Correspondance de Voltaire/Mars-1753-Dec-1754

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Janvier 1752 à Février 1753

Mars 1753 ‑ Décembre 1754

Janvier 1755 à Février 1756
TABLE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE SIXIÈME VOLUME
DE LA CORRESPONDANCE.



LETTRES

1753

2526. 
Roques. Berlin. 4 mars 1753. — « Le sieur La Beaumelle n’est pas ; digne. » 
 B.
2527. 
Formey. 4 mars, au matin. — « Je prie M. Formey. » 4 mars, au soir. — « L’Académie des sciences de Paris. » 
 C. et F.
2528. 
Kœnig. 12 mars. — « Vous avez donc reçu mon paquet. » 
 B.
2529. 
Frédéric II, roi de Prusse. Berlin, au Belvédère, 12 mars. — « J’ai reçu une lettre de Kœnig, » 
 B.
2530. 
De Frédéric II, roi de Prusse. — « Le roi a tenu son consistoire. » 
 Pr.
2531. 
L’abbé de Prades. Berlin, au Belvédère, 15 mars. — « Votre stylo ne m’a pas paru doux. » 
 Pr.
2532. 
Mme Denis. Berlin, 15 mars. — « Je commence à me rétablir. » 
 Pr
2533. 
De Frédéric II, roi de Prusse. Précis conservé aux archives du cabinet de Berlin, 16 mars. — « Qu’il peut quitter ce service. ». 
 Pr.
2534. 
Rédaction d’après ce précis. — « Il n’était pas nécessaire que vous prissiez. » 
 B.
2535. 
Le duc de Richelieu. Potsdam, 20 mars. — « Je m’imagine que Je vous ferai. » 
 B.
2536. 
Le chevalier de La Touche. Potsdam, 23 mars. — « Je suis pénétré de vos bontés. » 
 Th. f.
2537. 
Le chevalier de La Touche. Potsdam, 25 mars. — « Je suis destiné à faire. » 
 Th. F.
2538. 
Le marquis d’Argens. — « Frère, je prends congé de vous. » 
 B.
2539. 
De Maupertuis. Berlin, 3 avril 1753, — « Les gazettes disent que vous êtes demeuré. » 
 Th F.
2540. 
Gottsched. À Leipsick, 4 avril 1753. — « Je renvoie le manuscrit. » 
 H. B.
2541. 
Gottsched. À Leipsick, 6 avril. — « Omnia perfeci quæ celeberrimus. » 
 H. B.
2542. 
Roques. Leipsick, avril. — « Je suis tombé malade à Leipsick. » 
 B.
2543. 
Instruction de M. de Fredersdorff, de la part du roi, à M. le baron de Freytag, résident prussien à Francfort. Postdam, 11 avril. — « Seine ! Königliche Majestät, unser aller nädigster Herr. » 
 Varnh.
2544. 
De l’abbé de Prades à Maupertuis. (Lettre dictée par Frédéric II.) Potsdam. 14 avril. — « Le roi m’a ordonné. » 
 Desn.
2545. 
Le Baron de Schonaich. Leipsick, 18 avril. — « Pardonnez à un pauvre malade. » 
 B.
2546. 
Le chevalier de La Touche. 18 avril. — « Je présente mes respects.» 
 Th. F.
2547. 
Gottsched. 19 avril. — « Je vous supplie d’ajouter. » 
 H. B.
2548. 
De Frédéric II , roi de Prusse. 19 avril. — « J’étais informé. » 
 Desn.
2549. 
Note de la Gazette d’Utrecht du 20 avril. — « On a été surpris ici.» 
 Desn.
2550. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, ce que j’ai vu dans les gazettes. » 
 B.
2551. 
Mémoire du baron de Freytag au conseiller Schmid. — « Pro memoria. 1.Wird Herr Hofrath Schmid. » 
 Varnh.
2552. 
Du baron de Freytag à Frédéric II. 21 April. — « Euer Königlichen Majestät allergnädigste Handschreiben. » 
 Varnh
2553. 
Gottsched. Gotha, 25 avril. — « Er habt mir mit. » 
 H.B.
2554. 
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. Den 29 April. — « Seine Königliche Majestät geben. » 
 Varnh.
2555. 
Roques. Chez le duc de Gotha, 30 avril. — « Je comptais, en passant à Francfort. » 
 B.
2556. 
Roques. Gotha, 18 mai 1753. — « Je suis fâché à présent. » 
 B.
2557. 
Le marquis d’Argens. 26 mai. — « Mon cher révérend diable. » 
 B.
2558. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Vabern, près de Cassel, 28 mai. — « Je suis comme tous vos sujets. » 
 C. et F. (Suppl.)
2559. 
Mme de Buchwald. Vabern. prés de Cassel, 28 mai. — « Grande maîtresse de Gotha. » 
 B.
2560. 
Le comte d’Argental. — « J’ai espéré de jour en jour. » 
 Varnh.
2561. 
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. Potsdam, 29 mai. — « Auf Euer Hochwohlgeboren abgelassenes an des königs Majestät.» 
 B.
2562. 
