Les Chroniques de Sire Jean Froissart/Livre I, Partie I

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Texte établi par J. A. C. Buchon (Ip. 722-730).
LIVRE PREMIER.
PARTIE PREMIÈRE.




Chapitre premier. — Ci s’ensuivent les noms des preux de cette histoire.
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Chap. ii. — Ci commence à parler du roi Édouard d’Angleterre et de l’opinion des Anglois.
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Chap. iii. — Comment le père au roi Édouard fut marié à la fille du beau roi Philippe de France.
5
Chap. iv. — Pour quelle achoison la guerre mut entre le roi de France et le roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. v. — Comment grand’dissention mut entre les barons d’Angleterre et messire Huon le Despensier.
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Chap. vi. — Comment plusieurs barons d’Angleterre furent décolés et comment la roine et son fils s’en affuirent en France.
Ib.
Chap. vii. — Comment le roi de France reçut honorablement sa sœur la roine d’Angleterre ; et comment elle lui conta la cause de sa venue.
7
Chap. viii. — Comment le noble roi Charles conforta sa sœur, et comment elle acquit l’amitié de plusieurs grands seigneurs qui lui promirent à la ramener en Angleterre.
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Chap. ix. — Comment les barons d’Angleterre mandèrent secrètement à la roine qu’elle s’en retournât, elle et son fils, en Angleterre atout mille hommes d’armes.
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Chap. x. — Comment messire Huon le Despensier corrompit le roi de France et tout son conseil par dons, afin qu’il ne renvoyât la roine en Angleterre.
Ib.
Chap. xi. — Comment le roi de France fit dire à sa sœur qu’elle vuidât hors de son royaume.
Ib.
Chap. xii. — Comment la roine d’Angleterre se partit de nuit secrètement de Paris, elle et sa route, pour peur qu’elle ne fût prise de son frère et renvoyée en Angleterre ; et s’en alla à l’Empire.
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Chap. xiii. — Comment messire Jean de Hainaut vint à Buignicourt à l’encontre de la roine d’Angleterre.
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Chap. xiv. — Comment messire Jean de Hainaut promit à la roine d’Angleterre qu’il ne lui fauldra jusques à mourir.
Ib.
Chap. xv. — Comment la roine d’Angleterre se partit de Buignicourt et s’en alla à Valenciennes où elle fut honorablement reçue du comte et de la comtesse de Hainaut.
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Chap. xvi. — Comment messire Jean de Hainaut fit sa semonce de gens d’armes pour la roine d’Angleterre remener en son royaume.
Ib.
Chap. xvii. — Comment messire Jean de Hainaut prit congé de son frère et se mit sur mer pour amener la roine et son fils en Angleterre.
13
Chap. xviii. — Comment la roine d’Angleterre et messire Jean de Hainaut et leurs gens après grand’tempéte arrivèrent en Angleterre.
Ib.
Chap. xix. — Comment les barons d’Angleterre allèrent à l’encontre de la roine et eurent conseil qu’ils iroient assiéger le roi et les Despensiers qui étoient dedans Bristo.
14
Chap. xx. — Comment ceux de Bristo se rendirent à la roine, et comment messire Huon le Despensier le vieux et le comte d’Arondel furent amenés devant la roine.
15
Chap. xxi. — Comment messire Huon le Despensier le vieux et le comte d’Arondel furent mis à mort.
Ib.
Chap. xxii. — Comment le roi d’Angleterre et messire Huon le jeune furent pris et amenés devant la roine.
16
Chap. xxiii. — Comment le roi fut mené en prison à Bercler et baillé en garde au seigneur Bercler.
Ib.
Chap. xxiv. — Comment messire Hue le Despensier le jeune eut la tête tranchée et fut mis en quatre quartiers.
17
Chap. xxv. — Comment la roine d’Angleterre fut honorablement reçue à Londres, et comment les compagnons messire Jean de Hainaut s’en retournèrent en leur pays.
Ib.
Chap. xxvi. — Comment il fut ordonné en plein conseil que le roi qui étoit prisonnier n’étoit point digne de porter la couronne.
18
Chap. xxvii. — Comment le roi Édouard fut couronné, et comment il donna à messire Jean de Hainaut quatre cents marcs d’esterlins de revenu.
Ib.
Chap. xxviii. — Comment le roi d’Escosse défia le jeune roi Édouard d’Angleterre.
19
Chap. xxix. — Comment le roi Édouard fit sa semonce à tous les nobles et non nobles d’Angleterre, et espécialement à messire Jean de Hainaut pour aller contre les Escots.
20
Chap. xxx. — Comment messire Jean de Hainaut vint à belle compagnie pour secourir le roi Édouard, et quels seigneurs vinrent avec lui.
21
Chap. xxxi. — Comment grand’dissention mut entre les Hainuyers et les archers d’Angleterre, dont grand meschef en vint.
Ib.
Chap. xxxii. — Comment les Hainuyers furent en grand meschef et peine par l’espace de quatre semaines, pour la crainte des Anglois.
23
Chap. xxxiii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de la cité de Ebruich atout son ost pour aller vers Escosse, et comment les Escots entrèrent en Angleterre.
Ib.
Chap. xxxiv. — Comment les Escots se gouvernent et maintiennent quand ils sont en guerre.
25
Chap. xxxv. — Comment les Anglois se mirent en trois batailles pour cuider combattre les Escots qui tout ardoient ; mais ils ne les purent aconsuir.
Ib.
Chap. xxxvi. — Comment les Anglois se logèrent, tous armés, en un bois jusques à mie-nuit, moult travaillés de poursuir les Escots.
26
Chap. xxxvii. — Comment les Anglois chevauchèrent tous les jours par montagnes et par déserts, cuidant trouver les Escots jusques à la rivière de Tyne.
Ib.
Chap. xxxviii. — Comment les Anglois se logèrent sur la rivière de Tyne où ils souffrirent grand’mésaise.
27
Chap. xxxix. — Comment les Anglois souffrirent grand’famine, eux et leurs chevaux, tant qu’ils furent outre la rivière de Tyne.
28
Chap. xl. — Comment les Anglois repassèrent la rivière de Tyne, et comment un écuyer apporta nouvelles au roi où les Escots étoient.
28
Chap. xli. — Comment le roi d’Angleterre fit ordonner ses batailles pour aller contre les Escots ; et comment il fit l’écuyer chevalier et lui donna cent livrées de terre.
29
Chap. xlii. — Comment les Anglois et les Escots furent vingt-deux jours les uns devant les autres sans point combattre fors qu’en escarmouchant.
30
Chap. xliii. — Comment messire Guillaume de Douglas se férit entour mie-nuit atout deux cents hommes en l’ost des Anglois et en tua bien trois cents.
31
Chap. xliv. — Comment les Escots s’enfuirent par nuit, sans le sçu des Anglois, et comment les Anglois s’en retournèrent en leur pays ; et comment messire Jean de Hainaut prit congé du roi et s’en retourna en son pays.
32
Chap. xlv. — Comment les barons et les seigneurs d’Angleterre envoyèrent légats en Hainaut pour parler du mariage de la fille du comte et du roi Édouard.
34
Chap. xlvi. — Comment madame Philippe de Hainaut fut mariée au roi d’Angleterre, et comment elle fut honorablement reçue à Londres.
35
Chap. xlvii. — Comment le bon roi Robert d’Escosse, lui étant au lit de la mort, manda tous ses barons et leur recommanda son fils et son royaume, et enchargea à monseigneur Guillaume de Douglas qu’il portât son chœur au sein sépulchre.
