Correspondance de Voltaire/Oct-1738-1740
Apparence
1736 à Septembre 1738
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◄ | Octobre 1738 — 1740
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► | 1741 à Février 1749 |
Correspondance de Voltaire
1738
938. M. Berger. Cirey, octobre 1738. — « Aujourd’hui est parti. »
B.
939. Le baron de Keyserlingk. Cirey, octobre. — « Très-aimable Césarion. »
B.
940. Maupertuis. — « Après vous avoir remercié des leçons. »
B.
941. Thieriot. 11 octobre. — « Si vous ne viviez pas. »
C. et F.
942. Helvétius. Cirey, 17 octobre. — « Voici, mon cher élève des Muses. »
B.
943. L’abbé d’OIivet. Cirey, 20 octobre. — « Quoique je sois en commerce. »
B.
944. Thieriot. 22 octobre, à Cirey. — « Je reçois votre lettre du 12. »
B. et F.
945. Paris de Montmartel. Cirey, 22 octobre. — « Je suis obligé, monsieur, d’avoir l’honneur. »
C. et F.
946. M. de Latour. Cirey, 22 octobre. — « Je vous fais mon compliment. »
C. et F.
947. Thieriot. 24 octobre. — « Je ne vous écris souvent que trois lignes. »
B.
948. Thieriot. Cirey, 27 octobre. — « Je ne peux encore écrire. »
B.
949. Le lieutenant général de police. 27 octobre 1738. — « Étant sur le point de prendre. »
L. Led
950. Lévesque de Burigny. Cirey, 29 octobre 1738. — « Je n’ai point reçu votre lettre comme un compliment. »
B.
951. M. Lefranc. Cirey, 30 octobre. — « Tous les hommes ont de l’ambition. »
B.
952. L’abbé Dubos Cirey, 30 octobre. — « Il y a déjà longtemps. »
B.
953. Thieriot. Cirey, 31 octobre. — « Voici, mon cher Père Mersenne. »
B.
954. Le comte d’Argental. Cirey, 3 novembre 1738. — « Aimable ange gardien. »
B.
955. L’abbé Moussinot. 4 novembre. — « Je reçois, mon cher ami, votre lettre du 30. »
C.
956.
Le lieutenant général de police. Cirey, ce 7 novembre. — « Je vous demande bien pardon. »
L. Led.
957. De Frédéric. 9 novembre. — « Je viens de recevoir une lettre. »
Pr.
958. Cideville. Cirey, 10 novembre. — « Je vous dois une Mérope. »
B.
959. Formont. Cirey, 11 novembre. — « Est-il vrai, cher Formont. »
B.
960. Thieriot. — « Voici encore un petit mot. »
C. et F.
961. L’abbé Leblanc. Cirey, 11 novembre. — « Comme Anglais, comme auteur d’Aben-Saïd. »
C. et F. (Suppl.)
962. Thieriot. 13 novembre. — « Vous me voyez dans un point de vue. »
B.
963. Le lieutenant général de police. Cirey, ce 13 novembre. — « C’est ma reconnaissance moins que mon intérêt. »
L. Led
964. Frédéric, prince royal de Prusse. Novembre 1738. — « Que Votre Altesse royale pardonne. »
B.
965. De Frédéric. 22 novembre. — « Il faut avouer que vous êtes un débiteur admirable. »
Pr.
966. Mlle Quinault. Cirey, 24 novembre. — « On vous écrit souvent, mademoiselle. »
Édit. 1822
967. Thieriot. 24 novembre. — « Ami, donc la vertu toujours égale et pure. »
B.
968. Le comte des Alleurs. Cirey, 26 novembre. — « Si vous n’aviez point signé. »
B.
969. Maupertuis. Cirey, 27 novembre. — « J’ai trop tardé à vous remercier. »
B.
970. Le marquis d’Argens. À Bar-le-Duc, ou tout auprès, ce 27 novembre. — « Dans votre vie cachée. »
C. et F.
971. Thieriot. 29 novembre. — « Je viens de répondre un livre. »
B.
972. Thieriot. 1erdécembre 1738. — « Nous venons de recevoir. »
B.
973. L’abbé Moussinot. 4 décembre. — « En réponse à celle du 29. »
C.
974. Helvétius. Cirey, ce 4 décembre. — « Mon très-cher enfant, pardonnez. »
B.
975. Le comte d’Argental. Cirey, 5 décembre. — « Aimable ange gardien, vous resterez donc. »
B.
976. Thieriot. 6 décembre. — « Mitonnez-moi le manipulateur. »
B.
977. Le comte d’Argental. 6 décembre. — « Le coche de Joinville part aujourd’hui. »
B.
978. L’abbé Moussinot. 7 décembre. — « Vous pouvez en toute sûreté. »
C.
979. L’abbé Moussinot. 9 décembre. — « Je vous prie, mon cher abbé. »
C.
980. Thieriot. Cirey, 10 décembre. — « Je me venge de vos critiques. »
B.
981. L’abbé Moussinot. 10 décembre. — « Je vous réitère toutes mes petites volontés. »
C.
982. L’abbé Moussinot. Ce 10 décembre. — « Prault fils doit prendre 400 fr. »
C.
983. Prault, libraire. Cirey, 13 décembre. — « J’ai reçu votre lettre. »
B.
984. Thieriot. Ce 13 décembre. — « Je ne suis point du tout de l’avis, »
B. et F.
985. Le comte d’Argental. Cirey. — « Si j’avais eu quelque chose de bon à dire. »
B.
986. M. le lieutenant général de police. « C’est moi-même qui ai l’ait découvrir. »
L. Led
987. Mme Demoulin. À Cirey, décembre. — « Je vous rends à l’un et à l’autre. »
B.
988. L’abbé Moussinot. Ce 18 décembre. — « Puis-je vous prier d’ajouter encore. »
C.
989. Thieriot. Cirey, 18 décembre. — « Je n’ai ni le temps ni la force. »
B. et F.
990. Thieriot. 20 décembre. — « En réponse à votre lettre du 14. »
B. et F.
991. Maupertuis. À Cirey, 20 décembre. — « Sir Isaac, Mme la marquise du Châtelet. »
B.
992. De Jore. 20 décembre. — » Je vous supplie d’excuser. »
B.
993. Formont. 20 décembre. — « J’ai lu, monsieur, la belle épître, »
B.
994. L’abbé Moussinot. 20 décembre. — « En réponse à celle du 17. »
C.
995. M. Berger. Cirey, le 22 décembre 1738. — « Je vous prie de vouloir bien. »
B.
996. L’abbé Moussinot. 25 décembre. — « En réponse à votre dernière non datée. »
C.