Rapport du baron de Freytag au roi de Prusse. — « Nachdeme der Hofrath Schmid nach Emden abgereiset. » 
 Varhn.
2563. 
Billet signé à Voltaire par le baron de Freytag. 1er juin 1753. — « J’ai reçu de M. de Voltaire. » 
 Varhn.
2564. 
Le comte d’Argental. Francfort-sur-le-Mein, au Lion d’Or, le 4 juin. — « Quand vous saurez toutes les persécutions. » 
 B.
2565. 
Köenig. Francfort, juin. — « Votre martyr est arrivé à Francfort. » 
 B.
2566. 
Rapport du baron de Freytag. 5 juin. — « Das mit der letzteren Post.» 
 Varnh.
2567. 
M*** [le comte de Stadion]. Francfort-sur-le-Mein, au Lion-d’Or, le 5 juin (secrète). — « À qui puis-je mieux m’adresser. » 
 B.
2568. 
François Ier, empereur d’Allemagne. Francfort, 5 juin. — « C’est moins à l’empereur. » 
 B.
2569. 
M*** [le comte de Stadion]. Francfort, au Lion-d’Or, 7 juin. — « Ce matin, le résident de Mayence. » 
 B.
2570. 
De milord Maréchal à Mme Denis. — « J’espère, madame, que vous aurez vu. » 
 Varnh.
2571. 
Le comte d’Argental. Juin. — « Ma nièce me mande de Strasbourg. » 
 B.
2572. 
De Mme Denis à milord Maréchal. Francfort, 11 juin. — « J’ai à peine la force de vous écrire. » 
 Varnh.
2573. 
De Mme Denis à Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, 11 juin. — « Je n’aurais jamais osé. » 
 Pr.
2574. 
De Mme Denis au comte d’Argenson. Francfort, 11 juin. — « Je suis arrivée malade à Francfort. » 
 Mem. d’Arg.
  
Addition de Voltaire.
2575. 
Note de Mme Denis pour Mme de Pompadour. — « Je suis arrivée malade à Francfort. » 
 B. et F.
  
Addition à la date du 20 juin.
2576. 
De Fredersdorff à M. le baron de Freytag. Berlin, den 11 Juni. — « Euer Hochwohlgeboren gechrtestes. » 
 Varnh.
2577. 
À M. le conseiller Schmid. — « Ce ballot est un paquet. » 
 Varnh.
2578. 
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 16 juin. — « Je suis charmé que vous soyez content. » 
 B.
2579. 
De Fredersdorff à M. le baron de Freytag. Postdam, den 16 juni. — « Nach Seiner Königlichen Majestät glüklicher Retour. » 
 Varnh.
2580. 
Le baron de Freytag. 18 juin. — « J’ai demeuré constamment dans ma chambre. » 
 Varnh.
2581. 
Du baron de Freytag. — « Par un ordre précis que je viens de recevoir. » 
 Varnh.
2582. 
De Mme Denis à l’abbé de Prades. Francfort, 18 juin. — « Vous savez sans doute. » 
 Varnh.
2583. 
L’abbé de Prades au baron de Freytag. 19 juin. — « Le roi m’a ordonné. » 
 Varnh.
2584. 
De l’abbé de Prades à Mme Denis. — « Le roi m’ordonne de vous répondre. » 
 Pr.
2585. 
La margrave de Baireuth. Francfort, 20 juin, 10 h. du soir. — « Que la compassion de Votre Altesse royale s’émeuve. » 
 Varnh.
2586. 
De Mme Denis à Frédéric II. Francfort, 21 juin au matin. — « Sire, je ne devais pas m’attendre. » 
 B.
2587. 
De Mme Denis à Frédéric II.(Duplicata). Francfort, le 21 juin. — « Je ne devais pas m’attendre. » 
 Th. F.
2591. 
Addition datée du 23 juin.
2588. 
La margrave de Baireuth. Francfort, 21 juin. — « Je prends la liberté de supplier. » 
 Rev. fr.
2589. 
De Mme Denis à Frédéric II — « À Sa Majesté le roi de Prusse. La dame Denis. » 
 Th. F.
2590. 
Le baron de Freytag. 21 juin. — « Je vous conjure d’avoir pitié. » 
 Varnh.
2591. 
Le baron de Freytag et M. Schmid. Francfort, 21 juin. — « J’ai exécuté les ordres. » 
 Varnh.
2592. 
De Mme Denis à M. le chevalier de La Touche. Francfort, 23 juin. — « Je vous supplie de vouloir bien rendre. » 
 Th. F.
  
Addition de Voltaire : « Depuis ma lettre écrite. »
2593. 
Rapport du baron de Freytag à Fredersdorff. 23 juin. — « Euer Hochwolhgeberen venerirliche vom 11) 
 Varnh.
  
Requête au bourgmestre de Francfort, du 20 juin, jointe au rapport de Freytag.
2594. 
Le baron de Freytag. — « J’apprends que vous êtes en colère. » 
 Varnh.
2595. 
De Mme Denis au baron de Freytag. — « Je suis désespérée. » 
 Varnh.
2596. 
