Correspondance de Voltaire/Mars-1749-Dec-1751
Apparence
1741 à Février 1749
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◄ | Mars 1749 ‑ Décembre 1751
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► | Janvier 1752 à Février 1753 |
Œuvres complètes de Voltaire, tome 37
Correspondance : Mars 1749 — Décembre 1751, Texte établi par Condorcet, Garnier, .
Correspondance : Mars 1749 — Décembre 1751, Texte établi par Condorcet, Garnier, .
1749
1958.
De Frédéric. 5 mars 1749. — « Il y a de quoi purger. »
Pr.
1959.
De Stanislas, roi de Pologne. 13 mars. — « Je serais au désespoir. »
B.
1960.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 17 mars. — « Sire, cet éternel malade répond. »
B.
1961.
Thieriot. 17 mars. — « J’ai envoyé à Versailles. »
P. in. 1820.
1962.
Le marquis d’Argenson. Paris, 18 mars. — « Je vous envoie donc. »
B.
1963.
Falkener. Paris, 29 mars. — « Dear sir, I have received. »
C. et F.
1964.
Frédéric II, roi de Prusse. Versailles, 19 avril 1749. — « Vous vous plaignez que je vous traite. »
B.
1965.
Le cardinal Querini. Parigi, 23 aprile. — « Ho ricevuto l’onore. »
B.
1966.
Le comte d’Argental. — « Tout malade que je suis. »
C. et F.
1967.
Marmontel. Mercredi au soir (30 avril). — « Voici votre second triomphe. »
B.
1968.
Helvétius. 2 mai 1749. — « Our friendship is so well known. »
C. et F.
1969.
Moncrif. Mercredi. — « À quelle heure, mon très-cher confrère ? »
C. et F.
1970.
La comtesse d’Argental. Vendredi, mai. — « Cela n’est pas vrai. »
B.
1971.
Marmontel. Vendredi au soir, mai. — « Je suis très-reconnaissant. »
B.
1972.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 15 mai. — « J’aurai l’honneur d’être purgé. »
B.
1973.
De Frédéric. 16 mai. — « Voilà ce qui s’appelle écrire. »
Pr.
1974.
Le comte d’Argental. Mai. — « Je demande les plus humbles pardons. »
C. et F.
1975.
De la princesse d’Anhalt-Zerbst. 25 mai. — « Je suis trop sensible à la manière obligeante. »
B.
1976. Le marquis Rouillé du Coudray. — « Voilà ce qu’en citoyen fort zélé. »
B.
1977. De Frédéric. 10 juin 1749. — « Jamais on n’a fait d’aussi jolis vers. »
Pr.
1978. Diderot. Juin. — « Je vous remercie du livre. »
B.
1979. De Diderot. 11 juin. — « Le moment où j’ai reçu votre lettre. »
Éd. Garnier.
1980. Marmontel. 16 juin. — « Il n’entre, Dieu merci, dans ma maison. »
B.
1981. Le comte d’Argental. Cirey, 23 juin. — « Vous saurez… que nous sommes à Cirey. »
B.
1982. Frédéric II, roi de Prusse. Cirey, 29 juin. — « Votre muse à propos s’irrite. »
B.
1983. Darget. Cirey, 29 juin. — « gens profonds et délicats. »
B.
1984. De Frédéric. 15 juillet 1749. — « Des lois de l’homicide Mars. »
Pr.
1985. La comtesse d’Argental. Lunéville. 21 juillet. — « Mais, ô anges ! quel excès d’indifférence ! »
B.
1986. D’Arnaud (Baculard). Lunéville, 21 juillet. — « Je vous aime cent fois davantage. »
B.
1987. Le comte d’Argental. Lunéville, 24 juillet. — « Enfin je respire. »
B.
1988. Frédéric II, roi de Prusse. Lunéville, 28 juillet. — « Votre Majesté m’a ramené à la poésie. »
B.
1989. Le comte d’Argental. Lunéville, 29 juillet. — « Anges, voici le cas. »
B.
1990. L’abbé Raynal. Lunéville, 30 juillet. — « Vous m’avez fait. »
B.
1991. Le comte d’Argental. Lunéville, 12 août 1749. — « anges ! j’oserai écrire. »
B.
1992. Le président Hénault. Lunéville, 14 août. — « Nous l’attendons avec impatience. »
B.
1993. La duchesse du Maine. Lunéville, 14 août. — « Votre Altesse sérénissime est obéie. »
B.
1994. De Frédéric. 15 août. — « Si mes vers ont contribué. »
Pr..
1995. Le comte d’Argental. Lunéville, 16 août. — « Cet ordinaire doit apporter. »
B.
1996. De Stanislas. « Mme de Boufflers, mon cher Voltaire. »
B.
1997. Frédéric II, roi de Prusse. Lunéville, 18 août. — « J’ai reçu vos vers très-plaisants. »
B.
1998. La comtesse de Verteillac. Lunéville, 20 août. — « La lettre dont vous m’avez honoré. »
B.
1999. Mme du Boccage. Lunéville, 21 août. — « Mme du Châtelet a reçu votre présent. »
B.
