Correspondance de Voltaire/Mars-1756-Oct-1757

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Janvier 1755 à Février 1756

Mars 1756 — Octobre 1757

Novembre 1757 à Décembre 1758
1756

3129. 
Du duc de La Vallière, 1er mars 1756. — « J’ai reçu, mon cher Voltaire, le sermon. » 
 Long. et Wag.
3130. 
M. Bertrand. Aux Délices, 7 mars. — « En arrivant, mon cher et humain philosophe. » 
 Mag. univ.
3131. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 9 mars. — « Le Tout est bien recevrait. » 
 B. et F.
3132. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 10 mars. — « .... Songez que cette berline. » 
 Rev. suisse.
3133. 
M. Dupont. Délices, 10 mars. — « Le séjour de Colmar n’a point été triste. » 
 B.
3134. 
Thieriot. Délices, 12 mars. — « Il faut que l’âge ait dépravé mon goût. » 
 B.
3135. 
M. de Fontaine. Monrion, 17 mars. — « Je savais, il y a longtemps. » 
 B.
3136. 
M. Bertrand. Délices, 18 mars. — « On est quelquefois bien honteux. » 
 Mag. univ.
3137. 
M. Bertrand. Délices, 18 mars. — « Je reçois dans le moment. ». 
 Mag. univ.
3138. 
De Colini à M. Dupont. Monrion, 20 mars. — « Je ne m’attendais pas. » 
 Lett. in. 1821
3139. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 mars. — « Voici une petite aventure. » 
 B. et F.
3140. 
Le comte d’Argental. Délices, 22 mars. — « Vous avez raison. » 
 B.
3141. 
Mlle Pictet. — « Quand vos yeux séduisent les cœurs. 
 B.
3142. 
Le duc de Richelieu. Délices, 28 mars. — « Si je n’avais pas une nièce. » 
 B.
3143. 
M. Bertrand. Délices, 30 mars. « Vous direz que je suis un étourdi. » 
 B.
3144. 
MM. Cramer frères. — « Je ne peux que vous remercier. » 
 B.
3145. 
Le comte d’Argental. Délices, 1er avril 1756. — « Je reçois votre lettre. » 
 B.
3146. 
M. Blanchet. Délices, 3 avril. — « Recevez mes très-sincères remerciements. » 
 B.
3147. 
L’abbé de Condillac. — « Vous serez peut-être étonné. » 
 B.
3148. 
M. Bertrand. Délices, 6 avril. — « Me voilà toujours cloué. » 
 Cl. Perr.
3149. 
Cideville. Délices, 12 avril. — « J’ai tant fait de vers. » 
 B.
3150. 
Thieriot. Délices, 12 avril. — « Je dicte ma lettre. » 
 B.
3151. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 12 avril. — « J’ai déchiffré votre lettre. » 
 B.
3152. 
Le président de Ruffey. Délices, 12 avril. — « En revenant à mon petit ermitage. » 
 Th. F.
3153. 
M. Dupont. Délices, 16 avril. — « Le Suisse Voltaire envoie. » 
 B.
3154. 
De M. Dupont. — « J’ai reçu vos deux sermons. » 
 Lett. in. 1821
3155. 
Le duc d’Uzès. Délices, 16 avril. — « Vous voyez, monsieur le duc. » 
 B.
3156. 
Le duc de Richelieu. Délices, 16 avril. — « C’est un trait digne de mon héros. » 
 B.
3157. 
Mme de Fontaine. Délices, 16 avril. — « Les Délices sont un hôpital. » 
 B.
3158. 
Tronchin, médecin. Délices, 18 avril. — « Depuis que vous m’avez quitté. » 
 B.
3159. 
Bordes. Délices, avril. — « Soyez bien sûr que votre lettre. » 
 B.
3160. 
Du duc de La Vallière. 22 avril. — « Je vais répondre avec le plus grand plaisir. » 
 Long. et Wag.
3161. 
Pâris-Duverney. Délices, 26 avril. — « Il y a un mois que je devais. » 
 B.
3162. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 26 avril. — « Je me doutais bien de quel avis. » 
 B. et F.
3163. 
De Stanislas, roi de Pologne. 27 avril. — « J’ai reçu avec un plaisir sensible. » 
 B.
3164. 
Le duc de Richelieu. Délices, avril. — « Prenez Port-Mahon. » 
 B.
3165. 
Thieriot. Délices, 30 avril. — « Je viens de lire la gazette. » 
 B.
3166. 
Le comte d’Argental. Délices, 3 mai 1756. — « Thieriot me mande. » 
 B.
3167. 