Copie de ma lettre à M. de Freytag (envoyée à M. de La Touche). Francfort, 23 juin. — « Je ne conçois pas votre colère dans notre malheur. » 
 Th. F.
2597. 
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. — « Seine Königliche Majestät unser allergnädigrster. » 
 Varnh.
2598. 
De Mme Denis, à Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, le 25 juin. — « J’ignore si nos très-humbles requêtes. » 
 Th. F.
2599. 
De Mme Denis à M. le chevalier de La Touche. Francfort, le 25 juin. « Mme Denis, qui est retombée très-malade. » 
 Th. F.
2600. 
A M*** [le comte de Stadion]. Francfort, 26 juin. — « La même personne qui a eu l’honneur. » 
 B.
2601. 
Du baron de Freytag au conseiller Schmid. 26 juin. — « Gestern war der Voltaire den ganzen Nachmittag. » 
 Varhn.
2602. 
Du conseiller Schmid à Freytag. 20 juin. — « Dieser nimmet sich schon mehr. » 
 Varnh.
2603. 
Rapport du baron de Freytag. 20 juin. — « Ob wir schon in der grössten Irrésolution waren. » 
 Varnh.
2604. 
De Frédéric II, roi de Prusse, au baron de Freytag. 26 juin. — « J’ai reçu une lettre de la nièce de Voltaire. » 
 Varnh.
2605. 
Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, ce 26 juin. — « Si mes lettres ne sont pas parvenues. » 
 Th. F.
2606. 
Le chevalier de La Touche. Francfort, 26 juin. — « Ma nièce, dans son malheur inouï. » 
 Th. F.
2607. 
Le chevalier de La Touche. Francfort, 26 juin. à 5 heures du soir. — « Depuis nos dernières requêtes. » 
 Th. F.
2608. 
De Mme de Fontaine à M. le chevalier de La Touche. Paris, ce 28 juin. — « J’ai recours à Votre Excellence. » 
 Collect. Sermiz.
2609. 
De Mme Denis au comte d’Argenson, ministre de la guerre. — « À peine ai-je recouvré l’usage. » 
 Mém. d’Arg.
2610. 
Requête du sieur de Voltaire au roi de France. 28 juin. — « Sire, le sieur de Voltaire prend la liberté. » 
 B.
2611. 
Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, 29 juin. — « Dans la crainte où nous devons être. » 
 Th. F.
2612. 
Le chevalier de La Touche. Francfort. 29 juin. — « Mme Denis et son oncle réitèrent. » 
 Th. F.
2613. 
De la margrave de Baireuth à Frédéric II, roi de Prusse. 29 juin. — « Mon très-cher frère, je compte ce jour. » 
 Varnh.
2614. 
De Fredersdorff au baron de Freytag. Postdam, den 2 Juli 1753. — « Seine Königliche Majestät lassen denselben. » 
 Varnh.
2615. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Francfort-sur-le-Mein, 3 juilet. — « C’est bien dommage ; nos empereur. » 
 B. et F.
2616. 
Frédéric II roi de Prusse. Juillet. — « La dame Denis et le sieur de Voltaire. » 
 Th. F.
2617. 
Le chevalier de La Touche. Francfort, juillet. — « Mme Denis et M. de Voltaire, réduits à de bien tristes extrémités. » 
 Th. F.
2618. 
À M. ***. — « Je vous demande mille pardons. » 
 Th. F.
2619. 
Mme Denis et Voltaire au baron de Freytag.5 juillet. — « Mme Denis prie M. de Freytag. » 
 Varnh.
2620. 
Rapport du baron de Freytag, du 6 juillet. — « Was vor Chagrin, Unkosten und Noth. » 
 Varrnh.
2621. 
Rapport du baron de Freytag, du 7 juillet. — « Unser weitlaüftiger Rapport vom gestrigen. » 
 Varnh.
2622. 
À M.*** 8 juillet. — « Je partis si tard hier. » 
 Th. V.
2623. 
De Frédéric II, roi de Prusse, ou baron de Freytag. 9 juillet 1753. — « J’ai reçu une lettre de Voltaire. » 
 Varnh.
2624. 
Mme Denis. Mayence, le 9 juillet. — « Il y avait trois ou quatre ans que je n’avais pleuré. » 
 B.
2625. 
De M.*** au baron de Freytag. Paris, 12 juillet. — « Il s’est répandu ici. » 
 Varnh.
2626. 
M.*** [le comte de Stadion]. Mayence, 14 juillet. — « Son Excellence permettra. » 
 B.
  
Journal de ce qui s’est passé à Francfort sur-Mein.
2627. 
De Fredersdorff au baron de Freytag. 14 juillet. — « Ich habe sowohl Dero. » 
 Varnh.
2628. 
De M.*** au baron de Freytag. — « Vous verrez par la lettre. » 
 Varnh.
2629. 
Du chevalier de La Touche. 21 juillet 17533. — « J’ai reçu par la poste. » 
 Collect. Sermiz.
2630. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Mayence, 22 juillet. — « Freytag et la fièvre ont fait un peu de tort. » 
 B. et F.
2631. 
'De Frédéric II, roi de Prusse, au baron de Freytag. 31 juillet. — « J’ai encore reçu une lettre de Voltaire » 
 Varnh.