2000. Le comte d’Argental. Lunéville, 21 août. Je reçus hier la consolation angélique. »
B.
2001. Le comte d’Argental. Lunéville, 23 août. — « Je reçois, ô anges, votre foudroyante lettre. »
B.
2002. Le comte d’Argental. Lunéville, 28 août. — « J’attends la décision. »
B.
2003. M. Alliot. Lunéville, 29 août, 9 heures du matin. — « Je vous prie, monsieur, de vouloir bien, »
B.
2004. M. Alliot. 29 août, 9 heures un quart du matin. — « Je vous supplie de vouloir bien. »
B.
2005. Stanislas. 29 août, 9 heures trois quarts du matin. — « Sire, il faut s’adresser à Dieu. »
B.
2006. Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, voici une des tracasseries. »
B.
2007. Frédéric II, roi de Prusse. Lunéville, 31 août. — « J’ai le bonheur de recevoir votre lettre. »
B.
2008. Le comte d’Argental. Lunéville 1er septembre 1749. — « Il y a bien longtemps. »
B.
2009. De Frédéric. 4 septembre. — « Je reçois votre Catilina. »
Pr.
2010. Le comte d’Argental. Lunéville, 4 septembre. — « Grâces vous soient rendues. »
B.
2011. L’abbé de Voisenon. Lunéville, 4 septembre. — « Mon cher abbé greluchon saura. »
B.
2012. Le marquis d’Argenson. Lunéville, 4 septembre. — « Mme du Châtelet vous mande. »
B.
2013. Le comte d’Argental. 10 septembre. — « Ah ! mon cher ami, je n’ai plus que vous. »
C. et F.
2014. La marquise du Deffant. 10 septembre. — « Je viens de voir mourir. »
B.
2015. Le marquis d’Argenson. Lunéville, 11 septembre. — « Hélas ! monsieur, en vous mandant. »
C. et F.
2016. L’abbé de Voisenon. Auprès de Bar, 14 septembre. — « Mon cher abbé, mon cher ami, que vous avais-je écrit !»
B.
2017. Le comte d’Argental. Cirey, 21 septembre. — « Je ne sais, mon adorable ami, combien de jours. »
B.
2018. Le comte d’Argental. Cirey, 23 septembre. — « Je suis encore pour deux jours à Cirey. »
B.
2019. Walther. Septembre. — « Je vous envoie les pièces curieuses. »
B.
2020. Le comte d’Argental. Châlons, 3 octobre 1749. — « Je vous avais bien dit. »
B.
2021. Le comte d’Argental. Reims, 5 octobre. — « S’il n’y avait à Paris. »
B.
2022. Le comte d’Argental. Reims, 8 octobre. — « J’ai cru pouvoir adoucir. »
B.
2023. Mme du Boccage. Paris, 12 octobre. — « J’arrive à Paris. »
B.
2024. D’Arnaud (Baculard). 14 octobre. — « Mon cher enfant, une femme qui a traduit. »
B.
2025. Le chevalier de Jaucourt. 15 octobre. — « J’arrivai ces jours passés. »
B.
2026. Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 15 octobre. — « Je viens de faire un effort. »
B.
2027. La comtesse de Staal. — « Mademoiselle, si je n’étais l’homme. »
B.
2028. M. d’Aigueberre. Paris, 26 octobre. — « C’était vous qui m’aviez fait renouveler. »
B.
2029. Le lieutenant général de police. Paris, 31 octobre. — « Je vous supplie instamment »
L. Led.
2030. La duchesse du Maine. Fontainebleau, 2 novembre 1749. — « Ma protectrice, il n’y a pas d’apparence. »
B.
2031.
Du Lieutenant général de Police. 4 novembre. — « Je suis très-fàché de l’infidélité. »
L. Led.
2032. L’abbé d’Olivet. — « Ne crois pas m’échapper. »
B.
Réponse de l’abbé d’Olivet.
2033.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 10 novembre. — « J’ai reçu presque à la fois. »
B.
2034.
La comtesse de Montrevel. 15 novembre. — « Permettez que je remette sous vos yeux. »
B.
2035.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 17 novembre. — « Voilà Sémiramis, en attendant Rome sauvée. »
B.
2036.
De Frédéric. 25 novembre. — « D’Olivet me foudroie. »
Pr.
2037.
Le chevalier de Falkener. Paris 26 novembre. — « Dear sir, I had the honour. »
C. et F.
2038.
La duchesse du Maine, 26 novembre. — « Promesse. Je soussigné. »
B.
2039.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 27 novembre. — « Ceci n’est guère digne de Votre Majesté. »
B.
2040.
M. de Mairan. Paris, 3 décembre 1749. — « Pour m’y être pris une heure trop tard. »
C. et F.
2041.
De Frédéric. Décembre. — « Dans votre prose délicate. »
Pr.
2042.
Le père Vionnet. Paris, 14 décembre. — « J’ai l’honneur, mon révérend Père. »
B.
2043.
De la princesse Ulrique. — « À notre Apollon. Je crois qu’il m’est permis. »
B.
