Livre:Sand - Histoire de ma vie tomes 5a9 1855 Gerhard.djvu

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TitreHistoire de ma vie Voir l'entité sur Wikidata
Volume5 à 9
AuteurGeorge Sand Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionWolfgang Gerhard
Lieu d’éditionLeipzig
Année d’édition1855
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Sérietomes 1-4, tomes 5-9, tomes 10-13

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TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)



TOME CINQUIÈME.


CHAPITRE TROISIÈME.

Rose et Julie. — Diplomatie maternelle de ma grand’mère. — Je retrouve mon chez nous. — L’intérieur de mon grand-oncle. — Voir, c’est avoir. — Les dîners fins de mon grand-oncle, ses tabatières. — Mme de la Marlière. — Mme de Pardaillan. — Mme de Béranger et sa perruque. — Mme de Ferrières et ses beaux bras. — Mme de Maleteste et son chien. — Les abbés. — Premiers symptômes d’un penchant à l’observation. — Les cinq générations de la rue de Grammont. — Le bal d’enfans. — La fausse grâce. — Les talons rouges littéraires de nos jours.

CHAPITRE QUATRIÈME.

Idée d’une loi morale réglementaire des affections. — Retour à Nohant. — Année de bonheur. — Apologie de la puissance impériale. — Commencemens de trahison. — Propos et calomnies des salons. — Première communion de mon frère. — Notre vieux curé ; sa gouvernante. — Ses sermons. — Son voleur, sa jument. — Sa mort. — Les méfaits de l’enfance. — Le faux Deschartres. — La dévotion de ma mère. — J’apprends le français et le latin.

CHAPITRE CINQUIÈME.

Tyrannie et faiblesse de Deschartres. — Le menuet de Fischer. — Le livre magique. — Nous évoquons le diable. — Le chercheur de tendresse. — Les premières amours de mon frère. — Pauline. — M. Gogault et M. Loubens. — Les talens d’agrément. — Le maréchal Maison. — L’appartement de la rue Thiroux. — Grande tristesse à 7 ans, en prévision du mariage. — Départ de l’armée pour la campagne de Russie. — Nohant. — Ursule et ses sœurs. — Effet du jeu sur moi. — Mes vieux amis. — Système de guerre du czar Alexandre. — Moscou.

CHAPITRE SIXIÈME

L’armée et l’empereur perdus pendant quinze jours. — Vision. — Un mot de l’empereur sur mon père. — Les prisonniers allemands. — Les Tyroliennes. — Séparation d’avec Ursule. — Le tutoiement. — Le grand lit jaune. — La tombe de mon père. — Les jolis mots de M. de Talleyrand. — La politique des vieilles comtesses. — Un enfant patriote. — Autre vision. — Mme de Béranger et ma mère. — Les soldats affamés en Sologne. — L’aubergiste jacobin. — Maladie de ma grand’mère. — Mme de Béranger dévaste notre jardin. — Le corset. — Lorette de Béranger. — Entrée des alliés à Paris. — Opinion de ma grand’mère sur les Bourbons. — Le boulet de canon. — Les belles dames et les Cosaques.

CHAPITRE SEPTIÈME.

La lutte domestique s’envenime. — Je commence à connaître le chagrin. — Discussion avec ma mère. — Mes prières, ses promesses, son départ.



TOME SIXIÈME.


CHAPITRE SEPTIÈME. (SUITE.)

Première nuit d’insomnie et de désespoir. — La chambre déserte. — Première déception. — Liset. — Projet romanesque. — Mon trésor. — Accident arrivé à ma grand’mère. — Je renonce à mon projet. — Ma grand’mère me néglige forcément. — Leçons de Deschartres. — La botanique. — Mon dédain pour ce qu’on m’enseigne.

CHAPITRE HUITIÈME.

Mes rapports avec mon frère. — Les ressemblances et les incompatibilités de nos caractères. — Violences de ma bonne. — Tendances morales que développe en moi cette tyrannie. — Ma grand’mère devient royaliste sans l’être. — Le portrait de l’empereur Alexandre. — Retour de l’île d’Elbe. — Nouvelles visions. — Ma mère revient à Nohant. — Je pardonne à ma bonne. — Le passage de l’armée de la Loire. — La cocarde du général Subervic. — Le général Colbert. — Comme quoi Nohant faillit être le foyer et le théâtre d’une Vendée patriotique. — Le licenciement. — Le colonel Sourd. — Les brigands de la Loire. — Les pêches de Deschartres. — Le régiment de mon père. — Visite de notre cousin. — Dévotion de Mme de la Marlière. — Départ de ma mère. — Départ de mon frère. — Solitude.

CHAPITRE NEUVIÈME.

