Correspondance de Voltaire/Mars-1753-Dec-1754
Apparence
Janvier 1752 à Février 1753
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► | Janvier 1755 à Février 1756 |
TABLE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE SIXIÈME VOLUME
DE LA CORRESPONDANCE.
LETTRES
1753
2526.
Roques. Berlin. 4 mars 1753. — « Le sieur La Beaumelle n’est pas ; digne. »
B.
2527.
Formey. 4 mars, au matin. — « Je prie M. Formey. »
4 mars, au soir. — « L’Académie des sciences de Paris. »
C. et F.
2528.
Kœnig. 12 mars. — « Vous avez donc reçu mon paquet. »
B.
2529.
Frédéric II, roi de Prusse. Berlin, au Belvédère, 12 mars. — « J’ai reçu une lettre de Kœnig, »
B.
2530.
De Frédéric II, roi de Prusse. — « Le roi a tenu son consistoire. »
Pr.
2531.
L’abbé de Prades. Berlin, au Belvédère, 15 mars. — « Votre stylo ne m’a pas paru doux. »
Pr.
2532.
Mme Denis. Berlin, 15 mars. — « Je commence à me rétablir. »
Pr
2533.
De Frédéric II, roi de Prusse. Précis conservé aux archives du cabinet de Berlin, 16 mars. — « Qu’il peut quitter ce service. ».
Pr.
2534.
Rédaction d’après ce précis. — « Il n’était pas nécessaire que vous prissiez. »
B.
2535.
Le duc de Richelieu. Potsdam, 20 mars. — « Je m’imagine que Je vous ferai. »
B.
2536.
Le chevalier de La Touche. Potsdam, 23 mars. — « Je suis pénétré de vos bontés. »
Th. f.
2537.
Le chevalier de La Touche. Potsdam, 25 mars. — « Je suis destiné à faire. »
Th. F.
2538.
Le marquis d’Argens. — « Frère, je prends congé de vous. »
B.
2539.
De Maupertuis. Berlin, 3 avril 1753, — « Les gazettes disent que vous êtes demeuré. »
Th F.
2540.
Gottsched. À Leipsick, 4 avril 1753. — « Je renvoie le manuscrit. »
H. B.
2541.
Gottsched. À Leipsick, 6 avril. — « Omnia perfeci quæ celeberrimus. »
H. B.
2542.
Roques. Leipsick, avril. — « Je suis tombé malade à Leipsick. »
B.
2543.
Instruction de M. de Fredersdorff, de la part du roi, à M. le baron de Freytag, résident prussien à Francfort. Postdam, 11 avril. — « Seine ! Königliche Majestät, unser aller nädigster Herr. »
Varnh.
2544.
De l’abbé de Prades à Maupertuis. (Lettre dictée par Frédéric II.) Potsdam. 14 avril. — « Le roi m’a ordonné. »
Desn.
2545.
Le Baron de Schonaich. Leipsick, 18 avril. — « Pardonnez à un pauvre malade. »
B.
2546.
Le chevalier de La Touche. 18 avril. — « Je présente mes respects.»
Th. F.
2547.
Gottsched. 19 avril. — « Je vous supplie d’ajouter. »
H. B.
2548.
De Frédéric II , roi de Prusse. 19 avril. — « J’étais informé. »
Desn.
2549.
Note de la Gazette d’Utrecht du 20 avril. — « On a été surpris ici.»
Desn.
2550.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, ce que j’ai vu dans les gazettes. »
B.
2551.
Mémoire du baron de Freytag au conseiller Schmid. — « Pro memoria. 1.Wird Herr Hofrath Schmid. »
Varnh.
2552.
Du baron de Freytag à Frédéric II. 21 April. — « Euer Königlichen Majestät allergnädigste Handschreiben. »
Varnh
2553.
Gottsched. Gotha, 25 avril. — « Er habt mir mit. »
H.B.
2554.
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. Den 29 April. — « Seine Königliche Majestät geben. »
Varnh.
2555.
Roques. Chez le duc de Gotha, 30 avril. — « Je comptais, en passant à Francfort. »
B.
2556.
Roques. Gotha, 18 mai 1753. — « Je suis fâché à présent. »
B.
2557.
Le marquis d’Argens. 26 mai. — « Mon cher révérend diable. »
B.
2558.
La duchesse de Saxe-Gotha. Vabern, près de Cassel, 28 mai. — « Je suis comme tous vos sujets. »
C. et F. (Suppl.)
2559.
Mme de Buchwald. Vabern. prés de Cassel, 28 mai. — « Grande maîtresse de Gotha. »
B.
2560.
Le comte d’Argental. — « J’ai espéré de jour en jour. »
Varnh.
2561.
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. Potsdam, 29 mai. — « Auf Euer Hochwohlgeboren abgelassenes an des königs Majestät.»
B.
2562.
Rapport du baron de Freytag au roi de Prusse. — « Nachdeme der Hofrath Schmid nach Emden abgereiset. »
Varhn.
