SYLVA SYLVARUM (trad. Lasalle)

Application de plusieurs méthodes du Novum Organum aux expériences et observations qui font le sujet de cet ouvrage, et aux instrumens de physique ou de mathématique qu’elles rendent nécessaires

260

I Méthode de gradation

261

II. Méthode de renversement

268

III. Méthode d’alternation

280

Centurie VI.

Expériences et observations de simple curiosité Sur les fruits et les plantes en général

17—283

Expériences et observations sur les plantes qui dégénèrent et se convertissent en plantes d’une autre espèce

14—304

Expériences et observations relatives aux moyens d’augmenter ou de diminuer à volonté l’accroissement des arbres, sur-tout en hauteur, et de se procurer des arbres nains

5—321

Sur les plantes imparfaites, et les excroissances ou superfétations végétales

26-324

Sur la production des plantes parfaites sans semence

11—346

Sur les plantes exotiques

3—352

Sur les différentes saisons où croissent les plantes

6—354

Sur la durée des plantes herbacées, arbres, arbrisseaux, etc.

5—362

Sur les diverses figures des plantes

3—366

Sur les caractères distinctifs des plantes

4—371

Sur des moyens de composer où d’améliorer la terre, et d’aider son action

6—376

Centurie VII.

Observations sur les analogies et les différences qui existent entre les corps animés et les corps inanimés

6—388

Observations relatives, soit aux analogies et aux différences qui existent entre les plantes et les animaux, soit aux êtres qui participent de ces deux règnes

3—395

Expériences et observations diverses sur les plantes

67-401

Sur la guérison des blessures

1—479

Sur la substance grasse répandue dans la chair des animaux terrestres

1—ibid.

Sur les moyens d’accélérer la maturation des boissons

1—480

Sur les poils des animaux terrestres, et le plumage des oiseaux

1—481

Sur la célérité des mouvemens dans les oiseaux

1—485

Sur le plus ou moins de transparence de l’eau de la mer, selon le vent qui règne

1—486

Sur les différences à mettre entre la chaleur d’un feu sec, et celle de l’eau bouillante

1—487

Sur la manière dont l’eau modifie la chaleur

1—488

Sur le bâillement

1—490

Sur le hoquet e£ ses causes

1—491

Sur l’éternuement

1—492

Sur la sensibilité des dents aux plus légères impressions

1—494

Sur la langue

1—495

Sur le sens du goût

1—495

Sur les saisons et les années pestilentielles

1—496

Sur les propriétés spécifiques des simples appliquées à la médecine

1—497

Sur le plaisir de la génération

1—500

Sur les insectes

3—507

Sur les moyens de sauter, de courir et de lancer un corps, avec plus de force

1—521

Sur les sensations, agréables ou déplaisantes, et principalement sur celles qui se rapportent à l’ouïe

1—524

TOME IX.

Centurie VIII.

Expériences et observations

Sur les veines de terre médicinale

1—1

Sur la dilatation et le renflement des éponges

1—2

Sur certains poissons de mer mis dans l’eau douce

1—3

Sur l’attraction produite par l’analogie de substance

1—5

Sur une boisson dont on fait beaucoup d’usage en Turquie (le café)

1—7

Sur les sueurs

6—9

Sur les vers luisans

1—14

Sur les différentes manières dont les passions affectent le corps

10—16

Sur le rire, ses causes et ses effets

4—34

Sur les chenilles

1—43

Sur les mouches cantharides

1—45

Sur la lassitude et les moyens de la diminuer

2—47

Sur les animaux qui peuvent quitter leur peau, leurs écailles, etc.

1—49

Sur l’effet de certaines attitudes

3—51

Sur les années pestilentielles

1—55

Sur les pronostics relatifs aux grands hivers

1—56

Sur les médicamens qui condensent et raniment les esprits

1—57

Sur certaines nations qui se peignent le corps

1—60

Sur le bain et les onctions

1—63

Sur le papier marbré

1—65

Sur la sèche ou le calmar

1—66

Sur une espèce de terre dont le poids augmente spontanément

1—67

Sur le sommeil

1—69

Sur les dents et autres substances dures qui se trouvent dans le corps des animaux

11–72

Sur la génération et la durée de la gestation de différentes espèces d’animaux

3–84

Sur les images visuelles

2–91

Sur l’impulsion et la percussion

3–95

Sur le chatouillement

1–100

Sur la rareté des pluies en Égypte

1–104

Sur la clarification

1–107

Sur les plantes qui n’ont jamais de feuilles

1–108

Sur la matière du verre

1–109

Sur les moyens de prévenir ou de retarder la putréfaction et principalement celle des cadavres humains

1—110

Sur le nitre

1–115

Sur certaines eaux où flottent des corps très pesans

1–117

Sur les matières combustibles qui ne se consument 1 point ou presque point

1–118

Sur les moyens de diminuer la dépense du chauffage

1–121

Sur les ventilateurs

1–123

Sur la salubrité et l’insalubrité de l’air

1–124

Sur les moyens d’augmenter la quantité du lait dans les animaux qui en donnent

1–125

Sur certains sables qui ont de l’affinité avec le verre

1–126

Sur la formation et l’accroissement du corail

1—128

Sur la récolte de la manne

1—130

Sur les moyens de corriger le vin

1—131

Sur le feu grégeois et autres feux artificiels

1—132

Sur certains cimens qui deviennent aussi durs que le marbre

1—134

Sur les blessures et les ulcères à la tête et aux jambes

1—135

Sur les vents de sud

1—136

Sur les blessures faites avec le fer et le cuivre

1—137

Sur les mortifications de chair, occasionnées par le froid

1—138

Sur la pesanteur spécifique de certains corps

1—140

Sur les corps qui surnagent

1—141

Sur le mouvement de conversion des corps lancés

1—142

Sur l'eau considérée comme pouvant être le véhicule, ou milieu du son

1—144

Sur le mouvement rétrograde des esprits, occasionné par les objets déplaisans

1—147

Sur la réflexion des sons déjà réfléchis, ou les échos d'échos

1—149

Sur l’analogie des effets de la simple imagination, avec ceux des sensations

1—150

Sur les moyens de conserver les corps

1—152

Sur l'accroissement et la multiplication des métaux

1—153

Sur l’immersion d’un métal vil dans un plus précieux

1—157

Sur les causes qui peuvent rendre les métaux plus fixes

1—160

Sur la tendance perpétuelle de tous les corps à changer

1—162

Centurie IX.