2044.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 31 décembre. — « Vous êtes pis qu’un hérétique. »
B.
1750
2045.
Le comte d’Argental. Versailles, janvier 1750. — « Vous saurez, mes anges, que votre créature. »
B.
2046.
La duchesse du Maine. Paris, ce vendredi. — « En arrivant à Paris j’ai trouvé les comédiens. »
B.
2047.
M. Berryer, lieutenant général de police. Paris, 4 janvier. — « Voici un petit factum d’un procès singulier. »
C. et F.
2048.
Le lieutenant général de police. Paris, 6 janvier, ce mardi, rue Traversière. — « Si vous vous êtes amusé à lire mon factum. »
L. Led.
2049.
Du lieutenant général de police. — « Je vous envoie, monsieur. ».
L. Led.
2050.
M. Lambert, chez M. Lemercier. rue Saint-Jacques. Mercredi. — « On va jouer incessamment Oreste. »
B. et F.
(App. 1865.)
(App. 1865.)
2051.
Mme de Graffigny. — « Si j’avais un moment à moi. »
B.
2052.
Mme de Graffigny. — « M. de Voltaire fait mille tendres compliments. »
B.
2053.
De Frédéric. 11 janvier. — « J’ai vu le roman de Nanine, »
Pr.
2054.
Le comte d’Argental. Janvier 1750. — « Divin ange, la tête me tourne. »
C. et F.
2055.
Mlle Clairon. 12 janvier au soir. — « Vous avez été admirable. »
B.
2056.
Mlle Clairon. Janvier. — « Votre courage résiste-t-il. »
B.
2057.
La duchesse du Maine. Paris, janvier. — « Ma protectrice, quelle est donc votre cruauté ? »
B.
2058.
De Frédéric. Janvier. — « Quoi ! vous envoyez vos écrits. »
Pr.
2059.
Mlle Clairon. Janvier. — « On a un peu forcé nature. »
B.
2060.
Mme de Graffigny. Ce lundi au soir. — « Il faut que je répare. »
B.
2061.
Mme de Graffigny. Ce mardi. — « Si Mme de Graffigny. »
B.
2062.
Mlle Clairon. Janvier. — « Vous avez dû recevoir. »
B.
2063.
De J.-J. Rousseau. Paris, 30 janvier. — « Un Rousseau se déclara autrefois votre ennemi. »
B.
2064.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, le 5 février 1750. — « Du sein des brillantes clartés. »
B.
2065.
Destouches. Paris. — « Auteur solide, ingénieux. »
B.
2066.
Le comte d’Argental. Février. — « Je m’éveille assez agréablement. »
C. et F.
2067.
Le marquis des Issarts, ambassadeur de France à Dresde. Paris, 19 février. — « Je vous renvoie ce que je voudrais rapporter. »
B.
2068.
De Frédéric. 20 février. — « La nuit, compagne du repos. »
Pr.
2069.
Le marquis d’Argenson. Versailles, 10 mars 1750. — « On m’a renvoyé ici vos ordres. »
C. et F.
2070.
Le marquis d’Argenson. Paris, 13 mars. — « J’arrive ; je suis assurément. »
B.
2071.
M. Berryer, lieutenant général de police. Paris, 15 mars. — « Je me suis présenté à votre porte. »
C. et F.
2072.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 16 mars. — « Enfin d’Arnaud, loin de Manon. »
B.
2073.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 17 mars. — « Grand juge et grand faiseur de vers. »
B.
2074.
Au lieutenant général de police. Paris, 19 mars 1750. — « M. le comte d’Argenson, monsieur, me fait dire. »
L. Led.
2075.
M. de Mairan. 22 mars. — « Je suis venu pour avoir l’honneur. »
C. et F.
2076.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 3 avril 1750. — « Sire, voici des rogatons. »
B.
2077.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 13 avril. — « Grand roi, voici donc le recueil. »
B.
2078.
Darget. Paris, 21 avril. — « Je profite avec un extrême plaisir. »
B.
2079.
De Frédéric. 25 avril. — « J’espérais qu’au premier signal. »
Pr.
2080.
Le comte d’Argental. — « J’ai envie de donner Cicéron. »
C. et F.
2081.
Darget. Paris, 6 mai 1750. — « Voici une seconde faffée. »
B.
2082.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 8 mai. — « Oui, grand homme, je vous le dis. »
B.
2083.
Le marquis d’Argenson. Sceaux, 8 mai. — « N’en disons mot. »
C. et F.
2084.
Mlle Clairon. Mai. — « Belle Cléopâtre, je vous supplie. »
C. et F.
2085.
D’Arnaud (Baculard). Paris, 19 mai. — « Vous voilà donc, mon cher enfant. »
B.
2086.
La marquise de Malause. Sceaux, ce dimanche. — « Aimable Colette, dites à Son Altesse. »
B.
2087.
De Frédéric. 24 mai. — « Pour une brillante beauté. »
Pr.
2088.
De Baculard d’Arnaud, 31 mai 1750. — « J’ai reçu votre lettre, mon cher Apollon. »
Wag. et Longc.
