Livre:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome15.djvu
Titre | Œuvres complètes de Voltaire - Histoire (5) |
---|---|
Volume | tome 15 |
Auteur | Voltaire |
Maison d’édition | Garnier |
Année d’édition | 1878 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Série | • Études : 1 • Théâtre : 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 • Poésies : 8 , 9 , 10 • Histoire : 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 • Dict. phil. : 17 , 18 , 19 , 20 • Romans : 21 • Mélanges : 22 , 23 , 24 , 25 , 26 , 27 , 28 , 29 , 30 , 31 , 32 • Correspondance : 33 , 34 , 35 , 36 , 37 , 38 , 39 , 40 , 41 , 42 , 43 , 44 , 45 , 46 , 47 , 48 , 49 , 50 • Table générale et analytique : 51 , 52 |
Pages
Chap. XXXV. — Affaires ecclésiastiques. Disputes mémorables, 1. — Évêques non prêtres, ibid. — Don gratuit, 2. — Richesses du clergé, ibid. — Usage du clergé dans ses subsides, 3. — Anciennes maximes du clergé, ibid. — Conduite du roi avec le clergé, 6. — Des libertés de l’Église gallicane, 7. — De la régale, 8. — Autrefois les rois donnaient tous les bénéfices, ibid. — Résistance de l’évêque de Pamiers, 9. — Grand-vicaire traîné sur la claie en effigie, 10. — Fameuse assemblée du clergé, ibid. — La France prête à se séparer de Rome, 11. — Les quatre propositions, ibid. — Innocent XI, ennemi de Louis XIV, 12. — Réforme du clergé, 13. — Superstitions supprimées en partie, ibid.
Chap. XXXVI — Du calvinisme au temps de Louis XIV, 14. — Pourquoi y a-t-il toujours eu des querelles théologiques ? 15. — Origine des sectes du XVIe siècle, 16. — Ces sectes bannies des États monarchiques, 17. — Pourquoi établies en France, ibid. — Édit de Nantes, 18. — Séditions des réformés, 19. — Nouvelles guerres civiles des réformés, ibid. — Édit de grâce aux réformés, 20. — Richelieu veut enfin réunir les deux religions, 21. — Réformés protégés par Colbert, 22. — Louis XIV excité contre eux, ibid. — Petits enfants convertis, 24. — Mesures du gouvernement, ibid. — Pellisson convertit pour de l’argent, ibid. — Prédicants roués, 25. — Les huguenots s’enfuient, 26. — Dragonnades, ibid. — Lettre apostolique de Louvois, 27. — Édit de Nantes révoqué, 28. — Peuples, argent, manufactures, transportés, ibid. — Prisons et galères, 29. — Rebelles et prophètes, 32. — Prophètes verriers, 33. — Ministre roué, 34. — Prophètes assassins, ibid. — L’abbé de La Bourlie, ibid. — Guerres des fanatiques, 35. — Un garçon boulanger fait la guerre à Louis XIV, ibid. — Le garçon boulanger traite avec le maréchal de Villars, 36. — Fureur singulière, 37. — Conspiration des prophètes, ibid. — Prophètes réfugiés à Londres proposent de ressusciter un mort, 38.
Chap. XXXVII. — Du jansénisme, 39. — Jansénisme moins turbulent que le calvinisme, ibid. — Baïus inintelligible, ibid. — Rome se moque de Baïus, 40. — Molina visionnaire, ibid. — Procès à Rome pour ses visions, 41. — Ni les plaideurs ni les juges ne s’entendent, ibid. — Jansénius tout comme Baïus, ibid. — Arnauld digne de ne point entrer dans ces querelles, 42. — Les cinq propositions aussi ridicules que cinq cents autres, 43. — Tracasseries plus ridicules encore, ibid. — Disputes insensées, 44. — Arnauld persécuté, 45. — Formulaire à des filles, ibid. — Grand miracle d’un œil guéri, ibid. — Jésuites font aussi leurs miracles, 46. — Lettres provinciales, chef-d’œuvre, 47. — Ce chef-d’œuvre brûlé, ibid. — Religieuses enlevées, ibid. — Paix de Clément IX, 48. — Port-Royal, ibid. — Assemblées jansénistes, 49. — Cas de conscience aussi ridicule que tout ce que dessus, 50. — Port-Royal démoli, ibid. — Quesnel, ibid. — Quesnel prisonnier et délivré, 51. — Contrat des jansénistes avec la Bourignon, 52. — Projet fou des jansénistes, ibid. — Le Tellier, confesseur du roi, fourbe, insolent, factieux et fripon, 53. — Mme de Maintenon, faible et bigote autant qu’ambitieuse, 54. — Autorité royale employée par les jésuites, 55. — Bulle dressée par eux, ibid. — Bulle qui met tout en désordre, ibid. — Le jésuite Le Tellier en horreur, 56. — Changement dans les affaires, 57. — Bulle méprisée, ibid. — Le système de Law fait oublier la bulle, 58. — Pacification apparente, 59. — Singulier concile d’Embrun, 60. — Convulsionnaires, 61. — Décadence des jésuites, 62.