2632. 
Guillaume VIII, landgrave de Hesse-Cassel. Schwetzingen, près de Manheim, 4 août 1753. — « Votre Altesse sérénissime m’a recommandé. » 
 B.
2633. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Schwetzingen, près de Manhein. — « Je m’approche du midi à pas lents. » 
 Lord Brough.
2634. 
À M.*** Schwetzingen, prés de Manheim. 5 août. — « M. le chevalier de La Touche me mande. » 
 Varnh.
2635. 
Du baron de Freytag à Fredersdorff. 7 August. — « Es hahen Ihre Königliche Majestät. » 
 Varnh.
2636. 
Le comte d’Argental. Strasbourg, le 16 août. — « J’ignore si Mme Denis, » 
 B.
2637. 
De Fredersdorff au baron de Freytag. 18 August. — « Aus Euer Hochwohlgeboren Schreiben. » 
 Varnh.
2638. 
La comtesse de Lutzelbourg. Auprès de Strasbourg, 22 août. — « La destinée qui joue. » 
 B.
2639. 
De Mme Denis. 20 août. — " J’ai à peine la force de vous écrire. » 
 B.
2640. 
La comtesse de Lutzelbourg. — « Madame la comtesse de Lutzelbourg croit donc. » 
 B.
2641. 
Mme de Fontaine. Près de Strasbourg, 31 auguste. — « Dans une botte de lettres. » 
 P. in. 1820.
2642. 
La comtesse de Lutzelbourg. 2 septembre 1753. — « J’ai lu ce mémoire. » 
 B.
2643. 
M. Dupont, avocat. Strasbourg, 4 septembre. — « Je vous aurais remercié plus tôt. » 
 B.
2644. 
La duchesse de Saxe-Gotha. — « Votre chevalier errant est devenu. » 
 B. et F.
2645. 
Le duc de Richelieu. Strasbourg, ou tout auprès, le 7 septembre. — « Mais vraiment, monseigneur, cela est assez extraordinaire. » 
 B.
2646. 
La comtesse de Lutzelbourg. Auprès de vous, 14 septembre. — « Je vous demande pardon. » 
 B.
2647. 
M. de Chenevières. Auprès de Strasbourg, le 14 septembre. — « Je réponds bien tard. » 
 C. et F.
2648. 
D’Alembert. — « J’ai obéi comme j’ai pu à vos ordres. » 
 B.
2649. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Strasbourg, 22 septembre. — « Après avoir écrit à Votre Altesse. » 
 B. et F.
2650. 
La margrave de Baireuth. Strasbourg, 22 septembre. — « Je me regarderais comme coupable. » 
 Rev. fr.
2651. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Strasbourg, 27 septembre. — « Votre lettre du 17 septembre. » 
 B. et F.
2652. 
M. Dupont, avocat. Strasbourg, 1er octobre 1753. — « Je compte partir demain. » 
 B.
2653. 
Le comte d’Argental. Auprès de Colmar, 3 octobre. — « Si Mme la maréchale de Duras. » 
 B.
2654. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 5 octobre. — « Je suis pénétré de regrets. » 
 B.
2655. 
Le comte d’Argental. Au pied d’une montagne, 10 octobre. — « Il me semble que je suis bien coupable. » 
 B.
2656. 
La comtesse de Lutzelbourg. Dans les Vosges, 14 octobre. — « J’ai été chercher dans les Vosges. » 
 B.
2657. 
M. Dupont, avocat. — « On peut très-bien mettre trois rimes. » 
 B.
2658. 
La duchesse de Saxe-Gotha. — « On imprime actuellement ces Annales. » 
 B. et F.
2659. 
Le comte de Gotter. — « Mme la duchesse de G… m’a instruit. » 
 B.
2660. 
La comtesse de Lutzelbourg. Dans mes montagnes, 24 octobre. — « Comment, madame ! est-ce que vous n’auriez pas. » 
 B.
2661. 
M. Bordes. Auprès de Colmar, 20 octobre. — « J’ai trop différé à vous remercier. » 
 B.
2662. 
Le marquis de Thibouville. Près de Colmar, 9 novembre 1753. — « Il y a quatre à cinq mois. » 
 B.
2663. 
Cideville. Colmar, 11 novembre. — « Mon ancien ami, Mme Denis m’apprit. » 
 B.
2664. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar. 21 novembre. — « Je reçois la nouvelle marque de bonté. » 
 B. et F.
2665. 
Le comte de Gotter. Colmar, 21 novembre. — « Mme la duchesse de Gotha a eu la bonté. » 
 B.
2666. 
La comtesse de Lutzelbourg. 21 novembre. — « La goutte, qui s’est jointe à tous mes maux. » 
 B.
2667. 
Mme de Fontaine. 23 novembre. — « Mon aimable nièce, j’étais bien malade, » 
 B.
2668. 
Le comte d’Argental. Colmar, 24 novembre. — « Votre lettre vient bien à propos. » 
 B.
2669. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 4 décembre 1753. — « J’ai vu M. le baron d’Hattsatt. » 
 B.