2563.
Billet signé à Voltaire par le baron de Freytag. 1er juin 1753. — « J’ai reçu de M. de Voltaire. »
Varhn.
2564.
Le comte d’Argental. Francfort-sur-le-Mein, au Lion d’Or, le 4 juin. — « Quand vous saurez toutes les persécutions. »
B.
2565.
Köenig. Francfort, juin. — « Votre martyr est arrivé à Francfort. »
B.
2566.
Rapport du baron de Freytag. 5 juin. — « Das mit der letzteren Post.»
Varnh.
2567.
M*** [le comte de Stadion]. Francfort-sur-le-Mein, au Lion-d’Or, le 5 juin (secrète). — « À qui puis-je mieux m’adresser. »
B.
2568.
François Ier, empereur d’Allemagne. Francfort, 5 juin. — « C’est moins à l’empereur. »
B.
2569.
M*** [le comte de Stadion]. Francfort, au Lion-d’Or, 7 juin. — « Ce matin, le résident de Mayence. »
B.
2570.
De milord Maréchal à Mme Denis. — « J’espère, madame, que vous aurez vu. »
Varnh.
2571.
Le comte d’Argental. Juin. — « Ma nièce me mande de Strasbourg. »
B.
2572.
De Mme Denis à milord Maréchal. Francfort, 11 juin. — « J’ai à peine la force de vous écrire. »
Varnh.
2573.
De Mme Denis à Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, 11 juin. — « Je n’aurais jamais osé. »
Pr.
2574.
De Mme Denis au comte d’Argenson. Francfort, 11 juin. — « Je suis arrivée malade à Francfort. »
Mem. d’Arg.
Addition de Voltaire.
2575.
Note de Mme Denis pour Mme de Pompadour. — « Je suis arrivée malade à Francfort. »
B. et F.
Addition à la date du 20 juin.
2576.
De Fredersdorff à M. le baron de Freytag. Berlin, den 11 Juni. — « Euer Hochwohlgeboren gechrtestes. »
Varnh.
2577.
À M. le conseiller Schmid. — « Ce ballot est un paquet. »
Varnh.
2578.
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 16 juin. — « Je suis charmé que vous soyez content. »
B.
2579.
De Fredersdorff à M. le baron de Freytag. Postdam, den 16 juni. — « Nach Seiner Königlichen Majestät glüklicher Retour. »
Varnh.
2580.
Le baron de Freytag. 18 juin. — « J’ai demeuré constamment dans ma chambre. »
Varnh.
2581.
Du baron de Freytag. — « Par un ordre précis que je viens de recevoir. »
Varnh.
2582.
De Mme Denis à l’abbé de Prades. Francfort, 18 juin. — « Vous savez sans doute. »
Varnh.
2583.
L’abbé de Prades au baron de Freytag. 19 juin. — « Le roi m’a ordonné. »
Varnh.
2584.
De l’abbé de Prades à Mme Denis. — « Le roi m’ordonne de vous répondre. »
Pr.
2585.
La margrave de Baireuth. Francfort, 20 juin, 10 h. du soir. — « Que la compassion de Votre Altesse royale s’émeuve. »
Varnh.
2586.
De Mme Denis à Frédéric II. Francfort, 21 juin au matin. — « Sire, je ne devais pas m’attendre. »
B.
2587.
De Mme Denis à Frédéric II.(Duplicata). Francfort, le 21 juin. — « Je ne devais pas m’attendre. »
Th. F.
2591.
Addition datée du 23 juin.
2588.
La margrave de Baireuth. Francfort, 21 juin. — « Je prends la liberté de supplier. »
Rev. fr.
2589.
De Mme Denis à Frédéric II — « À Sa Majesté le roi de Prusse. La dame Denis. »
Th. F.
2590.
Le baron de Freytag. 21 juin. — « Je vous conjure d’avoir pitié. »
Varnh.
2591.
Le baron de Freytag et M. Schmid. Francfort, 21 juin. — « J’ai exécuté les ordres. »
Varnh.
2592.
De Mme Denis à M. le chevalier de La Touche. Francfort, 23 juin. — « Je vous supplie de vouloir bien rendre. »
Th. F.
Addition de Voltaire : « Depuis ma lettre écrite. »
2593.
Rapport du baron de Freytag à Fredersdorff. 23 juin. — « Euer Hochwolhgeberen venerirliche vom 11)
Varnh.
Requête au bourgmestre de Francfort, du 20 juin, jointe au rapport de Freytag.
2594.
Le baron de Freytag. — « J’apprends que vous êtes en colère. »
Varnh.
2595.
De Mme Denis au baron de Freytag. — « Je suis désespérée. »
Varnh.
2596.
Copie de ma lettre à M. de Freytag (envoyée à M. de La Touche). Francfort, 23 juin. — « Je ne conçois pas votre colère dans notre malheur. »
Th. F.