Ib.
Chap. xlviii. — Comment messire Guillaume de Douglas, en allant outre mer fut tué en Espaigne mal fortunément, et comment le jeune roi d’Escosse fut marié à la sœur du roi d’Angleterre.
37
Chap. xlix. — Comment le roi Charles de France mourut sans hoir mâle, et comment les douze pairs et les barons élurent à roi monseigneur Philippe de Valois ; et comment il déconfit les Flamands qui s’étoient rebellés contre leur seigneur.
38
Chap. l. — Comment le roi d’Angleterre, par le faux ennortement de messire Roger de Mortimer, fit décoler le comte de Kent son oncle ; et comment ledit messire Roger mourut vilainement après.
40
Chap. li. — Comment le roi de France envoya légats en Angleterre pour sommer le roi d’Angleterre qu’il lui venist faire hommage et quelle chose le dit roi répondit aux dessus-dits légats.
42
Chap. lii. — Comment le roi d’Angleterre vint à Amiens, où il fut honorablement reçu du roi de France et lui fit hommage, mais non mie tout entièrement comment il devoit.
43
Chap. liii. — Comment le roi de France envoya en Angleterre de son plus espécial conseil, pour savoir par les registres d’Angleterre comment le dit hommage se devoit faire ; et comment le roi d’Angleterre lui envoya unes lettres, contenant le dit hommage.
45
Chap. liv. — Comment le roi de France prit en haine messine Robert d’Artois, dont il lui convint s’enfuir hors du royaume, et comment il fit mettre sa femme et ses enfans en prison qui oncques puis n’en issirent.
46
Chap. lv. — Comment la guerre recommença entre le roi d’Angleterre et le roi d’Escosse et sur quel titre ; et comment messire Robert d’Artois vint en Angleterre.
48
Chap. lvi. — Comment tout le conseil et le commun d’Angleterre conseillèrent le roi Édouard qu’il allât soumettre le roi d’Escosse, et qu’ils étoient tous désirans d’aller avec lui.
50
Chap. lvii. — Comment le roi anglois entra en Escosse où il ardit et gâta grand’partie d’Escosse et prit plusieurs châteaux et villes qu’il retint pour lui.
Ib.
Chap. lviii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siège devant Bervich et comment ceux de la cité se rendirent à lui.
51
Chap. lix. — Comment messire Guillaume de Montagu et messire Gautier de Mauny se portèrent vaillamment contre les Escots, dont ils furent grandement en la grâce du roi Édouard.
52
Chap. lx. — Comment le roi de France alla voir le pape en Avignon, et comment, à la prédication du pape, il prit la croix pour aller outre mer ; et aussi fit le roi de Behaigne, le roi de Navarre et le roi d’Arragon.
54
Chap. lxi. — Comment le roi de France fit faire son appareil et ses pourvéances pour aller outre mer contre les ennemis de Dieu.
55
Chap. lxii. — Comment le roi d’Angleterre envoya ses messages au comte de Hainaut pour avoir son conseil qu’il feroit du droit qu’il se disoit avoir en France.
56
Chap. lxiii. — Quelle chose le comte de Hainaut conseilla aux messages du roi d’Angleterre ; et comment il s’en retournèrent en Angleterre et dirent au roi ce que le comte leur avoit conseillé.
Ib.
Chap. lxiv. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec le duc de Guelres, le marquis de Juliers, l’archevêque de Cologne et le sire de Fauquemont.
58
Chap. lxv. — Comment Jacquemart d’Artevelle échut si en la grâce des Flamands que tout quant que il faisoit, nul ne lui contredisoît.
59
Chap. lxvi. — Comment les seigneurs d’Angleterre firent alliance avec les Flamands par donner et par promettre, et espécialement avec Jaquemart d’Artevelle.
60
Chap. lxvii. — Comment aucuns chevaliers et écuyers flamands étoient en l’île de Gagant qui gardoient ouvertement le passage contre les Anglois.
61
Chap. lxviii. — Comment le duc de Brabant envoya ses messagers par devers le roi de France pour lui excuser de l’alliance qu’il avoit faite avec les Anglois ; et comment les seigneurs d’Angleterre s’en retournèrent.
Ib.
Chap. lxix. — Comment les Anglois prirent terre sur les Flamands qui gardoient le passage de Gagant et vinrent combattre main à main.
62
Chap. lxx. — Comment les Anglois déconfirent ceux de Gagant ; et y fut pris le frère bâtard du comte de Flandre, qui puis se rendit Anglois.
63
Chap. lxxi. — Comment le roi d’Angleterre vint par deçà la mer, et comment il montra à ses alliés ses grands frais et qu’ils voulussent tenir ce que promis lui avoient ; et quelle chose ils lui répondirent.
Ib.
Chap. lxxii. — Comment les seigneurs de l’Empire mandèrent au roi d’Angleterre qu’ils étoient prêts, ainsi que convent étoit, mais que le duc de Brabant le fut.
65
Chap. lxxiii. — Comment les seigneurs de l’Empire dirent au roi qu’ils n’avoient point de cause de défier le roi de France sans le congé de l’empereur ; et qu’il veuille tant faire qu’il ait son accord.
Ib.
Chap. lxxiv. — Comment le roi d’Angleterre envoya le marquis de Juliers pardevers l’empereur pour avoir son accord ; et comment cil fit le roi d’Angleterre son vicaire par tout l’Empire.
66
Chap. lxxv. — Comment le roi David d’Escosse avec la roine sa femme vinrent à Paris au roi de France ; et comment il et tous les barons d’Escosse lui promirent et jurèrent qu’ils ne feroient point paix aux Anglois sans son conseil.
67
Chap. lxxvi. — Comment le roi Édouard manda à la roine sa femme qu’elle appassât la mer ; et comment le marquis de Juliers et sa compagnie, qui étoient allés devers l’empereur, s’en retournèrent.
68
Chap. lxxvii. — Comment le duc de Brabant envoya monseigneur Louis de Craneben par devers le roi de France pour lui excuser qu’il ne voulût croire nulle mauvaise information contre lui.
69
Chap. lxxviii. — Comment le roi d’Angleterre fit ses pourvéances en Angleterre pour passer la mer, et manda à ses alliés qu’ils vinssent à lui sans délai, sur la foi que promis lui avoient.
Ib.
Chap. lxxix. — Comment le roi d’Angleterre et ses alliés envoyèrent défier le roi de France ; et comment messire Gautier de Mauny cuida prendre Mortaigne, et comment il prit le châtel de Thun en Cambrésis.
70
Chap. lxxx. — Comment le roi de France se pourvut bien et grandement de gens d’armes et envoya grand’garnison au pays de Cambrésis ; et comment les Normands prirent Hantonne.
72
Chap. lxxxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Malignes et s’en vint à Bruxelles parler au duc de Brabant et pour savoir quelle étoit son intention.
73
Chap. lxxxii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Haspre et s’en vint mettre le siége devant Cambray ; et comment le duc de Brabant y vint.
75
Chap. lxxxiii. — Comment le comte Guillaume de Hainaut vint à Cambray durant le siége et y livra un dur assaut contre ceux de la ville.
76
Chap. lxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre défit son siège de Cambray et s’en vint vers le mont Saint-Martin pour entrer au royaume de France.
Ib.
Chap. lxxxv. — Comment le comte de Hainaut prit congé du roi d’Angleterre aussitôt qu’il entra au royaume de France ; et comment le roi de France envoya son connétable à Saint-Quentin pour garder la ville et la frontière.