Le duc de Richelieu. Délices, 3 mai. — « Mon héros, recevez mon petit compliment. » 
 B.
3168. 
La marquise du Deffant. Délices, 5 mai. — « Je suis rempli d’étonnement. » 
 B.
3169. 
Thieriot. Délices, 8 mai. — « Votre lettre du 27 avril. » 
 C. et F.
3170. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 8 mai. — » Je vous suis bien obligé. » 
 B.
3171. 
Colini. Monrion, jeudi au soir, 13 mai. — « Je vous suis obligé de toutes vos attentions. » 
 B.
3172. 
Colini. Monrion, 15 mai. — « La bise nous a retenus. » 
 B.
3173. 
Colini. Berne, 18 mai. — « Si vous nous envoyez quelques lettres adressées aux Délices. » 
 B.
3174. 
Colini. Berne, 23 mai. « Il faut que Loup fasse venir. » 
 B.
3175. 
M. Bertrand. Monrion, 26 mai. « Notre hôte du Faucon. » 
 Mag. univ.
3176. 
Thieriot. Monrion, 27 mai. « Je crois que le braiement. » 
 B.
3177. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 27 mai.-« Nous espérons apprendre. » 
 C. et F.
3178. 
De Colini à Pierre Rousseau. Délices, 4 juin 1756. « M. de Voltaire ne peut avoir. » 
 Inéd.
3179. 
Le comte d’Argental. Délices, 4 juin. — « Je vous ai envoyé. ». 
 B.
3180. 
Thieriot. Délices, 4 juin. « Je reviens dans mon ermitage. » 
 B.
3181. 
M. de Brenles. Délices, 9 juin. « Je m’intéresse plus à vous. » 
 B.
3182. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 10 juin. — « Que ma personne n’est-elle. » 
 B. et F.
3183. 
Louis Eugène, prince de Wurtemberg. Délices, 14 juin. « Un Suisse, un solitaire. » 
 B.
3184. 
Le duc de Richelieu. Délices, 14 juin. « J’ai quelque orgueil. » 
 B.
3185. 
M. de Brenles. Délices, 15 juin. « On dit le colonel Constant mort.» 
 B.
3186. 
Le comte d’Argental. Délices, 15 juin. — « Nos amours sont furieusement traversées. » 
 B.
3187. 
Thieriot. Délices, 16 juin. — « Je ne suis pas étonné. » 
 B.
3188. 
M. Dupont. Délices, 20 juin. « Je vous avais envoyé. » 
 B.
3189. 
Mlle ***. Délices, 20 juin. « Je ne suis qu’un vieux malade. » 
 B.
3190. 
Thieriot. Délices, 26 juin. « Vous ne savez ce que vous dites. » 
 C. et F.
3191. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 26 juin. « Il y a donc des malheurs aussi. » 
 B. et F.
3192. 
Le comte d’Argental. Délices, 28 juin. « J’ai fait venir les frères Cramer. » 
 B.
3193. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 2 juillet 1756. — « Vos lettres sont bien aimables. » 
 B.
3194. 
Le comte d’Argental. Délices, 2 juillet. — « Avez-vous reçu enfin, » 
 B.
3195. 
Le duc de Richelieu. Délices, 5 juillet. (A vous seul.) « Pardonnez à mes importunités. » 
 B.
3196. 
M. Dupont. Délices, 6 juillet. « Il est vrai que l’homme en question. » 
 B.
3197. 
Le duc de Richelieu. Délices, juillet. « Mon héros, je vais aussi brûler. » 
 B.
3198. 
Le comte Algarotti. Délices, 7 juillet. — « Ho ricevuto colla più viva gratitudine. » 
 B.
3199. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices. 12 juillet. « Mon attachement, ma sensibilité. » 
 B. et F.
3200. 
Le comte d’Argental. Délices, 16 juillet. « On voit bien que vous ne m’écrivez pas. » 
 B.
3201. 
Le duc de Richelieu. Délices, 16 juillet. — « Mon héros et celui de la France. » 
 B.
3202. 
Le président de Ruffey. Délices, 21 juillet. « Je ne suis qu’un petit prophète. » 
 Th. F.
3203. 
Thieriot. Délices, 21 juillet. « Le succès fait la renommée. » 
 B.
3204. 
L’abbé de Voisenon. Délices, 24 juillet. — « Vraiment, notre grand aumônier. » 
 B.
3205. 
Desmahis. Délices, 24 juillet. — « Mon cher élève, qui valez mieux que moi. » 
 B.
3206. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 24 juillet. — « On est transporte à Vienne. » 
 C. et F.
3207. 