2670. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 14 décembre. — « J’ai appris en même temps la maladie. » 
 B. et F
2671. 
Mme Denis. Colmar, 20 décembre. — « Je viens de mettre un peu en ordre. » 
 B.
2672. 
Le comte d’Argental. De la grande ville de Colmar, le 21 décembre. — « Vous vous mêlez donc aussi d’être malade. » 
 B.
2673. 
Malesherbes. Colmar, 25 décembre- — « Parmi les barbouilleurs de papier. » 
 C. et F
2674. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 26 décembre. — « Voici dans quel goût est imprimé. » 
 B. et F.
2675. 
Jean Néaulme. Colmar, 28 décembre. — « J’ai lu avec attention et avec douleur. » 
 B.
2676. 
Mme de Pompadour. Colmar, 1753. — « L’état horrible où je suis. » 
 B.
2677. 
Le duc de Richelieu. Colmar, 30 décembre. — « Avec des malheurs qui accablent. » 
 B.
2678. 
Malesherbes. Colmar, 30 décembre. — « Vous serez surpris de mon extrême impertinence. » 
 C. et F.

1754

2679. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 12 janvier 1754. — « Grand Dieu, qui rarement fais naître parmi nous. » 
 C. et F. (Suppl.)
2680. 
Walther. Colmar, 13 janvier. — « J’ai reçu ce matin votre lettre du 23 décembre. » 
 B.
2681. 
Le comte d’Argental. Colmar, 15 janvier. — « Je dresserai un petit autel d’Esculape. » 
 B.
2682. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 23 janvier. — « On m’avait dit que vous étiez à Andlau. » 
 B.
2683. 
La margrave de Baireuth. Colmar, 25 janvier. — « Je mets aux pieds de Votre Altesse royale. » 
 Rev. fr.
2684. 
Cideville. Colmar, 28 janvier. — « S’il est triste que les Français.» 
 B.
2685. 
Jacob Vernet Colmar, 1er février 1754. — « Vous m’avez honoré autrefois de vos bontés, » 
 B.
2686. 
Le marquis de Thibouville. Colmar, 6 février. — « Ma félicité est montée à un tel excès. » 
 B.
2687. 
Roques. Colmar, 6 février. — « Oui, je me souviendrai de vous. » 
 B.
2688. 
Le comte d’Argental. Colmar, 7 février. — « Vraiment, mon cher ange, il est bien vrai. » 
 B.
2689. 
Malesherbes. Colmar, 7 février. — « Je vous prie de pardonner à un malade. » 
 C. et F.
2690. 
Rousset de Missy. Colmar, 9 féviier. — « Lorsque je me plaignis à vous.» 
 B.
2691. 
Polier de Bottens. Colmar, 10 février. — « Votre lettre me touche sensiblement. » 
 B.
2692. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 10 février. — « J’aurais été un impertinent. » 
 B. et F.
2693. 
M. de Brenles. Colmar, 12 février. — « Tout malade que je suis. » 
 B.
2694. 
Le Clerc de Montmercy. Colmar, 14 février. — « Je n’ai reçu qu’hier. » 
 C. et F.
2695. 
Le P. de Menoux. Colmar, 17 février. — « Vous ne vous souvenez peut-être plus. » 
 B.
2696. 
Le comte d’Argenson. Colmar, 20 février. — « Votre bibliothèque souffrira-t-elle ce rogaton ? » 
 B.
2697. 
Du P. de Menoux. 23 février. — « Je suis flatté de l’honneur. » 
 Dern. Vol.
2698. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 23 février. — « Votre Altesse Sérénissime doit me trouver bien hardi. » 
 B. et F.
2699. 
Malesherhes. Colmar, 24 février. — « Les maladies qui m’accablent. » 
 C. et F.
2700. 
Le comte d’Argental. Colmar, 24 février. — « Je ne vous écris point de ma main. » 
 B.
2701. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 27 février. — « Je ne suis qu’un vieux étourdi. » 
 B. et F.
2702. 
Malesherbes. Colmar, 28 février. — « La lettre dont vous m’honorez. » 
 C. et F.
2703. 
Le comte d’Argental. Colmar, 28 février. — « Vous n’êtes pas accoutumé. » 
 B.
2704. 
Formont. Colmar, 29 février. — « Quand on écrit d’un bout de l’univers à l’autre. » 
 B.
2705. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Dans les maladies qui me tourmentent. » 
 Th. F.
2706. 
Le chevalier de La Touche. Colmar, 3 mars 1754. — « Vous n’ignorez pas qu’il parut. » 
 Th. F.
2707. 
Le marquis d’Argens. Colmar, 3 mars. — « Frère, mes entrailles fraternelles. » 
 B.
2708. 
La marquise du Deffant. Colmar, 3 mars. — « Votre lettre m’a attendri. » 
 B.
2709. 
Le comte d’Argental. Colmar, 3 mars. — « J’applique à mes blessures cruelles. » 
 B.
2710. 
M. Dupont. — « Si vous êtes chez vous. » 
 B.
2711. 
Le comte d’Argental. Colmar, 10 mars. — « Je ne peux que vous montrer. » 
 B.