77
Chap. lxxxvi. — Comment messire Jean de Hainaut et plusieurs autres grands seigneurs cuidèrent prendre Honnecourt ; et comment l’abbé et ceux de la ville s’y portèrent très vaillamment.
Ib.
Chap. lxxxvii. — Comment messire Jehan de Hainaut et ses compagnons se retrairent en leurs logis ; et comment le roi d’Angleterre ardit et ecilla le pays de Thierasche.
78
Chap. lxxxviii. — Comment la ville de Guise fut toute arse ; et comment ceux de Nouvion furent déconfits et tout leur avoir perdu.
79
Chap. lxxxix. — Comment le roi de France fit ses gens loger à Buironfosse pour là attendre le roi d’Angleterre ; et comment le comte de Hainaut s’en vint le servir.
80
Chap. xc. — Comment la journée fut prise et assignée entre les deux rois pour eux combattre.
Ib.
Chap. xci. — Comment le sire de Fagnoelles et le sire de Tupegny, Hainuyers, costioient l’ost des Anglois ; et comment le sire de Fagnoelles fut pris.
81
Chap. xcii. — Comment le roi d’Angleterre se traist sur les champs et ordonna ses batailles bien et faiticement ; et quels seigneurs il avoit en sa compagnie.
Ib.
Chap. xciii. — Comment le roi d’Angleterre confortoit doucement ses gens ; et comment le roi de France ordonna ses batailles, et comment la journée se passa sans bataille.
82
Chap. xciv. — Comment le roi de France donna congé à ses gens d’armes, et comment il envoya gens d’armes à Tournay en garnison et ès villes marchissant à l’Empire.
84
Chap. xcv. — Comment le roi d’Angleterre tint un grand parlement à Bruxelles ; et de la requête qu’il y fit aux Flamands.
Ib.
Chap. xcvi. — Comment le roi d’Angleterre enchargea les armes et le nom de roi de France par l’ennortement des Flamands.
85
Chap. xcvii. — Comment le roi Édouard s’en retourna en Angleterre et laissa pour garder Flandre le comte de Suffolch.
86
Chap. xcviii. — Comment messire Hue Kieret et ses compagnons conquirent grand avoir en Angleterre et la grand’nef qui s’appeloit Christophe ; et comment le roi commanda courir et ardoir la terre de messire Jean de Hainaut.
Ib.
Chap. xcix. — Comment ceux de Cambray et ceux de Thun-l’Êvêque se combattirent durement, et furent ceux de Thun-l’Évêque déconfits, et leur capitaine navré à mort.
87
Chap. c. — Comment le roi de France donna congé à ceux de Cambray de faire guerre au comte de Hainaut et comment ils prirent la ville de Haspre et l’ardirent toute et pillèrent.
88
Chap. ci. — Comment le comte de Hainaut assembla son parlement en la ville de Mons, et comment il envoya défier le roi de France.
90
Chap. cii. — Comment le comte de Hainaut s’en vint à tout son ost devant Aubenton où il eut moult dur assaut, et comment les Hainuyers gagnèrent les barrières.
90
Chap. ciii. — Comment la ville d’Aubenton fut prise et conquise par force et toute pillée et robée et arse, et tous ceux qui dedans étoient morts et pris.
91
Chap. civ. — Comment le comte de Hainaut donna congé à ses gens, et comment il monta sur mer pour aller en Angleterre.
92
Chap. cv. — Comment messire Jean de Hainaut mit bonne garnison de gens d’armes par toutes les forteresses de Hainaut marchissans au royaume de France.
93
Chap. cvi. — Comment le roi Philippe commanda au duc de Normandie son fils qu’il allât détruire le pays de Hainaut, et envoya le comte de Lisle en Gascogne son lieutenant.
Ib.
Chap. cvii. — Comment ceux de Tournay, de Lille et de Douay coururent jusques devant Courtray où ils prirent grand’proie de bêtes et tuèrent plusieurs hommes.
91
Chap. cviii. — Comment les comtes de Sallebrin et de Suffolch, qui alloient au secours des Flamands, furent pris de ceux de Lille et envoyés au roi de France.
Ib.
Chap. cix. — Comment le duc de Normandie fit très grand’assemblée de gens d’armes pour aller détruire tout le pays de Hainaut.
96
Chap. cx. — Comment le sénéchal de Hainaut fit une apperte escarmouche en l’ost du duc de Normandie, et comment les coureurs du duc ardirent plusieurs villes en Hainaut.
Ib.
Chap. cxi. — Comment le sire de Fauquemont atout cent lances se bouta en l’ost des François et en tua et prit plusieurs à prisonniers ; et comment quatre cents lances des François ardirent plusieurs villes et prirent la ville de Trith.
97
Chap. cxii. — Comment le duc de Normandie se partit de Castres et ardit plusieurs villes entre Cambray et Valenciennes et prit le château d’Escandeuvre.
99
Chap. cxiii. — Comment ceux de Douay et ceux de Lille issirent de leurs forteresses et ardirent tout le plat pays d’Ostrevant.
100
Chap. cxiv. — Comment François et Hainuyers s’entrecouroïent sus les uns sur les autres, et comment le pays de Hainaut étoit eu grand’tribulation.
101
Chap. cxv. — Comment le duc de Normandie assiégea le châtel de Thun-l’Évêque, et comment ceux de dedans eurent trêves de quinze jours à lui rendre le châtel ou à lui combattre.
101
Chap. cxvi. — Comment le comte de Hainaut fit son mandement à tous ses alliés pour aller secourir ceux de Thun-l’Évêque.
102
Chap. cxvii. — Comment le roi Philippe envoya douze cents lances eu l’ost de son fils et assez tôt après y vint lui-même comme soudoyer.
103
Chap. cxviii. — Comment Jaquemart d’Artevelle vint au secours du comte de Hainaut à plus de soixante mille Flamands ; et comment le dit comte envoya ses hérauts demander bataille au duc de Normandie.
Ib.
Chap. cxix. — Comment le comte de Hainaut envoya de rechef messire Jean de Hainaut au dit duc pour lui requérir bataille, et quelle réponse il eut.
104
Chap. cxx. — Comment le roi d’Angleterre monta sur mer pour venir en Flandre ; et comment il trouva les Normands qui lui gardoient le passage, et comment il ordonna ses batailles.
105
Chap. cxxi. — Comment le roi d’Angleterre et les Normands et autres se combattirent durement ; et comment Cristofle le grand vaisseau fut reconquis des Anglois.
106
Chap. cxxii. — Comment les Anglois déconfirent les Normands qu’oncques n’en échappa pied que tous ne fussent mis à mort.
Ib.
Chap. cxxiii. — Comment le comte de Hainaut, quant il sçut la venue du roi d’Angleterre, se partit de devant Thun-l’Évêque et s’en alla à Valenciennes ; et comment Jacquemart d’Artevelle prêcha et montra devant tous les seigneurs le droit que le roi anglois avoit en France.
107
Chap. cxxiv. — Comment le roi Philippe, quand il sçut l’arrivée du roi anglois, se partit de Thun-l’Évêque et envoya bonnes gens d’armes en garnison sur les frontières de Flandre.
108
Chap. cxxv. — Comment le roi d’Angleterre tint son parlement à Vilvort où ceux de Flandre, de Hainaut, et de Brabant jurèrent en la main dudit roi à eux entr’aider à jamais contre qui que ce fût.
109
Chap. cxxvi. — Comment le roi Philippe envoya très notable chevalerie en la cité de Tournay pour la garder et garnir de pourvéanees, pour ce que le roi anglois la devoit assiéger.