2597.
De Fredersdorff, de la part du roi de Prusse, au baron de Freytag. — « Seine Königliche Majestät unser allergnädigrster. »
Varnh.
2598.
De Mme Denis, à Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, le 25 juin. — « J’ignore si nos très-humbles requêtes. »
Th. F.
2599.
De Mme Denis à M. le chevalier de La Touche. Francfort, le 25 juin. « Mme Denis, qui est retombée très-malade. »
Th. F.
2600.
A M*** [le comte de Stadion]. Francfort, 26 juin. — « La même personne qui a eu l’honneur. »
B.
2601.
Du baron de Freytag au conseiller Schmid. 26 juin. — « Gestern war der Voltaire den ganzen Nachmittag. »
Varhn.
2602.
Du conseiller Schmid à Freytag. 20 juin. — « Dieser nimmet sich schon mehr. »
Varnh.
2603.
Rapport du baron de Freytag. 20 juin. — « Ob wir schon in der grössten Irrésolution waren. »
Varnh.
2604.
De Frédéric II, roi de Prusse, au baron de Freytag. 26 juin. — « J’ai reçu une lettre de la nièce de Voltaire. »
Varnh.
2605.
Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, ce 26 juin. — « Si mes lettres ne sont pas parvenues. »
Th. F.
2606.
Le chevalier de La Touche. Francfort, 26 juin. — « Ma nièce, dans son malheur inouï. »
Th. F.
2607.
Le chevalier de La Touche. Francfort, 26 juin. à 5 heures du soir. — « Depuis nos dernières requêtes. »
Th. F.
2608.
De Mme de Fontaine à M. le chevalier de La Touche. Paris, ce 28 juin. — « J’ai recours à Votre Excellence. »
Collect. Sermiz.
2609.
De Mme Denis au comte d’Argenson, ministre de la guerre. — « À peine ai-je recouvré l’usage. »
Mém. d’Arg.
2610.
Requête du sieur de Voltaire au roi de France. 28 juin. — « Sire, le sieur de Voltaire prend la liberté. »
B.
2611.
Frédéric II, roi de Prusse. Francfort, 29 juin. — « Dans la crainte où nous devons être. »
Th. F.
2612.
Le chevalier de La Touche. Francfort. 29 juin. — « Mme Denis et son oncle réitèrent. »
Th. F.
2613.
De la margrave de Baireuth à Frédéric II, roi de Prusse. 29 juin. — « Mon très-cher frère, je compte ce jour. »
Varnh.
2614.
De Fredersdorff au baron de Freytag. Postdam, den 2 Juli 1753. — « Seine Königliche Majestät lassen denselben. »
Varnh.
2615.
La duchesse de Saxe-Gotha. Francfort-sur-le-Mein, 3 juilet. — « C’est bien dommage ; nos empereur. »
B. et F.
2616.
Frédéric II roi de Prusse. Juillet. — « La dame Denis et le sieur de Voltaire. »
Th. F.
2617.
Le chevalier de La Touche. Francfort, juillet. — « Mme Denis et M. de Voltaire, réduits à de bien tristes extrémités. »
Th. F.
2618.
À M. ***. — « Je vous demande mille pardons. »
Th. F.
2619.
Mme Denis et Voltaire au baron de Freytag.5 juillet. — « Mme Denis prie M. de Freytag. »
Varnh.
2620.
Rapport du baron de Freytag, du 6 juillet. — « Was vor Chagrin, Unkosten und Noth. »
Varrnh.
2621.
Rapport du baron de Freytag, du 7 juillet. — « Unser weitlaüftiger Rapport vom gestrigen. »
Varnh.
2622.
À M.*** 8 juillet. — « Je partis si tard hier. »
Th. V.
2623.
De Frédéric II, roi de Prusse, ou baron de Freytag. 9 juillet 1753. — « J’ai reçu une lettre de Voltaire. »
Varnh.
2624.
Mme Denis. Mayence, le 9 juillet. — « Il y avait trois ou quatre ans que je n’avais pleuré. »
B.
2625.
De M.*** au baron de Freytag. Paris, 12 juillet. — « Il s’est répandu ici. »
Varnh.
2626.
M.*** [le comte de Stadion]. Mayence, 14 juillet. — « Son Excellence permettra. »
B.
Journal de ce qui s’est passé à Francfort sur-Mein.
2627.
De Fredersdorff au baron de Freytag. 14 juillet. — « Ich habe sowohl Dero. »
Varnh.
2628.
De M.*** au baron de Freytag. — « Vous verrez par la lettre. »
Varnh.
2629.
Du chevalier de La Touche. 21 juillet 17533. — « J’ai reçu par la poste. »
Collect. Sermiz.
2630.
La duchesse de Saxe-Gotha. Mayence, 22 juillet. — « Freytag et la fièvre ont fait un peu de tort. »
B. et F.
2631.