Enseignement de l’histoire. — Je l’étudie comme un roman. — Je désapprends la musique avec un maître. — Premiers essais littéraires. — L’art et le sentiment. — Ma mère se moque de moi, et je renonce aux lettres. — Mon grand roman inédit. — Corambé. — Marie et Solange. — Plaisir le porcher. — Le fossé couvert. — Démogorgon. — Le temple mystérieux.

CHAPITRE DIXIÈME.

L’ambition de Liset. — Énergie et langueur de l’adolescence. — Les glaneuses. — Deschartres me rend communiste. — Il me dégoûte du latin. — Un orage pendant la fenaison. — La bête. — Histoire de l’enfant de chœur. — Les veillées des chanvreurs. — Les histoires du sacristain. — Les visions de mon frère. — Les beautés de l’hiver à la campagne. — Association fraternelle des preneurs d’alouettes. — Le roman de Corambé se passe du nécessaire. — La première communion. — Les comédiens de passage. — La messe et l’Opéra. Brigitte et Charles. — L’enfance ne passe pas pour tout le monde.

CHAPITRE ONZIÈME.

Récit d’une profonde douleur que tout le monde comprendra. — Mouvement de dépit. — Délation de Mlle Julie. — Pénitence et solitude. — Soirée d’automne à la porte d’une chaumière. — On me brise le cœur. — Je me raidis contre mon chagrin et deviens tout de bon un enfant terrible. — Je retrouve ma mère. — Déception. — J’entre au couvent des Anglaises. — Origine et aspect de ce monastère. — La supérieure. — Nouveau déchirement. — La mère Alippe. — Je commence à apprécier ma situation et je prends mon parti. — Claustration absolue.



TOME SEPTIÈME.


CHAPITRE ONZIÈME.

(SUITE.)

J’entre au couvent des Anglaises. — Origine et aspect de ce monastère. — La supérieure. — Nouveau déchirement. — La mère Alippe. — Je commence à apprécier ma situation et je prends mon parti. — Claustration absolue.

CHAPITRE DOUZIÈME.

Description du couvent. — La petite classe. — Malheur et tristesse des enfans. — Mademoiselle D***, maîtresse de classe. — Mary Eyre. — La mère Alippe. — Les limbes. — Le signe de la croix. — Les diables, les sages et les bêtes. — Mary G***. — Les escapades. — Isabelle C***. — Ses compositions bizarres. — Sophy C***. — Le secret du couvent. — Recherches et expéditions pour la délivrance de la victime. — Les souterrains. — L’impasse mystérieuse. — Promenade sur les toits. — Accident burlesque. — Whisky et les sœurs converses. — Le froid. — Je passe diable. — Mes relations avec les sages et les bêtes. — Mes jours de sortie. — Grand orage contre moi. — Ma correspondance surprise. — Je passe à la grande classe.

CHAPITRE DOUZIÈME. (SUITE.)

Louise et Valentine. — La marquise de la Rochejaquelein. — Ses mémoires. — Son salon. — Pierre Riallo. — Mes compagnes de la petite classe. — Héléna. — Facéties et bel esprit de couvent. — La comtesse et Jacquot. — Sœur Françoise. — Mme Eugénie. — Combat singulier avec Mlle D… — Le cabinet noir. — La séquestration. — Poulette. — Les nonnes. — Mme Monique. — Miss Fairbairns. — Mme Anne-Augustine et son ventre d’argent. — Mme Marie-Xavier. — Miss Hurst. — Mme Marie-Agnès. — Mme Anne-Josephe. — Les incapacités intellectuelles. — Mme Alicia. — Mon adoption. — Les conversations de l’avant-quart. — Sœur Thérèse. — La distillerie. — Les dames de chœur et les sœurs converses.

CHAPITRE TREIZIÈME.

Départ d’Isabelle pour la Suisse. — Amitié protectrice de Sophie pour moi. — Fanelly. — La liste des affections. — Anna. — Isabelle quitte le couvent. — Fanelly me console. — Retour sur le passé. — Précautions mal entendues des religieuses. — Je fais des vers. — J’écris mon premier roman. — Ma grand’mère revient à Paris. — M. Abraham. — Études sérieuses pour la présentation à la cour. — Je retombe dans mes chagrins de famille. — On me met en présence d’épouseurs. — Visites chez de vieilles comtesses. — On me donne une cellule. — Description de ma cellule. — Je commence à m’ennuyer de la diablerie. — La vie des saints. — Saint Siméon le Stylite, saint Augustin, saint Paul. — Le Christ au jardin des Oliviers. — L’Évangile. — J’entre un soir dans l’église.

CHAPITRE QUATORZIÈME.

Tolle, lege. — La lampe du sanctuaire. — Invasion étrange du sentiment religieux. — Opinion d’Anna, de Fanelly et de Louise. — Retour et plaisanteries de Mary. — Confession générale. — L’abbé de Prémord. — Le jésuitisme et le mysticisme. — Communion et ravissement.