997. De Frédéric. 25 décembre. — « J’ai lu ces jours passés. »
Pr.
998. L’abbé Moussinot. Ce 27 décembre. — « En réponse à la vôtre du 24. »
C.
999. L’abbé Moussinot. Ce 29 décembre. — « Je vous prie de porter cette lettre. »
C.
1000. De Jore. 30 décembre. — « J’ai déjà eu l’honneur de vous écrire. »
B.
1001. Thieriot à la marquise du Châtelet, avec les annotations de celle-ci. 31 décembre 1738. — « Je reconnais votre zèle. »
Longch. et Wag.
1002. Le Père Tournemine. Décembre. — « Est-il vrai que ma Mérope vous ait plu. »
B.
1739
1003. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, 1er janvier 1739. — « Jeune héros, esprit sublime. »
B.
1004. L’abbé Moussinot. Cirey, 2 janvier. — « Une compote de marrons glacés. »
C.
1005. Thieriot. Le 2 janvier. — « Il y a vingt ans que je suis devenu. »
B.
1006. Le marquis d’Argens. Le 2 janvier. — « Je reçois votre paquet. »
B.
1007. Le comte d’Argental. Cirey, le 7 janvier. — « Faites tout ce qu’il vous plaira. »
B.
1008. L’abbé Moussinot. 7 janvier. — « Voici un paquet qu’il faut sur-le-champ. »
C.
1009. Thieriot. 7 janvier. — « Pourquoi avez-vous écrit une lettre sèche. »
B.
1010. L’abbé Moussinot. Ce 8 janvier. — « C’est ici qu’il faut servir votre ami. »
C.
1011. De Frédéric. 8 janvier. — « Je m’étais bien flatté que l’épître. »
Pr.
1012. M. Berger. Cirey, le 9 janvier. — « Une nièce, que j’ai mariée. »
B.
1013. Le comte d’Argental. 9 janvier. — « Je demanderais pardon à un autre cœur. »
B.
1014. Thieriot. À Cirey, 9 janvier. — « Depuis ma dernière lettre écrite. »
B.
1015. Le comte de Caylus. — « Vous me comblez de joie. »
B.
1016. L’abbé Moussinot. Ce 10 janvier. — « Non-seulement il faut nous envoyer. »
B.
1017. Thieriot. À Cirey, le 10 janvier. — « Je suis bien étonné. »
B.
1018. Le duc de Richelieu. Cirey, 12 janvier 1739. — « Il a mille vertus et n’a point eu de vices. »
B.
1019. Le comte d’Argental. Cirey, 12 janvier. — « Les mortels de Cirey ne feront rien. »
C. et F.
1020. Mlle Quinault. Cirey, ce 14 janvier. — « Thalie, charme du théâtre. »
Éd. 1822.
1021. M. de Mairan. Cirey, 14 janvier. — « Notre très-aimable philosophe. »
C. et F.
1022. Thieriot. — « Ce scélérat d’abbé Desfontaines. »
B.
1023. Cideville. Cirey, ce 14 janvier. — « La Mérope est partie par le coche. »
B.
1024. Père Porée. À Cirey, 15 janvier. — « Je n’avais pas besoin de tant de bontés. »
B.
1025. L’abbé Moussinot. Ce 15 janvier. — « Je vous prie de lire cette lettre ouverte. »
C.
1026. Thieriot. 15 janvier. — « Je fais un effort. »
C. et F.
1027. Le comte d’Argental. Ce 16 janvier. — « Envoyez chercher Berger. »
C. et F.
1028. Thieriot. 16 ou 17 janvier. — « Mme de Champbonin partait. »
B. et F.
1029. L’abbé Moussinot. Ce 17 janvier. — « Je vous renouvelle mon instante prière. »
C.
1030. Frédéric, prince royal de Prusse. À Cirey, le 18 janvier. — « Votre Altesse royale est plus Fédéric. »
B.
1031. Le comte d’Argental. Cirey, ce 18 janvier. — « Pourquoi faut-il que le chevalier de Mouhy. »
B.
1032. M. Berger. Cirey, 18 janvier. — « Voulez-vous me rendre un signalé service. »
B.
1033. Thieriot. Le 18 janvier. — « Je reçois votre lettre du 14. »
B.
1034. Thieriot. Le 19 janvier. — « Je suis malade, je ne peux vous écrire. »
B.
1035. L’abbé d’Olivet. Cirey, 19 janvier 1739. — « Vous me faites goûter. »
B.
1036. De Frédéric. 20 janvier. — « Du bonheur et de l’allégresse »
Pr.
1037. Le comte d’Argental. 20 janvier. — « Vous avez été bien étonné. »
B.
1038. Thieriot. Ce 23 janvier. — « M. du Châtelet étant absent. »
B.
1039. Prault fils, libraire à Paris, à Mme de Champbonin. 24 janvier. — « Vous savez que c’est à un magistrat. »
B.
1040. Le comte d’Argental. 25 janvier. — « Je travaille le jour à Zulime. »
B.
1041. L’abbé Moussinot. Ce 26 janvier. — « Je reçois votre lettre du 21. »
C.
1042. Thieriot. Ce … au matin. — « J’ai oublié, mon cher ami. »
B. et F.
1043. De Frédéric. 27 janvier. — « Subitement, d’un vol rapide. »
Pr.
1044. L’abbé Moussinot. Ce 28 janvier. — « Voici une cinquième fournée. »
1045. Helvétius. Cirey, 28 janvier. — « Tandis que vous faites tant d’honneur. »
B.
1046. Thieriot. Ce 28 janvier au matin. — « Je vous envoie mon Mémoire, »
B.
1047. L’abbé d’Olivet. Ce 29. — « On m’apporte dans le moment. »
B.
1048. Thieriot. 29 janvier. — « Enfin Mme de Champbonin est partie. »
B. et F.
1049. M. Lévesque de Burigny. Janvier. — « J’ai bien des grâces à vous rendre. »
B.
1050. L’abbé Moussinot. 29 janvier. — « Voilà qui est fait. »
C.
1051. Helvétius. Janvier. — « Toutes lettres écrites. »
B.
1052. L’abbé Moussinot. 2 février 1739. — « Je reçois ce 2 février. »
C.
1053. De Frédéric. 3 février. — « Vous recevez mes ouvrages. »
Pr.
1054. M. Lévesque de Burigny. Cirey, 4 février. — « Si vous daignez prévenir les suites. »
B.
1055. Thieriot. 4 février. — « Tout est-il enfin éclairci ? »
C. et F.
1056. Thieriot. Cirey, le 5. — « Je puis vous envoyer faire … aussi. »
B. et F.
1057. L’abbé Moussinot. Ce 5 février. — « Je reçois votre lettre du 2 février. »
C.