Ib.
Chap. cxxvii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Gand et alla mettre le siége devant la cité de Tournay.
110
Chap. cxxviii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay atout cinq cents lances et ardit plusieurs villages ; et comment les Flamands assaillirent ceux de Tournay.
111
Chap. cxxix. — Comment les soudoyers de Saint-Amand ardirent la ville de Hanon et violèrent l’abbaye ; et comment ils cuidèrent prendre l’abbaye de Vicogne ; et comment l’abbé y pourvéy de bon remède.
112
Chap. cxxx. — Comment les seigneurs qui étoient demeurés en Escosse capitaines, par le commandement du roi de France, recouvrèrent plusieurs forteresses en Escosse et coururent en Angleterre trois journées loin.
Ib.
Chap. cxxxi. — Comment messire Guillaume de Douglas prit le fort château de Haindebourch par grand engin et par grand’soubtiveté.
113
Chap. cxxxii. — Comment ceux de Tournay mirent hors de la cité toutes povres gens ; et comment le roi de France fit son mandement pour les secourir.
114
Chap. cxxxiii. — Comment le roi de France se logea au Pont à Bovines à trois lieues de Tournay ; et comment ceux de Bouchaing rescouirent la proie que ceux de Mortaigne emmenoient.
115
Chap. cxxxiv. — Comment aucuns Hainuyers, par l’ennortement de messire Waflart de la Croix, s’en allèrent escarmoucher en l’ost du roi de France, qui furent déconfits, et comment le dit messire Waflart fut mort.
116
Chap. cxxxv. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Tournay et alla assiéger Mortaigne et commanda à ceux de Valenciennes qu’ils y vinssent.
117
Chap. cxxxvi. — Comment ceux de Mortaigne rompirent l’engin de ceux de Valenciennes, qui moult les grévoit, par un autre engin qu’ils firent.
118
Chap. cxxxvii. — Comment le comte de Hainaut se partit du siége de Mortaigne et s’en retourna au siége de Tournay ; et comment il prit la forteresse de Saint-Amand.
Ib.
Chap. cxxxviii. — Comment le comte de Hainaut détruisit et ardit la ville et l’abbaye de Saint-Amand ; et puis après ardit et détruisit l’abbaye de Marchiennes.
120
Chap. cxxxix. — Comment les Allemands se partirent du siége de Tournay et vinrent escarmoucher en l’ost du roi de France ; et comment le sire de Montmorency les suivit jusques au pont de Tressin.
120
Chap. cxl. — Comment le sire de Montmorency fut pris des Allemands, et bien quatre vingt gentils hommes qui étoient sous sa bannière.
122
Chap. cxli. — Comment ceux de la garnison de Saint-Omer déconfirent trois mille Flamands qui étoient venus courre devant Saint-Omer.
123
Chap. cxlii. — Comment une soudaine peur prit les Flamands environ minuit, tant que tous s’enfuirent chacun vers sa maison en grand’hâte.
124
Chap. cxliii. — Comment à la requête et prière de madame Jeanne de Valois, sœur du roi de France et mère du comte de Hainaut, les deux rois firent traité de paix.
Ib.
Chap. cxliv. — Comment les deux rois firent trêves jusques à un an ; et comment le siége se départit de devant Tournay.
125
Chap. cxlv. — Comment le roi anglois se partit ennuis de devant Tournay, et comment chacune des parties se dit avoir l’honneur de cette départie.
Ib.
Chap. cxlvi. — Comment le roi Édouard s’en alla en Angleterre, et comment au parlement d’Arras les trêves furent alongées deux ans entre les deux rois.
126
Chap. cxlvii. — Comment le duc de Bretagne mourut sans hoir male, et comment le comte de Montfort fut reçu à Nantes à duc et à seigneur.
127
Chap. cxlviii. — Comment ceux de Limoges reçurent le comte de Montfort comme droit seigneur ; et comment les barons de Bretagne ne voulurent venir à son mandement.
128
Chap. cxlix. — Comment le comte de Montfort alla à grand’foison de gens d’armes pour prendre Brest, et comment ceux de la ville se rendirent à lui.
129
Chap. cl. — Comment le comte de Montfort se partit de Brest et s’on vint devant, la cité de Rennes, et comment ceux de la cité se rendirent à lui et lui firent féauté et hommage.
130
Chap. cli. — Comment ceux de Hainnebon, de Vennes, d’Auroy, de Goy-la-Forêt et ceux de Craais se rendirent au comte de Montfort.
131
Chap. clii. — Comment le comte de Montfort s’en alla en Angleterre et fit hommage au roi d’Angleterre de la duché de Bretagne.
133
Chap. cliii. — Comment, par le conseil des douze pairs de France, le comte de Montfort fut ajourné, à Paris, et comment il y vint et puis s’en partit sans le congé du roi.
134
Chap. cliv. — Comment les douze pairs et les barons de France jugèrent que messire Charles de Blois devoit être duc de Bretagne ; et comment ledit messire Charles les pria qu’ils lui veuillent aider.
135
Chap. clv. — Comment les seigneurs de France se partirent de Paris pour aller en Bretagne, et comment ceux de Chastonceaux se rendirent à eux.
136
Chap. clvi. — Comment les seigneurs de France assiégèrent Nantes où le comte Montfort étoit ; et là eut maintes escarmouches le siége durant.
Ib.
Chap. clvii. — Comment les bourgeois de Nantes livrèrent la cité aux seigneurs de France ; et comment le comte de Montfort y fut pris et amené à Paris et comment il y mourut.
137
Chap. clviii. — Comment la comtesse de Montfort conforte ses soudoyers, et comment elle mit bonnes garnisons par toutes ses forteresses.
138
Chap. clix. — Comment le roi Édouard fit son mandement pour aller lever le siége des Escots de devant Sturmelin ; et comment ceux dudit châtel se rendirent aux Escots ; et comment il eut trêves entre les Anglois et les Escots.
139
Chap. clx. — Comment le roi d’Escosse fit son mandement pour aller détruire le royaume d’Angleterre ; et comment le comte de Moret fut pris de ceux de Neuf-Châtel.
141
Chap. clxi. — Comment le roi d’Escosse prit la cité de Duremmes et fut toute arse, et hommes et femmes et petits enfans tous mis à mort.
142
Chap. clxii. — Comment et pour quelle achoison le roi d’Escosse assiégea le fort châtel de Salebrin auquel la gentille comtesse de Salebrin étoit.
Ib.
Chap. clxiii. — Comment messire Guillaume de Montagu issit par nuit du châtel de Salebrin pour aller querre secours au roi d’Angleterre contre le roi d’Escosse.
143
Chap. clxiv. — Comment le roi d’Escosse, quand il sçut la venue du roi d’Angleterre, se partit de devant Salebrin et s’en retourna en Escosse.
144
Chap. clxv. — Comment le roi d’Angleterre vint à tout son ost devant Salebrin, cuidant trouver le roi d’Escosse ; et comment le dit roi fut surpris de l’amour à la comtesse de Salebrin.
145
Chap. clxvi. — Comment le roi Édouard dit à la comtesse qu’il convenoit qu’il fût d’elle aimé, dont elle fut fortement ébahie.
145
Chap. clxvii. — Comment le roi d’Angleterre s’assit au dîner tout pensif dont ses gens étoient fortement émerveillés.
146
Chap. clxviii. — Comment le roi d’Angleterre prit congé de la comtesse de Salebrin et s’en alla après les Escots ; et des paroles qui furent entre elle et le dît roi.