2089.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, le 9 juin 1750. — « Votre très-vieille Danaé. »
B.
2090.
La duchesse du Maine. — « Je suis aux ordres de Votre Altesse. »
B.
2091.
La duchesse du Maine. Paris, dimanche. — « Ma protectrice, en arrivant de Versailles. »
B.
2092.
Le chevalier Gaya. Dimanche. — « À six heures du matin. »
B.
2093.
La duchesse du Maine. — « Ma protectrice, Cicéron, César, Catilina, seront jeudi. »
B.
2094.
La duchesse du Maine. Ce samedi. — « Ma protectrice, gardez mes sentiments. »
B.
2095.
La duchesse du Maine. Ce dimanche. — « Ma protectrice, votre protégé Cicéron. »
B.
2096.
Du prince Louis de Wurtemberg. — « Que je suis fâché, monsieur. »
B.
2097.
La duchesse du Maine. Juin, ce mercredi. — « Âme du grand Condé ! »
B.
2098.
De Frédéric. 26 juin. — « Vieux palefrois de nos rouliers. »
Pr.
2099.
Le comte d’Argental. À Compiègne, ce 26 juin. — « Pourquoi suis-je ici ? »
B.
2100.
Frédéric II, roi de Prusse. Compiègne, 26 juin. — « Ainsi dans vos galants écrits. »
B.
2101.
Darget Clèves, 2 juillet 1750. — « Un pauvre malade errant se recommande. »
B.
2102.
Mme Denis. Clèves, juillet (Voyage à Berlin). — « C’est à vous s’il vous plaît, ma nièce. »
B.
2103.
Frédéric II, roi de Prusse. Juillet 1750. Sur un grand chemin de l’évêché de Hildesheim, etc. — « Beau Sans-Souci, daignez attendre. »
Pr.
2104.
Le comte d’Argental. À Potsdam, 24 juillet. — « Mes divins anges, je vous salue du ciel de Berlin. »
B.
2105.
Le marquis de Thibouville. Potsdam, 1er août 1750. — « Je mérite votre souvenir. »
B.
2106.
Mme de Fontaine. Potsdam, 7 août. — « Je vous jure, ma chère Alide. »
B.
2107.
Le comte d’Argental. Potsdam, 7 août. — « Mes divins anges ! votre Sans-Souci. »
B.
2108.
Darget À Sans-Souci, ce 9 ou 10… — « Vous êtes tout ébaubi. »
B.
2109.
La marquise de Pompadour. Potsdam, 10 août. — « Dans ces lieux jadis peu connus. »
B.
2110.
Mme Denis. Potsdam, 11 août. — « Je ne suis point du tout de votre avis. »
B.
2111.
Le comte d’Argental. Charlottenbourg 14 août. — « Ah ! mes chers anges, il n’est plus question. »
C. et F.
2112.
Mme Denis. Charlottenbourg, 14 août. — « Voici le fait, ma chère enfant. »
B.
2113.
Le comte d’Argental. Charlottenbourg, 20 août. — « Si je vous disais que nous avons, »
B.
2114.
Mme Denis. Berlin, 22 août. — « Je reçois votre lettre du 8. »
B.
2115.
De Frédéric. 23 août. — « J’ai vu la lettre. »
Pr.
2116.
Mme Denis. Berlin, 24 août. — « Pardonnez-moi d’égayer un peu. »
B.
2117.
Le comte d’Argental. Berlin, 28 août. — « Jugez en partie. »
B.
2118.
Darget. Potsdam, août. — « Je n’ai point vu le bal. »
B.
2119.
Le maréchal de Richelieu. Août. — « Mon héros, cette lettre partira. »
B.
2120.
Le comte d’Argental. Berlin, 1er septembre 1750. — « Ne m’écrivez jamais, mon divin ange. »
B.
2121.
Mme la margrave de Baireuth. — « Que Votre Altesse royale renonce. »
Rev. Fr.
2122.
Formey 9 septembre. — « Ma mauvaise santé. »
B.
2123.
Mme Denis. Berlin, 12 septembre. — « Qui donc peut vous dire que Berlin. »
B.
2124.
Le comte d’Argental. Berlin, 14 septembre. — « Vous devez, mon cher et respectable ami. »
B.
2125.
Le duc d’Uzès. Berlin, 14 septembre. — « Je dois à votre goût. »
B.
2126.
M. Walther. 19 septembre. — « Je vous adresse un exemplaire. »
B.
2127.
Mme de Fontaine. Berlin, 23 septembre. — « Quand vous vous y mettez. »
B.
2128.
Le comte d’Argental. Berlin, 23 septembre. — « Vous m’écrivez des lettres. »
B.
2129.
M. Walther. Berlin, 28 septembre. — « On m’a dit que l’on avait publié. »
B.
2130.
Formey. Potsdam, 3 octobre 1750. — « Dieu vous bénira. »
B.
2131.
Lekain. Potsdam, 7 octobre. — « Que ne puis-je vous être bon. »
B.
2132.
