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Livre:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t1.djvu

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-aussi diverees que
+aussi diverses que
-on Ta porté
+on l’a porté
-comme Thomme de
+comme l’homme de
-du privilège, le
+du privilége, le
-de V Esprit des
+de l’Esprit des
-les ^ mauvais
+les mauvais
-reprend \ goût
+reprend goût
-a r^ fait
+a fait
-d’une ’^ autorité
+d’une autorité
-parti constitutionnel; Mounier, Clermont-Tonnerre , Lally-Tollendal , Malouet , Mirabeau lui-même , quoiqu’il
+parti constitutionnel ; Mounier, Clermont-Tonnerre, Lally-Tollendal, Malouet, Mirabeau lui-même, quoiqu’il
-rompre brus7uement avec
+rompre brusquement avec
-esprit. Ou le
+esprit. On le
-sous Tempire l’auteur de VEsprit des
+sous l’empire l’auteur de l’Esprit des
-la constilulion d’An--
+la constitution d’An-
-AYEHTISSEMIiNT. m gleterre^. La
+gleterre. La
-trois pouvoire défraye
+trois pouvoirs défraye
-et qu on annote
+et qu’on annote
-soigné Tédition Lefèvre,
+soigné l’édition Lefèvre,
-en 183A, a
+en 1834, a
-n’a (|ue des
+n’a que des
-moment parait favorable
+moment paraît favorable
-aussi ver 1. Ksprit des
+aussi ver- Esprit des
-de Y Esprit des
+de l’Esprit des
-Peut-être comptentils sur
+Peut-être comptent-ils sur
-de noies, qui
+de notes, qui
-qui aujourd’hui" sont vulgaires; nous
+qui aujourd’hui sont vulgaires ; nous
-refaire YEsprit des lois; nous
+refaire l’Esprit des lois ; nous
-du XVIII* siècle,
+du XVIIIe siècle,
-que M’"*’ Du Defland appelait
+que Mme Du Deffand appelait
-les loisy abondent
+les lois, abondent
-lecteur modenie se
+lecteur moderne se
-de d’Alerabert, et
+de d’Alembert, et
-le xvii" siècle
+le XVIIe siècle
-le XVIII* siècle
+le XVIIIe siècle
-de génie; Racine
+de génie ; Racine
-la Grèce; Bossuet
+la Grèce ; Bossuet
-Éd. La boula ye. Parw, avril
+Éd. Laboulaye. Paris, avril
-MONTESQUIEU PAil M.
+MONTESQUIEU PAR M.
-MAUPERTUIS * Ce n*est point Tusage de
+MAUPERTUIS Ce n’est point l’usage de
-académie Téloge des
+académie l’éloge des
-qu’aucune n*a plus
+qu’aucune n’a plus
-le môme hommage
+le même hommage
-que nous; mais
+que nous ; mais
-de rAcadémie royale des scieocea de
+de l’Académie royale des sciences de
-5 Juin 1755.
+5 juin 1755.
-présenter Timage de
+présenter l’image de
-trop persuade, que
+trop persuadé, que
-de Tesprit et
+de l’esprit et
-cœur dévoient être
+cœur devoient être
-si môme elles n’étoicnt pas
+si même elles n’étaient pas
-dans Thomme dont
+dans l’homme dont
-plus sublime; quand
+plus sublime ; quand
-de Secondât, baron
+de Secondat, baron
-de Secondât, sieur
+de Secondat, sieur
-Henri 1«% roi
+Henri Ier, roi
-de Secondât, pour
+de Secondat, pour
-de Secondât, fils
+de Secondat, fils
-France. * Ce
+France. Ce
-de Secondât, second
+de Secondat, second
-Guyenne. 1. De Thou, dans* ses
+Guyenne. De Thou, dans ses
-raconte qu*à Agen,
+raconte qu’à Agen,
-Roques Secondât. «
+Roques Secondat. «
-sa mère; il
+sa mère ; il
-de Secondât, qui
+de Secondat, qui
-au siège d’Ostende. Il avoit avec
+au siége d’Ostende. Il avait avec
-etc. i»
+etc. »
-DE M. DE MONTESQUIEU. 3 Son Gis, Jean-Baptiste, un desplus beauxgéniesde son
+Son fils, Jean-Baptiste, un des plus beaux génies de son
-de Secondât, auteur de YEsprit des
+de Secondat, auteur de l’Esprit des
-fait unô étude
+fait une étude
-côtés, avoient produit
+côtés, avaient produit
-que Tidolâtrie de
+que l’idolâtrie de
-laisser paroître. Il
+laisser paraître. Il
-le 2k février 171/(, et
+le 24 février 1714, et
-à Toccasion d’un
+à l’occasion d’un
-vins. ^ M.
+vins. M.
-écouter favorablement; mais
+écouter favorablement ; mais
-forme. * En
+forme. En
-il étoit capable
+il était capable
-compagnie Tattiroit à
+compagnie l’attiroit à
-Bordeaux n’avoit eu
+Bordeaux n’avait eu
-y étoit entré
+y était entré
-et avoit réformé
+et avait réformé
-sa nais 1. Cétait un
+sa nais- C’était un
-de chaqae tonneaa de via. 2. Cétait un
+de chaque tonneau de vin. C’était un
-en BUS des
+en sus des
-ordinaires d*entrée et
+ordinaires d’entrée et
-en 1753, M.
+en 1755, M.
-son Eloge dé Montesquieu,
+son Éloge de Montesquieu.
-destinées. ^ Tout
+destinées. Tout
-Montesquieu étoit revêtu,
+Montesquieu était revêtu,
-lois mômes. En
+lois mêmes. En
-l’Académie françoise, vacante
+l’Académie française, vacante
-admît l’autétar des Lettres persmies. 11 falloit
+admît l’auteur des Lettres persanes. Il falloit
-reçu. ’ Quelques
+reçu. Quelques
-avec miiord Waldgrave,
+avec milord Waldgrave,
-prince Eugène; l’un
+prince Eugène ; l’un
-sciences. 2. Lo 21 Janvier 1728. (Maup.) i
+sciences. Le 24 janvier 1728. (Maup.)
-voyages. * II rentra
+voyages. Il rentra
-digne d*un tel
+digne d’un tel
-les Tiiien. Mais
+les Titien. Mais
-de Part, il
+de l’art, il
-France, ^ et
+France, et
-Clément XJI. M.
+Clément XII. M.
-Angleterre. C’éloit là
+Angleterre. C’était là
-ses voyages; c’étoit là
+ses voyages ; c’était là
-reine, " digne
+reine, digne
-plaisir 1. Ce Journal n*a pas été pubUé. !2. n fut
+plaisir Ce journal n’a pas été publié. Il fut
-cardinal do Polignac,
+cardinal de Polignac,
-rendit Justice à
+rendit justice à
-que Teatime y
+que l’estime y
-: VAnti ’ Lucrèce du
+: <p></p> « L’Anti-Lucrèce du
-Polignac paroi t, et
+Polignac paroît, et
-ressemble à son père; il
+ressemble a son père ; il
-mille vers; mais
+mille vers ; mais
-vers étoient l’objet
+vers étaient l’objet
-de *** * comme
+de ***(*) comme
-la tète de
+la tête de
-qui connoissoient le
+qui connaissoient le
-de VÊnéide, mais
+de l’Énéide, mais
-ne connoissoient pas VÉnéide, N.
+ne connaissoient pas l’Énéide. N.
-et Je m’en
+et je m’en
-vous, Je vous
+vous, je vous
-que Je ne
+que je ne
-(Maup.) 3. La reine Anne. • L’abbé de Rolhelio, dit-on.
+(Maup.) <p></p> * L’abbé de Rothelin, dit-on. La reine Anne.
-à lui-môme, et
+à lui-même, et
-en 1733.^ Il
+en 1733. Il
-qui étoit fait
+qui était fait
-réflexions Ten détournèrent,
+réflexions l’en détournèrent,
-dans VEsprit des lois. * Le sucoès du
+dans l’Esprit des lois. Le succès du
-lui semblolent s’y
+lui sembloient s’y
-qu’il pouvoit que
+qu’il pouvait que
-à VEsprit des
+à l’Esprit des
-en 17 [|8 cet
+en 1748 cet
-celui-ci. G’étoient comme
+celui-ci. C’étoient comme
-de toutes! Nous
+de toutes ! Nous
-comme apparte i. En
+comme apparte- En
-ch. vi, et
+ch. {{rom|vi}}, et
-ch. xxvn.
+ch. {{rom|xxviii}}.
-encore aujourd’hui , que
+encore aujourd’hui, que
-: c’a été
+: ç’a été
-de flnesse les
+de finesse les
-l’amour d’Europe? Ne
+l’amour d’Europe ? Ne
-son anéantissement? Les
+son anéantissement ? Les
-premier ouvrage; le
+premier ouvrage ; le
-autres sciences , on
+autres sciences, on
-été capable , s’il
+été capable, s’il
-moderne I Avec
+moderne ! Avec
-métaphysique I ^ 11 n’appartient
+métaphysique ! Il n’appartient
-jamais i. Lettres 07 et
+jamais Lettres 97 et
-8 ÉLOGE parvenir.* Lors
+parvenir. Lors
-de comioissances dans
+de connoissances dans
-sens philosophique , franchissant
+sens philosophique, franchissant
-se scroient jamais
+se seroient jamais
-cela M, de
+cela M. de
-chaque pas! Quant
+chaque pas ! Quant
-et qui , s’il
+et qui, s’il
-principal mérite , cause
+principal mérite, cause
-philosophe superficiel; c’est
+philosophe superficiel ; c’est
-les nations. i. On
+les nations, On
-cet ouvrage; mais c^est Touvragc de
+cet ouvrage ; mais c’est l’ouvrage de
-de Tunivers, les Romains. S*il est
+de l’univers, les Romains. S’il est
-suivre TefTet des
+suivre l’effet des
-combien Test-il encore
+combien l’est-il encore
-de Topposition des
+de l’opposition des
-est nécessaire , Ton considère
+est nécessaire, l’on considère
-ne suffît point pour cela; le
+ne suffit point pour cela ; le
-de l’expérience; il
+de l’expérience ; il
-une connoissance parfaite
+une connaissance parfaite
-ne s’attacheroit qu’aux
+ne s’attacherait qu’aux
-les autres; qui se permettroit d’en
+les autres ; qui se permettrait d’en
-un choix , de les joindre , de
+un choix, de les joindre, de
-; enOn de
+; enfin de
-de l’histoire; pour
+de l’histoire ; pour
-Montesquieu étoit bien
+Montesquieu ctait bien
-l’histoire l’avoit conduit
+l’histoire l’avait conduit
-ses réflexions; ce n’étoit que
+ses réflexions ; ce n’était que
-qu’il tiroit les
+qu’il tirait les
-en môme temps
+en même temps
-leurs ouvrages , je
+leurs ouvrages, je
-nous auroit aussi
+nous aurait aussi
-nous manqueroit de
+nous manquerait de
-peignit Thomme dans
+peignit l’homme dans
-sur Us Causes
+sur les Causes
-de t Empire romain,
+de l’Empire romain,
-en sociétés; comment
+en sociétés ; comment
-le conduisoient à
+le conduisaient à
-peut entreprendre , à
+peut entreprendre, à
-de V Esprit
+de l’Esprit
-de Montesquieu , lorsqu’il
+de Montesquieu, lorsqu’il
-cette gradation; mais
+cette gradation ; mais
-que Tordre des
+que l’ordre des
-esprit Ty portoient. Un
+esprit l’y portaient. Un
-ne sauroit s’arrêter
+ne saurait s’arrêter
-le tout; sans
+le tout ; sans
-l’ordre môme que
+l’ordre même que
-traite. L’homme , soit
+traite. L’homme, soit
-suppose seul , soit
+suppose seul, soit
-ou malheureux , et
+ou malheureux, et
-s’y opposer; dans
+s’y opposer ; dans
-que devroit suivre
+que devrait suivre
-la terre; elles seroient bien
+la terre ; elles seraient bien
-se rapportcroient immédiatement
+se rapporteraient immédiatement
-homme devroit suivre
+homme devrait suivre
-n’y auroit aucune société; les
+n’y aurait aucune société ; les
-ne différeroient guère
+ne différeraient guère
-que devroit suivre
+que devrait suivre
-ne devroit considérer
+ne devrait considérer
-il auroit peu
+il aurait peu
-ne viendroit que
+ne viendrait que
-il seroit exposé; ces
+il serait exposé ; ces
-des hommes , il
+des hommes, il
-nous connoissions ne
+nous connaissions ne
-leurs lois , qui
+leurs lois, qui
-moins do sagesse
+moins de sagesse
-à Tavantage qu’il
+à l’avantage qu’il
-retire lui-même , et
+retire lui-même, et
-elle pourroit être
+elle pourrait être
-de sacriGer le
+de sacrifier le
-que souffriroit chaque
+que souffrirait chaque
-grandes commodités , est
+grandes commodités, est
-que souffriroit le
+que souffrirait le
-homme, pourroit être
+homme, pourrait être
-ne faudroit pas
+ne faudrait pas
-la quantité , qu’ils
+la quantité, qu’ils
-de Montesquieu; et
+de Montesquieu ; et
-nous auroit imposé
+nous aurait imposé
-nous s’étendoit plus
+nous s’étendait plus
-du nôtre; nous
+du nôtre ; nous
-dans Tordre de
+dans l’ordre de
-les lois , tant
+les lois, tant
-que civiles; d’un
+que civiles ; d’un
-le déûnir. Sans
+le définir. Sans
-nos âmes , ou si , comme
+nos âmes, ou si, comme
-l’ont prétendu,^ il
+l’ont prétendu, il
-déjà établies , il
+déjà établies, il
-dans Tautre cas,
+dans l’autre cas,
-principe I. Locke
+principe Locke
-différentes interprétations , et laisseroit trop
+différentes interprétations, et laisserait trop
-d’équité auroit été
+d’équité aurait été
-les hommes , auroit-il jamais
+les hommes, aurait-il jamais
-grand bonheur? Celui-ci , quand
+grand bonheur ? Celui-ci, quand
-ne seroit pas
+ne scrait pas
-les autres , ne seroit-il pas
+les autres, ne serait-il pas
-des hommes? Nous reconnoissons tous
+des hommes ? Nous reconnaissons tous
-est une , il
+est une, il
-la révélation , l’équité
+la révélation, l’équité
-motifs seroit vaine.
+motifs serait vaine.
-si universel , que
+si universel, que
-il devroit égaler
+il devrait égaler
-il devroit encore
+il devrait encore
-prises ensemble , ce
+prises ensemble, ce
-grande société , dont
+grande société, dont
-perfection seroit que
+perfection serait que
-particulière sacriflât une
+particulière sacrifiât une
-se trouveroit la
+se trouverait la
-les seuls; ce
+les seuls ; ce
-à Tabri de
+à l’abri de
-Une muUitiuie d’hommes
+Une multitude d’hommes
-bonheur qu*il soit
+bonheur qu’il soit
-aux hommes , ces
+aux hommes, ces
-doute étoient celles qui dévoient répandre
+doute étaient celles qui devaient répandre
-dans Tétat du
+dans l’état du
-de lois , faites
+de lois, faites
-qui venoit de
+qui venait de
-ne suffîroicnt plus
+ne suffiraient plus
-différemment formées , ont
+différemment formées, ont
-lois nouvelles , et
+lois nouvelles, et
-ont proposées , on
+ont proposées, on
-d’un seul , et
+d’un seul, et
-de gouvernements; on
+de gouvernements ; on
-degrés possibles , depuis
+degrés possibles, depuis
-gouvernement môme considéré
+gouvernement même considéré
-droit politique; les
+droit politique ; les
-leur état , règlent
+leur état, règlent
-qui pourroit entreprendre
+qui pourrait entreprendre
-qui formeroient le
+qui formeraient le
-de tous? Dans
+de tous ? Dans
-ne seroit peut-être
+ne serait peut-être
-qui rendroient les
+qui rendraient les
-Montesquieu étoit trop
+Montesquieu était trop
-entièrement Tun ou
+entièrement l’un ou
-le permettoit, il
+le permettait, il
-des principes; ailleurs
+des principes ; ailleurs
-qu’il étoit possible
+qu’il était possible
-de gouvernement , il
+de gouvernement, il
-la démocratie , où
+la démocratie, où
-entre tous; la
+entre tous ; la
-un seul , mais
+un seul, mais
-le despotisme , où
+le despotisme, où
-certain esprit , un
+certain esprit, un
-est propre , qu’on
+est propre, qu’on
-la vertu; dans
+la vertu ; dans
-c’est l’honneur; sous
+c’est l’honneur ; sous
-gouvernements intermédiaires; mais
+gouvernements intermédiaires ; mais
-de gouvernement; la
+de gouvernement ; la
-chacune pourroit surprendre, la connoissance de
+chacune pourrait surprendre, la connaissancc de
-droit poUtique et
+droit politique et
-âme, Tamour de
+âme, l’amour de
-il parolt encore
+il parait encore
-derniers temps , où
+derniers temps, où
-ne seroit peut-être
+ne serait peut-être
-législation nouvelle , que
+législation nouvelle, que
-Ce seroit une
+Ce serait une
-des François est
+des Français est
-des Romains; mais
+des Romains ; mais
-leur obéissance , n’ont
+leur obéissance, n’ont
-elles étoient accoutumées
+elles étaient accoutumées
-elles regardoient la
+elles regardaient la
-ne voyoit point
+ne voyait point
-on auroit pu
+on aurait pu
-qu’on pourroit faire
+qu’on pourrait faire
-y auroit un
+y aurait un
-ces lois , qui formeroit un
+ces lois, qui formerait un
-chaque loi , à
+chaque loi, à
-les découvroient. Le
+les découvraient. Le
-qui étoit défectueux,
+qui était défectueux,
-son origine , a
+son origine, a
-de législation , qui ne cadroient point
+de législation, qui ne cadraient point
-les transportoit , s’en sont rapprochées; les
+les transportait, s’en sont rapprochées ; les
-mêmes. Ld complication
+mêmes. La complication
-du juge; il seroit sans
+du juge ; il serait sans
-plus simples; et
+plus simples ; et
-qu’on toucheroit aux
+qu’on toucherait aux
-de Montesquieu , dans
+de Montesquieu, dans
-royaume, avoit reconnu
+royaume, avait reconnu
-qu’elles entraînent , ne lui paroissoient rien.
+qu’elles entraînent, ne lui paraissaient rien.
-nécessaire. ^ S’il étoit possible
+nécessaire. S’il était possible
-de législation , quels
+de législation, quels
-ne faudroit-il pas
+ne faudrait-il pas
-qui entreprendroient un pareil ouvrage? La
+qui entreprendraient un pareil ouvrage ? La
-la connoissance de
+la connaissance de
-les observe , dont
+les observe, dont
-les élude , dont
+les élude, dont
-encore seroit inutile
+encore serait inutile
-fonds i. EsprUdes lois,
+fonds Esprit des lois,
-n’en faisoit usage.
+n’en faisait usage.
-système étoit jamais formé , ce seroit à Fautorité d’en
+système était jamais formé, ce serait à l’autorité d’en
-nouvelle législation , ou
+nouvelle législation, ou
-d’un peuple , qu’après
+d’un peuple, qu’après
-Montesquieu renfermoit tout
+Montesquieu renfermait tout
-de nom.* C’est
+de nom. C’est
-mer. * Ce n^est point
+mer. Ce n’est point
-science négligée , ou
+science négligée, ou
-les anciens , est
+les anciens, est
-de justesse , et
+de justesse, et
-plus utiles; ses
+plus utiles ; ses
-de Talgèbre, ont
+de l’algèbre, ont
-bien public , qui
+bien public, qui
-son ouvrage , avoit porté
+son ouvrage, avait porté
-lui avoient assuré
+lui avaient assuré
-de Kesprit, vécurent
+de l’esprit, vécurent
-de 1. C’est réconomie politique. 2. G.-F.
+de C’est l’économie politique. G.-F.
-fait reloge du
+fait l’éloge du
-a cmpninté plusieurs
+a emprunté plusieurs
-48 * ÉLOGE législation qui rendroit les
+législation qui rendrait les
-plus heureux , il
+plus heureux, il
-sont contenus; ils
+sont contenus ; ils
-est pur , tout
+est pur, tout
-y pourroit désirer ce seroit un
+y pourrait désirer ce serait un
-plus exact , qui
+plus exact, qui
-leur place , qui
+leur place, qui
-à Touvrage. Mais ce seroit alors
+à l’ouvrage. Mais ce serait alors
-de législation , qui ne sauroit être Touvrage des
+de législation, qui ne saurait être l’ouvrage des
-d’esprit, * que V Esprit des lois n’étoit que de r£sprit sur les bis. Je
+d’esprit, que l’Esprit des lois n’était que de l’Esprit sur les lois. Je
-lui étoit le plus propre; mais
+lui était le plus propre ; mais
-qu’on pouvoit dire
+qu’on pouvait dire
-de l’^^prit des
+de l’Esprit des
-ne paroissant que
+ne paraissant que
-ne voyoient pas
+ne voyaient pas
-de Montesquieu , qu’ils
+de Montesquieu, qu’ils
-des diff’ércnts peuples,
+des différents peuples,
-leurs lois , dans
+leurs lois, dans
-de gouvernement , dans
+de gouvernement, dans
-même, avoit trop
+même, avait trop
-que quel 1. M"* du Dcffund.
+que quelques Mme du Deffand.
-DE M. DE MONTESQUIEU. 49 ques raisonuements sur
+raisonnements sur
-explications n’avoient pas
+explications n’avaient pas
-force qull leur
+force qu’il leur
-de certain , c’est
+de certain, c’est
-en auroit étendu Tinfluence au
+en aurait étendu l’influence au
-des leurs , ou
+des leurs, ou
-contre elle , qu’ils
+contre elle, qu’ils
-Montesquieu avoit fait
+Montesquieu avait fait
-et littéraires; la raison étoit assez
+et littéraires ; la raison était assez
-défendre. 11 ne pouvoit pas
+défendre. Il ne pouvait pas
-en connoissoit la
+en connaissait la
-à faux; mais
+à faux ; mais
-en craignoit les
+en craignait les
-Il étoit l’homme
+Il était l’homme
-ne devoit pas
+ne devait pas
-il n’étoit pas
+il n’était pas
-comment auroit-elle pu
+comment aurait-elle pu
-qui faisoit tant
+qui faisait tant
-la religion? Ce
+la religion ? Ce
-contre VEsprit des
+contre l’Esprit des
-qu’on devoit à
+qu’on devait à
-soutenir parleurs productions,
+soutenir par leurs productions,
-des autres; il
+des autres ; il
-ne sauroient voir
+ne sauraient voir
-Montesquieu désespéroit. Le
+Montesquieu désespérait. Le
-de VEsprit des
+de l’Esprit des
-L’auteur s’étoit donné
+L’auteur s’était donné
-qui alloit paroître. Ses
+qui allait paraître. Ses
-relire VEsprit des
+relire l’Esprit des
-le lut; la
+le lut ; la
-le saisirent , et
+le saisirent, et
-supprimé. * Quelques
+supprimé. Quelques
-il n’auroit pas
+il n’aurait pas
-il étoit en
+il était en
-de mépriser; il
+de mépriser ; il
-de r Esprit des loi^ qui parut , on ne sauroit l’attribuer
+de l’Esprit des lois qui parut, on ne saurait l’attribuer
-qu’à lui , parce
+qu’à lui, parce
-lui. * Il n’eût
+lui. II n’eût
-à reconnoître dans
+à reconnaitre dans
-et Eacrate , dans
+et Eucrate, dans
-Il seroit trop
+Il serait trop
-ces ouvrages; peut-être trouveroit-on que
+ces ouvrages ; peut-être trouverait-on que
-ne devoit être
+ne devait être
-leurs travaux; je
+leurs travaux ; je
-qu’elle gagnoit dans
+qu’elle gagnait dans
-telle 1. Cest Touvrage de
+telle C’est l’ouvrage de
-en étoit l’auteur.
+en était l’auteur.
-ce qu*il m’écrivoit : M** d*AiguiUon m’envoya demander pour vous ma Défense de VEsprit des lois, et ne m’ayant donné pour cela qu’un quart d’heure, je n’ai pu vous envoyer qu’un exemplaire broché, etc. » (Maup.)
+ce qu’il m’écrivait :
-DE M. DE MONTESQUIEU. 21 acquisition , et
+acquisition, et
-vive sensibilité; pour
+vive sensibilité ; pour
-je tàchois encore de m^acquitter d’une
+je tâchais encore de m’acquitter d’une
-lui devois l’honneur
+lui devais l’honneur
-l’Académie françoise m’avoit fait
+l’Académie françaisc m’avait fait
-lui avoit causée , et
+lui avait causée, et
-qu’elle m’avoit causée
+qu’elle m’avait causée
-me tenoient également
+me tenaient également
-se trouvoit ici I M.
+se trouvait ici ! M.
-Montesquieu m’avoit fait
+Montesquieu m’avait fait
-ne pouvois lui
+ne pouvais lui
-lui étoit due.
+lui était due.
-qu’il avoit pour
+qu’il avait pour
-qui l’ainime. Voici
+qui l’anime. Voici
-il m’exprimoit ses
+il m’exprimait ses
-de Montesquieu , fût-elle
+de Montesquieu, fût-elle
-plus négligée , est
+plus négligée, est
-: Monsieur,
+: « Monsieur,
-confrère, Vous
+confrère, « Vous
-ne saurois vous
+ne saurais vous
-de reconnoissance, et,
+de reconnaissance, et,
-fait Thonneur de
+fait l’honneur de
-je pouvois aspirer
+je pouvais aspirer
-ne vaux; et
+ne vaux ; et
-je n’avols craint
+je n’avais craint
-faisant paroître. Il
+faisant paraitre. Il
-que j^aie riionneur d’écrire,
+que j’aie l’honneur d’écrire,
-mes remercf* ments. Conduisez-moi,
+mes remercîments. Conduisez-moi,
-ma reconnoissance, et
+ma reconnaissance, et
-de Tadmiration, et
+de l’admiration, et
-hommes. Je
+hommes. « Je
-bien fftché de
+bien fâché de
-touché moi-même; c’est
+touché moi-même ; c’est
-être moral; mais
+être moral ; mais
-me trouvois heureux
+me trouvais heureux
-ne voyois que
+ne voyais que
-la mer; je
+la mer ; je
-de conti* nuer à
+de continuer à
-son centre; je ne voudrois pourtant
+son centre ; je ne voudrais pourtant
-Tornéo. ^ Adieu,
+Tornéo. Adieu,
-novembre 17^6. »
+novembre 1746. »
-Montesquieu n’étoit pas
+Montesquieu n’était pas
-lui avoient attirée Ty rendoient encore
+lui avaient attirée l’y rendaient encore
-l’Académie françoise eut
+l’Académie françaisc eut
-de Sens , tous
+de Sens, tous
-suffrages s’alloient réunir
+suffrages s’allaient réunir
-qui avoit donné
+qui avait donné
-s’en étoit trouvé un seul , fruit
+s’en était trouvé un seul, fruit
-de l’auteur; ce n’étoit cependant
+de l’auteur ; ce n’était cependant
-hommes. C’étoit un petit poeme qu’Horace
+hommes. C’était un petit poème qu’Horace
-Pétrone auroient avoué, mais i. Cest à
+Pétrone auraient avoué, mais C’est à
-par TAcadémie des
+par l’Académie des
-mœurs étoient trop
+mœurs étaient trop
-de Montesquieu, alors
+de Montesquieu , alors
-de rAcadémie, reçut
+de l’Académie, reçut
-ne vouloit point
+ne voulait point
-ne pouvoit plus
+ne pouvait plus
-à M"* la
+à Mme la
-de Pompadour , il en ût une
+de Pompadour, il en fit une
-si vive , que
+si vive, que
-roi consoloit le mérite , que
+roi consolait le mérite, que
-lui avoit pas
+lui avait pas
-dont jouissoit M.
+dont jouissait M.
-Montesquieu faisoit qu’ayant
+Montesquieu faisait qu’ayant
-toujours citoyen , et
+toujours citoyen, et
-vaste connoissance des lois , lui faisoient toujours
+vaste connaissance des lois, lui faisaient toujours
-qui regardoit la
+qui regardait la
-sa nation , et donnoicnt un
+sa nation, et donnaient un
-Il franchissoit alors
+Il franchissait alors
-il avoit été membre , et voyoit les
+il avait été membre, et voyait les
-qu’il regardoit comme
+qu’il regardait comme
-nation. ^ Il faisoit beaucoup
+nation. Il faisait beaucoup
-Il croyoit que
+Il croyait que
-du clergé , munies
+du clergé, munies
-souverain, méritoicnt encore
+souverain, méritaient encore
-de respect; que la (Constitution étoit reçue;’ qu’il falloit empêcher
+de respect ; que la Constitution était reçue ; qu’il fallait empêcher
-à i. Le
+à Le
-voter Timpôt qu^on paye,
+voter l’impôt qu’on paye,
-a consenré Jusqu’à la Révolution. 2. La
+a conservé jusqu’à la Révolution. La
-de 8*en montrer Tadmirateur. LeUres persanes,
+de s’en montrer l’admirateur. Lettres persanes,
-à rhumanité, il craignoit des changements doat les
+à l’humanité, il craignait des changements dont les
-il voyoit les
+il voyait les
-il Tappliquoit à
+il l’appliquait à
-le conser\’oit dans
+le conservait dans
-On trouvoit toujours
+On trouvait toujours
-Il sembloit encore
+Il semblait encore
-il charmoit, il instruisoit et n^offensoît jamais.
+il charmait, il instruisait et n’offensait jamais.
-j’ai vu , j’ai partagé Timpatience avec
+j’ai vu, j’ai partagé l’impatience avec
-il étoit toujours
+il était toujours
-le voyoit arriver.
+le voyait arriver.
-libre ressembloit à sa conversation; sa taille étoit bien
+libre ressemblait à sa conversation ; sa taille était bien
-un œil , et
+un œil, et
-été très-foible, on
+été très-faible, on
-s’en apercevoit point; sa physionomie réunissoit la
+s’en apercevait point ; sa physionomie réunissait la
-qui étoit au
+qui était au
-la propreté; il n’étoit vêtu
+la propreté ; il n’était vêtu
-n’y faisoit jamais
+n’y faisait jamais
-son économie; et
+son économie ; et
-la foiblesse de
+la faiblesse de
-se présentoient à
+se présentaient à
-tant dé voies
+tant de voies
-cette année,* et
+cette année, et
-il avoit vécu,
+il avait vécu,
-sans foiblesse, s’acquittant
+sans faiblesse, s’acquittant
-y avoit en
+y avait en
-amitié. M™« la 1. 1755.
+amitié. Mme la 1755.
-DE M. DE MONTESQUIEU. 25 duchesse d’ Aiguillon, qui
+duchesse d’Aiguillon, qui
-y perdroit trop,
+y perdrait trop,
-la nommois pas),
+la nommais pas),
-cette amitié , dans
+cette amitié, dans
-de délices; c’est
+de délices ; c’est
-mort. ^ Ces
+mort. Ces
-Montesquieu s’étoit marié
+Montesquieu s’était marié
-et avoit épousé,
+et avait épousé,
-de Maulevrier; il
+de Maulevrier ; il
-de Secondât, célèbre
+de Secondat, célèbre
-ses connoissances dans
+ses connaissances dans
-parmi i. «
+parmi «
-caractère (c*cst M"* la duchesse d’AiguiUon qui parle) s^est soutenue
+caractère (c’est Mme la duchesse d’Aiguillon qui parle) s’est soutenue
-est Tespérance à la crainte? » disoit-il aux
+est l’espérance à la crainte ? » disait-il aux
-parlé convcnablemeiit à
+parlé convenablement à
-de TÉvangile est
+de l’Évangile est
-Dieu pût faire
+Dieu put faire
-qui étoient auprès
+qui étaient auprès
-corrections quMl avoit faites
+corrections qu’il avait faites
-à M"** Duprc son
+à Mme Dupré son
-société ;** consultez
+société ; ** consultez
-doit paroltre. » Il étoit bien
+doit paraître. » II était bien
-et prenoit part
+et prenait part
-tête étoit libre.
+tête était libre.
-me disoit-il, mais
+me disait-il, mais
-des consolations; »
+des consolations ; »
-il étoit sensible
+il était sensible
-y prenoit, et
+y prenait, et
-J’y passois les
+J’y passais les
-; M’"« Dupré y étoit aussi
+; Mme Dupré y était aussi
-de FitzJames, le
+de Fitz-James, le
-ne désemplissoit pas,
+ne désemplissait pas,
-rue étoit embarrassée.
+rue était embarrassée.
-inutiles qne les
+inutiles que les
-qui attaquoit également
+qui attaquait également
-(Maup.) * Qu’est devênn ce manuscrit? •’ C’est-à-dire aui jésuite*.
+(Maup.) <p> * Qu’est devenu ce manuscrit ? <p> ** C’est-à-dire aux jésuites.
-de Châteaubnin, qui
+de Châteaubrun, qui
-avoient bannie , a
+avoient bannie, a
-dans TAcadémie françoise, et TAcadémie de Cortone Ta remplacé
+dans l’Académie françoise, et l’Académie de Cortone l’a remplacé
-DE L’EDITEUR C’est
+DE L’ÉDITEUR C’est
-pas indiqué; les
+pas indiqué ; les
-au xvir et au xviii* siècle.
+au XVIIe et au XVIIIe siècle.
-la corde; c’était
+la corde ; c’était
-fois. * Du
+fois. Du
-s’était adoucie; les
+s’était adoucie ; les
-année. * Comment
+année. Comment
-été autrement? tout
+été autrement ? tout
-de 1. Ponr publier an livre,
+de Pour publier un livre,
-fallait te cacher comme an malfaiteur.
+fallait se cacher comme un malfaiteur.
-envoyé aon manuscrit
+envoyé son manuscrit
-secrétaire Tabbé Duval, ce qui. nous
+secrétaire l’abbé Duval, ce qui, nous
-fidèle Onasco, coûta
+fidèle Guasco, coûta
-profit {UUrt» fami^ lUret de MotUeiquieu, lettre
+profit (Lettres familières de Montesquieu, lettre
-à BariUot le
+à Barillot le
-de VEtprit det loit, S. Il
+de l’Esprit des lois. Il
-d’Amsterdam, 1731, chez
+d’Amsterdam, 1721, chez
-Bunel, Tune à la
+Bunel, l’une a la
-fait connaître que
+fait connaitre que
-malignité publique; il
+malignité publique ; il
-l’on savoit qui
+l’on savait qui
-on diroit : o Son
+on dirait : « Son
-il t devroit employer
+il devrait employer
-de saisissant; le
+de saisissant ; le
-Amusements sérieux et
+Amusements serieux et
-voyageur abstrait; il
+voyageur abstrait ; il
-pas d’esprit; on
+pas d’esprit ; on
-modèle. Paris est ua monde entier; on
+modèle. « Paris est un monde entier ; on
-y trouveroitde nouveautés
+y trouverait de nouveautés
-ne scroit-ce point
+ne serait-ce point
-lui d*examiner avec
+lui d’examiner avec
-grande ville? Il
+grande ville ? Il
-PRÉFACE DE L’ÉDITEUR. 29 Je
+« Je
-génie d*an voyageur
+génie d’un voyageur
-qui n*auroit jamais rien tu de
+qui n’aurait jamais rien vu de
-de rhabitude nous font paroitre raisonnables
+de l’habitude nous font paraitre raisonnables
-naturelles. Pour
+naturelles. « Pour
-parlerai moi-même; j*entrerai dans
+parlerai moi-même ; j’entrerai dans
-abstraites d*un Siamois; je
+abstraites d’un Siamois ; je
-les nôtres; enfin
+les nôtres ; enfin
-donnerai Tessor à
+donnerai l’essor à
-sienne. Je
+sienne. « Je
-nuit môme. D’abord
+nuit même. D’abord
-et l’épouvante; la tète lui
+et l’épouvante ; la tête lui
-etc. ^ »
+etc. »
-à Fauteur des
+à l’auteur des
-quelques amateurs; je
+quelques amateurs ; je
-de V Espion dans
+de l’Espion dans
-du XVII* siècle.
+du XVIIe siècle.
-vingt imitateurs; il
+vingt imitateurs ; il
-chinoises, etc.; qu’en reste-t-il aujourd’hui? Si
+chinoises, etc. ; qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Si
-seul. * Ce I. Amuiements iérieux et eomiquei, par M. Rinère-Dafresny, Amuêement troUième. La pramitee édition
+seul. Ce Amusements sérieux et comiques, par M. Rivière-Dufresny, Amusement troisième. La première édition
-d’Amsterdam, 1705; le
+d’Amsterdam, 1705 ; le
-à PariSy avec priTÎlége du roi. ft. Je
+à Paris, avec privilége du roi. Je
-la coUaboration de
+la collaboration de
-Bel, conseiUer au
+Bel, conseiller au
-M. Barbot, président
+M. Barbet, président
-cour
+cour des aides de Guyenne, qui aurait écrit les réflexions morales. A tous les hommes de talent on donne de ces collaborateurs, dont il est d’autant plus difficile d’apprécier le rôle ou de critiquer le mérite, que par eux-mêmes ils n’ont rien fait.
-cela c*est le
+cela c’est le
-livre, c*est lui.
+livre, c’est lui.
-moule, disoit-il lui-même; on
+moule, disait-il lui-même ; on
-portraits. > Si
+portraits. » Si
-de V Esprit des
+de l’Esprit des
-dans VEspril des
+dans l’Esprit des
-française, ^ les
+française, les
-des femmes,.* les
+des femmes, les
-été sérieux; dans
+été sérieux ; dans
-que galant; mais
+que galant ; mais
-dans VEsprit des
+dans l’Esprit des
-imitateurs. Les
+imitateurs. « Les
-Ils alloient tirer
+Ils allaient tirer
-qu’ils rencontroient : Monsieur, disoient-ils, faites-moi
+qu’ils rencontraient : Monsieur, disaient-ils, faites-moi
-lettres persanes, »
+lettres persanes. »
-Saint-Foix, * que
+Saint-Foix, que
-aucun scru des aides de OuyenDe, qui aurait écrit les réflexions morales. A tous les hommes de talent on donne de ces coUaborateors, dont il est d’autant plus difficile d’apprécier le rôle on de critiquer le mérite, que par eux-mêmes ils n’ont rien fait. 1. En>rit des lois, XIX» 5
+aucun scrupule Esprit des lois, XIX, 5
-suiv. S. Ibid., XVI,
+suiv. lbid., XVI,
-au
+au lieu et place de Montesquieu, écrit à la date du 19 février 1731 : « On vient de me parler des Lettres d’une fille turque à Paris à sa sœur au sérail. Ce sera quelque second tome des Lettres persanes, qui fera peut-être chasser de l’Académie celui qui les a désavouées. » Journal et Mémoires de Mathieu Marais, t. IV, p. 203.
-PRÉFACE DE L’ÉDITEUR. 31 pule de
+de
-à Tédition des LeUre$ persanes de i7M. En
+à l’édition des Lettres persanes de 1744. En
-dès Tannée 1735,
+dès l’année 1735,
-: ff Non
+: « Non
-imitari aveo, » Cest une
+imitari aveo. » C’est une
-la manière; on
+la manière ; on
-de maître, il
+de maitre, il
-de môme de
+de même de
-que réelle; la
+que réelle ; la
-s’en apercevoir; c’est lui-môme qui
+s’en apercevoir ; c’est lui-même qui
-l’apprend. En
+l’apprend. « En
-homme d*esprit, et
+homme d’esprit, et
-j’en avois, et
+j’en avais, et
-se refroidit; j’essuyai
+se refroidit ; j’essuyai
-réputation d’uu homme célèbre, c’est
+réputation d’un homme célêlèbre, c’est
-qu’ils rhumilient, et
+qu’ils l’humilient, et
-faut soi-môme mériter
+faut soi-même mériter
-» » Aussitôt
+» Aussitôt
-la lien et pUce de llonte«ittieu. écrit à la date du 19 février ïlHï : t On vient de me parler des Uttree d’une fUU îvrqw à Paris à sa saur au sérail. Ce sera quelque second tome des Lettres persanes, qui fefa peui-ôtre chasser de l’Académie celui qui les a désavouées. » Jmirnai H ê/émoira de Mathieu Marais, t. IV, p. 208. 1. Pensées diverse».
+la Pensées diverses.
-Paris. * C’est
+Paris. C’est
-qu’ingénieux. * Reçu chez M"" de
+qu’ingénieux. Reçu chez Mme de
-sang, M^^^* de
+sang, Mlle de
-élu. ^ Fontenelle,
+élu. Fontenelle,
-l’année suivante; il
+l’année suivante ; il
-devint rhôte assidu
+devint l’hôte assidu
-une Égérie; c’est
+une Égérie ; c’est
-ces , belles
+ces belles
-concurrent, ^ quand
+concurrent, quand
-qu’au xviii» siècle,
+qu’au XVIIIe siècle,
-qu’en 4727 le
+qu’en 1727 le
-pouvait 1. Lettrei de L-B. Lauraguaii d M^ ***,
+pouvait Lettres de L.-B. Lauraguais à Mme ***,
-disait Moateaqaieu, parce
+disait Montesquieu, parce
-est petit; j’aime
+est petit ; j’aime
-grand. > Pentées divenes, 2. Lauraguais,
+grand. » Pensées diverses. Lauraguais,
-p. 242. La
+p. 212. La
-des Étrennei de la Saint’Jean est de 1742. i Troyes,
+des Étrennes de la Saint-Jean est de 1742, à Troyes,
-niaiseries. 3. remprunte ces
+niaiseries. J’emprunte ces
-deuxième éditUm des
+deuxième édition des
-et Mémoires» t.
+et Mémoires, t.
-PRÉFACE DB L’ÉDITEUR. 33 accuser d*une sévérité outrée; mais
+accuser d’une sévérité outrée ; mais
-cette difficulté; il
+cette difficulté ; il
-quel moyen? A
+quel moyen ? A
-versions différentes; c’est
+versions différentes ; c’est
-de Montesquieu? C’est
+de Montesquieu ? C’est
-bel esprit? Voici
+bel esprit ? Voici
-: c Parts, 3 oovembre 1737. Vous
+: « Paris, 3 novembre 1727. « Vous
-à TAcadémie: M.
+à l’Académie : M.
-de loi faire
+de lui faire
-beaucoup d*esprit et
+beaucoup d’esprit et
-vous Jugerez mieux
+vous jugerez mieux
-être Juge. ^ » Pari», 26
+être juge. » « Paris, 26
-1727. M.
+1727. « M.
-Montesquieu n*est pas
+Montesquieu n’est pas
-les lettres persanes,
+les Lettres persanes,
-de TAcadémie et ses membres.’ Si
+de l’Académie et ses membres. Si
-faites, qu*avez-vous fait?’ »
+faites, qu’avez-vous fait ? »
-de Lesciure, Pari», 1864, t. m, p. 4»1. S. Lettre 73. 8. Journal
+de Lescure, Paris, 1864, t. III, p. 494 Lettre 73. Journal
-34 PRÉFACE DB L’ÉDITEUR. 8^ est vengée
+s’est vengée
-contre TAcadémie comme
+contre l’Académie comme
-le mariage; ce
+le mariage ; ce
-: fl Paris,
+: « Paris,
-décembre 1*727. M.
+décembre 1727. « M.
-remercié TAcadémie le Jour même qu^elle étoit assemblée pour rélire. ^ C*est M.
+remercié l’Académie le jour même qu’elle était assemblée pour l’élire. C’est M.
-maréchal d’Ëstrées qui a apporté le remerclment. Je
+maréchal d’Estrées qui a apporte le remercîment. Je
-certainement qu*il a
+certainement qu’il a
-y avoit dans
+y avait dans
-cela marquoit un
+cela marquait un
-révolte, quMl y avoit anssi de
+révolte, qu’il y avait aussi de
-qu’il falloit désavouer
+qu’il fallait désavouer
-père n*a pu
+père n’a pu
-quoique anonymes; ils lui tendoient leurs
+quoique anonymes ; ils lui tendaient leurs
-sacrifié TAcadémie. Il
+sacrifié l’Académie. Il
-de Tabbé de
+de l’abbé de
-des sceaux.* » Paris, 82 décembre 1727. On
+des sceaux. » « Paris, 22 décembre 1727. « On
-à l’Académie; Je ne
+à l’Académie ; je ne
-quelle porte.’ » Paris,
+quelle porte. » « Paris,
-1727. Je
+1727. « Je
-pas encoro la
+pas encore la
-rentré. Auroit-il désavoué
+rentré. Aurait-il désavoué
-ne seroit-elle qu’une
+ne serait-elle qu’une
-ne feroit-on point
+ne ferait-on point
-êtes 7^ » fl Paris,
+êtes ? » « Paris,
-1727. Je
+1727. « Je
-aura peutrêtre abjuré
+aura peut-être abjuré
-cela n*aura-t-il point données? • »
+cela n’aura-t-il point données ? »
-et Tami de
+et l’ami de
-Lettres persanes^ son
+Lettres persanes, son
-les événe 1. Journal et Mémoirtt, etc., t III,
+les événements Journal et Mémoires, etc., t. III,
-505. 8. M. de CbauTelia. 8. Journal
+505. M. de Chauvelin. Journal
-etc., t III,
+etc., t. III,
-508. 5. Itnd., p
+508. Ibid., p
-PRÉFACE DE L’ÉDITEUR. 35 ments de
+de
-Écoutons réloge lu dans rassemblée publique de TAcadémie royale
+Écoutons l’éloge lu dans l’assemblée publique de l’Académie royale
-1755. En
+1755. « En
-de TAcadémie françoise, vacante
+de l’Académie française, vacante
-Lettres persanêSy qui avoient paru
+Lettres persanes, qui avaient paru
-succès, étoient un
+succès, étaient un
-ouvrage, rendoient le
+ouvrage, rendaient le
-ce qu*on lui avoit rapporté ,i écrivit à TAcadémie que
+ce qu’on lui avait rapporté, écrivit à l’Académie que
-roi no vonloit pas qu*on y admit Tauteur des
+roi ne voulait pas qu’on y admit l’auteur des
-persanes. ’ Il falhit renoncer
+persanes. II fallait renoncer
-ne 8*en étoit jamais dit Tauteur, mais
+ne s’en était jamais dit l’auteur, mais
-le désavoueroit Jamais. Et
+le désavouerait jamais. Et
-d’Estrées s*étant chargé de laire valoir
+d’Estrées s’étant chargé de faire valoir
-Dans réloge que
+Dans l’éloge que
-de V Encyclopédie on
+de l’Encyclopédie on
-et Téloge, suivant
+et l’éloge, suivant
-: Feu
+: « Feu
-l’Académie françoise, se
+l’Académie française, se
-et jtisti/ia Socrate.
+et justifia Socrate.
-de 1. C’était lo père Toamemine, directeur da Journal de Trévo}tx, qni avait
+de C’était le père Tournemine, directeur du Journal de Trévoux, qui avait
-sous le* yeux da cardinal on extrait
+sous les yeux du cardinal un extrait
-des pansages les
+des passages les
-des UUrts persane$. %. Suivant
+des Lettres persannes. Suivant
-que T Académie veut
+que l’Académie veut
-tous Ut honnête» gens.
+tous les honnêtes gens.
-à huiUine.
+à huitaine.
-36 PRÉFACE DE LÉDITEUR. TAcadémie comme
+l’Académie comme
-délation. tt Le
+délation. « Le
-il auroit dô commencer; il
+il aurait dû commencer ; il
-aima Vauteur (?) et apprit d mieux
+aima l’auteur ( ?) et apprit à mieux
-sa confiance; l’Académie françoise ne
+sa confiance ; l’Académie française ne
-privée d*un de
+privée d’un de
-calomnie étoient prêtes
+calomnie étaient prêtes
-Montesquieu avoit déclaré
+Montesquieu avait déclaré
-qu’on alloit lui
+qu’on allait lui
-il iroit chercher
+il irait chercher
-récompenses quHl auroit dû
+récompenses qu’il aurait dû
-persécution religieuse; un
+persécution religieuse ; un
-moins à. ne
+moins à ne
-si entière^ qu’il
+si entière, qu’il
-qui pourroit porter
+qui pourrait porter
-que . dit Marais. * U est
+que dit Marais. Il est
-PRÉFACE DE L’ÉDITEUR. 37 r Académie, Tabbé Mallet,
+l’Académie, l’abbé Mallet,
-Lettres persanes j mais
+Lettres persanes, mais
-à TAcadémie? Deux
+à l’Académie ? Deux
-en portefeuille, o Hâtez-vous, lui dit-il; vous
+en portefeuille. « Hâtez-vous, lui dit-il ; vous
-traits hardis; et
+traits hardis ; et
-l’élection académique, v Ce cardinal, dit -il, également
+l’élection académique. « Ce cardinal, dit-il, également
-plus Importantes, en
+plus importantes, en
-ni l’autre; toutes
+ni l’autre ; toutes
-me dégoûtent*. »
+me dégoûtent. »
-de Gh&teaubrun, prenant
+de Châteaubrun, prenant
-de VEsprit des
+de l’Esprit des
-Lettres persanes. Il prononçait
+Lettres persanes, il prononçait
-de correspondances?... Mais
+de correspondances ?... Mais
-les I . Journal
+les Journal
-p. 520-
+p. 580
-point, messieurs; la
+point, messieurs ; la
-s’appauvrir. • Jusqu’ici
+s’appauvrir. Jusqu’ici
-que d’honorable; elle
+que d’honorable ; elle
-me parait pas
+me paraît pas
-la plaisanterie; on
+la plaisanterie ; on
-à l’Académie? Jamais
+à l’Académie ? Jamais
-de lui-môme. Mais
+de lui-même. Mais
-ressemblé à l’auteur de Candide, Le
+ressemblé â l’auteur de Candide. Le
-: t Parmi
+: « Parmi
-en avoit inséré
+en avait inséré
-lui appartenoit en
+lui appartenait en
-Lettres persanes^ M.
+Lettres persanes, M.
-par Vauteur. Cette
+par l’auteur. Cette
-retranchées, * deux
+retranchées, deux
-seule, * trois sont ajou 1. Lettres
+seule, trois sont Lettres
-édition), 83 (85), 80 (32),
+édition), 23 (25), 30 (32),
-40 (48), 41 (43) 45
+40 (42), 41 (43), 45
-des Ltttm ptraanei, de
+des Lettres persanes, de
-p. 811. 8. Lettres
+p. 211. Lettres
-PRÉFACE DE L’ÉDITEUR. 39 tées,^ sept sont modifiées.* Et
+ajoutées, sept sont modifiées. Et
-de Tauteur, puisqu’on
+de l’auteur, puisqu’on
-dans rédition définitive
+dans l’édition définitive
-en i72i, et de i722 à i728. «
+en 1721, et de 1722 à 1728. «
-édition récente? Voltaire
+édition récente ? Voltaire
-une chimère; nous
+une chimère ; nous
-Vian. £t d’abord
+Vian. Et d’abord
-ajourne l’élection; Montesquieu, dit-on, sp. retire; mais
+ajourne l’élection ; Montesquieu, dit-on, se retire ; mais
-nommé en6n le
+nommé enfin le
-Est-ce possible? On
+Est-ce possible ? On
-à bras? Assurément
+à bras ? Assurément
-longue main; mais,
+longue main ; mais,
-du cardinal? Une
+du cardinal ? Une
-me parait pas
+me paraît pas
-les pas 1. Lettres 111, 124, 145,
+les passages Lettres 111, 121, 145,
-l’édition Uarteaa, le« noméros 58 50,60. s. Lettres 1, 0. 10,
+l’édition Marteau, les numéros 58 59, 60. Lettres 7, 9, 10,
-40 PRÉFACE DE L ÉDITEUR. sages qui
+qui
-blesser Tévêque et
+blesser l’évêque et
-le texte. des
+le texte des
-est-il ainsi? Non,
+est-il ainsi ? Non,
-sont insignifiantes; les
+sont insignifiantes ; les
-à Fauteur l’obligation
+à l’auteur l’obligation
-du temps; accepter
+du temps ; accepter
-M. Vian? Un
+M. Vian ? Un
-à dire; mais, peut-être
+à dire ; mais peut-être
-aujourd’hui ont -ils favorisé
+aujourd’hui ont-ils favorisé
-des Persans; en
+des Persans ; en
-change. VAndromaque et Viphigénie de
+change. L’Andromaque et l’Iphigénie de
-l’antiquité homérique; Viphigénie en
+l’antiquité homérique ; l’Iphigenie en
-la Grèce; le
+la Grèce ; le
-Usbek n’aurait- il point
+Usbek n’aurait-il point
-du xviii* siècle naissant? Ils
+du XVIIIe siècle naissant ? Ils
-et Térudition, le
+et l’érudition, le
-de finesse; mais
+de finesse ; mais
-des Caractères, La
+des Caractères. La
-en chrétien; Ml y
+en chrétien ; il y
-en tète de
+en tête de
-plus tendre; il
+plus tendre ; il
-pas davantage; Montesquieu
+pas davantage ; Montesquieu
-Lettres per» saneSj c’est
+Lettres persanes, c’est
-de V Esprit des
+de l’Esprit des
-comme politique; c’est
+comme politique ; c’est
-à 1. Lettro du
+à Lettre du
-les Queiques réflexions
+les Quelques réflexions
-Lettres persanes.
+Lettres persannes.
-germe V Esprit des lois, * il
+germe l’Esprit des lois, il
-leur inclination? * »
+leur inclination ? »
-laquelle Gœthe en
+laquelle Goethe en
-gouverner eux-mêmes; b c’est,
+gouverner eux-mêmes ; » c’est,
-et demi? «
+et demi ? «
-justice saus choquer
+justice sans choquer
-! On diroit qu’il
+! « On dirait qu’il
-public n’étoit pas
+public n’était pas
-droit civil; non
+droit civil ; non
-monde. ’ »
+monde. »
-du xvii« siècle,
+du XVIIe siècle,
-au xviir. La
+au XVIIIe. La
-l’éblouit point; il
+l’éblouit point ; il
-la justice; lettres
+la justice ; lettres
-etc. S. Lettre 80. 3. Lettre
+etc. Lettre 80. Lettre
-PKËFAGE DE L’EDITEUR. 43 bien que Thistoire de
+bien que l’histoire de
-ébranler Topinion reçue; cependant,
+ébranler l’opinion reçue ; cependant,
-attaqué Tintolérance avec
+attaqué l’intolérance avec
-de chaleur? Qui,
+de chaleur ? Qui,
-époque, s^est fait
+époque, s’est fait
-en France? Qui
+en France ? Qui
-l’éducation Vêtait aussi? ^ Je m’arrête; il
+l’éducation l’était aussi ? Je m’arrête ; il
-mort deliOuisXlV, la
+mort de Louis XIV, la
-monarchie tempérée; Montesquieu,
+monarchie tempérée ; Montesquieu,
-patrie. * A
+patrie. A
-république française! ses
+république française ! ses
-côté populaire; mais,
+côté populaire ; mais,
-tant d’autres? C’est
+tant d’autres ? C’est
-du Télémaque; mais,
+du Télémaque ; mais,
-roi. Ai -je besoin
+roi. Ai-je besoin
-de Fénelon? Les
+de Fénelon ? Les
-pré 1. Lettre 38. S. Uttre 89.