'De Frédéric II, roi de Prusse, au baron de Freytag. 31 juillet. — « J’ai encore reçu une lettre de Voltaire »
Varnh.
2632.
Guillaume VIII, landgrave de Hesse-Cassel. Schwetzingen, près de Manheim, 4 août 1753. — « Votre Altesse sérénissime m’a recommandé. »
B.
2633.
La duchesse de Saxe-Gotha. Schwetzingen, près de Manhein. — « Je m’approche du midi à pas lents. »
Lord Brough.
2634.
À M.*** Schwetzingen, prés de Manheim. 5 août. — « M. le chevalier de La Touche me mande. »
Varnh.
2635.
Du baron de Freytag à Fredersdorff. 7 August. — « Es hahen Ihre Königliche Majestät. »
Varnh.
2636.
Le comte d’Argental. Strasbourg, le 16 août. — « J’ignore si Mme Denis, »
B.
2637.
De Fredersdorff au baron de Freytag. 18 August. — « Aus Euer Hochwohlgeboren Schreiben. »
Varnh.
2638.
La comtesse de Lutzelbourg. Auprès de Strasbourg, 22 août. — « La destinée qui joue. »
B.
2639.
De Mme Denis. 20 août. — " J’ai à peine la force de vous écrire. »
B.
2640.
La comtesse de Lutzelbourg. — « Madame la comtesse de Lutzelbourg croit donc. »
B.
2641.
Mme de Fontaine. Près de Strasbourg, 31 auguste. — « Dans une botte de lettres. »
P. in. 1820.
2642.
La comtesse de Lutzelbourg. 2 septembre 1753. — « J’ai lu ce mémoire. »
B.
2643.
M. Dupont, avocat. Strasbourg, 4 septembre. — « Je vous aurais remercié plus tôt. »
B.
2644.
La duchesse de Saxe-Gotha. — « Votre chevalier errant est devenu. »
B. et F.
2645.
Le duc de Richelieu. Strasbourg, ou tout auprès, le 7 septembre. — « Mais vraiment, monseigneur, cela est assez extraordinaire. »
B.
2646.
La comtesse de Lutzelbourg. Auprès de vous, 14 septembre. — « Je vous demande pardon. »
B.
2647.
M. de Chenevières. Auprès de Strasbourg, le 14 septembre. — « Je réponds bien tard. »
C. et F.
2648.
D’Alembert. — « J’ai obéi comme j’ai pu à vos ordres. »
B.
2649.
La duchesse de Saxe-Gotha. Strasbourg, 22 septembre. — « Après avoir écrit à Votre Altesse. »
B. et F.
2650.
La margrave de Baireuth. Strasbourg, 22 septembre. — « Je me regarderais comme coupable. »
Rev. fr.
2651.
La duchesse de Saxe-Gotha. Strasbourg, 27 septembre. — « Votre lettre du 17 septembre. »
B. et F.
2652.
M. Dupont, avocat. Strasbourg, 1er octobre 1753. — « Je compte partir demain. »
B.
2653.
Le comte d’Argental. Auprès de Colmar, 3 octobre. — « Si Mme la maréchale de Duras. »
B.
2654.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 5 octobre. — « Je suis pénétré de regrets. »
B.
2655.
Le comte d’Argental. Au pied d’une montagne, 10 octobre. — « Il me semble que je suis bien coupable. »
B.
2656.
La comtesse de Lutzelbourg. Dans les Vosges, 14 octobre. — « J’ai été chercher dans les Vosges. »
B.
2657.
M. Dupont, avocat. — « On peut très-bien mettre trois rimes. »
B.
2658.
La duchesse de Saxe-Gotha. — « On imprime actuellement ces Annales. »
B. et F.
2659.
Le comte de Gotter. — « Mme la duchesse de G… m’a instruit. »
B.
2660.
La comtesse de Lutzelbourg. Dans mes montagnes, 24 octobre. — « Comment, madame ! est-ce que vous n’auriez pas. »
B.
2661.
M. Bordes. Auprès de Colmar, 20 octobre. — « J’ai trop différé à vous remercier. »
B.
2662.
Le marquis de Thibouville. Près de Colmar, 9 novembre 1753. — « Il y a quatre à cinq mois. »
B.
2663.
Cideville. Colmar, 11 novembre. — « Mon ancien ami, Mme Denis m’apprit. »
B.
2664.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar. 21 novembre. — « Je reçois la nouvelle marque de bonté. »
B. et F.
2665.
Le comte de Gotter. Colmar, 21 novembre. — « Mme la duchesse de Gotha a eu la bonté. »
B.
2666.
La comtesse de Lutzelbourg. 21 novembre. — « La goutte, qui s’est jointe à tous mes maux. »
B.
2667.
Mme de Fontaine. 23 novembre. — « Mon aimable nièce, j’étais bien malade, »
B.
2668.
Le comte d’Argental. Colmar, 24 novembre. — « Votre lettre vient bien à propos. »
B.