1058. M. Pageau. Cirey, 5 février. — « Je reconnais l’ancien ami de mon père. »
C. et F.
1059. M. D***, en marge d’une copie de l’Épitre sur la nature du plaisir. Février. — « Ne croyez pas que tout ceci. »
H. B.
1060. Le comte d’Argental. Cirey, 5 février. — « Je rougis, mais il faut que je vous importune. »
B.
1061. Mlle Quinault. Cirey, 6 février. — « J’avais bien raison quand je vous suppliais. »
Éd. 1822.
1062. Le comte d’Argental. 6 février. — « Pardon de tant d’importunités. »
B.
1063. De M. le marquis d’Argenson. 7 février. — « C’est un vilain homme que l’abbé Desfontaines. »
B.
1064. L’abbé Moussinot. (7 ou 8 février.) — « Je vous demande en grâce. »
C.
1065. L’abbé Moussinot. 8 février. — « Je vous adresse cette lettre. »
C.
1066. Le chancelier d’Aguesseau. Cirey, 11 février 1739. — « Je commence par vous demander. »
B., et C. et F. (Suppl.)
1067. Thieriot. Cirey, 12 février. — « M. de Maupertuis m’envoie. »
B.
1068. L’abbé Moussinot. Ce 12 février. — « Quand toute cette affaire de Desfontaines. »
C.
1069. Le comte d’Argental. 12 février. — « Au nom de Dieu, rendez-moi à mes études. »
B.
1070. Le comte d’Argental. Ce 14 février. — « Il faut mêles pardonner. »
C. et F.
1071. Frédéric, prince royal de Prusse. À Cirey, le 15 février. — « J’ai reçu les étrennes. »
B.
1072. L’abbé Moussinot. Ce 16 février. — « Il faut donc solliciter puissamment. »
C.
1073. M. Berger. Cirey, 16 février. — « Je vous supplie, sitôt la présente reçue. »
B.
1074. Mlle Quinault. Ce 18 février. — « Je reçois, mademoiselle, votre lettre du 12. »
Éd. 1822..
1075. Helvétius. Ce 19 février. — « Si vous faites des lettres métaphysiques. »
B.
1076. Le comte d’ArgentaL Ce 20 février. — « Voici une troisième fournée. »
B.
1077. Le lieutenant général de police. Cirey, 20 février. — « Je ne puis empêcher que plusieurs gens de lettres. »
L. Led.
Requête du sieur de Voltaire.
1078. L’abbé Moussinot. Ce 21 février. — « C’est pour vous dire que j’ai reçu. »
C.
1079. Le lieutenant général de police. 21 février. — « Je suis assurément bien plus touché. »
L. Led.
1080. L’abbé Moussinot. Ce 22 février. — « Lettre que M. Moussinot fera voir à M. Bégon. »
C.
1081. L’abbé Moussinot. (24 février 1739.) — « Vous savez de quoi il est question. »
C.
1082. Helvétius. Cirey, 25 février. — « Mon cher ami, l’ami des Muses et de la vérité. »
B.
1083. L’abbé Moussinot. Ce 25 février. — « 207 livres 10 sous sont à donner. »
C.
1084. Cideville. Ce 25 février. — « Eh quoi ! malgré votre sagesse. »
B.
1085. M. Devaux. — « Je vous ai aimé depuis que je vous ai connu, »
B.
1086. Frédéric, prince royal de Prusse. À Cirey, le 26 février. — « Ô nouvelle effroyable ! »
B.
1087. Le comte d’Argental 27 février. — « Je vous envoie, mon cher ange gardien. »
B.
1088. M. Lévesque de Pouilly. À Cirey, le 27 février, — « Je n’ai aucun droit sur monsieur votre frère. »
B.
1089. L’abbé Moussinot. Ce 28 février. — « Je vous prie de donner cent livres. »
C.
1090. Frédéric, prince royal de Prusse. 28 février. — « Je reçois la lettre de Votre Altesse royale. »
B.
1091. Thieriot. Le 28 février. — « Je compte recevoir bientôt les livres. »
B.
1092. L’abbé Moussinot. À Cirey, ce 1er mars 1739. — « Je reçois votre lettre du 27. »
C.
1093. Le lieutenant général de police. Ce 2 mars. — « Permettez que je vous renouvelle. »
L. Led..
1094. M. Berger. Cirey, 6 mars. — « Je ne fais, dans l’afffaire de Desfontaines. »
B.
1095. L’abbé Moussinot. 7 mars. — « Vous m’annoncez de bonnes nouvelles. »
C.
1096. Cideville. Cirey, 7 mars. — « Vite un petit mot. »
B.
1097. Le marquis d’Argenson. Cirey, 7 mars 1739. — « Que direz-vous de moi ? »
B.
1098. Le comte d’Argental Ce 7 mars. — « Voilà donc votre oncle devenu un thrône. »
C. et F.
1099. Mlle Quinault. 7 mars, à Cirey. — « Thalie, qui gouvernez Melponème. »
Éd. 1822.
1100. Thieriot. Ce 7 mars. — « J’ai reçu aujourd’hui le ballet. »
B. et F.
1101. Mlle Quinault. Cirey, mars 1739. — « Voici, mademoiselle, le jeune homme. »
Éd. 1822
1102. L’abbé d’Olivet. Cirey, nonis martis. — « Elegans et sapiens Olvete. »
B.
1103. De Frédéric. 8 mars. — « Mon cher ami, depuis la dernière lettre. »
Pr.
1104. Le prince Antiochus Cantemir. — « J’ai à Votre Altesse bien des obligations. »
Bull, bibl.
1105. M***. Ce 13 mars 1739. — « La lettre, ou plutôt l’ouvrage. »
B.
1106. L’abbé Moussinot. Ce 14 mars. — « J’attends cette lettre de M. Dénia »
B.
1107. Helvétius. Cirey, 14 mars. — « Vous êtes une bien aimable créature. »
B.
1108. L’abbé Moussinot. Du 19 mars. — « Voici mon certificat de vie. »
C.
1109. Le lieutenant général de police. Ce 20 mars. — « Je vous ai toujours conjuré. »
L. Led.
1110. L’abbé Moussinot. Ce 21 mars. — « Avez-vous eu la bonté. »
C.
1111. Helvétius. Cirey, 21 mars. — « Ce que j’apprends est-il possible. »
B.
1112. De Frédéric. 22 mars. — « Je me suis trop pressé. »
Pr.
1113. Le marquis d’Argenson. 24 mars 1739. — « J’envoie sous le couvert de monsieur votre frère. »
B.