2712. 
M. Dupont. — « Mon Dieu ! je sais bien. » 
 B.
2713. 
À M***. 12 mars. — « J’ai eu 4,250 livres de rentes. » 
 B.
2714. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 13 mars. — « Pardonnez à un pauvre malade languissant. » 
 C. et F.
2715. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 13 mars. — « Grand merci de votre consolante lettre.» 
 B.
2716. 
M. Dupont. — « Eh bien donc, que les prêtres. » 
 B.
2717. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 16 mars. — « Je fais partir. » 
 B. et F.
2718. 
De Frédéric II, roi de Prusse. 16 mars. — « Je vous remercie du livre. » 
 Pr.
2719. 
M. Dupont. 17 mars. — « Tout le livre de M. Dupin. » 
 B.
2720. 
Polier de Bottens. Colmar, 19 mars. — « En réponse à votre lettre du 15. » 
 B.
2721. 
M. Dupont. 19 mars. — « Il est clair que le sonnet de l’Avorton. » 
 B.
2722. 
Le comte d’Argental. Colmar, 21 mars. — « Je reçois votre lettre du 17 mars. » 
 B.
2723. 
Le marquis d’Argens. Colmar, mars. — « À très-révérend père en diable, Isaac Onitz. » 
 B.
2724. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 26 mars. — « On me dit que vous allez à Andlau. » 
 B.
2725. 
L’abbé d’Olivet. Colmar, 26 mars. — « Je vous remercie bien sincèrement. » 
 B.
2726. 
Malhesherbes. Colmar, 29 mars. — « Je vous demande pardon. » 
 C. et F.
2727. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 3 avril 1754. — « Toutes les fois qu’il neige. » 
 B. et F.
2728. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 12 avril. — « Quelque répugnance que j’eusse à repasser par Francfort. » 
 C. et F. (Suppl.)
2729. 
Malesherbes. Colmar, 15 avril. — « Permettez que j’aie l’honneur. » 
 C. et F.
2730. 
Le comte d’Argental. Colmar, 16 avril. — « Est-t-il rai que votre santé s’altère ? » 
 B.
2731. 
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 16 avril. — « Il y a longtemps, mon cher ami. » 
 B.
2732. 
La marquise du Deffant. Colmar, 23 avril. — « Je me sens très-coupable. » 
 B.
2733. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 1er mai 1754. — « Le manuscrit corrigé de votre main. » 
 B.
2734. 
Le comte d’Argental. Colmar, le 2 mai. — « Mon ombre sera à Plombières. » 
 B.
2735. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 3 mai. — « Il vient de tomber de l’encre, » 
 B. et F.
2736. 
Roques. Colmar, 3 mai. — « Je ne reçois qu’aujourd’hui. » 
 B.
2737. 
Walther. Colmar, 3 mai. — « Il est très-vrai que plusieurs personnes. » 
 B.
2738. 
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 7 mai. — « Votre lettre m’a fait grand plaisir. » 
 B.
2739. 
Le président, Hénault. Colmar, 12 mai. — « Mes doigts enflés me refusent le plaisir. » 
 B.
2740. 
Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 14 mai. — « Monseigneur, je suis toujours émerveillé. » 
 B.
2741. 
Le comte d’Argental. Colmar, 16 mai. — « Le 7 de juillet approche. » 
 B.
2742. 
La marquise du Deffant. Colmar, 19 mai. — « Savez-vous le latin ? » 
 B.
2743. 
M. de Brenles. Colmar, 21 mai. — « Je me crois déjà votre ami. » 
 B.
2744. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 25 mai. — « Vos bontés font dans mon cœur. » 
 B. et F.
2745. 
Le comte d’Argental. Colmar, 29 mai. — « J’ai oublié dans ma dernière lettre. » 
 B.
2746. 
Walther. Colmar, 29 mai. — « À l’égard de l’édition de mes œuvres en sept volumes. » 
 B.
2747. 
Malesherbes. Colmar, 6 juin 1754. — « Ma nièce m’a envoyé un papier. » 
 C. et F.
2748. 
Colini. 9 juin. — « En passant par Saint-Dié. » 
 B.
2749. 
Le comte d’Argental. Senones, le 12 juin. — « Ceux qui disent que l’homme est libre. » 
 B.
2750. 
Colini. Senones. — « Mi capita oggi la lettera. » 
 B.
2751. 
Le comte d’Argental. À Senones, par Ravon ou Raon, le 16 juin. « Je ne sais si Mme Denis a raison ou non. » 
 B.
2752. 
Le comte d’Argental. À Senones, par Raon, le 20 juin. — « Vous me laissez faire. » 
 B.
2753. 
M. Dupont. Senones, juin. — « Je supplie M. Dupont. » 
 B.
2754. 
Colini. Senones, 23 juin. — « Je n’ai point encore le paquet. » 
 B.
2755. 
Le comte d’Argental. Senones, 24 juin. — « Ô adorables anges, je compte être incessamment. » 
 B.
2756. 
Colini. Senones, le 24 juin. — « Al fine ho ricevuto. » 
 B.
2757. 
Colini. Senones, 26 juin. — « Un messager de Saint-Dié. » 
 B.