Frédéric II, roi de Prusse. Dans votre Parnasse de Pharasmane, octobre. — « Vous êtes roi sévère. »
B.
2133.
Mme Denis. Potsdam, 13 octobre. — « Nous voilà dans la retraite de Potsdam. »
B.
2134.
Pâris-Duverney. Potsdam, 15 octobre. — « Je viens de recevoir. »
C. et F.
2135.
Le comte d’Argental. Potsdam. 15 octobre. — « Il faut que je fasse ici. »
B.
2136.
Du prince Louis de Vurtemberg. 17 octobre. — « J’ai reçu la lettre. »
B.
2137.
Maupertuis. Potsdam. — « Mon cher président, je m’intéresse. »
B.
2138.
Le marquis de Thibouville. Potsdam, 24 octobre. — « Non-seulement je suis un transfuge. »
C. et F.
2139.
Le comte d’Argental. Potsdam, 27 octobre. — « Mon historiographerie. »
B.
2140.
Darget. Potsdam, octobre. — « La permission du roi de France. »
B.
2141.
Mme Denis. Potsdam, 28 octobre. — « Je ne sais pas pourquoi le roi. »
B.
2142.
Darget. — « Votre laquais s’est enfui. »
B.
2143.
Mme Denis. Potsdam, 6 novembre 1750. — « On sait donc à Paris. »
B.
2144.
Darget. — « Amice, credo hanc epistolam. »
B.
2145.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je me confie comme de raison. »
B.
2146.
Le comte d’Argental. Potsdam, 14 novembre. — « Chie-en-pot-la-Perruque a été fidèle. »
B.
2147.
M. Morand. Potsdam, 17 novembre. — « Les bontés que vous avez eues. »
C. et F.
2148.
Mme Denis. Potsdam, 17 novembre. — « Je sais, ma chère enfant, tout ce qu’on dit. »
B.
2149.
Mme Denis. Potsdam, 24 novembre. — « Le soleil levant s’est allé coucher. »
B.
2150.
Du comte d’Argental. 24 novembre. — « Je vous demande pardon d’avance. »
B.
2151.
Du marquis d’Adhémar. 25 novembre. — « J’avais été instruit dans le temps. »
B.
2152.
Le comte d’Argental. Potsdam, 28 novembre. — « Vous me rendrez bien la justice. »
B.
2153.
Thieriot. Potsdam, novembre. — « Quoique vous paraissiez m’avoir. »
B.
2154.
La comtesse d’Argental. Potsdam, 8 décembre 1750. — « Recevez mes hommages, mes regrets. »
B.
2155.
La duchesse du Maine. Potsdam, ce 8 décembre. — « Madame, au lieu des ambassadeurs gaulois. »
B.
2156.
La margrave de Baireuth. Potsdam, 9 décembre. — « Madame, les grandes passions mènent bien loin. »
Rev, Fr.
2157.
De la margrave de Baireuth. 10 décembre. — « Je vous ai promis de vous écrire. »
B.
2158.
La margrave de Baireuth. Décembre. — « Votre Altesse royale a grandement raison »
Rev. Fr.
2159.
Le comte d’Argental. Potsdam, 11 décembre. — « Me voilà toujours Sancho Pança. »
B.
2160.
La margrave de Baireuth. Berlin, 19 décembre. — « Madame, les ordres de Votre Altesse royale. »
Rev. Fr.
2161.
De la margrave de Baireuth. 25 décembre. — « Sœur Guillemette à frère Voltaire, salut. »
B.
2162.
Mme Denis. À Berlin, au château, 26 décembre. — « Je vous écris à"côté d’un poêle. »
B.
2163.
Darget. Décembre. — « J’ai tenté toutes les voies possibles. »
B.
2164.
De Lessing à M. Richier. — « Vous me croyez donc coupable. »
A. Stahr.
1751
2165.
M. Lessing, candidat en médecine, etc. Berlin, 1er janvier 1751. — « On vous a déjà écrit. »
Athen.
2166.
La duchesse du Maine. Berlin, 1er janvier. — « J’ai appris la maladie de Votre Altesse. »
B.
2167.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Mon secrétaire m’a avoué. »
B.
2168.
Mme Denis. Berlin, 3 janvier. — « Ma chère enfant, je vais vous confier. »
B.
2169.
De la margrave de Baireuth. 3 janvier. — « Je profite d’un moment. »
B.
2170.
Darget. Berlin, 4 janvier. — « Je vous renvoie les nouvelles. »
B.
2171.
La margrave de Baireuth. Berlin, 6 janvier. — « Frère Voltaire n’a fait que changer de cellule. »
Rev. Fr.
2172.
Le baron de Marschall. Ce mardi. — « Je ne joue point. »
C. et F.
2173.
Le comte d’Argental. 9 janvier. — « Ce climat-ci me tue. »
B.
2174.
Mme Denis. Berlin, 12 janvier. — « Enfin voici notre chambellan. »
B.
2175.
Darget. Berlin, 18 janvier. — « Mon aimable ami, on me mande toujours. »
B.
2176.