Ib.
Chap. clxix. — Comment il eut trêve entre les Anglois et les Escots jusques à deux ans, par lesquelles trêves le comte de Salebrin et le comte de Moret fürent délivrés l’un pour l’autre.
147
Chap. clxx. — Comment les seigneurs de France retournèrent en Bretagne par devers monseigneur Charles de Blois et comment ils assiégèrent la cité de Rennes que la comtesse de Montfort avoit bien garnie.
Ib.
Chap. clxxi. — Comment les seigneurs de France firent plusieurs assauts devant Rennes ; et comment la comtesse de Montfort envoya au roi d’Angleterre querre secours ; et sur quelle condition ce fut.
148
Chap. clxxii. — Comment les bourgeois de Rennes rendirent la cité à monseigneur de Blois.
149
Chap. clxxiii. — Comment les seigneurs de France se partirent de Rennes et allèrent assiéger Hainebon où la comtesse de Montfort étoit.
Ib.
Chap. clxxiv. — Comment la comtesse de Montfort ardit les tentes des seigneurs de France tandis qu’ils se combattoient aux barrières.
150
Chap. clxxv. — Comment les François assaillirent Hainebon moult asprement ; et comment messire Charles de Blois alla assiéger Aurey.
Ib.
Chap. clxxvi. — Comment messire Charles de Blois se logea devant Auroy ; et comment messire Amaury de Cliçon amena à la comtesse grand secours d’Angleterre.
151
Chap. clxxvii. — Comment l’évêque de Léon se tourna de la partie messire Charles de Blois : et comment messire Gautier de Mauny et ceux de Hainebon abattirent les engins des François qui moult les grévoient.
152
Chap. clxxviii. — Comment messire Louis d’Espaigue se délogea de devant Hainebon ; et comment messire Charles de Blois l’envoya à Dignant ; et comment il prit le châtel de Conquest.
153
Chap. clxxix. — Comment ceux de Dignant se rendirent à messire Louis d’Espaigne, et comment il prit la ville de Guerrande ; et comment il entra en mer avec partie de ses gens pour aller à l’aventure.
154
Chap. clxxx. — Comment, après la prise d’Auroy, messire Charles de Blois alla assiéger Vennes, laquelle se rendit à lui.
155
Chap. clxxxi. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Almaury de Cliçon déconfirent messire Louis d’Espaigne et sa route, et gagnèrent tout l’avoir qu’il avoit conquis ; et comment il échappa.
156
Chap. clxxxii. — Comment messire Gautier de Mauny poursuivit messire Louis d’Espaigne jusques bien près de Rennes, et comment il assaillit la Roche Périou.
Ib.
Chap. clxxxiii. — Comment ceux de Hainebon se partirent de la Roche-Périou et allèrent devant Faouet, un autre fort châtel pour l’assaillir.
157
Chap. clxxxiv. — Comment ceux de Hainebon se partirent de Faouet sans rien faire ; et comment ils prirent Goy-la-Forêt et tuèrent tous ceux qui dedans étoient.
158
Chap. clxxxv. — Comment la comtesse de Montfort reçut liement messire Gautier de Mauny et ses compagnons ; et comment la ville de Craais se rendit à messire Charles de Blois.
159
Chap. clxxxvi. — Comment messire Charles de Blois se partit de Craais et vint mettre le siège devant Hainebon ; et comment messire Louis d’Espaigne y vint.
Ib.
Chap. clxxxvii. — Comment messire Louis d’Espaigne requit à messire Charles de Blois qu’il lui donnât messire Jean le Bouteiller et messire Hubert de Fresnay pour en faire sa volonté : lequel les lui donna moult ennuis.
160
Chap. clxxxviii. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Almaury de Cliçon rescouirent les deux dessus dits chevaliers et les emmenèrent à Hainebon.
161
Chap. clxxxix. — Comment le sire de Landernaux et le châtelain de Guingamp furent pris à l’assaut de Hainebon, qui puis se tournèrent de la partie messire Charles de Blois.
162
Chap. cxc. — Comment messire Charles se partit de Hainebon et s’en vint à Craais ; et comment il prit la ville de Jugon ; et comment il eut trêves, entre lui et la comtesse ; et comment elle s’en alla en Angleterre.
Ib.
Chap. cxci. — Comment le roi d’Angleterre fit crier une grand’joute à Londres pour l’amour de la comtesse de Salebrin.
164
Chap. cxcii. — Comment, après la grand’fête qui fut à Londres, le roi d’Angleterre envoya, à grand’compagnie de gens d’armes, en Bretagne, messire Robert d’Artois avec la comtesse de Montfort.
164
Chap. cxciii. — Comment le roi d’Angleterre envoya l’évêque de Lincolle pour avoir trêves aux Escots ; mais le roi d’Escosse n’en voulut rien faire sans le congé du roi de France.
165
Chap. cxciv. — Comment il eut trêves entre les Anglois et les Escots jusques à deux ans, par le consentement du roi de France.
166
Chap. cxcv. — Comment messire Louis d’Espaigne et messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort et les autres seigneurs d’Angleterre se combattirent sur mer.
Id.
Chap. cxcvi. — Comment par grand’tempête et orage, convint les uns les autres prendre terre ; et comment messire Louis d’Espaigne y gagna quatre vaisseaux chargés de pourvéances.
167
Chap. cxcvii. — Comment messire Robert d’Artois envoya son navire à Hainebon, et comment il assiégea la cité de Vennes.
168
Chap. cxcviii. — Comment messire Louis d’Espagne perdit deux de ses vaisseaux et en prit quatre de Bayonne ; et comment il arriva en Guerrande.
Id.
Chap. cxcix. — Comment messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort prirent la cité de Vennes ; et comment le sire de Cliçon, le sire de Tournemine, le sire de Loheac et messire Hervé de Léon se sauvèrent.
Ib.
Chap. cc. — Comment le comte de Salebrin, le comte de Pennebruich, le comte de Suffolch et le comte de Cornouaille assiégèrent la cité de Rennes.
170
Chap. cci. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon assiégèrent la cité de Vennes.
Ib.
Chap. ccii. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon prirent Vennes ; et y furent messire Robert d’Artois et le sire Despensier navrés à mort ; et comment le roi d’Angleterre vint en Bretagne.
Ib.
Chap. cciii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siége devant Vennes ; et comment la comtesse de Montfort le vint voir et fêtover.
171
Chap. cciv. — Comment le roi anglois laissa une partie de ses gens devant Vennes et s’en alla devant Rennes ; et puis vint mettre le siége devant Nantes où messire Charles de Blois étoit.
173
Chap. ccv. — Comment le roi anglois laissa le comte de Kenford et plusieurs autres seigneurs devant Nantes et alla assiéger Dynant.
173
Chap. ccvi. — Comment le sire de Cliçon et le sire de Léon furent pris des Anglois à une escarmouche devant Vennes, et le sire de Stanfort y fut pris de ceux de Vennes.
174
Chap. ccvii. — Comment le roi d’Angleterre prit la ville de Dynant, et fut toute courue et robée ; et si y gagna grand avoir.
Ib.
Chap. ccviii. — Comment messire Louis d’Espaigne et ses compagnons gagnèrent quatre nefs d’Angleterre, chargées de pourvéances, et en effondrèrent trois.
