à Agrippa. Genève, 16 janvier, même époque 
 64
X. — 
Agrippa à un ami, mai 1519 
 65
XI. — 
Jacques Lefebvre d’Étaples à Agrippa. Paris, 20 mai 1519 
 66
XII. — 
Agrippa à Lefebvre. Metz, juin 1519 
 66
XIII. — 
Lefebvre à Agrippa. Paris, 20 juin 1519 
 68
XIV. — 
Agrippa à Lefebvre. Metz, 1519 
 69
XV. — 
Jacques Lefebvre à Agrippa. Paris, 14 novembre 1519 
 70
XVI. — 
Claude Dieudonné à Agrippa. Annecy, 26 juin 1521 
 71
XVII. — 
Claude Dieudonné à Agrippa. Annecy, 10 septembre 1521 
 71
XVIII. — 
Claude Dieudonné à Agrippa. Annecy, 2 octobre 1521 
 72
XIX. — 
Agrippa à Claude Dieudonné. Genève, 25 novembre 1521 
 73
XX. — 
Agrippa à Claude Dieudonné. Genève, 1521 
 73
XXI. — 
Eustache Chapuys à Agrippa. Genève, 1522 
 74
XXII. — 
Agrippa à un ami. Genève, 19 septembre 1522 
 74
XXIII. — 
Agrippa à un ami. Genève, 3 octobre 1523 
 75
XXIV. — 
Agrippa à un ami. Genève, 3 octobre 1522 
 76
XXV. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Fribourg (Suisse), 20 mars 1523 
 77
XXVI. — 
Eustache Chapuys à Agrippa. Genève, avril 1523 
 77
XXVII. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Fribourg, 19 octobre 1523 
 78
XXVIII. — 
Claude Blancherose à Agrippa. Annecy, 15 novembre 1523 
 78
XXIX. — 
Blancherose à Agrippa. Annecy, 20 novembre 1523 
 80
XXX. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Lyon, 3 mai 1524 
 81
XXXI. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Lyon, 1524 
 81
XXXII. — 
François Bonivard à Agrippa. Lompnes, 1524 
 82
XXXIII. — 
Un ami à Agrippa. Bâle, 1524 
 83
XXXIV. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Lyon, 21 mai 1525 
 84
XXXV. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Lyon, 8 juin 1525 
 85
XXXVI. — 
Un ami à Agrippa. Sursée (Suisse), 1 juin 1525 
 86
XXXVII. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Lyon, 24 juillet 1525 
 86
XXXVIII. — 
Eustache Chapuys à Agrippa. Genève, 2 août 1525 
 87
XXXIX. — 
Un ami à Agrippa. Chambéry, 5 mai 1526 
 87
XL. — 
Jean Chapelain à Agrippa. Cognac, 17 mai 1526 
 88
XLI. — 
Agrippa à Chapelain. Lyon, 16 septembre 1526 
 89
XLII. — 
Agrippa à Chapelain. Lyon, 3 novembre 1526 
 89
XLIII. — 
Un ami à Agrippa. Montluel, février 1526 
 95
XLIV. — 
Agrippa au connétable de Bourbon. Lyon, 26 février 1527 
 95
XLV. — 
Agrippa au connétable de Bourbon. Lyon, mars 1527 
 96
XLVI. — 
Agrippa à Jean Chapelain. Anvers, 25 juillet 1528 
 96
XLVII. — 
Un ami à Agrippa. Cambrai, 30 juillet 1529 
 97
XLVIII. — 
Agrippa à Guillaume Furbity, son parent. Anvers, août 1529 
 98
XLIX. — 
Agrippa à Guillaume Furbity, son parent. Anvers, 4 octobre 1529 
 100
L. — 
Agrippa à l’Archevêque de Cologne. Malines, janvier 1531 
 101
LI. — 
Agrippa à Érasme. Bruxelles, janvier 1531 
 102
LII. — 
Eustache Chapuys, ambassadeur impérial, à Agrippa. Londres, 26 juin 1531 
 103
LIII. — 
Agrippa à Eustache Chapuys. Bruxelles, août 1531 
 105
LIV. — 
Agrippa au Cardinal Campegio. Bruxelles, 21 août 1531 
 108
LV. — 
Un ami à Agrippa. Bruxelles, 21 août 1531 
 108
LVI. — 
Agrippa à Charles-Quint. Bruxelles, 1531 
 109
LVII. — 
Agrippa à un personnage ecclésiastique, 1531 
 110
LVIII. — 
Agrippa à un ami. Bruxelles, le 6 février 1531 
 112
LIX. — 
Agrippa à Érasme. Cologne, 17 mars 1531 
 113
LX. — 
L’Ambassadeur Chapuys, à Agrippa. Londres, 10 sept. 1531 
 113
LXI. — 
L’Ambassadeur Chapuys, à Agrippa. Londres, 25 novembre 1531 
 121
LXII. — 
Agrippa à Pierre de Bardi. Bruxelles, 17 décembre 1532 
 122
LXIII. — 
Agrippa à Melanchton. Francfort-sur-le-Mein, 17 sept. 1532. 
 123
LXIV. — 
Agrippa au Cardinal Campegio. Bonn, novembre, 1532 
 123
LXV. — 
Agrippa à Lucas Bonfius. Bonn, 13 novembre 1532 
 126
LXVI. — 
Agrippa à Don Bernard de Paltrineriis. Bonn, 13 nov. 1532 
 127
LXVII. — 
Agrippa à Érasme. Bonn, 13 novembre 1532 
 128
LXVIII. — 
Agrippa à Érasme. Bonn, 22 novembre 1532 
 129
LXIX. — 
Érasme à Agrippa. Fribourg, 9 décembre 1532 
 130
LXX. — 
Agrippa à Érasme, 15 avril 1533 
 131