1114. Thieriot. Le 24 mars. — « Un des meilleurs géomètres de l’univers. »
B.
1115. L’abbé Moussinot. 25 mars. — « À propos, ne montrez point mes lettres. »
B.
1116. Mlle Quinault. Cirey, 26 mars. — « Je suis pénétré de vos bontés. »
Éd. 1822.
1117. Prault. 26 … — « Faites-vous imprimer la Henriade ? »
C. et F.
1118. Thieriot. Cirey, 26 mars. — « Je vous prie de me déterrer
B. et F.
1119. L’abbé Moussinot. Ce 27 mars. — « S’il est vrai qu’on instrumente. »
C.
1120. M. Berger. Cirey, le 29 mars. — « Je viens d’écrire à M. Fallu. »
B.
1121. Le comte d’Argental. 2 avril 1739. — « J’aime encore mieux succomber. »
B.
1122. La marquise du Châtelet au comte d’Argental. — Mme de Champbonin est arrivée. »
Édit. Asse.
1123. Helvétius. Ce 2 avril. — « Mon cher confrère en Apollon. »
B.
1124. L’abbé Moussinot. Ce 3 avril. — « J’ai d’abord à vous dire. »
C.
1125. Thieriot. Cirey, 3 avril. — « Plus de Langage des bêtes. »
B.
1126. Cideville. À Cirey, ce 3 avril. — « Je vous remercie d’un des plus grands plaisirs. »
B.
1127. M. de La Noue. À Cirey, 3 avril 1739. — « Votre belle tragédie est arrivée. »
B.
1128. Déclaration de l’abbé Desfontaines remise à M. Hérault. 4 avril. — « Je déclare que je ne suis pas l’auteur. »
B.
1129. Mme du Châtelet au comte d’Argental. 6 avril 1739. — « Ce qu’on exige de nous nous tourne la tête. »
Edit. Asse.
1130. L’abbé Moussinot. Ce 6 avril. — « Je vous prie d’envoyer 150 livres. »
C.
1131. Mme du Châtelet au comte d’Argental. 10 avril 1739. — « Enfin M. d’Argenson nous rend la vie. »
Edit. Asse.
1132. Le comte d’Argental. — « Eh bien, saint Michel, vous écrasez donc. »
C. et F.
1133. Thieriot. À Cirey, le 13 avril. — « Ma santé est toujours bien mauvaise. »
B.
1134. M. Lefranc. À Cirey, le 14 avril. — « Vous me faisiez des faveurs. »
B.
1135. Frédéric, prince royal de Prusse. À Cirey, le 15 avril. — « En attendant votre Nisus et Euryale. »
B.
1136. De Frédéric. 15 avril. — « J’ai été sensiblement attendri. »
Pr.
1137. Le marquis d’Argenson. Le 10 avril. — « J’apprends avec bien du chagrin. »
B.
1138. Le prince Antiochus Cantemir. À Cirey, ce 19 avril. — « J’apprends avec chagrin que l’édition. »
Bull. bibl.
1139. Mlle Quinault. Cirey, le 19 avril. — « J’abuse de votre patience. »
Éd. 1822.
1140. Thieriot. — « Pour le portrait de Mlle Lecouvreur. »
C. et F.
1141. Thieriot. Ce 20… — « Je n’ai que le temps. »
B. et F.
1142. L’abbé Moussinot. Ce 20 avril 1739. — « Je vous prie de joindre à l’envoi. »
C.
1143. Le comte d’Argental. Le 21 avril. — « Vous me donnerez donc le temps. »
C. et F.
1144. Thieriot. Cirey, le 23 avril. — « Je reçois le 21 une lettre de vous. »
B.
1145. L’abbé Moussinot. Ce 25 avril. — « Je reçois votre lettre du 24 avril. »
C.
1146. Frédéric, prince royal de Prusse. À Cirey, le 25 d’avril. — « J’ai donc l’honneur d’envoyer. »
B.
1147. M. Berger. À Cirey. — « Que ma négligence ne vous rebute point. »
B.
1148. Mme du Châtelet au comte d’Argental. 27 avril 1739. — « Vous nous rendez la vie. »
Édit. Asse.
1149. Helvétius. Ce 29 avril. — « J’ai reçu de vous une lettre sans date. »
B.
1150. M. de Saint-Hyacinthe à M. de Burigny. 2 mai 1739. — « Je vous renvoie le manuscrit. »
B.
1151. Déclaration de Voltaire remise à M. Hérault. — « J’ai toujours désavoué. »
Desx.
1152. Le marquis d’Argenson. Le 2 mai. — « Je ne sais pas pourquoi. »
B.
1153. Le président Bouhier. Cirey, pridie nonas (6 mai). — « Tibi gratias ago. »
B.
1154. La marquise du Châtelet au comte d’Argental. 7 mai 1739. — « Je vais monter en carrosse dans une demi-heure. »
Edit. Asse.
1155. Thieriot. Cirey, le 7 mai 1739. — « Je pars demain ou après demain. »
B.
1156. M. Berger. Cirey, le 7 mai. — « Nous partons demain. »
B.
1157. Le marquis d’Argenson. À Cirey, ce 8 mai (en partant). — « La Providence m’a fait rester. »
B.
1158. Le lieutenant général de police. — « Je comptais passer par Paris. »
L. Led
1159. De Frédéric. 16 mai. — « J’ai reçu deux de vos lettres. »
Pr.
1160. De Frédéric. Mai. — « Je n’ai qu’un moment à moi. »
Pr.
1161. Frédéric, prince royal de Prusse. À Louvain, ce 30 mai. — « En partant de Bruxelles. »
B.
1162. Frédéric, prince royal de Prusse. Mai. — « Votre Altesse royale prend le parti. »
B.
1163. Mme du Châtelet au comte d’Argental. 1er juin 1739. — « Nous voilà en Flandre. »
Édit. Asse.
1164. Le lieutenant général de police. — « Je ne puis m’empêcher encore de saisir cette nouvelle occasion. »
L. Led.
1165. Mme de Champbonin. De Beringen, juin. — « Mon aimable gros chat. »
B.
1166. Le marquis d’Argenson. À Beringen, ce 4 juin. — « Je reçois la lettre dont Votre Excellence. »
B.
1167. Frédéric, prince royal de Prusse. De Bruxelles. — « En revenant de ces tristes terres. »
B.
1168. M. Berger. Bruxelles, le 17 juin. — « J’ai fait mille tours. »
B.
1169. Le marquis d’Argens. À Bruxelles, 21 juin 1739. — « Je reçois dans une ville voisine. »
B.
1170. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 21 juin. — « Je viens de lire un ouvrage. »
B.