+pré Lettre 38. Lettre 89.
-quelques juvenilia; cependant
+quelques juvenilia ; cependant
-sa jeune^e? 11 est
+sa jeunesse ? Il est
-la Société;* consultez
+la Société ; consultez
-doit paroître. »
+doit paraître. »
-de Montesquieu? Je
+de Montesquieu ? Je
-de l’auteur; mais
+de l’auteur ; mais
-monde entier; les
+monde entier ; les
-l’auteur lui-môme. C’est
+l’auteur lui-même. C’est
-de fermeté; mais
+de fermeté ; mais
-en bronze; on
+en bronze ; on
-pas vieilli! Ce
+pas vieilli ! Ce
-le ranimer; à
+le ranimer ; à
-auteur. II n’est
+auteur. Il n’est
-au xviii* siècle
+au XVIIIe siècle
-premiers éditeurs; cette
+premiers éditeurs ; cette
-explications curieuses; c’est
+explications curieuses ; c’est
-d’Usbek. * Nous
+d’Usbek. Nous
-QUELQUES REFLEXIONS SUR
+QUELQUES RÉFLEXIONS SUR
-LETTRES PERSANES* Rien
+LETTRES PERSANES Rien
-désordre croît dans
+désordre croit dans
-de Fabsence d’Usbek
+de l’absence d’Usbek
-en pourroit faire.
+en pourrait faire.
-n’y sauroit mêler
+n’y saurait mêler
-ont para en tète de
+ont paru en tête de
-Montesquieu. Les
+Montesquieu. <p> Les
-48 QUELQUES RÉFLEXIONS choqueroit le
+choquerait le
-de Touvrage. Mais,
+de l’ouvrage. Mais,
-dépendants d*aucun dessein
+dépendants d’aucun dessein
-formé, Tauteur s’est
+formé, l’auteur s’est
-Ils alloient tirer
+Ils allaient tirer
-qu’ils rencontroient : Monsieur, disoient-ils, faites-moi
+qu’ils rencontraient : Monsieur, disaient-ils, faites-moi
-d’aucune suite *, encore
+d’aucune suite, encore
-d’aucun mélange* avec
+d’aucun mélange avec
-se trouvoient tout
+se trouvaient tout
-y avoit un
+y avait un
-il falloit nécessairement
+il fallait nécessairement
-de préjugés.’ On n’étoit attentif
+de préjugés. On n’était attentif
-pensées dévoient être
+pensées devaient être
-il sembloit qu’on n’avoit rien
+il semblait qu’on n’avait rien
-On n’avoit à
+On n’avait à
-qu’ils avoient eu
+qu’ils avaient eu
-leur avoit paru
+leur avait paru
-se soupçonnoit pas
+se soupçonnait pas
-sentiment 1. Bst-ce une
+sentiment Est-ce une
-Lettres persaïus traduites
+Lettres persanes traduites
-l’année 1735? 2. Allusion
+l’année 1735 ? Allusion
-de 1744; Cologne,
+de 1744 ; Cologne,
-il 7 a quelques jui;e)iï/<a que je voudrois auparavant retoucher; quoiqu’il
+il y a quelques juvenilia que je voudrais auparavant retoucher ; quoiqu’il
-de GtuueOt du
+de Guasco, du
-1752. On
+1752. <p> On
-avec IMdée d’examen,
+avec l’idée d’examen,
-ne dévoient pas parottre plus
+ne devaient pas paraitre plus
-lorsqu’ils parloient de
+lorsqu’ils parlaient de
-parfaite ignorance des
+parfaite Ignorance des
-qui dévoient en
+qui devaient en
-comme dés paradoxes
+comme des paradoxes
-qui n’étoient pas
+qui n’étaient pas
-l’agrément consistoit dans
+l’agrément consistait dans
-contraste étemel entre
+contraste éternel entre
-elles étoient aperçues.
+elles étaient aperçues.
-tromper euxmêmes.
+tromper eux-mêmes.
-ici d’épltre dédicatoire,
+ici d’épître dédicatoire,
-suite. ^ Mais
+suite. Mais
-pas connu; car,
+pas connu ; car,
-Je connois une
+Je connais une
-regarde. ’ C’est
+regarde. C’est
-Si Ton savoit qui
+Si l’on savait qui
-on diroit :
+on dirait :
-son caractère; il devroit employer
+son caractère ; il devrait employer
-astérisque. 2. C’était, dit-on, M** de
+astérisque. C’était, dit-on, Mme de
-sans essayer* beaucoup
+sans essayer beaucoup
-ici étoient logés
+ici étaient logés
-ensemble. Gomme ils me regardoient comme
+ensemble. Comme ils me regardaient comme
-me cachoient rien.
+me cachaient rien.
-ne pouvoient plus
+ne pouvaient plus
-secrets. Us me communiquoient la
+secrets. Ils me communiquaient la
-leurs lettres; je
+leurs lettres ; je
-surpris môme quelques-unes
+surpris même quelques-unes
-se seroient bien
+se seraient bien
-elles étoient mortifiantes
+elles étaient mortifiantes
-qui l’auroient ennuyé * jusque
+qui l’auraient ennuyé jusque
-que nous; et
+que nous ; et
-lettres avoient fait de même , ils auroient vu leurs ouvrages’ s’évanouir.
+lettres avaient fait de même, ils auraient vu leurs ouvrages s’évanouir.
-souvent étonné; c’est
+souvent étonné ; c’est
-à l* épreuve, et
+à l’épreuve, et
-extension fatiguer, Cest une
+extension fatiguer. C’est une
-: Tu
+: « Tu
-» 2. A. 1721. Envoyé; c’est
+» A. 1721. Envoyé ; c’est
-leçon. Nous
+leçon. <p> Nous
-C. 3. A. Leur ouvrage; ce
+C. A. Leur ouvrage ; ce
-en connottre les plus fmes circonstances,
+en connaître les plus fines circonstances,
-échappé & bien
+échappé à bien
-des François dans
+des Français dans
-un François de
+un Français de
-ce seroit une
+ce serait une
-A ISPAHAV Nous
+A ISPAHAN. Nous
-à Gom. Lorsque
+à Com. Lorsque
-douze prophètes,^ nous
+douze prophètes, nous
-en chemin; et
+en chemin ; et
-nos connoissances, et
+nos connaissances, et
-notre voyage; ne me 1. Fatime,
+notre voyage ; ne me Fatime,
-femme d*Ali, est
+femme d’Ali, est
-ou Koam, ville
+ou Koum, ville
-lieues d’ispahan. Sa
+lieues d’Ispahan. Sa
-marches d*argent massif,
+marches d’argent massif,
-Vierge ti-ès-pure, très-juste
+Vierge très-pure, très-juste
-Dieu, d*illustre naissance.
+Dieu, d’illustre naissance.
-et n*est qu’un
+et n’est qu’un
-de saphar,* nu. 1. La luoe de
+de saphar, 1711. La lune de
-le deuiième mois de Tannée musulmane.
+le deuxième mois de l’année musulmane.
-en Tannée de Thégire 1123,
+en l’année de l’hégire 1123,
-56 LETTRES PERSÂNKS. LETTRE IL USBEK
+LETTRE II. USBEK
-SÉRAIL 1 D*ISPAHAN. Tu
+SÉRAIL D’ISPAHAN. Tu
-de Perse; je
+de Perse ; je
-que j’avois dans
+que j’avais dans
-gardes vouloient sortir
+gardes voulaient sortir
-en ferois perdre
+en ferais perdre
-leur obéis;’ tu
+leur obéis ; tu
-sérail : tu
+sérail ; tu
-vils : tu
+vils ; tu
-ordres lé^times : tu
+ordres légitimes ; tu
-mieux sirali, signifie
+mieux séraï, signifie
-le lien où
+le lieu où
-enfermées. Les
+enfermées. <p> Les
-écrivent toi^ours serrât/. 2. A.
+écrivent toujours serrail. A.
-LETTRE II. 57 comme Tesclave de
+comme l’esclave de
-en maitre comme
+en maître comme
-tu étois le
+tu étais le
-mon amour; mais
+mon amour ; mais
-innocents : trompe
+innocents ; trompe
-inquiétudes : amuse-les
+inquiétudes ; amuse-les
-délicieuses : persuade*leur de
+délicieuses ; persuade-leur de
-mener : mais
+mener ; mais
-elles. ^ Exhorte-les
+elles. Exhorte-les
-Je voudrois les
+Je voudrais les
-Adieu. D« Taoris, le
+Adieu. De Tauris, le
-1711. i. /fif., lettre XLVn.
+1711. Inf., lettre XLVII.
-A TADRIS. Nous
+A TAURIS. Nous
-nous mimes, selon
+nous mîmes, selon
-Comment aurois-je pu
+Comment aurais-je pu
-passés, imtoient tous
+passés, irritaient tous
-nouvelle violence? J’errois d’appartements
+nouvelle violence ? J’errais d’appartements
-te chercjiant toujours,
+te cherchant toujours,
-me voyois en
+me voyais en
-mes bras; tantôt
+mes bras ; tantôt
-se prétendoit supérieure
+se prétendait supérieure
-notre art; tu
+notre art ; tu
-nous avoit emportées-
+nous avait emportées
-plus naturelles; tu
+plus naturelles ; tu
-qui t*étoient devenus
+qui t’étaient devenus
-fallut paroitre à
+fallut paraître à
-pudeur ; je
+pudeur : je
-de chai-mes furent
+de charmes furent
-tes yeux! Nous
+tes yeux ! Nous
-en enchantements; ton
+en enchantements ; ton
-se fixer; chaque
+se fixer ; chaque
-te demandoit un tribut; nous
+te demandait un tribut ; nous
-tes baisers; tu
+tes baisers ; tu
-plus secrets; tu
+plus secrets ; tu
-en im instant,
+en un instant,
-situations différentes; toujours
+situations différentes ; toujours
-ton cœur; tu
+ton cœur ; tu
-me quittas; tu
+me quittas ; tu
-le monde; tout
+le monde ; tout
-nous entouroit ne
+nous entourait ne
-de toi! Si elles avoient vu* mes
+de toi ! Si elles avaient vu mes
-elles auroient senti
+elles auraient senti
-au leur; elles auroient vu
+au leur ; elles auraient vu
-elles pouvoient disputer
+elles pouvaient disputer
-de charmes*, elles ne pouvoient pas
+de charmes elles ne pouvaient pas
-où suis-je? Où
+où suis-je ? Où
-vain récit? C’est
+vain récit ? C’est
-barbares. Quoi! tu
+barbares. Quoi ! tu
-d’être aimé? Hélas I tu
+d’être aimé ? Hélas ! tu
-tu perds! Je
+tu perds ! Je
-sans cesse! Ah! mon
+sans cesse ! Ah ! mon
-tu savois être heureux! Du
+tu savais être heureux ! Du
-de maharram,’ nil. 1. Le
+de maharram , 1711. Le
-de Tannée musulmane.
+de l’année musulmane.
-A BRZBROR. 1 Enfin
+A ERZERON. Enfin
-désespérer. II veut,
+désespérer. Il veut,
-tant d’affection , et
+tant d’affection, et
-ma confiance; et,
+ma confiance ; et,
-porte, oi je
+porte, où je
-ne sauroient me
+ne sauraient me
-cher Dsbek, que
+cher Usbek, que
-larmes. Da lénUl de
+larmes. Du sérail de
-la lane de mahairam, 1711. 1. Eneroum, ville
+la lune de maharram, 1711. Erzeroum, ville
-la Tarquie d’Asie (Arméaie).
+la Turquie d’Asie (Arménie)
-A DSBEK. A
+A USBEK. A
-conversations d*Ispahan; on
+conversations d’Ispahan ; on
-ne saurois te
+ne saurais te
-; et , quelques
+; et, quelques
-Adieu. Aime -moi toujours.
+Adieu. Aime-moi toujours.
-28 delà lune
+28 de la lune
-rebiab l,> 1711. 1. Il
+rebiab 1, 1711. Il
-dans Tannée musulmane.
+dans l’année musulmane.
-Osmanlins. * A
+Osmanlins. A
-que j’entrois dans
+que j’entrais dans
-me sembloit que je devenois profane
+me semblait que je devenais profane
-fait connoltre que,
+fait connaître que,
-repos, j’avois trop
+repos, j’avais trop
-ou Osmallns, comme
+ou Osmalins, comme
-j’ai vécu , j’ai
+j’ai vécu, j’ai
-par lui-même; mais,
+par lui-même ; mais,
-dévore. ^ Je
+dévore. Je
-à ellesmêmes, je
+à elles-mêmes, je
-âmes lâches’ qui
+âmes lâches qui
-répondent. J’aurois peine
+répondent. J’aurais peine
-esclaves étoient fidèles
+esclaves étaient fidèles
-sont pas? Quelles
+sont pas ? Quelles
-parcourir I C’est
+parcourir ! C’est
-qu’y pourroient-ils faire? N’aimerois-je pas
+qu’y pourraient-ils faire ? N’aimerais-je pas
-correction éclatante? Je
+correction éclatante ? Je
-suis. O’BneroD, le
+suis. D’Erzeron, le
-13. % A.
+13. A.
-VII. 66 LETTRE VII. FATMÉ A USBEK. A BRZRROll. 11 y
+VII. FATMÉ A USBEK A ERZERON. Il y
-dans rabattement où
+dans l’abattement où
-le sérail , comme
+le sérail, comme
-y étois; je
+y étais ; je
-Que veux- tu que
+Que veux-tu que
-qui t*aime ; qui étoit accoutumée à le tenir
+qui t’aime ; qui était accoutumée à te tenir
-ses bras; qui n’étoit occupée
+ses bras ; qui n’était occupée
-yeux n’avoient point
+yeux n’avaient point
-: * car
+: car
-mets pas* au
+mets pas au
-de m’ estimer heureuse.
+de m’estimer heureuse.
-quand 1. Les femmw persanes
+quand Les femmes persanes
-66 LETTRES PERSANES. il me seroit permis
+il me serait permis
-je pourrois me
+je pourrais me
-me seroit permis
+me serait permis
-ne choisirois que
+ne choisirais que
-mérite d*être aimé.
+mérite d’être aimé.
-tu venois dans mes bras; un
+tu venais dans mes bras ; un
-le croirois pas, Usbek; il
+le croirais pas, Usbek ; il
-cet état; le
+cet état ; le
-bien I et comment sens -je si
+bien ! et comment sens-je si
-puis t’exprimer! Dans
+puis t’exprimer ! Dans
-je donnerois* l’empire
+je donnerais l’empire
-pour 1. 2" éd.
+pour 2e éd.
-Je quitterois pour tôt l’empire
+Je quitterais pour toi l’empire
-que J’emprunte aux
+que j’emprunte aux
-de H. André
+de M. André
-les satisfaire; que,
+les satisfaire ; que,
-d’un autre! ornement inutile d’uti sérail,
+d’un autre ! ornement inutile d’un sérail,
-des passions * que
+des passion que
-faire aimer; il
+faire aimer ; il
-nos sens* ce
+nos sens ce
-n’osez attendre’ de
+n’osez attendre de
-pour t’ adorer :
+pour t’adorer :
-oublier, animeroit mon
+oublier, animerait mon
-s’il pouvoit devenir
+s’il pouvait devenir
-désirs. 2. A. D*obtenir de
+désirs. A. D’obtenir de
-A ISPAHAR. Ta
+A ISPAHAN. Ta
-Je m’étois bien
+Je m’étais bien
-départ feroit du bniit ;
+départ ferait du bruit ;
-je suive? la
+je suive ? la
-la mienne? Je
+la mienne ? Je
-sincérité m’avoit fait des ennemis; que je m’étois attiré
+sincérité m’avait fait des ennemis ; que je m’étais attiré
-me soulenois plus
+me soutenais plus
-une foible vertu,
+une faible vertu,
-les sciences; et,
+les sciences ; et,
-d’aucunes affaires; et
+d’aucunes affaires ; et
-LETTRE VIII. 69 même avoit ses
+même avait ses
-je restois toujours
+je restais toujours
-je m*étois presque
+je m’étais presque
-ma patrie; et
+ma patrie ; et
-que j’avois de
+que j’avais de
-qu’il pourroit tirer
+qu’il pourrait tirer
-je partis; et
+je partis ; et
-toujours cher; je
+toujours cher ; je
-tienne. D’Brzeroii, le 90 de la lone de gemmadi 8,* 1711. 1. 11 y a deax gemmadi,
+tienne. D’Erzeron, le 20 de la lune de gemmadi 2, 1711. Il y a deux gemmadi,
-de Tannée musulmane.
+de l’année musulmane.
-A ERZBRON. Tu
+A ERZERON. Tu
-ancien mattre dans ses voyages; tu
+ancien maître dans ses voyages ; tu
-ne sauroient faire
+ne sauraient faire
-affreuse prison , suis
+affreuse prison, suis
-cinquante années; et,
+cinquante années ; et,
-de moi-même , las
+de moi-même, las
-que j’étois I mon
+que j’étais ! mon
-me faisoit voir
+me faisait voir
-: j’espérois que je serois délivré
+: j’espérais que je serais délivré
-satisfaire. Hélas! on étei-
+satisfaire. Hélas ! on éteignit
-LETTRE IX. 71 gnit en moi l’eflet des
+en moi l’effet des
-être soulagé , je
+être soulagé, je
-les irritoient sans
+les irritaient sans
-tout m’inspiroit le
+tout m’inspirait le
-que j’avois perdu
+que j’avais perdu
-me sentois animé
+me sentais animé
-naturelles sembloient ne
+naturelles semblaient ne
-me désoler; pour
+me désoler ; pour
-malheurs, j’avois toujours
+malheurs, j’avais toujours
-l’âme. Yoilà comme
+l’âme. Voilà comme
-Je n’avois de
+Je n’avais de
-les falloit dévorer
+les fallait dévorer
-que j’étois tenté
+que j’étais tenté
-les envisageois qu’avec
+les envisageais qu’avec
-: j’étois perdu
+: j’étais perdu
-elles m’avoient pénétré; quel
+elles m’avaient pénétré ; quel
-n’en auroient-elles pas pris? Je
+n’en auraient-elles pas pris ? Je
-je mettois une
+je mettais une
-Je cms, à
+Je crus, à
-première réQexion, que
+première réflexion, que
-jour étoit le
+jour était le
-que j’avois faite
+que j’avais faite
-ma foiblesse, me
+ma faiblesse, me
-son silence; je
+son silence ; je
-que j*étois né
+que j’étais né
-les commander; et
+les commander ; et
-de sang-froid,^ et
+de sang-froid,a et
-leurs foiblesses. Quoique
+leurs faiblesses. Quoique
-joie secrète; quand
+joie secrète ; quand
-satisfaction indirecte; je
+satisfaction indirecte ; je
-de refus; je
+de refus ; je
-de scrupules; je
+de scrupules ; je
-les mois de
+les mots de
-la foiblesse de
+la faiblesse de
-de sévérité; et
+de sévérité ; et
-leur i. A. De sens froid.
+leur
-revers terribles.* Il
+revers terribles. Il
-un reflux * d’empire
+un refluxb d’empire
-plus humiliants; elles afl’ectent un
+plus humiliants ; elles affectent un
-point d’exemple; et,
+point d’exemple ; et,
-de caprices; il
+de caprices ; il
-de soins; elles
+de soins ; elles
-ces murs; une
+ces murs ; une
-ce trouble; elles
+ce trouble ; elles
-moi, seroit une chose inouïe; et,
+moi, serait une chose inouïe ; et,
-je balançois à
+je balançais à
-elles seroient en
+elles seraient en
-châtier. J’aimerois autant
+châtier. J’aimerais autant
-dans 1. Bevers dans
+dans Revers dans
-expression particalière à Montesquieu. 2. A. Un flux et reflux.
+expression particulière à Montesquieu.
-me perdre;* elles
+me perdre ;c elles
-quarts d*heure* où
+quarts d’heured où
-point écouté» des
+point écouté, des
-plus fort? J’ai
+plus fort ? J’ai
-plaisirs même; elles
+plaisirs même ; elles
-leurs triomphes; leurs
+leurs triomphes ; leurs
-deviennent terribles; les
+deviennent terribles ; les
-sérail, qu*avois-je fait? Je laisse’ une
+sérail, qu’avais-je fait ? Je laissee une
-de larmes; elle
+de larmes ; elle
-qu’elles augmentoient à
+qu’elles augmentaient à
-qu’elle faisoit naître. Gomment aurois-je pu
+qu’elle faisait naître. Comment aurais-je pu
-si critique? Je
+si critique ? Je
-m’y attendois le moins; je
+m’y attendais le moins ; je
-soupirs avoient fait. Yoilà, cher
+soupirs avaient fait. Voilà, cher
-es heureux! tes
+es heureux ! tes
-personne d’Dsbek. Il
+personne d’Usbek. Il
-1711. 1. 2« C.
+1711. ---- a A. De sens froid. b A. Un flux et reflux. c 2e C.
-le séraU. 2. A.
+le sérail. d A.
-quart d*heures. 3. A.
+quart d’heures. e A.
-A BRZBROIf. Tu étois le
+A ERZERON. Tu étais le
-de Rica; et
+de Rica ; et
-n’y avoit que
+n’y avait que
-de ia tienne.
+de la tienne.
-manques, Usbek; tu étois l’âme
+manques, Usbek ; tu étais l’âme
-ont formés! Nous
+ont formés ! Nous
-ici beaucoup; nos
+ici beaucoup ; nos
-hommes étoient heureux
+hommes étaient heureux
-hommes étoient nés
+hommes étaient nés
-être vertueux; et
+être vertueux ; et
-des mollaks,^ qui
+des mollaks, qui
-1711. 1. MoUaks ou
+1711. Mollaks ou
-le moUa est
+le molla est
-: * tu
+: tu
-me consulter; tu me croîs capable de t’înstruire. Mon cher xMirza, il
+me consulter ; tu me crois capable de t’instruire. Mon cher Mirza, il
-pas cni devoir
+pas cru devoir
-faire sentir; telles
+faire sentir ; telles
-y avoit, en
+y avait, en
-qui descendoit de
+qui descendait de
-les historiens,* ressembloient plus
+les historiens, ressemblaient plus
-des i. Gasconisme.
+des Gasconisme.
-: pourusêr de
+: pour user de
-Dans Vlntrodw:tion, Montesquieu
+Dans l’Introduction, Montesquieu
-sens &user :
+sens d’user :
-faire {ces réflexions)
+faire (ces réflexions)
-essayer beaticoup son esprit, 2. Hérodote,
+essayer beaucoup son esprit. Hérodote,
-dit quUl y
+dit qu’il y
-en
+en Afrique plusieurs peuples de ce nom. Suivant Pomponius Mela, I, ils habitaient l’Éthiopie, vivaient dans des cavernes (c’est ce que signifie leur nom), se nourrissaient de viandes crues, ne possédaient rien, et sifflaient plutôt qu’ils ne parlaient.
-LETTRE XL 77 bétes qu’à
+bêtes qu’à
-Ceux-ci n’étoient point
+Ceux-ci n’étaient point
-ils n’étoient point
+ils n’étaient point
-ne sifiloient point, ils avoient deux
+ne sifflaient point, ils avaient deux
-ils étoient si
+ils étaient si
-n’y avoit parmi
+n’y avait parmi
-Ils avoient un
+Ils avaient un
-les traitoit sévèrement
+les traitait sévèrement
-devinrent insupportables; et
+devinrent insupportables ; et
-qu’ils n’obéiroient plus à personne; que chacun veilleroit uniquement
+qu’ils n’obéiraient plus à personne ; que chacun veillerait uniquement
-unanime flattoit extrêmement
+unanime flattait extrêmement
-Ils disoient :
+Ils disaient :
-soucie point? Je
+soucie point ? Je
-le soient? Je
+le soient ? Je
-On étoit dans
+On était dans
-où Ton ensemence les terres; chacun
+où l’on ensemence les terres ; chacun
-me nourrir; une plus Afrique plusieurs peuples de ce nom. Suivant Pomponius Mêla, I, ils habitaient rÉthiopie, vivaient dans des cavernes (c’est ce que signifie leur nom], se nourrissaient de viandes crues, ne possédaient rien, et sifflaient plutôt qa*ils ne parlaient.
+me nourrir ; une plus
-me seroit inutile
+me serait inutile
-royaume n’étoîent pas
+royaume n’étaient pas
-en avoit d’arides
+en avait d’arides
-de montagneuses; et
+de montagneuses ; et
-bas, étoient arrosées
+bas, étaient arrosées
-fut trèsgrande, de
+fut très-grande, de
-qui étoient dans
+qui étaient dans
-fut très -pluvieuse :
+fut très-pluvieuse :
-fois famine; mais
+fois famine ; mais
-qu’ils l’avoient été
+qu’ils l’avaient été
-habitants avoit une
+habitants avait une
-république subsistoit, avoit eu
+république subsistait, avait eu
-à vous? * J’ai
+à vous ?a J’ai
-à travailler* à
+à travaillerb à
-sa terre.’ Le ravisseur, 1. A. Soit à moi ou à vous. 2. A. Et travailler. 3. A. Ses terres.
+sa terre.c Le ravisseur,
-LETTRE XI. 79 qui étoit le
+qui était le
-qu’il mourroit plutôt
+qu’il mourrait plutôt
-cette femme; et
+cette femme ; et
-s’en retournoit désespéré,
+s’en retournait désespéré,
-qui revenoit de
+qui revenait de
-il n’avoit plus de femme; celle-là lui plut; et
+il n’avait plus de femme ; celle-là lui plut ; et
-bien davantage,’ lorsqu’il
+bien davantage, lorsqu’il
-que c’étoit la
+que c’était la
-qu’il avoit voulu
+qu’il avait voulu
-qui avoit été
+qui avait été
-maison. 11 y avoit un
+maison. Il y avait un
-qui possédoit un
+qui possédait un
-qu’il cultivoit avec
+qu’il cultivait avec
-qui voudroient l’usurper
+qui voudraient l’usurper
-qu’il pouvoit avoir
+qu’il pouvait avoir
-et devînt seul
+et devint seul
-vinrent l’attaquer; il
+vinrent l’attaquer ; il
-trop foible pour
+trop faible pour
-la lîCine qui étoit à
+la laine qui était à
-en luimême : Naturellement
+en lui-même ; Naturellement
-ne devrois espérer
+ne devrais espérer
-de blé; mais
+de blé ; mais
-le marchand; j’auraidu blé
+le marchand ; j’aurai du blé
-Que dites-vous? reprit l’acheteur,* vous
+Que dites-vous ? reprit l’acheteur,d vous
-de blé? J’en
+de blé ? J’en
-étonnera peut-être; car
+étonnera peut-être ; car
-le i. A. Reprit Tétranger.
+le
-de blé; car
+de blé ; car
-cruelle ravageoit la
+cruelle ravageait la
-qu’il avoit traités,
+qu’il avait traités,
-son salaire; mais
+son salaire ; mais
-se faisoit sentir
+se faisait sentir
-et affligeoit plus
+et affligeait plus
-je croirois offenser
+je croirais offenser
-je m’opposois à
+je m’opposais à
-colère. lyBrzeron, le
+colère. -------------------------------------------------------------------------------- D’Erzeron, le
-1711.
+1711. a A. Soit a moi ou à vous. b A. Et travailler. c A. Ses terres. d A. Reprit l’étranger.
-A ISPAHAK. Tu a3 VU, mon
+A ISPAHAN. Tu as vu, mon
-y avoitf dans
+y avait, dans
-ils avoient de l’humanité; ils connoissoient la justice; ils aimoient la
+ils avaient de l’humanité ; ils connaissaient la justice ; ils aimaient la
-ils voyoient la
+ils voyaient la
-la ressentoient que
+la ressentaient que
-: c’étoitle motif
+: c’était le motif
-Ils travailloient, avec
+Ils travaillaient, avec
-l’intérêt commun; ils n’ avoient de
+l’intérêt commun ; ils n’avaient de
-amitié faisoit nattre :
+amitié faisait naître :
-ils menoient une
+ils menaient une
-terre sembloit produire
+terre semblait produire
-Ils aimoient leurs
+Ils aimaient leurs
-en étoient tendrement
+en étaient tendrement
-attention étoit d’élever
+attention était d’élever
-vertu. Us leur représentoient sans
+vertu. Ils leur représentaient sans
-leur mettoient devant
+leur mettaient devant
-triste :^ ils leur faisoient surtout
+triste :a ils leur faisaient surtout
-se perdre; que
+se perdre ; que
-nous coûter; qu’il
+nous coûter ; qu’il
-de s’afToiblîr dans
+de s’affaiblir dans
-Qui pourroit représenter
+Qui pourrait représenter
-ces Troglodytes? Un
+ces Troglodytes ? Un
-juste devoit être
+juste devait être
-les connoltre, il
+les connaître, il
-y avoit laissé
+y avait laissé
-les célébroient par
+les célébraient par
-on faisoit ensuite
+on faisait ensuite
-ne régnoit pas
+ne régnait pas
-frugalité. C’étoit dans
+frugalité. C’était dans
-que parloit la nature naïve; c’est
+que parlait la nature naïve ; c’est
-qu’on apprenoit à
+qu’on apprenait à
-le recevoir; c’est
+le recevoir ; c’est
-virginale faisoit, en
+virginale faisait, en
-se plaisoient à
+se plaisaient à
-de loin^ une
+de loinb une
-et fidèle* i. A. C. Si touchant. "2, A. C. A prévoir par avance.
+et fidèle.
-LETTRE XII. 83 On alloit au
+On allait au
-ce n’étoit pas
+ce n’était pas
-souhaits étoient indignes
+souhaits étaient indignes
-heureux Troglodytes; ils ne savoient les
+heureux Troglodytes ; ils ne savaient les
-compatriotes. Us n’étoient aux
+compatriotes. Ils n’étaient aux
-y yenoient apporter
+y venaient apporter
-leur demandoient d’autre
+leur demandaient d’autre
-troupeaux quîttoient les
+troupeaux quittaient les
-fatigués avoient ramené
+fatigués avaient ramené
-ils s’assembloient; et,
+ils s’assemblaient ; et,
-ils chantoient les
+ils chantaient les
-ils célébroient* les
+ils célébraientc les
-ils décrivoient ensuite les délices- de
+ils décrivaient ensuite les délices de
-ils s’abandonnoient à
+ils s’abandonnaient à
-chagrins n’interrompoient jamais.
+chagrins n’interrompaient jamais.
-ne fournissoit pas
+ne fournissait pas
-cupidité étoit étrangère
+cupidité était étrangère
-se faisoient des
+se faisaient des
-qui donnoit croyoit toujours
+qui donnait croyait toujours
-se regardoit comme
+se regardait comme
-troupeaux étoient presque
+troupeaux étaient presque
-qu’on s’épargnoit ordindrement, c’étoit de
+qu’on s’épargnait ordinairement, c’était de
-partager. D’Eneron, le
+partager. D’Erzeron, le
-la luno de
+la lune de
-1711. 1. A.
+1711. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Si touchant. b A. C. A prévoir par avance. c A.
-Ils chantoient ensuite
+Ils chantaient ensuite
-ne saurois assez
+ne saurais assez
-d’eux disoit un
+d’eux disait un
-Un auti*e disoit en
+Un autre disait en
-: II me
+: Il me
-sœur ^u goût
+sœur a du goût
-voleurs avoient enlevé
+voleurs avaient enlevé
-y avoit une
+y avait une
-je voulois offrir
+je voulais offrir
-On entendoit ^ dire
+On entendaita dire
-Troglodytes étoient assemblés,
+Troglodytes étaient assemblés,
-qu’il soupçonnoit 1 . A. On entendit dire, etc.
+qu’il soupçonnait
-Troglodytes ; mais,
+Troglodytes : mais,
-famille I On
+famille ! On
-étrangers avoient pillé
+étrangers avaient pillé
-et avoient tout
+et avaient tout
-S’ils n’étoient pas
+S’ils n’étaient pas
-je souhaiterois que
+je souhaiterais que
-les Troglodytes? Ont-ils
+les Troglodytes ? Ont-ils
-vos campagnes? Mon :
+vos campagnes ? Non :
-de nous?’ Voulez-vous
+de nous ?b Voulez-vous
-des habits? Voulez-vous
+des habits ? Voulez-vous
-nos terres? Mettez bas* les
+nos terres ? Mettez basc les
-des bëtes farouches.
+des bêtes farouches.
-ne croyoient défendus
+ne croyaient défendus
-ils étoient bien
+ils étaient bien
-Ils avoient i. A. C. Que Toulez-Tous donc de nous? 2. Â. G. Posez bas.
+Ils avaient
-nouvelle s’étoit emparée
+nouvelle s’était emparée
-l’un youloit mourir
+l’un voulait mourir
-qui expiroit étoit d’abord
+qui expirait était d’abord
-autre, gui, outre
+autre, qui, outre
-commune, avoit encore
+commune, avait encore
-lâches, gui ne chercboient gue le
+lâches, qui ne cherchaient que le
-pas honte * de fuir; et
+pas honted de fuir ; et
-touchés. D’BrzeroD, le
+touchés. D’Erzeron, le
-la luae de
+la lune de
-1711. 1. A.
+1711. -------------------------------------------------------------------------------- a A. On entendit dire, etc. b A. C. Que voulez-vous donc de nous ? c A. C. Posez bas. d A.
-même hoote, etc.
+même honte, etc.
-MÊME. Gomme le peuple grossissoit tous
+MÊME. Comme le peuple grossissait tous
-qu’il étoit à
+qu’il était à
-qu’il falloit déférer
+qu’il fallait déférer
-qui étoit le plus juste; et
+qui était le plus juste ; et
-Il n’avoit pas
+Il n’avait pas
-il s’étoit retiré
+il s’était retiré
-qu’on avoit fait
+qu’on avait fait
-la couronne; et,
+la couronne ; et,
-la prenne; mais
+la prenne ; mais
-assujettis. Â ces
+assujettis. A ces
-! disoit-il ;
+! disait-il ;
-pourquoi ai -je tant vécu? Puis
+pourquoi ai-je tant vécu ? Puis
-vous paroît trop
+vous paraît trop
-un Troglodyte? Voulez-vous
+un Troglodyte ? Voulez-vous
-la feroit tout
+la ferait tout
-? Troglodytes,
+? Ô Troglodytes,
-la vertu?* D’Brzeron, le
+la vertu ? D’Erzeron, le
-2, Hll. i. Dans
+2, 1711. Dans
-idées qu^on retrouvera dans VEsprit des
+idées qu’on retrouvera dans l’Esprit des
-illusion constant© chez Montesffuieu que
+illusion constante chez Montesquieu que
-et Tinégalité, a
+et l’inégalité, a
-puissent ôtro riches
+puissent être riches
-lois, ni, 3-7; IV,
+lois, III, 3-7 ; IV,
-A BRZBRON. Je
+A ERZERON. Je
-appelle amitié , et
+appelle amitié, et
-que j’avois encore un cœur; et,
+que j’avais encore un cœur ; et,
-que j’éiois de
+que j’étais de
-qui vivoient sous
+qui vivaient sous
-je voyois croître
+je voyais croître
-s’en falloit bien
+s’en fallait bien
-encore parlé , lorsque
+encore parlé, lorsque
-tu devois toujours
+tu devais toujours
-tu devois commander.
+tu devais commander.
-tu m’étois cher.
+tu m’étais cher.
-me Tétois pourtant
+me l’étais pourtant
-je t’aimois comme
+je t’aimais comme
-fils pouvoient convenir
+fils pouvaient convenir
-prophète pourroit-il te
+prophète pourrait-il te
-Je voudrois que
+Je voudrais que
-des cinges. Du
+des anges. Du
-de U lune de gemxnadi 2,
+de la lune de gemmadi 2,
-MOLLAK HRHEMET ALI, OARDIIN DBS TROIS TOMBRAUX.’ A
+MOLLAK MEHEMET ALI, GARDIEN DES TROIS TOMBEAUX. A
-divin mollak? Tu
+divin mollak ? Tu
-cet astre; mais,
+cet astre ; mais,
-Zufagar, * cette
+Zufagar, cette
-qui avoit deux
+qui avait deux
-Mahomet. l\ fut religieusement consené dans
+Mahomet. Il fut religieusement conservé dans
-descendants d*Abdoullah II
+descendants d’Abdoullah II
-de Tédition Dalibon. Paris, 1826.)
+de l’édition Dalibon. Paris. 1820.)
-9« LETTRES PERSANES. Je pourrois, par
+Je pourrais, par
-car enfm, treizième iman/ n’es-tu
+car enfin, treizième iman, n’es-tu
-et Tempirée ?
+et l’empirée ?
-: * aide-moi
+: aide-moi
-mois. D’Brzeron, le
+mois. D’Erzeron, le
-premiers saccesseurs de
+premiers successeurs de
-blanc d*un fil
+blanc d’un fil
-ne saurois attendre
+ne saurais attendre
-; ramènela dans
+; ramène-la dans
-de lumière; foudroie,
+de lumière ; foudroie,
-appelle immondes?* D’où
+appelle immondes ? D’où
-corps mort , et que , pour
+corps mort, et que, pour
-notre âme , il
+notre âme, il
-corps ?^I1 me
+corps ? Il me
-nous parolt sale
+nous paraît sale
-nous 1. EtprU des lois, xxiv, 25.
+nous Esprit des lois, XXIV, 25.
-ne blessoient ni
+ne blessaient ni
-comment auroit-on pu
+comment aurait-on pu
-fussent impurs? Les
+fussent impurs ? Les
-des choses? Mais,
+des choses ? Mais,
-les autres; il
+les autres ; il
-ne renvei’seroit-il pas
+ne renverserait-il pas
-des anges? D’BneroD, le 80 de la Itme de
+des anges ? D’Erzeron, le 20 de la lune de
-XVIII. 95 LETTRE XVIII. MEHEHET ALI* SERVITEUR
+XVIII. MEHEMET ALI, SERVITEUR
-A BRZBRON. Vous
+A ERZERON. Vous
-ne lisez -vous les
+ne lisez-vous les
-toute intelligence? Vous
+toute intelligence ? Vous
-de l’Étemel, vos
+de l’Éternel, vos
-de l’abfme ;
+de l’abîme ;
-chahban. ^ Aussi
+chahban. Aussi
-: ^ votre vaine philoso 1. Cha’batif huitième
+: votre vaine philosophie Cha’ban, huitième
-de l*année. S. Ce
+de l’année. Ce
-aujourd’hui iman; c’est
+aujourd’hui iman ; c’est
-96 LETTRES PERSANES. phie est
+est
-Abdias Ibesalon* lui
+Abdias Ibesalon lui
-Dieu avoit défendu
+Dieu avait défendu
-Noé. Avois-tu les
+Noé. Avais-tu les
-es mort? lui
+es mort ? lui
-jugement étoit venu; et
+jugement était venu ; et
-qui s’étoit passé
+qui s’était passé
-peur mortelle; surtout
+peur mortelle ; surtout
-se lamentoient de
+se lamentaient de
-qui 1. Tradition mahométaoc. (M.)
+qui Tradition mahométane. (M.)
-LETTRE XVIII. 97 penchoit. Ce
+penchait. Ce
-ce temps- là, nous
+ce temps-là, nous
-animal immonde? Mais,
+animal immonde ? Mais,
-cochon remuoit tous
+cochon remuait tous
-dans l’arche , qu’il
+dans l’arche, qu’il
-qui alloit rongeant
+qui allait rongeant
-se trouvoit devant
+se trouvait devant
-à Noé , qu’il
+à Noé, qu’il
-qu’il étoit à
+qu’il était à
-qui étemua aussi,
+qui éternua aussi,
-chat. Croyezvous que
+chat. Croyez-vous que
-encore immondes? Que
+encore immondes ? Que
-de Timpureté de
+de l’impureté de
-la connoissance de
+la connaissance de
-petite pai*tie de
+petite partie de
-De Com,i le
+De Com, le
-1711. 1. A. A Coin. —
+1711. A. A Com. —
-A Smyme, A
+A Smyrne, A
-de Fauteur. Je
+de l’auteur. Je
-point df intérêt*
+point d’intérêt.
-9« LETTRES PERSANES. LETTRE XIX. USBEK
+== 98 LETTRES PERSANES == == LETTRE XIX. == == USBEK
-AMI RUSTAN. A ISPAHAX. Nous
+AMI RUSTAN.== == A ISPAHAN. == Nous
-à Smyme. De
+à Smyrne. De
-la foiblesse de
+la faiblesse de
-qui Tépuisent et
+qui l’épuisent et
-cesse. ^ Les bâchas, qui
+cesse. Les bachas, qui
-est incertaine; et par consé i. Grandeur §t décadence
+est incertaine ; et par conséquent Grandeur et décadence
-ch. xxin.
+ch. XXIII.
-LETTRE XIX. 99 guent l’ardeur
+l’ardeur
-jusqu’à l’art. militaire.
+jusqu’à l’art militaire.
-inventions, ^ qu’après
+inventions, qu’après
-point d’habileté ’ dans
+point d’habiletéa dans
-d’un rocher,’ font
+d’un rocher, font
-les Ottomans,^ et
+les Ottomans,b et
-de permettre* qu’ils
+de permettrec qu’ils
-que Smyme qu’on
+que Smyrne qu’on
-De Smjme, le 8 de U lune de rahmaMn, • 1711. i. C’est-à-dire les nouTelleB inTentions des nations d’Europe. 2. A. G. NoUe habileté. 3. Ce sont, apparemment, les cheTaliers de Halte. (M.) 4. A. G. Font
+De Smyrne, le 2 de la lune de rahmazan, 1711. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Nulle habileté. b A. C. Font
-permettre. 6. NeuTième mois de Tannée; cardme des musulmans. 814287 A
+permettre. C’est-à-dire les nouvelles inventions des nations d’Europe. Ce sont, apparemment, les chevaliers de Malte. (M.) Neuvième mois de l’année ; carême des musulmans.
-<00 LETTRES PERSANES. LETTRE XX. USBEK A ZAGHI, SA FEMME. AU SÉRAIL D*ISPAUAN. Vous m’avez oiïensé, Zacbi ;
+== 100 LETTRES PERSANES. == == LETTRE XX. == == USBEK A ZACHI, SA FEMME. == == AU SÉRAIL D’ISPAHAN. == Vous m’avez offensé, Zachi ;
-des mouvemens que
+des mouvements [mouvemens] que
-devriez craindre» si
+devriez craindre, si
-vous laissoit le
+vous laissait le
-et d* apaiser la
+et d’apaiser la
-vous servir? Vous
+vous servir ? Vous
-que pourroit faire
+que pourrait faire
-des regards; que
+des regards ; que
-des regards? peut-être
+des regards ? peut-être
-le dése-poîr de
+le désespoir de
-LETTRE XX. 404 Vous
+== LETTRE XX. 101 == Vous
-Eh I pouviez-vous
+Eh ! pouviez-vous
-Comment auriezvous pu
+Comment auriez-vous pu
-vigilance des^ eunuques
+vigilance des [a] eunuques
-vous menez? Gomment auriezvous pu
+vous menez ? Comment auriez-vous pu
-vos désbrs impurs
+vos désirs impurs
-vantez tant* Je
+vantez tant. Je
-j’ai Heu de soupçonner; que
+j’ai lieu de soupçonner ; que
-mains sacrilèges ;
+mains sacriléges ;
-cette foible barrière
+cette faible barrière
-et vous; que,
+et vous ; que,
-les yeux; que,
+les yeux ; que,
-les châtimens qu’il
+les châtiments [châtimens] qu’il
-cela seroit vrai,
+cela serait vrai,
-qu’eussiez-vous fût pour les satisfaire? Que feriezvous encore,
+qu’eussiez-vous fait pour les satisfaire ? Que feriez-vous encore,
-sa foiblesse, et
+sa faiblesse, et
-la nature?* Que
+la nature ? Que
-pour moi^ qui
+pour moi, qui
-vous i. A. De ces eanuques noirs. 2. Esprit
+vous Esprit
-lois, xvi, 10.
+lois, XVI, 10.
-40S LETTRES PERSANES. avez 8i indignement trahi? Que
+== 102 LETTRES PERSANES. == avez si indignement trahi ? Que
-aux attentats^ des
+aux attentats [b] des
-la gène où
+la gêne où
-on mettoit de
+on mettait de
-première esclave? Elle
+première esclave ? Elle
-a dii que
+a dit que
-Zélide étoient contre
+Zélide étaient contre
-haine. I Je devrois être,
+haine. Je devrais être,
-De Smynie, le
+De Smyrne, le
-de zilcadé,’ 1711. 1. A. G. Â rattentat. % Zoulcadé, oniième mois de rannée musulmAne.
+de zilcadé, 1711. -------------------------------------------------------------------------------- a A. De ces eunuques noirs. b A. C. A l’attentat. Zoulcadé, onzième mois de l’année musulmane.
-LETTRE XXI. i03 LETTRE XXI. CSBEK AU
+== LETTRE XXI. 103 == == LETTRE XXI. == == USBEK AU
-BLANC. Vous
+BLANC. == Vous
-pied sacrilège sur
+pied sacrilége sur
-de faire; et
+de faire ; et
-qui ètes-vous, que
+qui êtes-vous, que
-je l’ordonne; qui
+je l’ordonne ; qui
-d’autre pai*tage que
+d’autre partage que
-ma félicité? Je
+ma félicité ? Je
-du devoir; que
+du devoir ; que
-404 LETTRES PERSANES. fatiguées
+== 104 LETTRES PERSANES == fatiguées
-du ciel/ et
+du ciel, et
-pieds. D9 Smjme, le IS de U lune de dlcadé, 1711. 1. Lei Persans
+pieds. De Smyrne, le 12 de la lune de zilcadé, 1711. Les Persans
-LETTRE XXll. 405 LETTRE XXII. JARON
+== LETTRE XXII. == == JARON
-EUNUQUE. A
+EUNUQUE. == A
-noirs gui l’accompagnent.
+noirs qui l’accompagnent.
-ce gui lui
+ce qui lui
-cher gue lui-même.
+cher que lui-même.
-Dieu I gu’il faut
+Dieu ! qu’il faut
-homme heureux! La nature sembloit avoir
+homme heureux ! La nature semblait avoir
-désordre naissoit entre
+désordre naissait entre
-parce gue leurs droits étoient réciprogues. Nous
+parce que leurs droits étaient réciproques. Nous
-sera tranguille, et l’esprit inguiet. Je
+sera tranquille, et l’esprit inquiet. Je
-chagrins. J’aurois eu
+chagrins. J’aurais eu
-veut gue je
+veut que je
-devenir superbe; et
+devenir superbe ; et
-de zilcftdé, 1711.
+de zilcadé, 1711.
-LETTRE XXIII. 407 LETTRE XXIII. USBRK A
+== LETTRE XXIII. == == USBEK A
-IBBEN. A SMTRNE. Nous
+IBBEN. == == A SMYRNE. == Nous
-ville nouvelle; elle
+ville nouvelle ; elle
-voile. * Leurs
+voile. Leurs
-le siège de
+le siége de
-je t* aimerai toujours. De LiTOiirne, le
+je t’aimerai toujours. De Livourne, le
-de sapbar, 1718.
+de saphar, 1712.
-LETTRE XXIV. 409 LETTRE XXIV. RICA A IBBBN. A SMTRIIE. Nous
+== LETTRE XXIV. == == RICA A IBBEN. == == A SMYRNE. == Nous
-qu’on jureroit qu’elles
+qu’on jurerait qu’elles
-extrêmement peuplée; et
+extrêmement peuplée ; et
-le croirois pas,
+le croirais pas,
-personne. II n’y
+personne. Il n’y
-les François :
+les Français :
-les feroient tomber
+les feraient tomber
-jusqu’à y
+jusqu’à
-UO LETTRES PERSANES. la
+== 440 LETTRES PERSANES. == la
-un demitour; et
+un demi-tour ; et
-premier m’avoit pris
+premier m’avait pris
-si j’avois fait
+si j’avais fait
-de France* est
+de France est
-son voisin; mais
+son voisin ; mais
-à vendre; et,
+à vendre ; et,
-se trouvoient payées,
+se trouvaient payées,
-flottes équipées.* D’ailleurs,
+flottes équipées. D’ailleurs,
-le croient.’ S’il
+le croient. S’il
-guerre 1. Louis XIV. 2. Dans
+guerre Louis XIV. Dans
-on empnintait en
+on empruntait en
-des gages; elles
+des gages ; elles
-exemptions d’impôt, et
+exemptions d’impôt. et
-: Quê Votre
+: Que Votre
-se réassure :
+se rassure :
-une charge. Dieu
+une charge, Dieu
-pour racheter. Les sots calculaient; ils
+pour l’acheter. Les sots calculaient ; ils
-des monnaies; ils
+des monnaies ; ils
-une yaleur fixe ot
+une valeur fixe et proportionnelle au métal, mais comme un simple signe de valeurs, qu’on pouvait élever ou baisser à la volonté du prince. V. Mémoires de Mathieu Marais, t. I, p. 280, 285, 316, 357, 359, 457 ; t. IV, p. 10. La Rochefoucauld a pu dire : « Les rois font des hommes comme des pièces de monnaie ; ils les font valoir ce qu’ils veulent, et l’on est forcé de les recevoir selon leur cours, et non pas selon leur véritable prix. » (Éd. de 1665, max. 165.)
-LETTRE KXIV. 444 diflScile à
+== LETTRE XXIV. == difficile à
-qu’il n’sdt point
+qu’il n’ait point
-il n*a qu’à
+il n’a qu’à
-la tôte qu’un
+la tête qu’un
-de l’argent; et
+de l’argent ; et
-les touchant/ tant
+les touchant, tant
-appela Consiitmiony* et
+appela Constitution, et
-grandes proportionnelle aa métal, mais comme un simple signe de valeurs, qu*ou pouvait élever ou baisser à la volonté du prince. V. Mémoires de Mathieu Marais, t. I, p. 280, 285, 316, 357, 350, 457; t. IV, p. 10. La Rochefoucauld a pu dire : « Les rois font des hommes comme des pièces de monnoie; ils les font valoir ce quMls veulent, et Ton est forcé de les recevoir Selon leur cours, et non pas selon leur véritable prix. » (Éd. de 1665, max. 165.) 1. Allusion
+grandes Allusion
-prétendu privilège de
+prétendu privilége de
-touchant, privilège que
+touchant, privilége que
-d’Angleterre. S. Je
+d’Angleterre. Je
-les Jansénistes en
+les jansénistes en
-Domini Sàbaoth, du
+Domini Sabaoth, du
-première. Cest elle
+première. C’est elle
-du xviii* siècle. Hais cette
+du XVIIIe siècle. Mais cette
-Rica. H me
+Rica. Il me
-la balle Unigsnitus, et
+la bulle Unigenitus, et
-442 LETTRES PERSANES. peines,
+== LETTRES PERSANES. == peines,
-y étoit contenu.
+y était contenu.
-: ^ mais
+: mais
-ne vouloient rien
+ne voulaient rien
-qui étoit dans
+qui était dans
-leur alcoran.* Les
+leur alcoran. Les
-de privilège. On doit pourtant’ avouer
+de privilége. On doit pourtant avouer
-Hali I il
+Hali ! il
-du paradis? J’ai
+du paradis ? J’ai
-du prodige; et
+du prodige ; et
-qu’il faisoit la
+qu’il faisait la
-qui s’étoient tous
+qui s’étaient tous
-il avoit dans
+il avait dans
-qui l’entouroient : ^ on
+qui l’entouraient : on
-de i. Louis
+de Louis
-se soamit avec
+se soumit avec
-facilité quo c*e8t lui
+facilité que c’est lui
-sollicitait rintervention du
+sollicitait l’intervention du
-querelles tbéologiques, qui rimportunaient. 2. La Bible. 3. A. C. n faut pourtant. 4. Les Jansénistes.
+querelles théologiques, qui l’importunaient. La Bible. A.C. Il faut pourtant. Les jansénistes.
-LETTRE XXIV. 443 trente ans; et
+== LETTRES XXIV. == trente ans ; et
-sa confiance,^ il
+sa confiance, il
-avec lui; ils
+avec lui ; ils
-On diroit qu’ils
+On dirait qu’ils
-à t’ écrire, et
+à t’écrire, et
-1712. 1. Les Jésuites.
+1712. -------------------------------------------------------------------------------- Les jésuites.
-4U LETTRES PERSANES. LETTRE XXV. USBEK
+== LETTRE XXV. == == USBEK
-IBBEN. A SMYRNE. J*ai reçu
+IBBEN. == == A SMYRNE. == J’ai reçu
-neveu Rbédi :
+neveu Rhédi :
-quitte Smyi-ne, dans
+quitte Smyrne, dans
-voir l’Italie; que
+voir l’Italie ; que
-longue lettre; il m’a dît qu’il te parloit beaucoup
+longue lettre ; il m’a dit qu’il te parlait beaucoup
-en état^ de
+en état de
-aussi reconnoissants et
+aussi reconnaissants et
-que nous! Puîssé-je te
+que nous ! Puissé-je te
-amis I Adieu.
+amis ! Adieu.
-1712. 1 . Â. G. Je
+1712. -------------------------------------------------------------------------------- A. C. Je
-LETTRE XXVI. 115 LETTRE XXVI. USBEK A ROXANE. AU SéftAIL D*ISPAHAN. Que VOUS êtes
+== LETTRE XXVI.== == USBEK A ROXANE.== == AU SÉRAIL D’ISPAHAN.== Que vous êtes
-où Ton ne connott ni
+où l’on ne connaît ni
-Roxane I quand
+Roxane ! quand
-votre vue.* Moi-même,
+votre vue. Moi-même,
-de constance! Quel
+de constance ! Quel
-vue I I. y.lnf., lettre
+vue ! V. Inf., lettre
-146 LETTRES PERSANES. Vous
+== LETTRES PERSANES. == Vous
-vous Tirritiez, au
+vous l’irritiez, au
-mes recherches? Vous
+mes recherches ? Vous
-mon amour? Vous
+mon amour ? Vous
-votre courage? Vous
+votre courage ? Vous
-un poignard,* et menaçâtes d’immolei un
+un poignard et menaçâtes d’immoler un
-aimoit, s*il continuoit
+aimoit, s’il continuoit
-de Tamour et
+de l’amour et
-vous avoit fait
+vous avait fait
-vous avoit aimée
+vous avait aimée
-confus sembloit me
+confus semblait me
-que j’avois pris. Je n’avois pas
+que j’avais pris. Je n’avais pas
-vous îpouviez de
+vous pouviez de
-et j’étois enivré
+et j’étais enivré
-moindres. * Si
+moindres. Si
-toute retenue; elles
+toute retenue ; elles
-visage découvert. 1. A. G. Vous mites le poignard
+visage découvert, , A.C. Vous mites un poignard
-main. 2. A. Sans on avoir
+main. A.Sans en avoir
-les moindi’es.