Le duc de Richelieu. Délices, 24 juillet. — « Dieu me préserve d’importuner, » 
 C. et F.
3208. 
M. de Ramsault le père. 24 juillet. — « Je vais obéir à vos ordres. » 
 C. et F.
3209. 
Pâris-Duverney. Délices, 20 juillet. — « Votre lettre augmente la joie. » 
 B.
3210. 
De d’Alembert. 28 juillet. — « Puisque la montagne ne veut pas venir. » 
 B.
3211. 
À un académicien de Lyon. — « Vous avez bien raison. » 
 Biblioph. belge.
3212. 
D’Alembert. Délices, 2 août 1756. — « Si j’avais quelque vingt. » 
 B.
3213. 
Lekain. Délices, 4 août. — « Tout ce qui est aux Délices. » 
 C. et F.
3214. 
Le comte d’Argental. Délices, 4 août. — « Je suis bien malingre. » 
 B.
3215. 
Le duc de Richelieu. Délices, 4 août. — « Il me semble que toutes les lettres. » 
 B.
3216. 
Le comte d’Argental. 7 août. — « Voici le Botoniate achevé. » 
 B.
3217. 
Thieriot. Aux Délices, 9 août. — « Je ne sais ce que c’est. » 
 B.
3218. 
Le comte de Tressan. Délices, 18 août. — « Vous êtes donc comme messieurs vos parents. » 
 B.
3219. 
De J.-J. Rousseau. Le 18 août. — « Vos deux derniers poëmes. » 
 B.
3220. 
Pierre Rousseau. Délices, 20 août. — « Il se passera plus de trois mois. » 
 Inéd.
3221. 
Thieriot. Délices, 20 août. — « Pourquoi donc cet honnête homme.» 
 C. et F.
3222. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 21 août. — « On m’écrit de Paris. » 
 Rev. suisse.
3223. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 23 août. — « L’optimisme et le Tout est bien.» 
 B. et F.
3224. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 23 août. — « Dites-moi donc, madame, vous qui êtes. » 
 B.
3225. 
Palissot. Délices, 27 août. — « Tout malade que je suis. » 
 B.
3226. 
Le duc de Richelieu. Délices, 27 août. — « Vraiment, je suis un plaisant homme » 
 C. et F.
3227. 
Le docteur Tronchin. — « Les dévotes sont toujours. » 
 C. et F. (Suppl.)
3228. 
M. Bertrand. Délices, 3 septembre 1756. — « Mon cher philosophe, les Délices sont devenues. » 
 Cl. Perr.
3229. 
Le comte d’Argental. Délices, 6 septembre. — « Vous n’avez point encore répondu. » 
 B.
3230. 
Le duc de Richelieu. Délices, septembre. — « Je ne conçois pas trop. » 
 B.
3231. 
Thieriot. Délices, 10 septembre. — « Je vous assure que Tronchin. » 
 B.
3232. 
Le président de Ruffey. Délices, 12 septembre. — « J’écris quand je peux. » 
 Th. F.
3233. 
J.-J. Rousseau. Délices, 12 septembre. — « Mon cher philosophe, nous pouvons. » 
 B.
3234. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 13 septembre. — « Priez bien Dieu. » 
 B.
3235. 
Le comte d’Argental, Délices, 13 septembre. — « Vous vous êtes tiré d’affaire, » 
 B.
3236. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 septembre. — « Voilà une de ces occasions. » 
 C. et F.
3237. 
Thieriot. Délices, 17 septembre. — « Tout le monde fait des sottises. » 
 C. et F.
3238. 
M. Pictet, professeur. — « J’ai lu ce morceau du jésuite Castel. » 
 B.
3239. 
Le comte d’Argental. Délices, 20 septembre. — « Après des Chinoises, vous voulez. » 
 B.
3240. 
Le comte d’Argental. Délices. 1er octobre 1756. — « Tout mon temps se partage. » 
 B.
3241. 
Le maréchal de Richelieu. Délices, 6 octobre. — « Je ne vous écris pas si souvent. » 
 B.
3242. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 6 octobre. — « Si je ne me mourais pas. » 
 B.
3243. 
D’Alembert. Délices, 9 octobre. — « Nous avons été sur le point. » 
 B.
3244. 
Le duc de Richelieu. Délices, 10 octobre. — « Souvenez-vous, mon héros. » 
 B.
3245. 
 G. et F. (Suppl.)
3246. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 14 octobre. — « Quand le dernier des Autrichiens. » 
 C. et F. (Suppl.)
3247. 
Thieriot. Délices, 14 octobre. — « Si Mme de La Popelinière n’est pas guérie. » 
 B.