1171. De Frédéric. 26 juin. — « Je souhaiterais beaucoup que votre étoile. »
Pr.
1172. Le marquis d’Argens. Bruxelles, ce 27 juin. — « Si mes sentiments décidaient. »
C. et F.
1173. Le comte d’Argental. Bruxelles, 28 juin. — « Quand je serais en Laponie. »
C. et F.
1174. M. Berger. À Bruxelles. — « Je reçois vos lettres du 25. »
B.
1175. Thieriot. Enghien, le 30 juin. — « Vous devriez bien me mander. »
B.
1176. Le marquis d’Argens. À Bruxelles, 4 juillet 1739. — « Mon cher marquis philosophe, quelle étoile.
C. et F.
1177. Helvétius. À Enghien, ce 6 juillet. — « Je vois que je vous avais écrit. »
B.
1178. De Frédéric. 7 juillet. — « J’ai reçu l’ingénieux Voyage. »
Pr.
1179. L’abbé Moussinot. À Enghien, près de Bruxelles (ce 9 juillet). — « Mon cher abbé, j’aurai donc le plaisir. »
C.
1180. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles. — « Émilie et moi chétif. »
B.
1181. Le marquis d’Argens. À Enghien, ce 10 juillet. — » Je suis encore à Enghien. »
C. et F.
1182. Le marquis d’Argens. À Bruxelles, ce 18 juillet. — « Êtes-vous parti ? »
B.
1183. Prault. À Bruxelles, 21 juillet. « Depuis que J’ai vu la nouvelle édition. »
C. et F.
1184. Mlle Quinault. Bruxelles, 27 juillet 1739. — « On m’a apporté de Paris. »
Éd. 1822.
1185. De Frédéric. 27 juillet. — « Nous voici enfin arrivés. »
Pr.
1186. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, 28 juillet. — « Un Suisse passant par Bruxelles. »
B.
1187. De Frédéric. 9 août 1739. — « Sublime auteur, ami charmant. »
Pr.
1188. Frédéric, prince royal de Prusse. (Bruxelles), 12 août. — « J’ai pris la liberté d’envoyer. »
B.
1189. De Frédéric. 15 août. — « Enfin, hors du piège trompeur. »
Pr.
1190. Le marquis d’Argenson. Bruxelles, 17 août. — « Il y a plus de quinze jours. »
C. et F.
1191. Thieriot. Bruxelles. 17-18 août. — « Enfin nous partons pour Paris. »
B.
1192. Mme de Champbonin. De Cambrai. — « Mon cher gros chat est dans sa gouttière. »
B.
1193. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles. 1er septembre 1739. — « Ce nectar jaune de Hongrie. »
B.
1194. M. César du Missy. — « J’ai lu avec un plaisir bien vif. »
B.
1195. Cideville. À Paris, le 5 septembre. — « Je suis bien coupable. »
B.
1196. Mlle Quinault. À l’hôtel de Richelieu, samedi, septembre 1739. — « Adorable Thalie, j’ai une pièce de résistance. »
Éd. 1822.
1197. De Frédéric. 9 septembre. — « J’ai reçu deux de vos lettres. »
Pr.
1198. Helvétius. Septembre. — « J’ai trop de remerciements. »
C. et F.
1199. L’abbé Du Resnel. 1739. — « Je suis aux ordres de la beauté. »
B.
1200. Frédéric, prince royal de Prusse. Paris, septembre. — « J’ai reçu à Paris les deux plus grandes consolations. »
B.
1201. Mlle Quinault. Paris, septembre 1739. — « Je n’ai pas trois semaines à rester ici. »
Éd. 1822.
1202. Cideville. Ce 26 septembre. — « Tibulle de la Normandie. »
B.
1203. M. ***. Paris, 26 septembre. — « Malgré votre prodigieuse indifférence. »
B. et F.
1204. Mme de Champbonin. De Paris. — « Paris est un gouffre. »
B.
1205. Helvétius. À Paris, le 3 octobre 1739. — « Mon jeune Apollon, j’ai reçu. »
B.
1206. L’abbé Du Resnel. Ce mercredi, à l’hôtel de Brie. — « L’abbé de Voisenon me mande. »
B.
1207. De Frédéric. 10 octobre. — « J’avais cru avec le public. »
Pr.
1208. Du baron de Keyserlingk. — « Quoique rien ne saurait être ajouté. »
Pr.
1209. Cideville. À Paris, 11 octobre. — « Je tombai malade le jour même. »
B.
Réponse de Cideville au bas de la lettre.
1210. Cideville. À Paris, ce jeudi 15 octobre. — « Voici un jeune homme qui fait des vers. »
B.
1211. À M. l’envoyé de ***. À Paris, le 18 octobre. — « J’avais peur, monsieur, qu’il n’entrât trop d’amour-propre. »
C. et F.
1212. Frédéric, prince royal de Prusse. De Paris, le 18 octobre. — « Je renvoie à Votre Altesse royale. »
B.
1213. Mlle Quinault. Paris, 19 octobre. — « Je me sers plus, mademoiselle, d’une plume que d’un crayon. »
Éd. 1822.
1214. Frédéric, prince royal de Prusse. Paris, novembre 1739. — « Brûlez votre vaisseau, vagabond Baltimore. »
B.
1215. De Frédéric. 6 de novembre. — « J’ai été aussi mortifié de l’état infirme. »
Pr.
1216. Pont-de-Veyle. Ce 16 de novembre en courant. — « Huc quoque clara tui pervenit. »
B.
1217. De Frédéric. 4 décembre 1739. — « Vous me promettez votre nouvelle tragédie. »
Pr.
1218. Le lieutenant général de police. Rethel. — « En quelques pays du monde que je sois. »
L. Led.
1219. L’abbé Moussinot. Ce 26 décembre. — « Eh bien, mon cher ami, vous avez donc employé. »
C.
1220. Frédéric, prince royal de Prusse. (Bruxelles), 28 décembre 1739. — « Que souhaiter à Votre Altesse royale, cette année ? »
B.
1740
1221. Pitot de Launai. 2 janvier 1740. — « Mon cher philosophe, je vous remercie. »
B.
1222. Mlle Quinault. Bruxelles, ce 5 janvier. — « Pendant que Vert-Vert joint ses lauriers. »
Éd. 1822.
1223. Helvétius. 5 janvier. — « Je vous salue au nom d’Apollon. »
B.
1224. De Frédéric. 6 janvier. — « Si j’ai différé de vous écrire. »
Pr.
1225. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 8 janvier. — «Vous m’allez croire un paresseux. »
B.
1226. L’abbé Moussinot. Ce 9 janvier. — « Je reçois votre lettre du 6. »
C.