175
Chap. ccix. — Comment le duc de Normandie se partit d’Angiers et s’en vint à Nantes ; et comment ceux qui tenoient le siège devant Nantes s’en allèrent à Vennes au roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccx. — Comment le duc de Normandie se partit de Nantes et s’en alla à Vennes ; et comment le roi anglois manda à ceux qui étoient au siége devant Rennes qu’ils vinssent à Vennes.
176
Chap. ccxi. — Comment le pape Clément VI envoya deux cardinaux en légation en Bretagne ; et comment les dits cardinaux firent trêves à trois ans entre le roi d’Angleterre et le duc de Normandie.
177
Chap. ccxii. — Comment le sire de Cliçon, le sire de Malestroit et son fils et plusieurs autres chevaliers et escuyers furent accusés de trahison et mis à mort de par le roi de France.
Ib.
Chap. ccxiii. — Comment le roi d’Anglelerre fonda une chapelle de Saint-George et y ordonna la fête du Bleu Gertier à être célébrée d’an en an.
179
Chap. ccxiv. — Comment le roi d’Angleterre fut moult courroucé de la mort du sire de Cliçon et des autres barons de Bretagne et de Normandie, pour laquelle cause il envoya défier le roi de France.
180
Chap. ccxv. — Comment le roi d’Angleterre ordonna le comte Derby capitaine et souverain pour aller en Gascogne, et messire Thomas d’Angorne pour aller en Bretagne conforter la comtesse de Montfort.
181
Chap. ccxvi. — Comment le comte Derby arriva en Gascogne ; et comment le comte de Lille, quand il sçut sa venue, manda tous les seigneurs de Gascogne qui tenoient la partie du roi de France.
183
Chap. ccxvii. — Comment le comte Derby se partit de Bordeaux pour aller vers Bergerac, où le comte de Lille et ses gens se tenoient.
184
Chap. ccxviii. — Comment les Anglois se combattirent aux François, devant Bergerac, et comment les Anglois gagnèrent les faubourgs, où il eut plusieurs François morts et pris.
184
Chap. ccxix. — Comment les Anglois assaillirent Bergerac par terre, où ils gagnèrent peu ; et puis eurent conseil qu’ils l’assaudroient par eau.
185
Chap. ccxx. — Comment le comte Derby assaillit Bergerac par eau et rompit un grand pan du palis ; et comment le comte de Lille et ses gens s’enfuirent à mie nuit.
186
Chap. ccxxi. — Comment ceux de Bergerac se rendirent au comte Derby, et lui firent féauté et hommage au nom du roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccxxii. — Comment le comte de Lille départit ses gens et les envoya en garnison par les forteresses de Gascogne.
187
Chap. ccxxiii. — Comment le comté Derby se partit de Bergerac, et comment il prit le châtel de Langon, et s’enfuirent ceux qui dedans étoient.
Ib.
Chap. ccxxiv. — Comment ceux du Lac se rendirent au comte Derby, et plusieurs autres forteresses qui cy s’ensuivent, les unes par force, les autres par traités.
188
Chap. ccxxv. — Comment le comte Derby prit Bonneval ; et comment ceux de Pierregord vinrent escarmoucher l’ost des Anglois et prirent le comte de Kenfort et trois ou quatre de ses chevaliers.
189
Chap. ccxxvi. — Comment le comte de Kenfort et ses compagnons furent rendus en échange du vicomte de Bosquentin, du vicomte de Châteaubon, du sire de l’Escun et du sire de Châteauneuf.
Ib.
Chap. ccxxvii. — Comment le comte de Lille et les barons de Gascogne assiégèrent Auberoche et avoient en propos qu’ils occiroient ceux de dedans, ou qu’ils se rendroient simplement.
190
Chap. ccxxviii. — Comment ceux d’Auberoche envoyèrent un de leurs varlets au comte Derby, pour dire leur nécessité, lequel fut pris de ceux de l’ost et jeté par un engin en la ville.
191
Chap. ccxxix. — Comment le comte Derby sut la nécessité de ceux d’Auberoche, et comment il fit son mandement pour les aller secourir et lever le siége du comte de Lille et des barons gascons qui devant étoient.
192
Chap. ccxxx. — Comment le comte Derby et messire Gautier de Mauny déconfirent le comte de Lille et tout son ost.
193
Chap. ccxxxi. — Comment le comte de Pennebruich vint à Auberoche après la déconfiture, moult courroucé de ce qu’il n’y avait été ; et comment les Anglois s’en retournèrent à Bordeaux.
194
Chap. ccxxxii. — Comment le comte Derby en allant vers la Réole fit rendre ceux de Sainte-Basile en l’obéissance du roi d’Angleterre ; et puis vint devant la Rochemillon.
195
Chap. ccxxxiii. — Comment le comte Derby prit la Rochemillon, et puis mit le siége devant Montsegur.
Ib.
Chap. ccxxxiv. — Comment ceux de Montsegur composèrent au comte Derby d’eux rendre dedans un mois s’ils n’avoient secours, et en baillèrent otages.
196
Chap. ccxxxv. — Comment le châtelain d’Aiguillon rendit Aiguillon au comte Derby ; et comment il fut puis pendu à Toulouse.
197
Chap. ccxxxvi. — Comment le comte Derby assiégea la Réole, et comment ceux de Montsegur se rendirent Anglois.
Ib.
Chap. ccxxxvii. — Comment ceux de la ville de la Réole traitèrent au comte Derby pour eux rendre.
Ib.
Chap. ccxxxviii. — Comment le capitaine de la Réole et ses compagnons se mirent au châtel pour le tenir ; et comment ceux de la ville se rendirent au comte Derby.
198
Chap. ccxxxix. — Comment le comte Derby commanda à miner le châtel de la Réole ; et comment messire Gautier de Mauny s’avisa que son père avait été jadis occis environ la Réole.
Ib.
Chap. ccxl. — Comment le père messire Gautier de Mauny fut jadis occis mauvaisement devant la ville de la Réole en revenant de Saint-Jacques.
199
Chap. ccxli. — Comment messire Gautier de Mauny trouva le tombel de son père et en fit porter les os, et ensevelir chez les frères mineurs de Valenciennes.
200
Chap. ccxlii. — Comment messire Aglot de Baux rendit au comte Derby le châtel de la Réole et s’en partit lui et ses compagnons, atout leurs armures seulement.
Ib.
Chap. ccxliii. — Comment le comte Derby prit Mont-Pesat et le châtel de Mauron par grand sens et avis ; et puis prit Ville-Franche ; et en chacun châtel mit bonne garnison.
201
Chap. ccxliv. — Comment le comte Derby prit plusieurs châteaux ; et puis assiégea la cité d’Angoulême ; et se composèrent ceux de la cité à eux rendre dedans un mois s’ils n’avaient secours.
202
Chap. ccxlv. — Comment ceux d’Angoulême se rendirent au comte Derby qui étoit devant Blayes où rien ne conquit, et s’en alla hiverner à Bordeaux.
203
Chap. ccxlvi. — Comment messire Godefroy de Harcourt chéy en l’indignation du roi Philippe ; et comment il fut banni du royaume de France.
Ib.
Chap. ccxlvii. — Comment le roi d’Angleterre vint à l’Escluse et amena avec lui son fils le prince de Galles, en intention de le faire seigneur de Flandre, par le consentement de Jacques d’Artevelle.
204
Chap. ccxlviii. — Comment ceux de Gand eurent en grand’indignation Jaquemart d’Àrlevelle, et comment ils le mirent à mort.
205
Chap. ccxlix. — Comment le roi d’Angleterre se partit de l’Escluse moult dolent de la mort d’Artevelle ; et comment ceux de Flandre s’en excusèrent par devers lui.