3248. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 octobre. — « Il ne reste à moi, pauvre perclus. » 
 B. et F.
3249. 
Tronchin, de Lyon. Délices. 25 octobre. — « Vous savez qu’on prétend. » 
 C. et F. (Suppl.)
3250. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 25 octobre. — « J’ai toujours mon rhumatisme. » 
 B.
3251. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 30 octobre. — « Ce qu’on dit du désastre. » 
 C. et F. (Suppl.)
3252. 
Le duc de Richelieu. Délices, 1er novembre 1756. — « Je n’ai point eu de cesse. » 
 B.
3253. 
Le comte d’Argental. Délices, 1er novembre. — « Il y a longtemps que je ne vous ai parlé. » 
 B.
3254. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 2 novembre. — « Votre Altesse sérénissime daigne m’envoyer. » 
 B. et F.
3255. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 6 novembre. — « Les Anglais enchériront le sucre. » 
 C. et F. (Suppl.)
3256. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 9 novembre. — « Eh bien, madame, est-il vrai ? » 
 B.
3257. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 9 novembre. — « Madame, madame, madame, la pièce. » 
 B. et F.
3258. 
Thieriot. Délices, 10 novembre. — « La vie est un songe. » 
 B.
3259. 
D’Alembert. — « Aux Délices, où nous voudrions bien vous tenir, 13 novembre. » 
 B.
3260. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 novembre. — « J’eus hier l’honneur d’écrire. » 
 B. et F.
3261. 
Lekain. Délices, 20 novembre. — « Vôtre souvenir m’est bien agréable. » 
 B.
3262. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 23 novembre. — « Ah ! madame, je ne compte pas. » 
 B.
3263. 
Thieriot. Délices, 28 novembre. — « Je suis persuadé. » 
 B.
3264. 
Le comte d’Argental. Délices, 28 novembre. — « Comment voulez-vous ? » 
 B.
3265. 
P. Rousseau, à Liège. Délices, 28 novembre. — « J’ai vu dans votre journal de novembre. » 
 B.
3266. 
D’Alembert, 29 novembre. — « J’envoie, mon cher maître, au bureau. » 
 B.
3267. 
Palissot, 30 novembre. — « Votre lettre est venue. » 
 B.
3268. 
Le duc de Richelieu. Délices, 8 décembre 1756. — « Je vous souhaite de bonnes et belles années. » 
 B.
3269. 
M. de Cheneviéres. — « Grand merci, mon cher confrère. » 
 B.
3270. 
De d’Alembert, 13 décembre. — « Vous avez, mon cher et illustre maître. » 
 B.
3271. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 14 décembre. — « Le jeune gentilhomme anglais. » 
 B. et F.
3272. 
Thieriot, 19 décembre. — « On m’a enfin envoyé, » 
 B.
3273. 
Le duc de Richelieu. Délices. 20 décembre. — « Je suis honteux d’importuner. » 
 B.
3274. 
Le comte d’Argental. Délices. 20 décembre. — « J’ai vu cette infâmie. » 
 B.
3275. 
D’Alembert. Aux Délices, où l’on vous regrette, 22 décembre. — « Mon cher maître, mon aimable philosophe. » 
 B.
3276. 
P. Rousseau. — « Parmi les nouvelles affligeantes. » 
 B.
3277. 
Du duc de Richelieu. — « Je suis très-touché. » 
 B.
3278. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices. 27 décembre. — « Je ne conçois rien. » 
 B.
3279. 
D’Alembert, 28 décembre. — « Je vous renvoie histoire. » 
 B.
3280. 
Mme du Boccage. Délices, 30 décembre. — « Comment faites-vous ? » 
 B.

1757

3281. 
Le conseiller Tronchin. 2 janvier 1757. — « Voici la lettre que je reçois. » 
 C. et F. (Suppl.)
3282. 
L’amiral Byng. — » Quoique je vous sois presque inconnu. » 
 B.
3283. 
Le duc de Richelieu. Délices, 3 janvier. — « L’humanité et moi. » 
 B.
3284. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 4 janvier. — « Votre Altesse sérénissime a peut-être reçu. » 
 B. et F.
3285. 
Du comte d’Argenson, 6 janvier. — « Hier au soir. » 
 B. et F.
3286. 
Pierre Rousseau. Lausanne, 7 janvier. — « J’ai reçu la lettre non datée. » 
 Inéd.
3287. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 12 janvier. — « Je vous suis très-obligé. » 
 B.
3288. 
Thieriot. À Monrion, 13 janvier. — « Eh bien ! vous courez donc de belle en belle. » 
 B.
3289. 
