LETTRES DE SÉNÈQUE
À LUCILIUS.
Les 124 lettres
Livre I
[modifier]- Lettre I. Sur l’emploi du temps.
- Lettre II. Des voyages et de la lecture.
- Lettre III. Du choix des amis.
- Lettre IV. Sur la crainte de la mort.
- Lettre V. De la philosophie d’ostentation et de la vraie philosophie. La crainte et l’espérance.
- Lettre VI. De la véritable amitié.
- Lettre VII. Fuir la foule. Cruauté des spectacles de gladiateurs.
- Lettre VIII. Travail du sage sur lui-même. Mépris des biens extérieurs.
- Lettre IX. Pourquoi le sage se fait des amis.
- Lettre X. Utilité de la retraite. Vœux et prières des hommes.
- Lettre XI. Ce que peut la sagesse contre les défauts naturels. Il faut se choisir des modèles.
- Lettre XII. Avantages de la vieillesse. – Sur la mort volontaire.
Livre II
[modifier]- Lettre XIII. Sur la force d’âme qui convient au sage. – Ne pas trop craindre l’avenir.
- Lettre XIV. Jusqu’à quel point il faut soigner le corps.
- Lettre XV. Des exercices du corps. – De la modération dans les désirs.
- Lettre XVI. Utilité de la philosophie. – La nature et l’opinion.
- Lettre XVII. Tout quitter pour la philosophie. – Avantages de la pauvreté.
- Lettre XVIII. Les Saturnales à Rome. – Frugalité du sage.
- Lettre XIX. Quitter les hauts emplois pour le repos.
- Lettre XX. Même sujet. – Inconstance des hommes.
- Lettre XXI. Vraie gloire du philosophe. – Éloge d’Épicure.
Livre III
[modifier]- Lettre XXII. Manière de donner les conseils. – Quitter les affaires. – Peur de la mort.
- Lettre XXIII. La philosophie, source des véritables jouissances.
- Lettre XXIV. Craintes de l’avenir et de la mort. – Suicides par dégoût de la vie.
- Lettre XXV. Dangers de la solitude. – Se choisir un modèle de vie.
- Lettre XXVI. Éloge de la vieillesse.
- Lettre XXVII. Il n’est de bonheur que dans la vertu. – Ridicules de Sabinus.
- Lettre XXVIII. Inutilité des voyages pour guérir l’esprit.
- Lettre XXIX. Des avis indiscrets. – Que le sage plaise à lui-même, non à la foule.
Livre IV
[modifier]- Lettre XXX. Attendre la mort de pied ferme, à l’exemple de Bassus.
- Lettre XXXI. Dédaigner les vœux même de nos amis et l’opinion du vulgaire.
- Lettre XXXII. Compléter sa vie avant de mourir.
- Lettre XXXIII. Sur les sentences des philosophes. Penser à son tour par soi-même.
- Lettre XXXIV. Encouragements à Lucilius.
- Lettre XXXV. Il n’y a d’amitié qu’entre les gens de bien.
- Lettre XXXVI. Avantages du repos. – Dédaigner les vœux du vulgaire. Mépriser la mort.
- Lettre XXXVII. Le serment de l’homme vertueux comparé à celui du gladiateur.
- Lettre XXXVIII. Les courts préceptes de la philosophie préférables aux longs discours.
- Lettre XXXIX. Aimer mieux la médiocrité que l’excès.
- Lettre XL. Le vrai philosophe parle autrement que le rhéteur.
- Lettre XLI. Dieu réside dans l’homme de bien. – Vraie supériorité de l’homme.
Livre V
[modifier]- Lettre XLII. Rareté des gens de bien. – Vices cachés sous l’impuissance. Ce qui est gratuit coûte souvent bien cher.
- Lettre XLIII. Vivre comme si l’on était sous les yeux de tous. – La conscience.
- Lettre XLIV. La vraie noblesse est dans la philosophie.
- Lettre XLV. Sur les subtilités de l’école.
- Lettre XLVI. Éloge d’un ouvrage de Lucilius.