Expériences et observations.

Sur la faculté de percevoir résidante même dans les corps privés de sentiment ; en rapport avec l’art de la divination et de la révélation des choses cachées

30—167

Sur les signes ou pronostics relatifs aux années d’une constitution pestilentielle et insalubre

29—173

Sur les différentes causes qui, en agissant sur l’estomac, y excitent l’appétit

1—197

Sur l’odeur de l’arc-en-ciel

1—199

Sur les odeurs agréables, et leurs causes

1—201

Sur les causes de la putréfaction

1—212

Sur les mixtes imparfaits

1—213

Sur l’état de concoction, et sur celui de crudité

1—215

Sur les altérations majeures

1—218

Sur les corps fusibles ou non fusibles

1—221

Sur les corps considérés comme fragiles ou tenaces

1—223

Sur les deux genres de substances pneumatiques qui se trouvent dons l’intérieur des corps

1—224

Sur la concrétion et la dissolution des corps

1—227

Sur les corps durs et les corps mous

1—229

Sur les corps ductiles et extensibles

1—231

Sur les différentes qualités de la matière, et les textures intimes des corps

1—232

Sur le durcissement qui est l’effet de l’analogie ou de l’affinité de substance

1—236

Sur le miel et le sucre

1—239

Sur la possibilité de raffiner davantage les métaux les plus vils

1—242

Sur certaines espèces de cimens et de pierres

1—243

Sur la manière de changer la couleur des poils et des plumes

1—244

Sur les caractères distinctifs des deux sexes dans les animaux

1—246

Sur le volume respectif des différentes espèces d’animaux

1—250

Sur les moyens de se procurer des fruits sans pépins et sans noyaux

1—252

Sur les moyens d’améliorer le tabac

1—253

Sur les effets semblables des chaleurs de différentes espèces

1—255

Sur le renflement des corps qu’on fait bouillir

1—257

Sur l’édulcoration des fruits

1—258

Sur les viandes comestibles ou non comestibles

1—261

Sur la salamandre

1—264

Sur la différence des altérations que le temps occasionne dans les fruits et dans les boissons

1—266

Sur la racine appellée orris

1—268

Sur la compression des liqueurs

1—269

Sur les altérations que produit l’eau dans l’air contigu

1—271

Sur la nature de l’air

1—273

Sur les yeux et la vue

7—276

Sur la couleur de l’eau de la mer

1—287

Sur les poissons à écailles

1—288

Sur l’inégalité de force du côté droit et du coté gauche

1—289

Sur les frictions

1—293

Sur le genre d’illusion qui fait paroître plane une sphère vue de loin

1—294

Sur le mouvement apparent des limites de l’ombre et de la lumière

1—295

Sur les vagues et les brisans

1—296

Sur les moyens de dessaler l’eau de mer

1—297

Sur l’eau de certains puits creusés au bord de la mer, et qui redevient salée

1—298

Sur ce genre d’attraction qui est l’effet de l’analogie ou affinité de substance

1—300

Sur l’attraction

1—302

Sur la chaleur qui règne dans l’intérieur de la terre

1—303

Sur les moyens de traverser les airs en volant

1—304

Sur l’écarlate

1—306

Sur l’opération par laquelle on noue l’aiguillette

1—306

Sur l’eau que la flamme fait monter dans un vaisseau

1—307

Sur les différentes espèces d’influence de la lune

8—311

Sur le vinaigre

1—320

Sur les animaux qui dorment durant tout l’hiver

1—321

Sur la génération des animaux, soit par voie d’accouplement, soit par la putréfaction

1—322

Supplément à cette Centurie.

Première addition. Table raisonnée de signes et de loix dont la connoissance peut servir à prévoir les grands hivers, les inondations, etc.

328

Définitions, limitations et avertissemens

8—328

Table de loix et de signes, avec leurs explications

13—330

Remarques

3—345

Conséquences pratiques

9—346

Seconde addition ; sur l’art de traverser les airs en volant

348

Centurie X.

Expériences et observations diverses.

Sur la transmission ou l’influence des vertus immatérielles, et sur le pouvoir de l’imagination ; trois avertissemens

11—357

Sur l’émission des esprits sous la forme de vapeurs, d’exhalaisons ou d’émanations analogues à celles qui constituent les odeurs

26—383

Sur l’émission des espèces immatérielles, qui affectent certains sens

1—406

Sur l’émission des vertus immatérielles émanées des âmes ou des esprits des individus humains, et ayant pour causes les passions, l’imagination, etc.

21—428

Sur la force secrète de la sympathie et de l’antipathie

39—445

Sur les propriétés occultes

1—487

Sur la sympathie générale des âmes humaines

1—489

Fin de la Table.

↑ Le premier des deux nombres indique toujours celui des expériences ou des observations contenues dans l’article ; et le second, la première page de cet article.

[1] Le premier des deux nombres indique toujours celui des expériences ou des observations contenues dans l’article ; et le second, la première page de cet article.

[1]