+les moindres.
-LETTUE XXVI. H7 comme
+== LETTRE XXVI == comme
-elles vouloient demander leur défadte ;
+elles voulaient demander leur défaite ;
-leurs regards; elles
+leurs regards ; elles
-est descendu; vous
+est descendu ; vous
-abominables lieux; et
+abominables lieux ; et
-pouvez m’ aimer, sans
+pouvez m’aimer, sans
-belles couleurs; quand
+belles couleurs ; quand
-plus précieuses; quand
+plus précieuses ; quand
-beaux habits; quand
+beaux habits ; quand
-votre chant; que
+votre chant ; que
-ne saurois, Roxane,
+ne saurais, Roxane,
-femmes d’Europe? L’art
+femmes d’Europe ? L’art
-conduite devroit le
+conduite devrait le
-: * elles
+: elles
-l’éducation affoiblit, mais
+l’éducation affaiblit, mais
-trop loin; ce
+trop loin ; ce
-ne sauroit être
+ne saurait être
-éprouvée, méritoit un
+éprouvée, méritait un
-Paris, lo 7 de U lune de regeb,’ 1712. 1. A.
+Paris, le 7 de la lune de regeb, 1712. -------------------------------------------------------------------------------- A.
-loin. 2. Red^eby septième
+loin. Redjeb, septième
-LETTRE XXVri. 449 LETTRE XXVII. USBEK
+== LETTRE XXVII. == == USBEK
-NESSIR. A ISPAHAN. Nous
+NESSIR. == == A ISPAHAN. == Nous
-du soleil.* Lorsque
+du soleil. Lorsque
-une boite, où
+une boîte, où
-y avoit quelques
+y avait quelques
-s’il étoit à
+s’il était à
-caravanes d’Arméniens* qui
+caravanes d’Arméniens qui
-qui s’af 1. Iftpaban. (M.) 2. G. D*ArméQie.
+qui s’affaiblit, Ispahan. (M.) C. D’Arménie.
-180 LETTRES PERSANES. foiblit, me
+me
-je yeux épargner leurs larmes; et,
+je veux épargner leurs larmes ; et,
-me croyoient en
+me croyaient en
-s’ils pouvoient espérer
+s’ils pouvaient espérer
-ils cesseroient bientôt
+ils cesseraient bientôt
-De Paru, le
+De Paris, le
-la lone de chahbao, 1712.
+la lune de chahban, 1712.
-LETTRE XXVIII. 4J4 LETTRE XXVIII. RICA A •♦♦ Je
+== LETTRE XXVIII. == == RICA A *** == Je
-de Taprès-dlnée, et
+de l’après-dînée, et
-appeler comédie.^ Le
+appeler comédie. Le
-le théâtre.* Aux deux côiés, on
+le théâtre. Aux deux côtés, on
-Perse. Ici,’ c’est
+Perse. Ici, c’est
-plus vive.* Là, les actrices* ne paroissent qu’à
+plus vive. Là, les actrices ne paraissent qu’à
-manchon 1. La Comédie-Française. 2. Dufresoy, Amusements
+manchon La Comédie-Française. Dufresny, Amusements
-ch. v. «
+ch. V. «
-le thé&tre. —
+le théâtre. —
-le thé&tre !
+le théâtre !
-vous TOUS moquez; ce n*est pas
+vous vous moquez ; ce n’est pas
-— N emporte, lui
+— N’importe, lui
-y étaler; on
+y étaler ; on
-voit rien; on
+voit rien ; on
-entend mal; mais c*est la
+entend mal ; mais c’est la
-par conbéquent la
+par conséquent la
-» 3. A. C. Tantôt
+» A.C. Tantôt
-passionné, dévore des yeux, etc. 4. A. C. Qui n’en est que
+passionné, devore des yeux etc. A.C. Qui n’en n’est que
-muette. 5. A. C. Là
+muette. A.C. Là
-4ÎS LETTRES PERSANES. par modestie^ pour
+== 122 LETTRES PERSANES == par modestie, pour
-gens debout,^ qui
+gens debout, qui
-quelques gens,* qu’on
+quelques gens, qu’on
-la fatigue.’ Ils
+la fatigue. Ils
-d’être partout; ils
+d’être partout ; ils
-seuls connoissent, montent
+seuls connaissent, montent
-en étage; ils
+en étage ; ils
-ainsi dire; on
+ainsi dire ; on
-ils reparoissent ;
+ils reparaissent ;
-qu’on n’auroit osé
+qu’on n’aurait osé
-particulière :* on
+particulière : on
-la connoissance la
+la connaissance la
-du jour,* où
+du jour, où
-à i. Le parterre. 2. A. G. Quelques
+à Le parterre. A.C. Quelques
-gens. 3. Les petits-maîtres. 4. Le foyer. 5. A. C. Par jour.
+gens. Les petits-maîtres. Le foyer. A.C. par jour.
-LETTRE XXVIII. 4S3 l’autre.^ Un
+== LETTRE XXVIII. 123 == l’autre. Un
-se déshabilloit une
+se déshabillait une
-Nous flmes si bien connoissance, que,
+Nous fîmes si bien connaissance, que,
-Monsieur, Je
+Monsieur, « Je
-du monde; j’ai
+du monde ; j’ai
-de TOpéra. Il
+de l’Opéra. Il
-que j’étois dans
+que j’étais dans
-je m’habillois en prétresse de
+je m’habillais en prêtresse de
-m’y trouver; et,
+m’y trouver ; et,
-soutient quMl m’a trouvée trèsprofane. Cependant
+soutient qu’il m’a trouvée très-profane. Cependant
-ne m^avoit promis
+ne m’avait promis
-où j’aurois dû
+où j’aurais dû
-à TOpéra, où,
+à l’Opéra, où,
-l’on faisoit un
+l’on faisait un
-bonne danseuse; et
+bonne danseuse ; et
-si j’étois à
+si j’étais à
-fortune seroit aussitôt
+fortune serait aussitôt
-m’emmener * avec
+m’emmener avec
-se rendroit pas
+se rendrait pas
-de chalTal,’ 1712. 1 . A.
+de chalval, 1712. A.
-l’autre. 2. A. M’amener. 3. Chawil, ou
+l’autre. A. M’amener. Chaval, ou
-l’année musalmane.
+l’année musulmane.
-4S4 LETTRES PERSANES. LETTRE XXIX. RICA
+== 124. LETTRES PERSANES == == LETTRE XXIX. == == RICA
-IBBEN. A SMYRNE. Le
+IBBEN. == == A SMYRNE. == Le
-Il étoit autrefois
+Il était autrefois
-princes même; car
+princes même ; car
-les déposoit aussi
+les déposait aussi
-que, si* on
+que, si on
-faire 1. A. C. Ainfti, si
+faire A. C. Ainsi, si
-LETTRE XXIX. 4J5 le rhamazan,^ si
+le rhamazan, si
-à l’évèque, ou
+à l’évêque, ou
-la dispense.^ Les
+la dispense. Les
-plupart dervis,’ qui
+plupart dervis, qui
-distinction * à
+distinction à
-en Portugal,* il
+en Portugal, il
-carême. 2. A. Qai en
+carême. A. Qui en
-la dispense* 3. C’est
+la dispense. C’est
-jésuites. 4. C*est4-dire alléguer
+jésuites. C’est-à-dire alléguer
-426 LETTRES PERSANES. br&ler un
+== 126. LETTRES PERSANES. == brûler un
-la main/ qui
+la main, qui
-deux rubans,’ et
+deux rubans, et
-la Galice!’ Sans
+la Galice ! Sans
-il jureroit, comme
+il jurerait, comme
-païen, qu*il est
+païen, qu’il est
-on pourroit bien
+on pourrait bien
-il auroit beau
+il aurait beau
-il seroit en
+il serait en
-présument qtf un accusé est innocent; ceux-ci
+présument qu’un accusé est innocent ; ceux-ci
-la rigueur; apparemment
+la rigueur ; apparemment
-de mentir; car
+de mentir ; car
-avoir condamnés; mais,
+avoir condamnés ; mais,
-profit. * 1. Un chapelet. 2. Un Bcapulaire. 3. En
+profit. Un chapelet. Un scapulaire. En
-aux inquisi" teurs d’Espagne
+aux inquisiteurs d’Espagne
-Portugal {Esprit des
+Portugal (Esprit des
-des prophètes! Ces
+des prophètes ! Ces
-sont inconnus.^ La
+sont inconnus. La
-vérité même; elle n*a point
+vérité même ; elle n’a point
-De Parii, le
+De Paris, le
-la lane de chalval, 1718. 1. Les Peraaos sont
+la lune de chalval, 1712. -------------------------------------------------------------------------------- Les Persans sont
-4S8 LETTRES PERSANES. LETTRE XXX. RICA
+== LETTRE XXX. == == RICA
-MÊME. A SMYRNE. Les
+MÊME. == == A SMYRNE. == Les
-si j’avois été
+si j’avais été
-tous vouloient me
+tous voulaient me
-je sortois, tout
+je sortais, tout
-se mettoît aux fenêtres; si j’étois aux
+se mettait aux fenêtres ; si j’étais aux
-je voyoîs aussitôt
+je voyais aussitôt
-de moi; les
+de moi ; les
-même faisoient un
+même faisaient un
-qui m’entouroit : si j’étois aux
+qui m’entourait : si j’étais aux
-je trouvois d’abord* cent
+je trouvais d’abord cent
-Je souriois quelquefois
+Je souriais quelquefois
-qui n’étoient presque
+qui n’étaient presque
-qui disoient entre
+qui disaient entre
-Chose admirable! je trouvois de
+Chose admirable ! je trouvais de
-portraits partout; je me voyois multiplié
+portraits partout ; je me voyais multiplié
-on craignoit de
+on craignait de
-me croyois pas
+me croyais pas
-si rare; et, quoique 1. A. C Je voyois aussitôt.
+si rare ; et, quoique A. C. Je voyais aussitôt.
-me serois jamais
+me serais jamais
-je n’étois point
+je n’étais point
-s’il resteroit encore,
+s’il resterait encore,
-fit connoltre ce
+fit connaître ce
-je valois réellement.
+je valais réellement.
-qui m’avoit fait
+qui m’avait fait
-l’estime publique; car
+l’estime publique ; car
-Je demeurois quelquefois
+Je demeurais quelquefois
-hasard, apprenoit à
+hasard, apprenait à
-que j’étois Persan, j’entendois aussitôt
+que j’étais Persan, j’entendais aussitôt
-Ah I ah I monsieur est Persan? C’est
+Ah ! ah ! monsieur est Persan ? C’est
-bien extiaordinairel Comment
+bien extraordinaire ! Comment
-être Persan? De
+être Persan ? De
-430 LETTRES PERSANES. LETTRE XXXI. RHEDI A USBEK. Je
+== LETTRE XXXI. == == RHEDI A USBEK.== == A PARIS. == Je
-dessous Teau, et
+dessous l’eau, et
-ne devroit y
+ne devrait y
-d’eau vive; il
+d’eau vive ; il
-impossible d*y accomplir
+impossible d’y accomplir
-saint prophète; il
+saint prophète ; il
-la regarde* jamais,
+la regarde jamais,
-colère. * Sans
+colère. Sans
-je serois charmé
+je serais charmé
-superstitions européennes; je
+superstitions européennes ; je
-à l’astronomie; j’étudie
+à l’astronomie ; j’étudie
-qui couvroient mes
+qui couvraient mes
-De Vonise, le
+De Venise, le
-de chalyal, 1712. 1. A. C. Et
+de chalval, 1712. A.C. Et
-LETTRE XXXII. 134 LETTRE XXXII. RICA A •*• J’allai,
+== LETTRE XXXII. == == RICA A *** == J’allai,
-assez pauvrement.* J’eus bientôt fait; car
+assez pauvrement. J’eus bientôt fait ; car
-les bâtiments’ ne
+les bâtiments ne
-maison étoient assez gais; plusieurs
+maison étaient assez gais ; plusieurs
-eux jouoient aux
+eux jouaient aux
-ne connois point.
+ne connais point.
-je sortois, un
+je sortais, un
-hommes sortoit aussi; et,
+hommes sortait aussi ; et,
-ne pourrois-je point
+ne pourrais-je point
-vous êtes? Je
+vous êtes ? Je
-répondit-il. Comment! lui
+répondit-il. Comment ! lui
-êtes aveugle? Et
+êtes aveugle ? Et
-qui jouoit aux
+qui jouait aux
-nous conduire? Il
+nous conduire ? Il
-2. A. C. L’église
+2. A.C. L’église
-foule ; j’entre
+foule : j’entre
-de chalTal, 1712.
+de chalval, 1712.
-LETTRE XXXIII. 433 LETTRE XXXIII. USBEK
+== LETTRE XXXIII. == == USBEK
-RHEDI. A DENISE. Le
+RHEDI. == == A VENISE. == Le
-les préceptes* du
+les préceptes du
-puis m’empécber de
+puis m’empêcher de
-monarques, c’a été leur intempérance; c’est
+monarques, ç’a été leur intempérance ; c’est
-l’humanité même; cet
+l’humanité même ; cet
-loi, faute pour
+loi, faite pour
-liqueur, 1. A. Le précopte.
+liqueur, A.Le précepte
-qui Tégayent. ^ C’est
+qui l’égayent. C’est
-appelle Sénèque; mais
+appelle Sénèque ; mais
-physiciens * en
+physiciens en
-de Tordre de
+de l’ordre de
-né misérable; il
+né misérable ; il
-la tristesse; mais,
+la tristesse ; mais,
-impressions quil’égayent, et
+impressions qui l’égayent, et
-de ûlcadé, 1713. 1. Le café. 2. Physicien
+de zilcadé, 1713. -------------------------------------------------------------------------------- Le café. Physicien
-gardé eu anglais.
+gardé en anglais.
-LETTRE XXXIV. 135 LETTRE XXXIV. USBEK A IBBEN.i A S1IYRNE. Les
+== LETTRE XXXIV. == == USBEK A IBBEN == == A SMYRNE == Les
-de France; mais
+de France ; mais
-est difficile* de
+est difficile de
-y mènent; elles
+y mènent ; elles
-ne veillent; elles
+ne veillent ; elles
-du devoir; les
+du devoir ; les
-joies sévères; et
+joies sévères ; et
-les François : * on
+les Français : on
-Ibben. 2. A. n est impossible. 3. A.
+Ibben. A. Il est impossible. A.
-même n*ont point
+même n’ont point
-la môme gaieté
+la même gaieté
-les François.
+les Français.
-où Ton pourroit trouver
+où l’on pourrait trouver
-dire, isolée.* Un
+dire, isolée. Un
-je m’entretenois là-dessus
+je m’entretenais là-dessus
-lâches aflbiblissent en
+lâches affaiblissent en
-par désespoir; qui,
+par désespoir ; qui,
-plus foible ;
+plus faible ;
-de i. A. C. Isolée
+de A.C. Isolée
-LETTRE XXXIV. 437 sa
+== LETTRES XXXIV. 437 == sa
-de l’être; qui,
+de l’être ; qui,
-sa bassesse? De
+sa bassesse ? De
-de zilhagé,’ 1113. 1. Zoul-hidjé,
+de zilhagé, 1713. Zoul-hidjé,
-de Tannée musulmane.
+de l’année musulmane.
-438 LETTRES PERSANES. LETTRE XXXV. USBEiC A
+== 43. LETTRES PERSANES == == LETTRE XXXV. == == USBEK A
-COUSIN DERYIS DU BRILLA>iT MONASTÈRE DB TAL’RIS. Que
+COUSIN == == DERVIS DU BRILLANT MONASTÈRE == == DE TAURIS. == Que
-sublime dervis? Crois-tu
+sublime dervis ? Crois-tu
-en enfer?* Je
+en enfer ? Je
-fait connoitre? Je
+fait connaître ? Je
-ces chrétiens; je
+ces chrétiens ; je
-s’ils avoient quelque
+s’ils avaient quelque
-qui étoit le
+qui était le
-hommes :* j’ai
+hommes : j’ai
-n’en avoient jamais
+n’en avaient jamais
-parler. . Ils
+parler. Ils
-1. A. C. Et
+1. A.C. Et
-enfer. 2. Expression d*un psaume
+enfer. Expression d’un psaume
-LETTRE XXXV. U9 prophètes faisoient passer
+139 == LETTRE XXXV == prophètes faisaient passer
-de Tépée, parce qu’ils refusoient de
+de l’épée, parce qu’ils refusaient de
-qui vivoient dans
+qui vivaient dans
-lumière vint éclairer
+lumière vînt éclairer
-générale. J’sd ouï
+générale. J’ai ouï
-Polygamie triomphante^ dans
+Polygamie triomphante, dans
-aux chrétiens.* Leur
+aux chrétiens. Leur
-dans refficacité qu’ils
+dans l’efficacité qu’ils
-mille i. Le
+mille Le
-est intitult^ Polygamia triumphatrix, idest discursus
+est intitulé Polygamia triumphatrix, id est discursus
-auctore Tbeophilo Aletheo,
+auctore Theophilo Aletheo,
-omnibus anti-i>olygamiSt ubique
+omnibus anti-polygamis, ubique
-1682, in-4’’. Quoique
+1682, in-4°. <p> Quoique
-Amsterdam. L’auteur
+Amsterdam. <p> L’auteur
-défendues k la
+défendues à la
-pages. L’auteur
+pages. <p> L’auteur
-John Lyser; le
+John Lyser ; le
-d’esprit. Sur
+d’esprit. <p> Sur
-Bayle, Dictionn,, art. Jean Lyser^ et OEwjreSy t.
+Bayle, Dictionn., art. Jean Lyser, et Œuvres, t.
-p. 256; Mccron, Mémoires,
+p. 256 ; Niceron, Mémoires,
-et suiv.; Brucker,Hi9f. phil, V,p.768; VI,
+et suiv. ; Brucker, Hist. phil., V, p.768 ; VI,
-440 LETTRES PERSANES. délices,
+140 ==LETTRES PERSANES == délices,
-Ils reconnoissent, comme nous, l’insuilisance de
+Ils reconnaissent, comme nous, l’insuffisance de
-sera consommé; les
+sera consommé ; les
-zilhagé, 1718.
+zilhagé, 1713.
-LETTRE XXXVI. 444 LETTRE XXXVI. USBEK A RHëDI. A VENISE. Le
+141. == LETTRE XXXVI. == == USBEK A RHEDI.== == A VENISE. == Le
-a une* où
+a une où
-mince qu’il* se
+mince qu’il se
-il s’agissoit de
+il s’agissait de
-vieux poète grec,’ dont,
+vieux poëte grec, dont,
-sa moit. Les
+sa mort. Les
-partis avouoient que c’étoit un poète 1. Le
+partis avouaient que c’était un poëte Le
-Procope, rendez-voas des
+Procope, rendez-vous des
-au xviii* siècle. 2. A.
+au XVIIIe siècle. A.
-et M’»« Dacier.
+et Mme Dacier.
-44S LETTRES PERSANES. excellent
+== 142. LETTRES PERSANES == excellent
-il n’étoit question
+il n’était question
-qu’il falloit lui
+qu’il fallait lui
-en vouloit donner
+en voulait donner
-uns faisoient meilleur
+uns faisaient meilleur
-Elle étoit bien vive; car
+Elle était bien vive ; car
-se disoit cordialement,
+se disait cordialement,
-on faisoit des
+on faisait des
-je n’admirois pas
+je n’admirais pas
-quelqu’un, disois-je en moi-même, étoit assez
+quelqu’un, disais-je en moi-même, était assez
-du poëte grec,
+du poète grec,
-ne seroit pas
+ne serait pas
-morts, s’embraseroit bien * pour
+morts, s’embraserait bien pour
-des vivants! Mais,
+des vivants ! Mais,
-soit, ajoutois-je, Dieu
+soit, ajoutais-je, Dieu
-ce poëte, que
+ce poète, que
-que seroit-ce, si
+que serait-ce, si
-fureur étoit animée
+fureur était animée
-d’un ennemi? Ceux
+d’un ennemi ? Ceux
-langue vulgaire; et
+langue vulgaire ; et
-langue barbare,’ qui
+langue barbare, qui
-des quartiers* où
+des quartiers où
-; il se
+; il[s] se
-où Ton devroit mourir
+où l’on devrait mourir
-a 1. A. S’eoibraseroit d*une bonne manière. ^1, Le
+a A. S’embraserait d’une bonne manière. Le
-et T Université.
+et l’Université.
-LETTRE XXXVL 443 VU une
+== LETTRES XXXVI. 143 == vu une
-entière, * chassée
+entière, chassée
-444 LETTRES PERSANES. LETTRE XXXVII. USBEK
+144. == LETTRE XXXVII. == == USBEK
-IBBEN. A SHYRNB. Le
+IBBEN. == == A SMYRNE. == Le
-est vieux.* Nous
+est vieux. Nous
-lui plairoit le mieux; tant
+lui plairait le mieux ; tant
-politique orientale.^ J’ai
+politique orientale. J’ai
-dix-huit ans,’ et une maltresse i. Louis XIV. n avoit alors
+dix-huit ans, et une maîtresse Louis XIV. Il avait alors
-et régnoit depuis
+et régnait depuis
-ans. 2. Des courtisans s*entretenoient devant Louis -XIV, qui n*avoit alors
+ans. Des courtisans s’entretenaient devant Louis XIV, qui n’avait alors
-maréchal d*Estrées, effrayé
+maréchal d’Estrées, effrayé
-de Tédition Dalibon,
+de l’édition Dalibon,
-ce ministre? Barbézieux,
+ce ministre ? Barbézieux,
-à dix-huit. De
+à dix huit. De
-LETTRE XXXVII. 445 qui
+== LETTRE XXXVII. 145 == qui
-a quatre-vingts; ^ il
+a quatre-vingts ; il
-la rigueur; * quoiqu’il
+la rigueur ; quoiqu’il
-les trophées’ et
+les trophées et
-la tète de
+la tête de
-qu’il auroit sujet
+qu’il aurait sujet
-la tète d’une
+la tête d’une
-n’en sauroit espérer,
+n’en saurait espérer,
-ne pourroit soutenir.
+ne pourrait soutenir.
-le seiTent ;
+le servent ;
-ses capitaines; souvent
+ses capitaines ; souvent
-des batsdlles ;
+des batailles ;
-des grâces; et,
+des grâces ; et,
-qui avoit fui
+qui avait fui
-en avoit ^ fui quatre. 11 est
+en avait fui quatre. Il est
-ses bâtiments; il
+ses bâtiments ; il
-son palais,’ que
+son palais, que
-; * ses 1. M"* de
+; ses Mme de
-secrètement. 2. Les Jaasénistes. 3. A Versailles. 4. Le
+secrètement. Les jansénistes. A Versailles. Le
-446 LETTRES PERSANES. années sont
+== 146. LETTRES PERSANES. == armées sont
-aussi inépuisables.^ De
+aussi inépuisables. De
-de U lune
+de la lune
-maharram, niS. i. On
+maharram, 1713. On
-à Montesquiea sa
+à Montesquieu sa
-du xviii* siècle
+du XVIIIe siècle
-grand roi; on n*a qu’à
+grand roi ; on n’a qu’à
-; nuds Montesquieu
+; mais Montesquieu
-idées arrè« tées sur ce règne qui
+idées arrêtées sur ce régne qui
-Louis XV; on
+Louis XV ; on
-les Prnisées divenes de Tauteur. Louis
+les Pensées diverses de l’auteur. <p> « Louis
-ni guerrier; il avoit les
+ni guerrier ; il avait les
-et Tair d’un
+et l’air d’un
-qui Joue le prince s les
+qui joue le prince : les
-craignant Tesprit; sérieux
+craignant l’esprit ; sérieux
-attachement foible à
+attachement faible à
-force d*esprit dans les succès; de
+force d’esprit dans les succès ; de
-la religion; et on Tempêcha toute
+la religion ; et on l’empêcha toute
-de connoître ni Tune ni
+de connaître ni l’une ni
-Il n*anroit eu
+Il n’aurait eu
-défauts, sUl avoit été
+défauts, s’il avait été
-s’il avoit eu
+s’il avait eu
-Il avoit T&me plus
+Il avait l’âme plus
-que Tesprît; M™" de Maintenon abaissoit sans
+que l’esprit ; Mme de Maintenon abaissait sans
-cette àme pour
+cette âme pour
-LETTRE XXXVIII. 447 LETTRE XXXVIU. BiCA A IBBEN. A SIITK2VE. C’est
+147 == LETTRE XXXVIII. == == RICA A IBBEN. == == A SMYRNE. == C’est
-liberté, qpe de
+liberté, que de
-l’empire cpie la
+l’empire que la
-ne sauroient être
+ne sauraient être
-passions satisfaites; que
+passions satisfaites ; que
-à nous; qu’une
+à nous ; qu’une
-à craindre; qu’un
+à craindre ; qu’un
-la coiTuption. Peut-être
+la corruption. Peut-être
-moi, seroit embarrassé
+moi, serait embarrassé
-148 LETTRES PERSANES. propres
+== 148. LETTRES PERSANES. == propres
-de Tinfidélité de
+de l’infidélité de
-il faudroit qu’il
+il faudrait qu’il
-le monde; ils
+le monde ; ils
-me disoit l’autre
+me disait l’autre
-véritable tyrann ie ;
+véritable tyrannie ;
-qui dévoient sans
+qui devaient sans
-un privilège? Est-ce
+un privilége ? Est-ce
-plus forts? Mais
+plus forts ? Mais
-forces seroient égales,
+forces seraient égales,
-l’éducation l’étoit aussi.
+l’éducation l’était aussi.
-point afibiblis, et
+point affaiblis, et
-LETTRE XXXVIII. 449 les
+== LETTRE XXXVIII. 149 == les
-l’honneur d’Isîs; et
+l’honneur d’Isis ; et
-On dîsoît des
+On disait des
-qu’ils commandoient à
+qu’ils commandaient à
-mais quils obéissoient à
+mais qu’ils obéissaient à
-Sauromates, ^ qui étoient véritablement
+Sauromates, qui étaient véritablement
-; * ils étoient trop
+; ils étaient trop
-cher Ibben,’ que
+cher Ibben, que
-réglé lea droits
+réglé les droits
-elles. Dn Paris,
+elles. De Paris,
-gemmadi 8, 1713. f. Hérodote,
+gemmadi 2, 1713. Hérodote,
-110-147. S. A. C. Dans la servitude
+110-147. A.C. Dans le servitude
-sexe. 3. A. C. Tu
+sexe. A.C. Tu
-150 LETTRES PERSANES. LETTRE XXXIX. HAGI 1 IBBI,
+150 == LETTRE XXXIX. == == HAGI == == IBBI,
-BEN JOSUÉ, PKOliLTTB MABOUiTAIV. A SMTBNE. Il
+BEN JOSUÉ,== == PROSÉLYTE MAHOMÉTAN. == == A SMYRNE. == Il
-nature souffroit une
+nature souffrait une
-providence, avoit résolu,
+providence, avait résolu,
-qu’il étoit descendu
+qu’il était descendu
-la circoncision.’ Il
+la circoncision. Il
-(M.) 2. A. C. Que
+(M.) A.C. Que
-ne fût livré
+ne fut livré
-LETTRE XXXIX. 454 visage
+== LETTRE XXXIX. 151 == visage
-se prosternèrent; les
+se prosternèrent ; les
-furent renversés; Lucifer
+furent renversés ; Lucifer
-la mer; et
+la mer ; et
-de Tablme, et
+de l’abîme, et
-mont Gabès, d’où,
+mont Cabès, d’où,
-terme ^ entre
+terme entre
-qui disoit ces
+qui disait ces
-d’Isben Âben, historien
+d’Isben Aben, historien
-oiseaux disoient, dans
+oiseaux disaient, dans
-gazouillements, (pi’il étoit plus
+gazouillements, qu’il était plus
-qu’ils rélevassent, parce qu’ils pouvoient plus
+qu’ils l’élevassent, parce qu’ils pouvaient plus
-vents murmuroient, et disoient :
+vents murmuraient, et disaient :
-non, disoient les nuées, non; c’est
+non, disaient les nuées, non ; c’est
-indignés s’écrioient :
+indignés s’écriaient :
-à faire? Mais
+à faire ? Mais
-point ôtc d’entre
+point ôté d’entre
-nt LETTRES PERSANES. Après
+152 == LETTRES PERSANES == Après
-si éclatants,^ mon
+si éclatants, mon
-Que pouvoit faire
+Que pouvait faire
-de renverser* la
+de renverser la
-qu’il vouloit convaincre
+qu’il voulait convaincre
-De PariB, le
+De Paris, le
-rhégeb, 1718. 1. A.
+rhégeb, 1713. A.
-éclatants. 2, A. G. A
+éclatants. A. C. A
-LETTRE XL. 493 LETTRE XL. USBEK
+153 == LETTRE XL. == == USBEK
-IBBEN. A SMYRIS’E. Dès
+IBBEN. == == A SMYRNE. == Dès
-on seroit bien
+on serait bien
-Je voudrois bannir
+Je voudrais bannir
-fait parottre à
+fait paraître à
-va faire? Nous
+va faire ? Nous
-nous réjouir; nous
+nous réjouir ; nous
-le Mogol,^ qui,
+le Mogol, qui,
-faire peser* comme un bœuf; quand
+faire peser comme un bœuf ; quand
-de i. Le
+de Le
-Mogol, souveraia des
+Mogol, souverain des
-2. A. Et
+2. Et
-454 LETTRES PERSANES. ce
+== 154. LETTRES PERSANES == ce
-la loue de
+la lune de
-LETTRE XLI. 455 LETTRE XLL LE
+155 == LETTRE XLI. == == LE
-USBEK. Ismaêl, un
+USBEK. == Ismaël, un
-magnifique seigneur; et
+magnifique seigneur ; et
-remplacer. Gomme les
+remplacer. Comme les
-présent, j’avoîs pensé
+présent, j’avais pensé
-à soulTrir qu’on
+à souffrir qu’on
-emploi. Gomme je
+emploi. Comme je
-les ^services qui
+les services qui
-même regarder; mais
+même regarder ; mais
-on avoit voulu
+on avait voulu
-avoir faîtes de moi. Gependant je
+avoir faites de moi. Cependant je
-pieds. Da sérail
+pieds. Du sérail
-Fatmé, le 7 do la
+Fatmé, la 7 de la
-de maharram^ 1713.
+de maharram, 1713.
-456 LETTRI£S PERSANES. LETTRE XLII. PHARAN
+156 == LETTRE XLII. == == PHARAN
-USBEK, SON
+USBEK, == == SON
-SEIGNEUR. Si tu étois ici,
+SEIGNEUR. == Si tu étais ici,
-je parottrois à
+je paraîtrais à
-en auroit pas assez ^ pour
+en aurait pas assez pour
-mille fpis laisser
+mille fois laisser
-en moimême :
+en moi-même :
-me croyois pas
+me croyais pas
-grandes misères; mais
+grandes misères ; mais
-LETTRE XLIf. 467 à
+== LETTRE XLII. 157 == à
-femmes sacrées; c’est-à-dire,
+femmes sacrées ; c’est-à-dire,
-qui seroit pour
+qui serait pour
-je mourrois de
+je mourrais de
-ne mourois pas
+ne mourais pas
-de Patmé, le
+de Fatmé, le
-de mahamm, 713*
+de maharram, 1713.
-458 LETTRES PERSANES. LETTRE XLIII. USBEK
+158 == LETTRE XLIII. == == USBEK
-PHARAN. AUX
+PHARAN. == == AUX
-DE FATHÉ. Recevez
+DE FATMÉ.== Recevez
-et reconnoissez ces sacrés caractères; faites-les
+et reconnaissez ces sacrés caractères ; faites-les
-: * dites-leur
+: dites-leur
-me manque.* Acquittez-vous
+me manque. Acquittez-vous
-rhégeb, 1718. 1.
+rhégeb, 1713. 1.
-défends dé mettre
+défends de mettre
-vous Jusques à
+vous jusques à
-retour. S. A. G. L’eunuque
+retour. 2. A. C. L’eunuque
-LETTRE XLiV. 439 LETTRE XLIV. USBEK A RHEDI. A VENISE. Il
+159 == LETTRE XLIV. == == USBEK A RHEDI.== == A VENISE. == Il
-: ^ l’église,
+: l’église,
-l’on devroit mépriser
+l’on devrait mépriser
-ont choisi; chacun
+ont choisi ; chacun
-le ilt gouverneur
+le fît gouverneur
-vaisseau françois ayant
+vaisseau français ayant
-quelques honmnes de
+quelques hommes de
-qui rendoit la
+qui rendait la
-ses 1. ÉUts pririlégiés.
+ses États privilégiés.
-460 LETTRES PERSANES. sujets
+== 160. LETTRES PERSANES. == sujets
-Il étoit sur
+Il était sur
-il avoit trois
+il avait trois
-le couvroit de
+le couvrait de
-femme, consistoient en
+femme, consistaient en
-on parloit beaucoup
+on parlait beaucoup
-France. 11 croyoit que
+France. Il croyait que
-nom devoît être
+nom devait être
-qu’il avoit fait
+qu’il avait fait
-il croyoit, lui, qu’il devoit faire
+il croyait, lui, qu’il devait faire
-kan ^ de
+kan de
-leur semble; et
+leur semble ; et
-qui n*a pas
+qui n’a pas
-LETTRE XLV. 161 LETTRE XLV. RICA
+161 == LETTRE XLV. == == RICA
-USBEK. A *• Hier
+USBEK. == == A ***. == Hier
-comme j’étois au
+comme j’étais au
-qui j’avois lié
+qui j’avais lié
-habillement étoit beaucoup
+habillement était beaucoup
-travers n’avoit pas
+travers n’avait pas
-été peignée; il n’avoit pas
+été peignée ; il n’avait pas
-il avoit renoncé,
+il avait renoncé,
-il avoit coutume
+il avait coutume
-hôtel * deux
+hôtel deux
-s’en falloit, mon
+s’en fallait, mon
-Commençons, dît-il, par acheter^ un
+Commençons, dit-il, par acheter un
-déplaça-t-il pas.’ Je révois sur tout ceci; et, quand j’examinois cet
+déplaça-t-il pas. Je rêvais sur tout ceci ; et, quand j’examinais cet
-je trouvoîs en
+je trouvais en
-de pauvreté; de
+de pauvreté ; de
-ne savois que
+ne savais que
-à part,* je
+à part, je
-tout cela? Moi,
+tout cela ? Moi,
-: ^ venez
+: venez
-ma chambre; je
+ma chambre ; je
-Je le’ suis.
+Je le suis.
-qui étoit un
+qui était un
-n’y avoit que
+n’y avait que
-trois douzsdnes de bassins; de
+trois douzaines de bassins de
-jour étoit venu, qui devoit me
+jour était venu, qui devait me
-liqueur vermeille? Elle
+liqueur vermeille ? Elle
-que 1. A. G. Commençons
+que A. C. Commençons
-établissons d*abord réqoipage. 2. A. Mais aussi. 3. Je
+établissons d’abord l’équipage. Mais aussi. Je
-ne débours€^-il pas, 4. A.
+ne déboursa-t-il pas. A.
-à quartier* 5. A. G. Moi,
+à quartier. A. C. Moi,
-Raimond LuUe* et
+Raimond Lulle et
-cher Dsbek. J’irai
+cher Usbek. J’irai
-rhégeb, 1718. 1. Nicolas
+rhégeb, 1713. Nicolas
-les enTÎeux de
+les envieux de
-464 LETTRES PERSANES. LETTRE XLVL USBEK A RHEDI.i A VENISE. Je
+164. LETTRES PERSANES. USBEK À RHEDI.|LETTRE XLVI à venise. Je
-meilleurs citoyens; et
+meilleurs citoyens ; et
-qu’il professe? Mais
+qu’il professe ? Mais
-6 Juin 1753. A Tépoque où
+6 juin 1753. À l’époque où
-chez Tauteur une
+chez l’auteur une
-aimant aussi; c’est-à-dire,
+aimant aussi ; c’est-à-dire,
-sous lesquelles ils
+sous les quelles ils
-sûr ^ de
+sûr de
-telle cérénionie :
+telle cérémonie :
-a commandées; mais
+a commandées ; mais
-grande discussion; on
+grande discussion ; on
-les cérémonies’ d’une relipon entre
+les cérémonies d’une religion entre
-homme faisoit tous
+homme faisait tous
-: Seigneur,
+: « Seigneur,
-je voudrois vous
+je voudrais vous
-en quelle langue
+en qu’elle langue
-en quelle posture
+en qu’elle posture
-prier debout; l’autre
+prier debout ; l’autre
-: ’ trois
+: trois
-qui étoient auprès
+qui étaient auprès
-trois 1. A. G. Oa est
+trois A.C. On est
-plus sûr par
+plus sur par
-etc. 3. A. Carayanséraî.
+etc. A. Caravansérai.
-vous avois grièvement offensé; l’un,* parce
+vous avais grièvement offensé ; l’un, parce
-animal étoit immonde
+animal était immonde
-l’autre, ’ parce qu’il étoit étouffé
+l’autre, parce qu’il était étouffé
-l’autre enfin,’ parce qu’il n’étoit pas poisson. Dn brachmane qui passoit par
+l’autre enfin, parce qu’il n’était pas poisson. Un brachmane qui passait par
-que savezvous si
+que savez-vous si
-père n’étoit pas
+père n’était pas
-cette béte? Toutes ces choses. Seigneur,
+cette bête ? Toutes ces choses, Seigneur,
-vous offenser; cependant je voudrois vous
+vous offenser ; cependant je voudrais vous
-me trompe; maïs je
+me trompe ; mais je
-m’avez donnée, u De
+m’avez donnée. » De
-LETTRE XLVIl. 467 LETTRE XLVIL ZACHI A USBËK. J’ai
+LETTRE XLVII. 167 ZACHI À USBEK.|LETTRE XLVII. à paris. J’ai
-à l’apprendre :
+à t’apprendre :
-avec Zéphis; le
+avec Zéphis ; le
-trouvèrent aussi; elles étoient venues
+trouvèrent aussi ; elles étaient venues
-nous mimes quatre
+nous mîmes quatre
-partie avoit été
+partie avait été
-: ’ mais
+: mais
-une i. Courouc
+une Courouc
-Et c*est à
+Et c’est à
-nous empêchoit d’être
+nous empêchait d’être
-rivière étoit pleine
+rivière était pleine
-nous fumes au
+nous fûmes au
-si afi’reux couvrit
+si affreux couvrit
-désespérer. Efi’rayées de
+désespérer. Effrayées de
-uns disoient qu’il falloit nous
+uns disaient qu’il fallait nous
-qu’il mourroit plutôt
+qu’il mourrait plutôt
-qu’il enfonceroit un
+qu’il enfoncerait un
-qui feroit des
+qui ferait des
-elle étoit sortie.
+elle était sortie.
-fut passé.* Que
+fut passé. Que
-femmes I Les
+femmes ! Les
-menacent 1. A. C. Que
+menacent 1.A.C. Que
-LETTRE XLVII. 169 leur vie; et
+{{nr||LETTRE XLVII.|169}} leur vie ; et
-de Patmé, le 8 de la laoe de rbamazan, 1713.
+de Fatmé, le 2 de la lune de rhamazan, 1713.
-PERSANES. LETTRE XLVIII. USBEK A RHEDI. Ceux
+PERSANES. USBEK À RHEDI.|LETTRE XLVIII. à venise. Ceux
-à examiner; j’écris
+à examiner ; j’écris
-moindres objets.* Tu
+moindres objets. Tu
-le croirois pas
+le croirais pas
-les François n’imaginent
+les Français n’imaginent
-les détrompe.* 1. Montesquieu
+les détrompe. Montesquieu
-peint lui-môme dans
+peint lui-même dans
-passage. 2. A. Us valent
+passage. A. ils valent
-que j’étois, je n’avois rien
+que j’étais, je n’avais rien
-y abordoient sans
+y abordaient sans
-me présentoient toujours
+me présentaient toujours
-de nouveau.^ Je
+de nouveau. Je
-à moi; de
+à moi ; de
-lui disje, plus
+lui dis-je, plus
-de politesse; mais
+de politesse ; mais
-ne saurois démêler.
+ne saurais démêler.
-la torture; et
+la torture ; et
-les devinerois de mille ans;* ils
+les devinerais de mille ans ; ils
-vous souhaiterez; d’autant
+vous souhaiterez ; d’autant
-confiance. 1. A. G. Que d’étadier, selon
+confiance. A. C. Que d’étudier, selon
-y abordoit sans
+y abordait sans
-me présentoient, etc. 2. A.
+me présentaient, etc. A.
-cents fois; et
+cents fois  ; et
-les devinerois de
+les devinerais de
-Qui esV cet
+Qui est cet
-si difficile? Il
+si difficile ? Il
-de qualité; et
+de qualité ; et
-suis étranger; mais
+suis étranger ; mais
-de celle-là; est-ce
+de celle-là ; est-ce
-Cet homme , me
+Cet homme, me
-un fermier; * il
+un fermier ; il
-sa naissance; il auroit la
+sa naissance ; il aurait la
-de Paris’ s’il pouvoit se
+de Paris s’il pouvait se
-chez lui; il
+chez lui ; il
-vous voyez; mais
+vous voyez ; mais
-son cuisinier; aussi
+son cuisinier ; aussi
-pas ingrat; car
+pas ingrat ; car
-auprès d’elle? Comment
+auprès d’elle ? Comment
-si fleuri? Il
+si fleuri ? Il
-lui parle; sa
+lui parle ; sa
-il connolt le foible des
+il connaît le faible des
-sien. Comment! dis-je,
+sien. Comment ! dis-je,
-la grâce? Non,
+la grâce ? Non,
-me répondit-il; à
+me répondit-il ; à
-plus i. A. Qu*e8t cet homme. 2. Fermier général. 3. C’est-à-dire
+plus A. Qu’est cet homme. Fermier général. C’est-à-dire
-sa chute; il
+sa chute ; il
-en public; mais
+en public ; mais
-lui. Gomment I si
+lui. Comment ! si
-le distingue? C’est
+le distingue ? C’est
-du monde; il
+du monde ; il
-excellent. * Mais,
+excellent. Mais,
-des autres; qui
+des autres ; qui
-de l’esprit? C’est,
+de l’esprit ? C’est,
-un poète, et
+un poëte, et
-qu’ils sont; cela
+qu’ils sont ; cela
-leur vie , c’est-à-dire
+leur vie, c’est-à-dire
-les hommes; aussi
+les hommes ; aussi
-les épargnet-on point; on
+les épargne-t-on point ; on
-pleines mains.* La
+pleines mains. La
-la maltresse, dont
+la maîtresse, dont
-de personne; il
+de personne ; il
-goûtent 1. A. G*est un
+goûtent A. C’est un
-excellent. % « Poëte, mauvais
+excellent. « Poète, mauvais
-Mémoires, U I,
+Mémoires, t. I,
-être troublée; ils
+être troublée ; ils
-le monde; il
+le monde ; il
-de monde; ce
+de monde ; ce
-qu’ils ont^ quelquefois
+qu’ils ont quelquefois
-les désapprouve: il
+les désapprouve : il
-les hommes* tels qu’ils sont; les
+les hommes tels qu’ils sont ; les
-plus raffinés; et
+plus raffinés ; et
-plus dangereux.^ Et
+plus dangereux. Et
-a Vair si chagrin? Je
+a l’air si chagrin ? Je
-un étranger; car,
+un étranger ; car,
-ne jouît, au
+ne jouit, au
-a faites; il
+a faites ; il
-passeront 1 . A. G. Ce
+passeront A. C. Ce
-fait qu*il y
+fait qu’il y
-etc. 2. A. G. n faut
+etc. A. C. Il faut
-les g^ns tels
+les gens tels
-sont. 3. A. G. Les gens qu*on dit
+sont. A. C. Les gens qu’on dit
-ne son souvent
+ne son[t] souvent
-et peut-ôtre quMl en
+et peut-être qu’il en
-des doisons, etc.
+des d[p]oisons, etc.
-XLVIII. 475 après eux. Maïs pourquoi, dis-je, a-t-îl quitté le service? Il ne Ta point
+XLVIII. 175 après eux. Mais pourquoi, dis-je, a-t-il quitté le service ? Il ne l’a point
-me répondit-il; mais
+me répondit-il ; mais
-service Ta quitté; on Ta employé
+service l’a quitté ; on l’a employé
-où îl racontera ses aventures* le
+où il racontera ses aventures le
-ses jours; mais
+ses jours ; mais
-plus loin; le
+plus loin ; le
-Et pourquoi?* lui
+Et pourquoi ? lui
-emplois subalternes; nous
+emplois subalternes ; nous
-s’est rétréci’ dans les détails; et
+s’est rétréci dans les détails ; et
-aura jamais; que
+aura jamais ; que
-coup d’œîl qui
+coup d’œil qui
-tout d’an coup
+tout d’un coup
-génie héroïque; et
+génie héroïque ; et
-qu’ils s’affoiblissent. Un
+qu’ils s’affaiblissent. Un
-vous 1. A. G. Où
+vous A. C. Où
-ses Jours. 2. A. G. Et
+ses jours. A. C. Et
-lui dis-je? 3. A. G. Dont l*esprit s^est comme
+lui dis-je ? A. C. Dont l’esprit s’est comme
-par uoe habitude
+par une habitude
-tant d’impertinence? D’où
+tant d’impertinence ? D’où
-au monde? C’est
+au monde ? C’est
-d’autres sortirent; on se leva; quelqu’un
+d’autres sortirent ; on se leva ; quelqu’un
-de moi; et
+de moi ; et
-: 11 fait beau; voudriez-vous,
+: Il fait beau ; voudriez-vous,
-le parterre? Je
+le parterre ? Je
-bonne humeur;^ mais qu’y faire? Je
+bonne humeur ; mais qu’y faire ? Je
-à garder; car,
+à garder ; car,
-Non, monsieur; je
+Non, monsieur ; je
-perte. ’ Nous
+perte. Nous
-plus i. A. G. Qui
+plus A. C. Qui
-peu forcée; mais
+peu forcée ; mais
-sa perte; c’est
+sa perte ; c’est
-LETTRE XLVIII. 477 considéré qu un grave
+{{nr||LETTRE XLVIII.|177}} considéré qu’un grave
-en Perae, vous
+en Perse, vous
-ces avantages; vous
+ces avantages ; vous
-au visage; et
+au visage ; et
-je n’aurois pu m’empécher de
+je n’aurais pu m’empêcher de
-dis-tu d*un pays
+dis-tu d’un pays
-tel métier? Où
+tel métier ? Où
-la considération? Où
+la considération ? Où
-plus saintes? Heureux
+plus saintes ? Heureux
-nos femmes; nos
+nos femmes ; nos
-qu’il paroit dans
+qu’il paraît dans
-noir Occident! De
+noir Occident ! De
-5 do la
+5 de la
-de rbamazan, 1713. 4S
+de rhamazan, 1713
-\1S LETTRES PERSANES. LETTRE XLIX.
+{{nr|178|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE XLIX.
-USBEK. Étant
+USBEK. A ***. Étant
-barbe descendoit jusqu’à
+barbe descendait jusqu’à
-de corde; il avoit les pieds nus; son habit étoit gris,
+de corde ; il avait les pieds nus ; son habit était gris,
-si bizaiTe que
+si bizarre que
-idée fût d’envoyer
+idée fut d’envoyer
-fantaisie. * Il
+fantaisie. Il
-qu’il étoit homme
+qu’il était homme
-Casbin, * pour
+Casbin, pour
-en Perse? Moi, monsieur! me dit-il; je
+en Perse ? Moi, monsieur ! me dit-il ; je
-ne troquerois pas
+ne troquerais pas
-me demandez -vous 1. Un croquis. 2. Ville
+me demandez-vous Un croquis. Ville
-V. inf,, lettre XCIIT.
+V. inf., lettre XCIII.
-LETTRE XLIX. 179 donc? C’est,
+{{nr||LETTRE XLIX.|179}} donc ? C’est,
-y enverroient deux
+y enverraient deux
-les connoissez apparemment, lui disje, ces religieux? Non,
+les connaissez apparemment, lui dis-je, ces religieux ? Non,
-les connois pas. Eh morbleu! que
+les connais pas. Eh morbleu ! que
-en Perse? C’est
+en Perse ? C’est
-deux capucins! Cela
+deux capucins ! Cela
-rhamazan, 1718.
+rhamazan, 1713.
-480 LETTRES PERSANES. LETTRE L, RICA A ♦♦* Tai vu
+{{nr|180|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE L. RICA A ***. J’ai vu
-vertu étoit si
+vertu était si
-se faisoit pas
+se faisait pas
-ils s’attachoient à
+ils s’attachaient à
-s’y portoient comme par instinct; bien
+s’y portaient comme par instinct ; bien
-il sembloit qu’elles n’avoient pas
+il semblait qu’elles n’avaient pas
-que j’aime; non
+que j’aime ; non
-de Tétre, et
+de l’être, et
-faire paroitre un
+faire paraître un
-qui déshonoreroit les
+qui déshonorerait les
-grands hommes? Je
+grands hommes ? Je
-vos yeux; ils
+vos yeux ; ils
-jamais. Oh! que
+jamais. Oh ! que
-elle part!
+elle part !
-ses talents; mais,
+ses talents ; mais,
-qui paroissoit assez
+qui paraissait assez
-conversations. Quoi! toujours
+conversations. Quoi ! toujours
-à eux? Vous
+à eux ? Vous
-reprit brusque-» ment notre discoureur; il
+reprit brusquement notre discoureur ; il
-comme moi; je
+comme moi ; je
-loue jamais; j’ai
+loue jamais ; j’ai
-tout cela; si
+tout cela ; si
-modestie. J’admirois cet impertinent; et
+modestie. J’admirais cet impertinent ; et
-qu’il parloit tout
+qu’il parlait tout
-je disois tout
+je disais tout
-de lui; qui
+de lui ; qui
-le 80 do la
+le 20 du[e] la
-de rhamaxan, 1718.
+de rhamazan, 1713.
-\Sl LETTRES PERSANES. LETTRE LI.
+{{nr|182|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE LI.
-EN MOSGOVIE, Â USBEK. A PARIS* On
+EN MOSCOVIE, A USBEK. A PARIS. On
-tu avoîs quitté
+tu avais quitté
-tu étois actuellement
+tu étais actuellement
-Pourquoi faut- il que
+Pourquoi faut-il que
-par toi? Les
+par toi ? Les
-rois * me
+rois me
-mille lieues* depuis
+mille lieues depuis
-du c^té de
+du côté de
-le maitre absolu
+le maître absolu
-pour marchepied,’ ne
+pour marchepied, ne
-ne croiroit 1 . Boi des
+ne croirait Roi des
-Perse. 2. A. G. Deux
+Perse. A. C. Deux
-ce fut une
+ce fût une
-dès qu*un grand
+dès qu’un grand
-aux Moscovites, Us ont
+aux Moscovites. Ils ont
-la baise; et
+la baise ; et
-fouettera [)as; cependant
+fouettera pas ; cependant
-ne sauroit croire
+ne saurait croire
-être battues;* elles
+être battues ; elles
-: Ma
+: « Ma
-mère, Je
+mère, « Je
-je n*aie fait
+je n’aie fait
-je n*ai jamais
+je n’ai jamais
-Hier, j*avois mille
+Hier, j’avais mille
-me battroit bien fort; mais
+me battrait bien fort ; mais
-la bat* tous les jours; elle
+la bat tous les jours ; elle
-ne Tassomme soudain
+ne l’assomme soudain
-du monde, C’est
+du monde. « C’est
-(M.) Cotte note n^est pas
+(M.) Cette note n’est pas
-première (’’dition. 2. A. Ia roue
+première édition. A. La roue
-enrager, qu*ll faudra bien quMl me
+enrager, qu’il faudra bien qu’il me
-marques d*amitié. Il
+marques d’amitié. Il
-chiquenaude qu*il me
+chiquenaude qu’il me
-qu’on sMmagine quMl y
+qu’on s’imagine qu’il y
-de bon; et
+de bon ; et
-voisin venoit au
+voisin venait au
-je Tétranglerois. Je
+je l’étranglerais. Je
-homme, n’agissoit pas de même; et
+homme, n’agissait pas de même ; et
-lorsque j’étois petite
+lorsque j’étais petite
-me sembloit quelquefois
+me semblait quelquefois
-vous aimoit trop.
+vous aimait trop.
-de Tenopire, fut-ce pour voyager.* Ainsi,
+de l’empire, fut-ce pour voyager. Ainsi,
-ne croyoient pas
+ne croyaient pas
-avoir d’autres.* Mais
+avoir d’autres. Mais
-qui règne à présent’ a
+qui régne à présent a
-tout changer; il
+tout changer ; il
-leur ignorance.* Il
+leur ignorance. Il
-connue d’ellemême. Inquiet,
+connue d’elle-même. Inquiet,
-ce 8eroit pour voyager. 2. A.
+ce seroit pour voyager. A.
-possible qu*on en pût avoir d’autres. 3. Pierre
+possible qu’on pût en avoir d’autre. Pierre
-à rétablissement de rimprimeric. (Note
+à l’établissement de l’imprimerie. (Note
-ne pouvoient le
+ne pouvaient le
-cher tsbek. Donne-moi
+cher Usbek. Donne-moi
-486 LETTRES PERSANES. LETTRE LU. RICA A USBEK. A •". J’étols l’autre
+{{nr|186|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE LII. RICA A USBEK A ***. J’étais l’autre
-y avoit là
+y avait là
-les âges; une
+les âges ; une
-qui avoit une
+qui avait une
-à vingt-deux.* Un
+à vingt-deux. Un
-à Toreille :
+à l’oreille :
-la jolie? Elle
+la jolie ? Elle
-lui dis-je; c’est
+lui dis-je ; c’est
-sa toilette? C’est
+sa toilette ? C’est
-lui dis-je; et
+lui dis-je ; et
-la plaignois dans
+la plaignais dans
-si ridicule? Voyez
+si ridicule ? Voyez
-et 1. A. C. Une
+et A.C. Une
-qui pouvoit en avoir
+qui pouvait avoir
-LETTRE LU. 487 elle y réussit; car
+LETTRE LII. 187 elle y réussit ; car
-l’enfance. Âh, bon Dieu! dis-je
+l’enfance. Ah, bon Dieu ! dis-je
-des autres? C’est
+des autres ? C’est
-bonheur, disois-je ensuite,
+bonheur, disais-je ensuite,
-les foiblesses d’ autrui. Cependant j’étois en
+les faiblesses d’autrui. Cependant j’étais en
-même âge/ Vraiment,
+même âge. Vraiment,
-lorsque Tune mourra, Tautre devra
+lorsque l’une mourra, l’autre devra
-m’y voilà; continuons.