- Lettre XLVII. Qu’il faut traiter humainement ses esclaves.
- Lettre XLVIII.Que tout soit commun entre amis. Futilité de la dialectique.
- Lettre XLIX. La vie est courte. Ne point la dépenser en futilités sophistiques.
- Lettre L. Que peu d’hommes connaissent leurs défauts.
- Lettre LI. Les bains de Baïes. Leurs dangers, même pour le sage.
- Lettre LII. Sages et philosophes de divers ordres.
Livre VI
[modifier]- Lettre LIII. Des maladies de l’âme. La philosophie veut l’homme tout entier.
- Lettre LIV. Sénèque attaqué de l’asthme. Préparation à la mort.
- Lettre LV. Description de la maison de Vatia. L’apathie ; le vrai repos.
- Lettre LVI. Bruits divers d’un bain public. Le sage peut étudier même au sein du tumulte.
- Lettre LVII. La grotte de Naples. Faiblesses naturelles que la raison ne saurait vaincre.
- Lettre LVIII. De la division des êtres selon Platon. La tempérance, le suicide.
- Lettre LIX. Leçons de style. La flatterie. Vraies et fausses joies.
- Lettre LX. Vœux imprévoyants. Avidité des hommes.
- Lettre LXI. Se corriger, se soumettre à la nécessité.
- Lettre LXII. Même au sein des affaires on peut étudier.
Livre VII
[modifier]- Lettre LXIII. Ne point s’affliger sans mesure de la perte de ses amis.
- Lettre LXIV. Éloge du philosophe Q. Sextius. Respect dû aux anciens, instituteurs de l’humanité.
- Lettre LXV. Opinions de Platon, d’Aristote et des stoïciens sur la cause première.
- Lettre LXVI. Que tous les biens sont égaux et toutes les vertus égales.
- Lettre LXVII. Que tout ce qui est bien est désirable. – Patience dans les tourments.
- Lettre LXVIII. La retraite : n’en point faire vanité.
- Lettre LXIX. Que les fréquents voyages sont un obstacle à la sagesse.
Livre VIII
[modifier]- Lettre LXX. Du suicide. Quand peut-on y recourir ? Exemples mémorables.
- Lettre LXXI. Qu’il n’y a de bien que ce qui est honnête. Différents degrés de sagesse.
- Lettre LXXII. Tout abandonner pour embrasser la sagesse.
- Lettre LXXIII. Que les philosophes ne sont ni des séditieux ni de mauvais citoyens. Jupiter et l’homme de bien.
- Lettre LXXIV. Qu’il n’y a de bien que ce qui est honnête.
Livre IX
[modifier]- Lettre LXXV. Écrire simplement et comme on pense. Affections et maladies de l’âme. Trois classes d’aspirants à la sagesse.
- Lettre LXXVI. Sénèque, quoique vieux, prend encore des leçons. Il prouve de nouveau que l’honnête est le seul bien. N’estimer dans l’homme que son âme.
- Lettre LXXVII. La flotte d’Alexandrie. Mort volontaire de Marcellus. Juger d’une vie par son dénouement.
- Lettre LXXVIII. Le mépris de la mort, remède à tous les maux. L’opinion, mesure des biens et des maux.
- Lettre LXXIX. Scylla, Charybde, l’Etna. La gloire est l’ombre de la vertu.
- Lettre LXXX. Futilité des spectacles. Certains grands comparés à des comédiens.
Livre X
[modifier]- Lettre LXXXl. Des bienfaits, de l’ingratitude, de la reconnaissance.
- Lettre LXXXII. Contre la mollesse. Subtilités des dialecticiens.
- Lettre LXXXIII. Dieu connaît toutes nos pensées. Exercices et régime de Sénèque. Sophisme de Zénon sur l’ivresse.
Livre XI - XIII
[modifier]- Lettre LXXXIV. La lecture. Comment elle sert à la composition. Les abeilles.
- Lettre LXXXV. Que le sage s’interdise même les passions les plus modérées.
- Lettre LXXXVI. Maison de campagne et bains de Scipion l’Africain. Bains modernes. Plantation des oliviers.