Darget. Janvier. — « Quand je vous écris c’est pour vous seul. »
B.
2177.
Darget. Berlin, 18 janvier au soir. — « Je reçois votre lettre aussi aimable. »
B.
2178.
De la margrave de Baireuth. 23 janvier. — « Il faut que je me sois très-mal expliquée. »
B.
2179.
Darget. 25 janvier. — « Je vous prie de me mander. »
B.
2180.
La margrave de Baireuth. 30 janvier. — « Votre Altesse royale a plus de rivaux. »
Rev. Fr.
2181.
Le comte d’Argental. Berlin, dernier de janvier. — « Mon cher ange, mon cher ami, j’ai écrit. »
B.
2182.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Votre Majesté joint à ses grands talents. »
B.
2183.
Darget. Berlin, 30 janvier à minuit. — « Je vous avertis que j’ai du courage. »
B.
2184.
Le marquis de Thibouville. Berlin, 5 février 1751. — « Je reçois à la fois vos deux lettres. »
B.
2185.
Darget Février. — « Mon chien de procès n’étant point encore fini. »
B.
2186.
Formey. Le 14 février. — « Je vous demande en grâce. »
B.
2187.
Darget. Berlin, 15 février. — « On a beau faire le plaisant. »
B.
2188.
Mme Denis. Berlin, 15 février. — « Le marquis d’Adhémar sera donc. »
C. et F.
2189.
De la margrave de Baireuth. 18 février. — « Si vous désirez grandement. »
B.
2190.
Darget. Berlin, 18 février. — « J’ai compté sans mon hôte. »
B.
2191.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, eh ! bien, Votre Majesté a raison. »
B.
2192.
Darget. Berlin, samedi au soir. — « Voici ce que le médecin des eaux. »
B.
2193.
Mme Denis. Berlin, 20 février. — « Je vous remercie tendrement. »
B.
2194.
Darget. Berlin, dimanche 20 février. — « J’espère encore être en état. »
B.
2195.
Le baron de Marschall. — « Voltaire, que sa maladie séquestre. » .
C. et F.
2196.
Le grand chancelier Cocceji au président de Jariges. Berlin, 20 février. — « J’ai voulu prier monsieur le président, »
Desv.
2197.
Darget. 8 heures et demie du soir, ce dimanche. — « Je reçois votre consolante lettre. »
B.
2198.
Le comte d’Argental. Des neiges de Berlin, 22 février. — « Ô destinée ! destinée !»
B.
2199.
Le baron de Marschall à l’abbé Danès. 23 février. — « Vous me mandiez, monsieur. »
Wagn. et Longc.
2200.
De Frédéric. 24 février. — « J’ai été bien aise de vous recevoir. ».
Pr.
2201.
Darget — « J’ai tout terminé, dans la crainte. »
B.
2202.
Darget. — « Ce n’est qu’après les affirmations. »
B.
2203.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, je conjure Votre Majesté. »
B.
2204.
Darget. Ce dimanche. — « Voici une lettre pour le roi. »
B.
2205.
Frédéric II, roi de Prusse. Samedi. — « Sire, toutes choses mûrement considérées. »
B.
2206.
De Frédéric. Potsdam, 28 février. — « Si vous voulez venir ici. »
Pr.
2207.
La margrave de Baireuth. 1er mars 1751. — « Frère Voltaire reçut avant-hier. »
Rer. Fr.
2208.
Darget. Berlin. 2 mars. — « Vous ne répondez ni à mes empressements. »
B.
2209.
Formey. Mars. — « Voulez-vous venir manger. »
B.
2210.
Darget. Berlin, 7 mars. — « Il se peut faire qu’il y ait. »
B.
2211.
Darget. Berlin, 8 mars. — « Je vais vous écrire en gros caractères. »
B.
2212.
Darget. Berlin, 9 mars. — « Tout mon corps est en désarroi. »
B.
2213.
Darget. Potsdam, 11 mars 1751. — « Je porte au Marquisat. »
B.
2214.
Le marquis de Ximenès. Potsdam, 13 mars. — « J’espère que je lirai l’ouvrage. »
B.
2215.
Darget. — « J’arrivai hier chez moi. »
B.
2216.
Darget. Potsdam. — « Je vous prie de remercier. »
B.
2217.
Le baron de Marschall. Potsdam, samedi. — « Vous m’enchantez par vos bontés. »
C. et F.
2218.
Darget. Potsdam. — « Le saint diacre était conseiller-clerc »
B.
2219.
Le comte d’Argental. Potsdam, 15 mars. — « Vous avez donc vu mon Prussien. »
B.
2220.
Darget. — « Le ciel confonde les marquis. »
B.
2221.
Mme Denis. Potsdam, 20 mars. — « Me voici rencloitré. »
B.
2222.
La princesse Ulrique, reine de Suède. Potsdam, 22 avril. — « Christine par l’esprit. »
V. Adv.
2223.
Mémoire de Mme Denis adressé au lieutenant général de police, 24 avril. — « Mme Denis, nièce de Voltaire. »
B.
2224.
