Livre:Fusil - Souvenirs d’une actrice.djvu

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TitreSouvenirs d’une actrice Voir l'entité sur Wikidata
VolumeTome 1
AuteurLouise Fusil Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionDumont
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1841
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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AvancementTerminé
SérieTome ITome II

Pages



TABLE.


Pages.
Chapitre Ier. Mon grand-père Fleury. — Ses débuts au Théâtre-Français. — Les comédiens et les grandes dames. — Aventures tragiques. — Mon père à Rouen. — La famille de Miromesnil. — Enlèvement. — Fuite en Allemagne. — Retour. — Arrivée à Metz. — Mon oncle. — Le prince Max, depuis roi de Bavière. — Mademoiselle Fanny d’Arros 
 11
Chapitre II. Madame Lemoine-Dubarry. — Le comte Guillaume Dubarry. — Julie Talma. — Son amitié pour moi. — La société de Julie Talma. — Les biographies de Talma. — Henri VIII et Charles IX. — La fortune de Julie Talma et l’usage qu’elle en faisait. — Commencements de Talma. — Révolution dans le costume tragique. — La garde-robe de ce grand acteur 
 19
Chapitre III. Le comte Jean Dubarry et le comte Guillaume Dubarry. — Madame Diot et madame Lemoine-Dubarry. — Leur entrevue avec le comte Guillaume. — La famille des Dubarry à Toulouse. — Leur train de vie. — Anecdotes. 
 31
Chapitre IV. Souvenirs d’enfance. — Mon départ de Metz. — La belle et la bête. — Mon arrivée à Paris. — Fêtes données à madame Saint-Huberty. — Molé. — Les calembourgs de M. de Bièvre. — J’assiste pour la première fois au spectacle. 
 43
Chapitre V. Le talent de madame Saint-Huberty. — Ses succès. — Les costumes. — Le salon de madame Saint-Huberty. — Couplets du comte de Tilly. — Je pars pour Toulouse. — Un compliment de MM. les capitouls. — Retraite de madame Saint-Huberty. — Son mariage avec le comte d’Entraigues. — Ils vont à Londres. — M. d’Entraigues et madame Saint-Huberty sont assassinés 
 51
Chapitre VI. Lettre à Fanny. — Mon genre de vie à Toulouse. — M. de Cazalès. — Le marquis de Grammont. — Je suis présentée à madame Dubarry. — Les capitouls. — La tragédie de Samson. — Combat d’arlequin et du dindon. — Mariage de Fanny. — Son mari périt sur l’échafaud. 
 67
Chapitre VII. Un tour de M. de Cazalès. — Je lui rends la pareille. — Un prince de Rohan. — M. de Rollin, avocat-générale au parlement de Grenoble. — Le comte de Lacase. — Son mariage avec une grisette. — M. de Catelan, avocat-général au parlement de Toulouse. 
 79
Chapitre VIII. Je me marie. — Fusil part pour Marseille. — Les chanteurs et les chanteuses à cette époque. — Progrès de la musique. — Le chanteur Carat. — Madame Marât. — Une soirée musicale chez Piccini. — La voix de madame Piccini à l’âge de 75 ans. — Mon départ pour Bruxelles. — La sœur de Marie-Antoinette. — La révolution en Belgique. — Événéments d’Anvers en 1790 ; atrocités. — Je vais à Gand. — Je chante l’hymne des patriotes belges. — Mon retour à Anvers. — J’arrive à Bruxelles. — Les miracles de la Vierge-Noire. 
 89
Chapitre IX. Mon retour en France. — Une fête chez le vicomte de Rouhaut. — La marquise de Chambonas. — M. de Genlis. — M. de Vauquelin. — M. Millin, chanteur et antiquaire. — Mon herbier. — Le langage des fleurs. — Les petites-maîtresses. 
 105
Chapitre X. Le comte de Tilly. — Rivarol. — Vers d’une dame à Rivarol. — Champcenetz. — Tours que jouait Champcenetz à ses créanciers. — Ses bons mots en allant à l’échafaud. — Le chevalier de Saint-Georges. — Son talent musical. — Les amours et la mort du pauvre oiseau. — Son ami Lamothe. 
 137
Chapitre XI. Talma dans Charles IX. — Il est admis sociétaires du Théâtre-Français. — Le théâtre des élèves de l’Opéra. — Le théâtre de Monsieur. — Préville et Raffanelly. — Mon début dans la Serva Patrona et dans le Devin du village. — Dubuisson. — Le comte de Grammont. — Anecdotes. — Je prends l’emploi des soubrettes. — Mon début au théâtre de la rue Richelieu, dans Guerre ouverte
 149
Chapitre XII. La fête de la Fédération. — Les Comédiens au Champ-de-Mars. — Fête donnée par Mirabeau aux Fédérés marseillais au théâtre de la rue Richelieu. — Gaston et Bayard
 167
Chapitre XIII. Théâtre des Variétés au Palais-Royal. — Ouverture du théâtre de la rue Richelieu. — Monvel, son retour de Suède. — Ses débuts au théâtre des Variétés. — Les chemises à Gersas. — Talma, Dugazon, madame Vestris. — Le Foyer. — Madame Rachel. — Mademoiselle Salaval. — Monvel dans la tragédie. — Anecdote sur M. de La Harpe. — Les opéras-comiques de Monvel. — Blaise et Babet. — La Chanson de Lisette. 
 173
Chapitre XIV. Michot. — Volange. — Bordier. — Mademoiselle Candeille. — Dugazon. — Champville. — M. Daigrefeuille. — Les Chevaliers du Quinquet
 191
Chapitre XV. Le mariage de Fabre d’Églantine. 
 205
Chapitre XVI. Aventure comique de Dugazon. — Les costumes de Talma. — Son début dans Henri VIII, en 1791. — Mademoiselle Desgarcins ; son talent, ses amours. — Mesdemoiselles Sainval aînée et cadette ; leur frère, officier ; anecdote. 
 217
Chapitre XVII. Cailhava. — Le Club de midi à quatorze heures. — Laujon et ses chansonnettes. — Philipon de la Madeleine et son épitaphe. — Les dîners du Caveau. 
 235
Chapitre XVIII. Mort de Mirabeau. — Mon départ pour Lille. — Je vais donner des concerts à Tournay. — La première émigration. — Changement des drapeaux. — Le colonel Vergnette. — L’oriflamme de Charles-Martel. 
 243
Chapitre XIX. Le 10 août. — Michot, Fusil et Baptiste cadet dans cette journée. — Le petit Pierre. — Les deux poissardes. — Anecdotes. — M. Coupigny. — M. de Sercilly. 
 257
Chapitre XX. Fête donnée par Talma à Dumouriez, après les conquêtes de la Belgique. — Entrée de Marat, ses paroles adressées à Dumouriez. — Plaisanterie de Dugazon. — Comment l’on écrit l’histoire. — Le siège de Lille. 
 277
Chapitre XXI. Je vais à Boulogne-sur-Mer. — Rencontre d’un détachement de l’armée révolutionnaire. — L’hôtel de la Bergère dans un bois. — Je vais en Écosse avec lady Montaigue. — Montagnes d’Écosse, grotte de Fingal dite des Géants. — Retour. — Aventure à Dunkerque. 
 291

Les années, les heures ne sont pas des mesures de la durée de la vie ; une longue vie est celle dans laquelle nous nous sentons vivre ; c’est une vie composée de sensations fortes et rapides, où tous les sentiments conservent leur fraîcheur, à l’aide des associations du passé. « Lady Morgan. »