2669.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 4 décembre 1753. — « J’ai vu M. le baron d’Hattsatt. »
B.
2670.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 14 décembre. — « J’ai appris en même temps la maladie. »
B. et F
2671.
Mme Denis. Colmar, 20 décembre. — « Je viens de mettre un peu en ordre. »
B.
2672.
Le comte d’Argental. De la grande ville de Colmar, le 21 décembre. — « Vous vous mêlez donc aussi d’être malade. »
B.
2673.
Malesherbes. Colmar, 25 décembre- — « Parmi les barbouilleurs de papier. »
C. et F
2674.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 26 décembre. — « Voici dans quel goût est imprimé. »
B. et F.
2675.
Jean Néaulme. Colmar, 28 décembre. — « J’ai lu avec attention et avec douleur. »
B.
2676.
Mme de Pompadour. Colmar, 1753. — « L’état horrible où je suis. »
B.
2677.
Le duc de Richelieu. Colmar, 30 décembre. — « Avec des malheurs qui accablent. »
B.
2678.
Malesherbes. Colmar, 30 décembre. — « Vous serez surpris de mon extrême impertinence. »
C. et F.
1754
2679.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 12 janvier 1754. — « Grand Dieu, qui rarement fais naître parmi nous. »
C. et F. (Suppl.)
2680.
Walther. Colmar, 13 janvier. — « J’ai reçu ce matin votre lettre du 23 décembre. »
B.
2681.
Le comte d’Argental. Colmar, 15 janvier. — « Je dresserai un petit autel d’Esculape. »
B.
2682.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 23 janvier. — « On m’avait dit que vous étiez à Andlau. »
B.
2683.
La margrave de Baireuth. Colmar, 25 janvier. — « Je mets aux pieds de Votre Altesse royale. »
Rev. fr.
2684.
Cideville. Colmar, 28 janvier. — « S’il est triste que les Français.»
B.
2685.
Jacob Vernet Colmar, 1er février 1754. — « Vous m’avez honoré autrefois de vos bontés, »
B.
2686.
Le marquis de Thibouville. Colmar, 6 février. — « Ma félicité est montée à un tel excès. »
B.
2687.
Roques. Colmar, 6 février. — « Oui, je me souviendrai de vous. »
B.
2688.
Le comte d’Argental. Colmar, 7 février. — « Vraiment, mon cher ange, il est bien vrai. »
B.
2689.
Malesherbes. Colmar, 7 février. — « Je vous prie de pardonner à un malade. »
C. et F.
2690.
Rousset de Missy. Colmar, 9 féviier. — « Lorsque je me plaignis à vous.»
B.
2691.
Polier de Bottens. Colmar, 10 février. — « Votre lettre me touche sensiblement. »
B.
2692.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 10 février. — « J’aurais été un impertinent. »
B. et F.
2693.
M. de Brenles. Colmar, 12 février. — « Tout malade que je suis. »
B.
2694.
Le Clerc de Montmercy. Colmar, 14 février. — « Je n’ai reçu qu’hier. »
C. et F.
2695.
Le P. de Menoux. Colmar, 17 février. — « Vous ne vous souvenez peut-être plus. »
B.
2696.
Le comte d’Argenson. Colmar, 20 février. — « Votre bibliothèque souffrira-t-elle ce rogaton ? »
B.
2697.
Du P. de Menoux. 23 février. — « Je suis flatté de l’honneur. »
Dern. Vol.
2698.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 23 février. — « Votre Altesse Sérénissime doit me trouver bien hardi. »
B. et F.
2699.
Malesherhes. Colmar, 24 février. — « Les maladies qui m’accablent. »
C. et F.
2700.
Le comte d’Argental. Colmar, 24 février. — « Je ne vous écris point de ma main. »
B.
2701.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 27 février. — « Je ne suis qu’un vieux étourdi. »
B. et F.
2702.
Malesherbes. Colmar, 28 février. — « La lettre dont vous m’honorez. »
C. et F.
2703.
Le comte d’Argental. Colmar, 28 février. — « Vous n’êtes pas accoutumé. »
B.
2704.
Formont. Colmar, 29 février. — « Quand on écrit d’un bout de l’univers à l’autre. »
B.
2705.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Dans les maladies qui me tourmentent. »
Th. F.
2706.
Le chevalier de La Touche. Colmar, 3 mars 1754. — « Vous n’ignorez pas qu’il parut. »
Th. F.
2707.
Le marquis d’Argens. Colmar, 3 mars. — « Frère, mes entrailles fraternelles. »
B.
2708.
La marquise du Deffant. Colmar, 3 mars. — « Votre lettre m’a attendri. »
B.
2709.
Le comte d’Argental. Colmar, 3 mars. — « J’applique à mes blessures cruelles. »
B.
2710.
M. Dupont. — « Si vous êtes chez vous. »
B.
2711.
Le comte d’Argental. Colmar, 10 mars. — « Je ne peux que vous montrer. »
B.