- Lettre LXXXVII. Frugalité de Sénèque. Du luxe. Les richesses sont-elles un bien ?
- Lettre LXXXVIII. Des arts libéraux.
Livre XIV
[modifier]- Lettre LXXXIX. Division de la philosophie. Du luxe et de l’avarice.
- Lettre XC. Éloge de la philosophie. Les premiers hommes. La philosophie n’a pas inventé les arts mécaniques.
- Lettre XCI. Sur l’incendie de Lyon, l’instabilité des choses humaines et la mort.
- Lettre XCII. Contre les épicuriens. Le souverain bien n’est pas dans la volupté.
Livre XV
[modifier]- Lettre XCIII. Sur la mort de Métronax. Mesurer la vie sur l’emploi qu’on en fait, non sur sa durée.
- Lettre XCIV. De l’utilité des préceptes. De l’ambition, de ses angoisses.
- Lettre XCV. Insuffisance des préceptes philosophiques. Il faut encore des principes généraux. Sur l’intempérance.
Livre XVI
[modifier]- Lettre XCVI. Adhérer à la volonté de Dieu. La vie est une guerre.
- Lettre XCVII. Du procès de Clodius. Force de la conscience.
- Lettre XCVIII. Ne point s’attacher aux biens extérieurs. L’âme, plus puissante que la Fortune, se fait une vie heureuse ou misérable.
- Lettre XCIX. Sur la mort du fils de Marullus. Divers motifs de consolation.
- Lettre C. Jugement sur les écrits du philosophe Fabianus.
Livre XVII - XVIII
[modifier]- Lettre CI. Sur la mort de Sénécio. Vanité des longs projets. Ignoble souhait de Mécène.
- Lettre CII. Sur l’immortalité de l’âme. Que l’illustration après la mort est un bien.
- Lettre CIII. Comment l’homme doit se méfier de l’homme. Ne point rompre avec les usages reçus.
- Lettre CIV. Une indisposition de Sénèque. Tendresse de sa femme pour lui. Les voyages ne guérissent point les maux de l’âme. Vivre avec les grands hommes de l’antiquité.
- Lettre CV. Ce qui fait la sécurité de la vie. Des mauvaises consciences.
- Lettre CVI. Si le bien est corps. Fuir les subtilités.
- Lettre CVII. Se préparer à toutes les disgrâces. Suivre sans murmurer les ordres de Dieu.
- Lettre CVIII. Comment il faut écouter les philosophes. Attalus, Sotion, Pythagore. Tout rapporter à la vie pratique.
- Lettre CIX. Si le sage est utile au sage, et comment.
Livre XIX - XX
[modifier]- Lettre CX. Vœux et craintes chimériques de l’homme.
- Lettre CXI. Le sophiste. Le véritable philosophe.
- Lettre CXII. Difficulté de réformer les mauvaises habitudes.
- Lettre CXIII. Si les vertus sont des êtres animés : absurdes questions. Suivre la vertu sans espoir de récompense.
- Lettre CXIV. Que la corruption du langage vient de celle des mœurs. Mécène écrivain. Salluste.
- Lettre CXV. Que le discours est le miroir de l’âme. Beauté de la vertu. Sur l’avarice.
- Lettre CXVI. Qu’il faut bannir entièrement les passions.
- Lettre CXVII. Quelle différence les stoïciens mettaient entre la sagesse et être sage. Du suicide.
- Lettre CXVIII. Des élections à Rome. Du bien et de l’honnête.
- Lettre CXIX. Qu’on est riche quand on commande à ses désirs.
- Lettre CXX. Comment nous est venue la notion du bon et de l’honnête. L’homme est rarement semblable à lui-même.
- Lettre CXXI. Que tout animal a la conscience de sa constitution.
- Lettre CXXII. Contre ceux qui font de la nuit le jour. Le poète Montanus.
- Lettre CXXIII. Mœurs frugales de Sénèque. Fuir les apologistes de la volupté.
- Lettre CXXIV. Que le souverain bien se perçoit non par les sens, mais par l’entendement.