2758. 
Colini. Senones, le 2 juillet 1754. — « En réponse à votre lettre du 25. » 
 B.
2759. 
La marquise du Deffant. Entre deux montagnes, le 2 juillet. — « J’ai été malade ; j’ai été moine. » 
 B.
2760. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Auprès de Plombières, 3 juillet. — « J’ai été bien malade. » 
 B. et F.
2761. 
Malesherbes. Plombières, 6 juillet. — « Ayant eu l’honneur de vous envoyer. » 
 C. et F.
2762. 
Colini. Plombières, 6 juillet. — « Je répète al signer Colini. » 
 B.
2763. 
Malesherbes. Plombières, 7 juillet. — « Je suis encore obligé. » 
 C. et F.
2764. 
Lambert. plombières, 9 juillet. — « Je vous écris encore. » 
 B. et F. (App.)
2765. 
Cideville. Plombières, 9 juillet. — « Quoique chat échaudé ait la réputation. » 
 B.
2766. 
Colini. Plombières, 12 juillet. — « M. Mac-Mahon, médecin de Colmar. » 
 B.
2767. 
Le marquis de Ximenès. Plombières, 14 juillet. — « Je voudrais être à Paris. » 
 C. et F.
2768. 
Dom Calmet. Plombières, 16 juillet. — « La lettre dont vous m’honorez. » 
 B.
2769. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Plombières. 17 juillet. — « Loin de vous et de votre image. » 
 B. et F.
2770. 
M. Devaux. Plombières, 19 juillet. — « Mon cher Panpan, Mlle de Francinetti. » 
 B.
2771. 
Malhesherbes. Plombières, 19 juillet. — « Je vous supplie de vouloir bien considérer. » 
 C. et F.
2772. 
Le comte d’Argental. Colmar, 26 juillet. — « Je ne peux me consoler. » 
 B.
2773. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 27 juillet. — « J’ai reçu votre lettre. » 
 B.
2774. 
L’abbé d’Olivet. Colmar, 27 juillet. — « Mon cher Cicèron, le cardinal de Ximenés. » 
 B.
2775. 
Le marquis de Ximenès. Colmar, 28 juillet. — « On retrouve toujours des forces. » 
 B. et F.
2776. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 30 juillet. — « En arrivant à Colmar, j’ai trouvé, » 
 B. et F.
2777. 
Le comte d’Argental. Colmar, 3 août 1754. — « Les eaux de Plombières ne sont pas. » 
 B.
2778. 
Le duc de Richelieu. Colmar, 6 août. — « Croyez fermement que je vous mets. » 
 B.
2779. 
Le comte d’Argenson. Colmar, 13 août. — « Permettez qu’on prenne la liberté. » 
 B.
2780. 
M. de Brenles. Colmar, 13 août. — « Mon voyage de Plombières. » 
 Pr.
2781. 
Frédéric II, roi de Prusse. Colmar, 22 août. — « Je prends encore la liberté de présenter. » 
 B.
2782. 
Mme de Fontaine. Colmar, 22 août. — « Je veux vous écrire.» 
 B.
2783. 
Le comte d’Argental. Colmar, 27 août. — « L’épuisement où je suis. » 
 B.
2784. 
Le marquis de Thibouville. Colmar, 27 août. — « Oui, je pense plus à vous. » 
 B.
  
P.S. de Mme Denis.
2785. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 28 août. — « Je suis charmé d’apprendre. » 
 B.
2786. 
Le comte d’Argental. Colmar, 8 septembre 1754. — « C’est moi qui veux et qui fais. » 
 B.
2787. 
Mme de Fontaine. Colmar, 12 septembre. — « Je fais les plus tendres compliments. » 
 B.
2788. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 17 septembre. — « J’ai relu jusqu’à trois fois. » 
 B.
2789. 
M. Royer. Le 20. — « J’avais eu l’honneur de vous écrire. » 
 B.
2790. 
Le comte d’Argental. Colmar, 21 septembre. — « Je vous obéis avec douleur. » 
 B.
2791. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 23 septembre. — « Je ne guéris point.» 
 B.
2792. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 4 octobre 1754. — « J’ai respecté les États d’Altembourg. » 
 B. et F.
2793. 
M, de Brenles. Colmar, 6 octobre. — « Ce que vous me dites de votre santé. » 
 B.
2794. 
Le comte d’Argental. Colmar, 6 octobre. — « J’ai assez de justice.» 
 B.
2795. 
Mme de Fontaine. Colmar, 6 octobre. — « Je pense que c’est bien assez. » 
 B.
2796. 
De Colini à M. Dupont. 12 octobre. — « Vous permettrez que je vous présente. » 
 Lett. in. 1821
2797. 
Moncrif. Colmar, 15 octobre. — « Je reçois dans ce moment. » 
 C. et F.
2798. 
Le président Hénault. Colmar, 15 octobre. — « J’apprends que vous avez été. » 
 B.
2799. 
Le comte d’Argental. Octobre. — « J’écris au président Hénault. » 
 B.
2800. 
Le comte d’Argental. Colmar, 15 octobre. — « Votre lettre du 11 a lait un miracle. » 
 B.