Darget. Jeudi. — « Vous souviendrez-vous par hasard. »
B.
2225.
Le comte d’Argental. Potsdam, 27 avril. — « J’apprends que vous avez perdu. »
B.
2226.
Le baron de Marschall. — « Je remercie bien tendrement. »
C. et F.
2227.
Formey. Potsdam, 30 avril (si je ne me trompe). — « Il me parait qu’il y a dans l’ouvrage. »
B.
2228.
De Mme Denis à M. Berryer, lieutenant général de police. 2 mai 1751. — « J’ai l’honneur de vous prier. »
B.
2229.
Le comte d’Argental. 4 mai 1751. — « Le roi de Prusse, tout roi et tout grand homme. »
B.
2230.
De Denis à M. Berryer, lieutenant général de police. 5 mai. — « Dans la crainte où je suis. »
B.
Note du lieutenant général de police.
2231.
De Frédéric. — « Je viens d’accoucher… »
Pr.
2232.
Devaux. Potsdam, 8 mai. — « Mon cher Panpan (car il n’y a pas moyen). »
C. et F.
2233.
Le baron de Marschall. Potsdam, ce 14 ou 15 (ma foi, je n’en sais rien). — « Je vous remercie tendrement. »
B.
2234.
De Mme Denis à M. Berryer, lieutenant général de police. 20 mai. — « Permettez-moi de vous rendre compte. »
B.
2235.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Vous qui daignez me départir. »
B.
2236.
La duchesse Louise-Dorothée de Saxe-Gotha. Berlin , 23 mai. — « Votre Altesse sérénissime daignera-t-elle. »
C. et F.
2237.
Le comte Algarotti. — « Ducite ab urbe domum. »
B.
2238.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Il faut dire la vérité aux rois. »
Pr.
2239.
La margrave de Baireuth, Potsdam, 28 mai. — « Votre Altesse royale attendait. »
Rev. Fr.
2240.
Le comte d’Argental. Potsdam, 29 mai. — « Si vous êtes à Lyon. »
B.
2241.
Walther. 29 mai. — « Si vous avez besoin d’argent. »
B.
2242.
Walther 30 mai. — « Je suis fort occupé de l’Histoire du Siècle de Louis XIV. »
B.
2243.
Frédéric II, roi de Prusse. Mardi. — « Si je ne suis pas court, pardonnez-moi. »
B.
2244.
La marquise du Deffant. Potsdam, dernier de mai. — « Apparemment, madame, que mon camarade. »
B.
2245.
Frédéric II, roi de Prusse. À ce qu’on appelle le Marquisat, ce 5 juin 1751. — « Du fond du désert que j’habite. »
B.
2246.
Moncrif. Potsdam, 17 juin. — « J’ai tardé longtemps à vous remercier. »
B.
2247.
La Mettrie. Potsdam. — « Allez, courez, joyeux lecteur. »
B.
2248.
Devaux. — « Mon cher Panpan, je vous assure. »
B.
2249.
Le marquis de Ximenès. Potsdam. — « J’ai reçu assez tard. »
B.
2250.
Le comte d’Argental. Potsdam, 13 juillet 1751. — « Vous avez donc suivi le conseil, »
B.
2251.
Le baron de Marschall. Potsdam, ce 18, au château. — « J’ai eu l’honneur de vous remercier. »
C. et F.
2252.
Frédéric II, roi de Prusse. — « J’ai lu, la nuit et ce matin. »
B.
2253.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je rends à Votre Majesté ses six chants. »
Pr.
2254.
La marquise du Deffant. Potsdam, 20 juillet. — « Votre souvenir et vos bontés. »
B.
2255.
Le comte d’Argental. Juillet. — « Je viens de lire Manlius. »
B.
2256.
Le chevalier Falkener. Potsdam, 27 juillet. — « Dear sir, fortune that hurries us »
C. et F.
2257.
Le comte Algarolti. Potsdam, 27.... — « Ecco il vostro Dubos. »
B.
2258.
Formey 5 août 1751. — « J’ai l’honneur d’envoyer. »
C. et F.
2259.
Du comte d’Argental. 6 août. — « Je n’ai rien à ajouter. »
B.
2260.
Le comte d’Argental. Potsdam, 7 août. — « Mon adorable ami, je reçois. »
B.
2261.
Frédéric II. roi de Prusse. — « Je demande pardon à Votre Majesté. »
B.
2262.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je rends à Votre Majesté ce premier volume. »
B.
2263.
Le président Hénault. Potsdam, 15 août. — « Vraiment, je reconnais. »
Lord Brodgham.
2264.
Mme de Fontaine. Potsdam, 17 août. — « J’ai reçu assez tard votre lettre. »
B.
2265.
Frédéric II. roi de Prusse. — « Sire, eh ! mon Dieu, comment faites-vous donc. »
B.
2266.
Mme Denis. Potsdam, 24 août. — « Vous recevrez, ma chère plénipotentiaire. »
B.
2267.