1227. Cideville. À Bruxelles, ce 9 janvier. — « Depuis le moment où vous m’apparûtes à Paris. »
B.
1228. De Frédéric. 10 janvier. — « Pour avoir illustré la France. »
Pr.
1229. L’abbé Moussinot. Ce 12 janvier. — « Je reçois votre lettre du 10. »
C.
1230. De l’abbé Prévost. Le 15 janvier. — « Je souhaiterais extrêmement. »
B.
1231. Helvétius. À Bruxelles, ce 19 — « Eh bien, nous n’entendrons donc parler de vous. »
B. et F. (App. 1865).
1232. Helvétius. Bruxelles, 24 janvier. — « Ne les verrai-je point, ces beaux vers. »
B.
1233. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles, le 26 janvier. — « J’ai reçu vos chapitres de l’Anti-Machiavel »
B.
1234. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, le 26 janvier. — « Les infamies de tant de gens de lettres. »
B.
1235. Le comte d’Argental. Ce 29 janvier. — « Je suis absolument de l’avis. »
B.
1236. Le comte d’Argental. 1er février 1740. — « Mes anges, je suis près quelquefois. »
C. et F.
1237. Le comte d’Argental. 2 février — « C’est moi qui me donne aujourd’hui. »
B.
1238. De Frédéric. 3 février. — « Je vous aurais répondu plus tôt. »
Pr.
1239. Mlle Quinault. Ce 4 février, à Bruxelles. — « Dans l’instant que je recevais. »
Éd. 1822.
1240. Le comte d’Argental. Ce 16. — « Mes anges sont des dieux. »
B.
1241. Mlle Quinault. Bruxelles, ce 16 février. — « J’écris, mademoiselle, par cette poste. »
Éd. 1822.
1242. Mlle Quinault. À Bruxelles, rue de la Grosse-Tour, ce 17 février. — « J’avais eu l’honneur de répondre. »
Éd. 1822.
1243. L’abbé Moussinot. Ce 21 février. — « Voici un petit mot de lettre. »
C.
1244. Frédéric, prince royal de Prusse. Le 23 février. — « Je ne reçus que le 20 le paquet. »
B.
1245. Le comte d’Argental. 25. — « Mon cher ange saura que j’ai reçu. »
B.
1246. De Frédéric. 26 février. — « Je ne puis répondre qu’en deux mots. »
Pr.
1247. M. Falkener. Bruxelles, ce 2 mars 1740. — « Dear sir, I take the liberty. »
C. et F.
1248. À M. le président Hénault, le favori des Muses. Bruxelles, ce 2 mars. — « Quand à la ville un solitaire envoie. »
B.
1249. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles, le 10 mars. — « Quoi ! tout prêt à tenir les rênes d’un empire. »
B.
1250. Mlle Quinault. Bruxelles, ce 11 mars. — « Je n’ai voulu avoir l’honneur de vous répondre. »
Éd. 1822.
1251. Le comte d’Argental. Le 12 mars. — « Je fis partir hier, à l’adresse fe votre frère. »
B.
1252. Frédéric, prince royal de Prusse. Mars. — « Monseigneur, il nous arrive dans le moment une écritoire. »
B.
1253. De Frédéric. 18 mars. — « Vous m’avez obligé véritablement. »
Pr.
1254. De Frédéric. 23 mars. — « Ne crains point que les dieux, ni le sort, ni l’empire. »
Pr.
1255. Helvétius. À Bruxelles, ce 24 mars. — « Je vous renvoie le manuscrit. »
B.
1256. L’abbé Moussinot. 26 mars. — « On m’a envoyé par la poste. »
C.
1257. Gresset. Bruxelles, 28 mars. — « Vous êtes, monsieur, comme cet Atticus. »
C. et F. (Suppl.)
1258. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 30 mars. — « C’est une chose plaisante que la tracasserie. »
B.
1259. Le comte d’Argental. Mars. — « Ange de paix, eh bien ! comment trouvez-vous donc ? »
B.
1260. Formont. À Bruxelles, 1er avril 1740. — « Vous voilà dans l’heureux pays. »
B.
1261. Le comte d’Argental. À Bruxelles, ce 1er avril. — « Plus ange gardien que jamais. »
B.
1262. Milord Hervey, garde des sceaux d’Angleterre. — « Je fais compliment à votre nation. »
B.
1263. Pitot de Launai. À Bruxelles, ce 5 d’avril. — « Je vous fais mon compliment. »
B.
1264. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles, le 6 avril. — « J’ai reçu le paquet du 18 mars. »
B.
1265. De Frédéric. 15 avril. — « Votre Dévote est venue le plus à propos du monde. »
Pr.
1266. Frédéric, prince royal de Prusse. (Bruxelles), avril. — « Votre idée m’occupe le jour et la nuit. »
B.
1267. Cideville. À Bruxelles, ce 25 avril, — « Voulez-vous savoir, mon charmant ami. »
B.
1268. M. Berger. Le 26 avril. — « Si vous êtes curieux d’avoir Pandore. »
B.
1269. De Frédéric. 26 avril. — « Les galions de Bruxelles. »
Pr.
1270. De Frédéric. 3 mai 1740. — « Il faut avouer que vos rêves. »
Pr.
1271. Frédéric, prince royal de Prusse. — « On vous dit à Ruppin rendu. »
B.
1272. Cideville. À Bruxelles, ce 5 mai 1740. — « Un ballot est parti, mon cher ami. »
B.
1273. M. Berger. — « C’est que je suis le plus distrait. »
B.
1274. De Frédéric. 18 mai. — « Je vois dans vos discours la puissante évidence. »
Pr.
1275. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, le 21 mai. — « Les petits hommages que je vous dois. »
B.
1276. Mlle Quinault. À Bruxelles, ce 23. — « J’ai reçu aujourd’hui à cinq heures du soir. »
Éd. 1822
1277. Mme de Champbonin. De Bruxelles. — « Mon cher ami gros chat vous vous divertissez. »
B.
1278. M. Bernard. Bruxelles, le 27 mai. — « Le secrétaire de l’Amour est donc. »
B.
1279. L’abbé Moussinot. À Bruxelles, 30 mai. — « Je vous prie de me renvoyer la lettre. »
C.
1280. Frédéric, prince royal de Prusse. (Bruxelles), 1er juin 1740. — « Ma destinée est de devoir. »
B.
1281. Van Duren. À Bruxelles, le 1er juin. — " Vous m’avez envoyé les vers latins. »
B.
1282. Mlle Quinault. À Bruxelles, ce 3 juin. — « Si vous avez une petite bibliothèque. »
Éd. 1822.
1283. L’abbé Moussinot, (3 ou 4 juin.) — « Je vous prie de dire à Mme Dubreuil. »
C.