M. Vernes, à Genève. Monrion, 13 janvier. — « C’est une chose bien honorable. » 
 B.
3290. 
Le conseiller Tronchin. Monrion, 15 janvier. — « Je suis bien sensible. » 
 C. et F. (Suppl.)
3291. 
La margrave de Baireuth. Monrion, janvier 1757. — « Madame, souffrez que je vous réitère. » 
 Rev. fr.
3292. 
Cideville. Monrion, 16 janvier. — « Nous vous sommes très-obligés. » 
 B.
3293. 
D’Alembert. Monrion, 16 janvier. — « Je vous envoie l’article Imagination. » 
 B.
3294. 
Mme de Fontaine. Monrion, 16 janvier. — « Ceci est pour ma nièce. » 
 B.
3295. 
M. Pictet, professeur en droit. Monrion, 16 janvier. — « Les Délices ne sont plus Délices. » 
 B.
3296. 
Le comte d’Argental. Monrion, 20 janvier. — « Je sens tout le prix. » 
 B.
3297. 
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 20 janvier. — « J’ai eu cinquante relations. » 
 B.
3298. 
De d’Alembert. 23 janvier. — « La Religion vengée est l’ouvrage. » 
 B.
3299. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 28 janvier. — « J’ai l’honneur d’envoyer à Votre Altesse sérénissime » 
 B. et F.
3300. 
Le duc d’Uzès. Monrion, 28 janvier. — « J’ai reçu, monsieur le duc. » 
 B.
3301. 
Du comte d’Argenson. 30 janvier. — « Pierre Damiens est interrogé. » 
 B. et F.
3302. 
De Mme Denis à Lekain. Février 1757. — « Votre lettre m’a fait un plaisir extrême. » 
 Mém. Lek.
3303. 
Le duc de Richelieu. Monrion, 4 février 1757. — « Je ne sais si mon héros. » 
 B.
3304. 
D’Alembert. Monrion, 4 février. — « Je vous envoie Idole. » 
 B.
3305. 
Lekain. Monrion, 4 février. — « Ma recommandation, la recommandation d’un Suisse. » 
 C. et F.
3306. 
Le conseiller Tronchin. Monrion, 5 février. — « Il me paraît assez sûr. » 
 C. et F.
3307. 
Le président de Ruffey. Monrion, 6 février. — « Il y a quelques jours. » 
 Th. F.
3308. 
Le comte d’Argental. Monrion, 6 février. — « Moi, aller à Pétersbourg. » 
 B.
3309. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 6 février. — « Celui qui a écrit. » 
 C. et F. (Suppl.)
3310. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 8 février. — « Voici les dernières nouvelles. » 
 B. et F.
3311. 
Vernes, à Genève. Monrion, février. — « Je crois qu’on ne jouera. » 
 B.
3312. 
La margrave de Baireuth. Monrion, 8 février. — « Je crois que la suite des nouvelles. » 
 B.
3313. 
Cideville. Monrion, 9 février. — « Je souhaite que le fatras. » 
 B.
3314. 
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 9 février. — « Est-il vrai ce qu’on m’écrit. » 
 B.
3315. 
Le duc de Richelieu. 13 février. — « Le fragment de votre lettre. » 
 B.
3316. 
Lévesque de Burigny. Monrion, 14 février. — « L’esprit dans lequel j’ai écrit. » 
 B.
3317. 
Palissot. Monrion, 16 février. — « Ce que vous me mandez. » 
 B.
3318. 
Mme de Fontaine. Monrion. 19 février. — « Qu’est-ce que c’est donc. » 
 B.
3319. 
Le duc de Richelieu. 19 février. — « Oui, sans doute, mon héros. » 
 B.
3320. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 19 février. — » J’attends avec impatience » 
 C. et F. (Suppl.)
3321. 
M. de Chenevières. Monrion, 19 février. — « Il y a huit jours que Mme Denis. » 
 C. et F.
3322. 
Pictet, professeur en droit. Monrion, 22 février. — « Mon très-cher voisin, la volonté de Dieu soit faite ! » 
 B.
3323. 
Pierre Rousseau. Monrion, 24 février. — « C’est pour la quatrième fois.» 
 B.
3324. 
D’Alembert. Février. — « Voici une paperasse. » 
 B.
3325. 
Diderot. Monrion, 28 février. — « L’ouvrage que vous m’avez envoyé. » 
 C. et F.
3326. 
Le comte de Bestucheff. Monrion, février. — « J’ai reçu une lettre. » 
 B.
3327. 
Thieriot. Monrion, 3 mars 1757. — « Je n’entends point parler de vous. » 
 B.
3328. 