+m’y voilà ; continuons.
-votre nièce? Vous
+votre nièce ? Vous
-jeune qu’elle; elle
+jeune qu’elle ; elle
-qui paroissent sur votre teint... Attendez,
+qui paraissent sur votre teint… Attendez,
-sa tante; mais
+sa tante ; mais
-mère avoit, pour
+mère avait, pour
-même lit; j’ai
+même lit ; j’ai
-le disois bien,
+le disais bien,
-je n’avois pas
+je n’avais pas
-étonné. 1. A. G. Deux
+étonné. A. C. Deux
-âgées Tanc t]ue l’autre.
+âgées l’une que l’autre.
-agréments, voudroient reculer
+agréments, voudraient reculer
-jeunesse. Eh! comment ne chercheroient-elles pas
+jeunesse. Eh ! comment ne chercheraient-elles pas
-les autres? Elles
+les autres ? Elles
-les idées.* Do Paris,
+les idées. De Paris,
-la luoe de chalTal, 1713. 1. A.
+la lune de chalval, 1713. A.
-elles-mêmes ot pour
+elles-mêmes et pour
-LETTRE LUI. 489 LETTRE LUI. ZÉLIS
+{{nr||LETTRE LIII.|189}} |LETTRE LIII. ZÉLIS
-USBEK. Jamais
+USBEK. A PARIS. Jamais
-de Gosrou, eunuque
+de Cosrou, eunuque
-pourquoi ferois-jede la
+pourquoi ferais-je de la
-sa mère* n’en
+sa mère n’en
-elle-même paroît satisfaite de ridée de
+elle-même paraît satisfaite de l’idée de
-de Tombre vaine
+de l’ombre vaine
-lui présente? Que
+lui présente ? Que
-la jalousie; qui
+la jalousie ; qui
-n’est plus; qui,
+n’est plus ; qui,
-sa condition? Et
+sa condition ? Et
-les fantômes? ne
+les fantômes ? ne
-pour imaginer? se
+pour imaginer ? se
-les plaisirs? languis 1. La
+les plaisirs ? languissante La
-490 LETTRES PERSANES. santé dans
+{{nr|190|LETTRES PERSANES.}} dans
-ses regrets? Quel
+ses regrets ? Quel
-pour posséder? Je
+pour posséder ? Je
-est inconnue; que
+est inconnue ; que
-ses pertes; qu’elle
+ses pertes ; qu’elle
-leur condition; qu’on
+leur condition ; qu’on
-cela étoit, je trouverois Zélide
+cela était, je trouverais Zélide
-la lane de chalval, 1718.
+la lune de chalval, 1713.
-LETTRE LIV. 494 LETTRE LIV.
+{{nr||LETTRE LIV.|191}} |LETTRE LIV.
-A CSBEK. A ••• J’étois ce
+A USBEK. A ***. J’étais ce
-chambre, qui,^ comme
+chambre, qui, comme
-plusieurs endroits; de sorte* qu’on
+plusieurs endroits ; de sorte qu’on
-se promenoit à
+se promenait à
-pas, disoit à
+pas, disait à
-parole. J’avois préparé
+parole. J’avais préparé
-: j’avois un
+: j’avais un
-on Tavoit fait exprès :’ j’ai
+on l’avait fait exprès : j’ai
-si Je Tavois fait
+si je l’avais fait
-un sot; il
+un sot ; il
-Hier, j’avois espéré
+Hier, j’avais espéré
-imposent point,’ et je devois dire
+imposent point, et je devais dire
-te dise? la
+te dise ? la
-une pensée,* reprit
+une pensée, reprit
-de l’esprit; associons-nous
+de l’esprit ; associons-nous
-parler :’ et
+parler : et
-l’attirerons nous-mêmes; et
+l’attirerons nous-mêmes ; et
-s’y attendoit pas,
+s’y attendait pas,
-bien 1. A. G. Ne mMmposent point. 2. A. G. Il
+bien A. C. Ne m’imposent point. A. C. Il
-dans ridée une chose, reprît l’autre. 3. A. G. Nous nousdirons chacun tous lesjours deqaoi nous devons parler.
+dans l’idée une chose, reprit l’autre. A. C. Nous nous dirons chacun tous les jours de quoi nous voulons parler.
-J’y étois quand
+J’y étais quand
-; c’étoit dans
+; c’était dans
-de là; à merveille; quelle présence d’esprit! voilà
+de là ; à merveille ; quelle présence d’esprit ! voilà
-bataille I Mais
+bataille ! Mais
-étions escarmouches la veille.^ Il
+étions escarmouchés la veille. Il
-à Tusage de
+à l’usage de
-veulent contrefaire; tout
+veulent contrefaire ; tout
-une attention; c’est
+une attention ; c’est
-bon mot,’ il
+bon mot, il
-semer partout; sans
+semer partout ; sans
-l’entend. ’ Il
+l’entend. Il
-incognito ^ et
+incognito ; et
-ton art; tu
+ton art ; tu
-Ce n*est pas
+Ce n’est pas
-dire an boa mot: il
+dire un bon mot : il
-partout. 3. A. Qui Tattead. 43
+partout. A. Qui l’attend.
-même ;’ et
+même ; et
-la lane de
+la lune de
-1714. 1. A. G. Tu
+1714. A. C. Tu
-même. Ne faadrait-il pas
+même. <p> Ne faudrait-il pas
-de même? On
+de même ? On
-point 1*1 et Vf sp ressemblent
+point l’s et l’f se ressemblent
-LETTRE LV. 495 LETTRE LV.
+{{nr||LETTRE LV.|195}} |LETTRE LV.
-A SIfTRNE. Chez
+A SMYRNE. Chez
-les diflicultés; les
+les difficultés ; les
-femmes n*y font
+femmes n’y font
-: * si
+: si
-chose honteuse! le
+chose honteuse ! le
-leur défaite; et,
+leur défaite ; et,
-Les François ne
+Les Français ne
-femmes ;* c’est
+femmes : c’est
-les connoissent mieux
+les connaissent mieux
-que 1. Plénier n*est guère
+que Plénier n’est guère
-Rochefoucauld, Maonme 364 t «
+Rochefoucauld, Maxime 364 : «
-qu’on devroit encore
+qu’on devrait encore
-soi. w
+soi. »
-maris jaloux; il
+maris jaloux ; il
-maris jaloux; il
+maris jaloux ; il
-pays od ils
+pays où ils
-leur paroissent des
+leur paraissent des
-ce sexe,* qu’à
+ce sexe, qu’à
-qui voudroit seul
+qui voudrait seul
-femme, seroit regardé
+femme, serait regardé
-qui voudroit jouir
+qui voudrait jouir
-abuse ’de la
+abuse de la
-société entière; qui
+société entière ; qui
-lui avoit été
+lui avait été
-qu’en engagement; et
+qu’en engagement ; et
-de fah-e diversion partout. Dn prince
+de faire diversion partout. Un prince
-temps 1. A. G. LMnduBtrie du sexe
+temps A. C. L’industrie du sexe.
-prenoit Bagdat,* n’enlevions-nous
+prenoit Bagdat, n’enlevions-nous
-de Candabar? Un
+de Candahar ? Un
-les infîdélités de
+les infidélités de
-les faisoit toujours
+les faisait toujours
-elles étoient toutes
+elles étaient toutes
-toujours aimable; et,
+toujours aimable ; et,
-leur. De Paris,
+leur. {{sm|De Paris,
-zilcadé, 1714. 1. Bagdad.
+zilcadé, 1714.}} Bagdad.
-498 LETTRES PERSANES. LETTRE LVL USBEK
+{{nr|198|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE LVI. USBEK
-A SHYRNE. Le
+A SMYRNE. Le
-d’être joueur; ce
+d’être joueur ; ce
-honnêtes gens,^ sans examen; quoiqu’il
+honnêtes gens, sans examen ; quoiqu’il
-surtout trës-adonnées. Il
+surtout très-adonnées. Il
-autres. EUes veulent rumer leurs
+autres. Elles veulent ruiner leurs
-ou 1. Honnêtes gens, auxvu* et au xviu* siècle,
+ou Honnêtes gens, au XVIIe et au XVIIIe siècle,
-tu aurois dit qu’elles n’auroient jamais
+tu aurais dit qu’elles n’auraient jamais
-vie alloit les
+vie allait les
-tu aurois été
+tu aurais été
-qu’elles payoient étoient leurs
+qu’elles payaient étaient leurs
-tient ensevelie; il
+tient ensevelie ; il
-de hasard;^ et,
+de hasard ; et,
-la lane de zilhagé, 1714. 1. A.
+la lune de zilhagé, 1714 A.
-SOO LETTRES PERSANES. LETTRE LVII.
+{{nr|200|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE LVII.
-RHÉDI. Les
+RHÉDI. A VENISE. Les
-de dei*vis. Ces
+de dervis. Ces
-l’est point; je
+l’est point ; je
-sultan renonceroit plutôt
+sultan renoncerait plutôt
-la maison.^ Nous
+la maison. Nous
-Quoi I vous
+Quoi ! vous
-qu’un casuiste? Eh
+qu’un casuiste ? Eh
-de mortels,’ qui
+de mortels, qui
-le paradis; mais
+le paradis ; mais
-possible. ’ Quand on connoit bien
+possible. Quand on connaît bien
-grande perfection; et,
+grande perfection ; et,
-entrent-ils * en
+entrent-ils en
-qu’ils peuvent; pourvu
+qu’ils peuvent ; pourvu
-la rigueur; vous
+la rigueur ; vous
-mortels, dé véniels, est ua gasconisme; il
+mortels, de véniels, est un gasconisme ; il
-: dês péchés
+: des péchés
-péchés vénUls, etc. 2. A. l\ n’y
+péchés véniels, etc. A. Il n’y
-marché. 4. A. G. Aussi
+marché. A. C. Aussi
-tout pourtant; vous
+tout pourtant ; vous
-la connoissance de
+la connaissance de
-de conscience; et,
+de conscience ; et,
-bonnes ;* et,
+bonnes ; et,
-j’ai vieilli; je
+j’ai vieilli ; je
-en paroissent les
+en paraissent les
-le ciel? Si le Sophi’ avoit à
+le ciel ? Si le Sophi avait à
-le feroit empaler
+le ferait empaler
-Je saluai’ mon
+Je saluai mon
-sa réponse .* De
+sa réponse. De
-1714. 1. A. G. Ea les
+1714. A. C. En les
-Sophi avoit dans
+Sophi avait dans
-qui Ht à
+qui fit à
-LETTRE LVIIÏ. Î03 LETTRE LYIII. RICA
+{{nr||LETTRE LVIII.|203}} |LETTRE LVIII. RICA
-A Paris,
+A VENISE. A Paris,
-de femmes.^ Vous trouverez encore* des
+de femmes. Vous trouverez encore des
-qui chancelle; et
+qui chancelle ; et
-tendre. i, A. San8 avoir
+tendre. A. Sans avoir
-femmes. "1, A. G. Vous
+femmes. A. C. Vous
-204 LETTRES PERSANES. Tous
+{{nr|204|LETTRES PERSANES.}} Tous
-Qui voudroit nombrer
+Qui voudrait nombrer
-quelque mosquée,^ auroit aussitôt
+quelque mosquée, aurait aussitôt
-monarque. * Un
+monarque. Un
-que subitement; la
+que subitement ; la
-ne sauroit autrement
+ne saurait autrement
-la lane de
+la lune de
-1714. i. L’auteur
+1714. L’auteur
-courent aprè^ les
+courent après les
-V. sup,, lettre
+V. sup., lettre
-Les évoques sont
+Les évêques sont
-» K ’est-ce pas
+» N’est-ce pas
-les mollahs? V.5Up.. lettre X. 2. Esprit
+les mollahs ? V. sup., lettre X. Esprit
-LETTRE LIX. 203 LETTRE LIX. niCA A
+{{nr||LETTRE LIX.|205}} |LETTRE LIX. RICA A
-A —. J*étois l’autre
+A ***. J’étais l’autre
-y avoit un
+y avait un
-qui avoienten vain
+qui avaient en vain
-avouer, disoit une
+avouer, disait une
-ils étoient polis, gracieux, complaisants; mais,
+ils étaient polis, gracieux, complaisants ; mais,
-qui paroissoit accablé
+qui paraissait accablé
-il étoit, il
+il était, il
-se portoit bien, on marchoit, on étoit gai,
+se portait bien, on marchait, on était gai,
-ne demandoit qu’à
+ne demandait qu’à
-politique. Morbleu! dit
+politique. Morbleu ! dit
-monsieur Colbert; je le connoissois beaucoup,
+monsieur Colbert ; je le connaissais beaucoup,
-monsieur Colbert; il étoit de mes amis; il me faisoit toujours
+monsieur Colbert ; il était de mes amis ; il me faisait toujours
-y avoit dans
+y avait dans
-monde étoit à son aise; mais,
+monde était à son aise ; mais,
-qu’il faisoit alors
+qu’il faisait alors
-? * Et
+? Et
-des duels,’ dit,
+des duels, dit,
-qui n’avoit point encore parlé? La
+qui n’avait point encore parlé ? La
-de l’édit; et
+de l’édit ; et
-sur nousmêmes. Je
+sur nous-mêmes. Je
-jusqu’aux cuisses; et
+jusqu’aux cuisses ; et
-triangles faisoient un
+triangles faisaient un
-lui donneroient trois
+lui donneraient trois
-1714. 1. RéTOcation de TÉdit de
+1714. Révocation de l’Édit de
-en 1685. 2. Édits de 1651 et de 1670; déclaration
+en 1683. Édits de 1051 et de 1679 ; déclaration
-des Dttels, Paris,
+des Duels, Paris,
-LETTRE LX. 207 LETTRE LX.
+{{nr||LETTRE LX.|207}} |LETTRE LX.
-A SHYRNE. Tu
+A SMYRNE. Tu
-en France? Sache
+en France ? Sache
-y font? Précisément ce
+y font ? Précisement ce
-Ils fontparoltre, chez
+Ils font paraître, chez
-la teiTe, je
+la terre, je
-: ^ car,
+: car,
-des bérétiques qui
+des hérétiques qui
-changement s’étoit fait
+changement s’était fait
-qu’ils auroient été facilement séduits; mais,
+qu’ils auraient été facilement séduits ; mais,
-et d*une manière
+et d’une manière
-de Tune et
+de l’une et
-des âges,’ et
+des âges, et
-monde môme n’a
+monde même n’a
-les animoit :
+les animait :
-croyance différoit un
+croyance différait un
-du prince,* On
+du prince. On
-pour elle; et
+pour elle ; et
-Il seroit à
+Il serait à
-les chrétiens; que
+les chrétiens ; que
-et Abubeker,* et
+et Abubeker, et
-le môme reproche
+le même reproche
-de TÉdit de
+de l’Édit de
-1685. 3. Âbou-bekr, beau-père
+1685. Ahou-bekr, beau-père
-une usurpitioa sur
+une usurpation sur
-droits d’Âli, cousin
+droits d’Ali, cousin
-LETTRE LX. «09 prophètes. Je voudrois qu’on
+{{nr||LETTRE LX.|209}} prophètes. Je voudrais qu’on
-vaines préférences; et
+vaines préférences ; et
-la lane de aaphar, 1714. U
+la lune de saphar, 1714.
-t40 LETTRES PERSANES. LETTRE LXI.
+210 LETTRES PERSANES. |LETTRE LXI.
-que j’admiroîs ce
+que j’admirais ce
-édifice, j’eas occasion
+édifice, j’eus occasion
-y avoit attiré
+y avait attiré
-mille occasions; là,
+mille occasions ; là,
-trouvent ridicules; si
+trouvent ridicules ; si
-d’en imposer* aux
+d’en imposer aux
-par l’in 1. Â. C. Et composer.
+par l’in- A. C. Et d’imposer.
-pour cela; cet
+pour cela ; cet
-y paroissons, on
+y paraissons, on
-en Dieu; la
+en Dieu ; la
-on voyoit les
+on voyait les
-troublons l’État; nous
+troublons l’État ; nous
-recevoir * des
+recevoir des
-point fondamentaux; et
+point fondamentaux ; et
-sommes chargés,* les
+sommes chargés, les
-souvent dangereux; et
+souvent dangereux ; et
-ne sauroit être
+ne saurait être
-habitants i. A.
+habitants A.
-recevoir. S. C’est-à-dire
+recevoir. C’est-à-dire
-nous dirigeoos la
+nous dirigeons la
-les enfants;^ s’ étant ensuite
+les enfants ; s’étant ensuite
-une église , un évéque, nommé Àmbroise, lui
+une église, un évêque, nommé Ambroise, lui
-portes, commeàun meurtrier
+portes, comme à un meurtrier
-un sacrilège ;
+un sacrilége ;
-crime exigeoit, étant
+crime exigeait, étant
-dans l’église,* alla
+dans l’église, alla
-les prêtres; le
+les prêtres ; le
-fit sortir; et
+fit sortir ; et
-zèle. Qu’importoit à
+zèle. Qu’importait à
-les prêtres? De
+les prêtres ? De
-dans Téglise, s’alla
+dans l’église, s’alla
-le môme évèque Ten fit
+le même évêque l’en fit
-commit Faction d’un
+commit l’action d’un
-LXII. «43 LETTRE LXII. ZÉLIS Â USBEK. A VARIS. Ta
+LXII. 213 |LETTRE LXII. ZÉLIS A USBEK. A PARIS. Ta
-j’ai cm qu’il étoit temps
+j’ai cru qu’il était temps
-ne sauroit de
+ne saurait de
-manière (le vie qu’elles auroient dû
+manière de vie qu’elles auraient dû
-de l’habitude? C’est
+de l’habitude ? C’est
-a mises; ce
+a mises ; ce
-à l’indé pendance.
+à l’indépendance.
-su LETTRES PERSANES. Si
+{{nr|214|LETTRES PERSANES.}} Si
-quelquefois l’oublier; si
+quelquefois l’oublier ; si
-fort pourroit raffoiblir. Mais
+fort pourrait l’affaiblir. Mais
-des désirs; elle
+des désirs ; elle
-ne connois pas.
+ne connais pas.
-faire connoître le prix; j’ai
+faire connaître le prix ; j’ai
-ne saurois redoubler
+ne saurais redoubler
-autant dç marques
+autant de marques
-cher Usbek; fais
+cher Usbek ; fais
-et jour; ne
+et jour ; ne
-précautions ordinaires; augmente
+précautions ordinaires ; augmente
-le tien; et
+le tien ; et
-indifférence. Ou sérail d’Ispahao, le
+indifférence. Du sérail d’Ispahan, le
-LETTRE LXIII. «45 LETTRE LXIII.
+{{nr||LETTRE LXIII.|215}} |LETTRE LXIII.
-A •"•. Je
+A ***. Je
-te perdois au
+te perdais au
-le connoitre; mon
+le connaître ; mon
-insensiblement lout ce
+insensiblement tout ce
-plie ^ sans
+plie sans
-ne connois les
+ne connais les
-je n’aurois fait
+je n’aurais fait
-parce 1. A. Et Je plie,
+parce A. Et je plie,
-216 LETTRES PERSANES. qu’ils sont forcés; on
+{{nr|216|LETTRES PERSANES.}} qu’ils sont forcés ; on
-oblige d’être; dans
+oblige d’être ; dans
-qui parolt sous
+qui paraît sous
-vice même , on
+vice même, on
-encore davantage; il
+encore davantage ; il
-les toilettes,^ semble être parvenu* à
+les toilettes, semble être parvenu à
-ne paroissent ridicules
+ne paraissent ridicules
-le seroit plus,
+le serait plus,
-habits étoient moins
+habits étaient moins
-s’il tuoit ses
+s’il tuait ses
-1714. 1. Oo dirait
+1714. On dirait
-Au xyiii* siècle,
+Au XVIIIe siècle,
-visites. Noua savons
+visites. Nous, savons
-de YEncyclopédie ou
+de l’Encyclopédie ou
-Raynal. 2. Â. G. Semble
+Raynal. A. C. Semble
-LETTRE LX V. ta LETTRE LXIV.
+{{nr||LETTRE LXIV.|217}} |LETTRE LXIV.
-NOIRS Â USBEK. Je
+NOIRS A USBEK. A PARIS. Je
-ne saurois t’exprimer,
+ne saurais t’exprimer,
-ton amour; et
+ton amour ; et
-ces titres* pour
+ces titres pour
-ces désordres? Elle
+ces désordres ? Elle
-cœur, i. A. G. De
+cœur, A. C. De
-me retenois pas
+me retenais pas
-me laissois celle des châtiments; si,
+me laissais celle des châtiments ; si,
-les envoyois pleurer
+les envoyais pleurer
-les façonnerois bientôt
+les façonnerais bientôt
-je lasserois leur
+je lasserais leur
-qui avoit plus
+qui avait plus
-que j’étois propre
+que j’étais propre
-y gouvernoit avec
+y gouvernait avec
-n’y entendoit parler
+n’y entendait parler
-profond régnoit partout
+profond régnait partout
-femmes étoient couchées
+femmes étaient couchées
-elles entroient dans
+elles entraient dans
-à tour; elles en sortoient au
+à tour ; elles en sortaient au
-elles étoient presque
+elles étaient presque
-Il avoit une
+Il avait une
-qui étoit de
+qui était de
-il avoit pour
+il avait pour
-d’obéir étoit puni
+d’obéir était puni
-suis, disoit-il, esclave; mais
+suis, disait-il, esclave ; mais
-le mien; et
+le mien ; et
-femmes n’entroient jamais
+femmes n’entraient jamais
-fussent appelées; elles recevolent cette
+fussent appelées ; elles recevaient cette
-s’en voyolent privées
+s’en voyaient privées
-plaindre. Enfm moi, qui étois le
+plaindre. Enfin moi, qui étais le
-tranquille, j’étois mille
+tranquille, j’étais mille
-mon côté; il
+mon côté ; il
-qu’il remplissoit :
+qu’il remplissait :
-grande jeunesse; il cmt que
+grande jeunesse ; il crut que
-me tiendroit lieu
+me tiendrait lieu
-ne faisoit plus
+ne faisait plus
-qu’il gardoit depuis
+qu’il gardait depuis
-leurs foiblesses, et
+leurs faiblesses, et
-se plaisoit à
+se plaisait à
-de l’obéissance;^ il les faisoit ensuite
+de l’obéissance ; il les faisait ensuite
-et vouloit que
+et voulait que
-plier moimôme. Mais il falloit le
+plier moi-même. Mais il fallait le
-les trouvoit tout
+les trouvait tout
-il soutenoit leurs
+il soutenait leurs
-se sentoit flatté
+se sentait flatté
-de triomphe.* Voilà, disoit-il d’un
+de triomphe. Voilà, disait-il d’un
-je conduirois de même 1. A. C. Sou?ent il se plaisoit de
+je conduirais de même A. C. Souvent il se plaisait de
-exercer moi-mèmef et
+exercer moi-même, et
-etc. 2. Et se sentoit flatté, etc., n*est point
+etc. Et se sentait flatté, etc., n’est point
-no LETTRES PERSANES. toates celles
+{{nr|220|LETTRES PERSANES.}} toutes celles
-un honmie peot-Q espérer
+un homme peut-il espérer
-cœur, â ses
+cœur, si ses
-leur esprit? II aroit non-seulement
+leur esprit ? Il avait non-seulement
-Il lisoit leurs
+Il lisait leurs
-leurs dissimulations; leurs
+leurs dissimulations ; leurs
-leur yisage feint,
+leur visage feint,
-lui déroboient rien. II saroit toutes
+lui dérobaient rien. Il savait toutes
-se serroit des
+se servait des
-pour connoltre les antres; et
+pour connaître les autres ; et
-se plaîsoit à
+se plaisait à
-confidence. Conune elles n’abordoient leur
+confidence. Comme elles n’abordaient leur
-lorsqu’elles étoient averties, Teunuque y appeloit qui il vouloit, et toumoit les
+lorsqu’elles étaient averties, l’eunuque y appelait qui il voulait, et tournait les
-qu’il avoit en Tue ;
+qu’il avait en vue ;
-distinction étoit la
+distinction était la
-révélé. 11 avoit persuadé
+révélé. Il avait persuadé
-qu’il étoit du
+qu’il était du
-grande. Yoilà comme on gouvernoit, magnifique
+grande. Voilà comme on gouvernait, magnifique
-qui étoit, je
+qui était, je
-remettront Tordre dans
+remettront l’ordre dans
-exige. D« tOD séxail d’Ispahaa, le
+exige. De ton sérail d’Ispahan, le
-de U Inné de rébcab 1. 1714.
+de la lune de rébiab 1, 1714.
-LETTRE LXV. m LETTRE LXV.
+{{nr||LETTRE LXIV.|221}} |LETTRE LXV.
-FEMMES. AD SÉRAIL D*ISPAHAIf. J’apprends
+FEMMES. AU SÉRAIL D’ISPHAHAN. J’apprends
-et qu*il est
+et qu’il est
-bonne intelligence? Vous
+bonne intelligence ? Vous
-le promîtes; étoit-ce pour me tromper? C’est
+le promîtes ; était-ce pour me tromper ? C’est
-je voulois suivre
+je voulais suivre
-grand eunuque; si je voulois employer
+grand eunuque ; si je voulais employer
-le demandoient de
+le demandaient de
-vous n*avez aucun
+vous n’avez aucun
-votre état? N’est-ce
+votre état ? N’est-ce
-est confiée? C’est
+est confiée ? C’est
-que ceux^ qui
+que ceux qui
-charge. i. A.
+charge. A.
-que ceux qui,
+que eux qui,
-je voudrois vous
+je voudrais vous
-LETTRE LXVI. 223 LETTRE LXVI.
+{{nr||LETTRE LXVI.|223}} |LETTRE LXVI.
-A ••*. On
+A *** On
-des François, c’est
+des Français, c’est
-de l’esprit; et
+de l’esprit ; et
-nature sembloit avoir
+nature semblait avoir
-fussent passagères; et
+fussent passagères ; et
-sot devroit être
+sot devrait être
-races futures; il
+races futures ; il
-il auroit pu
+il aurait pu
-ouvriers d’im-
+ouvriers d’imprimerie,
-224 LETTRES PERSANES. primerie, qui
+{{nr|224|LETTRES PERSANES.}} qui
-Je voudrois qu’on
+Je voudrais qu’on
-livres originaux; et
+livres originaux ; et
-sanctuaire oix elles
+sanctuaire où elles
-se tait-il? Qu’a-t-on
+se tait-il ? Qu’a-t-on
-doubles emplois? Mais
+doubles emplois ? Mais
-; *■ et
+; et
-chef-d’œuvre I Je
+chef-d’œuvre ! Je
-qu’il sembloît contenir
+qu’il semblait contenir
-la tète, sans m’ avoir rien
+la tête, sans m’avoir rien
-1714. I . A.
+1714. A.
-LETTRE LXVH. 225 LETTRE LXVII.
+{{nr||LETTRE LXVII.|225}} |LETTRE LXVII.
-USBEK. Trois
+USBEK. A PARIS. Trois
-sans m’ avoir apporté
+sans m’avoir apporté
-tes nouvelles.* Es-tu malade? ou
+tes nouvelles. Es-tu malade ? ou
-ta famille? Mais
+ta famille ? Mais
-des engagements? Je
+des engagements ? Je
-si j’avoîs dû
+si j’avais dû
-les malheureux; la
+les malheureux ; la
-probité i. A. G. Apporté
+probité A. C. Apporté
-particulières Tont obligé
+particulières l’ont obligé
-tienne. D’APHÉRIDON ET D’ASTARTÉ.i Je
+tienne. == HISTOIRE == == D’APHERIDON ET D’ASTARTÉ.== Je
-les guëbres, d’une
+les guèbres, d’une
-raison. J’avois à
+raison. J’avais à
-ne pouvois vivre
+ne pouvais vivre
-yeux s’attachoient toujours
+yeux s’attachaient toujours
-me quittoit un
+me quittait un
-les retrouvoit baignés
+les retrouvait baignés
-jour n’augmentoit pas
+jour n’augmentait pas
-sympathie, auroit bien
+sympathie, aurait bien
-par Gambyse;* mais
+par Cambyse ; mais
-vivons, i. D*AST]IATé. 2. C’est
+vivons, D’ASTRATÉ. C’est
-père dUystaspe ou
+père d’Hystaspe ou
-LETTRE LXVII. 2î7 •empêche ceux
+{{nr||LETTRE LXVII.|227}} empêche ceux
-qu’il auroit été
+qu’il aurait été
-qu’il croyoit naissante,
+qu’il croyait naissante,
-qui étoit déjà
+qui était déjà
-ses parentes; car
+ses parentes ; car
-mère étoit morte
+mère était morte
-de larmes; mais
+de larmes ; mais
-douleur m’avoit rendu
+douleur m’avait rendu
-à Telllis;* et
+à Tefflis ; et
-il avoit fait
+il avait fait
-le beiram* du
+le beiram du
-elle étoit au
+elle était au
-l’on m’avoit appris
+l’on m’avait appris
-n’en aurois pas
+n’en aurais pas
-plus frappé; car,
+plus frappé ; car,
-je n’espérois plus
+je n’espérais plus
-entrée •dans le beiram l’avoit rendue mahométane; et
+entrée dans le beiram l’avait rendue mahométane ; et
-ne pouvoit plus,
+ne pouvait plus,
-à Tefllis, las de moi-môme et
+à Tefflis, las de moi-même et
-mon père; je
+mon père ; je
-souillé I*âme de
+souillé l’âme de
-! Â ces
+! A ces
-sœur pouvoit être
+sœur pouvait être
-père mourut; et
+père mourut ; et
-sœur servoit, la
+sœur servait, la
-la souhaitoit avec
+la souhaitait avec
-à Ispaban. Je
+à Ispahan. Je
-son beiram; et
+son beiram ; et
-ne l’auroient pas
+ne l’auraient pas
-elle étoit enveloppée
+elle était enveloppée
-pus reconnoître qu’au
+pus reconnaître qu’au
-car j’étois examiné.
+car j’étais examiné.
-mauvaises excuses; mais
+mauvaises excuses ; mais
-je parlai^ à
+je parlai à
-lui étoit inconnue ; c’étoit l’ancien
+lui était inconnue ; c’était l’ancien
-ma sœur! lui
+ma sœur ! lui
-la i. A.
+la A.
-vos pères? Je
+vos pères ? Je
-mais, ditesmoi, votre
+mais, dites-moi, votre
-vous aimer? Et
+vous aimer ? Et
-si chère? pour
+si chère ? pour
-s’il étoit homme, seroit le
+s’il était homme, serait le
-mon mari; il
+mon mari ; il
-vous parolt; et je serois aussi
+vous paraît ; et je serais aussi
-si... Ahl ma sœurl lui
+si... Ah ! ma sœur ! lui
-en savois-je les
+en savais-je les
-familière, -et que
+familière, et que
-charme toujours; que
+charme toujours ; que
-revoir. Hais que
+revoir. Mais que
-cela étoit, mon
+cela était, mon
-ne seroit pas
+ne serait pas
-elle s’attendrit; et
+elle s’attendrit ; et
-eunuque auroit bien
+eunuque aurait bien
-m’en empê-
+m’en empê
-«30 LETTRES PERSANES. cher; mais,
+{{nr|230|LETTRES PERSANES.}} cher ; mais,
-maris n^ont pas
+maris n’ont pas
-il aimoit si
+il aimait si
-ne savoit lui
+ne savait lui
-mêmes voiles,^ accompagnée
+mêmes voiles, accompagnée
-situation affreuse? Les
+situation affreuse ? Les
-dont jouissoient vos ancêtres? Votre
+dont jouissaient vos ancêtres ? Votre
-qui étoit si
+qui était si
-ne donnoit à
+ne donnait à
-ils vivoient heureux
+ils vivaient heureux
-mœurs étoit pour
+mœurs était pour
-d’un esclave» qui
+d’un esclave, qui
-frère I dit-elle,
+frère ! dit-elle,
-me seroit avantageux
+me serait avantageux
-pas î Je
+pas ! Je
-quels i. Â. C.
+quels A. C.
-le môme lieu
+le même lieu
-dans lo môme équipage,
+dans le même équipage,
-pour l’autre? Songez
+pour l’autre ? Songez
-point connus; que
+point connus ; que
-naturels n’avoient pas été foibles, vous
+naturels n’avaient pas été faibles, vous
-après, n’étoit pas
+après, n’était pas
-religion seroit plus
+religion serait plus
-que Dieu; au
+que Dieu ; au
-et môme les
+et même les
-vous porte; c’est
+vous porte ; c’est
-; ^ et 1. C*est Tancienne ville
+; et C’est l’ancienne ville
-de moî, qui
+de moi, qui
-dieux I que
+dieux ! que
-de difficultés! Que
+de difficultés ! Que
-suis soulagée! Je
+suis soulagée ! Je
-ceci con* vient bien
+ceci convient bien
-esprit s’étoit forgées,
+esprit s’était forgées,
-Je n’exprimerois jamais
+Je n’exprimerais jamais
-que j’avoîs formés
+que j’avais formés
-me l’avoient rendue
+me l’avaient rendue
-que ^ je n’étois pas
+que je n’étais pas
-me l’étois figuré
+me l’étais figuré
-à coup,’ quoique
+à coup, quoique
-Il falloit surprendre
+Il fallait surprendre
-ses gardiens; je n’osois confier
+ses gardiens ; je n’osais confier
-je n’avois que ma sœur. 1. A.
+je n’avais que ma sœur, A.
-LETTRE LXVIL 233 elle n’avoit que moi :^ si je manquois mon
+{{nr||LETTRE LXVII.|233}} elle n’avait que moi : si je manquais mon
-je courois risque
+je courais risque
-ne voyois pas
+ne voyais pas
-qu’elle m’enverroit demander
+qu’elle m’enverrait demander
-lui avoit laissée
+lui avait laissée
-j’y mettrois dedans
+j’y mettrais dedans
-d’une fenêtre’ qui donnoit dans
+d’une fenêtre qui donnait dans
-pour descendre; que
+pour descendre ; que
-la verroîs plus
+la verrais plus
-que j’irois toutes
+que j’irais toutes
-qu’elle n’avoit pas
+qu’elle n’avait pas
-qui travailloit :
+qui travaillait :
-temps Fouvrage étoit interrompu; et,
+temps l’ouvrage était interrompu ; et,
-frayeur étoit inexprimable.
+frayeur était inexprimable.
-de travail,’ je
+de travail, je
-qui attachoit la
+qui attachait la
-où j’avois un
+où j’avais un
-tout prêt; je
+tout prêt ; je
-qui pouvoit nous
+qui pouvait nous
-il étoit retiré,
+il était retiré,
-chez luit et,
+chez lui et,
-nous mimes dans
+nous mîmes dans
-aimerions tou i. A.
+aimerions toujours, A.
-ma yie; il
+ma vie; il
-fissions tout^ elle et moi ; si
+fissions tout, elle et moi; si
-etc. 2. Â. C.
+etc. A. C.
-de trarail, etc.
+de travail, etc.
-f34 LETTRES PERSANES. jours, attendant
+{{nr|234|LETTRES PERSANES.}} attendant
-sainte I la
+sainte ! la
-nous avoit unis,
+nous avait unis,
-de THoboraspe.* Bientôt
+de l’Hohoraspe. Bientôt
-argent alloit finir,
+argent allait finir,
-je craignois la
+je craignais la
-qu’il falloit pour
+qu’il fallait pour
-Tartares avoient fait
+Tartares avaient fait
-elle étoit; et
+elle était ; et
-qui alloient en
+qui allaient en
-elle étoit accouchée
+elle était accouchée
-furent vaines; ils
+furent vaines ; ils
-trente tomans,* et
+trente tomans, et
-et chrétiens^ je
+et chrétiens, je
-je n’avois pas
+je n’avais pas
-ma sœur; et
+ma sœur ; et
-! qu’avez- vous fait? N*étois-je pas
+! qu’avez-vous fait ? N’étais-je pas
-rendre davantage? Votre
+rendre davantage ? Votre
-me consoloit, et
+me consolait, et
-frère I que
+frère ! que
-cruel I Et ma fille? je
+cruel ! Et ma fille ? je
-vois point! Je
+vois point ! Je
-Malheureux I dit-elle,
+Malheureux ! dit-elle,
-la tienne? Seigneur,
+la tienne ? Seigneur,
-L’Arménien étoit un
+L’Arménien était un
-soulagions Tun Tautre dans
+soulagions l’un l’autre dans
-la servitude; et j’étois charmé lorsque j’avois pu
+la servitude ; et j’étais charmé lorsque j’avais pu
-qui étoit tombé
+qui était tombé
-La fm de Tannée arriva
+La fin de l’année arriva
-qui exerçoit avec
+qui exerçait avec
-à Smyme, où
+à Smyrne, où
-ne changerois pas
+ne changerais pas
-LETTRE LXVIII. 237 LETTRE LXVIII.
+{{nr||LETTRE LXVIII.|237}} |LETTRE LXVIII.
-USBEK. J’allai
+USBEK. A ***. J’allai
-m’en avoit prié
+m’en avait prié
-me parolt que
+me paraît que
-vous l’imaginez,* répondit-il
+vous l’imaginez, répondit-il
-Mais quoi!’ n’avez- vous pas
+Mais quoi ! n’avez-vous pas
-affaires d’ autrui? n’êtes-vous
+affaires d’autrui ? n’êtes-vous
-point intéressantes? Vous
+point intéressantes ? Vous
-qu’il prenoit la
+qu’il prenait la
-payer ;’^ je
+payer ; je
-ma bibliothèque; et
+ma bibliothèque ; et
-livre i. A. G. Que
+livre A. C. Que
-imaginez. 2. A. G. Mais comment? 3. A. G. Pour
+imaginez. A. C. Mais comment ? A. C. Pour
-238 LETTRES PERSANES. de raison.* Ce
+de raison. Ce
-science. Qu’avonsnous affaire
+science. Qu’avons nous affaire
-de lois? Presque
+de lois ? Presque
-sont hypothétiques,’ et
+sont hypothétiques, et
-ne seroit-ce pas,
+ne serait-ce pas,
-faites sortir? Car enfîn, pourquoi,
+faites sortir ? Car enfin, pourquoi,
-y auroit-il des
+y aurait-il des
-elles n’avoient pas leur application? Et
+elles n’avaient pas leur application ? Et
-sait pas? Si vous connoissiez le
+sait pas ? Si vous connaissiez le
-vous tromper? lui
+vous tromper ? lui
-il seroit bon
+il serait bon
-la lane de chahbao, 1714. 1. Liyre de compte. 2. C*est-à-dire sont
+la lune de chahban, 1714. Livre de compte. C’est-à-dire sont
-questions do fait.
+questions de fait.
-LETTRE LXIX. 239 LETTRE LXIX.
+{{nr||LETTRE LXIX.|239}} |LETTRE LXIX.
-A RHÉDL A
+A RHÉDI. A
-te serois jamais
+te serais jamais
-ne l’étois ;
+ne l’étais ;
-qu’il étoit un
+qu’il était un
-souverainement parfait ; mais
+souverainement parfait, mais
-que Tbomme est
+que l’homme est
-Les poètes d’Occident
+Les poëtes d’Occident
-qu’un peintre* ayant
+qu’un peintre ayant
-qu’elle avoit de
+qu’elle avait de
-pour ressembler’ à i. Zeaxis lorsqu’il p«icnit Hélène
+pour ressembler à Zeuxis lorsqu’il peignit Hélène
-il fit un tout qa*ii crut
+il fît un tout qu’il crut
-un bomme en avoit conclu qu’elle étoit blonde
+un homme en avait conclu qu’elle était blonde
-qu’elle avoit les
+qu’elle avait les
-qu’elle étoit douce
+qu’elle était douce
-il auroit passé
+il aurait passé
-qui pourroit lui
+qui pourrait lui
-choses relatives; et
+choses relatives ; et
-des choses.* Ainsi,
+des choses. Ainsi,
-que quelquesuns de
+que quelques-uns de
-causes libres; parce
+causes libres ; parce
-être connu; car
+être connu ; car
-sa liberté; de i. A. G. Changer
+sa liberté ; de A. C. Changer
-de Tâme, ni
+de l’âme, ni
-Dieu pourroit-il prévoir
+Dieu pourrait-il prévoir
-causes libres? Il ne pourroit les
+causes libres ? Il ne pourrait les
-les verroit comme
+les verrait comme
-qui suivroient infailliblement
+qui suivraient infailliblement
-les produiroit de
+les produirait de
-l’âme seroit libre
+l’âme serait libre
-le seroit pas
+le serait pas
-Dieu. Gomme il
+Dieu. Comme il
-il connolt tout
+il connaît tout
-veut connoître. Mais,
+veut connaître. Mais,
-pas toujoui*s de
+pas toujours de
-pour lai laisser
+pour lui laisser
-juifs s élèvent sans
+juifs s’élèvent sans
-y parott partout
+y paraît partout
-des esprits; et
+des esprits ; et
-qui connoîtroit les
+qui connaîtrait les
-futures des. âmes; car
+futures des âmes ; car
-rendre dérisoires? C’est
+rendre dérisoires ? C’est
-si ui> homme, qui auroit su
+si un homme, qui aurait su
-de Bagdat,^ disoit à
+de Bagdat, disait à
-pas pris.* Ne feroit-il pas
+pas pris. Ne ferait-il pas
-mauvaise plaisanterie? Mon cher Rhédi,’ pourquoi
+mauvaise plaisanterie ? Mon cher Rhédi, pourquoi
-de philosophie? Dieu
+de philosophie ? Dieu
-le connoissons bien
+le connaissons bien
-notre foiblesse. S’humilier
+notre faiblesse. S’humilier
-Paris, la dornier de
+Paris, le dernier de
-chahban, ni 4. i. Bagdad. 2. A. G. C*est comme
+chahban, 1714. Bagdad. A. C. C’est comme
-qui auroit bçû la
+qui aurait sçù la
-Bagdat avoit dit
+Bagdat avait dit
-l’éd. 1754.
+l’éd. 1751.
-LETTRE LXX. 243 LETTRE LXX. ZliLIS A USBEK. Soliman,
+{{nr||LETTRE LXX.|243}} |LETTRE LXX. ZÉLIS A USBEK. A PARIS. Soliman,
-étourdi, ’nommé Supliis, recherchoit depuis
+étourdi, nommé Suphis, recherchait depuis
-il paroissoit content
+il paraissait content
-en avoient faits
+en avaient faits
-qui Tavoient vue
+qui l’avaient vue
-on étoit convenu
+on était convenu
-tout s’étoit passé
+tout s’était passé
-la recevroit jamais,
+la recevrait jamais,
-on n’augmentoit la
+on n’augmentait la
-Soliman convint^ de
+Soliman convint de
-heure 1. A. G. Ils
+heure A. C. Ils
-gendre. Bnfin les
+gendre. Enfin les
-qu’elle n’étoit pas
+qu’elle n’était pas
-fille recevoit un pareil traitement,* je
+fille recevait un pareil traitement, je
-j’en mourrois de
+j’en mourrais de
-Adieu. Da sérail do Patmé, le
+Adieu. Du sérail de Fatmé, le
-lune do gemmadi
+lune de gemmadi
-1714. 1. A* C.
+1714. A. C.
-pareil traitemant arrivoit à
+pareil traitement arrivait à
-fille, Je crois,
+fille, je crois,
-LETTRE LXXI. 245 LETTRE LXXL USBEK A ZÉLIS. Je
+{{nr||LETTRE LXXI.|245}} |LETTRE LXXI. USBEK A ZÉLIS.. Je
-se senîr de
+se servir de
-ainsi Thonneur d’une
+ainsi l’honneur d’une
-pour connoitre la
+pour connaître la
-parmi nous; et
+parmi nous ; et
-législateur * en
+législateur en
-que Fatima;* qu’elle
+que Fatima ; qu’elle
-la garder; qu’elle
+la garder ; qu’elle
-superbes I Et,
+superbes ! Et,
-gloire I De
+gloire ! De
-5 do la
+5 de la
-de chai Ta! , ni4. 1. Moïse,
+de chalval, 1714. Moïse,
-ch. xxii, v. 13-21. 2. Sup,<^ lettre
+ch. XXII, v. 13-21. Sup., lettre
-n. i.
+n. I.
-246 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXII.
+{{nr|246|LETTRES PERSANES.}} |LETTRE LXXII.
-A ••*. Je
+A ***. Je
-un décisionnaire* si universel; son
+un décisionnaire si universel ; son
-et Chardin.* Ahl bon
+et Chardin. Ah ! bon
-est-ce là? Il connoîtra tout
+est-ce là ? Il connaîtra tout
-la lane de zilcadé, ni5. 1. Mot
+la lune de zilcadé, 1715. Mot
-un liomme qui
+un homme qui
-dans CCS deux
+dans ces deux
-LliTTRE LXXni. 247 LETTRE LXXIII.
+{{nr||LETTRE LXXIII.|247}} |LETTRE LXXIII.
-A ••*. J’ai
+A ***. J’ai
-l’Académie Françoise. Il
+l’Académie française. Il
-le monde; car
+le monde ; car
-ses jugements^ Cet
+ses jugements. Cet
-pères étoit presque
+pères était presque
-il naquit; et,
+il naquit ; et,
-un bâtard,* qui avoit déjà paru, l’avoit presque
+un bâtard, qui avait déjà paru, l’avait presque
-naissance. • Ceux
+naissance. Ceux
-de luimôme, dans
+de lui-même, dans
-babil éternel; et
+babil éternel ; et
-parlent 1. Le Dictionaairj de TAcadémie. 2. Le
+parlent Le Dictionnaire da l’Académie. Le
-de Furetièrc, publié
+de Furetière, publié
-par exclamation; ses
+par exclamation ; ses
-veulent tou* jours être
+veulent toujours être
-pas question; il
+pas question ; il
-ses pieds; car
+ses pieds ; car
-fléau, l’ébranlé à
+fléau, l’ébranle à
-mains étoient avides; je
+mains étaient avides ; je
-manières laïves. De
+manières naïves. De
-le 87 do la lane do zilhagé, nir>.
+le 27 de la lune de zilhagé, 1715.
-LETTRE LXXIV. 249 LETTRE LXXIV.
+{{nr||LETTRE LXXIV.|249}} |LETTRE LXXIV.
-A RICA.i Il
+A RICA. A ***. Il
-ma connoîssance me
+ma connaissance me
-dire cela,’ monsieur? Est-ce
+dire cela, monsieur ? Est-ce
-les autres?’ Non,
+les autres ? Non,
-dit-il. Ah! j’entends
+dit-il. Ah ! j’entends
-d’y aller; je
+d’y aller ; je
-prends condamnation.^ Il
+prends condamnation. Il
-pourtant marcher; et
+pourtant marcher ; et
-de flegme , il
+de flegme, il
-offensante i. A. C. Rica a Usbek. 2. A.
+offensante A. C. RICA A USBEK. A.
-dire, monsieur? 3. A.
+dire, monsieur ? A.
-affable qu’an autre? Ce
+affable qu’un autre ? Ce
-d’y aller; je
+d’y aller ; je
-et Je la
+et je la
-ne pouvois me
+ne pouvais me
-de Tadmirer. Ah! bon Dieu, dîs-je en
+de l’admirer. Ah ! bon Dieu, dis-je en
-lorsque j’étois à
+lorsque j’étais à
-je représentois ainsi, je représentois un grand sot! Il aurolt fallu, Rica,’ que
+je représentais ainsi, je représentais un grand sot ! Il aurait fallu, Rica, que
-qui venoient tous
+qui venaient tous
-Ils savoient bien
+Ils savaient bien
-au-dessus d’eux; et, s’ils Tavoient ignoré,
+au-dessus d’eux ; et, s’ils l’avaient ignoré,
-leur auroient appris
+leur auraient appris
-plus petits; au
+plus petits ; au
-nous trouvoient sensibles; ils ne voyoient que
+nous trouvaient sensibles ; ils ne voyaient que
-lorsqu’il falloit soutenir
+lorsqu’il fallait soutenir
-cérémonies publiques; lorsqu’il falloit faire
+cérémonies publiques ; lorsqu’il fallait faire
-aux étrangers; lorsque
+aux étrangers ; lorsque
-il falloit nnimer les
+il fallait animer les
-n’étions descendus; nous
+n’étions descendus ; nous
-notre visage; et l’on trouvoit quelquefois
+notre visage ; et l’on trouvait quelquefois
-saphar, 1713. 1. A. C. LSb k.
+saphar, 1715. A. C. Usbek.
-LETTRE LXXV. «54 LETTRK LXXV. LSDEK A RHKDT. 11 faut
+{{nr||LETTRE LXXV.|251}} |LETTRE LXXV. USBEK A RHÈDI. A VENISE. Il faut
-te Tavoiie :
+te l’avoue :
-femmes môme, s’élèvent
+femmes même, s’élèvent
-pas croire.* Ce n est pas qu ils se
+pas croire. Ce n’est pas qu’ils se
-me disoit un
+me disait un
-dépendent absolu 1. G. Demandent
+dépendent absolument C. Demandent
-prouvent co quMls ne
+prouvent ce qu’ils ne
-«5J LETTRES PERSANES. ment de
+{{nr|252|LETTRES PERSANES.}} de
-que j*ai plus
+que j’ai plus
-que Tair que
+que l’air que
-de m’aflliger quand
+de m’affliger quand
-porte bien; mais
+porte bien ; mais
-ses promesses; je
+ses promesses ; je
-que, disoient-ils, le
+que, disaient-ils, le
-leur étoit très-utile
+leur était très-utile
-ils abaissoient^ par
+ils abaissaient par
-ils retiroient le
+ils retiraient le
-leur étoit avantageux
+leur était avantageux
-esclaves :* ils
+esclaves : ils
-les touchoit tant.
+les touchait tant.
-te dise? Vérité
+te dise ? Vérité
-les chrétiens? Nous
+les chrétiens ? Nous
-climats heureux,^ parce
+climats heureux, parce
-saint Alcoran* Je
+saint Alcoran. Je
-envoyé 1. A. Parce quMIs abaissoicnt. 2. Les colonies. 3. Les mabométans ne
+envoyé A. Parce qu’ils abaissoient Les colonies. Les mahométans ne
-n’y ti-ouveroient point
+n’y trouveraient point
-13 dd la
+13 de la
-Î34 LETTRES PERSANES. LETTUE LXXVI. * USDEK A
+{{nr|254|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXVI.}} USBEK A
-AMI IBBËN. A
+AMI IBBEN. A
-seconde fois; ils
+seconde fois ; ils
-les rues; on
+les rues ; on
-biens. 11 me paroit, Ibben,
+biens. Il me paraît, Ibben,
-veut-on m’empécber de
+veut-on m’empêcher de
-mes mains? Pourquoi
+mes mains ? Pourquoi
-n’être plus? que
+n’être plus ? que
-sans moi? La
+sans moi ? La
-avantage mutuel; mais,
+avantage mutuel ; mais,
-d’y renoncer? La
+d’y renoncer ? La
-cesse, l’eflet doit
+cesse, l’effet doit
-des tiomains, cli. xiii, à la tin. Couf. Esprit
+des Romains, ch. XIII, à la fin. Conf. Esprit
-la sujétion? Mes
+la sujétion ? Mes
-mon désespoir? Dieu,
+mon désespoir ? Dieu,
-qui m’accablent? Je
+qui m’accablent ? Je
-je via sous les lois; mais
+je vis sous les lois ; mais
-je n*y vis
+je n’y vis
-lier encore? Mais,
+lier encore ? Mais,
-troublez Tordre de
+troublez l’ordre de
-l’en séparez; vous
+l’en séparez ; vous
-lui résistez.* Que
+lui résistez. Que
-dire cela?* Troublé-je Tordre de
+dire cela ? Troublé-je l’ordre de
-je reuds carrée
+je rends carrée
-conservation, avoient faite ronde? Non, sans doute; je
+conservation, avaient faite ronde ? Non, sans doute ; je
-été donné; et,
+été donné ; et,
-dans l’univers? Croyezvous que
+dans l’univers ? Croyez-vous que
-lois générales? que
+lois générales ? que
-moins immenses? i. Cest là Tobjcction vùritabic. Usbek n*y répond
+moins immenses ? C’est là l’objection véritable. Usbek n’y répond
-que, V^me une fois dc’-gapée du
+que, l’âme une fois dégagée du
-le mAme raisonnement
+le même raisonnement
-veut-il dire?
+veut-il dire ?
-mon corps ,* devenu
+mon corps, devenu
-digne d’elle? et
+digne d’elle ? et
-de toutes qu’elle avoit de
+de tout ce qu’elle avait de
-moins sublime? Toutes
+moins sublime ? Toutes
-notre petitesse; et,
+notre petitesse ; et,
-nous, dégraderoit toute
+nous, dégraderait toute
-que dis-je? tous
+que dis-je ? tous
-de têtes* comme
+de têtes comme
-ses connoissances. De
+ses connaissances. De
-le 13 de la laae de saphar, 1113. 1. A.
+le 15 de la lune de saphar, 1715. A.
-meilleure. l\ est
+meilleure. Il est
-cent miltions de
+cent millions de
-Au contrairef il
+Au contraire, il
-la nôtre.
+la notre.
-LETTRE LXXVII. 257 ^LETTRE LXXVIIJ IBBEN A USBEK. Mon
+{{nr||LETTRE LXXVII.|257}} {{nr||* LETTRE LXXVII.}} IBBEN A SON AMI USBEK. A PARIS. Mon
-prospérités qu il faudroit abréger.
+prospérités qu’il faudrait abréger.