1284. Frédéric, prince royal de Prusse. À Bruxelles. — « Lorsque autrefois notre bon Prométhée. »
B.
1285. Van Duren. À Bruxelles, ce 5 juin. — « Il est nécessaire que vous me fassiez. »
B.
1286. De Frédéric II, roi de Prusse. 6 juin. — « Mon sort est changé, et j’ai assiste. »
Pr.
1287. L’abbé Moussinot. Ce 7 juin. — « J’ai reçu votre lettre des mains de Boulanger. »
C.
1288. L’abbé de Valori. Bruxelles, 12 juin. — « Si l’amitié ne me retenait à Bruxelles. »
B.
1289. Le comte d’Argental. 12 juin. — « Vous savez que je n’ai jamais espéré. »
B.
1290. De Frédéric. 12 juin. — « Non. ce n’est plus du mont Rémus. »
Pr.
1291. Van Duren. À Bruxelles, 13 juin. — « Je crois que vous trouverez bon. »
B.
1292. Van Duren. À Bruxelles, le 15 juin. — « Je vous envoie aujourd’hui. »
B.
1293. Mlle Quinault. Ce 17 juin, à Bruxelles. — « Vous saurez que ce grand garçon aussi étourdi. »
Éd. 1822.
1294. Frédéric II, roi de Prusse. 18 juin. — « Sire, si votre sort est changé. »
B.
1295. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, le 18 juin. — « Si j’avais l’honneur d’être auprès. »
B.
1296. Van Duren. Le 19 juin. — « J’ai reçu votre lettre du 12. »
B.
1297. Maupertuis. À Bruxelles, le 22 juin. — « Les grands hommes sont mes rois. »
B.
1298. Van Duren. À Bruxelles, 23 juin. — « Voici les xxiie et xxiiie chapitres. »
B.
1299. De Frédéric. 24 juin. — « Celui qui vous rendra cette lettre de ma part. »
Pr.
1300. Le comte d’Argental. Ce 24 de juin. — « Zulime est faite pour mon malheur. »
B.
1301. L’abbé Prévost. Bruxelles, juin. — « Arnauld fit autrefois l’apologie de Boileau. »
B.
1302. Van Duren. À Bruxelles, rue de la Grosse-Tour, ce 27 juin. — « Je reçois votre lettre du 24. »
B.
1303. De Frédéric. 27 juin. — « Vos lettres me font toujours un plaisir infini. »
Pr.
1304. Cideville. À Bruxelles, ce 28 de juin. « Eh bien… avez-vous reçu le paquet T ? »
B.
1305. M. Berger. Bruxelles, le 29 juin. — « Je ne souhaite point du tout. »
B.
1306. Maupertuis. Bruxelles, 29 juin. — « M. S’Gravesande voudrait bien savoir. »
B.
1307. Frédéric II, roi de Prusse. Bruxelles, juin. — « Hier vinrent pour mon bonheur. »
B.
1308. Mme de Champbonin. De Bruxelles, juin. — « Si je n’espérais pas vous revoir encore. »
B.
1309. Maupertuis. Bruxelles, le 1er juillet 1740. — « Le roi de Prusse me mande. »
B.
1310. Van Duren. À Bruxelles, ce 3 juillet au soir. — « Je vous accuse la réception »
B.
1311. Mlle Quinault. À Bruxelles, 3 juillet. — « Je reçois aujourd’hui votre lettre du 29 »
Éd. 1822.
1312. Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 6 juillet. — « Il n’est pas juste que je laisse partir. »
C. et F.
1313. Van Duren. Bruxelles, 8 juillet. — « Voilà qui va bien, monsieur. »
B.
1314. Van Duren. À Bruxelles, 10 juillet. — « Je reçois votre lettre. »
B.
1315. Pont-de-Veyle. Ce lundi, 11 de juillet. — « Humbles remontrances. »
B.
1316. L’abbé Moussinot. Ce 12 juillet. — « Je reçois votre lettre du 9. »
B.
1317. Le comte d’Argental. À Bruxelles, le 12 de juillet. — « Jamais ange gardien n’a plus travaillé. »
B.
1318. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, le 20 juillet. — « Tandis que Votre Majesté. »
B.
1319. Maupertuis. À la Haye, ce 21 juillet. — « Vous voilà comme le Messie. »
B.
1320. Maupertuis. La Haye, le 24 juillet. — « Comme je resterai à la Haye. »
B.
1321. Frédéric II. roi de Prusse. À la Haye. — « Sire, dans cette troisième lettre. »
B.
1322. De Frédéric. 29 juillet. — « Des voyageurs qui reviennent. »
Pr.
1323. M. Berger. 1740. — « En revenant de la Haye…, j’ai trouvé. »
B.
1324. De Frédéric. 5 août 1740. — « J’ai reçu trois de vos lettres dans un jour.»
Pr.
1325. De Frédéric. 6 août. — « Je me conforme entièrement à vos sentiments. »
Pr.
1326. Thieriot. À Bruxelles, le 6 d’août. — « Comme je ne connais aucun cérémonial. »
B.
1327. De Frédéric. 8 août. — « Je crois que Van Duren vous coûte. »
Pr.
1328. Maupertuis. À Bruxelles, le 9 août. — « Je crois vous avoir mandé. »
B.
1329. L’abbé Moussinot. Ce 14 auguste. — « Depuis ma lettre écrite. »
C.
1330. L’abbé Moussinot. À Bruxelles, 18 auguste. — « Je vous parlais du temporel. »
C.
1331. Le président Hénault. À Bruxelles, le 20 d’août. — « Rien ne m’a tant flatté. »
B.
1332. La Noue, directeur de la Comédie, à Douai. À Bruxelles, ce 20 août. — « Il y a longtemps qu’une parfaite estime. »
B.
1333. Le comte de Caylus. Bruxelles, le 21 août. — « J’ai reçu l’ambulante Bibliothèque orientale. »
B.
1334. Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, le 22 août. — « Ce sera donc un nouveau Salomon. »
B.
1335. Thieriot. 22 août. — « La bibliothèque hébraïque et chaldéenne. »
C. et F.
1336. Le marquis d’Argens. À la Haye, août. — « Votre livre de philosophie. »
C. et F.
1337. Maupertuis. À Bruxelles, le 29 d’août, la troisième année depuis la terre aplatie. — « Comment diable vouliez-vous ? »
B.
1338. Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, le 1er septembre 1740. — « Sire, mon roi est à Clèves. »
B.
1339. L’abbé Moussinot. 2 septembre. — « Nous nous recommandons à vos bontés. »
C.