Le comte d’Argental. Monrion, 3 mars. — « On peut mal servir. » 
 B.
3329. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Monrion, 5 mars. — « Quoi ! Votre Altesse sérénissime a la bonté de s’excuser. » 
 B. et F.
3330. 
La margrave de Baireuth. Monrion, 5 mars. — « Que Vôtre Altesse royale daigne me conserver ses bontés. » 
 Rev. fr.
3331. 
M. de Brenles. Ce dimanche. — « On prétend que M. votre beau-frère. » 
 B.
3332. 
Mme de Fontaine. Monrion, 6 mars. — « Le bonhomme Lusignan dit les choses. » 
 B.
3333. 
La comtesse de Lutzelbourg. Monrion, 8 mars. — « J’ai été malade. » 
 B.
3334. 
M. Dupont, avocat. Monrion, 10 mars. — « Les Cramer ont dû vous envoyer. » 
 B.
3335. 
M. de Brenles. Jeudi, 10 mars. — « Sæpe, premente deo. » 
 B.
3336. 
Le marquis de Thibouville. Monrion. 20 mars. — « Je ne sais, mon cher confrère. » 
 B.
3337. 
Lévesque de Burigny. Monrion, 20 mars. — « On ne se douterait pas. » 
 B.
3338. 
Palissot. Monrion. — « Votre dernière lettre est remplie de goût. » 
 B.
3339. 
Saurin. — « J’entre dans vos peines. » 
 B.
3340. 
Thieriot. Monrion. 26 mars. — « De tous les éloges dont vous comblez. » 
 B.
3341. 
La duchesse de Saxe-Gotha. 25 mars. — « Je pourrais bien avoir oublié. » 
 B. et F.
3342. 
Pictet, professeur en droit. Monrion, 27 mars. — « Vous voilà donc, mon très-cher voisin. » 
 B.
3343. 
Moncrif. Monrion, 27 mars. — « Mon cher confrère, j’ai été enchanté. » 
 B.
3344. 
De d’Alembert. — « J’ai reçu et lu l’article Liturgie » 
 B.
3345. 
Pâris-Duverney. 27 mars. — « Je prends d’ordinaire. » 
 C. et F.
3346. 
Le duc de Richelieu. 6 avril 1757. — « Vous savez, il y a du temps. » 
 B.
3347. 
La comtesse de Lutzelbourg. Près de Lausanne, 6 avril. — « Quand je sais quelque chose. » 
 B.
3348. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 7 avril. — « Il paraît que la nation. » 
 C. et F.
3349. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 8 avril. — « Vingt conseillers du parlement. » 
 C. et F. (Suppl.)
3350. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 13 avril. — « Je vois qu’il faut vivre douze ans. » 
 C et F. (Suppl.)
3351. 
Le duc de Richelieu. Délices, 20 avril. — « Mon héros, il y a longtemps. » 
 B.
3352. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 21 avril. — « La bonté de votre cœur. » 
 B. et F.
3353. 
Le marquis de Thibouville. Délices, 8 mai 1757. — « Votre roman, mon cher Catilina. » 
 B.
3354. 
Lévesque de Burigny. Délices, 10 mai. — « Je ne puis trop vous remercier. » 
 B.
3355. 
Le marquis de Florian. Mai. — « Mon cher surintendant des chars de Cyrus. » 
 B.
3356. 
Cideville Délices, 18 mai. — « J’ai admiré la bonté. » 
 B.
3357. 
Thieriot, chez la comtesse de Montmorency, rue Vivienne. Délices, mai. — « Vous noterez, s’il vous plait. » 
 C. et F.
3358. 
Darget. Délices, 20 mai. — « On gâte ses yeux. » 
 B.
3359. 
D’Alembert. Délices, 24 mai. — « Voici, mon cher et illustre philosophe. » 
 B.
3360. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 24 mai. — « Je suis presque aussi malade. » 
 B. et F.
3361. 
Le duc de Richelieu. Monrion, 20 mai. — « Feu l’amiral Byng vous assure de ses respects. » 
 B.
3362. 
Tronchin, de Lyon. Monrion, 29 mai. — « Je vois que je ne serai instruit. » 
 C. et F. (Suppl.)
3363. 
Mme de Fontaine. Délices, 31 mai. — « Je vous dirai d’abord. » 
 B.
3364. 
Thieriot. Monrion, 2 juin 1757. — « Je reçois votre très-agréable lettre du 25. » 
 B.
3365. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 4 juin. — « Je ne suis pas fâché. » 
 Rev. suisse.
3366. 
Le duc de Richelieu. Délices, 4 juin. — « Ma conscience m’oblige. » 
 B.