-loi civile.* De Smyrae, le
+loi civile. De Smyrne, le
-la lane de
+la lune de
-de t75ï, pour
+de 1754, pour
-258 LETTRES PERSANES LETTRE LXXVin. RICA A LSBEK. A **•. Je
+{{nr|258|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LXXVIII.}} RICA A USBEK. A ***. Je
-qu’un François qui
+qu’un Français qui
-le Portugal; et
+le Portugal ; et
-seuls François l’honneur
+seuls Français l’honneur
-est affoiblie :
+est affaiblie :
-d’un savant.^ 1. M"* d*Aulnoy fait
+d’un savant. Mme d’Aulnoy fait
-Voyage S Espagne: Je
+Voyage d’Espagne : <p> « Je
-de Montélcon, de
+de Montéléon, de
-aux oreilles; et
+aux oreilles ; et
-qui m’étonnoit encore
+qui m’étonnait encore
-ne faisoient rien
+ne faisaient rien
-fussent nécessaires; elles causoient et
+fussent nécessaires ; elles causaient et
-les ôtoient point...
+les ôtaient point...
-se coucher; elles mangent
+se coucher ; elles mangent avec, et vous rencontrerez dans les rues et dans les compagnies beaucoup de femmes et d’hommes qui ont toujours leurs lunettes. <p> « Il y a quelque temps que les jacobins avaient un procès de la dernière conséquence ; ils en craignaient assez l’événement pour n’y rien négliger. Un jeune père de leur couvent avait des parents de la première qualité qui sollicitèrent à sa prière très-fortement. Le prieur l’avait assuré qu’il n’y avait rien qu’il ne dût se promettre de sa reconnaissance, si par son crédit le procès se gagnait. Enfin le procès se gagne. Le jeune père, transporté de joie, courut lui en dire la nouvelle... Le prieur, après l’avoir embrassé, lui dit d’un ton grave : Hermano, ponga las ojalas : Mon frère, mettez des lunettes. Cette permission combla le jeune moine d’honneur et de joie ; il se trouva trop bien payé de ses soins et ne demanda rien davantage. <p> « Le marquis d’Astorga, étant vice-roi de Naples, fit tirer son buste en marbre, et il ne manqua pas d’y faire mettre ses belles lunettes. Il est si commun d’en porter que j’ai entendu dire qu’il y a des différences dans les lunettes comme dans les rangs. A proportion que l’on élève sa fortune, l’on fait grandir le verre de sa lunette, et on la hausse sur son nez. Les grands d’Espagne en portent de larges comme la main, que l’on appelle ocales, pour les distinguer. Ils se les font attacher derrière les oreilles et les quittent aussi peu que leur golille... * J’ai remarqué des personnes de qualité dans leurs carrosses, quelquefois seules, et quelquefois plusieurs ensemble, le nez chargé de lunettes, qui font peur à mon gré. » (8e lettre, datée du 29 mars 1679.) <p> * La golille est la fraise empesée.
-par ellemême, et
+par elle-même, et
-des conséquences; quoiqu’on
+des conséquences ; quoiqu’on
-laisse pas* d’en
+laisse pas d’en
-Indes :* car,
+Indes : car,
-d’argent, II se
+d’argent, il se
-prêtées d’abord; et
+prêtées d’abord ; et
-et fleg aveCf et vous rencontrerez dans les rues et dans les compagnies beaucoup de femmes et d’hommes qui ont toujours leurs lunettes. H y a quelque temps que les jacobins avoient un procès de la dernière conséquence ; ils en craignoient assez Pévénement pour n*y rien négliger. Un jeune père de leur couvent avoit des parents de la première qualité qui sollicitèrent à sa prière très-fortement. Le prieur Tavoit assuré qu’il n’y avoit rien qu’il ne dût se promettre de sa reconnoissauce, si par son crédit le procès se gagnoit. Enfin le procès se gagne. Le Jeune père, transporté de Joie, courut lui en dire la nouvelle... Le prieur, après l’avoir embrassé, lui dit d’un ton grave : Hermano, ponga las ojalas : Mon frère, mettez des lunettes. Cette permission combla le jeune moine d’honneur et de joie; il Be trouva trop bien pavé de ses soins et ne demanda rien davantage. Le marquis d’Astorga, étant vice-roi de Naples, fit tirer son buste en marbre, et il ne manqua pas d’y faire mettre ses belles lunettes. H est si commun d’en porter que j’ai entendu dire qu’il y a des différences dans les lunettes comme dans les rangs. A proportion que l’on élève sa fortune, l’on fait grandir le verre de sa lunette, et on la hausse sur son nez. Les grands d’Espagne en portent de larges comme la main, que l’on appelle ocales, pour les distinguer. Ils se les font attacher derrière les oreilles et les quittent aussi peu que leur golille... ^ J’ai remarqué des personnes de qualité dans leurs carrosses, quelquefois seules, et quelquefois plusieurs ensemble, le nez chargé de lunettes, qui font peur à mon gré. » (8* lettre, datée du 20 mars 107*.».) 1. A. C. Quoique
+et flegmatiques, A.C. Quoique
-(M.) 1. La golille est la fraise empesée.
+(M.)
-260 LETTRES PEUSANES. , matiques, comme
+{{nr|260|LETTRES PERSANES.}} comme
-vieux chrétiens; c’est-à-dire,
+vieux chrétiens ; c’est-à-dire,
-ne travailleroit pas
+ne travaillerait pas
-se résoudroit jamais,
+se résoudrait jamais,
-le cœur; car
+le cœur ; car
-leurs maîtresses; et
+leurs maîtresses ; et
-ne sauroit passer
+ne saurait passer
-de paroître avec
+de paraître avec
-des pieds.* On
+des pieds. On
-sont cruelles; elles
+sont cruelles ; elles
-leurs peines; mais
+leurs peines ; mais
-souvent • un
+souvent un
-France, paroîtroient mal
+France, paraîtraient mal
-demander peimission; et
+demander permission ; et
-pas paroissent si
+pas paraissent si
-y auroit de
+y aurait de
-Je voudrois seulement
+Je voudrais seulement
-établit 1 . A. G. rédigent
+établit A. C. rédigent
-des femmes; ils
+des femmes ; ils
-et qu*on les
+et qu’on les
-que Timagination va
+que l’imagination va
-ne Tamuse en chemin; elle arrive, et
+ne l’amuse en chemin ; elle arrrive et
-averti d^avance. » 2. A. G. Il
+averti d’avance. » A. C. Il
-reste toujours, etc.
+reste toujours; etc.
-Î62 LETTRES PERSANES. une autre; non
+{{nr|262|LETTRES PERSANES.}} une autre ; non
-sept sacrements; qui
+sept sacrements ; qui
-qu’ils vénèrent; et
+qu’ils vénèrent ; et
-les Espagnols; mais
+les Espagnols ; mais
-les autres.* Ils
+les autres. Ils
-ne connoissent pas
+ne connaissent pas
-sont inconnues.’ Ils
+sont inconnues. Ils
-ne serois pas
+ne serais pas
-où Gênantes s’est
+où Cervantès s’est
-de clievalerie. Mais c’est uae grande
+de chevalerie. Mais c’est une grande
-les Âmadis. Encore
+les Amadis. Encore
-Corneille. L’opinion
+Corneille. <p> L’opinion
-au xviii» siècle.
+au XVIIIe siècle.
-nous apprennent? Le
+nous apprennent ? Le
-que Saint- Évremond préférait
+que Saint-Évremond préférait
-tous détruits? »
+tous détruits ? »
-de quoique bel
+de quelque bel
-qui voyageroit en
+qui voyagerait en
-qu’il vengeroit bien
+qu’il vengerait bien
-et pensif! Je
+et pensif ! Je
-qu’il commenceroit ainsi
+qu’il commencerait ainsi
-on croiroit d’abord
+on croirait d’abord
-la ville; non
+la ville ; non
-les François, extrêmement
+les Français, extrêmement
-cher Csbek. De
+cher Usbek. De
-lune desaphar, I7I5.
+lune de saphar, 1715.
-264 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXIX.» LE GRA.ND EUNUQUE NOIR
+{{nr|264|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXIX.}} LE GRAND ENUQUE NOIR
-USBEK. Hier
+USBEK. A PARIS. Hier
-qu’ils vouîoient vendre.
+qu’ils voulaient vendre.
-appartements secrets; je
+appartements secrets ; je
-d’un juge; et,
+d’un juge ; et,
-virginale sembloit vouloir
+virginale semblent vouloir
-en coûtoit pour
+en coûtait pour
-elle rougissoit de
+elle rougissait de
-ce sexe; et
+ce sexe ; et
-manteau d’écarlate; je
+manteau d’écarlate ; je
-les Arméniens; je
+les Arméniens ; je
-Heureux Usbek! tu
+Heureux Usbek ! tu
-les i. Les édilions publiées
+les Les éditions publiées
-la Ut* treCXXIX.
+la lettre CXXIX.
-plus ravissant! et
+plus ravissant ! et
-les détruire! Du
+les détruire ! Du
-Î66 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXX. USBKK A RHÉDI. i A VEMSE. Depuis
+{{nr|266|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXX.}} USBEK A RHÉDI. A VENISE. Depuis
-les mômes. J’ai
+les mêmes. J’ai
-quel étoit le
+quel était le
-la raison.* Il
+la raison. Il
-de frais; de sorte que^ celui
+de frais ; de sorte que celui
-étranger. i. Cette
+étranger. Cette
-de VEsprit des
+de l’Esprit des
-tout cntierf a
+tout entier, a
-à Bcccaria la
+à Beccaria la
-en i7G4. V. nut-amment le chapitre xv, et
+en 1764. V. notamment le chapitre XV, et
-à Morellct :
+à Morellet :
-solo cinqtie anni, ccrit-il, en
+solo cinque anni, écrit-il, en
-la filoso/ia; e
+la filosofia ; e
-lettura délie Letterc Persiane.
+lettura delle Lettere Persiane.
-diritto pénale, saggio
+diritto penale, saggio
-Florence, 1802, p.
+Florence, 1862, p.
-VI, ix et xii. 2. A. C. J*ai souvent
+VI, IX et XII. A. C. J’ai souvent
-quel, do tous
+quel, de tous
-cher Rhcdi, que
+cher Rhédi, que
-par degrés; on
+par degrés ; on
-l’on est.* Huit
+l’on est. c Huit
-sa inron :
+sa façon :
-un François condamné
+un Français condamné
-qui n’ôteroit pas
+qui n’ôterait pas
-un Turc* D’ailleurs,
+un Turc. D’ailleurs,
-de crimes; et
+de crimes ; et
-source d’mjustice et
+source d’injustice et
-où Ton vit. 2. Esprit
+où l’on vit. Esprit
-12. k Suivons
+12. « Suivons
-la soufiTrir. ■
+la souffrir. »
-fut déposé,* aucun
+fut déposé, aucun
-ne songeoit à
+ne songeait à
-ils demandoient seulement,
+ils demandaient seulement,
-par hasard; le
+par hasard ; le
-LETTRE LXXXI. 869 LETTRE LXXXI. NARGUM,
+{{nr||LETTRE LXXXI.|269}} {{nr||LETTRE LXXXI.}} NARGUM,
-USBEK. De
+USBEK. {{nr||A PARIS.}} De
-des conquêtes.* Ce
+des conquêtes. Ce
-de Tunivers :
+de l’univers :
-forment Tempire du
+forment l’empire du
-de Gyrus et
+de Cyrus et
-Gustaspe. ^ Ils
+Gustaspe. Ils
-et l’Afrique; et
+et l’Afrique ; et
-l’univers. i. A.
+l’univers. A.
-quelques-uns * des
+quelques-uns des
-l’empire romain.* Qu’est-ce
+l’empire romain. Qu’est-ce
-de Genghîscan ? II n’a
+de Genghiscan ? Il n’a
-dans l’oubli! Que d* empires par
+dans l’oubli ! Que d’empires par
-ignorons l’originel Cette
+ignorons l’origine ! Cette
-ne songeoit point
+ne songeait point
-4 do la luac de
+4 du la lune de
-1, H 15. i. A.
+1, 1715. A.
-LEÏTHE LXXXII. îli LETTRE LXXXII. ItlCA A inBEX. A SUYn\E. Quoique les François parlent
+{{nr||LETTRE LXXXII.|271}} {{nr||LETTRE LXXXII.}} RICA A IBBEN. {{nr||A SMYRNE.}} Quoique les Français parlent
-on souhaiteroit fort
+on souhaiterait fort
-de môme tout
+de même tout
-rien dire; et
+rien dire ; et
-les déceler,* d’être
+les déceler, d’être
-des femmes; mais
+des femmes ; mais
-savent 1. Deviner?
+savent Deviner ?
-J’en connois d’autres
+J’en connais d’autres
-choses inanimées,^ et
+choses inanimées, et
-du discours; et
+du discours ; et
-les avoir; et
+les avoir ; et
-devant eux.* Do Paris,
+devant eux. De Paris,
-1715. 1. Â. G. Les
+1715. A. C. Les
-de g<ns.
+de gens.
-LETTRE LXXXIII. «73 LETTRE LXXXIII. USBEK A RHËDI. A
+{{nr||LETTRE LXXXII.|273}} {{nr||LETTRE LXXXIII.}} USBEK A RHÉDI. A
-car, s il ne l’étoit pas, il seroit le
+car, s’il ne l’était pas, il serait le
-homme. * Il
+homme. Il
-s’en éloignent; et
+s’en éloignent ; et
-sa voix; mais
+sa voix ; mais
-des autres.* C’est
+des autres. C’est
-n’est mau i. Esprit
+n’est mauvais Esprit
-I, i. 2. A. C. £t qa’ils aiment
+I, I. A. C. Et qu’ils aiment
-274 LETTRES PERSANES. vais gratuitement
+{{nr|274|LETTRES PERSANES.}} gratuitement
-il seroit le
+il serait le
-le seroit sans
+le serait sans
-n’y auroit pas
+n’y aurait pas
-la justice; c’est-à-dire
+la justice ; c’est-à-dire
-s’il existoit, seroit nécessairement
+s’il existait, serait nécessairement
-en dépendroit, ce seroit une
+en dépendrait, ce serait une
-qu’il faudroit se
+qu’il faudrait se
-que nous; ils
+que nous ; ils
-frayeur continuelle; nous
+frayeur continuelle ; nous
-les lions; et
+les lions ; et
-notre vîe. * Toutes
+notre vie. Toutes
-notre honnear.
+notre honneur.
-de Toffenser; qui
+de l’offenser ; qui
-en nous; et,
+en nous ; et,
-homme s’examine , quelle
+homme s’examine, quelle
-cœur juste! Ce
+cœur juste ! Ce
-autant audessus de
+autant au-dessus de
-si j’étois sûr
+si j’étais sûr
-me croirois le
+me croirais le
-hommes. D* Paris,
+hommes. De Paris,
-276 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXXIV. RICA A ♦♦♦. Je
+{{nr|276|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXXIV.}} RICA A ***. Je
-: j’aimerois autant
+: j’aimerais autant
-si j’étois prince,
+si j’étais prince,
-de voir,* assemblées
+de voir, assemblées
-pour elle! Quoi
+pour elle ! Quoi
-y étoient contraints
+y étaient contraints
-Je voudrois que
+Je voudrais que
-la 1. A. G. Quel
+la A. C. Quel
-dans uq même
+dans un même
-noblesse. ’ De
+noblesse. De
-de U lune
+de la lune
-1, 1713. 1. A.
+1, 1715. A.
-Î78 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXXV. USB£K A MIRZA.i A
+{{nr|278|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXXV.}} USBEK A MIRZA. A
-de Cba-Soliman avoient formé
+de Cha-Soliman avaient formé
-empire seroit toujours
+empire serait toujours
-qu’il garderoit dans
+qu’il garderait dans
-infidèles. C’étoit fait
+infidèles. C’était fait
-occasion, Taveugle dévotion avoit été
+occasion, l’aveugle dévotion avait été
-la rejetèrent , n’en
+la rejetèrent, n’en
-fit roffice de
+fit l’office de
-qu’il auroit pu
+qu’il aurait pu
-bataille, ^ et
+bataille, et
-les arti i. Toute
+les artisans Toute
-lettre, d*une généreuse
+lettre, d’une généreuse
-de TÉ dit de Nantes. 2. A. G. De
+de l’Édit de Nantes. A. C. De
-LETTRE LXXXV. «79 sans du
+{{nr||LETTRE LXXXV.|279}} du
-grand Gha-Abas auroit mieux
+grand Cha-Abas aurait mieux
-il auroit cru
+il aurait cru
-aux guëbres, les
+aux guèbres, les
-les Indes,* et
+les Indes, et
-cette nation,* si
+cette nation, si
-travail, étoit en
+travail, était en
-ne restoit à
+ne restait à
-: c’étoit de
+: c’était de
-l’empire tomboit de
+l’empire tombait de
-qu’on vouloit rendre
+qu’on voulait rendre
-florissante. S*il faut
+florissante. S’il faut
-leur multiplicité? 1. Ils
+leur multiplicité ? Ils
-de Parais, et ont consenré leurs livres sacri^s et
+de Parsis, et ont conservé leurs livres sacrés et
-se pardonnent, rien.
+se pardonnent rien.
-qui déshonoreroient son
+qui déshonoreraient son
-et l’exposeroient aux
+et l’exposeraient aux
-État, étoit le
+État, était le
-de Tintérêt du
+de l’intérêt du
-monde viendroient s’y
+monde viendraient s’y
-lui porteroit aucun
+lui porterait aucun
-qui animoit celle
+qui animait celle
-se croyoit la
+se croyait la
-n’y auroit pas
+n’y aurait pas
-n’en résulteroit aucun
+n’en résulterait aucun
-il faudroit être
+il faudrait être
-ne changeroit pas
+ne changerait pas
-on voudroit l’y
+on voudrait l’y
-ne feroit pas
+ne ferait pas
-28Î LETTRES PERSANES. LETTRE LXXXVI. RICA A II semble
+{{nr|282|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXXVI.}} RICA A ***. . Il semble
-leurs différends; et
+leurs différends ; et
-voix trompeuse.^ Ce
+voix trompeuse. Ce
-ch. iv. :
+ch. IV. :
-par Taffluence des
+par l’affluence des
-qui s*empressent d*y entrer
+qui s’empressent d’y entrer
-sortir. On
+sortir. <p> « On
-de Tautre occupés
+de l’autre occupés
-destinées. Dans
+destinées. <p> « Dans
-d’une Jolie marchande,
+d’une jolie marchande,
-la voii rauque
+la voix rauque
-ses criées; quel contraste! >» On
+ses criées ; quel contraste ! » <p> On
-qu’au xviir siècle,
+qu’au XVIIIe siècle,
-qu’au ivii*, quand
+qu’au XVIIe, quand
-du Palais,
+du Palais.
-LETTRE LXXXVI. «83 gi^andes salles, où Ton ne
+{{nr||LETTRE LXXXVI.|283}} grandes salles, où l’on ne
-douloureuse résistance; elle
+douloureuse résistance ; elle
-le peuple.^ Une
+le peuple. Une
-du mariage; elle
+du mariage ; elle
-y succombe.* Un
+y succombe. Un
-V. inf,, lettre
+V. inf., lettre
-fin. 2. C*est ce
+fin. C’est ce
-Boileau s*en raille
+Boileau s’en raille
-Marais, i. III,
+Marais, t. III,
-321, 330; IV,
+321, 330 ; IV,
-de M^*’ Mascranny, sa femme, Rotterdam,
+de Mlle Mascranny, sa femme. Rotterdam,
-au mari; il
+au mari ; il
-des scrupules.^ Dans
+des scrupules. Dans
-la majeure’; mais
+la majeure ; mais
-qu’il vaudroit mieux
+qu’il vaudrait mieux
-assez naturel; car
+assez naturel ; car
-Paris, e 1
+Paris, le 1
-qui n*en aura point fait, n Mathieu
+qui n’en aura point fait. » Mathieu
-LETTRE LXXXVH. 283 LETTRE LXXXVII. RICA A **•. On
+{{nr||LETTRE LXXXVI.|285}} {{nr||LETTRE LXXXVII.}} RICA A ***. On
-que rhomme est
+que l’homme est
-me parolt qu’un François* est
+me paraît qu’un Français est
-par excellence , car
+par excellence, car
-les coins; ils
+les coins ; ils
-; * cent
+; cent
-ils pourroient réparer , aux
+ils pourraient réparer, aux
-ont l’aflaire importante
+ont l’affaire importante
-voient, ou ils
+voient, où ils
-leur ôteroit jamais
+leur ôterait jamais
-en détail , sans 1 . A.
+en détail, sans A.
-le François. 2. A.
+le Français. A.
-quartiers d*une ville.
+quartiers d’une ville.
-l’on s’assemble; mais,
+l’on s’assemble ; mais,
-l’on alloit examiner
+l’on allait examiner
-y trouveroit chaque
+y trouverait chaque
-caractères suisses.^ Us passent
+caractères suisses. Ils passent
-des félicitations’ de
+des félicitations de
-de lassitude; et
+de lassitude ; et
-mille livres; le
+mille livres ; le
-cents stades; celui
+cents stades ; celui
-à trente-six.’ Sa conversation étoit amusante; il avoit un
+à trente-six. Sa conversation était amusante ; il avait un
-soixante-cinq contes; il possédoit d’ailleui*s, depuis son 1. Oa recherchait
+soixante-cinq contes ; il possédait d’ailleurs, depuis son On recherchait
-pour eu faire
+pour en faire
-: Il m’aToit fait
+: <p> Il m’avait fait
-être suisse. dit
+être suisse, <p> dit
-les Plaideurs, 2. A.
+les Plaideurs. A.
-a trente si i.
+a trente-six.
-qu’il employoit dans
+qu’il employait dans
-tais, voyageur; car comment pourrois-je achever
+tais, voyageur ; car comment pourrais-je achever
-a vu? »
+a vu ? »
-Î88 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXXVIll. USBEK A RHÉDL A
+{{nr|288|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXXVIII.}} USBEK A RHÈDI. A
-les meilleui*s chevaux
+les meilleurs chevaux
-leur naissance; mais
+leur naissance ; mais
-ces ou\Tiers habiles,
+ces ouvriers habiles,
-des François. Le
+des Français. Le
-de blanc; I tantôt
+de blanc ; tantôt
-dévouent [ eux-mêmes
+dévouent eux-mêmes
-peuple. I De Paris, la 9
+peuple. De Paris, le 9
-gemmadi 8, 1715. | 49
+gemmadi 2, 1715.
-Î90 LETTRES PERSANES. LETTRE LXXXIX. USBEK
+{{nr|290|LETTRES PERSANES.}} {{nr||LETTRE LXXXIX.}} USBEK
-A SMYRNB. Le
+A SMYRNE. Le
-point diiïérent de
+point différent de
-leur cœur; mais
+leur cœur ; mais
-gloire croit avec
+gloire croît avec
-trois gou~ vernements, que
+trois gouvernements, que
-de V Esprit des
+de l’Esprit des
-me disoit l’autre
+me disait l’autre
-qu’en Perse; aussi
+qu’en Perse ; aussi
-un François, avec
+un Français, avec
-la nation , et
+la nation, et
-son prmce, soit
+son prince, soit
-son emploi,* son
+son emploi, son
-troupes françoises aux
+troupes françaises aux
-comme stupide; au
+comme stupide ; au
-pays od l’on
+pays où l’on
-l’honneur payoit seul
+l’honneur payait seul
-éloge, étoient une récom 1. A.
+éloge, étaient une récompense A.
-cour, soa empire,
+cour, son empire,
-291 LETTRES PERSANES. pense immense
+{{nr|292|LETTRES PERSANES.}} immense
-qui avoit fait
+qui avait fait
-se trouvoit suffisamment
+se trouvait suffisamment
-ne pouvoit voir
+ne pouvait voir
-compatriotes qu il ne
+compatriotes qu’il ne
-il comptoit le
+il comptait le
-entière. Or,* cette
+entière. Or, cette
-du souverain? La
+du souverain ? La
-lui Testime publique,
+lui l’estime publique,
-général d’armée-, peut-être
+général d’armée ; peut-être
-laissera plus* à
+laissera plus à
-ragoût. ^ De
+ragoût. De
-1715. 1. A. G. Mais
+1715. A. C. Mais
-etc. 2. A. G. Et qu*il n^aura plus
+etc. A. C. Et qu’il n’aura plus
-LETTllE XC. J93 LETTRE XC. USBEK AU MÊME.i A SMYHNB. De
+{{nr||LETTRE XC.|293}} {{nr||LETTRE XC.}} USBEK AU MÊME. A SMYRNE. De
-nation Françoise a
+nation française a
-point d’honneur; c’est
+point d’honneur ; c’est
-chaque profession; mais
+chaque profession ; mais
-me seroit bien
+me serait bien
-que c’est , car
+que c’est, car
-les François, surtout
+les Français, surtout
-ne suivoient guère
+ne suivaient guère
-point d’honneur; elles régloient toute
+point d’honneur ; elles réglaient toute
-elles étoient si
+elles étaient si
-ne pouvoit, sans
+ne pouvait, sans
-il s’agissoit de
+il s’agissait de
-ne prescrivoient guère
+ne prescrivaient guère
-qui étoit le
+qui était le
-qui tranchoit toutes
+qui tranchait toutes
-y avoit de
+y avait de
-se rendoit 1. Comparez
+se rendait Comparez
-lois, lU, 6,
+lois, III, 6,
-; XXVUI, 20.
+; XXVIII, 20.
-y étoient intéressées.
+y étaient intéressées.
-il falloit qu’il
+il fallait qu’il
-s’il avoit été
+s’il avait été
-se sentoit toujours lionoré d’un
+se sentait toujours honoré d’un
-qui n’auroit pas
+qui n’aurait pas
-quatre pistôles à
+quatre pistoles à
-ne faisoit aucune
+ne faisait aucune
-décider étoit assez mal imaginée; car,
+décider était assez mal imaginée ; car,
-homme étoit plus
+homme était plus
-ne s’ensuivolt pas
+ne s’ensuivait pas
-peines trèssévères : * mais
+peines très-sévères : mais
-ne reconnolt point
+ne reconnaît point
-les François sont
+les Français sont
-été offensé; mais,
+été offensé ; mais,
-un échafaud; si
+un échafaud ; si
-a doDc que
+a donc que
-la lane de
+la lune de
-1715. 1. L^cdit de
+1715. L’édit de
-LETTRE XCI. 293 LETTRE XCI. USBEK
+{{nr||LETTRE XCI.|295}} {{nr||LETTRE XCI.}} USBEK
-Il parolt ici
+Il paraît ici
-des François, des
+des Français, des
-ne sauroit donner
+ne saurait donner
-qu’il sembloit avoir
+qu’il semblait avoir
-France avoit eu
+France avait eu
-fait paroltre avec
+fait paraître avec
-ont fait.* De Parii, le
+ont fait. De Paris, le
-la lane de gemmadi i, 1715. 1. «
+la lune de gemmadi 2, 1715. «
-et même quelque
+et méme quelque
-Ce qu*on crut
+Ce qu’on crut
-ministre d*une
+ministre d’une
-des proyinces de
+des provinces de
-avait euYoyé ce
+avait envoyé ce
-contrefit Pambassadeur de Perse; que
+contrefit l’ambassadeur de Perse ; que
-une b&tarde de Tabbé de
+une bâtarde de l’abbé de
-Correspondance d*Êlisabeth-Gharlotte, duchesse d*Orléans, mère
+Correspondance d’Élisabeth-Charlotte, duchesse d’Orléans, mère
-de rédition Dalibon.
+de l’édition Dalibon.
-LETTRIi XCII. 297 LETTRE XCII. USBEK
+{{nr||LETTRE XCII.|297}} {{nr||LETTRE XCII.}} USBEK
-RHÉDI. Le
+RHÉDI. A VENISE. Le
-plus. * Il
+plus. Il
-ce dernier, moment,
+ce dernier moment,
-oncle, * a
+oncle, a
-roi avoit fait
+roi avait fait
-qui bornoit l’autorité
+qui bornait l’autorité
-au parlement;’ i. Louis
+au parlement ; Louis
-à Tàge de soixanto-dix-sept ans
+à l’âge de soixante-dix-sept ans
-règne. H éuit né
+règne. Il était né
-1643. 2. Le duc d*Orléans. 3. Lundi
+1643. Le duc d’Orléans. Lundi
-t. I,p. 156 et
+t. I, p. 116 et
-t. XIIJ.
+t. XIII.
-lui-même, sembloit avoir
+lui-même, semblait avoir
-la justice; et
+la justice ; et
-tout aflbibli, à
+tout affaibli, à
-liberté publique; et,
+liberté publique ; et,
-s’il avoit pensé
+s’il avait pensé
-autorité légitime.* De
+autorité légitime. De
-la lane de rbégeb, 1715. 1. Par
+la lune de rhégeb, 1715. Par
-1715, Térifié en
+1715, vérifié en
-qui ôUient au
+qui étaient au
-LETTRE XCIII. 299 LETTRE XCIII. USBEK
+{{nr||LETTRE XCIII.|299}} {{nr||LETTRE XCIII.}} USBEK
-SON FRÈRE. SANTON ^ AU UONASTÈRE DE CASDIN. Je
+SON FRÈRE, SANTON AU MONASTÈRE DE CASBIN.. Je
-je nie prosterne; je
+je me prosterne ; je
-ciel même; les
+ciel même ; les
-les nuées? Et
+les nuées ? Et
-ne t’honorerois-je pas,
+ne t’honorerais-je pas,
-vrais croyants; et
+vrais croyants ; et
-peuples rebelles? Les
+peuples rebelles ? Les
-déserts i. Moine
+déserts Moine
-Ils passoient quelquefois
+Ils passaient quelquefois
-ils habitoient la
+ils habitaient la
-des démons; ils étoient sans
+des démons ; ils étaient sans
-les trouvoient au
+les trouvaient au
-les trouvoient à table; jamais
+les trouvaient à table ; jamais
-il faudroit avouer
+il faudrait avouer
-personne n’auroit jamais
+personne n’aurait jamais
-vain cherchons -nous dans
+vain cherchons-nous dans
-état tranquille; les
+état tranquille ; les
-point encore; ces
+point encore ; ces
-de Fesprit, ces
+de l’esprit, ces
-de Terreur et
+de l’erreur et
-les abîmes; il
+les abîmes ; il
-de cbahban, 1713.
+de chahban, 1715.
-LETTRE XCIV. 30i LETTRE XCIV. USBEK
+{{nr||LETTRE XCIV.|301}} {{nr||LETTRE XCIV.}} USBEK
-A VEMSE. Je
+A VENISE. Je
-quelle est* l’origine des sociétés; ce
+quelle est l’origine des sociétés ; ce
-me paroît ridicule.
+me paraît ridicule.
-n’en formoient point,
+n’en formaient point,
-se quittoient et se fuy oient les
+se quittaient et se fuyaient les
-il faudroit en
+il faudrait en
-tiennent séparés; mais
+tiennent séparés ; mais
-aux autres; un
+aux autres ; un
-société. * Le
+société. Le
-mettre l’ini i. C’est
+mettre l’iniquité C’est
-société d*un contrat
+société d’un contrat
-PERSANES. quité en
+PERSANES. en
-conséquences I La
+conséquences ! La
-On diroit, Rhédi,
+On dirait, Rhédi,
-des paiticuliers, qui
+des particuliers, qui
-droit civil; l’autre
+droit civil ; l’autre
-public n’étoit pas
+public n’était pas
-la lane de zilhagé, 1716.
+la lune de zilhagé, 1710.
-la trouver; on
+la trouver ; on
-se pré* venir dans
+se prévenir dans
-n’y auroit point
+n’y aurait point
-des queœlles particulières
+des querelles particulières
-la préséance. ^ La
+la préséance.a La
-la société. * Les
+la société.b Les
-la société. ’ Ainsi,
+la société.c Ainsi,
-la composent. * 1. A. C. Qui lui refuse le pas. 2. A. C. Éd. de 175i. C’est la guerre, puisque son but est la destruction de la société. 3. A. C. Éd. de 1754. Du bannissement, établie dans les tribunaux, qui retranche les coupables de la société. 4. A. C. Est retranché par là de notre société, et n’est plus un de nos membres.
+la composent.d
-que Talliance nous
+que l’alliance nous
-pas légitime; et
+pas légitime ; et
-monarque d’Egypte fit
+monarque d’Égypte fit
-qu’il renonçoit à
+qu’il renonçait à
-par elle-même. * Lorsque
+par elle-même.e Lorsque
-du tort; et,
+du tort ; et,
-de paix* sont
+de paixf sont
-conditions i. A. C. Le droit do coaquêto n’est point un droit. Une société ne peut être fondée que sur la volonté des associé.^. Si elle est détruite par la conquête, le peuple redevient libre; il n’y a plus de nouvelle société; et si le vainqueur en veut former, c’est une tyrannie. — Conf. Esprit des lois, X, 3. 2. A. C. A regard des traités de paix, ils ne sont jamais légitimes lorsqu’ils ordonnent une cession ou dédommagement plus considérable que le dommage causé; autrement c*est une pure violence contre laquelle on peut toujours revenir, à moins que, pour ravoir ce qu*on a perdu, on no soit obligé de se servir de moyens si violents, qu*il en arrive un mal plus grand que le bien que Ton en doit retirer. 20
+conditions
-se conserver; sans
+se conserver ; sans
-les diiïérents degrés
+les différents degrés
-de foiblesse parmi
+de faiblesse parmi
-la foiblesse à
+la faiblesse à
-la raison. * De
+la raison.g De
-1716. 1. Co dernier alinéa, retranche dans Tédition de 175i, a
+1716. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Qui lui refuse le pas. b A. C. Éd. de 1754. C’est la guerre, puisque son but est la destruction de la société. c A. C. Éd. de 1754. Du bannissement, établie dans les tribunaux, qui retranche les coupables de la société. d A. C. Est retranché par là de notre société, et n’est plus un de nos membres. e A. C. Le droit de conquête n’est point un droit. Une société ne peut être fondée que sur la volonté des associés. Si elle est détruite par la conquête, le peuple redevient libre ; il n’y a plus de nouvelle société ; et si le vainqueur en veut former, c’est une tyrannie. — Conf. Esprit des lois, X, 3. f A. C. A l’égard des traités de paix, ils ne sont jamais légitimes lorsqu’ils ordonnent une cession ou dédommagement plus considérable que le dommage causé ; autrement c’est une pure violence contre laquelle ou peut toujours revenir, à moins que, pour ravoir ce qu’on a perdu, on ne soit obligé de se servir de moyens si violents, qu’il en arrive un mal plus grand que le bien que l’on en doit retirer. g Ce dernier alinéa, retranché dans l’édition de 1754, a
-dans Tédition de 1758 {OEuvres complètes) et conserve dans
+dans l’édition de l758 (Œuvres complètes) et conservé dans
-de Visapour; j’en
+de Visapour ; j’en
-me connois en
+me connais en
-surprennent pas,’ et
+surprennent pas, et
-qui pourroit effacer
+qui pourrait effacer
-la marchandoit avec
+la marchandait avec
-se déroboit dédaigneusement
+se dérobait dédaigneusement
-et sembloit chercher
+et semblait chercher
-elle avoit voulu
+elle avait voulu
-marchand n’étoit pas
+marchand n’était pas
-qu’elle étoit destinée
+qu’elle était destinée
-prévoir Tétonnement de
+prévoir l’étonnement de
-; l’aflliction muette,
+; l’affliction muette,
-émouvoir I que
+émouvoir ! que
-de paroître, sortira
+de paraître, sortira
-fond môme du
+fond même du
-notre ouvrage,* et
+notre ouvrage,a et
-Que dis-je? elles
+Que dis-je ? elles
-leurs rivales; et
+leurs rivales ; et
-magnifique seigneur , tout
+magnifique seigneur, tout
-tout entière? Nous
+tout entière ? Nous
-que foiblement i. A. C. Elles font presque la moitié de notre office.
+que faiblement
-les espérances; plus
+les espérances ; plus
-ne Tes quand
+ne l’es quand
-donc, magnifîque seigneur,
+donc, magnifique seigneur,
-apaiser Tamour qui
+apaiser l’amour qui
-zilhagé, ni6.
+zilhagé, 1716. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Elles font presque la moitié de notre office.
-HASSEIN, DBRVIS DE LA UONTAGNE DE JARON. toi,
+HASSEIN, DERVIS DE LA MONTAGNE DE IAHON. O toi,
-de connoissances, écoute
+de connaissances, écoute
-te dire.* Il
+te dire. Il
-ne saurois croire
+ne saurais croire
-l’univers. • Que
+l’univers. Que
-des hommes; des
+des hommes ; des
-proposent, i. A.
+proposent, A.
-dire. 2. Esprit dês lois, I, i.
+dire. Esprit des lois, I, 1.
-promptitude infînie, dans
+promptitude infinie, dans
-ces lois? Tu
+ces lois ? Tu
-à comprendre; lu ne
+à comprendre ; tu ne
-longtemps méconnoître; et
+longtemps méconnaître ; et
-a vu* toute Ja fécondité
+a vub toute la fécondité
-de vue. • La connoissance de
+de vue.c La connaissance de
-de prodiges’ et
+de prodigesd et
-prophètes. 1. A. C. On en a connu toute, etc. 2. A. C. A perte de vue, comme je te le ferai voir dans une lettre particulière. 3. A. C. Leur a fait faire plus de prodiges.
+prophètes.
-à nous; combien
+à nous ; combien
-à Saturne; quelle
+à Saturne ; quelle
-soit possible. * Peut-être
+soit possible.e Peut-être
-divin avoit orné
+divin avait orné
-et sublimes; s’il y avoit mêlé
+et sublimes ; s’il y avait mêlé
-il auroit fait
+il aurait fait
-qui n’auroit cédé
+qui n’aurait cédé
-saint Àlcoran. Cependant,
+saint Alcoran. Cependant,
-petites choses,* qui me paroissent toujours
+petites choses,f qui me paraissent toujours
-de Dieu* et
+de Dieug et
-des hommes; comme
+des hommes ; comme
-y avoit dicté
+y avait dicté
-parmi nous; tu
+parmi nous ; tu
-le 1. A. C. Qu’il est possible. 2. A. De choses puériles. 3. A. C. Au contraire, dans nos livres saints, on trouve le langage de Dieu.
+le
-LETTRE XCVlî. 313 fruit de Tindépendance où Ton vit
+fruit de l’indépendance où l’on vit
-pays. Non; grâces
+pays. Non ; grâces
-chahban, ITld.
+chahban, 1716. -------------------------------------------------------------------------------- b A. C. On en a connu toute, etc. c A. C. A perte de vue, comme je te le ferai voir dans une lettre particulière. d A. C. Leur a fait faire plus de prodiges. e A. C. Qu’il est possible. f A. De choses puériles. g A. C. Au contraire, dans nos livres saints, on trouve le langage de Dieu.
-A SUYRNE. Il
+A SMYRNE. Il
-celui-là Test de
+celui-là l’est de
-pauvre, Taveugle fatalité
+pauvre, l’aveugle fatalité
-sont pauvi’es ;
+sont pauvres ;
-leurs effets; car
+leurs effets ; car
-au juste, * sous
+au juste,a sous
-la vie; ainsi
+la vie ; ainsi
-les 1. A. Au juge.
+les
-argent. * Pour
+argent. Pour
-conseil. * On
+conseil. On
-France qu’ailleurs; c’est
+France qu’ailleurs ; c’est
-grands seigneurs; 11 remplit
+grands seigneurs ; il remplit
-par euxmêmes, ils
+par eux-mêmes, ils
-et arides.’ Je
+et arides. Je
-les avoit accordées
+les avait accordées
-les auroit pas
+les aurait pas
-n’en auroit plus
+n’en aurait plus
-le 86 de la lane de
+le 26 de la lune de
-1717. 1. Voyez notamment Taffaire de Bouryalais et
+1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Au juge. Voyez notamment l’affaire de Bourvalais et
-de Mathiea Marais,
+de Mathieu Marais,
-p. 224; t. U, p. 345. 2. Le
+p. 224 ; t. II, p. 345. Le
-de Noaillcs. Mémoires
+de Noailles. Mémoires
-les François, étonnants. Us ont
+les Français, étonnants. Ils ont
-ils étoient habillés cet été; ils
+ils étaient habillés cet été ; ils
-cet hiver; mais
+cet hiver ; mais
-ne sauroit croire
+ne saurait croire
-me serviroit de
+me servirait de
-leurs parures? Une
+leurs parures ? Une
-nouvelle viendroit détruire
+nouvelle viendrait détruire
-tu eusses * reçu
+tu eussesa reçu
-tout seroit changé.
+tout serait changé.
-s’y étoit oubliée
+s’y était oubliée
-fils méconnoît le
+fils méconnaît le
-tant Thabit avec
+tant l’habit avec
-lui parott étranger; il
+lui paraît étranger ; il
-et i. A. Que tu n’eusses.
+et
-immense mettoit le
+immense mettait le
-autre, c’étoient les
+autre, c’étaient les
-qui occupoient cette
+qui occupaient cette
-talons faisoient un
+talons faisaient un
-les tenoit en
+les tenait en
-Qui pourroit le croire? Les
+Qui pourrait le croire ? Les
-femmes exîgeoient d’eux ce changement; et
+femmes exigeaient d’eux ce changement ; et
-ces caprices. * On
+ces caprices.b On
-elles disparoissent toutes
+elles disparaissent toutes
-femmes avoient de
+femmes avaient de
-mauvais plaisants, • les
+mauvais plaisants,c les
-mères. H en
+mères. Il en
-les François changent
+les Français changent
-monarque pourroit môme parvenir
+monarque pourrait même parvenir
-s’il l’avoit entrepris.
+s’il l’avait entrepris.
-autres. Oe Paris,
+autres. De Paris,
-1717. i. A.
+1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Que tu n’eusses. b A.
-A CCS fantaisies. 3. A.
+A ces fantaisies. c A.
-Quoi qu*en dise
+Quoi qu’en dise
-te parlois l’autre
+te parlais l’autre
-de Tinconstance prodigieuse des François sur
+de l’inconstance prodigieuse des Français sur
-sont entêtés; ils
+sont entêtés ; ils
-rappellent tout; c’est
+rappellent tout ; c’est
-se fsdt chez
+se fait chez
-leur paroît toujours
+leur paraît toujours
-ne saurois guère
+ne saurais guère
-des bagatelles; car,
+des bagatelles ; car,
-mieux vêtus; ils
+mieux vêtus ; ils
-perruquiers françoîs décident
+perruquiers français décident
-leur paroît si
+leur paraît si
-les toilettes* de l’Europe. 1. Cabinets de toilette; boudoirs.
+les toilettes de l’Europe. Cabinets de toilette ; boudoirs.
-et civil? Qui
+et civil ? Qui
-pour lui?^ Si les François avoient été
+pour lui ? Si les Français avaient été
-ne seroit pas
+ne serait pas
-place, étoient en
+place, étaient en
-des provinces; mais
+des provinces ; mais
-romain. * Cette
+romain. Cette
-de compilateurs; gens aussi foibles par
+de compilateurs ; gens aussi faibles par
-canon. 2. Ceci n*est point
+canon. Ceci n’est point
-la France.
+la Franco.
-raison humaine. * 11 seroit assez
+raison humaine.a Il serait assez
-la lane de
+la lune de
-1717. 1. A.
+1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A.
-LETTRE Cr. 321 LETTRE CL USBEK A ••*. On
+LETTRE CI. USBEK A ***. On
-la constitution.* J’entrai
+la constitution. J’entrai
-teint vermeil ,* qui disoit d’une
+teint vermeil, qui disait d’une
-mon mandement; je
+mon mandement ; je
-bien sué’ pour
+bien suéb pour
-le front; j’ai
+le front ; j’ai
-se trouvoit là,
+se trouvait là,
-je défierois bien ce jésuite* qui
+je défierais bien ce jésuitec qui
-Lisez-le donc,* reprit-il; et
+Lisez-le donc,d reprit-il ; et
-en avois parlé
+en avais parlé
-la journée. • Voilà
+la journée.e Voilà
-il évitoit d’entrer
+il évitait d’entrer
-ses retranchements; et
+ses retranchements ; et
-force i. La coDstitution Unigenitus,
+force La constitution Unigenitus,
-jansénistes. 2. Un évoque. 3. A. C. Il m*a fallu bien suer. 4. A. C. Et je défie ce jésuite. 5. A. C. Eh bien ! lisez-le donc. 6. A. C. Parlé deux heures. 21
+jansénistes. Un évêque.
-lui rendoit très-respectueusement.
+lui rendait très-respectueusement.
-qui étoient là nioient quelque
+qui étaient là niaient quelque
-il disoit d’abord : Gela est
+il disait d’abord : Cela est
-dis-je alors, * êtes-vous
+dis-je alors,a êtes-vous
-juges infaillibles? Ne
+juges infaillibles ? Ne
-nous éclaire? Cela
+nous éclaire ? Cela
-je reconnois que
+je reconnais que
-éclairé. D« Paris,
+éclairé. De Paris,
-de lébiab 1 , 1717. 1. A.
+de rébiab 1, 1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A.
-lors.
+lors. b A. C. Il m’a fallu bien suer. c A. C. Et je défie ce jésuite. d A. C. Eh bien ! lisez-le donc. e A. C. Parlé deux heures.
-LETTRE Cil. 3Î3 LETTRE CIL VSBEK A IBBËX. A SUYRNE. Les
+LETTRE CII. USBEK A IBBEN. A SMYRNE. Les
-nombre infmi de
+nombre infini de
-à plaindre; leurs
+à plaindre ; leurs
-des caravansérails, * où
+des caravansérails,a où
-qui viennent; il
+qui viennent ; il
-ainsi appelés; car
+ainsi appelés ; car
-leur pureté. ’ C’est
+leur pureté.b C’est
-en despo 1. Â. Caravansérals. 2. A. Qu’ils aient subsisté longtemps. C’est un état.
+en despotisme
-3U LETTRES PERSANES. tisme ou
+ou
-le prince; Téquilibre est
+le prince ; l’équilibre est
-de l’autre; mais
+de l’autre ; mais
-nos sultans; premièrement,
+nos sultans ; premièrement,
-nos princes ^ de
+nos princesc de
-empires > et
+empires ; et
-avantage infmi sur
+avantage infini sur
-de mourir; la
+de mourir ; la
-s’il avoit attenté
+s’il avait attenté
-s’il avoit voulu
+s’il avait voulu
-en seroit quitte
+en serait quitte
-mort cer 1. A. C. Les princes.
+mort certaine
-LETTRE Cil. 325 taine et
+et
-troubler TÉtat et
+troubler l’État et
-le souverain; seule
+le souverain ; seule
-à perdre, ’ et
+à perdre,d et
-à gagner; ce
+à gagner ; ce
-mort violente. • Si,
+mort violente.e Si,
-ils n’apportoient pas
+ils n’apportaient pas
-ne vivroient pas un jour; et s’ils n’avoient à
+ne vivraient pas un jour ; et s’ils n’avaient à
-ne subsisteroit pas
+ne subsisterait pas
-de France’ prit
+de France prit
-prince d’Asie* avoit envoyés
+prince d’Asie avait envoyés
-rois avoient vécu
+rois avaient vécu
-homme 1 . A. De ce qu’ils ont à y perdre. t2. A. C. Et peu de princes morts d*unc mort violente. 3. Philippe-Auguste. 4. Le
+homme Philippe-Auguste. Le
-la cha^ leur et
+la chaleur et
-rébiab 8, 1717.
+rébiab 2, 1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Caravansérais. b A. Qu’ils aient subsisté longtemps. C’est un état. c A. C. Les princes. d A. De ce qu’ils ont à y perdre. e A. C. Et peu de princes morts d’une mort violente.
-LETTRE CîII. 327 LETTRE CIIL USBEK
+LETTRE CIII. USBEK
-me disoit l’autre
+me disait l’autre
-sensé. a Le
+sensé. « Le
-plus respectables; mais
+plus respectables ; mais
-le roi; et
+le roi ; et
-personne. Cette
+personne. « Cette
-ne connott que
+ne connaît que
-s’il avoit été
+s’il avait été
-esprits. Si
+esprits. « Si
-IV, avoit porté
+IV, avait porté
-qui auroit semblé
+qui aurait semblé
-il auroit pris
+il aurait pris
-sans quun seul
+sans qu’un seul
-enfants. a On
+enfants. « On
-et affreux? Les
+et affreux ? « Les
-s’ils changeoient quelque
+s’ils changeaient quelque
-ne pourroit être
+ne pourrait être
-préjudice. Quant
+préjudice. « Quant
-ne sauroit l’exécuter
+ne saurait l’exécuter
-il faudroit qu’il
+il faudrait qu’il
-toujours unique; le
+toujours unique ; le
-ce pouvoir; et
+ce pouvoir ; et
-instant. Le
+instant. « Le
-pieds. Un
+pieds. « Un
-jusqu’à l’idée; dans
+jusqu’à l’idée ; dans
-CIV. 329 LETTRE CIV. LSBEK AU
+CIV. USBEK AU
-exemple, Thumeur impatiente des Anglois ne
+exemple, l’humeur impatiente des Anglais ne
-de reconnoissance sont
+de reconnaissance sont
-l’obéissance cesse; rien
+l’obéissance cesse ; rien
-à lui; et
+à lui ; et
-ne sauroit être
+ne saurait être
-avons nousmêmes :
+avons nous-mêmes :
-nous n* avons pas
+nous n’avons pas
-plus foible commet
+plus faible commet
-leurs rois,^ déclara-t-il que c’étoit un
+leurs rois, déclara-t-il que c’était un
-leur Alcoran,’ qui
+leur Alcoran, qui
-bien difTicile à
+bien difficile à
-pas observer; d’autant
+pas observer ; d’autant
-Les Anglois disent
+Les Anglais disent
-lui disputoît la couronne, * voulut
+lui disputait la couronne,a voulut
-comme lui; et,
+comme lui ; et,
-de rébiab S, 1717. 1. Charles I". 2. Le Nouveau Testament. 3. A.
+de rebiab 2, 1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A.
-qui s’étoit révolté et luidisputoit la
+qui s’était révolté et lui disputait la
-etc.
+etc. Charles Ier. Le Nouveau Testament.
-CV. 334 LETTRE CV, RHÉDI
+CV. RHÉDI
-USBEK. Tu
+USBEK. A PARIS. Tu
-bombes avoit ôté
+bombes avait ôté
-de l’Europe.* Les
+de l’Europe.a Les
-se seroient rendus,
+se seraient rendus,
-entières. i. A. C. Peuples d’Europe.
+entières.
-33S LETTRES PERSANES. Ta as
+Tu as
-sur TignoraDce des
+sur l’ignorance des
-en Europe; mais
+en Europe ; mais
-la chimie.^ Il
+la chimie. Il
-mais continuellement; tandis
+mais continuellement ; tandis
-leurs richesses? L’or
+leurs richesses ? L’or
-l’argent avoient été
+l’argent avaient été
-convention générale,’ pour
+convention générale, pour
-métaux étoient rares
+métaux étaient rares
-: ’ que nous importoit-il donc
+: que nous importait-il donc
-plus communs? et
+plus communs ? et
-lieu d’un? Cela n’en étoit que
+lieu d’un ? Cela n’en était que
-été détruites; et
+été détruites ; et
-fait frémir* les musulmans. i. C’est aiusi que
+fait frémirb les musulmans. C’est ainsi que
-l’alchimie. 2. Ce n*est pas
+l’alchimie. Ce n’est pas
-de For et de Targcnt. 3. L*or et
+de l’or et de l’argent. L’or et
-de monnaie; on
+de monnaie ; on
-que Tétai n et
+que l’étain et
-plus divers, 4. A. C. Eu a fait frémir, etc.
+plus divers.
-de Mahomet! Aimable
+de Mahomet ! Aimable
-qui régnoit dans
+qui régnait dans
-premiers pères! De
+premiers pères ! De
-la luae de
+la lune de
-1717.
+1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Peuples d’Europe. b A. C. En a fait frémir, etc.
-où Ton cultive les beauxarts; et
+où l’on cultive les beaux-arts ; et
-le diraije, Rhédi? je
+le dirai-je, Rhédi ? je
-nous entraîneroit la
+nous entraînerait la
-des arts?* Il
+des arts ? Il
-instruit pourroit vivre avec honneur; il s’y trouveroit, à
+instruit pourrait vivre avec honneur ; il s’y trouverait, à
-lui trouveroit point
+lui trouverait point
-il passeroit tout
+il passerait tout
-et seroit même
+et serait même
-sa gentillesse. * Tu
+sa gentillesse.a Tu
-tous i. Sous
+tous Sous
-et rindustrie. 2. A. C. Et seroit distingué môme par sa gentillesse.
+et l’industrie.
-plus policés;^ mais, prends-y garde; ils
+plus policés ;b mais, prends-y garde ; ils
-puissance auroit passé
+puissance aurait passé
-invention venoit à
+invention venait à
-elle seroit bientôt
+elle serait bientôt
-des gens; et
+des gens ; et
-nations enseveliroit cette
+nations ensevelirait cette
-pareilles voies; ils
+pareilles voies ; ils
-des bombes; tu
+des bombes ; tu
-ne l’étoient autrefois.
+ne l’étaient autrefois.
-ne l’étoient, parce
+ne l’étaient, parce
-se seroit trouvé quelque
+se serait trouvé, quelque
-art auroit été
+art aurait été
-le rejeter? Penses-tu,
+le rejeter ? Penses-tu,
-perfides chrétiens? Tu
+perfides chrétiens ? Tu
-ruine 1 . A. C. Les mieux policés.
+ruine
-les subjuguèrent,* cultivoient les
+les subjuguèrent,c cultivaient les
-se voir* réduits
+se voird réduits
-l’on raffme le
+l’on raffine le
-c’est peutêtre celle
+c’est peut-être celle
-qu’elle devoit paroître à
+qu’elle devait paraître à
-certaine parure; il
+certaine parure ; il
-de manger; elle
+de manger ; elle
-ne seroit notre
+ne serait notre
-lui. i. A. C. Puisque les Grecs qui les subjuguèrent, cultivoient les arts, etc. 2. A. C. A moins que de se voir.
+lui.