1340. De Frédéric. 2 septembre. — « J’ai reçu à mon arrivée trois lettres. »
Pr.
1341. De Frédéric. 5 septembre. — « De votre passeport muni. »
Pr.
1342. De Frédéric. 6 septembre. — « Il faut, malgré que j’en aie. »
Pr.
1343. Le maréchal de Schulenbourg, général des Vénitiens. À la Haye, le 15 septembre 1740. — « J’ai reçu par un courrier de M. l’ambassadeur. »
B.
1344. De Frédéric. Septembre. — « Tu naquis pour la liberté. »
Pr.
1345. Le comte d’Argental. Sur le chemin de Rotterdam, ce 15 septembre. — « J’ai peur, mon cher ange gardien. »
C. et F.
1346. Maupertuis. À la Haye, ce 18 septembre. — « Je vous sers plus tôt que je ne vous l’avais promis. »
B.
1347. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, ce 22 septembre. — « Oui, le monarque-prêtre est toujours en santé. »
B.
1348. Thieriot. À la Haye, ce 29 septembre. — « Je n’ai que le temps. »
C. et F.
1349. L’abbé Moussinot. Septembre. — « Je vous prie instamment, mon cher abbé. »
C.
1350. Le marquis d’Argens. À la Haye, le 2 d’octobre 1740. — « Mon cher ami, donc l’imagination et la probité. »
B.
1351. De Frédéric. Octobre. — « Je suis honteux de vous devoir trois lettres. »
Pr.
1352. M. Cyrille Le Petit, pasteur de l’Église catholique française. À la Haye, ce 3 octobre. — « Vous faites sans doute votre devoir. »
C. et F.
1353. Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, 7 octobre. — « J’oubliai de mettre dans mon dernier paquet. »
B.
1354. L’abbé Moussinot. À la Haye, 7 octobre 1740. — « Je n’ai qu’un mot à dire. »
C.
1355. De Frédéric. 7 octobre. — « L’amant favori d’Uranie. »
Pr.
1356. Thieriot. À la Haye, ce 9 octobre. — « Voici de la graine des Périclès. »
B. et F.
1357. M***. La Haye. — « Soyez très sûr que j’ai sondé le terrain. »
B.
1358. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, le 12 octobre. — « Sire, Votre Majesté est d’abord suppliée. »
B.
1359. De Frédéric. 12 octobre. — « Enfin, je puis me flatter de vous voir ici. »
Pr.
1360. Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Sire, Votre Humanité ne recevra point. »
B.
1361. Thieriot. À la Haye. Octobre. — « Je reçois votre lettre. »
B.
1362. L’abbé Moussinot. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 14 octobre. — « Je reçois votre lettre. »
C.
1363. Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, le 17 octobre. — « Bientôt à Berlin vous l’aurez. »
B.
Addition à cette lettre d’après C. et F.
1364. Le maréchal de Broglie. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 17 octobre. — « Il m’est venu trouver ici un jeune homme. »
B.
1365. M. de Champflour père. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 18 d’octobre. — « Quoique je n’aie pas l’honneur d’être connu. »
B.
1366. M. de Camas, ambassadeur du roi de Prusse. À la Haye, ce 18 d’octobre. — « Les jansénistes disent qu’il y a des commandements de Dieu. »
B.
1367. Cideville. À la Haye, au palais du roi de Prusse, le 18 d’octobre. — « Voici mon cas, mon très-aimable Cideville. »
B.
1368. De Frédéric. 21 octobre. — « Je vous suis mille fois obligé. »
Pr.
1369. Maupertuis. À la Haye, ce 25 octobre. — « Celui qui vous rendra cette lettre. »
C. et F.
1370. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, le 25 octobre. — « Ombre aimable, charmant espoir. »
B.
1371. De Frédéric. 26 octobre. — « L’événement le moins prévu du monde. »
Pr.
1372. Helvétius. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 27 d’octobre. — « Mon cher et jeune Apollon. »
C.
1373. Le président Hénault. La Haye, ce 31 octobre. — « Si le roi de Prusse était venu à Paris. »
B.
1374. Le cardinal de Fleury. À la Haye, le 4 novembre 1740. — « Je ne peux résister aux ordres réitérés. »
B.
1375. Thieriot. À Utrecht, novembre. — « M. Dumolard, que vous m’aviez recommandé. »
C. et F.
1376. De Frédéric. novembre. — « Ton Apollon te fait voler au ciel. »
Pr.
1377. Frédéric II, roi de Prusse. À Herford, le 11 novembre. — « Dans un chemin creux et glissant, »
B.
1378. Du cardinal de Fleury. 14 novembre. — « Je reçois dans le moment. »
B.
1379. Thieriot. Remusberg, 24 novembre. — « J’ai reçu, mon cher monsieur, votre lettre du 7. »
P. in. 1820.
1380. Le cardinal de Fleury. À Berlin, le 26 de novembre. — « J’ai reçu, monseigneur, votre lettre du 14. »
B.
1381. Frédéric II, roi de Prusse. À Berlin, ce 28 novembre. — « Puisque Votre Humanité aime la petite écriture. »
B.
1382. Maupertuis. Potsdam, décembre 1740. — « Mon cher hibou de philosophe errant. »
B.
1383. Frédéric II, roi de Prusse. Berlin, 2 décembre. — « Je vous quitte, il est vrai, mais mon cœur déchiré. »
B.
1384. Maupertuis. Potsdam, décembre. — « Étant obligé de quitter les rois »
B.
1385. Thieriot. 4 décembre. — « Pour vous rafraîchir, pourriez-vous porter. »
C. et F.
1386. Frédéric II, roi de Prusse. À quatre lieues par delà Wesel, ce 6 décembre. — « Ô détestable Westphalie ! »
B.
1387. Frédéric II, roi de Prusse. Cléves, ce 15 décembre 1740. — » Grand roi, je vous l’avais prédit. »
B.
1388. De Frédéric. 23 décembre. — « J’ai reçu deux de vos lettres. »
Rp.
1389. Frédéric II, roi de Prusse. Rotterdam, décembre. — « Je ressemble à présent aux pèlerins de la Mecque. »
B.
1390. Thieriot. Jour de Noël. — « Montrez, je vous prie, à M. l’abbé de Rothelin. »
B.
1391. M. de Champflour père. À la Haye, ce 27 décembre. — « J’ai trouvé à la Haye, monsieur, une lettre. »
B.
1392. Frédéric II, roi de Prusse. Dans un vaisseau, sur les côtes de Zélande, ce dernier décembre 1740. — « Vous en souviendrez-vous, grand homme que vous êtes. »
B.
1393. Thieriot. 1740. — « Voici une lettre pour M. D***. »
P. in. 1820.