206
Chap. ccl. — Comment le comte de Hainaut fut occis en Frise et sa gent déconfite ; et comment messire Jean de Hainaut renonça au roi d’Angleterre et devint françois.
207
Chap. ccli. — Comment le roi de France envoya son fils le duc de Normandie en Gascogne contre le comte Derby.
208
Chap. cclii. — Comment le duc de Normandie prit Miremont et Ville-Franche et mit le siége devant Angoulême.
209
Chap. ccliii. — Comment le comte Derby envoya grand’garnison de gens d’armes dedans Ville-Franche ; et envoya le comte de Pennebruich plusieurs autres chevaliers dedans Aiguillon.
Ib.
Chap. ccliv. — Comment le sénéchal de Beaucaire se partit du siége d’Angoulême et prit toute la garnison de Anchenis et bien huit cents grosses bêtes.
210
Chap. cclv. — Comment le capitaine d’Angoulême et tous ses compagnons s’en allèrent subtilement avec tous leurs biens à Aiguillon.
211
Chap. cclvi. — Comment ceux d’Angouléme se rendirent au duc de Normandie ; et puis conquit le châtel de Damassan ; et comment ceux de Tonneins se rendirent ; et puis prit le port Sainte-Marie.
212
Chap. cclvii. — Comment le duc de Normandie mit le siége devant le fort châtel d’Aiguillon.
212
Chap. cclviii. — Comment le duc de Normandie commanda faire un pont sur la rivière devant Aiguillon, qui plusieurs fois fut dépecé par ceux du châtel.
214
Chap. cclix. — Comment le duc de Normandie partit son ost en quatre parties pour assaillir Aiguillon et envoya querre les engins de Toulouse.
Ib.
Chap. cclx. — Comment messire Gautier de Mauny et messire Charles de Montmorency se combattirent ; et comment le dit messire Charles fut déconfit.
215
Chap. cclxi. — Comment le duc de Normandie fit assaillir Aiguillon ; et comment le pont d’Aiguilton fut conquis où il eut moult de morts et de blessés.
Ib.
Chap. cclxii. — Comment le duc de Normandie fit faire quatre grands kas sur quatre grands nefs pour assaillir Aiguillon ; et comment ils furent débrisés de ceux du châtel et un effondré.
216
Chap. cclxiii. — Comment le comte de Ghines et le comte de Tancarville se partirent du siége d’Aiguillon et vinrent à Paris dire au roi la manière du siége d’Aiguillon.
Ib.
Chap. cclxiv. — Comment le roi d’Angleterre fit son mandement pour aller en Gascogne ; mais par le conseil de messire Godefroy de Harecourt il s’en alla en Normandie.
217
Chap. cclxv. — Comment le roi d’Angleterre arriva en Normandie ; et comment le roi de France y envoya le comte de Ghines son connétable et le comte de Tancarville pour garder le pays.
218
Chap. cclxvi. — Comment le roi d’Angleterre chéy à terre en issant de son vaissel, lequel dit que c’étoit bon signe.
219
Chap. cclxvii. — Comment les Anglais ardirent et robèrent une parlie de Chierebourc et prirent Montebourc et Carentan, lesquels ils ardirent et robèrent et emmenèrent les gens avec eux.
220
Chap. cclxviii. — Comment le roi d’Angleterre fit messire Godefroy de Harecourt conduiseur de son ost, lequel ardit et exila tout le pays où il arriva.
221
Chap. cclxix. — Comment le roi de France fit son mandement de gens d’armes pour aller combattre le roi d’Angleterre qui gâtoit son pays de Normandie.
222

Chap. cclxx. — Comment le roi d’Anglelerre prit la bonne ville de Saint-Lo en Cotentin, et fut toute robée et pillée.
222
Chap. cclxxi. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Saint-Lo et s’en alla devers Caen ; comment ceux de Caen se mirent sur les champs pour le combattre.
223
Chap. cclxxii. — Comment ceux de Caen s’enfuirent sans coup férir : et comment le connétable et le comte de Tancarville y fut pris, et bien vingt-cinq chevaliers ; et fut la ville de Caen conquise.
Ib.
Chap. cclxxiii. — Comment le roi d’Angleterre se partit de Caen, et prit Louviers et Vernon, et ardit et exila tout le pays jusques à deux lieues près de Paris en costiant la rivière de Seine.
226
Chap. cclxxiv. — Comment messire Godefroy de Harecourt déconfit ceux d’Amiens ; et comment le roi d’Angleterre entra au pays de Beauvoisin.
227
Chap. cclxxv. — Comment les maréchaux du roi d’Angleterre ardirent les faubourgs de Beauvais ; et comment le roi d’Angleterre prit Argies et le châtel de Poix.
228
Chap. cclxxvi. — Comment le roi de France se partit à grand’baronie de Saint-Denis, en poursuivant le roi d’Angleterre ; et comment le roi d’Angleterre envoya ses maréchaux pour trouver passage sur la rivière de Somme.
229
Chap. cclxxvii. — Comment les maréchaux du roi d’Angleterre lui dirent qu’ils ne trouvoient point de passage ; et comment le roi de France envoya messire Godemar du Fay pour garder le passage de Blanche-Tache.
Ib.
Chap. cclxxviii. — Comment le roi de France se partit d’Amiens et s’en alla vers Airaines, cuidant trouver le roi d’Angleterre ; et comment on enseigna au roi d’Angleterre le passage de Blanche-Tache.
230
Chap. cclxxix. — Comment le roi d’Angleterre vint au gué de Blanche-Tache, où il trouva messire Godemar du Fay atout douze mille François, où il eut moult forte et dure bataille.
231
Chap. cclxxx. — Comment le roi d’Angleterre passa le passage de Blanche-Tache et déconfit messire Godemar du Fay et ses gens.
232
Chap. cclxxxi. — Comment le roi d’Angleterre guerdonna le varlet qui lui avoit enseigné le passage ; et puis s’en vint gâtant et ardant le pays jusques vers Crécy.
Ib.
Chap. cclxxxii. — Comment le roi d’Angleterre fit aviser par ses maréchaux la place où il ordonneroit ses batailles.
233
Chap. cclxxxiii. — Comment le roi de France envoya ses maréchaux pour savoir le convenant des Anglois ; et comment il donna à souper à tous les seigneurs qui avecques lui étoient ; et leur pria qu’ils fussent amis ensemble.
Ib.
Chap. cclxxxiv. — Comment le roi d’Angleterre donna à souper à ses comtes et barons, et puis au matin, la messe ouïe, lui et son fils et plusieurs autres reçurent le corps de Notre Seigneur ; et comment il fit ordonner ses batailles.
234
Chap. cclxxxv. — Comment le roi de France, la messe ouïe, se partit d’Abbeville à tout son ost ; et comment il envoya quatre de ses chevaliers pour aviser le conroy des Anglois.
235
Chap. cclxxxvi. — Comment le Moine de Basele conseilla au roi de France faire arrêter ses agens en my les champs et ordonner ses batailles.
236
Chap. cclxxxvii. — Comment le roi de France commanda à ses maréchaux faire commencer la bataille par les Gennevois ; et comment les dits Gennevois turent tous déconfits.
Ib.
Chap. cclxxxviii. — Comment le roi de Behaigne, qui goute n’y véoit, se fit mener en la bataille et y fut mort lui et les siens ; et comment son fils le roi d’Allemagne s’enfuit.