2712.
M. Dupont. — « Mon Dieu ! je sais bien. »
B.
2713.
À M***. 12 mars. — « J’ai eu 4,250 livres de rentes. »
B.
2714.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 13 mars. — « Pardonnez à un pauvre malade languissant. »
C. et F.
2715.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 13 mars. — « Grand merci de votre consolante lettre.»
B.
2716.
M. Dupont. — « Eh bien donc, que les prêtres. »
B.
2717.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 16 mars. — « Je fais partir. »
B. et F.
2718.
De Frédéric II, roi de Prusse. 16 mars. — « Je vous remercie du livre. »
Pr.
2719.
M. Dupont. 17 mars. — « Tout le livre de M. Dupin. »
B.
2720.
Polier de Bottens. Colmar, 19 mars. — « En réponse à votre lettre du 15. »
B.
2721.
M. Dupont. 19 mars. — « Il est clair que le sonnet de l’Avorton. »
B.
2722.
Le comte d’Argental. Colmar, 21 mars. — « Je reçois votre lettre du 17 mars. »
B.
2723.
Le marquis d’Argens. Colmar, mars. — « À très-révérend père en diable, Isaac Onitz. »
B.
2724.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 26 mars. — « On me dit que vous allez à Andlau. »
B.
2725.
L’abbé d’Olivet. Colmar, 26 mars. — « Je vous remercie bien sincèrement. »
B.
2726.
Malhesherbes. Colmar, 29 mars. — « Je vous demande pardon. »
C. et F.
2727.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 3 avril 1754. — « Toutes les fois qu’il neige. »
B. et F.
2728.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 12 avril. — « Quelque répugnance que j’eusse à repasser par Francfort. »
C. et F. (Suppl.)
2729.
Malesherbes. Colmar, 15 avril. — « Permettez que j’aie l’honneur. »
C. et F.
2730.
Le comte d’Argental. Colmar, 16 avril. — « Est-t-il rai que votre santé s’altère ? »
B.
2731.
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 16 avril. — « Il y a longtemps, mon cher ami. »
B.
2732.
La marquise du Deffant. Colmar, 23 avril. — « Je me sens très-coupable. »
B.
2733.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 1er mai 1754. — « Le manuscrit corrigé de votre main. »
B.
2734.
Le comte d’Argental. Colmar, le 2 mai. — « Mon ombre sera à Plombières. »
B.
2735.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 3 mai. — « Il vient de tomber de l’encre, »
B. et F.
2736.
Roques. Colmar, 3 mai. — « Je ne reçois qu’aujourd’hui. »
B.
2737.
Walther. Colmar, 3 mai. — « Il est très-vrai que plusieurs personnes. »
B.
2738.
De Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 7 mai. — « Votre lettre m’a fait grand plaisir. »
B.
2739.
Le président, Hénault. Colmar, 12 mai. — « Mes doigts enflés me refusent le plaisir. »
B.
2740.
Frédéric, prince héréditaire de Hesse-Cassel. 14 mai. — « Monseigneur, je suis toujours émerveillé. »
B.
2741.
Le comte d’Argental. Colmar, 16 mai. — « Le 7 de juillet approche. »
B.
2742.
La marquise du Deffant. Colmar, 19 mai. — « Savez-vous le latin ? »
B.
2743.
M. de Brenles. Colmar, 21 mai. — « Je me crois déjà votre ami. »
B.
2744.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 25 mai. — « Vos bontés font dans mon cœur. »
B. et F.
2745.
Le comte d’Argental. Colmar, 29 mai. — « J’ai oublié dans ma dernière lettre. »
B.
2746.
Walther. Colmar, 29 mai. — « À l’égard de l’édition de mes œuvres en sept volumes. »
B.
2747.
Malesherbes. Colmar, 6 juin 1754. — « Ma nièce m’a envoyé un papier. »
C. et F.
2748.
Colini. 9 juin. — « En passant par Saint-Dié. »
B.
2749.
Le comte d’Argental. Senones, le 12 juin. — « Ceux qui disent que l’homme est libre. »
B.
2750.
Colini. Senones. — « Mi capita oggi la lettera. »
B.
2751.
Le comte d’Argental. À Senones, par Ravon ou Raon, le 16 juin. « Je ne sais si Mme Denis a raison ou non. »
B.
2752.
Le comte d’Argental. À Senones, par Raon, le 20 juin. — « Vous me laissez faire. »
B.
2753.
M. Dupont. Senones, juin. — « Je supplie M. Dupont. »
B.
2754.
Colini. Senones, 23 juin. — « Je n’ai point encore le paquet. »
B.
2755.
Le comte d’Argental. Senones, 24 juin. — « Ô adorables anges, je compte être incessamment. »
B.
2756.
Colini. Senones, le 24 juin. — « Al fine ho ricevuto. »
B.
2757.
Colini. Senones, 26 juin. — « Un messager de Saint-Dié. »
B.