3367. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 4 juin. — « Que Dieu protège Marie. » 
 B.
3368. 
Dom Fangé, à Senones. Délices, 14 juin. — « J’admire la force du tempérament. » 
 B.
3369. 
Le duc de Richelieu. Délices, 18 juin. — « Il est bien vrai. » 
 B.
3370. 
Mme de Fontaine. Juin. — « Votre idée, ma chère nièce. » 
 B.
3371. 
Jean Schouvaiow, chambellan de l’impératrice de Russie, à Moscou. Délices, 24 juin. — « J’ai reçu les cartes. » 
 B.
3372. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 24 juin, par Lyon et Strasbourg, chemin un peu long. — « Ce sont les lettres. » 
 B. et F.
3373. 
Le comte d’Argental. Délices, 25 juin. — « Je serais bien homme à courir. » 
 B.
3374. 
Le duc de Richelieu. Délices, 2 juillet 1757. — « Qui ! moi, que je me donne. » 
 B.
3375. 
Tronchin, de Lyon. 6 juillet. — « Corneille comparait Montauron à Auguste. » 
 Rev. suisse.
3376. 
D’Alembert, 6 juillet. — « Voici encore ce que mon prêtre. » 
 B.
3377. 
D’Alembert. Délices, 8 juillet. — « Voilà encore de l’érudition orientale. » 
 B.
3378. 
Le marquis de Courtivron. Délices, 12 juillet. — « Vous savez qu’il faut pardonner. » 
 B.
3379. 
Cideville. Délices, 15 juillet. — « J’ai l’air bien paresseux. » 
 B.
3380. 
Mme de Fontaine. Délices, 18 juillet. — « Mille amitiés à vous. » 
 B.
3381. 
Le duc de Richelieu. Délices, 19 juillet. — « C’est à vous à juger. » 
 B.
3382. 
De d’Alembert. 21 juillet. — « J’ai reçu, il y a déjà. » 
 B.
3383. 
D’Alembert. Délices, 23 juillet. — « Voici encore de la besogne. » 
 B.
3384. 
Le marquis d’Adhémar. — « Il n’est chère que de vilain. » 
 B.
3385. 
Colini. Délices, 29 juillet. — « Je vous remercie des bonnes nouvelles. » 
 B.
3386. 
D’Alembert. Juillet. — « Et toujours mon prêtre. » 
 B.
3387. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 29 juillet. — « J’ai une grâce à vous demander. » 
 C. et F. (Suppl.)
3388. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 30 juillet. — « Les lettres vont toujours. » 
 B. et F.
3389. 
La comtesse d’Argental. Délices, 1er août 1757. — « J’aurais bien voulu. » 
 B.
3390. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 6 août. — « Vous avez eu la consolation. » 
 B.
3391. 
Jean Schouvaiow. Délices, 7 août. — « Avant d’avoir reçu. » 
 B.
3392. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 8 août. — « Je serais bien mortifié. » 
 C. et F. (Sup.)
3393. 
Jean Schouvaiow. Délices, 11 août. — « Celle-ci est pour informer Votre Excellence. » 
 B.
3394. 
La margrave de Baireuth. Délices, août. — « Mon cœur est touché. » 
 Rev. fr.
3395. 
Palissot. Délices, 15 août. — « Je hasarde ce petit mot. » 
 B.
3396. 
De Charles-Théodore, électeur palatin, 15 août. — « Ce n’est que la quantité d’affaires. » 
 B.
3397. 
De la margrave de Baireuth. 19 août. — « On ne connaît ses amis. » 
 B.
3398. 
Le comte d’Argental. Délices, 19 août. — « Je commence par vous dire. » 
 B.
3399. 
Le duc de Richelieu. Délices, 21 août. — « C’est en tremblant que je vous écris. » 
 B.
3400. 
L’abbé d’Olivet. Délices, 22 août. — « Un Cramer, mon cher maître. » 
 B.
3401. 
À M ***. Délices, 23 août. — « Je vous renvoie ci-joint mon testament. » 
 H. B.
3402. 
Le duc de Richelieu. (À vous seul.) — « Vous avez vu et vous avez fait. » 
 B.
3403. 
Mme de Fontaine. Délices, 27 août. — « Je vous avoue que je suis fâché. » 
 B.
3404. 
La margrave de Baireuth. Délices, 29 août. — « J’ai été touché jusqu’aux larmes. » 
 Rev. fr.
3405. 
D’Alembert. Au Chêne, 29 août. — « Me voici, mon cher et illustre philosophe, à Lausanne. » 
 B.
3406. 