-parles tant? Je
+parles tant ? Je
-absolument nécessaires* à
+absolument nécessairese à
-la fantaisie; je
+la fantaisie ; je
-état seroit un
+état serait un
-plus misérables* qu’il
+plus misérablesf qu’il
-habitants auroient assez
+habitants auraient assez
-peuple dépériroit tous
+peuple dépérirait tous
-l’État deviendroit si foible, qu’il n’y auroit si
+l’État deviendrait si faible, qu’il n’y aurait si
-ne pût’ le
+ne pûtg le
-Il seroit aisé ^ d’entrer
+Il serait aiséh d’entrer
-particuliers cesseroient presque
+particuliers cesseraient presque
-n’y auroit presque
+n’y aurait presque
-on verroit finir
+on verrait finir
-autres ; ^ chaque particulier 1. A. Que les arts qui sont absolument, etc. "2. A. C. Seroit le plus misérable. 3. A. C. Qui ne fût en état de le conquérir. 4. A. C. Je pourrois entrer ici dans un long détail, et te faire voir, etc. 5. A. C. Cette circulation, etc., et cette propagation de revenus qui vient, etc., cesscroit absolument; chacun ne tireroit de revenu que de sa terre, et n’en tireroit précisément que ce qu’il lui faut pour ne pas mourir de faim; mais, comme ce n’est pas la centième partie du revenu d’un royaume, il faudroit, etc. 22
+autres ;i chaque particulier
-338 LETTRES PERSANES. vivroit de
+vivrait de
-n’en retireroit que
+n’en retirerait que
-ce il* est pas
+ce n’est pas
-il faudroit que
+il faudrait que
-vingtième partie. * Fais
+vingtième partie.j Fais
-sa valeur; mais,
+sa valeur ; mais,
-doit conclure, * Rhédi,
+doit conclure,k Rhédi,
-les délices; il
+les délices ; il
-1717. 1. A.
+1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Et serait distingué même par sa gentillesse. b A. C. Les mieux policés. c A. C. Puisque les Grecs qui les subjuguèrent, cultivaient les arts, etc. d A. C. A moins que de se voir. e A. Que les arts qui sont absolument, etc. f A. C. Serait le plus misérable. g A. C. Qui ne fut en état de le conquérir. h A. C. Je pourrais entrer ici dans un long détail, et te faire voir, etc. i A. C. Cette circulation, etc., et cette propagation de revenus qui vient, etc., cesserait absolument ; chacun ne tirerait de revenu que de sa terre, et n’en tirerait précisément que ce qu’il lui faut pour ne pas mourir de faim ; mais, comme ce n’est pas la centième partie du revenu d’un royaume, il faudrait, etc. j A.
-partie. 2. A. G. Il faut coDclure.
+partie. k A. C. Il faut conclure.
-CVII. 339 LETTRE GVIi, RICA
+CVII. RICA
-A SMTRNB. J*ai vu
+A SMYRNE. J’ai vu
-jeune monarque.’ Sa
+jeune monarque. Sa
-ne Test pas
+ne l’est pas
-mort pourroit produire.
+mort pourrait produire.
-mais charmante; une
+mais charmante ; une
-heureux naturel,* et
+heureux naturel, et
-jamais connoltre le
+jamais connaître le
-celui-ci ; et
+celui-ci : et
-toujours rivales; mais
+toujours rivales ; mais
-bien diiBcile à
+bien difficile à
-le 15 février 1710. 2. Mémoires
+le 13 février 1710. Mémoires
-p. 194 et suir.
+p. 104 et suiv.
-340 LETTRES PERSANES. foiblesse ;
+faiblesse ;
-sa foiblesse et
+sa faiblesse et
-il étoit, je
+il était, je
-que c’étoit le
+que c’était le
-en avoit le moins besoin.^ J’entendis
+en avait le moins besoin.a J’entendis
-qui disoit :
+qui disait :
-jeune colonel; sa
+jeune colonel ; sa
-m’est connue; j’en
+m’est connue ; j’en
-autre disoit :
+autre disait :
-je pourrois répondre
+je pourrais répondre
-qui tenoient ces
+qui tenaient ces
-lui avoient peut-être
+lui avaient peut-être
-servent mutuellement; c’est
+servent mutuellement ; c’est
-dans l’État; et
+dans l’État ; et
-ne connoît les
+ne connaît les
-qui joue, * mais
+qui joue,b mais
-n’en connoît point
+n’en connaît point
-avec lui? Quelle idée! 1. A. G. Le moins de besoin. 2. A. Est comme celui qui voit bien une machine qui joue.
+avec lui ? Quelle idée !
-naturel parolt dans
+naturel paraît dans
-en gros, ^ mais
+en gros,c mais
-la lane de chalval, HH. 1. A.
+la lune de chalval, 1717. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Le moins de besoin. b A. Est comme celui qui voit bien une machine qui joue. c A.
-A •• Il
+A ***. Il
-ne connoîssons point
+ne connaissons point
-me paroissent ici
+me paraissent ici
-les journaux.* La
+les journaux. La
-les lisant; on
+les lisant ; on
-un in-quarto; un
+un in-quarto ; un
-à ï in-folio; il
+à l’in-folio ; il
-la paine du
+la peine du
-que Fauteur a
+que l’auteur a
-j’en ferois bien
+j’en ferais bien
-je voulois ruiner
+je voulais ruiner
-vérité étoit 1. Les
+vérité était Les
-au xviii* siècle,
+au XVIIIe siècle,
-presse n*a paru
+presse n’a paru
-France qu*ca 1789.
+France qu’en 1789.
-LETTRE CVflI. 343 jamais nouvelle. Urne semble
+jamais nouvelle. Il me semble
-auteurs i*essemblent aux
+auteurs ressemblent aux
-se plaindre; mais
+se plaindre ; mais
-ne sauroient soutenir
+ne sauraient soutenir
-si sensible; et
+si sensible ; et
-est traitée; première fadeur; de
+est traitée ; première fadeur ; de
-A *•*. L’Université
+A ***. L’Université
-et très-alnée; car
+et très-aînée ; car
-lettre Ç, * qu’elle vouloit que
+lettre Q, qu’elle voulait que
-le différend; et
+le différend ; et
-fantaisie. 11 faisoit beau
+fantaisie. Il faisait beau
-l’alphabet I Il
+l’alphabet ! Il
-sont assemblées; et
+sont assemblées ; et
-corps s attachent toujours
+corps s’attachent toujours
-aux minuties,* aux
+aux minuties,a aux
-au collège royal,
+au college royal,
-prononçât kiskiz et
+prononçât kiskis et
-adversaire d*Aristote, il
+adversaire d’Aristote, il
-de rUniversité, en 1572. 2. A. G. Aux minuties, aux formalités, aux vains usages.
+de l’Université, en 1572.
-roi d’Aragon* ayant
+roi d’Aragon ayant
-délibérations seroient conçues
+délibérations seraient conçues
-dispute étoit vive,
+dispute êtait vive,
-se seroient rompus
+se seraient rompus
-l’on n’avoit imaginé
+l’on n’avait imaginé
-qui étoit que
+qui était que
-demande seroit faite
+demande serait faite
-la lane de xilhagé, 1718. 1. Cétoitcn 1610.
+la lune de zilhagé, 1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Aux minuties, aux formalités, aux vains usages C’était en 1610.
-346 LRTTÏU:S PERSANKS. LIiTTRE ex. RICA A •**. Le
+LETTRE CX. RICA A ***. Le
-que Ton ne pense. 11 n’y
+que l’on ne pense. Il n’y
-une mouche* qui
+une mouchea qui
-deux rivaux; pour paroître neutre
+deux rivaux ; pour paraître neutre
-à l’autre; et
+à l’autre ; et
-leur donne! Quelle
+leur donne ! Quelle
-de plaisirs,* et
+de plaisirs,b et
-qui pourroient les
+qui pourraient les
-le paroître. Ennuyez-les
+le paraître. Ennuyez-les
-vous 1. Coitaines éditions ont remplacé le mot poster par poser, ou placer, qui ne le vaut pas. 2. A. C. Quelle occupation pour faire venir parties de plaisir sur partics, les faire succéder et renaître sans cesse, et prévenir, etc.
+vous
-sont réjouies. * Je
+sont réjouies.c Je
-elles disoient sans
+elles disaient sans
-nous divertir. * Nous
+nous divertir.d Nous
-divertissons bien; il
+divertissons bien ; il
-si gaie’ que
+si gaiee que
-nôtre. Gomme l’ennui me gagnoit, une
+nôtre. Comme l’ennui me gagnait, une
-bonne humeur? —
+bonne humeur ? —
-tristesse triomphoit toujours des réflexions; et,
+tristesse triomphait toujours des réflexions ; et,
-1718. 1. A.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a Certaines éditions ont remplacé le mot poster par poser, ou placer, qui ne le vaut pas. b A. C. Quelle occupation pour faire venir parties de plaisir sur parties, les faire succéder et renaître sans cesse, et prévenir, etc. c A.
-348 LETTRES PERSANES. LETTRE CXL USBEK A •’*. Le
+LETTRE CXI. USBEK A ***. Le
-la fm en avoit fait
+la fin en avait fait
-Paris * prononça
+Paris prononça
-: * et
+: et
-: Messieurs,
+: « Messieurs,
-crois quMl nous
+crois qu’il nous
-échec. J^ai six 1 . On prétend que Montesquieu désigne ici Charles de Mouchi d*IIocquincourt, fait maréchal de France en 1631. l\ faut avouer que la plaisanterie vient un peu tard. 2. J^emprunte à
+échec. J’ai six J’emprunte à
-: Cette
+: <p> Cette
-Marteau (no lviii), avec
+Marteau (nº LVIII), avec
-: Le
+: <p> RICA A A ***. <p> Le
-jamais. II est
+jamais. Il est
-fougue surprenante; et
+fougue surprenante ; et
-cesse d*un de
+cesse d’un de
-jamais d*où il
+jamais d’où il
-parti. J*ai ouï parler
+parti. <p> J’ai oui parler
-cour, excitoit lui-même
+cour, excitait lui-même
-temps
+temps en temps quelques séditions qu’il apaisait aussitôt. Il avoua depuis que la plus forte sédition ne lui coûta, tout compte fait, qu’un demi-toman. ll faisait assembler quelques canailles dans un cabaret qui donnait le ton à toute la ville, et ensuite à toute la province. <p> Cela me fait ressouvenir d’une lettre qu’écrivit dans les derniers troubles de Paris un des généraux de cette ville, à un de ses amis. <p> Je fis sortir, il y a trois jours, les troupes de la ville, mais elles furent repoussées avec perte. Je compte pourtant que je réparerai facilement cet échec ; j’ai six couplets, etc... <p> Si cela ne suffit pas, il a été résolu en conseil de faire paraître une estampe qui fera voir Mazarin pendu, et pour peu que la conjoncture le demande, nous aurons la ressource d’ordonner au graveur de le rouer... <p> Jugez après cela si le peuple a tort de s’animer, et de faire du nom de Mazarin un mot générique, etc. <p> De Paris, le 9 de la lune de zilcadé, 1715, On prétend que Montesquieu désigne ici Charles de Mouchi d’Hocquincourt, fait maréchal de France en 1631. Il faut avouer que la plaisanterie vient un peu tard.
-dans Téquilibre. J’ai
+dans l’équilibre. J’ai
-particulier. Si
+particulier. « Si
-ferons paroftre une
+ferons paraître une
-pendu. tt Par
+pendu. « Par
-bien françois; et
+bien français ; et
-prononce. * Nous
+prononce. Nous
-carrefours. J’espère
+carrefours. « J’espère
-tirer. Depuis notre défaite,* notre
+tirer. « Depuis notre défaite,a notre
-furieusement en temps quelques séditions qu*il apaisoit aussitôt. Il avoua depuis que la plus forte sédition ne lui coûta, tout compte fait, qu*un demi-toman. 11 faisoit assembler quelques canailles dans un cabaret qui donnoit le ton à toute la ville, et ensuite à toute la province. Cela me fait ressouvenir d’une lettre qu’écrivit dans les derniers troubles de Paris un des généraux de cette ville, à un de ses amis. Je fis sortir, il y a trois jours, les troupes de la ville, mais elles furent repoussées avec perte. Je compte pourtant que Je réparerai facilement cet échec; j’ai six couplets etc... Si cela ne suffit pas, il a été résolu en conseil de faire paroltre une estampe qui fera voir Mazarin pendu, et pour peu que la conjoncture le demande, nous aurons la ressource d’ordonner au graveur de le rouer... Jugez après cela si le peuple a tort de s’animer, et de faire du nom de Mazarin un mot générique, etc. De Paris, le 9 de la lune de zilcadé, 1715, 1. Le
+furieusement Le
-prononcer Varrét d’union,
+prononcer l’arrêt d’union,
-parlement Varrét d’ognon,
+parlement l’arrêt d’ognon,
-édition, Ck)logne, 1121.) 2. Depuis notre défaite n’est pas dans la première édition.
+édition, Cologne, 1721.)
-pages. c Ranimez-vous donc; reprenez
+pages. « Ranimez-vous donc ; reprenez
-de si£flets. »
+de sifflets. »
-1718.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a Depuis notre défaite n’est pas dans la première édition.
-USBEK. Pendant
+USBEK. A PARIS. Pendant
-les temps; j’ai
+les temps ; j’ai
-devant moi; et
+devant moi ; et
-qu’il étoit autrefois?* Comment
+qu’il était autrefois ? Comment
-premiers temps? Seroit-elle déjà
+premiers temps ? Serait-elle déjà
-sa vieillesse? et tomberoit-elle de langueur? J’ai
+sa vieillesse ? et tomberait-elle de langueur ? J’ai
-ne sub 1. Que
+ne subsistent Que
-aujourd’hui quilsne Tétaient dans Tantiquité, cela
+aujourd’hui qu’ils ne l’étaient dans l’antiquité, cela
-preuve. U faudrait
+preuve. Il faudrait
-35Î LETTRES PEHSANES. sistent encore
+encore
-où étoient ces
+où étaient ces
-Rome contenoit autrefois
+Rome contenait autrefois
-de l’Europe* n’en a aujourd’hui.* Il
+de l’Europea n’en a aujourd’hui. Il
-qui avoit dix,
+qui avait dix,
-qui travailloient dans
+qui travaillaient dans
-de campagne; et,
+de campagne ; et,
-y comptoit quatre
+y comptait quatre
-y avoit autrefois,
+y avait autrefois,
-parle Gésai-.’ Les
+parle César. Les
-nouvelles demeures.* La
+nouvelles demeures. La
-peuples. 1. A. C. Que le plus grand royaume de TEurope. 2. C’est
+peuples. C’est
-chiffre très-élevé. 3. C’est un paradojLe. La
+chiffre trés-élevé. C’est un paradoxe. La
-de forêts. Conf.
+de forts. Conf.
-ch. xvi. 4. L’Allemagne
+ch. XVI. L’Allemagne
-LETTRE CXII. 353 On ne sauroit trouver dans FAmérique, la cinquantième partie* des
+On ne saurait trouver dans l’Amérique, la cinquantième partieb des
-y formoient de
+y formaient de
-qui contenoit tant
+qui contenait tant
-plus peuplée;’ pour
+plus peuplée ;c pour
-elle étoit autrefois,
+elle était autrefois,
-y étoient sans
+y étaient sans
-réellement déserts; tels
+réellement déserts ; tels
-royaumes dUrimette, de
+royaumes d’Irimette, de
-Ces princes,’ avec
+Ces princes,d avec
-sujets. L’Egypte n’a
+sujets. L’Égypte n’a
-délabrements : * je
+délabrements :e je
-qu’elle étoit sous
+qu’elle était sous
-les Romains.’^ Aujourd’hui,
+les Romains.f Aujourd’hui,
-si foibles, que
+si faibles, que
-monde. 1 . A. C. La deux centième partie des hommes qui y formoient autrefois de si grands empires. 2. A. C. N*est pas plus pleine, et pour celle, etc. 3. A. C. Tous ces princes. 4. A. C. Je n’y trouve que délabrement. 5. A. C. De ce qu’elle ctoit, lorsqu’elle étoit province romaine. 23
+monde.
-dixième partie* des
+dixième partieg des
-y étoient dans
+y étaient dans
-les jours;* et
+les jours ; et
-10 do la
+10 de la
-1718. 1. A.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Que le plus grand royaume de l’Europe. b A. C. La deux centième partie des hommes qui y formaient autrefois de si grands empires. c A. C. N’est pas plus pleine, et pour celle, etc. d A. C. Tous ces princes. e A. C. Je n’y trouve que délabrement. f A. C. De ce qu’elle était, lorsqu’elle était province romaine. g A.
-y étoient du
+y étaient du
-et TAmériquc.
+et l’Amérique.
-LlîTTRE CXIM 355 LETTRE CXllI. CSBEK A IIHÉDI. Le
+LETTRE CXIII. USBEK A RHÉDI. A VENISE. Le
-point incorruptible; les
+point incorruptible ; les
-leurs changements,* qui
+leurs changements,a qui
-des mouvements;* elle
+des mouvements ;b elle
-guerre éternelle; chaque
+guerre éternelle ; chaque
-les détruire,’ et,
+les détruire,c et,
-ont !. A. C. De tous les chaiif^ements qui sont les effets, etc. 2. A. C. Au\ mùincs lois des mouvements. 3. A. C. Peuvent agir, dont la plus petite peut les détruire, et à plus forto raison augmenter ou diminuer leur nombre.
+ont
-désolé Tunivers. Elles
+désolé l’univers. Elles
-du Catay;* un
+du Catay ; un
-corruption auroit, peut-être
+corruption aurait, peut-être
-en Afrique; elle
+en Afrique ; elle
-effets prodigieux; c’étoit fait
+effets prodigieux ; c’était fait
-elle avoit continué
+elle avait continué
-ils auroient péri misérablement. Qu’auroit-ce été,
+ils auraient péri misérablement. Qu’aurait-ce été,
-plus exalté? et
+plus exalté ? et
-le seroit devenu,
+le serait devenu,
-l’on n’avoit été
+l’on n’avait été
-a découvert.’ Peut-être
+a découvert. Peut-être
-génération, auroit attaqué
+génération, aurait attaqué
-qui auroit pu
+qui aurait pu
-genre humain? N’est-elle
+genre humain ? N’est-elle
-en effet? et
+en effet ? et
-seule famille? 11 y
+seule famille ? Il y
-des philosophes’ qui
+des philosophesd qui
-peuvent corn i. La Chine. 2. Le mercure. 3. A. C. n’ont point cette première phrase, et rédigent ainw le paragraphe : Ceux qui connoissent la nature et qui ont de Dieu une idée raisonnable, peuvent-ils comprendre que la matière, etc.
+peuvent comprendre La Chine. Le mercure.
-LE TTRE CXIU. 357 prendre que
+que
-mille ans; que
+mille ans ; que
-créatrice. Seroit-ce parce
+créatrice. Serait-ce parce
-ne l’auroit pas
+ne l’aurait pas
-ne l’auroit pas voulu? Mais
+ne l’aurait pas voulu ? Mais
-ne Ta pas voulu; mais
+ne l’a pas voulu ; mais
-commencement. ^ Cependant,
+commencement. e Cependant,
-du déluge; et
+du déluge ; et
-du monde? Mais
+du monde ? Mais
-voyons plusieure parties
+voyons plusieurs parties
-de lassitude? ’ J’ai
+de lassitude ?f J’ai
-Je le ferai
+Je te ferai
-8 d« la luae de
+8 de la lune de
-1718. 1. Dans A. G., avant cet alioéa, on
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. De tous les changements qui sont les effets, etc. b A. C. Aux mêmes lois des mouvements. c A. C. Peuvent agir, dont la plus petite peut les détruire, et a plus forte raison augmenter ou diminuer leur nombre. d A. C. n’ont point cette première phrase, et rédigent ainsi le paragraphe : Ceux qui connaissent la nature et qui ont de Dieu une idée raisonnable, peuvent-ils comprendre que la matière, etc. e Dans A. C, avant cet alinéa, on
-: l\ ne
+: Il ne
-les anni^es du
+les années du
-paragraphe paraît pour
+paragraphe parait pour
-de 175i.
+de 1754.
-ne Tétoit autrefois; et
+ne l’était autrefois ; et
-bien changées; il s*en faut de beaucoup* que
+bien changées ; il s’en faut de beaucoupa que
-de Tespèce que
+de l’espèce que
-polygamie étoit défendue
+polygamie était défendue
-elle avoit un
+elle avait un
-religion mahométane; le
+religion mahométane ; le
-y étoit permis; ce
+y était permis ; ce
-en donnoit un
+en donnait un
-même livre.* Voyez
+même livre.b Voyez
-le prophète , parce
+le prophète, parce
-vous Sont nécessaires 1. A. C. Il s*cn faut bien que, etc. 1. A. C. Ordonné par le niC^me livre.
+vous sont nécessaires
-de vêtements? Vos
+de vêtements ? Vos
-bientôt foible et
+bientôt faible et
-avec épargne; ses
+avec épargne ; ses
-jamais violentes; jusque
+jamais violentes ; jusque
-la tempérance; elle
+la tempérance ; elle
-et mesure; si
+et mesure ; si
-la langueur; elle
+la langueur ; elle
-plus propre * à
+plus proprec à
-un trèspetit nombre d’enfants; ces
+un très-petit nombre d’enfants ; ces
-temps, foibles et
+temps, faibles et
-ces femmes , obligées
+ces femmes, obligées
-des eunuques; la
+des eunuques ; la
-la 1. A. C. Plus propres.
+la
-pas d*en laisser approcher d’autres; ces
+pas d’en laisser approcher d’autres ; ces
-l’autre sexe»^ les
+l’autre sexe,d les
-du monde; c’est
+du monde ; c’est
-périssent d’ellesmêmes ;
+périssent d’elles-mêmes ;
-elles seroient bientôt
+elles seraient bientôt
-n’y faisoient venir,
+n’y faisaient venir,
-13 d« la
+13 de la
-1718. 1. A.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Il s’en faut bien que, etc. b A. C. Ordonné par le même livre. c A. C. Plus propres d A.
-de l*ua et de Tautre sexe
+de l’un et de l’autre sexe
-CXV. 361 LETTRE CXV. LSBEK AU
+CXV. USBEK AU
-Romains n’avoient pas
+Romains n’avaient pas
-que nous; ils en avoient même
+que nous ; ils en avaient même
-en faisoient un
+en faisaient un
-la favorisoient, au
+la favorisaient, au
-leur pouvoir; ils les associoient le
+leur pouvoir ; ils les associaient le
-qu’ils pouvoient par
+qu’ils pouvaient par
-de mariages; par
+de mariages ; par
-ils remplissoient leui*s maisons
+ils remplissaient leurs maisons
-les âges; et
+les âges ; et
-qui faisoient à
+qui faisaient à
-maître, naissoient sans
+maître, naissaient sans
-de lui; il étoit seul
+de lui ; il était seul
-fardeau, suivoient uniquement
+fardeau, suivaient uniquement
-et multiplioient sans
+et multipliaient sans
-perpétuelle léthargie; de
+perpétuelle léthargie ; de
-362 LETTRES PERSAiNES. Il n’en étoit pas
+Il n’en était pas
-se servoil, avec
+se servait, avec
-d’eux avoit son pécule, qu il possédoit aux
+d’eux avait son pécule, qu’il possédait aux
-lui imposoit; avec
+lui imposait ; avec
-il travailloit et se tournoit du
+il travaillait et se tournait du
-le portoit son
+le portait son
-Celui-ci faisoit la banque; celui-là se donnoit au
+Celui-ci faisait la banque ; celui-là se donnait au
-la mer; Tun vendoit des
+la mer ; l’un vendait des
-l’autre s’appliquoit à
+l’autre s’appliquait à
-bien affermoit et faisoit valoir
+bien affermait et faisait valoir
-en avoit aucun
+en avait aucun
-lui procuroit en
+lui procurait en
-liberté future; cela faisoit un
+liberté future ; cela faisait un
-laborieux, animoit les
+laborieux, animait les
-se faisoient affranchir et devenoient citoyens.
+se faisaient affranchir et devenaient citoyens.
-se réparoit sans cesse, etrecevoit dans
+se réparait sans cesse, et recevait dans
-se détruisoient. J’aurai
+se détruisaient. J’aurai
-y fleurit; je
+y fleurit ; je
-choses s’entr’ aident et
+choses s’entr’aident et
-laborieux, devoit-il s’accroître et s’augmenter? L’industrie
+laborieux, devait-il s’accroître et s’augmenter ? L’industrie
-les faisoient naître; et
+les faisaient naître ; et
-côté, faisoient naître
+côté, faisaient naître
-de cli.iliban, 1718.
+de chahban, 1718.
-LETTRE CWI. 363 LETTRE CXVI. LSBEk AU MEME. Nous avons jusqu ici parlé
+LETTRE CXVI. USBEK AU MÊME. Nous avons jusqu’ici parlé
-pays mahoinétans et
+pays mahométans et
-ils sont* moins
+ils sonta moins
-qui étoient soumis
+qui étaient soumis
-divorce étoit permis
+divorce était permis
-qui pamt d’abord
+qui parut d’abord
-telles quon peut
+telles qu’on peut
-sa fin; en
+sa fin ; en
-les relâcha; et,
+les relâcha ; et,
-le prétendoit, on
+le prétendait, on
-destin môme. On
+destin même. On
-et Tinsociabilité des humeurs; on
+et l’insociabilité des humeurs ; on
-cœur, c’està-dire ce
+cœur, c’est-à-dire ce
-inconstant 1. A. C. Pourquoi ils étoient, etc.
+inconstant
-qui faisoient lier
+qui faisaient lier
-ne contribuoit plus
+ne contribuait plus
-: * un
+: un
-femme étoient portés à soutenir" patiemment
+femme étaient portés à soutenirb patiemment
-qu’ils étoient maîtres
+qu’ils étaient maîtres
-; ’ et ils gardoient souvent
+; et ils gardaient souvent
-qu’ils étoient libres
+qu’ils étaient libres
-leur éternité; de
+leur éternité ; de
-néglige l’essentiel; on
+néglige l’essentiel ; on
-de froideur; il
+de froideur ; il
-et peutêtre plus
+et peut-être plus
-elles étoient publiques
+elles étaient publiques
-mariage, n*en représente
+mariage, n’en représente
-elle i. Ce n^est pas
+elle Ce n’est pas
-anciens. 2. A. Portés à eupporter, etc. 3. l\ semblerait,
+anciens. Il semblerait,
-qu’elle Test elle-même.
+qu’elle l’est elle-même.
-est aboli; les
+est aboli ; les
-raccommodent plus; les
+raccommodent plus ; les
-en tiroient, dans
+en tiraient, dans
-parti qu il étoit possible.
+parti qu’il était possible.
-citoyens étoient sans
+citoyens étaient sans
-n’y avoit qu’une
+n’y avait qu’une
-qui étoit la
+qui était la
-il avoit été
+il avait été
-en seroit né
+en serait né
-innombrable. 11 est assez diflicile de
+innombrable. Il est assez difficile de
-les conventions , et
+les conventions, et
-qui auroient pu en affoiblir l’objet; mais
+qui auraient pu en affaiblir l’objet ; mais
-de vue; aussi ontils bien
+de vue ; aussi ont-ils bien
-la peins à
+la peine à
-qu’ils peuvent; mais
+qu’ils peuvent ; mais
-1718.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Pourquoi ils étaient, etc. b A. Portés à supporter, etc.
-les chrétiens , la
+les chrétiens, la
-résulte rien.* Je
+résulte rien. Je
-encore davantage; sans
+encore davantage ; sans
-y condamnoient autrefois
+y condamnaient autrefois
-le berceau; aujourd’hui, ils* s’y vouent euxmêmes dès
+le berceau ; aujourd’hui, ils s’y vouent eux-mêmes dès
-qui établissoient des
+qui établissaient des
-se refusoient aux
+se refusaient aux
-et vouloient jouir
+et voulaient jouir
-des enfants; elle
+des enfants ; elle
-ni dervis; et
+ni dervis ; et
-qui ramenoit tout
+qui ramenait tout
-fondateurs n’avoient été
+fondateurs n’avaient été
-catholiques étoient beaucoup
+catholiques étaient beaucoup
-un équilibre.* Les
+un équilibre.a Les
-plus foibles. l. A. C. A un équilibre; et aujourd’hui la balance commence à Pem-
+plus faibles.
-les catholiques; d’où
+les catholiques ; d’où
-de ceux* qui les payent; secondement,
+de ceuxb qui les payent ; secondement,
-à faire; et
+à faire ; et
-des tejres, il
+des terres, il
-commerce périsse; et,
+commerce périsse ; et,
-terres manque; c’est-à-dire,
+terres manque ; c’est-à-dire,
-est pernicieuse; elle
+est pernicieuse ; elle
-sa fortune; il
+sa fortune ; il
-lui auroit coûté
+lui aurait coûté
-de l’État; c’est
+de l’État ; c’est
-rendent jamais; ils
+rendent jamais ; ils
-manufactures. porter de leur côté; cette supériorité augmentera tous los jours; les protestants, etc. 1. A. C. Â proportion de ceux.
+manufactures.
-plus d’impôts^ que
+plus d’impôtsc que
-ses sujets; cependant
+ses sujets ; cependant
-sont pauvres* pendant
+sont pauvresd pendant
-le monacbisme porte
+le monachisme porte
-Paris, U 26
+Paris, le 26
-la luae de chahbaD, HJS. 1. A.
+la lune de chahban, 1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. A un équilibre ; et aujourd’hui la balance commence à l’emporter de leur côté ; cette supériorité augmentera tous les jours ; les protestants, etc. b A. C. A proportion de ceux. c A.
-plus dlmpùts. 2. A.
+plus d’impôts. d A.
-misérables. H
+misérables.
-l’Europe ; passons
+l’Europe : passons
-n’en connott pas
+n’en connaît pas
-qu’elles étoient du
+qu’elles étaient du
-déjà dites. ^ Quant
+déjà dites.a Quant
-la Guinée,’ elles
+la Guinée,b elles
-est ellemême déserte,
+est elle-même déserte,
-ressource. 1. A. C. Que nous avons déjà dites. ’2. A. De Guinée.
+ressource.
-métaux d’eux-mé.nes absolument
+métaux d’eux-mêmes absolument
-les signes.’ Dd Paris, le durnier de la lane de
+les signes. De Paris, le dernier de la lune de
-1718. 1. Voyez les notis de
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Que nous avons déjà dites. b A. De Guinée. Voyez les notes de
-37« LETTRES PERSANES. LETTRE GXIX. USBEK AU MÊME. La
+LETTRE CXIX. USBEK AU MÈME. La
-nombreux qu il n’étoit. Les
+nombreux qu’il n’était. Les
-seule es;)érance qu’ont
+seule espérance qu’ont
-la terre.* Les
+la terre. Les
-Perse n’avoient tant
+Perse n’avaient tant
-faire, c’éloit de
+faire, c’était de
-de penser; car,
+de penser ; car,
-cette vie; qu’ils
+cette vie ; qu’ils
-Tyen, * repren 1. Le Mesàie. 2. C’est
+Tyen, reprennent Le Messie. C’est
-LETTRE CXIX. 373 nent une
+une
-effets trèspernicieux, lorsqu’elle
+effets très-pernicieux, lorsqu’elle
-penser qu*à une
+penser qu’à une
-nous paroissent quelque
+nous paraissent quelque
-les teiTes incultes,
+les terres incultes,
-nos soins; nous
+nos soins : nous
-les autres; en
+les autres ; en
-de plusieurs; enfin,
+de plusieurs ; enfin,
-de rhamazaD, PIS.
+de rhamazan, 1718.
-374 LETTRES PERSANES. LETTRE CXX. (JSBEK AU
+LETTRE CXX. USBEK AU
-et a pêche
+et la pêche
-puisse donner^ la
+puisse donnera la
-de eux ou
+de deux ou
-mutuellement. Ify a,
+mutuellement. Il y a,
-n’est 1. A. C. Qui puisse donner.
+n’est
-la première; c*est la
+la première ; c’est la
-maris. II y
+maris. Il y
-ce désordre; elles
+ce désordre ; elles
-: ^ la
+: la
-l’excusent pas.* De Parit, 1« 9 de Ut lane de
+l’excusent pas. De Paris, le 9 de la lune de
-1718. 1. Édit
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Qui puisse donner. Édit
-de 1556. 2. A.
+de 1550. A.
-Ne Texcusent jamais.
+Ne l’excusent jamais.
-376 LETTRES PERSANES. LETTRE CXXI. USBËK AU
+LETTRE CXXI. USBEK AU
-est d’affoiblir les
+est d’affaiblir les
-envoie. ’ * Il
+envoie. Il
-: * il
+: il
-un mauvais; d’autres
+un mauvais ; d’autres
-pays. II agit
+pays. Il agit
-malades. ’ Les
+malades. Les
-nouveau pli.* Quand
+nouveau pli.a Quand
-climat :^ 1 . L*effet ordinaire
+climat :b L’effet ordinaire
-regarde TAngleterre avec
+regarde l’Angleterre avec
-contraire. 3. Cest une
+contraire. C’est une
-un climit semblable
+un climat semblable
-bien. 4. Ce paragraphe n’est pas dans A. 5. A. Dans la nature du> climat.
+bien.
-hommes d*un ciel
+hommes d’un ciel
-Romains savoient cela
+Romains savaient cela
-ils reléguoient tous
+ils reléguaient tous
-y faisoient passer
+y faisaient passer
-leur perte; chose
+leur perte ; chose
-qu’ils avoient pour ’ces misérables rendoit très-facile.
+qu’ils avaient pour ces misérables rendait très-facile.
-nombre prodi^eux de
+nombre prodigieux de
-rempli l’Amérique.^ Depuis
+rempli l’Amérique. Depuis
-même état; et
+même état ; et
-t’ai parlé’ vient
+t’ai parléc vient
-concourir, nonseulement il
+concourir, non-seulement il
-Maures d^Espagne se
+Maures d’Espagne se
-et maltiplié dans TAmérique du
+et multiplié dans l’Amérique du
-écrasant. 2. A. C. Dont nous avons parlé.
+écrasant.
-se remplisse» il
+se remplisse, il
-je ferois mieux
+je ferais mieux
-colonies. ^ Je
+colonies. Je
-réussissent quelquefois; il
+réussissent quelquefois ; il
-multiplie toujours; témoin ces lies’ qui
+multiplie toujours ; témoin ces îles qui
-y avoient abandonnés,
+y avaient abandonnés,
-y recouvroient aussitôt
+y recouvraient aussitôt
-colonies réussiroient, au
+colonies réussiraient, au
-ne feroient que la partager; à
+ne feraient que la partager ; à
-Carthaginois avoient, comme
+Carthaginois avaient, comme
-ils faisoient un
+ils faisaient un
-cette navi* gation. J*ose le
+cette navigation. J’ose le
-il faudroit faire
+il faudrait faire
-les métifs’ en Espagne; il faudroit rendre
+les métifsd en Espagne ; il faudrait rendre
-monarchie 1. Témoin rAoïérique du
+monarchie Témoin l’Amérique du
-et l’Australie? 2. L’auteur
+et l’Australie ? L’auteur
-de 11 ie de
+de l’Ile de
-(M.) 3. A. Tous les métifs. Les métifs ou métis sont les fils d’Indiens et d’Espagnols.
+(M.)
-se conservoit, l’Espagne deviendroit la
+se conservait, l’Espagne deviendrait la
-à corriger * les
+à corrigere les
-les conserver; et
+les conserver ; et
-ensemble, disparoltre de
+ensemble, disparaître de
-aux hommes* quelle étoit le
+aux hommesf quelle était le
-affreux étoit unique.^ Comment auroient-ils pu 1. A. C. Rien no devrait corriger. 2. A. En découvrant les Indes, avoir voulu en môme temps découvrir aux hommes. 3. Les Anglais n*ont pas
+affreux était unique. Comment auraient-ils pu Les Anglais n’ont pas
-de Tlnde, et
+de l’Inde, et
-dans Tobéissance.
+dans l’obéissance.
-dans Tobéissance? Comment
+dans l’obéissance ? Comment
-si loin? Que seroient-ils devenus, s* ils avoient donné
+si loin ? Que seraient-ils devenus, s’ils avaient donné
-ils étoient de
+ils étaient de
-leurs foudres? Quant
+leurs foudres ? Quant
-toute opposée; ils
+toute opposée ; ils
-qu’ils avoient découverts. Les HoUandois favorisèrent
+qu’ils avaient découverts. Les Hollandais favorisèrent
-prince envieroit le
+prince envierait le
-ces conquérants? Qui voudroit de
+ces conquérants ? Qui voudrait de
-ces conditions? Les
+ces conditions ? Les
-aussitôt chassés; les
+aussitôt chassés ; les
-désert encore, * C’est
+désert encore.g C’est
-de détruire; comme
+de détruire ; comme
-se consumoit à
+se consumait à
-qu’il jetoit dans
+qu’il jetait dans
-qu’il brisoit aussitôt.
+qu’il brisait aussitôt.
-1718. 1. A.
+1718. -------------------------------------------------------------------------------- a Ce paragraphe n’est pas dans A. b A. Dans la nature du climat. c A. C. Dont nous avons parlé. d A. Tous les métifs. Les métifs ou métis sont les fils d’Indiens et d’Espagnols. e A. C. Rien ne devrait corriger. f A. En découvrant les Indes, avoir voulu en même temps découvrir aux hommes. g A.
-LETTRE CXXI . 381 LETTRE GXXII. USBEK AU MÊME. La
+LETTRE CXXII. USBEK AU MEME. La
-preuve constante; et,
+preuve constante ; et,
-si Ton con>idère la
+si l’on considère la
-et Topulence qui
+et l’opulence qui
-: Tune se
+: l’une se
-par ellemême, et
+par elle-même, et
-trouve l’autre. * L’espèce
+trouve l’autre.a L’espèce
-ordinairement l’égalité* dans
+ordinairement l’égalitéb dans
-quelques particu 1. Â. G. Et les besoins attirent dans les pays où l*ou trouve l’autre. 2. A. G. De l’égalité.
+quelques particuliers,
-38« LETTRES FEKSANES. liers, possèdent
+possèdent
-mariera pas; ou,
+mariera pas ; ou,
-qui pourroient achever
+qui pourraient achever
-qui descendroient de
+qui descendraient de
-soit pauvre; cette
+soit pauvre ; cette
-aveuglément l’instiiKt de
+aveuglément l’instinct de
-la misère? Ils
+la misère ? Ils
-: foibles et
+: faibles et
-sont empoilés en
+sont emportés en
-où étoient tous
+où étaient tous
-les obligeoit de
+les obligeait de
-il naissoit bien
+il naissait bien
-LETTRE CXMI. 383 misère, la famiDe et
+misère, la famine et
-fait disparottre. Que
+fait disparaître. Que
-autres États? De
+autres États ? De
-de rbamazan, 1718.
+de rhamazan, 1718. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Et les besoins attirent dans les pays où l’on trouve l’autre. b A. C. De l’égalité.
-AU MOLLAk MÉHEMET ALI, OARDIBN DB8 TROIS
+AU MOLLAK MÉHEMET ALI, GARDIEN DES TROIS
-A COU. Que
+A COM. Que
-des mollaks? La
+des mollaks ? La
-reçus. Dn moufti
+reçus. Un moufti
-vizir d’Allemagne* est
+vizir d’Allemagne est
-tu voudrois 1. Le
+tu voudrais Le
-beaucoup d*autres avantages,
+beaucoup d’autres avantages,
-paix AVAntjt(rAn«i> Ha Pn.aAJi.rnwit7.. o.n 171K. avantageuse
+paix avantageuse
-sous Tétendard d’Hali,
+sous l’étendard d’Hali,
-des saints; et
+des saints ; et
-des infldëles. De Parit, le 1 de’la lone de chalyal, 1718. 25
+des infidèles. De Paris, le 1 de la lune de chalval, 1718.
-386 LETTRES PERSANES. ♦LETTRE CXXIV.* USBEK
+* LETTRE CXXIV. USBEK
-RHÉDI. Quel
+RHÉDI. A VENISE. Quel
-leurs courtisans?’ Veulent-ils
+leurs courtisans ? Veulent-ils
-les attacher? ils
+les attacher ? ils
-acquièrent quelquesuns de
+acquièrent quelques-uns de
-mon i. Cette
+mon Cette
-que J’emprante à
+que j’emprunte à
-Mathieu Blarais, u I,
+Mathieu Marais, t. I,
-: a Le
+: « Le
-nos sujets ^ à
+nos sujetsb à
-la multitude* des
+la multitudec des
-ont présentées^ lesquelles
+ont présentées, lesquelles
-trône. Hs nous
+trône. Ils nous
-notre lever; que
+notre lever ; que
-avons toiiyours vus
+avons toujours vus
-des bornes; et
+des bornes ; et
-qu’il est’ notoire
+qu’il estd notoire
-entretien trèsdifficile :
+entretien très-difficile :
-la tête, ^ de
+la tête,e de
-nos prédécesseurs; et
+nos prédécesseurs ; et
-intrigues. Ainsi,* désirant
+intrigues. Ainsi,f désirant
-: a Que
+: « Que
-pourra. tf Défendons
+pourra. « Défendons
-soit. Ordonnons
+soit. « Ordonnons
-de i. 2* C. 1721. De nos plus riches sujets. 2. 2* C. 1721. A la multitude innombrable. 3. 2« C, 1721. Qu’il étoit notoire. 4. 2« C. 1721. En branlant la tète. 5. 2* C. 1721. A ces causes.
+de
-388 LETTRES PERSANES. Notre MiO^s^i n’achètent
+Notre Majesté, n’achètent
-d’habits, & eiix« à
+d’habits, à eux, à
-qu’ils avolent coutume
+qu’ils avaient coutume
-leurs familles, ^ les
+leurs familles,g les
-de Tannée. c Et,
+de l’année. « Et,
-ennuyeuse modestie; nous
+ennuyeuse modestie ; nous
-marier, jusqu*à ce
+marier, jusqu’à ce
-nos magistrats^ de
+nos magistratsh de
-leurs enfantai. »
+leurs enfants. »
-de rhalval, 1718. 1. 2* C.
+de chalval, 1718. -------------------------------------------------------------------------------- b 2e C. 1721. De nos plus riches sujets. c 2e C. 1721. A la multitude innombrable. d 2e C. 1721. Qu’il était notoire. e 2e C. 1721. En branlant la tête. f 2e C. 1721. A ces causes. g 2e C.
-Dans lean familles,
+Dans leurs familles,
-amis. 2. 2* C. 1721. Â tous
+amis. h 2e C. 1721. A tous
-CXXV. 389 LETTRE CXXV. RICA A •*’. On
+CXXV. RICA A ***. On
-les menace; mais,
+les menace ; mais,
-soit d*ètre d’une courte durée; l’imagination
+soit d’être d’une courte durée ; l’imagination
-aux maltresses d’ici-bas,
+aux maîtresses d’ici-bas,
-qui avoit été
+qui avait été
-qui venoit de
+qui venait de
-Voyez, disoit-elle, comme
+Voyez, disait-elle, comme
-gêné I II ne
+gêné ! Il ne
-a envie! A-t-on
+a envie ! A-t-on
-trouva îà par
+trouva là par
-: ’ Homme
+: Homme
-cette femme? Non,
+cette femme ? Non,
-jamais parlé; mais
+jamais parlé ; mais
-Que dites-vous? dit
+Que dites-vous ? dit
-Il étoit jaloux,
+Il était jaloux,
-pour lui!... pas
+pour lui !... pas
-me séduisoient, et qui savoient de
+me séduisaient, et qui savaient de
-je vivois avec lui, n’avoient garde
+je vivais avec lui, n’avaient garde
-tout dire; mais
+tout dire ; mais
-Monsieur 1. Les bonxes sont
+Monsieur Les bonzes sont
-la Chine; il n*y en
+la Chine ; il n’y en
-dans rinde, Montesquieu
+dans l’Inde, Montesquieu
-confondus a?ec les
+confondus avec les
-vous, ditelle en
+vous, dit-elle en
-chalval, 171 P.
+chalval, 1718.
-39t LETTRES PERSANES. LETTRE GXXVI. RICA
+LETTRE CXXVI. RICA
-USBEK. Je
+USBEK. A ***. Je
-royaume. ^ On
+royaume. On
-son éducation; * qu’on
+son éducation ; qu’on
-est trës-étroitement gardé,
+est très-étroitement gardé,
-n’y avoit qu’eux
+n’y avait qu’eux
-fussent hommes; et
+fussent hommes ; et
-inutile tendresse? elle
+inutile tendresse ? elle
-du Blaine. L’édition
+du Maine. L’édition
-il n*y a
+il n’y a
-paroles d*un prince,
+paroles d’un prince,
-qui pleuroient :
+qui pleuraient :
-de chaWal, 1718.
+de chalval, 1718.
-394 LETTRBS PERSANES. LETTRE GXXVIl, RIGA A IBBBN. A SMTRRB. Tu as OUÏ parler
+LETTRE CXXVII. RICA A IBBEN. A SMYRNE. Tu as ouï parler
-: * il assiégeoit une
+: il assiégeait une
-il visitoit la
+il visitait la
-: * les
+: les
-Il étoit accusé
+Il était accusé
-: c’étoit d’avoir
+: c’était d’avoir
-son bonheur? Je voudrois que
+son bonheur ? Je voudrais que
-au siège de Frederikshall, d*une balle
+au siége de Frederikshall, d’une balle
-droite. Gonf. Eiprit des
+droite. Conf. Esprit des
-des seigneurs^ descend
+des seigneurs descend
-fidélité, j’ad risqué
+fidélité, j’ai risqué
-faire opprimer? Un
+faire opprimer ? Un
-veut connoitre. Les
+veut connaître. Les
-le 85 de U lune
+le 25 de la lune
-1719. I. Shah
+1719. Shah
-396 LETTRES PERSANES. LETTRE GXXVIII. RICA A USBEK« Je passois l’autre
+LETTRE CXXVIII. RICA A USBEK. Je passais l’autre
-sa connoissance, qu’il
+sa connaissance, qu’il
-un géomètre; et
+un géomètre ; et
-n’y avoit rien
+n’y avait rien
-il étoit dans
+il était dans
-il étoit occupé
+il était occupé
-le tourmentoit peut-être
+le tourmentait peut-être
-en faisoient beaucoup
+en faisaient beaucoup
-qui étoient dans
+qui étaient dans
-se troavoit dans
+se trouvait dans
-lieu agréable; car
+lieu agréable ; car
-s’il n’ avoit pas
+s’il n’avait pas
-régulier toisoit tout
+régulier toisait tout
-se disoit dans
+se disait dans
-Il ressembloit à
+Il ressemblait à
-LETTRE CXXVIII. 397 UQ jardin, coupoit avec son^épée la
+un jardin, coupait avec son épée la
-qui s’élevoient au-dessus
+qui s’élevaient au-dessus
-il étoit offensé
+il était offensé
-lui n’ étoit indifférent,
+lui n’était indifférent,
-conversation étoit-elle singulière. Il étoit arrivé
+conversation était-elle singulière. Il était arrivé
-qui avoit vu
+qui avait vu
-jardins magnifiques; et il n’ avoit vu,
+jardins magnifiques ; et il n’avait vu,
-de large; et
+de large ; et
-barlong ^ de
+barlong de
-il auroit fort
+il aurait fort
-même largeur; et il auroit donné,
+même largeur ; et il aurait donné,
-y avoit démêlé,
+y avait démêlé,
-fort singulière; et
+fort singulière ; et
-un savant, * qui étoit auprès
+un savant,a qui était auprès
-cadran marquoit les
+cadran marquait les
-de Fontarabie; et
+de Fontarabie ; et
-bombes avoient décrite en l’air; et,
+bombes avaient décrite en l’air ; et,
-se plaignoit d’avoir
+se plaignait d’avoir
-quam UUior, dit le dictioonaire de
+quam latior, dit le dictionnaire de
-un root employé,
+un mot employé,
-dans Tart de
+dans l’art de
-jardins. 2. A. Contre le savant.
+jardins.
-398 LETTRES PERSANES. il alloit assez
+il allait assez
-qu’il négligeoit de
+qu’il négligeait de
-fut rencoDtré directement
+fut rencontré directement
-choquèrent rudement; et,
+choquèrent rudement ; et,
-la maio sur
+la main sur
-Vous oe m’entendez
+Vous ne m’entendez
-auteurs familière? Je
+auteurs familière ? Je
-ces monnoies de
+ces monnaies de
-la môme valeur
+la même valeur
-le peyple; mais
+le peuple ; mais
-toujours foibles et
+toujours faibles et
-mauvais aloi. ^ Vous
+mauvais aloi.b Vous
-animer. 1. A. Et de mauvais aUoi.
+animer.
-les jours? Après
+les jours ? Après
-1719.
+1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Contre le savant. b A. Et de mauvais alloi.
-400 LETTRES PERSANES. LETTRE GXXIXJ USBEK Â RHÉDI. La
+LETTRE CXXIX. USBEK A RHÉDI. A VENISE. La
-à fah-e des
+à faire des
-détails inutiles; ils
+détails inutiles ; ils
-de lois; comment
+de lois ; comment
-ont 1. Y. sup, la note i de
+ont V. sup. la note 1 de
-LETTRE CXXIX. 401 trouvées établies, cest-à-dire qu ils ont
+trouvées établies, c’est-à-dire qu’ils ont
-est rare; et,
+est rare ; et,
-main tremblante; on
+main tremblante ; on
-s’en écarter; mais
+s’en écarter ; mais
-remède étoit un
+remède était un
-de sagesse; c’est
+de sagesse ; c’est
-leurs enfants.^ Rien
+leurs enfants. Rien
-les i. Esprit des lou, V, 7. i6
+les Esprit des lois, V, 7.
-mieux réglées; les
+mieux réglées ; les
-ne fmirai pas
+ne finirai pas
-des François. On
+des Français. On
-même pis; et
+même pis ; et
-lune do gemmadi 2, 1719.* I. A.
+lune de gemmadi 2, 1719.a -------------------------------------------------------------------------------- a A.
-CXXX. 403 LETTRE CXXX. RICA A Je
+CXXX. RICA A *** Je
-lettre d*une certaine
+lettre d’une certaine
-jardin magnifique,* où
+jardin magnifique, où
-à l’État , et
+à l’Etat, et
-un eiïet différent
+un effet différent
-celui qu’auroit pu
+celui qu’aurait pu
-aussi long; cependant
+aussi long ; cependant
-et ridicule; il
+et ridicule ; il
-prétendent pénétrer; ils ne sauroient consentir
+prétendent pénétrer ; ils ne sauraient consentir
-les années; et,
+les années ; et,
-Providence, 1. Les Tuileries. DufresDy, AmwementSf etc., ch. vi :
+Providence, Les Tuileries. <p> Dufresny, Amusements, etc., ch. VI :
-les Tuileries), c’est qu*on y
+les (Tuileries), c’est qu’on y
-en étéf des
+en été, des
-et eu tout temps^des nouvellistes.
+et en tout temps des nouvellistes.
-la main , et,
+la main, et,
-et tomberiez murailles
+et tomber les murailles
-cartons ;* ils
+cartons ; ils
-les montagnes» des
+les montagnes, des
-sables brûlants; il
+sables brûlants ; il
-d’un nouvelliste; comme
+d’un nouvelliste ; comme
-: Monsieur, t Je
+: « Monsieur, « Je
-que Fempereur Joseph mourrpit dans
+que l’empereur Joseph mourrait dans
-de Tannée :
+de l’année :
-se portoit fort
+se portait fort
-me ferois moquer
+me ferais moquer
-je m*expIiquois d*une manière bien claire; ce
+je m’expliquais d’une manière bien claire ; ce
-la môme année,
+la même année,
-vérole. Dès
+vérole. « Dès
-des Tuileries: je
+des Tuileries ; je
-qu’on feroit le siège de
+qu’on ferait le siége de
-qu’il seroit pris.
+qu’il serait pris.
-ait ét4 accomplie. 11 est
+ait été accomplie. Il est
-qu’il seroit pris
+qu’il serait pris
-18 août;* 1 ne
+18 août ; il ne
-beau jeu? Lorsque
+beau jeu ? « Lorsque
-d’Espagne débarquoit en
+d’Espagne débarquait en
-en feroit la
+en ferait la
-succès, Rajoutai que
+succès, j’ajoutai que
-victorieuse froit débarquer
+victorieuse irait débarquer
-du Milanés. Comme
+du Milanès. Comme
-diable d^Âlbéronf, malgré
+diable d’Albéroni, malgré
-fois <ieux grands
+fois deux grands
-moi. Tout
+moi. « Tout
-que j*ai résolu
+que j’ai résolu
-ne connoissiôns point
+ne connaissions point
-Tuileries Tusage des
+Tuileries l’usage des
-comte deL.^ ne lessouflfroit guère; mais, depuis qu*une troupe
+comte de L. ne les souffrait guère ; mais, depuis qu’une troupe
-maîtres s*est mêlée
+maîtres s’est mêlée
-nouvelle, qu^un de
+nouvelle, qu’un de
-contre. a î/autre jour, comme j’ouvroîs mon
+contre. « L’autre jour, comme j’ouvrais mon
-et accommo dois mes
+et accommodais mes
-justement rintervalle du
+justement l’intervalle du
-cette extravagance; et,
+cette extravagance ; et,
-de ♦^ ayant
+de *** ayant
-nouvelles extravagantes; il
+nouvelles extravagantes ; il
-cela. Je
+cela. « Je
-trente pistoles; car
+trente pistoles ; car
-LETTRES D UN NOUVELLISTE
+LETTRES D’UN NOUVELLISTE
-MINISTRE. Monseigneur, Je
+MINISTRE. « Monseigneur, « Je
-eu. Cest mol qui
+eu. C’est moi qui
-que j’avois formé
+que j’avais formé
-Grand étoit le 1. Le
+Grand était le Le
-les princes < qui
+les princesa qui
-les François n’ont
+les Français n’ont
-dit jusqu*ici de
+dit jusqu’ici de
-des occasions; et
+des occasions ; et
-» Monseigneur, Depuis
+» « Monseigneur, « Depuis
-de L.,* nous
+de L., nous
-nos conférences; et
+nos conférences ; et
-la môme discussion
+la même discussion
-aux vieillards Nous
+aux vieillards. Nous
-qu’ils fussent ’ au
+qu’ils fussentb au
-nous enchâsseront à la fin; et
+nous enchasseront à la fin ; et
-héros françois, il
+héros français, il
-de gcmmadi 2, 1719. I. A. Étoit plus
+de gemmadi 2, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Était plus
-princes. ’2. Le comte de Lionne. 3. A.
+princes. b A.
-fussent.
+fussent. Le comte de Lionne.
-CXXXI. 407 LETTHE CXXXI.» RHEDI A RICA. y V Une
+CXXXI. RHÉDI A RICA. A PARIS. Une
-seulement ridée de
+seulement l’idée de
-nous connoissons étoient* monarchiques; ce
+nous connaissons étaienta monarchiques ; ce
-ayant éléabînîée par
+ayant été abîmée par
-de VE%pr’\i des
+de l’Esprit des
-Le dsspotismc ne sort pa<i de TAsie; la
+Le despotisme ne sort pas de l’Asie ; la
-trouve qu*en Europe
+trouve qu’en Europe
-modernes, mélang<^s de
+modernes, mélanges de
-Germains. 2. A. Les premiers gouvernements du monde furent monarchiques.