2758.
Colini. Senones, le 2 juillet 1754. — « En réponse à votre lettre du 25. »
B.
2759.
La marquise du Deffant. Entre deux montagnes, le 2 juillet. — « J’ai été malade ; j’ai été moine. »
B.
2760.
La duchesse de Saxe-Gotha. Auprès de Plombières, 3 juillet. — « J’ai été bien malade. »
B. et F.
2761.
Malesherbes. Plombières, 6 juillet. — « Ayant eu l’honneur de vous envoyer. »
C. et F.
2762.
Colini. Plombières, 6 juillet. — « Je répète al signer Colini. »
B.
2763.
Malesherbes. Plombières, 7 juillet. — « Je suis encore obligé. »
C. et F.
2764.
Lambert. plombières, 9 juillet. — « Je vous écris encore. »
B. et F. (App.)
2765.
Cideville. Plombières, 9 juillet. — « Quoique chat échaudé ait la réputation. »
B.
2766.
Colini. Plombières, 12 juillet. — « M. Mac-Mahon, médecin de Colmar. »
B.
2767.
Le marquis de Ximenès. Plombières, 14 juillet. — « Je voudrais être à Paris. »
C. et F.
2768.
Dom Calmet. Plombières, 16 juillet. — « La lettre dont vous m’honorez. »
B.
2769.
La duchesse de Saxe-Gotha. Plombières. 17 juillet. — « Loin de vous et de votre image. »
B. et F.
2770.
M. Devaux. Plombières, 19 juillet. — « Mon cher Panpan, Mlle de Francinetti. »
B.
2771.
Malhesherbes. Plombières, 19 juillet. — « Je vous supplie de vouloir bien considérer. »
C. et F.
2772.
Le comte d’Argental. Colmar, 26 juillet. — « Je ne peux me consoler. »
B.
2773.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 27 juillet. — « J’ai reçu votre lettre. »
B.
2774.
L’abbé d’Olivet. Colmar, 27 juillet. — « Mon cher Cicèron, le cardinal de Ximenés. »
B.
2775.
Le marquis de Ximenès. Colmar, 28 juillet. — « On retrouve toujours des forces. »
B. et F.
2776.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 30 juillet. — « En arrivant à Colmar, j’ai trouvé, »
B. et F.
2777.
Le comte d’Argental. Colmar, 3 août 1754. — « Les eaux de Plombières ne sont pas. »
B.
2778.
Le duc de Richelieu. Colmar, 6 août. — « Croyez fermement que je vous mets. »
B.
2779.
Le comte d’Argenson. Colmar, 13 août. — « Permettez qu’on prenne la liberté. »
B.
2780.
M. de Brenles. Colmar, 13 août. — « Mon voyage de Plombières. »
Pr.
2781.
Frédéric II, roi de Prusse. Colmar, 22 août. — « Je prends encore la liberté de présenter. »
B.
2782.
Mme de Fontaine. Colmar, 22 août. — « Je veux vous écrire.»
B.
2783.
Le comte d’Argental. Colmar, 27 août. — « L’épuisement où je suis. »
B.
2784.
Le marquis de Thibouville. Colmar, 27 août. — « Oui, je pense plus à vous. »
B.
P.S. de Mme Denis.
2785.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 28 août. — « Je suis charmé d’apprendre. »
B.
2786.
Le comte d’Argental. Colmar, 8 septembre 1754. — « C’est moi qui veux et qui fais. »
B.
2787.
Mme de Fontaine. Colmar, 12 septembre. — « Je fais les plus tendres compliments. »
B.
2788.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 17 septembre. — « J’ai relu jusqu’à trois fois. »
B.
2789.
M. Royer. Le 20. — « J’avais eu l’honneur de vous écrire. »
B.
2790.
Le comte d’Argental. Colmar, 21 septembre. — « Je vous obéis avec douleur. »
B.
2791.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 23 septembre. — « Je ne guéris point.»
B.
2792.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 4 octobre 1754. — « J’ai respecté les États d’Altembourg. »
B. et F.
2793.
M, de Brenles. Colmar, 6 octobre. — « Ce que vous me dites de votre santé. »
B.
2794.
Le comte d’Argental. Colmar, 6 octobre. — « J’ai assez de justice.»
B.
2795.
Mme de Fontaine. Colmar, 6 octobre. — « Je pense que c’est bien assez. »
B.
2796.
De Colini à M. Dupont. 12 octobre. — « Vous permettrez que je vous présente. »
Lett. in. 1821
2797.
Moncrif. Colmar, 15 octobre. — « Je reçois dans ce moment. »
C. et F.
2798.
Le président Hénault. Colmar, 15 octobre. — « J’apprends que vous avez été. »
B.
2799.
Le comte d’Argental. Octobre. — « J’écris au président Hénault. »
B.
2800.
Le comte d’Argental. Colmar, 15 octobre. — « Votre lettre du 11 a lait un miracle. »
B.