M. de Brenles. Au Chêne, 1er septembre 1757. — « Mais, mon cher embaucheur. » 
 B.
3407. 
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 1er septembre. — « On me mande de l’armée de Bohême. » 
 Rev. suisse.
3408. 
Le conseiller Tronchin. Au Chêne, 2 septembre. — « Je vous dirai que dans une lettre. » 
 C. et F. (Suppl.)
3409. 
M. Bertrand. Lausanne, 4 septembre (part, le 6). — « Plus la robe dont vous me parlez. » 
 B.
3410. 
M. Bertrand. Au Chêne, à Lausanne, 9 septembre. — « Mon cher théologien, mon cher philosophe. » 
 B.
3411. 
Thieriot. Aux Délices. — « Je suis vir desideriorum. » 
 B.
3412. 
Le duc de Richelieu. — « Si j’étais moins vieux. » 
 C. et F.
3413. 
Le comte d’Argental. Délices, 12 septembre. — « Moi, qui n’ai point pris les eaux. » 
 B.
3414. 
La comtesse de Lutzelbourg. Délices, 12 septembre. — « Voilà de grandes révolutions. » 
 B.
3415. 
Thieriot. Délices, 12 septembre. — « J’ai reçu un gros paquet. » 
 B.
3416. 
De la margrave de Baireuth. 12 septembre. — « Votre lettre m’a sensiblement touchée. » 
 B.
3417. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 13 septembre. — « On dit qu’on parle à la Haye. » 
 C. et F. (Suppl.)
3418. 
M. de Champbonin, premier commis dans les bureaux des fortifications. Délices, 15 septembre. — « J’avais recommandé expressément qu’on vous envoyât. » 
 B.
3419. 
M. Bertrand. Délices, 21 septembre. — « Je vous écris en sortant. » 
 B.
3420. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Délices, 22 septembre. — « Deux ou trois années du meilleur des mondes possibles. » 
 B. et F.
3421. 
Tronchin, de Lyon. Délices, 27 septembre. — » Vous pourriez bien me faire un plaisir. » 
 C. et F. (Suppl.)
3422. 
M. de La Michodière, intendant d’Auvergne. — « C’est à Breslau, à Londres. » 
 B.
3423. 
Le comte d’Argental. Délices, 1er octobre 1757. — « Je ne vous ai point encore parlé. » 
 B.
3424. 
Thieriot. Aux Délices, 1er octobre. — « Vraiment, je n’ai point eu cette lettre. » 
 B.
3425. 
Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Sire, ne vous effrayez pas. » 
 B.
3426. 
Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Votre Épitre d’Erfurt est pleine. » 
 B.
3427. 
Darget. Délices, 5 octobre. — « Bénis soient les Russes. » 
 B.
3428. 
Le comte d’Argental. Délices, 5 octobre. — « Voilà qui est plaisant. » 
 B.
3429. 
De la margrave de Baireuth. 8 octobre. — « Vos lettres me sont toutes bien parvenues. » 
 B.
3430. 
De Frédéric II, roi de Prusse. 9 octobre. — « Je suis homme, il suffit. » 
 B.
3431. 
De la margrave de Baireuth. 10 octobre. — « Accablée par les maux. » 
 B.
3432. 
M. Bertrand. Délices, 16 octobre. — « Votre paquet doit être. » 
 C. et F. (Suppl.)
3433. 
Vernes. Lausanne, 18 octobre. — « Je vous remercie de la belle catéchèse. » 
 C. et F.
3434. 
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 20 octobre. — « Votre amitié et votre probité. » 
 C. et F. (Suppl.) B.
  
Billet séparé.
3435. 
Bertrand. Lausanne, 21 octobre. — « Il y a force méchants. » 
 B.
3436. 
De Tronchin, de Lyon. 24 octobre. — « J’ai reçu avant-hier. » 
 C. et F. (Suppl.)
  
Note en réponse dictée par M. le cardinal de Tencin à M. Tronchin.
3437. 
De Charles Théodore, électeur palatin. 25 octobre. — « J’ai reçu avec bien de la reconnaissance l’importante nouvelle. » 
 B.
3438. 
Thieriot. Au Chêne, 26 octobre. — « Je vous envoie la réponse. » 
 B.
3439. 
M. Vernes. Au Chêne, 20 octobre. — « Je regrette sensiblement. » 
 C. et F.
3440. 
Tronchin, de Lyon. Lausanne, 27 octobre. — « Je suis très-flatté que mes rêves. » 
 C. et F. (Suppl.)
3441. 
Palissot. Au Chêne, 29 octobre. — « La mort de ce pauvre petit Patu. » 
 B.