+Germains.
-la peupler; elle tii*a presque
+la peupler ; elle tira presque
-colonies d*Égypte et
+colonies d’Égypte et
-de TAsie les
+de l’Asie les
-pays étoient gouvernés
+pays étaient gouvernés
-pesante, oa secoua
+pesante, on secoua
-l’Asie Mineure; elles
+l’Asie Mineure ; elles
-de rempaiis contre
+de remparts contre
-peupla l’Italie; l’Italie,
+peupla l’Italie ; l’Italie,
-et peutêtre les Gaules.* On
+et peut-être les Gaules. On
-anciens, étoit au
+anciens, était au
-voisins regardoient comme
+voisins regardaient comme
-ne trouvoient point
+ne trouvaient point
-heureux, l’ allèrent chercher en Italie; ceux
+heureux, l’allèrent chercher en Italie ; ceux
-le Portugal; de
+le Portugal ; de
-ce nom’ chez
+ce nom chez
-qu’elles avoient pris
+qu’elles avaient pris
-verras bientôt^ que
+verras bientôtb que
-d’Allemagne n’étoient pas moins libres; et si Ton trouve
+d’Allemagne n’étaient pas moins libres ; et si l’on trouve
-preuve. 2. Le nom d’Hcspérie ou
+preuve. Le nom d’Hespérie ou
-couchant. 3. A. C. On verra bientôt.
+couchant.
-se passoit en Europe; car,
+se passait en Europe ; car,
-n’y avoit pas
+n’y avait pas
-peuples vaincus; si l’on avoit donné
+peuples vaincus ; si l’on avait donné
-tyrannie avoient été
+tyrannie avaient été
-ne s’étoient pas
+ne s’étaient pas
-injustice avoit amassés.
+injustice avait amassés.
-peuples couroient à
+peuples couraient à
-provinces romaines; et
+provinces romaines ; et
-démembrèrent Tempire, et
+démembrèrent l’empire, et
-des royaumes.* Ces peuples étoient libres,
+des royaumes.c Ces peuples étaient libres,
-ils bornoient si
+ils bornaient si
-qu’ils n’étoient proprement
+qu’ils n’étaient proprement
-des conquêtes; soumis
+des conquêtes ; soumis
-autorité violente; mais
+autorité violente ; mais
-Espagne, déposoient leurs
+Espagne, déposaient leurs
-n’en étoient pas satisfaits; et,
+n’en étaient pas satisfaits ; et,
-autres, l’autoriié du prince étoit bornée
+autres, l’autorité du prince était bornée
-la partageoient avec
+la partageaient avec
-guerres n’étoient entreprises
+guerres n’étaient entreprises
-leur consentement; les dépouilles étoient partagées
+leur consentement ; les dépouilles étaient partagées
-les soldats; aucun
+les soldats ; aucun
-en fjiveur du prince; les lois étoient faites
+en faveur du prince ; les lois étaient faites
-rhégeb, Il 10. I. A. G Les
+rhégeb, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Les premiers gouvernements du monde furent monarchiques. b A. C. On verra bientôt. c A. C Les
-A Je
+A ***. Je
-un café; j*y remarquai
+un café ; j’y remarquai
-se faisoit écouter; il parloit du plaisir qu il y avoit de
+se faisait écouter ; il parlait du plaisir qu’il y avait de
-à Paris; il déploroit sa
+à Paris ; il déplorait sa
-d’aller languir* dans
+d’aller languir dans
-me croirois plus
+me croirais plus
-si j’avois le
+si j’avais le
-portables pai-tout. J’ai
+portables partout. J’ai
-plus insolvables; je
+plus insolvables ; je
-je devoisdix mille
+je devais dix mille
-me feroit saisir
+me ferait saisir
-je serois à
+je serais à
-ce discours; mais,
+ce discours ; mais,
-visage pale et
+visage pâle et
-discoureurs, paroissoit morne
+discoureurs, paraissait morne
-suis ruiné; je
+suis ruiné ; je
-de 1. A. C. D’ôtre obligt^ de vivre dans la province.
+de
-écus d’argent;* je
+écus d’argent ; je
-situation affreuse; je
+situation affreuse ; je
-à l’hôpital; au
+à l’hôpital ; au
-si j*avois seulement
+si j’avais seulement
-je serois sûr
+je serais sûr
-autre homma qui faisoit des
+autre homme qui faisait des
-fier désormais? s’écrioit-il. Il
+fier désormais ? s’écriait-il. Il
-je croyois si
+je croyais si
-lui avois prêté
+lui avais prêté
-me Ta rendu 1 Quelle perfidie horrible! Il
+me l’a rendu ! Quelle perfidie horrible ! Il
-toujours déshonoré.* Tout
+toujours déshonoré. Tout
-là étoit un
+là était un
-ciel, disoit :
+ciel, disait :
-nos ministres! Puissé-je voiries actions* à deux mille,* et
+nos ministres ! Puissé-je voir les actions à deux mille, et
-J’eus lacuriosité de
+J’eus la curiosité de
-qu’il voudra; et il tressaillit’ de
+qu’il voudra ; et il tressaillit de
-pair d*un papier
+pair d’un papier
-lettre CXUI. 2. Le
+lettre CXLII. Le
-avec aa vain
+avec un vain
-dit-on qu*on vit, rue Quiacampoix , un
+dit-on qu’on vît, rue Quincampoix, un
-tirer répée contre
+tirer l’épée contre
-qui Tavait remboursé.
+qui l’avait remboursé.
-de MaUiicu Marais,
+de Mathieu Marais,
-Law. i. Deux
+Law. Deux
-fût assis; il n’étoit pas
+fût assis ; il n’était pas
-les trophées; c’étoit, au
+les trophées ; c’était, au
-Les afTaires vont
+Les affaires vont
-d’Espagne, dit-il; nous
+d’Espagne, dit-il ; nous
-le Languedoc, il y avoit vis-à-vis
+le Languedoc. Il y avait vis-à-vis
-qui prenoit le
+qui prenait le
-et haussoit les
+et haussait les
-l’autre haussoit la
+l’autre haussait la
-le Languedoc; et
+le Languedoc ; et
-elle augmentoit, pourroit faire
+elle augmentait, pourrait faire
-De Puhs, le i7 de la luoe de rhamazaa, 17]9.
+De Paris, le 17 de la lune de rhamazan, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. D’être obligé de vivre dans la province.
-444 LETTRES PERSANES. LETTRE GXXXIII. RICA A J’allai,
+LETTRE CXXXIII. RICA A ***. J’allai,
-grave, * qui se promenoît au
+grave, qui se promenait au
-qui l’entouroient. J’allai
+qui l’entouraient. J’allai
-quels étoient quelques-uns
+quels étaient quelques-uns
-je voyois mieux
+je voyais mieux
-n’y connois personne.
+n’y connais personne.
-pareilles questions; mais
+pareilles questions ; mais
-les satisfaire; j’ai mon bibliothécaire’ qui vous dpnnera satisfaction; car
+les satisfaire ; j’ai mon bibliothécairea qui vous donnera satisfaction ; car
-voyez là; c’est
+voyez là ; c’est
-couvent. 2. A. C. Mais j*ai mon bibliothécaire.
+couvent.
-me poQSsa dehors,
+me poussa dehors,
-le 81 de la loue de rhamaxan, PI 9.
+le 21 de la lune de rhamazan, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Mais j’ai mon bibliothécaire.
-AU MÊME. Je
+AU MÈME. Je
-cette bibliothèque» où
+cette bibliothèque, où
-que j’avois vu
+que j’avais vu
-air étoit simple,
+air était simple,
-fait connoitre ma
+fait connaître ma
-de bibliothèque? Ce
+de bibliothèque ? Ce
-de TËcriture. Il
+de l’Écriture. Il
-que l’Écriture fût
+que l’Ecriture fût
-quelques doutes? Peut-il
+quelques doutes ? Peut-il
-points contestés? S’il
+points contestés ? S’il
-Dieu I s il y en a! me
+Dieu ! s’il y en a ! me
-ces auteurs? Ces
+ces auteurs ? Ces
-croient eux-mêmes; ils
+croient eux-mêmes ; ils
-où étoient contenus
+où étaient contenus
-qu’ils dévoient recevoir,
+qu’ils devaient recevoir,
-qui pourroit donner
+qui pourrait donner
-propres idées; c’est
+propres idées ; c’est
-l’on s’ escarmouche de
+l’on s’escarmouche de
-de dévotion; ensuite
+de dévotion ; ensuite
-plus utiles; ceux
+plus utiles ; ceux
-la traiter; les
+la traiter ; les
-lui dîs-je : un moment; n’allez
+lui dis-je : un moment ; n’allez
-dévotion échauiïe un
+dévotion échauffe un
-qui réchauffent de même , d’où
+qui l’échauffent de même, d’où
-la nuit; qui
+la nuit ; qui
-leurs pensées; * heureux
+leurs pensées ; heureux
-nûment peints! Vous
+nûment peints ! Vous
-je voulois, je
+je voulais, je
-vous parlerois de
+vous parlerais de
-qu’avec 1. Allusion au tndté Ik McUrimonio, du Jésuite Saochei. J7
+qu’avec Allusion au traité De Matrimonio, du jésuite Sanchez.
-vous dirois sans
+vous dirais sans
-merveilleux I Et
+merveilleux ! Et
-en arriveroit, de
+en arriverait, de
-choses Tune, ou
+choses l’une, ou
-vous tromperois, ou
+vous tromperais, ou
-me déshonoreroîs dans
+me déshonorerais dans
-restâmes là; une
+restâmes là ; une
-De Paiit, le 28 de
+De Paris, le 23 de
-de rhamaxan, 1719.
+de rhamazan, 1719.
-l’heure marquée; et
+l’heure marquée ; et
-l’endroit od nous
+l’endroit où nous
-bon sens? Oui,
+bon sens ? Oui,
-le peuvent; et
+le peuvent ; et
-n’y parott pas,
+n’y paraît pas,
-plus mauvais; ce
+plus mauvais ; ce
-est trèscommode pour eux. Gela est
+est très-commode pour eux. Cela est
-je connois bien
+je connais bien
-qui feroient bien
+qui feraient bien
-sciences. * Voilà,
+sciences. Voilà,
-des raisons; et
+des raisons ; et
-rencontre partout; les
+rencontre partout ; les
-De scienoes-là.
+De sciences-là.
-la moit présente
+la mort présente
-corps humain , que
+corps humain, que
-donnés ; chose
+donnés : chose
-la chimie,^ qui
+la chimie, qui
-d’ignorance occulte; tels
+d’ignorance occulte ; tels
-mon père? Les
+mon père ? Les
-d’astrologie judiciaire! repartîs-je avec
+d’astrologie judiciaire ! repartis-je avec
-de l’État. Si
+de l’état. Si
-empires : * je
+empires :b je
-les pla 1. H B*Bgit ici de ralchimie, qui n*a do commun
+les planètes. Il s’agit ici de l’alchimie, qui n’a de commun
-la chimie; 2. A. G. Voilà ce qui s’appelle le plus étrange de tous les empires.
+la chimie.
-LETTRE CXXXV. 4M nëtes. Nous
+Nous
-l’algèbre. ^ Chaque
+l’algèbre. Chaque
-aussi sure que
+aussi sûre que
-de système?* Si l’on comptoit les
+de système ? Si l’on comptait les
-ce seroitun beau
+ce serait un beau
-pour l’astrologie; vous
+pour l’astrologie ; vous
-les calculateurs’ bien
+les calculateursc bien
-n’en pourroit-on pas tirer* contre eux? Notre
+n’en pourrait-on pas tirerd contre eux ? Notre
-1719. 1. Montesquieu
+1719. -------------------------------------------------------------------------------- b A. C. Voilà ce qui s’appelle le plus étrange de tous les empires. c A. C. Vous verriez les mathématiciens. d A. C. En pourrait-on tirer. Montesquieu
-et d*algébristcs dans
+et d’algébristes dans
-lettre CXXXVHI. Ce n*cst pas
+lettre CXXXVIII. Ce n’est pas
-du mot; témoin Tépitaphe de Law, qu’on fit par
+du mot ; témoin l’épitaphe de Law, qu’où lit par
-: Ci-gtt cet Bcossois célèbre, Ce calcttlateur sans
+: Ci-gît cet Écossais célèbre, Ce calculateur sans
-à l’hépital. Mémoires
+à l’hôpital. Mémoires
-Marais, 1. 1, p. 481. 2. Law. .3. A. C. Vous verriez les mathématiciens. i. A. C. En pourroit-on tirer.
+Marais, t. I, p. 481. Law.
-in LETTRES PERSANES. LETTRE CXXXVL RICA
+LETTRE CXXXVI. RICA
-Dans Tentrevue suivante,
+Dans l’entrevue suivante,
-de TÉglise et des papes; livres
+de l’Église et des papes ; livres
-qui s’étoit formé
+qui s’était formé
-qu’ils habitoient, parurent
+qu’ils habitaient, parurent
-peuples n’étoient point
+peuples n’étaient point
-puisqu’ils étoient libres; mais
+puisqu’ils étaient libres ; mais
-premier empire; * mais
+premier empire ;a mais
-la 1. A. C. Les historiens de TAllemagne, laquelle n*e6t qu’une ombre da premier empire.
+la
-point affoiblie ;
+point affaiblie ;
-plusieurs siècles; mais,
+plusieurs siècles ; mais,
-sous terre; puis, reparoîssant de
+sous terre ; puis, reparaissant de
-qu’ils avoient rapidement
+qu’ils avaient rapidement
-la seule; jusqu’à
+la seule ; jusqu’à
-propre grandeur^ et
+propre grandeurb et
-ici lés historiens
+ici les historiens
-trône inébranlable; une
+trône inébranlable ; une
-fureur même; et
+fureur même ; et
-eux. 1. De sa propre grandeur, manque dans A. et dans C.
+eux.
-les autres; ses
+les autres ; ses
-et foibles, et
+et faibles, et
-la liberté; de
+la liberté ; de
-son économie; et
+son économie ; et
-autres delà Pologne,
+autres de la Pologne,
-a d’élh-e ses
+a d’élire ses
-1719.
+1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Les historiens de l’Allemagne, laquelle n’est qu’une ombre du premier empire. b De sa propre grandeur, manque dans A. et dans C.
-les poètes, me
+les poëtes, me
-on ensevelissoit autrefois
+on ensevelissait autrefois
-leurs parures.^ Vous les connoissez; ils
+leurs parures. Vous les connaissez ; ils
-imaginations mêmes.* Voilà les poèmes épiques.
+imaginations mêmes.a Voilà les poëmes épiques.
-poëmes épiques? En
+poëmes épiques ? En
-sais rien; les connoisseurs disent
+sais rien ; les connaisseurs disent
-que deux,’ et que 1. Pascal,
+que deux, et que Pascal,
-et n*y voit
+et n’y voit
-mots yides de
+mots vides de
-comme fatcU laurier,
+comme fatal laurier,
-etc., qu*on appelle
+etc., qu’on appelle
-connaissait pas; et c*est, je
+connaissait pas ; et c’est, je
-fois qu*il ait
+fois qu’il ait
-en colère contre
+en colére contre
-du méprisqu’il témoignait
+du mépris qu’il témoignait
-: tt 11 est
+: « Il est
-pardonner. (La Harpe.) 2. Mêmes manque dans A. et dans C 3. L’//tada et VÊnéide,
+pardonner. (LA HARPE.) L’Iliade et l’Énéide.
-sont point; c’est
+sont point ; c’est
-plus surprenant.^ Voici
+plus surprenant. Voici
-si doucement; et
+si doucement ; et
-les autres,’ et
+les autres,b et
-de poètes,’ et
+de poètes,c et
-du cœur; ils
+du cœur ; ils
-de critiqué ancienne
+de critique ancienne
-dans cette phrase
+dans celte phrase
-contre îa Henriade,
+contre la Henriade,
-pour Voltaii*c, ni
+pour Voltaire, ni
-la poésie; il n*est pas
+la poésie ; il n’est pas
-au poome de
+au poème de
-Henriade. 2. A. C. Autant que je fais cas des autres. 3. A. C. et l’édition de 1754 lisent : Vous voyez ici les romans qui sont des espèces de poôtcs, etc. Montesquieu se serait donc servi du mot de romans comme synonyme de romanciers. J’ai peine à admettre ce sens insolite qui a été défendu par quelques bons éditeurs modernes. Voyez cependant inf,, lettre CXLI : « Elle aime la lecture des portes et des romans. »
+Henriade.
-manquent toujours; leurs
+manquent toujours ; leurs
-y sont^ aussi
+y sontd aussi
-sa maitresse. Cependant
+sa maîtresse. Cependant
-soient variés; on
+soient variés ; on
-veut guérir; c’est
+veut guérir ; c’est
-dessous terre; qu’un
+dessous terre ; qu’un
-nos romans; ces
+nos romans ; ces
-la lane do cbalTal, 1719. 1. A. G. Et qoi font
+la lune de chalval, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a Mêmes manque dans A. et dans C. b A. C. Autant que je fais cas des autres. c A. C. et l’édition de 1754 lisent : Vous voyez ici les romans qui sont des espèces de poëtes, etc. Montesquieu se serait donc servi du mot de romans comme synonyme de romanciers. J’ai peine à admettre ce sens insolite qui a été défendu par quelques bons éditeurs modernes. Voyez cependant inf., lettre CXLI : « Elle aime la lecture des poëtes et des romans. » d A. C. Et qui font
-y soat, etc.
+y sont, etc.
-A SIIYRRE. Les
+A SMYRNE. Les
-les saisons; depuis
+les saisons ; depuis
-les levoient les
+les levaient les
-ces empires-/ il
+ces empires ;a il
-d’un particulier,* qu’il
+d’un particulier,b qu’il
-compter cent; mais
+compter cent ; mais
-aux petits; qu’ils 1. A. On lève aujourd’hui en Perse et en Turquie les sobsides de U même manière que les fondateurs de ces monarchies les levoient. 2. A. C. Entre Tadministration des revenus d*un prince et de ceux d*aa particulier.
+aux petits ; qu’ils
-la politesse.* Dès
+la politesse.c Dès
-On sentoit qu’on étoit mal; mais
+On sentait qu’on était mal ; mais
-ne savoit comment
+ne savait comment
-ne s’étoit pas bien trouvé* de
+ne s’était pas bien trouvéd de
-ministres précédents; on
+ministres précédents ; on
-sept conseils,’ et
+sept conseils, et
-de sens; la
+de sens ; la
-roi, étoit un
+roi, était un
-: N**** prit
+: N*** prit
-il restoit toujours
+il restait toujours
-est venu," qui
+est venu, qui
-son embonpoint; et
+son embonpoint ; et
-qui étoient riches
+qui étaient riches
-la pauvreté,® et
+la pauvreté, et
-qui n’avoient pas
+qui n’avaient pas
-un habit; il fait parottre dessus
+un habit ; il fait paraître dessus
-qui étoit dessous,
+qui était dessous,
-qui étoit dessus,
+qui était dessus,
-l’envers. 1. A. C. Hs Boient privés non-Bealement de Tusage de la parole; mais môme quelquefois de la politesse. 2. A. C. On B*étoit mal trouvé. 3. Par
+l’envers. Par
-du Itt septembre 1715. 4. Le
+du 16 septembre 1715. Le
-de Noaîlles. 5. Law.
+de Noailles. Law.
-430 LETTRES PERSANES. Qaelles fortunes
+Quelles fortunes
-ont faites! Dieu
+ont faites ! Dieu
-maîtres I Tout
+maîtres ! Tout
-qui avoient fîdt fortune
+qui avaient fait fortune
-certaine rue,^ tout
+certaine rue, tout
-qu’on avoit pour
+qu’on avait pour
-six mois; ils
+six mois ; ils
-est ruinée; quel
+est ruinée ; quel
-l’État I quelle
+l’État ! quelle
-les rangs! on
+les rangs ! on
-faire fortune! Je
+faire fortune ! Je
-de U lune de nlcadé, 1780. 1. La
+de la lune de zilcadé, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- a A. On lève aujourd’hui en Perse et en Turquie les subsides de la même manière que les fondateurs de ces monarchies les levaient. b A. C. Entre l’administration des revenus d’un prince et de ceux d’un particulier. c A. C. Ils soient privés non-seulement de l’usage de la parole ; mais même quelquefois de la politesse. d A. C. On s’était mal trouvé. La
-Suède, ^ voulant
+Suède, voulant
-son époux,* à
+son époux, à
-la foiblesse de
+la faiblesse de
-à connoltre 1. Ulrique-Éléonore,
+à connaître Ulrique-Éléonore,
-le fœu du peuple. S. Le
+le vœu du peuple. Le
-de Heaae-Casael.
+de Hesse-Cassel.
-songent qu*à jouir; et
+songent qu’à jouir ; et
-époux. D« Paris, 1« 27
+époux. De Paris, le 27
-maharram, 1780.
+maharram, 1720.
-USBEK. Le
+USBEK. A ***. Le
-le déshonore;^ et il Ta enregistrée
+le déshonore ; et il l’a enregistrée
-tristes vérités; et,
+tristes vérités ; et,
-de Law; il
+de Law ; il
-Marais, 1. 1, p.
+Marais, t. I, p.
-a pria tout
+a pris tout
-argent, Bt pnii il
+argent, Et puis il
-Pontoise. UaTBIIU llABAIS, 1. 1, p. 855. 28
+Pontoise. MATHIEU MARAIS, t.1, p. 355.
-sont dépositaires.^ C’est
+sont dépositaires. C’est
-princes I Ils
+princes ! Ils
-s’y déteiminent y
+s’y déterminent y
-se résoudroient jamais
+se résoudraient jamais
-n’y étoient forcés
+n’y étaient forcés
-De Paria, le 81 de
+De Paris, le 21 de
-1, 17S0. 1. Esprit
+1, 1720. Esprit
-lois, V. 10.
+lois, V, 10.
-AU MÊME. J’irai
+AU MÈME. A ***. J’irai
-toi I Je
+toi ! Je
-qui avoit quelque
+qui avait quelque
-sérail n’étoit pas
+sérail n’était pas
-goût, et-qu’elle trouvoit de
+goût, et qu’elle trouvait de
-des poètes et
+des poëtes et
-lui envoyai , quelques
+lui envoyai, quelques
-Peut-être seraa-tu bien
+Peut-être seras-tu bien
-voir travesti,* Du
+voir travesti. Du
-de Cbeik-Ali-Can, ii y avoît en
+de Cheik-Ali-Can, il y avait en
-elle savoit par
+elle savait par
-saint Alcoran; il n’y avoit point
+saint Alcoran ; il n’y avait point
-qui entendit mieux
+qui entendît mieux
-arabes n’avoient rien
+arabes n’avaient rien
-n’en comprit tous
+n’en comprît tous
-elle joignoit, à
+elle joignait, à
-de connoissances, un
+de connaissances, un
-qui laissoit à
+qui laissait à
-elle vouloit amuser
+elle voulait amuser
-elle parloit, ou
+elle parlait, ou
-qu’elle étoit avec
+qu’elle était avec
-qu’elle pensoit de l’autre vie; et
+qu’elle pensait de l’autre vie ; et
-elle ajoutoit foi
+elle ajoutait foi
-créatures paroîtront devant
+créatures paraîtront devant
-les avoit vues,
+les avait vues,
-se donneroit aussitôt
+se donnerait aussitôt
-lequel lisseront enfermés; et
+lequel ils seront enfermés ; et
-arabe, qu’uç homme,
+arabe, qu’un homme,
-Ibrahim, étoit d’une
+Ibrahim, était d’une
-Il avoit douze
+Il avait douze
-qu’il traitoit d’une
+qu’il traitait d’une
-se fioit plus
+se fiait plus
-les tenoit presque
+les tenait presque
-se parler; car il étoit même
+se parler ; car il était même
-actions prenoient la
+actions prenaient la
-sa bouche; et
+sa bouche ; et
-moindre signe ^ qui
+moindre signea qui
-les avoit toutes
+les avait toutes
-nous empocher de
+nous empêcher de
-place, souhaiteroient votre mort; je
+place, souhaiteraient votre mort ; je
-la mienne; et,
+la mienne ; et,
-me 1. A. G. Ua moindre sijoc.
+me
-qui auroit dû le toucher» le
+qui aurait dû le toucher, le
-furieuse colère; il
+furieuse colère ; il
-compagnes, dit*elie d’une
+compagnes, dit-elle d’une
-si ie ciel
+si le ciel
-verdure étoit relevée
+verdure était relevée
-eaux étoient plus
+eaux étaient plus
-y faisoit un
+y faisait un
-silence n’ étoit inteiTompu que
+silence n’était interrompu que
-les avoit ornés
+les avait ornés
-Tout sembloit concourir
+Tout semblait concourir
-elle entendoit, d’un
+elle entendait, d’un
-qu’elle étoit plus tendre; de
+qu’elle était plus tendre ; de
-ne voyoit que
+ne voyait que
-ne dévoient servir
+ne devaient servir
-fois déshabillée.
+fois déshabillée,
-LETTRE CXLI. 439 on là porta
+on la porta
-leur disoit-elle: je croirois mourir,
+leur disait-elle : je croirais mourir,
-je n’étois sûre
+je n’étais sûre
-mes sens; je
+mes sens ; je
-les flambeaux? Que
+les flambeaux ? Que
-beauté divine! Que
+beauté divine ! Que
-pourquoi voir? Vous
+pourquoi voir ? Vous
-transports. Odieux! que
+transports. O dieux ! que
-sont aimables! Quoi! je serai immortelle; et
+sont aimables ! Quoi ! je serai immortelle ; et
-avec vous! je
+avec vous ! je
-demande grâce; car
+demande grâce ; car
-commandements réitérés , elle
+commandements réitérés, elle
-inquiète, dîtelle ;
+inquiète, dit-elle ;
-plus. C’étoit un
+plus. C’était un
-ne vouloit pas
+ne voulait pas
-qu’elle pouvoit désirer.
+qu’elle pouvait désirer.
-désabusée, s’écria-t-elle; pardon,
+désabusée, s’écria-t-elle ; pardon,
-Mais, quoi! vous
+Mais, quoi ! vous
-persuader I Ah I si
+persuader ! Ah ! si
-vous disputez , si
+vous disputez, si
-ils étoient gardés
+ils étaient gardés
-déshabillé simple» et
+déshabillé simple, et
-nuit l’avoit embellie
+nuit l’avait embellie
-elle avoit donné
+elle avait donné
-son teint , et
+son teint, et
-que promenades; et Ton remarquoit qu’Anaïs se déroboit de
+que promenades ; et l’on remarquait qu’Anaïs se dérobait de
-et voloit vers
+et volait vers
-elle revenoit vers
+elle revenait vers
-qu’elle avoit quittée,
+qu’elle avait quittée,
-elle vouloit, disoit-elle, faire connoissance avec
+elle voulait, disait-elle, faire connaissance avec
-qui dévoient k jamais
+qui devaient à jamais
-toujours difiérents, et
+toujours différents, et
-Anaïs passoit sa
+Anaïs passait sa
-plaisirs solitaires; admirée
+plaisirs solitaires ; admirée
-elle quittoit un
+elle quittait un
-fleurs seinbloient naître
+fleurs semblaient naître
-se présentoient en
+se présentaient en
-y avoit plus
+y avait plus
-qu’elle étoit dans
+qu’elle était dans
-elle n’avoit pas
+elle n’avait pas
-elle avoit joui
+elle avait joui
-le connoltre, et
+le connaître, et
-où Tâme se
+où l’âme se
-l’esprit étoit vraiment philosophe, avoit passé
+l’esprit était vraiment philosophe, avait passé
-elle avoit poussé
+elle avait poussé
-qu’on n’auroit dû
+qu’on n’aurait dû
-lui avoit fait
+lui avait fait
-lui avoit laissé
+lui avait laissé
-lui avoit fait
+lui avait fait
-compagnes étoient frappées,
+compagnes étaient frappées,
-qui devoit être la fm de
+qui devait être la fin de
-44t LETTRES PERSANES. étoient auprès
+étaient auprès
-son mari , d’aller
+son mari, d’aller
-son sérail , de
+son sérail, de
-l’en chasser; et
+l’en chasser ; et
-n’y étoit pas. Il frappe; tout
+n’y était pas. Il frappe ; tout
-ses pieds. Il vole
+ses pieds, il vole
-d’Ibrahim étoient enfermées. Il avoit, en
+d’Ibrahim étaient enfermées. Il avait, en
-il s étoit rendu
+il s’était rendu
-et affable; et
+et affable ; et
-de Tétonnement; et elles l’auroient pris
+de l’étonnement ; et elles l’auraient pris
-tombe commodes nues,
+tombe comme des nues,
-au secours; il
+au secours ; il
-bien foible ressource
+bien faible ressource
-Ibrahim avoit séduit
+Ibrahim avait séduit
-il auroit reçu
+il aurait reçu
-rival n’ avoit ordonné
+rival n’avait ordonné
-LETTRE CXLI. 443 disoient ces
+disaient ces
-pas, disoit le
+pas, disait le
-comment faut- il faire
+comment faut-il faire
-suffit pas? Ah
+suffit pas ? Ah
-de Têtre :
+de l’être :
-cet imposteur? N’en
+cet imposteur ? N’en
-ne soupçonnoit point
+ne soupçonnait point
-ne soupçonnoit que sa foiblesse :
+ne soupçonnait que sa faiblesse :
-comme lui; c’est
+comme lui ; c’est
-faites haïr! Ah! je
+faites haïr ! Ah ! je
-ne connoissez point
+ne connaissez point
-l’homme divin; j’ai
+l’homme divin ; j’ai
-que ferons-nous? Il lui seroit, je
+que ferons-nous ? Il lui serait, je
-et d’ailleure je
+et d’ailleurs je
-vous gêner; j’ai
+vous gêner ; j’ai
-le serîez-vous? Cette
+le seriez-vous ? Cette
-ne songeoient pas
+ne songeaient pas
-place n’étoit pas
+place n’était pas
-un jaloux; il
+un jaloux ; il
-là. ^ dieux! dans
+là. O dieux ! dans
-eunuques avoient repris
+eunuques avaient repris
-sévérité naturelle; toute
+sévérité naturelle ; toute
-maison étoit en larmes; elles s’imaginoient quelquefois
+maison était en larmes ; elles s’imaginaient quelquefois
-leur étoit arrivé n’étoit qu’un songe; elles se regardoient toutes
+leur était arrivé n’était qu’un songe ; elles se regardaient toutes
-se rappeloient les
+se rappelaient les
-étranges aveotures. Enfin
+étranges aventures. Enfin
-plus aimable; il
+plus aimable ; il
-voyage n’avoit pas
+voyage n’avait pas
-voisins. II congédia
+voisins. Il congédia
-voilassent. G* étoit une
+voilassent. C’était une
-pays n’étoient pas
+pays n’étaient pas
-se refusoit aucune
+se refusait aucune
-qui, 1. A. G. A
+qui, A. C. A
-cents Ueues de
+cents lieues de
-il avoit été transporté» ne
+il avait été transporté, ne
-et trentesix enfants. D9 Paris, le M de la lime de
+et trente-six enfants. De Paris, le 26 de la lune de
-1, 1790.
+1, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Un moindre signe.
-446 LETTRES PERSANES. LETTRE GXLII. RICA
+LETTRE CXLII. RICA
-A •*•. Voici
+A ***. Voici
-te paroitra singulière. Monsieur, (c II y
+te paraîtra singulière. « Monsieur, « Il y
-meublée. H y
+meublée. Il y
-antiquité. c Lorsque
+antiquité. « Lorsque
-yeux, j’aurois fort
+yeux, j’aurais fort
-je n’avois pour
+je n’avais pour
-antiques. Mais,
+antiques. « Mais,
-qui avoit servi
+qui avait servi
-oncle avoit couvert
+oncle avait couvert
-autrefois ià Tusage de
+autrefois à l’usage de
-charmé d*y voir
+charmé d’y voir
-d’une monnoie de
+d’une monnaie de
-qui avoit cours
+qui avait cours
-de Tempire. Tai un
+de l’empire. J’ai un
-lire, J’aime beaucoup
+lire, j’aime beaucoup
-de connoitre tous
+de connaître tous
-qui étoient du
+qui étaient du
-Gaules fil faire,
+Gaules fit faire,
-y étoient autrefois
+y étaient autrefois
-les engagea cette
+les engage à cette
-vous voudrez; et
+vous voudrez ; et
-donnerai pardessus le
+donnerai par-dessus le
-fais voir* que
+fais voira que
-se servoit autrefois
+se servait autrefois
-triomphes, étoit de
+triomphes, était de
-la droite; une
+la droite ; une
-je démontre’ qu’un
+je démontreb qu’un
-front étoit une
+front était une
-les i. A. G. Où je prouve. 2. A. G. Où je prouve.
+les
-448 LETTRES PERSANES. Romains.^ Je
+Romains.c Je
-volume m-quarto, en
+volume in-quarto, en
-quelques jours; et,
+quelques jours ; et,
-à présent. Je me
+à présent, je me
-ancien mythelogiste grec, qui n’avoit point
+ancien mythologiste grec, qui n’avait point
-FRAGMENT d’uN ANCIEN UYTHOLOGISTB . a Dans une ile près
+FRAGMENT D’UN ANCIEN MYTHOLOGISTE. « Dans une île près
-qui avoit pour
+qui avait pour
-de Galédonie. * On
+de Calédonie. On
-dès Tâge de
+dès l’âge de
-il distinguoit si
+il distinguait si
-terre. Dès
+terre. « Dès
-qu’il vendoit ensuite
+qu’il vendait ensuite
-marchandise n’étoit pas
+marchandise n’était pas
-la Bétîque, ’ l’or reluisoit de toutes parts; cela
+la Bétique, l’or reluisait de toutes parts ; cela
-qui régnoit pour
+qui régnait pour
-il s’avisa. d’aller
+il s’avisa d’aller
-il crioit sans
+il criait sans
-de Bétique . 1. A. G. Recherchée par les Romains. 2. Law, rÉcossais. Toute cette aUégorie est
+de Bétique, Law, l’Écossais. Toute cette allégorie est
-satire da Système. Gonf. Esprit
+satire du Système. Conf. Esprit
-de Tor et de Targent! votre
+de l’or et de l’argent ! votre
-vils métaux; venez dans Tempire de rimagination, et
+vils métaux ; venez dans l’empire de l’imagination, et
-qu’il avoit apportées,
+qu’il avait apportées,
-voulut. Le
+voulut. « Le
-les mômes carrefours, et ii s^écria :
+les mêmes carrefours, et il s’écria :
-être riches? Imaginezvous que
+être riches ? Imaginez-vous que
-vous Têtes beaucoup
+vous l’êtes beaucoup
-dans Tesprit que
+dans l’esprit que
-: levez- vous ensuite; et,
+: levez-vous ensuite ; et,
-aurez imaginé; et
+aurez imaginé ; et
-tour. Il
+tour. « Il
-premiers jours; laissez- vous conduire
+premiers jours ; laissez-vous conduire
-des richesses; vous
+des richesses ; vous
-quatre paroles,^ mais
+quatre paroles, mais
-domestiques. EU quant
+domestiques. Et, quant
-qui étoient le
+qui étaient le
-de lui; quant
+de lui ; quant
-maîtresses. A
+maîtresses. « A
-de Bétique» je vous avois conseillé
+de Bétique, je vous avais conseillé
-le faite» pas
+le faites pas
-pour l’argent; mais,
+pour l’argent ; mais,
-Ah l cela
+Ah ! cela
-indignation I... Je
+indignation !... Je
-ne i. Le
+ne Le
-des actions «
+des actions,
-450 LETTRES PERSANES. viennent me rapporter, je
+viennent me l’apporter, je
-punirai sévèrement.* Puis
+punirai sévèrement. Puis
-ajouta, d^un air
+ajouta, d’un air
-les demande? Une
+les demande ? Une
-moitié. * Le
+moitié. « Le
-on Taperçut de
+on l’aperçut de
-de Bétlque, j’apprends
+de Bétique, j’apprends
-venir ;• vous
+venir ; vous
-une reconnoissance éternelle. Le
+une reconnaissance éternelle. « Le
-d’Éole parloit à
+d’Éole parlait à
-qui n’avoient pas
+qui n’avaient pas
-de rire; ils
+de rire ; ils
-Jupiter, défaites- vous-en ;
+Jupiter, défaites-vous-en ;
-de choses; défaites-vous-en, vous dis-je.* Si
+de choses ; défaites-vous-en, vous dis-je. Si
-outres. a Enfin,
+outres. « Enfin,
-un tréteau; et,
+un tréteau ; et,
-biens. ^ A
+biens. A
-est vrai; la
+est vrai ; la
-Banque. 2. A Torigine on
+Banque. A l’origine on
-moitié «n espèces. 3. Ordonnance
+moitié en espèces. Ordonnance
-de Ifathieu Marais, 1. 1, p. 315. 4. Arrêt
+de Mathieu Marais, t.1, p. 315. Arrêt
-Marais, i, I,
+Marais, t. I,
-Marais, 1. 1, p. 387. L
+Marais, t. I, p. 387.
-même endroit; nous
+même endroit ; nous
-quarts. * »
+quarts. »
-la lana do cfaahban, ITiO. 1. Arrêt da 15
+la lune de chahban, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Où je prouve. b A. C. Où je prouve. c A. C. Recherchée par les Romains. Arrêt du 15
-Marais, 1. 1, p.
+Marais, t.1, p.
-RICA Â NATHANAEL
+RICA A NATHANAEL
-A LIVOURMi. Tu
+A LIVOURNE. Tu
-Pourquoi t’adressestu à moi? Tu
+Pourquoi t’adresses-tu à moi ? Tu
-suis Mahométan; c’est-à-dire,
+suis Mahométan ; c’est-à-dire,
-lettres mystérieuses; et,
+lettres mystérieuses ; et,
-tu serois dans
+tu serais dans
-certaines lettres? Quel
+certaines lettres ? Quel
-puisse troubler? Quelle
+puisse troubler ? Quelle
-vaincre l’effort; avec
+vaincre l’effort ; avec
-les guérir? Ce
+les guérir ? Ce
-certains év^ nements à
+certains événements à
-une bataille; et
+une bataille ; et
-du terr^n, dans
+du terrain, dans
-produire ce’ effet
+produire cet effet
-moment, qu*il y
+moment, qu’il y
-ait point; car
+ait point ; car
-tu m’accordes^ n’empêche
+tu m’accordesa n’empêche
-la victoire? Crois-tu
+la victoire ? Crois-tu
-ce qu’une’ puissance
+ce qu’uneb puissance
-le déterminer? que 1. A. G. Cette concession qae tu me fais, n*enipèche pas. 2. A. G. Jusqu’à ce que quelque puissance invisible.
+le déterminer ? que
-seront perdus; toute
+seront perdus ; toute
-prudence vaine; et
+prudence vaine ; et
-courage inutile? Penses-tu
+courage inutile ? Penses-tu
-à expliquer? Yeux-tu que,
+à expliquer ? Veux-tu que,
-homme timide? Crois-tu
+homme timide ? Crois-tu
-découragement d*un autre? que
+découragement d’un autre ? que
-un quatrième? Il
+un quatrième ? Il
-en général; et
+en général ; et
-la perdre? Quoique
+la perdre ? Quoique
-si frivole; parce
+si frivole ; parce
-davantage, NathanaSl :
+davantage, Nathanaël :
-d’être â sérieusement
+d’être si sérieusement
-Paris, la iO de la lane de chahlMui, 17Ï0. P.-5. Gomme je fmissois, j’ai
+Paris, le 20 de la lune de chahban, 1720. P.-S. Comme je finissais, j’ai
-je feroisbien de
+je ferais bien de
-sujet. ^ LETTRE d’un MEDECIN
+sujet. LETTRE D’UN MEDECIN
-UN MEDECIN DE PARIS. ff II y avoit, dans
+UN MÉDECIN DE PARIS. « Il y avait, dans
-ne dormoit point
+ne dormait point
-ordonna Topium :
+ordonna l’opium :
-ne pouvoit se
+ne pouvait se
-il avoit la
+il avait la
-qu’il étoit plus
+qu’il était plus
-je connois un
+je connais un
-qui n*exerce pas
+qui n’exerce pas
-me meurs; je
+me meurs ; je
-du G..1* ou
+du G.. ! ou
-P. J.’ que
+P. J. que
-pu vendre? car
+pu vendre ? car
-père Gaussin,^ en
+père Caussin, en
-votre î. Uauteur, dans
+votre -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Cette concession que tu me fais, n’empêche pas. b A. C. Jusqu’à ce que quelque puissance invisible. L’auteur, dans
-en notes,* Il
+en notes.* <p> Il
-es môdecin, tu
+es médecin, tu
-confrères. 2. La Connoissance du
+confrères. <p> * C’est dans l’édition de 1758 que pour la première fois on a mis en note la lettre d’un médecin de province. La Connaissance du
-éditeurs. 3. A. G. Révérend père Jésuite. 4. Le P. Gaossin, jésuite,
+éditeurs. A. C. Révérend père jésuite. Le P. Caussin, jésuite,
-t. IT, p. 432. * C’est dans l’édition de 1758 qae pour la première fois ou a mis en note la lettre d’an médecin de province.
+t. II, p. 432.
-456 LETTRES PERSANES. service; je
+service ; je
-vous renvoyer; je
+vous l’envoyer ; je
-père Rodrlguès, jésuite
+père Rodriguès, jésuite
-; j*espère, avec Taide de
+; j’espère, avec l’aide de
-la G. du
+la C. du
-premier l’effet; à
+premier l’effet ; à
-seconde pa{^, il ne prononçoit plus
+seconde page, il ne prononçait plus
-se sentoit affoiblie; un
+se sentait affaiblie ; un
-éprouvé, s*assoupit à
+éprouvé, s’assoupit à
-fin. Le
+fin. « Le
-mon opium? On
+mon opium ? On
-l’eût dit? qui l’eût cru? c’est
+l’eût dit ? qui l’eût cru ? c’est
-père Caussin; c’est
+père Caussin ; c’est
-la choiie comme elle s’étoit passée. ^ » i. Voyez
+la chose comme elle s’était passée. » Voyez
-précédente. Le médecin étoit un
+précédente. <p> Le médecin était un
-le frappa; et,
+le frappa ; et,
-plusieurs réflexioDK, il
+plusieurs réflexions, il
-bien singulier! disoit-il. Je
+bien singulier ! disait-il. Je
-une expérience: il
+une expérience : il
-loin. Eli !
+loin. Eh !
-ne pourroit-il pas
+ne pourrait-il pas
-son ournge les
+son ouvrage les
-qualités qu*il a lui-même? Ne
+qualités qu’il a lui-même ? Ne
-les jours? Au
+les jours ? Au
-des apothicaires; leurs
+des apothicaires ; leurs
-galéniques ruioeot les
+galéniques ruinent les
-que Je vous
+que je vous
-des principaui remèdes quMl mit
+des principaux remèdes qu’il mit
-purgative. Prenez
+purgative. <p> Prenez
-en grec; deux feuiUes d*aa traité
+en grec ; deux feuilles d’un traité
-exemple, da subtil Scot; quatre de Paracelse; une d*Avicenne; six d’Averroês; trois
+exemple, du subtil Scot ; quatre de Paracelse ; une d’Avicenne ; six d’Averroès ; trois
-de Plotia ;
+de Plotin ;
-Faites iufuier le
+Faites infuser le
-plus violent . Prenez dix A*" du C"*, concernant la B’" et la G*’* des T**;* faitesles distiller au bain-marie; mortifiez
+plus violent. <p> Prenez dix A*** du C***, concernant la B*** et la C*** des I*** ;5 faites-les distiller au bain-marie ; mortifiez
-l’humeur acre et
+l’humeur âcre et
-verre d*eau commune; avalez
+verre d’eau commune ; avalez
-Vomitif. Prenez
+Vomitif. <p> Prenez
-de N.;** un
+de N. ;6 un
-cinquante romans; trente
+cinquante romans ; trente
-puissant. Prenez
+puissant. <p> Prenez
-J. F.;*** faites-la
+J. F. ;7 faites-la
-trois minutes; laites chaufiier une
+trois minutes ; faites chauffer une
-avalez. Bemide très-simple
+avalez. Remède très-simple
-de Vasthme. Lisez
+de l’asthme. <p> Lisez
-ci-devant jésuite,**** prenant
+ci-devant jésuite,8 prenant
-gale, grateUe, teigne,
+gale, gratelle, teigne,
-chevaux. Prenez
+chevaux. <p> Prenez
-M. Tabbé de Saint-Cyran; écrivez
+M. l’abbé de Saint-Cyran ; écrivez
-col. *
+col. <p> *
-concernant U Banque
+concernant la Banque
-Indes. Dix
+Indes. <p> Dix
-du conMïl concernant
+du conseil concernant
-la conetitatîon des Jésuites, suivant
+la constitution des jésuites, suivant
-Table. " Monsieur de Nimes, c’est-à-dire Fléchier. ***
+Table. <p> ** Monsieur de Nîmes, c’est-à-dire Fléchier. <p> ***
-Floraux. **’* Louis
+Floraux. <p> **** Louis
-pour aTOir écrit
+pour avoir écrit
-PERSANES. Minculam cbymicum, de Tiolenta fermentatione, cum ftimo, igné et flammà. Miscê Quêsmllianam * infUtioMm, cum infution» LattemamanA : ** fUU fit’ fnênUUio cum magnA vi,
+PERSANES. Miraculum chymicum, de violenta fermentatione, cum fumo, igne et flammâ. <p> Misce Quesnellianam9 infusionem, cum infusione Lallemanianâ ;10 fiat fermentatio cum magnâ vi,
-et UmUru, acidis
+et tonitru, acidis
-et imricm penêtrantibus alcalinos sahs ; fiêt cvaparatio ardcwtium spirituum. Ptmê liquonm fcrmênUUum in eUombico ;
+et invicem penetrantibus alcalinos sales ; fiet evaporatio ardentium spirituum. Pone liquorem fermentatum in alambico ;
-indè eoBtrahês, et tûHU mvmÙÊS, nisi caput moriuum, L3iiitiTain. Becipe MoUnœ anodini chartas duos; Escobaris relaxatwi paninas 89x; Vasquii emoUientis folium unum; infunde
+indè extrahes, et nihil invenies, nisi caput mortuum. Lenitivum. <p> Recipe Molinœ anodini chartas duas ; Escobaris relaxativi paginas sex ; Vasquii emollientis folium unum ; infunde
-aquœ commums lib.
+aquœ communis lib.
-Ad contumptionem dimidiœ partis coUniur et exprimantur: et, m expnssione, diesolve Bauni
+Ad consumptionem dimidiœ partis colentur et exprimantur : et, in expressione, dissolve Bauni
-folia iij.*** Fiat clister. In chloroftim, quam yulgus pallidosFCoiores, aut
+folia iij.11 <p> Fiai clister. In chlorosim, quam vulgus pallidos-colores, aut
-figuras nii; R, Thomœ SanchU de matrimoMo foUa i]. Infundantur in aquoB communie libras quinqw. Fiat
+figuras iiij ; R. Thomæ Sanchii de matrimosfo folia ij. <p> Infundantur in aquæ communis libras quinque. <p> Fiat
-aperiens. Voilà
+aperiens. <p> Voilà
-avec ao soocès imaginable.
+avec un succès imaginable.
-ne vouloit pas, disoit-il, pour
+ne voulait pas, disait-il, pour
-pas rainer ses
+pas ruiner ses
-une épltre dédicatoire qui n*ait fait
+une épître dédicatoire qui n’ait fait
-trop courte; un
+trop courte ; un
-et rouvrage d’an janséniste
+et l’ouvrage d’un janséniste
-jésuite. 11 disoit que
+jésuite. Il disait que
-propres qu*à entretenir la charUtanerie, contre
+propres qu’à entretenir la charlatanerie, contre
-il avoit une
+il avait une
-insurmontable. *
+insurmontable. <p> *
-père Qaesnel, Janséniste et
+père Quesnel, janséniste et
-jésuites. **
+jésuites. <p> **
-jésuite. *** Moiina, Bscobar, Vasquez, Banni, Tamburini,
+jésuite. <p> *** Molina, Escobar, Vasquez, Bauni, Tamburini,
-les Pronn» ciales, sont
+les Provinciales, sont
-jansénistes oot attaquées
+jansénistes ont attaquées
-comme corroptrices de
+comme corruptrices de
-LETTRE GXLIV. 459 ^LETTRE CXLIV.
+*LETTRE CXLIV.
-où j’étois allé,
+où j’étais allé,
-se réduisoità ceci
+se réduisait à ceci
-second portoit sur
+second portait sur
-dit. J’aimois assez le premier; car
+dit. J’aimais assez le premier ; car
-impertinent, celamefait beaucoup.
+impertinent, cela me fait beaucoup.
-ses opinions; c’est son bien; le
+ses opinions ; c’est son bien ; le
-! ^ que
+! que
-la nature! Ces
+la nature ! Ces
-être supérieurs; et
+être supérieurs ; et
-embrasse I Vous
+embrasse ! Vous
-que i. n faudrait,
+que Il faudrait,
-moins quil n*y ait ane erreur dans Tintitulé de
+moins qu’il n’y ait une erreur dans l’intitulé de
-460 LETTRES PERSANES. VOUS n’avez rien; et
+vous n’avez rien ; et
-vous n*humiliez personne,
+vous n’humiliez personne,
-le 8S de U lune de chahbaD, 1790.
+le 22 de la lune de chahban, 1720.
-LETTRE CXLV. 464 ^LETTRE CXLV. USBEK A Un
+* LETTRE CXLV. USBEK A ***. Un
-de personnes; il
+de personnes ; il
-mauvaise compagnie; il
+mauvaise compagnie ; il
-Il mine presque
+Il ruine presque
-se porte’ toujours
+se porteb toujours
-affaires. i. Cette
+affaires. Cette
-a para dès
+a paru dès
-Cologne. 2. 2«C. 172i. Qui porte.
+Cologne.
-à celui-là.^ Pendant
+à celui-là.c Pendant
-de l’autre; la
+de l’autre ; la
-des savants? Je
+des savants ? Je
-: c Monsieur, Je
+: « Monsieur, « Je
-nos tètes; et,
+nos têtes ; et,
-mite. c Je
+mite. « Je
-le feroit hausser. L’hiver dernier,* je
+le ferait hausser. L’hiver dernier,d je
-de froid; et,
+de froid ; et,
-qui étoit au
+qui était au
-mains alloient se
+mains allaient se
-dérangeai point Et
+dérangeai point. Et
-passée. c Je
+passée. « Je
-n’en connois aucun.
+n’en connais aucun.
-j’entretiens i. 2* G. 1721. On aime à donner à celai-d; on est charmé d’ôter à celui-là. 2. 2« C. 1721. L’hiver passé.
+j’entretiens
-écrire. a Mais
+écrire. « Mais
-ne connoisse personne
+ne connaisse personne
-qu’elle prétendoit lui
+qu’elle prétendait lui
-celle-là m’accabloit d’injures, celle-ci m’assommoit à
+celle-là m’accablait d’injures, celle-ci m’assommait à
-le docteur*** qui étoit avec
+le docteur *** qui était avec
-très-ébranlé. Depuis
+très-ébranlé. « Depuis
-en avoit perdu
+en avait perdu
-qu’elle aimoit, disoit-elle, plus
+qu’elle aimait, disait-elle, plus
-ma chambre; et,
+ma chambre ; et,
-de Toraison funèbre
+de l’oraison funèbre
-automates ^ qui
+automates qui
-savants étoient autrefois
+savants étaient autrefois
-Chacun disoit en
+Chacun disait en
-peuvent aller; cependant
+peuvent aller ; cependant
-autre tour; et
+autre tour ; et
-ne sauroit guère
+ne saurait guère
-est faite; elle
+est faite ; elle
-justification môme. S’il
+justification même. S’il
-lui suscite* mille
+lui suscitee mille
-mille ans; et
+mille ans ; et
-de l’empire,’ diminuent
+de l’empire,f diminuent
-le trône; imposant
+le trône ; imposant
-ces insultes; ce
+ces insultes ; ce
-les éviter? Il avoit un sentiment; il
+les éviter ? Il avait un sentiment ; il
-ne savoit pas
+ne savait pas
-à 1. 2* C. 1721. On lui suscitera. 2. 2* C. 1721. La constitution dos empires.
+à
-lui, avoit dit
+lui, avait dit
-s’il pouvoit espérer
+s’il pouvait espérer
-de faits; et
+de faits ; et
-ils voudroient que
+ils voudraient que
-qu’il rencontroit entre
+qu’il rencontrait entre
-et lui; et,
+et lui ; et,
-Paris, la 26
+Paris, le 26
-la lane de cbafaban, 1720. > i. 2* C.
+la lune de chahban, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- b 2e C. 1721. Qui porte. c 2e C. 1721. On aime à donner à celui-ci ; on est charmé d’ôter à celui-là. d 2e C. 1721. L’hiver passé. e 2e C. 1721. On lui suscitera. f 2e C. 1721. La constitution des empires. 2e C.
-466 LETTRES PERSANES. k LETTRE CXLVL* USBEK
+LETTRE CXLVI. USBEK
-foi étoit t’âme d’un
+foi était l’âme d’un
-se trouve; il
+se trouve ; il
-les autres; mais
+les autres ; mais
-le dire? le
+le dire ? le
-son peuple; il
+son peuple ; il
-plus dangereux; c’est
+plus dangereux ; c’est
-les Indes.* J’y
+les Indes. J’y
-choses indignes; et violer* les
+choses indignes ; et violera les
-la leuravoit violée. Usappeloientdes lois
+la leur avait violée. Ils appelaient des lois
-plus lâches; et nommoient nécessité,
+plus lâches ; et nommaient nécessité,
-familles renvei’sées. J’ai
+familles renversées. J’ai
-chêne, ’ pour
+chêne, pour
-concitoyens. 1. A. C. Et violer, dans toutes les occasions de leur vie, les premiers principes de Justice, etc. On
+concitoyens. On
-de Ifathieu llarais, t.
+de Mathieu Marais, t.