2801. 
Le duc de Richelieu. Colmar, 17 octobre. — « Mme Denis vous avait déjà demandé. » 
 B.
2802. 
M. de Brenles. Colmar, 18 octobre. — « Je prévois que je serai obligé. » 
 B.
2803. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 20 octobre. — « J’ai été bien charmé. » 
 B.
2804. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar 23 octobre. — « Il faut, madame, que je vous dise. » 
 B.
2805. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 24 octobre. — « J’ai fait partir par les chariots. » 
 B. et F.
2806. 
Moncrif. Colmar, 24. — « Je vois, mon aimable confrère. » 
 C. et F.
2807. 
Le Duc de Richelieu. Colmar, 27 octobre. — « C’est actuellement que je commence. » 
 B.
2808. 
Le comte d’Argental. Colmar, 29 octobre. — « Dieu est Dieu, et vous êtes son prophète. » 
 B.
2809. 
M. de Brenles. Colmar, 5 novembre 1754. — « Me voilà lié à vous. » 
 B.
2810. 
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 7 novembre. — « Qu’ai-je été chercher à Colmar ? » 
 B.
2811. 
Le comte d’Argental. Colmar, 7 novembre. — « Je reçois deux lettres aujourd’hui. » 
 B.
2812. 
Le duc de Richelieu. Colmar, 7 novembre. — « Voici une lettre que Mme Denis. » 
 B.
2813. 
Le duc de Richelieu. Colmar, 10 novembre. — « Malgré ce que je vous ai écrit. » 
 C. et F.
2814. 
Le comte d’Argental. Colmar, 10 novembre. — « Nous partons pour Lyon. » 
 B.
2815. 
De l’abbé de Prades. 14 novembre. — « Le roi a reçu la lettre. » 
 Pr.
2816. 
M. Dupont. Lyon, au Palais-Royal, 18 novembre. — « Me voilà donc monsieur. » 
 B.
2817. 
De Colini à M. Dupont. Lyon, novembre 1754. — « Je vous dois mille remerciements. » 
 Lett. in. 1821.
2818. 
Le comte d’Argental. Lyon, au Palais-Royal, 20 novembre. — « Me voilà à Lyon. » 
 B.
2819. 
Le comte d’Argental. Lyon, 23 novembre. — » Sæpe premente deo. » 
 B.
2820. 
Le président de Ruffey. Lyon, 25 novembre. — « J’ai reçu de nouvelles preuves. » 
 Th. F.
2821. 
Le duc de Richelieu. Lyon, 29 novembre. — « Mon héros, on vous appelait Thésée. » 
 B.
2822. 
Gottsched. Lyon, 29 novembre. — « J’ai reçu à Lyon la lettre. » 
 H. B.
2823. 
Le comte d’Argental. Lyon, 2 décembre 1754. — « Est-il possible que je ne reçoive point. » 
 B.
2824. 
Thieriot. Lyon, 3 décembre. — « Votre lettre, mon ancien ami .» 
 B.
2825. 
Le comte d’Argental. De mon lit, à Lyon, 4 décembre. — « Votre consolante lettre, adressée à Colmar. » 
 B.
2826. 
M. Dupont. Lyon, 6 décembre. — « En vérité, je ne conçois pas. » 
 B.
2827. 
Le comte d’Argental. Lyon, 9 décembre. — « Votre lettre du 3 novembre. » 
 B.
2828. 
M. de Brenles. Au château de Prangins, 14 décembre. — « Vous voyez que j’ai pris mon plus long. » 
 B.
2829. 
De Mme Denis à M. Tronchin, banquier à Lyon. 14 décembre. — « Je vous jure que mon oncle. » 
 C. et F. (Suppl.)
2830. 
La duchesse de Saxe-Gotha. Au château de Prangins, prés de la ville de Nyon, au pays de Vaud, en Suisse, 16 décembre 1754. — « Je reçois au bord du plus beau lac. » 
 B. et F.
2831. 
Thieriot. Château de Prangins, 19 décembre. — « Me voilà si perclus. » 
 B.
2832. 
Le comte d’Argental. Château de Prangins, 19 décembre. — « J’apprends qu’on a fait chez vous. » 
 B.
2833. 
M. de Brenles. Château de Prangins, 20 décembre. — « Je crains que vous ne soyez malade. » 
 B.
2834. 
Le comte d’Argental. Prangins, 25 décembre. — « Vous ne cessez de veiller. » 
 B.
2835. 
M. Dupont. Prangins, 26 décembre. — « Vous êtes aussi essentiel. » 
 B.
2836. 
De Colini à M. Dupont. 20 décembre. — « Ne croyez pas, monsieur, que j’attende. » 
 Lett. in. 1821.
2837. 
De Charles-Théodore, électeur palatin. 29 décembre. — « Je vous suis bien obligé. » 
 B.
2838. 
Le comte d’Argental. Prangins, 30 décembre. — « Je vous souhaite une bonne année. » 
 B.
2839. 
M. de Brenles. Prangins, 31 décembre. — « Puisque les hommes sont assez barbares. » 
 B.