Livre:L’Arioste - Roland furieux, trad. Reynard, 1880, volume 4.djvu
Titre | Roland furieux |
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Volume | Tome IV |
Auteur | L’Arioste |
Traducteur | Francisque Reynard |
Maison d’édition | Alphonse Lemerre |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1880 |
Publication originale | 1516 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | Tome I — Tome II — Tome III — Tome IV |
Pages
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TABLE DES MATIÈRES DU TOME QUATRIÈME
Chant XXXVII. Passant en revue les écrivains divers qui ont employé leur plume à chanter les louanges du beau sexe, le poète en prend occasion pour louer Vittoria Colonna et les nobles vers consacrés par elle à la mémoire du marquis de Pescaire, son époux. Puis il introduit sur la scène Ullania, messagère de la reine de l’île Perdue, qui raconte à Roger, à Bradamante et à Marphise l’indigne coutume établie par Marganor dans son propre château à l’encontre des femmes. Les deux guerrières et Roger infligent à Marganor le châtiment qu’il a mérite.
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Chant XXXVIII. — Roger, fidèle a l’honneur qui l’appelle auprès d’Agramant, s’en va à Arles. Bradamante et Marphise se présentent la cour de Charles. Marphise reçoit le baptême. Astolphe, à la tête d’une armée de Nubiens, saccage l’Afrique et menace Biserte. Agramant, instruit de ces événements, obtient de Charles de décider de la guerre entre eux par le combat singulier de deux champions élus dans chaque camp.
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Chant XXXIX. — Mélisse, au moyen d’un enchantement, fait qu’Agramant viole le pacte juré. Les deux armées en viennent aux mains, et les Maures ont le dessous. Astolphe accomplit des prouesses en Afrique, et y crée une flotte. Ses compagnons et lui s’emparent de Roland, et Astolphe lui rend la raison. Agramant, s’étant embarqué avec ses troupes, rencontre la flotte chrétienne qui l’attaque.
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Chant XL. La flotte d’Agramant ayant été battue et brûlée, les chrétiens assiègent Biserte, qui est prise d’assaut, mise au pillage et livrée aux flammes. Agramant se réfugie à Lampéduse avec Sobrin. Ayant trouvé Gradasse dans cette île, ils arrêtent tous les trois le projet de défier Roland et deux autres chevaliers chrétiens au combat. Roland accueille volontiers cette offre, et choisit pour compagnons Brandimart et Olivier. — Entre temps, Roger, retournant à Arles, délivre sept rois africains que Dudon conduisait prisonniers, et en vient aux mains avec ce dernier.
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Chant XLI. Roger et Dudon cessent leur combat, après être convenus que les sept rois païens prisonniers seront rendus à la liberté. Roger s’embarque avec eux pour l’Afrique. Pendant la traversée, ils sont engloutis par une tempête, excepté Roger, qui est porté sain et sauf près d’un ermite, lequel lui prédit diverses choses. Le navire, abandonné par son équipage, est poussé par le vent jusqu’à Biserte. Il y avait à bord l’épée, l’armure et le cheval de Roger. Roland prend l’épée pour lui, donne l’armure à Olivier et le cheval à Brandimart, et ils vont tous les trois a Lampéduse pour combattre les trois païens. Le combat s’engage ; Sobrin et Olivier sont blessés, et Brandimart est tué.
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Chant XLII. – Le combat de Lampéduse se termine par la mort de Gradasse et d’Agramant, occis par la main de Roland, qui accorde la vie à Sobrin. Bradamante se désole du retard de Roger. Renaud, en allant sur les traces d’Angélique, trouve un remède qui le guérit de son amoureuse passion. S’étant remis en chemin pour rejoindre Roland, il fait la rencontre d’un chevalier qui le reçoit dans un magnifique palais orné de statues représentant diverses dames de la maison d’Este. Son hôte lui propose un moyen de s’assurer de la fidélité de sa femme.
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Chant XLIII. Renaud entend raconter deux nouvelles, l’une contre les femmes, l’autre contre les hommes qui se laissent vaincre par l’ignoble passion de l’avarice. Après un long chemin sur terre et sur mer, Renaud arrive à Lampéduse, au moment où venait de se terminer le combat entre les paladins et les païens. Ils descendent tous en Sicile et, sur la plage d’Agrigente, ils rendent les derniers honneurs aux dépouilles mortelles de Brandimart. De là, ils vont à l’ermitage où est Roger, devenu déjà chrétien. L’ermite rend la santé à Olivier et à Sobrin, qui se fait aussi baptiser.
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Chant XLIV. Les cinq guerriers se lient d’une fraternelle amitié. Renaud, tenant Roger en grande estime, et sur les conseils de l’ermite, lui promet la main de sa saur Bradamante. De là, ils s’en vont à Marseille, où arrive en même temps Astolphe, qui a licencié son armée de Nubiens, et rendu sa flotte à son premier état de feuilles. Les paladins et Sobrin sont magnifiquement accueillis par Charles dans Paris, mais la joie générale est troublée par le refus du duc Aymon et de sa femme Béatrice de consentir l’union de Roger et de Bradamante, celle-ci ayant été déjà fiancée par eux à Léon, fils de l’empereur des Grecs. Roger prend ses armes et, plein de haine contre Léon, il se transporte au camp des Bulgares qui sont en guerre avec les Grecs. Il défait ces derniers, puis va loger dans une hôtellerie qu’il ignore être située sur les terres de l’empire grec. Il y est dénoncé comme l’auteur du désastre éprouvé par les Grecs.
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Chant XLV. – Roger, saisi pendant son sommeil, devient le prisonnier de Théodora, sœur dé l’empereur Constantin. Entre temps, Charles, à la requête de Bradamante, a fait publier que quiconque voudra l’avoir pour femme devra se battre avec elle et la vaincre. Léon, qui a conçu de l’amitié et de l’estime pour Roger, sans le connaître, le tire de prison et l’engage à combattre en son nom contre Bradamante. Roger, portant les insignes de Léon, se bat contre la guerrière. Survient la nuit ; Charles fait cesser le combat et donne Bradamante à celui qu’il croit être Léon. Roger, désespéré, veut se tuer ; mais Marphise va trouver Charles et empêche ce mariage.
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Chant XLVI. Le poète, se sentant arriver au port, nomme les nombreux amis qui l’attendent pour fêter son retour. Mélisse va à la recherche de Roger, et lui sauve la vie avec le concours de Léon qui, ayant appris le motif du désespoir de Roger, lui cède Bradamante. Tous vont à Paris, où Roger, élu déjà roi des Hongrois, est reconnu pour le chevalier qui a combattu contre Bradamante. On célèbre les noces avec une splendeur royale ; le lit nuptial est préparé sous la tente impériale que Mélisse, grâce à son art magique, a fait venir de Constantinople. Pendant le dernier jour des fêtes, survient Rodomont qui défie Roger ; le combat a lieu, et Rodomont reçoit la mort de la main de Roger
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FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES DU TOME QUATRIÈME ET DERNIER.