Livre:Goldsmith - Le Vicaire.djvu
Apparence
Titre | Le Vicaire de Wakefield |
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Auteur | Oliver Goldsmith |
Traducteur | Charles Nodier |
Maison d’édition | Hetzel |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1844 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | Terminé |
Pages
C at NP I vii viii vi ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xiv xxv xxvi xxvii xxviii xxix xxx xxxi xxxii 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 I 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 I 47 48 49 50 51 52 I 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 I 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 I 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 I 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 I 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 I 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 I 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 tdm tdm - 238 239
Chapitre Ier. Intérieur de la famille de Wakefield : air de parenté des caractères et des personnes.
5
Chap. II. Malheurs de famille : la perte de la fortune ne fait qu’augmenter la fierté du juste.
10
Chap. III. Changement d’habitation. Le bonheur de la vie dépend, en définitive, de nous-mêmes.
15
Chap. IV. La plus humble fortune peut donner le bonheur qui tient, non à la position, mais au caractère.
23
Chap. V. Une nouvelle et grande connaissance. Ce dont nous attendons le plus nous devient, généralement, le plus fatal.
28
Chap. VI. Le bonheur du coin du feu à la campagne.
32
Chap. VII. L’esprit de la ville. Le plus niais peut amuser une soirée ou deux.
36
Chap. VIII. Un amour qui promet peu et qui pourtant peut donner beaucoup.
41
Chap. IX. Deux grandes dames. Une riche toilette fait toujours supposer de bonnes manières.
48
Chap. X. Efforts de la famille pour aller de pair avec plus riche qu’elle. Misère du pauvre qui veut briller.
52
Chap. XI. La famille continue de lever la tête.
57
Chap. XII. La fortune semble décidée à humilier la famille de Wakefield. Des mortifications sont parfois plus pénibles que des malheurs réels.
63
Chap. XIII. M. Burchell était un ennemi : il a le courage de donner un avis qui déplaît.
69
Chap. XIV. Nouvelles tribulations : une preuve que ce qui a l’air d’un mal peut être un bien.
73
Chap. XV. La noirceur de M. Burchell découverte. Trop de sagesse est folie.
80
Chap. XVI. La famille ruse ; elle trouve plus rusé qu’elle.
86
Chap. XVII. La vertu ne résiste guère à une longue et douce tentation.
92
Chap. XVIII. Un père cherchant sa fille pour la rendre à la vertu.
101
Chap. XIX. Un mécontent qui craint la perte de nos libertés.
106
Chap. XX. Un philosophe errant qui court après la nouveauté et perd le bonheur.
115
Chap. XXI. Entre gens vicieux, l’amitié dure tout juste autant que le plaisir.
131
Chap. XXII. On pardonne aisément quand on aime.
140
Chap. XXIII. Il n’y a que le méchant qui puisse être longtemps et complètement malheureux.
145
Chap. XXIV. Nouveaux malheurs.
150
Chap. XXV. Pas de situation, si misérable qu’elle paraisse, qui n’offre quelque consolation.
156
Chap. XXVI. Réforme dans la prison. La loi, pour être complète, devrait récompenser comme elle punit.
162
Chap. XXVII. Même sujet.
168
Chap. XXVIII. Les joies et les maux d’ici-bas sont, aux yeux de Dieu, choses de peu de valeur et dont la répartition n’est pas digne de ses soins.
173
Chap. XXIX. Équité de la Providence dans la répartition du bonheur et de la misère. Compensation, dans l’autre vie, des souffrances de ce monde.
184
Chap. XXX. L’horizon s’éclaircit. Ne cédons pas ; la fortune finira par nous mieux traiter.
190
Chap. XXXI. Bienfait payé avec usure.
199
Chap. XXXII. Conclusion.
215
221