La princesse Ulrique, reine de Suède. Berlin, 25 août. — « Reine auguste, reine chérie. »
V. Adv.
2268.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Mais, sire, Votre Majesté n’avait donc pas lu. »
B.
2269.
Le marquis d’Argens. Potsdam. — « Mon cher Isaac, soyez le bien revenu. »
B.
2270.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je suis dans une grande affliction. »
B.
2271.
Le comte d’Argental. Berlin, 28 août. — « Milord Maréchal, qui est une espèce d’ancien Romain. »
B.
2272.
M. de Balbi. Potsdam, il 28 agosto. — « lo vi ringrazio per avermi. »
C. et F.
2273.
Le marquis d’Argens. — « J’ai reçu votre lettre et celle. »
B.
2274.
Frédéric II, roi de Prusse. Berlin. — « Par ma foi, ces Anglais, que j’avais crus si sages. »
B.
2275.
Le maréchal de Richelieu. Berlin, 31 août. — « Mon héros, un domestique de ma nièce. »
B.
2276.
Darget — « Il est bon de connaître la bonne foi germanique. »
B.
2277.
Mme Denis. Berlin, 2 septembre 1751. — « J’ai encore le temps, ma chère enfant. »
B.
2278.
De Frédéric. 8 (septembre). — « Esclave de la poésie. »
Pr.
2279.
Le comte d’Argental. Potsdam, septembre. — « Parlons d’abord de Catilina. »
B.
2280.
Le comte Algarotti. — « Io sono un poco casalingo »
B.
2281.
Le marquis d’Argens. — « Très-cher frère, vous me faites un grand plaisir. »
B.
2282.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Au Salomon du Nord une foule d’auteurs. »
B.
2283.
Le marquis d’Argens. — « Frère, vous avez un don de Dieu. »
B.
2284.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Marc-Aurèle autrefois disait. »
B.
2285.
Le marquis d’Argens. — « Frère, si loquela sua. »
B.
2286.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, je supplie Votre Majesté. »
B.
2287.
Le comte d’Argental. — « Vous voyez ce qu’il m’en coûte. »
B.
2288.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Si vous aimez des critiques libres. »
B.
2289.
Darget — « Miseriis hominum succurrere discis. »
B.
2290.
Darget — « J’avais bien raison de soupçonner Henning. »
B.
2291.
Darget. — « Voici la lettre que Henning. »
B.
2292.
Mme Denis. À Potsdam, le 20 septembre. — « Voici une douzaine de feuilles. »
B.
2293.
Le comte Algarotti. Potsdam, 24 septembre. — « Non posso immaginare. »
B.
2294.
Le baron de Marschall. Potsdam, 3 octobre 1751. — Je vous fais mon compliment. »
C. et F.
2295.
Formey. Berlin, chez Mme Borck, ce mardi. — « Les embarras du déplacement. »
B.
2296.
Frédéric II, roi de Prusse. 3 octobre. — « Faible réponse à votre belle ode. »
B.
2297.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, je me suis traîné à votre opéra. »
B.
2298.
Frédéric II, roi de Prusse. À Berlin, le 14. — « J’ai quitté la rive fleurie. »
B.
2299.
Frédéric II, roi de Prusse. Vendredi, 9 heures du soir. — « Le médecin joyeux a sans doute mandé. »
B.
2300.
Le comte d’Argental. 16 octobre. — « Je vous suis bien obligé de vos petites notes. »
B.
2301.
Mme Denis. À Potsdam, 29 octobre. — « Vous êtes de mon avis. ».
B.
2302.
Formey. — « Voici l’éloge d’un grand homme. »
B.
2303.
Le maréchal de Richelieu. Potsdam, 13 novembre 1751. — « Ce La Mettrie, cet homme-machine. »
B.
2304.
Le comte d’Argental. Potsdam, 13 novembre. — « J’ai pour principe qu’il faut croire. »
B.
2305.
Mme Denis. Potsdam, 14 novembre. — « Protectrice de l’Alcoran, nous sommes tous ici. »
B.
2306.
Falkener. Potsdam, 27 novembre. — « Dear sir, the printers at Berlin. »
C. et F.
2307.
Le duc d’Uzès. Potsdam, 4 décembre 1751. — « C’est par un heureux hasard. »
B.
2308.
Formey. — « Si votre fortune est aussi bonne. »
B.
2309.
Le comte d’Argental. 14 décembre. — « Le nez à la romaine doit être allongé. »
B.
2310.
Mme Denis. Potsdam, 24 décembre. — « Je ne vous écris plus, ma chère enfant. »
B.
2311.
Le comte d’Argental. 25 décembre. — « Ce n’est pas de Rome sauvée. »
C. et F.
2312.
Walther. 28 décembre. — « J’examine avec soin votre édition. »
B.
2313.
Frédéric II, roi de Prusse. (28 décembre.) — « Comme vos ouvrages sont plus tentants, »
B.
2314.
Frédéric II, roi de Prusse. Mercredi matin (29 décembre). — « Ah ! mon Dieu, sire, que je vous demande pardon ! »
B.
2315.
Darget. 1751. — « Je ne savais pas cette mort funeste. »
B.