-clergé n*hésita pas
+clergé n’hésita pas
-maître d*h6tel du
+maître d’hôtel du
-lui demandoit Taumône, et
+lui demandait l’aumône, et
-« Hélas! monsieur, Je suis
+« Hélas ! monsieur, je suis
-un moiilin à
+un moulin à
-ruiné mie famille
+ruiné une famille
-vais, disoit un
+vais, disait un
-à l’oreille/ assassiner
+à l’oreille, assassiner
-autre disoit :
+autre disait :
-en larmes; que
+en larmes ; que
-honnêtes filles; que
+honnêtes filles ; que
-loi. ’ Quel
+loi. Quel
-mépris universel?* Que
+mépris universel ? Que
-faudra rougu: de
+faudra rougir de
-ses pères? Que
+ses pères ? Que
-les uobles ne
+les nobles ne
-rhamazan, 1780. 1. Une plume. 2. C’est-à-dire J*ai payé
+rhamazan, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Et violer, dans toutes les occasions de leur vie, les premiers principes de Justice, etc. Une plume. C’est-à-dire j’ai payé
-déprécié Targent que Je devais. V. Mémoirts de
+déprécié l’argent que je devais. V. Mémoires de
-; t II,
+; t. II,
-A PAniSé Les
+A PARIS. Les
-un étal qui
+un état qui
-leur laissoit une impunité entière; il
+leur laissait une impunité entière ; il
-je vsds te
+je vais te
-elle étoit adressée.
+elle était adressée.
-ma connoissance ;
+ma connaissance ;
-sérail d’Iipahan, le
+sérail d’Ispahan, le
-CXLVIII. 47< LETTRE CXLVIIL USBEK AU
+CXLVIII. USBE AU
-EUNUQUE. AD SéRâlL dMSPAHAN. Recevez
+EUNUQUE. AU SÉRAIL D’ISPAHAN. Recevez
-que moimême; que
+que moi-même ; que
-les châtiments; que
+les châtiments ; que
-les esclaves; n’épargnez
+les esclaves ; n’épargnez
-tribunal redoutable; mettez
+tribunal redoutable ; mettez
-lieu infâme; et
+lieu infâme ; et
-votre tète les
+votre tête les
-surprise s’adressoit :
+surprise s’adressait :
-11 do la lane de silhagé» 1718.
+11 de la lune de zilhagé, 1718.
-m LETTRES PERSANES. LETTRE CXLIX, NARSIT
+LETTRE CXLIX. NARSIT
-A FAKIS.* Le
+A PARIS. Le
-fait connoltre sur
+fait connaître sur
-lui étoit adressée
+lui était adressée
-fait connottre tes
+fait connaître tes
-qu’il avoit trouvé
+qu’il avait trouvé
-que c’étoil une
+que c’était une
-sublime seigneur; et
+sublime seigneur ; et
-sérail d’Iipahan, la 5 do la Inné do gonunadi I, 1718. 1. A.
+sérail d’Ispahan, le 5 de la lune de gemmadi 1, 1718. A.
-AU SÉKAIL D*ISPAHAN. Malheureux
+AU SÉRAIL D’ISPAHAN. Malheureux
-êtes I vous
+êtes ! vous
-prétexte I Il
+prétexte ! Il
-sanglants. Lisezles donc,
+sanglants. Lisez-les donc,
-la Inné de chalral, 1718.
+la lune de chalval, 1718.
-USBEK. Si je gardois plus
+USBEK. A PARIS. Si je gardais plus
-je serois aussi
+je serais aussi
-le séndl. J’étois le
+le sérail. J’étais le
-ont trouvé^ les
+ont trouvéa les
-mon mattre criminelles.
+mon maître criminelles.
-prévois I Puisse,
+prévois ! Puisse,
-intimider encore! Voilà
+intimider encore ! Voilà
-en avertû* ton
+en avertir ton
-tes fenmies :
+tes femmes :
-qui auroit porté
+qui aurait porté
-elle avoit été
+elle avait été
-trois i. A. C. Ayent trouré.
+trois
-que c’est; tout
+que c’est ; tout
-aucune retenue: depuis
+aucune retenue : depuis
-soit permis; la
+soit permis ; la
-y régnoit autrefois
+y régnait autrefois
-qui sembloit animer
+qui semblait animer
-qu’elles arrivassent,^ il avoit fait
+qu’elles arrivassent,b il avait fait
-ils sortoient le
+ils sortaient le
-à présenta notre
+à présent à notre
-ciel vouloit, pour
+ciel voulait, pour
-femmes n’étoient pas
+femmes n’étaient pas
-elles seroient fidèles. Da ténil d’Ispahan. le 8 do la lune do rébiab 1, 1719. i. A.
+elles seraient fidèles. Du sérail d’Ispahan, le 6 de la lune de rebiab 1, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A. C. Ayent trouvé. b A.
-476 LETTRES PERSANES. LETTRE CLH. NARSIT
+LETTRE CLII. NARSIT
-USBEK. Roxane
+USBEK. A PARIS. Roxane
-Usbek I tu
+Usbek ! tu
-esclaves vigilants; je
+esclaves vigilants ; je
-s’être choM un
+s’être choisi un
-soutenir. II est
+soutenir. Il est
-marchands annéniens, nouvellement
+marchands arméniens, nouvellement
-Ispahan, avoient apporté
+Ispahan, avaient apporté
-est perdue. * Écris-moi donc promptement; car
+est perdue.a Écris-moi donc promptement ; car
-mander. Da sérail de Patmé, le
+mander. Du sérail de Fatmé, le
-de lébiab 1, ni9. i. A.
+de rébiab 1, 1719. -------------------------------------------------------------------------------- a A.
-SOLIM. AD SERAIL d’iSPABAR. Je
+SOLIM. AU SÉRAIL D’ISPAHAN. Je
-plus cher» qui
+plus cher, qui
-nouvel emploi; mais
+nouvel emploi ; mais
-t’obéir aveuglément; dans
+t’obéir aveuglément ; dans
-repos. Bends-moi mon
+repos. Rends-moi mon
-je Tai laissé.
+je l’ai laissé.
-par Texpier;^ extermine
+par l’expier ; extermine
-se proposoient de
+se proposaient de
-si signalés? Il
+si signalés ? Il
-De Paru, le
+De Paris, le
-de U lone de
+de la lune de
-1719. i. Expier
+1719. Expier
-de puri/ier est ane expression qui n*est pas
+de purifier est une expression qui n’est pas
-dans VBsprit des lois, XXIV,
+dans l’Esprit des lois. XXIV,
-FEMMES. AD SÉRAIL d’ISPAHAN. Puisse
+FEMMES. AU SÉRAIL D’ISPAHAN. Puisse
-tempêtes I Solim
+tempêtes ! Solim
-actions passées; et,
+actions passées ; et,
-chahban, niu.
+chahban, 1719.
-A ISPABAIf. Heureux
+A ISPAHAN. Heureux
-qui, connoissantrtout le
+qui, connaissant tout le
-ne connoit d’autre
+ne connaît d’autre
-me saisit; je
+me saisit ; je
-je m’anéantis; et
+je m’anéantis ; et
-me connois, Nessir
+me connais, Nessir
-te ferois pitié,
+te ferais pitié,
-tu savois mon
+tu savais mon
-qui s’écoulent; mon
+qui s’écoulent ; mon
-allonge toujours; et,
+allonge toujours ; et,
-me désespéroit, je
+me désespérait, je
-trouve Tétat le
+trouve l’état le
-ne mourrois-je pas
+ne mourrais-je pas
-mes chagrins? J’ai pi*essé mille
+mes chagrins ? J’ai pressé mille
-mes résolutions; il
+mes résolutions ; il
-sa patrie; ou
+sa patrie ; ou
-suis I Je
+suis ! Je
-! qu y ferai-je? Je
+! qu’y ferai-je ? Je
-que deviendrai-je? Et
+que deviendrai-je ? Et
-plus vive? Que
+plus vive ? Que
-sans frémir? Que
+sans frémir ? Que
-mon désespoir? J’irai m’ enfermer dans
+mon désespoir ? J’irai m’enfermer dans
-ne joubai que
+ne jouirai que
-mes inquiétudes; dans
+mes inquiétudes ; dans
-aux réQexions, ma
+aux réflexions, ma
-vous connoissiez le
+vous connaissiez le
-de U lace de chahbao. 1719. 34
+de la lune de chahban, 1719.
-l’épouvante régnent dans le sérail; un
+l’épouvante règnent dans le sérail ; un
-nous restoient. Zachi
+nous restaient. Zachi
-dans Tobscurité de
+dans l’obscurité de
-traitement indigne; le
+traitement indigne ; le
-notre appartement; et,
+notre appartement ; et,
-ce seroit un
+ce serait un
-notre sonameil est
+notre sommeil est
-outrages. Da sinil d’Iipaban, le S de
+outrages. Du sérail d’Ispahan, le 2 de
-de mahamm, 17(0.
+de maharram, 1720.
-LETTRE GLYII. 483 ♦LETTRE CLVII.
+*LETTRE CLVII.
-USBEK. ciel
+USBEK. A PARIS. O ciel
-punir I II m’a
+punir ! Il m’a
-l’humiliation extrême; ce
+l’humiliation extrême ; ce
-honte, reprenoit le
+honte, reprenait le
-et commençoit à
+et commençait à
-qu’il étoit plus
+qu’il était plus
-des larmes; mais
+des larmes ; mais
-Il voudroit m’ôter
+Il voudrait m’ôter
-profaner jus-
+profaner jusqu’aux
-484 LETTRES PERSANES. qu’aux sentiments
+sentiments
-mourir. J*ai soutenu
+mourir. J’ai soutenu
-toi. J’étois superbe
+toi. J’étais superbe
-me faisoit respecter
+me faisait respecter
-pieds. Da aérail d’Ispahan, le 8 de
+pieds. Du sérail d’Ispahan, le 2 de
-A mille
+A PARIS. A mille
-coupable I à
+coupable ! à
-Adieu. Dn aénil d’Ispahân, le S de U lane de mahamm, 1120,
+Adieu. Du sérail d’Ispahan, le 2 de la lune de maharram, 1720.
-486 LETTRES PERSANES. LETTRE GLIX. SOLIM A OSBEK. A
+LETTRE CLIX. SOLIM A USBEK. A
-les miens; je De t’en
+les miens ; je ne t’en
-sur i elles; que
+sur elles ; que
-le coui*s de I mes
+le cours de mes
-les t châtiments,
+les châtiments,
-mon aus r térité naturelle. I Mais, que dis-je? Pourquoi
+mon austérité naturelle. Mais, que dis-je ? Pourquoi
-: regardeI moi comme
+: regarde-moi comme
-ciel I à
+ciel ! à
-fier désormais? Tu soupçonnoisZélis*, et tu avois pour Roxane uoe 1 sécurité
+fier désormais ? Tu soupçonnais Zélis,a et tu avais pour Roxane une sécurité
-farouche étoit une cruelle l imposture : c’étoit le
+farouche était une cruelle imposture : c’était le
-vu j i. A. Tu soupçonnois Zacbi, etc. i I
+vu
-il vouloitmême rentrer
+il voulait même rentrer
-mourir, disoit-il, aux
+mourir, disait-il, aux
-Du sénîl d’Ispahan, 1« 8 de U lune
+Du sérail d’Ispahan, le 8 de la lune
-1, 1*780.
+1, 1720. -------------------------------------------------------------------------------- a A. Tu soupçonnais Zachi, etc.
-488 LETTRES PERSANES. ♦LETTRE CLX.
+*LETTRE CLX.
-A PAEIS. J*ai pris
+A PARIS. J’ai pris
-vont disparoltre ;
+vont disparaître ;
-vont s* apaiser :
+vont s’apaiser :
-pâlir. vous,
+pâlir. O vous,
-semblez n*étre faites
+semblez n’être faites
-vais répandre! Du sérail d’Ispahao, le
+vais répandre ! Du sérail d’Ispahan, le
-rébiab I, 1790.
+rébiab 1, 1720.
-LETTRE GLXI. 489 LETTRE CLXf. ROXANE
+LETTRE CLXI. ROXANE
-USBEK. Oui,
+USBEK. A PARIS. Oui,
-vais mourir; le
+vais mourir ; le
-que ferois-je ici,
+que ferais-je ici,
-me retenoit à
+me retenait à
-n’est plus? Je meurs; mais
+n’est plus ? Je meurs ; mais
-mes désirs? Non
+mes désirs ? Non
-Tu devrois me rendre grftces encore
+Tu devrais me rendre grâces encore
-te paroitre fidèle; de
+te paraître fidèle ; de
-que j’aurois dû faire paroitre à
+que j’aurais dû faire paraître à
-la terre; enfin,
+la terre ; enfin,
-490 LETTRES PERSANES. que j*ai profané
+que j’ai profané
-souffrant qu*on appelât
+souffrant qu’on appelât
-Tu étois étonné
+Tu étais étonné
-tu m’avois bien
+tu m’avais bien
-y aurois trouvé
+y aurais trouvé
-mien t’étoit soumis
+mien t’était soumis
-me croyois trompée,
+me croyais trompée,
-te trompois. Ce
+te trompais. Ce
-te parolt nouveau. Seroit-il possible qu’après t* avoir accablé
+te paraît nouveau. Serait-il possible qu’après t’avoir accablé
-des mains; je sens affoiblir jusqu’à
+des mains ; je sens affaiblir jusqu’à
-me meurs! Da sérail d’Iapahan, 1« 8
+me meurs ! Du sérail d’Ispahan, le 8
-1, 1790. FIN DES LETTRES PERSANES.
+1, 1720.
-MATIÈRES C0MTB2VDBS DAM8 LBS LKTTRBS PKR8ANBH Aboias Ibbsalon, Juif. — Question qu*il fait
+MATIÈRES CONTENUES DANS LES LETTRES PERSANES A ABDIAS IBESALON, juif. — Question qu’il fait
-ibid. Actricês* —
+ibid. Actrices. —
-28. Adam. —
+28. ADAM. —
-L. 69.— Est-il
+L. 69. — Est-il
-les hommes? L.
+les hommes ? L.
-ne Tétoient sous
+ne l’étaient sous
-Romains, ibid, — Pourquoi? L.
+Romains, ibid. — Pourquoi ? L.
-ne souffriroit que
+ne souffrirait que
-se dépeupleroit infailliblement,
+se dépeuplerait infailliblement,
-106. Aînesse, —
+106. Aînesse. —
-119. Alchimistes, —
+119. Alchimistes. —
-Il 8*élèye sans
+Il s’élève sans
-114. Alexandrb comparé
+114. ALEXANDRE comparé
-91. Ambiusadeurs, —
+91. Ambassadeurs. —
-95. Â1IBR0ISB (saint).
+95. AMBROISE (saint).
-Ame (1*). —
+Ame (l’). —
-par elle-mème?L.69. Amérique.
+par elle-même ? L. 69. Amérique.
-49t TABLE ANALYTIQUE —
+—
-des liabitants qu’elle contenoit autrefois,
+des habitants qu’elle contenait autrefois,
-repeuple point, quoiqu’on y
+repeuple point,quoiqu’on y
-— Pourquoi? L.
+— Pourquoi ? L.
-— Il se détruit lui-m6me dans
+— II se détruit lui-même dans
-L. 0, L. 50. Amour-propre
+L. 6, L. 56. Amour-propre
-que c*est, L. 50. / Amulettes. » Fort
+que c’est, L. 50. Amulettes. — Fort
-usage ches les Juifs et ches les
+usage chez les juifs et chez les
-143. Anatomie, —
+143. Anatomie. —
-135. Anciem. —
+135. Anciens. —
-L. 30. Angleterre. -^ Un
+L. 36. Angleterre. — Un
-puissants ÉUU de r Europe, L.
+puissants États de l’Europe, L.
-L. 130. Anglois. —
+L. 136. Anglais. —
-104. A ntiquaires. —
+104. Antiquaires. —
-142. ÀPBéaiDON et AsTART^, Guèbres. -^ Leur
+142. APHÉRIDON et ASTARTÉ, Guèbres. — Leur
-L. 100. AaiTiN, L. 143. AaiSTOTB, L. 143. Arméniem. —
+L. 109. ARÉTIN, L. 143. ARISTOTE, L. 143. Arméniens. —
-les François de
+les Français de
-la lettro Q
+la lettre Q
-L. 100. Arrêt
+L. 109. Arrêt
-des L, L.
+des I., L.
-ou perni cieux? L. 105. ^ Incompatibles
+ou pernicieux ? L. 103. — Incompatibles
-et Toisiveté, L. 100. —
+et l’oisiveté, L. 106. —
-autres, ilnd. Ascétiques.
+autres, ibid. Ascétiques.
-L. 131. Asie.
+L. 134. Asie.
-a toi]Oom*s été
+a toujours été
-Elle n*a plus
+Elle n’a plus
-ses ancienne! villes,
+ses anciennes villes,
-— > Méprisée
+— Méprisée
-135. Astronomes, —
+135. Astronomes. —
-L. 13i. Avsaaote, L. 143. AviCBNifB, L.
+L. 132. AVERROÈS, L. 143. AVICENNE, L.
-Les Juges doiveot se
+Les juges doivent se
-qu’ils lear tendent, L. 08. Auteurs.
+qu’ils leur tendent, L. 68. Auteurs.
-des soto, L. 06. —
+des sots, L. 66. —
-de b&ton, ibid.
+de bâton, ibid.
-Ils étoient soumis
+Ils étaient soumis
-de Sémhramis, L. 38. Bâchas. — Leur tyrannie; leur
+de Sémiramis, L. 38. Bachas. — Leur tyrannie ; leur
-Guèbres honoroient le
+Guèbres honoraient le
-conserver U conquête
+conserver la conquête
-ET ALPHABÉTIQUE. 493 ceux
+ceux
-détruit Tempire romain,
+détruit l’empire romain,
-131. Dataille. — LàtenetïT panique
+131. Bataille. — La terreur panique
-143. Batuêcas (las).
+143. Batuecas (las).
-78. Badnt, L.
+78. BAUNY, L.
-Béatitude étemelle. —
+Béatitude éternelle. —
-Beaux esprits, —
+Beaux esprits. —
-Bel esprit, —
+Bel esprit. —
-des François, L.
+des Français, L.
-de TEurope, L 105.
+de l’Europe, L. 105.
-être Tàme d’un
+être l’âme d’un
-Bourbon (lie de). ^ Salubrité
+Bourbon (Ile de). — Salubrité
-121. Bourgeois. — Depuis
+121. Bourgeois.— Depuis
-invention, L« 105.
+invention, L. 105.
-ibid. Cabalistes,
+ibid. C Cabalistes,
-Leur lèle pour
+Leur zèle pour
-— Avoient découvert
+— Avaient découvert
-117. Caossin (le père\ L.
+117. CAUSSIN (le père) L.
-sainteté parolt contradictoire
+sainteté paralt contradictoire
-— Étoit puni à Rome,
+— Était puni a Rome,
-46. CésAR opprime
+46. CÉSAR opprime
-justice, h. 98. Chansons satinques. —
+justice, L. 98. Chansons satiriques. —
-les François, L.
+les Français, L.
-58. Charles XII.
+58. CHARLES XII.
-494 TABLE ANALYTIQUE Chartreux.
+Chartreux.
-silence rigoarenx, L. tSi, Chat.
+silence rigoureux, L. 82. Chat.
-musulmane, Ui8. Chine.
+musulmane, L. 18. Chine.
-L. i19. Chimie {Akhimie). —
+L. 119. Chimie (Alchimie). —
-Chrétiens. ~ Cultivent
+Chrétiens. — Cultivent
-les bâchas, L.
+les bachas, L.
-plupart d*entre eux
+plupart d’entre eux
-paradis qu*au meilleur marché quMl est
+paradis qu’au meilleur marché qu’il est
-là Toriginc des casuistcs, L.
+là l’origine des casuistes, L.
-de Tesprit d’intolérance,
+de l’esprit d’intolérance,
-Ne paroissent pas
+Ne paraissent pas
-une flllo de
+une fille de
-116. Christinb, reine
+116. CHRISTINE, reine
-139. Ciixassie. —
+139. Circassie. —
-112. Cireassiennes. —
+112. Circassiennes. —
-18. Colonws.— Ne
+18. Colonies. — Ne
-point (kvorables à
+point favorables à
-121. ^Celles que
+121. —Celles que
-Romains envoyoient en Sardaigne y périssoient, ibiiL — N’ont Jamais réussi à Constantinople ni
+Romains envoyaient en Sardaignc y périssaient, ibid. — N’ont jamais réussi à Constaninople ni
-138. Comédie, —
+138. Comédie. —
-vue sooa lequel
+vue sous lequel
-28. Commerce, — > Quand
+28. Commerce. — Quand
-à natioa, L.
+à nation, L.
-dispenser d*avoir du
+dispenser d’avoir du
-L. 131. Compilateurs, —
+L. 134. Compilateurs. —
-plus méprisables: leur
+plus méprisables : leur
-des rois, —
+des rois. —
-un Jeune prince,
+un jeune prince,
-L. 114. — Les
+L. 114.— Les
-ont Jamais réussi,
+ont jamais réussi,
-L. 111. Corps
+L. 141. Corps
-109. Cour,— On
+109. Cour.— On
-8. Courouc, —
+8. Courouc. —
-pour empocher qu’aucun
+pour empêcher qu’aucun
-124. — Les pensions
+124. —Les pensions
-ce sc^et, ibid. Coutumes, —
+ce sujet, ibid. Coutumes. —
-ET ALPHABETIQUE. 495 Cxar. —
+Czar. —
-Voyez PiBRBi I*’. D DécrétaUs. —
+Voyez Pierre Ier. D Décrétales. —
-100. Décisionnaires, —
+100. Divisionnaires. —
-dépeuplé l’univers? L.
+dépeuplé l’univers ? L.
-de Vtmivers. —
+de l’univers. —
-causes, L« 112, 122. ~ L Combat des prificipes du
+causes, L. 112, 122. — I. Combat des principes du
-112.— H. Religion
+112.— II. Religion
-— in. Religion
+— III. Religion
-de Tun et Tautre sexe,
+de l’un et l’autre sexe,
-vie n*est qu’un passage, ibid, — &. Le
+vie n’est qu’un passage, ibid.— b. Le
-de conmierce entre
+de commerce entre
-bourgades, i6t<i. —
+bourgades, ibid. —
-— VIL Les
+— VII. Les
-L. 121.— Vm. La
+L. 121. —VIII. La
-la foiblesse à
+la faiblesse à
-95. Despote» — U est
+95. Despote. — Il est
-courir, ilnd. DespoUsfM. —
+courir, ibid. Despotisme. —
-qu’une tète à
+qu’une tête à
-de VAcadémie, L. 73. DiBD. —
+de l’Académie, L. 73. Dieu. —
-lui plaire. Lé 46.
+lui plaire, L. 46.
-qui paroissent incompatibles
+qui paraissent incompatibles
-humaine, ibid, — Gomment il
+humaine, ibid. — Comment il
-en connoltre la
+en connaître la
-essentiellement Juste, L.
+essentiellement juste, L.
-ibid. — Il n’y
+ibid. —Il n’y
-Disgrâce. » Ne
+Disgrâce. — Ne
-du prince; en
+du prince ; en
-Divorce. -* Favorable
+Divorce. — Favorable
-Don Quichotte, —
+Don Quichotte. —
-94. » On
+94. — On
-principes, ibid» —
+principes, ibid. —
-c’est t comment
+c’est : comment
-abolition louée; par
+abolition louée ; par
-496 TABLE ANALYTIQUE qui? L.
+qui ? L.
-le principe? L.
+le principe ? L.
-point d’honneur et
+point d honneur et
-lois, Und. E
+lois, ibid. E
-58. -^ Agréments et di^sagrémentsde leur profession, L. 61. — Ils
+58. — Agréments et désagréments de leur profession, L.61.— Ils
-Leur lAcheté, L.
+Leur lâcheté, L.
-38. Église, —
+38. Église. —
-dans Tesprit de
+dans l’esprit de
-(gens d*). —
+(gens d’). —
-et d*épée, et
+et d’épée, et
-137. Egypte. — Elle n*a presque
+137. Égypte. — Elle n’a presque
-Ils étoient soumis
+Ils étaient soumis
-dans l*arche, L.
+dans l’arche, L.
-Empereur (P). —
+Empereur (l’). —
-de TEurope, L.
+de l’Europe, L.
-Épigrammes. » C*est le
+Épigrammes. — C’est le
-Épitaphe d*un philanthrope
+Épitaphe d’un philanthrope
-pour les quelles les
+pour lesquelles les
-chrétiens root aboli
+chrétiens l’ont aboli
-pays ot permis
+pays et permis
-75. Esclaves, —
+75. Esclaves. —
-Romains étoient fort
+Romains étaient fort
-115. EscoBAa, L.
+115. ESCOBAR, L.
-Espagne (l*). —
+Espagne (l’). —
-grands ÉUts de TEurope, L. lOS. —
+grands États de l’Europe, L. 102. —
-par ritalie, L.
+par l’Italie, L.
-On s*y est
+On s’y est
-trouvé d*en avoir
+trouvé d’en avoir
-expulsion s*y fait
+expulsion s’y fait
-premier Jour, L. \:t\. — Cest un
+premier jour, L. 121. — C’est un
-Elle n*a presque
+Elle n’a presque
-elle devroit avoir
+elle devrait avoir
-repeupler, L. 121. ~ Elle n*a conservé que Torgucil de
+repeupler, L.12I.— Elle n’a conservé que l’orgueil de
-126. Espagnols, —
+126. Espagnols. —
-méprisent tontes les
+méprisent toutes les
-et baissent les François, L.
+et haïssent les Français, L.
-gravité, Torgueil et
+gravité, l’orgueil et
-traitent Tamour, ibid.
+traitent l’amour, ibid.
-dévotion, ibid, -«- lU souffrent
+dévotion, ibid. — Ils souffrent
-pieds, ibid, —
+pieds, ibid. —
-pour llnquisition et
+pour l’inquisition et
-il n*en faut
+il n’en faut
-livres, ibid, —
+livres, ibid. —
-ET ALPHABÉTIQUE. 497 propre
+propre
-souvent Jeurs af * faires. Comparés
+souvent leurs affaires. Comparés
-préceptes, L.33. États, —
+préceptes, L. 33. États. —
-58. Eunuques, —
+58. Eunuques. —
-le séi-ail, L.
+le sérail, L.
-est do n’être
+est de n’être
-eux Peffet des
+eux l’effet des
-heureux, ibid, —
+heureux, ibid. —
-L. 1 14. Eunuque
+L. 114. Eunuque
-est chargé; dangers
+est chargé ; dangers
-grand). *- Son
+grand). — Son
-L. 41. — Sa
+L. 41.— Sa
-L. 102. — La
+L. 102.— La
-ibid. Fat, —
+ibid. F Fat. —
-des François, L.
+des Français, L.
-7. ~ Façon
+7. — Façon
-22. -^ La
+22. — La
-Italie paroi t un excès do liberté à tin 32
+Italie paraît un excès de liberté à un
-498 TABLE ANALYTIQUE mabomôtan, L.
+mahométan, L.
-Sont d*ane création
+Sont d’une création
-à Thomme, L.
+à l’homme, L.
-celles do Perse, L. 20, 34.
+celles de Perse, L. 26, 34.
-leur laisser? L.
+leur laisser ? L.
-les soumet -elle aux hommes? ibid, ^ Il
+les soumet-elle aux hommes ? ibid. — Il
-Elles voudrolent toujours
+Elles voudraient toujours
-crût Jeunes, L.
+crût jeunes, L.
-Le Jeu n’est,
+Le jeu n’est,
-la Jeunesse; c’est
+la jeunesse ; c’est
-un Age plus
+un âge plus
-différents &ges, pour
+différents âges, pour
-maris, ibid, —
+maris, ibid. —
-bien connoltre qu’en
+bien connaître qu’en
-63. ^ C’est
+63. — C’est
-L. 167. ^ Importance et di£Bculté du
+L. 107.— Importance et difficulté du
-d’une Jolie femme, L. 116. —
+d’une jolie femme, L. 110. —
-le paroltre, ibid» — Voyez Françoi$9$, Orientales, Persanes, Roxarb. Femmss jaunes
+le paraître, ibid. — Voyez Françaises, Orientales, Persanes, Roxane. Femmes jaunes
-de jote. —
+de joie. —
-116. Finances, —
+116. Finances. —
-Leur portrait; leurs
+Leur portrait ; leurs
-L. 88« Flammbl (Nicolas).
+L. 98. FLAMMEL (Nicolas).
-philosophale, U46. Fondateurs
+philosophale, L. 45. Fondateurs
-les srts, L. 165. Forme
+les arts, L. 105. Forme
-Elle lait autant
+Elle fait autant
-de Is médecine, L. 166. France
+de la médecine, L. 100. France
-un graod magicien,
+un grand magicien,
-44. ~ On
+44. — On
-élève Jamais ceux qui ODt vieilli
+élève jamais ceux qui ont vieilli
-— Oa s’y
+— On s’y
-C’est on des
+C’est un des
-de l’Earope, L. 162. —
+de l’Europe, L. 102. —
-gardes, ibid, —
+gardes, ibid. —
-rois doQoe la
+rois donne la
-criminels, tbid.— Le
+criminels, ibid. — Le
-de l’Uicienne Gaule,
+de l’ancienne Gaule,
-l’Espagne, sons la
+l’Espagne, sous la
-rois, ibid.-’ Ne
+rois, ibid. — Ne
-presque Jamais de
+presque jamais de
-maris Jaloux parmi eux; il
+maris jaloux parmi eux ; il
-a peu;
+a peu ;
-ET ALPHABÉTIQUE. 499 pourquoi, ibid, — Leur iocoastance en
+pourquoi, ibid. — Leur inconstance en
-caractère essentiel; tout
+caractère essentiel ; tout
-leur parolt ridicule,
+leur paraît ridicule,
-Doivent paroi tre fous
+Doivent paraître fous
-d’entre eux; épitaphe
+d’entre eux ; épitaphe
-87. — La faveur
+87. —La faveur
-de modes; plaisanteries
+de modes ; plaisanteries
-affaires essentieUes,L. 100.
+affaires essentielles, L. 100.
-— lis ne
+— Ils ne
-le paroissent, L.
+le paraîssent, L.
-— EflScacité qu’ils
+— Efficacité qu’ils
-111. -« En
+111. — En
-y avoit de
+y avait de
-146. Françoises. —
+146. Française. —
-99. FoEETiiRi. — Son dictionnaire, L. 73. Gardes.
+99. FURETIÈRE. — Son dictionnaire,L.73. G Gardes.
-102. Gaulêg (les). — Étoient beaucoup
+102. Gaules (les). — Étaient beaucoup
-112. — Elles ont
+112. —Elles ont
-par llulie, L.
+par l’Italie, L.
-132. Gênes. —
+132. Gènes. —
-136. Gergiskan. —
+136. GENGISKAN. —
-grand conque^ rant qu’Alexandre,
+grand conquérant qu’Alexandre,
-qu’il étoit autrefois,
+qu’il était autrefois,
-L. 133. Gloire.
+L. 135. Gloire.
-89. Glouateurs. —
+89. Glossateurs. —
-135. GoaTZ (le
+135. GORTZ (le
-Grammairiens. ^ Peuvent
+Grammairiens. — Peuvent
-bon 8ens,L. 135.
+bon sens, L. 135.
-que c*est; différence
+que c’est ; différence
-établirent, t6ûf. Guèbres.
+établirent, ibid. Guèbres.
-L.67. » Elle
+L.67. — Elle
-500 TABLE ANALYTIQUE entre
+entre
-sœurs, ibid, —
+sœurs, ibid. —
-soleil, t&td . —
+soleil, ibid. —
-; c*est leur
+; c’est leur
-Guerres. -— Celles
+Guerres. — Celles
-sont Justes, celles
+sont justes, celles
-118. €uriel. —
+118. Guriel. —
-112. GusTASPB, ancien
+112. GUSTASPE, ancien
-30. •Hau, gendre
+30. HALI, gendre
-Persans. Étoit le
+Persans. Était le
-se nommoit Zutagar^ L. 16. Earangues. —
+se nommait Zufagar, L. 16. Harangues. —
-elles naissent; comment
+elles naissent ; comment
-59. Hibernais. —
+59. Hibernois. —
-36. HoHoiuspi {V). —
+36. HOHORASPE (l’). —
-de soo gouvernement
+de son gouvernement
-136. HoHfcsB. —
+136. HOMÈRE. —
-ce poète, L.
+ce poëte, L.
-Ne Jugent les
+Ne jugent les
-Leur Jalousie prouve
+Leur jalousie prouve
-la Justice ;
+la justice ;
-empêchent soavent de
+empêchent souvent de
-la Justice; satisfaction
+la justice ; satisfaction
-rend malbeareux, L.
+rend malheureux, L.
-leur destineroit en
+leur destinerait en
-en avoit, ibid.
+en avait, ibid.
-89. Huguenote. —
+89. Huguenots. —
-ET ALPHABÉTIQUE. 504 I idolâtres, —
+I Idolâtres. —
-ils donnoient à
+ils donnaient à
-151. Idylles, —
+151. Idylles. —
-137. Ignorants, —
+137. Ignorants. —
-145. Imans, —
+145. Imans. —
-18. Immeubles, —
+18. Immeubles. —
-66. Industrie, —
+66. Industrie. —
-ibid. Intérêt, —
+ibid. Intérêt. —
-106. Interprétés, —
+106. Interprètes. —
-L. 134. Intolérance politique, —
+L. 131. Intolérance politique. —
-la suivent; elle
+la suivent ; elle
-respectable do la
+respectable de la
-L. 8i. Irimette, —
+L. 81. Irimette. —
-114. Italie, — La gène dans
+114. Italie. — La gêne dans
-retenues parott un excès de
+retenues paraît un exces de
-de la souveraineté, L. 102.— Leurs pays
+de souveraineté, L. 102 — Leur pays
-premier venu, ibid, —
+premier veau, ibid. —
-ne présente que
+ne repésente que
-L. 112. —
+L. 112 —
-L. 131. —
+L. 131 —
-L. 136. J
+L. 136 J
-62. Jaloux, —
+62. Jaloux. —
-en France; il
+en France ; il
-55. Jambliqcb, L.
+55. JAMBLIQUE, L.
-24. Japhet. —
+24. JAPHET. —
-18. Jeu, —
+18. Jeu. —
-qu’un prétexté dans leur jeunesse; c’est
+qu’un prétexte dans leur jeunesse ; c’est
-de hasard, —
+de hasard. —
-56. Jeunesse, —
+56. Jeunesse. —
-— Devroient parler
+— Devraient parler
-Sont ordinal-
+Sont ordinairement
-502 TABLE ANALYTIQUE rement très-ennuyeux; pourquoi,
+très-ennuyeux ; pourquoi,
-tendent, ibid, Juifs.
+tendent, ibid. Juifs.
-les bâchas, L.
+les bachas, L.
-a do l’argent, L. OJ. —
+a de l’argent, L. 60. —
-partout usurîers et
+partout usuriers et
-pourquoi, ibid, —
+pourquoi, ibid. —
-ils Jouissent actuellement
+ils jouissent actuellement
-les mabométans comme des Juifs rebelles,
+les mahométans comme des juifs rebelles,
-semblent s*élcver contre
+semblent s’élever contre
-— N^ont pu
+— N’ont pu
-L. 143. — Leur
+L. 143.— Leur
-du mahométisme; elle
+du mahométisme ; elle
-dans Tesprit, ibid.
+dans l’esprit, ibid.
-hommes, ibid, —
+hommes, ibid. —
-devons Taimer, indépendamment
+devons l’aimer, indépendamment
-intérêt Texige, ibid.
+intérêt l’exige, ibid.
-les naticns, comparée
+les nations, comparée
-— Parolt incompatible
+— Paraît incompatible
-69. Lacédimone. —
+69. L Lacédémone. —
-ne composoit qu’une
+ne composait qu’une
-98. Law. —
+98. LAW. —
-qu’il occasionnt dans
+qu’il occasionna dans
-L. 145. Législateurs.
+L. 115. Législateurs.
-qu’ils anroient dû
+qu’ils auraient dû
-les Anglois entendent
+les Anglais entendent
-104. Liberté.— Elle
+104. Liberté. — Elle
-— Parolt incompatible
+— Paraît incompatible
-69. LiONNB (M.
+69. LIONNE (M.
-145. Livoumê.— Ville
+145. Livourne.— Ville
-L. 06. — Origi" naux. Respect
+L. 66. — Originaux. Respect
-eux, t6td. Lois. — Outilles leur applicatioo à
+eux, ibid. Lois. — Ont-elles leur application à
-elles auroient dû
+elles auraient dû
-Lois romaines, —
+Lois romaines. —
-ET ALPHABÉTIQUE. 503 Locîs XIV, L. 2i. —
+LOUIS XIV, L.24 —
-femmes Jusque dans
+femmes jusque dans
-L. i07. Louis XV.
+L. 107. LOUIS XV.
-L. 107. Luxe.
+L. 107 Luxe.
-L. 107« M Mages, —
+L. 107. M Mages. —
-Guèbres. Mahomet. ~ Comment
+Guèbres. MAHOMET. — Comment
-L. 18.— Signes
+L. 18. — Signes
-et accompagné sa
+et accompagne sa
-ibid. Mahométans, —
+ibid. Mahométans. —
-plus d’eicès de
+plus d’excès de
-vierge, ibid, — Paroissent plus
+vierge, ibid. — Paraissent plus
-conquête, ibid, —
+conquête, ibid. —
-143. Mahomètisme, —
+143. Mahométisme. —
-au chris* tianisme, L.
+au christianisme, L.
-religion Juive, L.
+religion juive, L.
-L. 07. — N*a été
+L. 67. — N’a été
-persuasion, ibid, — Défavorable
+persuasion, ibid.— Défavorable
-114. Maimbocrg (le
+114. MAIMBOURG (le
-143. Maine (le
+143. MAINE (le
-de sciences, —
+de sciences. —
-Maladie vénérienne, —
+Maladie vénérienne. —
-chevaliers de) . — Fatiguent l’empire
+chevaliers de).—Fatiguent l’empire
-19. Maltôtiers, —
+19. Maltôtiers. —
-leurs richesses; aussi
+leurs richesses ; aussi
-peine à faire
+peine a faire
-101. Marcliands, L. 58. Mariage, —
+101. Marchands, L. 58. Mariage. —
-mystère, ibid* —
+mystère, ibid. —
-sainteté parott contradictoire
+sainteté paraîlt contradictoire
-504 TABLE ANALYTIOUE Espagne, de
+Espagne de
-avoir chassée, L. CO. —
+avoir chassés, L. 60 —
-121. Hazarin. —
+121. MAZARIN. —
-ennemis croyoient le
+ennemis croyaient le
-le chai^geant de ridi* cules, L.
+le chargeant de ridicules, L.
-croient s*y purifier
+croient s’y purifier
-formes Judiciaires, L.
+formes judiciaires, L.
-(Livres de), —
+(Livres de). —
-— — Recettes singulières d*un médecin
+— Recettes singulières d’un médecin
-Médiocrité d’esprit, —
+Médiocrité d’esprit. —
-supériorité d*esprit, L. 145. Métaphysiciens, —
+supériorité d’esprit, L. 145. Métaphysiciens. —
-dépopulation do TAmérique, L.
+dépopulation de l’Amérique, L.
-est r&me, L. 140. Ministres.
+est l’âme, L. 146. Ministres.
-cause do la méchanceté do leurs maîtres, ibid. — Incertitude
+cause de la méchanceté de leurs maîtres, ibid.— Incertitude
-tout Tétat; celle
+tout l’état ; celle
-L. 140. —
+L. 146. —
-pas attri buer à
+pas attribuer à
-surnaturelles es qui peut ôtre produit
+surnaturelles ce qui peut être produit
-L. 99. Modernes.
+L. 91). Modernes.
-L. 12i. Mogot* —
+L. 124. Mogol. —
-40. ^ Histoire
+40. — Histoire
-Leur nombre; leurs vœux; comment
+Leur nombre ; leurs vœux ; comment
-les obseneot, L.
+les observent, L.
-l’être, ibid, MoiSB, L. 69. MoLiNA, L. 143. Mollaks, —
+l’être, ibid. MOÏSE, L. 69. MOLINA, L. 143. Mollaks. —
-ibid. Monarchie, —
+ibid. Monarchie. —
-L. 103. —
+L. 102. —
-des Éttts vraiment monarchiques? ibid.
+des États vraiment monarchiques ? ibid.
-connue, tdtcf. Monarques.
+connue, ibid. Monarques.
-102. Monde, —
+102. Monde. —
-qu’il contonoit autrefois,
+qu’il contenait autrefois,
-un commcncement,L.l 13.
+un commencement, L. 113.
-ET ALPHABÉTIQUE. 505 Montesquieu (M.
+MONTESQUIEU (M.
-personne d*Usbck, L. 48. Morale, — 11 no suffit
+personne d’Usbek, L. 48. Morale. — Il ne suffit
-Morale {Livres de).
+Morale (Livres de).
-134. A/o*coi;»>. —
+134. Moscovie. —
-ibid. Moscovites.— Us sont
+ibid. Moscovites. — Ils sont
-font à leurs
+font a leurs
-leur mari; lettre
+leur mari ; lettre
-la nature; quelles
+la nature ; quelles
-ces lois? L. 97. MosTAPHA. —
+ces lois ? L. 97. MUSTAPHA. —
-fut élevé à
+fut élève à
-N Nations, —
+N Nations. —
-qu’une espèce de
+qu’une espéce de
-civil univei-sel, L.
+civil universel, L.
-diable bhinc, L. 59. NoAiLLEs (duc
+diable blanc. L. 59. NOAILLES (duc
-les maitôtiers que
+les maltôtiers que
-justice faisoit regoi^er, L. 98. cr Cherche
+justice faisait regorger, L. 98. — Cherche
-y étoient libres
+y étaient libres
-qui n’étoit que
+qui n’était que
-130. Opéra,
+130. O Opéra,
-— £st toujours compagne do la
+— Est toujours compagne de la
-L. 105. Oraisons
+L. 103. Oraisons
-leur Jalousie, L. 0. —
+leur jalousie, L. 6. —
-outrée do leurs
+outrée de leurs
-506 TABLE ANALYTIQUE L.
+L.
-— Tjeurs poésies,
+— Leurs poésies,
-137. Osman. —
+137. OSMAN. —
-Turcs. Palais
+Turcs. P Palais
-29. Pap98, —
+29. Papes. —
-dans Tesprit des
+dans l’esprit des
-136. Pasacblsb, L.
+136. PARACELSE, L.
-joies qu^on doit
+joies qu’on doit
-de Tempire de TRurope, L.
+de l’empire de l’Europe, L.
-villes bÀties en Tair, ibid.
+villes bâties en l’air, ibid.
-— Diff’érents moyens d*y attraper
+— Différents moyens d’y attraper
-son industrie; rend
+son industrie ; rend
-plus précautionnés; tous
+plus précautionnés ; tous
-88. ~ C’est
+88. — C’est
-que cVst, L.92.
+que c’est, L.92.
-L. 86.— On
+L. 86. — On
-à Pontoise; pourquoi,
+à Pontoise ; pourquoi,
-à l’Eut, L.
+à l’État, L.
-Romains laissoient à
+Romains laissaient à
-esclaves animoit les
+esclaves animait les
-l’industrie, L.115. Peines.
+l’industrie, L. 115. Peines.
-être modérées; pourquoi,
+être modérées ; pourquoi,
-de TEurope; leur
+de l’Europe ; leur
-L. 101. Pèlerinage
+L. 10 ?. Pèlerinage
-contribue k la
+contribue à la
-Flux et reflux
+Flux et. reflux
-de voyager; on
+de voyager ; on
-trop près, L. 47 .— On les laisseroit plutôt périr
+trop prés, L. 47.— On les laisserait piutôt périr
-il falloit les
+il fallait les
-ET ALPHABÉTIQUE. 507 sont
+sont
-uniformes, parco qu*ils sont
+uniformes, parce qu’ils sont
-de paroltre à
+de paraître à
-châtiments qu*on leur
+châtiments qu’on leur
-157. Persans, — 11 y
+157. Persans. — Il y
-quel Age on
+quel âge on
-les flUes dans
+les filles dans
-Elle n*a plus
+Elle n’a plus
-elle étoit si
+elle était si
-l’astrologie Judiciaire, L.
+l’astrologie judiciaire, L.
-138. Petites-Maisons, —
+138. Petites-Maisons. —
-78. Petits-maîtres, —
+78. Petits-maîtres. —
-rien dire; ils
+rien dire ; ils
-82. Philippe D’OniiANS, régontde France.
+82. PHILIPPE D’ORLÉANS, régent de France.
-145. Philosophie, —
+145. Philosophie. —
-leur parolt si
+leur paraît si
-135. Physique, —
+135. Physique. —
-celle des’ modernes,
+celle des modernes,
-97. Pierre I*’. —
+97. PIERRE Ier. —
-Pierre p/iito»opAa/e.-— Extravagance
+Pierre philosophale. — Extravagance
-58. Plotin, L. 143. Poëmês épiques, —
+58. PLOTIN, L. 143. Poëmes épiques. —
-de deux? L. 137. Poètes, —
+de deux ? L. 137. Poëtes. —
-Poëtes dramatiques, —
+Poëtes dramatiques. —
-les poètes par
+les poëtes par
-— Lyriques, Peu
+— Lyriques. Peu
-Point d’honnewr, —
+Point d’honneur. —
-que c’est; il étoit autrefois
+que c’est ; il était autrefois
-des François, L. 90. Pologne, —
+des Français, L. 90. Pologne. —
-136. Polygamie, —
+136. Polygamie. —
-Pompes funèbres, —
+Pompes funèbres. —
-40. Porphyre, L.
+40. PORPHYRE, L.
-et baissent les François, L. 78. — La gravité,
+et haïssent les Français, L. 78. —La gravité,
-508 TABLE ANALYTIQUE et
+et
-pour rinquisition et
+pour l’inquisition et
-il n*y a
+il n’y a
-106. Pratiqttes monœales et
+106. Pratiques monacales et
-hérésies, L. 78. Préjugés.
+hérésies, L.78. Préjugés.
-Elle parott incompatible
+Elle paraît incompatible
-en a-t-il? L.
+en a-t-il ? L.
-les religions, L.
+les religions. L.
-100. Protestantisme, —
+100. Protestantisme. —
-Pureté légale, — II semble qu’elle devroit plutôt
+Pureté légale. — Il semble qu’elle devrait plutôt
-143. Q.
+143. Q Q.
-Voyez Université, QoESNEL (le
+Voyez Université. QUESNEL (le
-Pourquoi immonde^ suivant
+Pourquoi immonde, suivant
-18. Bathon Lullb. — Â cherché
+18. RAYMON LULLE. — A cherché
-philosophale, L.45. Recueil
+philosophale, L. 45. Recueil
-mots. ^ Leur
+mots. — Leur
-138. Régent, — Voyez Phcuppe d’Obléa.’cs. Religion, —
+138. Régent.— Voyez Philippe D’orléans. Religion. —
-de connottre, L.
+de connaître, L.
-la vraie; prière
+la vraie ; prière
-est-elle utile? Elles
+est-elle utile ? Elles
-Religion chrétienne, —
+Religion chrétienne. —
-pas favoralile à
+pas favorable à
-— Juive, Est
+— Juive. Est
-— Mahométane, Défavorable h la
+— Mahomètane. Défavorable à la
-ET ALPHABÉTIQUE. 509 Romains.
+Romains.
-ibid. Bemide pour
+ibid. Remède pour
-de Tasthme, L.
+de l’asthme, L.
-chlorosim, ibid, Beprésailles. —
+chlorosim, ibid. Représailles. —
-95. Représenter,— Portrait
+95. Représenter.— Portrait
-— Klles sont
+— Elles sont
-de riionneur et
+de l’honneur et
-L. 81). —
+L. 89. —
-aux grands; ils
+aux grands ; ils
-74. Rica, compagnon
+74. RICA, compagnon
-voyage d’Uebek: son
+voyage d’Usbek : son
-leur maîtresse ou
+leur maltresse ou
-Romains. ~ Ils obéissoient à
+Romains. — Ils obéissaient à
-empire étoit originaire
+empire était originaire
-religion étoit favorable
+religion était favorable
-esclaves rcmplissoient l’eut d’an peuple
+esclaves remplissaient l’état d’un peuple
-qu’ils reléguoient en
+qu’ils reléguaient en
-y périssoient, L. 121 . — Tous les
+y périssaient, L. 121. —Tous les
-L. 136, Romans.
+L. 136. Romans.
-y punissoit le. célibat,
+y punissait le célibat,
-cette république; sa
+cette république ; sa
-131. RoxANB, femme d’Csbek. —
+131. ROXANE, femme d’Usbek. —
-vertu, L.20. — Opiniâtreté
+vertu, L.20.— Opiniâtreté
-femmes d’Usbok, L.
+femmes d’Usbek, L.
-L. 150. —
+L. 159. —
-161. Saint-Cyran (l*abbé de),
+161. S SAINT-CYRAN (l’abbé de),
-monarque d’Egypte renonce k son
+monarque d’Égypte renonce à son
-95. Sanchbz, L.
+95. SANCHEZ, L.
-barbare étoit dans
+barbare était dans
-38. Sauvages. — Leurs
+38. Sauvages.— Leurs
-sont con* traires à
+sont contraires à
-population, L, 120. Savants» —
+population, L. 120. Savants. —
-L. 144. — Malheur
+L. 144.— Malheur
-leur condition; lettre
+leur condition ; lettre
-L. 145. Scapulaires, L. 20. Scolastique,
+L. 115. Scapulaires, L. 29. Scolastique,
-510 TABLE ANALYTIQUE Sciences.
+Sciences.
-de s*y attacher on B*y attache
+de s’y attacher on s’y attache
-occultes (lifres de).
+occultes (livres de).
-135. ScoT, L. 143. SiNiQDB. —
+135. SCOT, L. 143. SÉNÈQUE. —
-plaisirs quMls procurent
+plaisirs qu’ils procurent
-vrai bonheur; histoire
+vrai bonheur ; histoire
-Sont Juges plus
+Sont juges plus
-Sérail. -— Son
+Sérail. — Son
-— L*amour s’y
+— L’amour s’y
-par lui-môme, L.
+par lui-même, L.
-Plus lait pour
+Plus fait pour
-quel &ge on
+quel âge on
-L. 114. — Toutes
+L. 111.— Toutes
-défendues, môme entre
+défendues, même entre
-absence, Und. —
+absence, ibid. —
-quelques François en
+quelques Français en
-que c’est; quelle
+que c’est ; quelle
-est Torigine, L. 94. Smyme. ~ Ville
+est l’origine, L. 94. Smyrne. — Ville
-8. SoleU. —
+8. Soleil. —
-L. 07. — Quel? ilM. — Ils rhonoroient principalement
+L. 67. — Quel ? ibid. — Ils l’honoraient principalement
-Balk, îM. Solitaires
+Balk, ibid. Solitaires
-la TtiébaMde. — Ce qu*on doit
+la Thébaïde. — Ce qu’on doit
-la (aire pratiquer, L. 62, Suicide.
+la faire pratiquer, L. 62. Suicide.
-— EUe est
+— Elle est
-de U liberté,
+de la liberté,
-de Jjaw. —
+de Law. —
-à l’totrologie judiciaire,
+à l’astrologie judiciaire,
-nation firançoise; 11 l’a
+nation française ; il l’a
-146. Talismans.
+146. T Talismans.
-Les mahomctans y atuchent une grande vertu,L. 143. TAmuaiNi, L.
+Les mahométans y attachent une grande vertu, L. 143. TAMBURINI, L.
-— - Sont
+— Sont
-la terre; leurs
+la terre ; leurs
-ET ALPHABÉTIQUE. 511 Tartarie
+Tartarie
-kan do). — Insulte tous
+kan de). —Insulte tous
-L. 44. Tentations, —
+L. 14. Tentations. —
-se lasse quelquefois de
+se lassequelquefois de
-Voyez Solitaires, Théodosb. —
+Voyez Solitaires. THÉODOSE. —
-61. Théologie, —
+61. Théologie. —
-Théologie scolastiqtte (livres
+Théologie scolastique (livres
-Tolérance, h. 60. — Politique, Ses
+Tolérance, L. 60. — Politique. Ses
-Toscane ^ducs de).
+Toscane (ducs de).
-de Tltalie, L. 23. Traducteurs, —
+de l’Italie, L. 23. Traducteurs. —
-ibid. Triangles, —
+ibid. Triangles. —
-ils donneroient à
+ils donneraient à
-en avoient un,
+en avaient un,
-117. Tristesse, —
+117. Tristesse. —
-la ndtre, L. 33. Troglodytes, —
+la nôtre, L. 33. Troglodytes. —
-où Ton n’a Jamais ri,
+où l’on n’a jamais ri,
-123. Turquie, —
+123. Turquie. —
-138. ~ D*Europe. Est
+138. — D’Europe. Est
-que colle d’Asie, ibid. Tyri (le),
+que celle d’Asie, ibid. TYEN (le),
-119. u ULRiQOB-ÉLéoïfORB, rclue de
+119. U ULRIQUE-ÉLÉONORE, reine de
-109. UsBEK. —
+109. USBEK. —
-Perse. Routç qu’il
+Perse. Route qu’il
-la Perse; son
+la Perse ; son
-8. «Parolt à
+8. — Paraît. à
-tendre Jeunesse ;
+tendre jeunesse ;
-la Jalousie des ministres, ibid* —
+la jalousie des ministres, ibid. —
-premier eunuqae de
+premier eunuque de
-Est Jaloux de
+Est jaloux de
-542 TABLE ANALYTIQUE ET ALPHABÉTIQUE. par la Jalousie, il
+par la jalousie, il
-qui raccompagnoient, pour
+qui l’accompagnaient, pour
-148. ^Ordres qu’il
+148. — Ordres qu’il
-mort, k Narsit,
+mort, à Narsit,
-à Sollm, et
+à Solim, et
-succès leur tiennent
+succès lour tiennent
-104. Vanité.
+104. V Vanité.
-L. 141. Vasquids, L.
+L. 144. VASQUIUS, L.
-cette ville; pourquoi
+cette ville ; pourquoi
-musulmans, L.31. — ^’a de
+musulmans, L. 31. — N’a de
-L. 130. Vénls. —
+L. 136. VÉNUS. —
-hommes heureux; histoire
+hommes heureux ; histoire
-Elle Juge de
+Elle juge de
-voyageurs chercbeAt les
+voyageurs cherchent les
-garde n*en est* elle plus
+garde n’en est-elle plus
-effets de" cette
+effets de cette
-— • Pourquoi défendu ches les
+— Pourquoi défendu chez les
-n’y en a
+n’y eu a
-71. Visapour.— Il
+71. Visapour. — Il
-femmes Jaunes qui
+femmes jaunes qui
-L. 90. Vomitif, L. i43. —
+L. 96. Vomitif, L. 143. —
-47. ZosoASTRB, législateur
+47. Z ZOROASTRE, législateur
-16. Parii. — > J. Clatx, imprimenr, 7, rue Saist-BenolU — 11494] ’^
+16.