2801.
Le duc de Richelieu. Colmar, 17 octobre. — « Mme Denis vous avait déjà demandé. »
B.
2802.
M. de Brenles. Colmar, 18 octobre. — « Je prévois que je serai obligé. »
B.
2803.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 20 octobre. — « J’ai été bien charmé. »
B.
2804.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar 23 octobre. — « Il faut, madame, que je vous dise. »
B.
2805.
La duchesse de Saxe-Gotha. Colmar, 24 octobre. — « J’ai fait partir par les chariots. »
B. et F.
2806.
Moncrif. Colmar, 24. — « Je vois, mon aimable confrère. »
C. et F.
2807.
Le Duc de Richelieu. Colmar, 27 octobre. — « C’est actuellement que je commence. »
B.
2808.
Le comte d’Argental. Colmar, 29 octobre. — « Dieu est Dieu, et vous êtes son prophète. »
B.
2809.
M. de Brenles. Colmar, 5 novembre 1754. — « Me voilà lié à vous. »
B.
2810.
La comtesse de Lutzelbourg. Colmar, 7 novembre. — « Qu’ai-je été chercher à Colmar ? »
B.
2811.
Le comte d’Argental. Colmar, 7 novembre. — « Je reçois deux lettres aujourd’hui. »
B.
2812.
Le duc de Richelieu. Colmar, 7 novembre. — « Voici une lettre que Mme Denis. »
B.
2813.
Le duc de Richelieu. Colmar, 10 novembre. — « Malgré ce que je vous ai écrit. »
C. et F.
2814.
Le comte d’Argental. Colmar, 10 novembre. — « Nous partons pour Lyon. »
B.
2815.
De l’abbé de Prades. 14 novembre. — « Le roi a reçu la lettre. »
Pr.
2816.
M. Dupont. Lyon, au Palais-Royal, 18 novembre. — « Me voilà donc monsieur. »
B.
2817.
De Colini à M. Dupont. Lyon, novembre 1754. — « Je vous dois mille remerciements. »
Lett. in. 1821.
2818.
Le comte d’Argental. Lyon, au Palais-Royal, 20 novembre. — « Me voilà à Lyon. »
B.
2819.
Le comte d’Argental. Lyon, 23 novembre. — » Sæpe premente deo. »
B.
2820.
Le président de Ruffey. Lyon, 25 novembre. — « J’ai reçu de nouvelles preuves. »
Th. F.
2821.
Le duc de Richelieu. Lyon, 29 novembre. — « Mon héros, on vous appelait Thésée. »
B.
2822.
Gottsched. Lyon, 29 novembre. — « J’ai reçu à Lyon la lettre. »
H. B.
2823.
Le comte d’Argental. Lyon, 2 décembre 1754. — « Est-il possible que je ne reçoive point. »
B.
2824.
Thieriot. Lyon, 3 décembre. — « Votre lettre, mon ancien ami .»
B.
2825.
Le comte d’Argental. De mon lit, à Lyon, 4 décembre. — « Votre consolante lettre, adressée à Colmar. »
B.
2826.
M. Dupont. Lyon, 6 décembre. — « En vérité, je ne conçois pas. »
B.
2827.
Le comte d’Argental. Lyon, 9 décembre. — « Votre lettre du 3 novembre. »
B.
2828.
M. de Brenles. Au château de Prangins, 14 décembre. — « Vous voyez que j’ai pris mon plus long. »
B.
2829.
De Mme Denis à M. Tronchin, banquier à Lyon. 14 décembre. — « Je vous jure que mon oncle. »
C. et F. (Suppl.)
2830.
La duchesse de Saxe-Gotha. Au château de Prangins, prés de la ville de Nyon, au pays de Vaud, en Suisse, 16 décembre 1754. — « Je reçois au bord du plus beau lac. »
B. et F.
2831.
Thieriot. Château de Prangins, 19 décembre. — « Me voilà si perclus. »
B.
2832.
Le comte d’Argental. Château de Prangins, 19 décembre. — « J’apprends qu’on a fait chez vous. »
B.
2833.
M. de Brenles. Château de Prangins, 20 décembre. — « Je crains que vous ne soyez malade. »
B.
2834.
Le comte d’Argental. Prangins, 25 décembre. — « Vous ne cessez de veiller. »
B.
2835.
M. Dupont. Prangins, 26 décembre. — « Vous êtes aussi essentiel. »
B.
2836.
De Colini à M. Dupont. 20 décembre. — « Ne croyez pas, monsieur, que j’attende. »
Lett. in. 1821.
2837.
De Charles-Théodore, électeur palatin. 29 décembre. — « Je vous suis bien obligé. »
B.
2838.
Le comte d’Argental. Prangins, 30 décembre. — « Je vous souhaite une bonne année. »
B.
2839.
M. de Brenles. Prangins, 31 décembre. — « Puisque les hommes sont assez barbares. »
B.