238
Chap. cclxxxix. — Comment messire Jean de Hainaut conseille au roi Philippe qu’il se retraie ; et comment le comte d’Alencon et le comte de Flandre se combattirent longuement et vaillamment.
Ib.
Chap. ccxc. — Comment ceux de la bataille au prince de Galles envoyèrent au roi d’Angleterre pour avoir secours ; et comment le roi leur répondit.
239
Chap. ccxci. — Comment le comte de Harcourt, le comte d’Alençon, le comte de Flandre, le comte de Blois, le duc de Lorraine et plusieurs autres grands seigneurs furent déconfits et morts.
240
Chap. ccxcii. — Comment le roi de France se partit, lui cinquième de barons tant seulement, de la bataille de Crécy, en lamentant et complaignant de ses gens.
Ib.
Chap. ccxciii. — Cy dit comment messire Jean de Hainaut fit partir le roi de France de la bataille, ainsi comme par force.
251
Chap. ccxciv. — Comment le dimanche au matin, après la déconfiture de Crécy, les Anglois déconfirent ceux de Rouen et de Beauvais.
241
Chap. ccxcv. — Comment le roi d’Angleterre fit chercher les morts pour en savoir le nombre, et fit enterrer les corps des grands seigneurs.
243
Chap. ccxcvi. — Comment le roi de France fut courroucé des seigneurs de son sang qui morts étoient en la bataille ; et comment il voulut faire pendre messire Godemar du Fay.
244
Chap. ccxcvii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siége devant Calais.
Ib.
Chap. ccxcviii. — Comment messire Philippe de Bourgogne fut mort devant Aiguillon ; et comment le duc de Normandie se partit du siége d’Aiguillon par le commandement du roi son père.
246
Chap. ccxcix. — Comment messire Gautier de Mauny quitta à un chevalier normand sa rançon pour lui impétrer un sauf conduit du duc de Normandie pour chevaucher lui vingtième par France jusques à Calais.
247
Chap. ccc. — Comment messire Gautier de Mauny fut pris à Orliens et amené prisonnier à Paris, dont le duc de Normandie fut moult courroucé ; et comment il fut délivré.
Ib.
Chap. ccci. — Comment le comte Derby fit son mandement pour aller en Poitou, et prit plusieurs villes et châteaux en venant vers Saint-Jean-d’Angely.
248
Chap. cccii. — Comment ceux de Saint-Jean-d’Angely se rendirent au comte Derby ; et comment il prit le bourg de Saint-Maximin et la cité de Poitiers.
249
Chap. ccciii. — Comment le comte Derby se partit de Poitiers atout grand avoir et s’en vint à Saint-Jean-d’Angely ; et puis monta sur mer pour venir devant Calais.
251
Chap. ccciv. — Comment le roi d’Escosse fit secrètement son mandement pour faire guerre aux Anglois ; et comment la roine d’Angleterre fit son mandement d’autre part pour résister aux Escots.
Ib.
Chap. cccv. — Comment le roi d’Escosse entra en Angleterre ardant et détruisant le pays jusques à la cité de Bervich.
252

Chap. cccvi. — Comment les Escots et les Anglois se combattirent moult durement et comment finablement les Escots furent déconfits et y fut le roi d’Escosse pris par un écuyer.
253
Chap. cccvii. — Comment la roine d’Angleterre manda à l’écuyer qui avoit pris le roi d’Escosse, qu’il le lui amenât, lequel répondit qu’il ne le rendroit fors qu’au roi son seigneur.
254
Chap. cccviii. — Comment le dit écuyer vint au mandement du roi d’Angleterre devant Calais, lequel le reçut à grand’joie ; et comment il rendit le dit roi d’Escosse à la roine d’Angleterre.
255
Chap. cccix. — Comment le siége durant devant Calais, il y eut maintes belles escarmouches par mer et par terre d’un côté et d’autre.
256
Chap. cccx. — Comment le commun de Flandre s’accorda au mariage du comte de Flandre et de la fille du roi d’Angleterre ; et le roi de France voulut qu’il eût la fille du duc de Brabant.
257
Chap. cccxi. — Comment le comte de Flandre, qui longuement avoit été en prison en Flandre, fiança la fille du roi d’Angleterre ; et comment il s’embla d’eux et s’en affuit en Flandre.
258
Chap. cccxii. — Comment messire Robert de Namur vint au siége devant Calais et comment il devint homme du roi d’Angleterre.
259
Chap. cccxiii. — Comment ceux de la Roche-Derien se tournèrent Anglois ; et comment messire Charles de Blois atout grand’foison de gens d’armes y mit le siége.
Ib.
Chap. cccxiv. — Comment, par le conseil de messire Garnier de Quadudal, fut pris messire Charles de Blois et tout son ost déconfit devant la Roche-Derien.
261
Chap. cccxv. — Comment le roi de France fit son mandement pour combattre le roi d’Angleterre : et comment les Flamands mirent le siége devant la ville d’Aire et ardirent le pays d’environ.
262
Chap. cccxvi. — Comment le roi de France vint atout son grand ost devant Calais pour cuider lever le siége et combattre le roi d Angleterre.
264
Chap. cccxvii. — Comment le roi d’Angleterre fit traire ses naves sur le pas des dunes et bien garnir et défendre contre les François.
Ib.
Chap. cccxviii. — Comment le roi de France, voyant qu’il ne pouvoit trouver passage pour venir à Calais, manda au roi d’Angleterre qu’il lui donnât place pour le combattre, et quelle chose il lui répondit.
265
Chap. cccxix. — Comment le pape Clément envoya deux cardinaux pour traiter de la paix entre les deux rois ; et comment le roi Philippe se partit du mont de Sangattes et donna congé à toutes ses gens.
266
Chap. cccxx. — Comment ceux de Calais se voulurent rendre an roi d’Angleterre, sauves leurs vies ; et comment le dit roi voulut avoir six des plus nobles bourgeois de la ville pour en faire sa volonté.
268
Chap. cccxxi. — Comment les six bourgeois se partirent de Calais, tous nuds en leurs chemises, la hart au col, et les clefs de la ville en leurs mains ; et comment la roine d’Angleterre leur sauva les vies.
269
Chap. cccxxii. — Comment le sire de Mauny et les deux maréchaux d’Angleterre, du commandement du roi, allèrent prendre la saisine de Calais et mirent les chevaliers, qui dedans étoient, en prison, et firent partir toutes autres gens.
272
Chap. cccxxiii. — Comment le roi et la roine d’Angleterre s’en retournèrent en Angleterre ; et comment la ville de Calais fut repeuplée de purs Anglois que le roi y envoya.
273
Chap. cccxxiv. — Comment plusieurs escarmouches et plusieurs prises de châteaux et de villes se faisoient entre les Anglois, les Escots et les François.
275
Chap. cccxxv. — Comment un brigand appelé Croquard devint grand et puissant ès guerres de Bretagne, et comment il fina mauvaisement.
Ib.
Chap. cccxxvi. — Comment messire Geoffroy de Chargny acheta du capitaine de Calais la ville de Calais ; et comment le roi d’Angleterre le sçut, et quel remède il y mit.
276
Chap. cccxxvii. — Comment le roi d’Angleterre et le prince son fils vinrent â Calais sous la bannière messire Gautier de Mauny et comment ils se combattirent durement contre messire Geoffroy de Chargny.
277
Chap. cccxxviii. — Comment les Anglois et les François se combattirent moult vaillamment, et comment finablement les François furent tous morts ou pris.
279
Chap. cccxxix. — D’un chapelet de perles que le roi d’Angleterre donna à messire Eustache de Ribeumont.
280