TOME HUITIÈME.

CHAPITRE QUATORZIÈME. (SUITE.)

Communion et ravissement. — Le dernier bonnet de nuit. — Sœur Hélène. — Enthousiasme et vocation. — Opinion de Marie Alicia. — Elisa Auster. — Le pharisien et le publicain. — Parallèle de sentimens et d’instincts.

CHAPITRE QUINZIÈME.

Le cimetière. — Mystérieux orage contre sœur Hélène. — Premiers doutes instinctifs. — Mort de la mère Alippe. — Terreurs d’Elisa. — Second mécontentement intérieur. — Langueurs et fatigues. — La maladie des scrupules. — Mon confesseur me donne pour pénitence l’ordre de m’amuser. — Bonheur parfait. — Dévotion gaie. — Molière au couvent. — Je deviens auteur et directeur des spectacles. — Succès inouï du Malade imaginaire devant la communauté. — Jane. — Révolte. — Mort du duc de Berry. — Mon départ du couvent. — Mort de Mme Canning. — Son administration. — Élection de Mme Eugénie. — Décadence du couvent.

CHAPITRE SEIZIÈME.

Paris, 1820. — Projets de mariage ajournés. — Amour filial contristé. — Mme Catalani. — Arrivée à Nohant. — Matinée de printemps. — Essai de travail. — Pauline et sa mère. — La comédie à Nohant. — Nouveaux chagrins d’intérieur. — Mon frère. — Colette et le général Pepe. — L’hiver à Nohant. — Soirée de février. — Désastre et douleurs.

CHAPITRE DIX-SEPTIÈME.

Tristesses, promenades et rêveries. — Luttes contre le sommeil. — Premières lectures sérieuses. — Le Génie du christianisme et l’Imitation de Jésus-Christ. — La vérité absolue, la vérité relative. — Scrupules de conscience. — Hésitation entre le développement et l’abrutissement de l’esprit. — Solution. — L’abbé de Prémord. — Mon opinion sur l’esprit des jésuites. — Lectures métaphysiques. — La guerre des Grecs. — Deschartres prend parti pour le Grand-Turc. — Leibnitz. — Grande impuissance de mon cerveau : victoire de mon cœur.



TOME NEUVIÈME.

CHAPITRE DIX-SEPTIEME. (SUITE.)

Leibnitz. — Relâchement dans les pratiques de la dévotion, avec un redoublement de foi. — Les églises de campagne et de province. — Jean-Jacques Rousseau, le Contrat social.

CHAPITRE DIX-HUITIÈME.

Le fils de Mme d’Épinay et de mon grand-père. — Étrange système de prosélytisme. — Attitude admirable de ma grand’mère. — Elle exige que j’entende sa confession. — Elle reçoit les sacremens. — Mes réflexions et les sermons de l’archevêque. — Querelle sérieuse avec mon confesseur. — Le vieux curé et sa servante. — Conduite déraisonnable d’un squelette. — Claudius. — Bonté et simplicité de Deschartres. — Esprit et charité des gens de la Châtre. — La fête du village. — Causeries avec mon pédagogue, réflexions sur le scandale. — Définition de l’opinion.

CHAPITRE DIX-NEUVIÈME.

La maladie de ma grand’mère s’aggrave encore. — Fatigues extrêmes. — Réné, Byron, Hamlet. — État maladif de l’esprit. — Maladie du suicide. — La rivière. — Sermon de Deschartres. — Les classiques. — Correspondances. — Fragmens de lettres d’une jeune fille. — Derniers jours de ma grand’mère. — Sa mort. — La nuit de Noël. — Le cimetière. — La veillée du lendemain.

CHAPITRE VINGTIÈME.

Mon tuteur. — Arrivée de ma mère et de ma tante. — Étrange changement de relations. — Ouverture du testament. — Clause illégale. — Résistance de ma mère. — Je quitte Nohant. — Paris, Clotilde. — 1823. — Deschartres à Paris. — Mon serment. — Rupture avec ma famille paternelle. — Mon cousin Auguste. — Divorce avec la noblesse. — Souffrances domestiques.

CHAPITRE VINGT ET UNIÈME.

Singularités, grandeurs et agitations de ma mère. — Une nuit d’expansion. — Parallèle. — Le Plessis. — Mon père James et ma mère Angèle. — Bonheur de la campagne. — Retour à la santé, à la jeunesse et à la gaîté. — Les enfans de la maison. — Opinions du temps. — Loïsa Puget. — M. Stanislas et son cabinet mystérieux. — Je rencontre mon futur mari. — Sa prédiction. — Notre amitié. — Son père. — Bizarreries nouvelles. — Retour de mon frère. — La baronne Dudevant. — Le

régime dotal. — Mon mariage. — Retour à Nohant. — Automne 1823.