Chap. XXXVIII. — Du quiétisme, 63. — Mme Guyon extravagante, ibid. — Lacombe, directeur de la Guyon, ibid. — Mme Guyon enfermée à Vincennes, 66. — Marie d’Agréda, plus folle que la Guyon, regardée comme sainte, 67. — Fénelon persécuté pour aimer Dieu, ibid. — Très-mauvais procédé de Bossuet, 68. — Pape Innocent XII juge cette inintelligible dispute, ibid. — Fausses anecdotes, 69. — Louis XIV peu content des idées de Fénelon sur le gouvernement, 70. — Moines de Rome juges de Fénelon et de Bossuet, ibid. — L’archevêque de Cambrai se soumet, 71. — Fénelon détrompé enfin des sottes disputes, ibid.
Chap. XXXIX. — Disputes sur les cérémonies chinoises. Comment ces querelles contribuèrent à faire proscrire le christianisme de la Chine, 70. — Christianisme en Chine, ibid. — Dominicains contre jésuites en Chine, 77 — Procès de la Chine en cour de Rome, ibid. — Contradictions impertinentes au sujet de la Chine, 78. — Culte d’un seul Dieu plus ancien à la Chine qu’ailleurs, ibid. — Disputes ridicules en Sorbonne sur la Chine, 79. — Chine déclarée hérétique par la Sorbonne, ibid. — Un Maigrot, nommé évêque d’une province chinoise, critique l’empereur, 80. — Tournon, légat à la Chine, renvoyé, ibid. — L’empereur Young-tching, le meilleur des princes, 81. — Belles actions d’Young-tching, ibid. — Il proscrit poliment la religion chrétienne, 82. — Missionnaires chassés poliment, ibid. — Belle mercuriale aux missionnaires, 83. — Grands maux occasionnés par ces missionnaires, ibid. — Sagesse des Asiatiques en un point, ibid. — Miracle ridicule, 84.
Chap. I. — Tableau de l’Europe après la mort de Louis XIV, 153. — Testament de Louis XIV cassé, ibid. — Guerre de l’Allemagne contre la Turquie, 154. — Comte de Bonneval, 155. — Victoires du prince Eugène, ibid. — Paix avec les Turcs, ibid. — Régence du duc d’Orléans, ibid. — Albéroni, 156. — Le régent fait, sous le nom de Louis XV, la guerre au roi d’Espagne, oncle de Louis XV, 158. — Chute d’Albéroni, ibid. — Révélation de la confession de Philippe V, 160.
Chap. II. — Suite du tableau de l’Europe. Régence du duc d’Orléans. Système de Law ou Lass, 161. — Système de Law ou Lass, 163. — Duc d’Orléans encore calomnié, 165. — Peste en Provence, 167.
Chap. III. — De l’abbé Dubois, archevêque de Cambrai, cardinal, premier ministre. Mort du duc d’Orléans, régent de France, 169. — Le cardinal Dubois meurt sans vouloir recevoir les sacrements, 170. — Ministère du cardinal de Fleury, 176. — Russie et Prusse, 179. — Abdication de Victor-Amédée, duc de Savoie, 180. — Emprisonnement et mort de Victor-Amédée, ibid.
Chap. IV. — Stanislas Leczinski, deux fois roi de Pologne et deux fois dépossédé. Guerre de 1734. La Lorraine réunie à la France, 184. — Le cardinal de Fleury envoie quinze cents Français contre trente mille Russes, 185. — La tête du roi Stanislas mise à prix, ibid. — Les prisonniers français traités à Pétersbourg avec une générosité inouïe, 186. — Mort du maréchal de Villars, 187. — Seule guerre en Italie dont la fin ait été heureuse pour la France, 188.
Chap. V. — Mort de l’empereur Charles VI. La succession de la maison d’Autriche disputée par quatre puissances. La reine de Hongrie reconnue dans tous les États de son père. La Silésie prise par le roi de Prusse, 190. — Du royaume de Prusse, 191. — Économie du second roi de Prusse, 192. — Serment singulier qui ne devait pas l’être, 193. — Qualités de Marie-Thérèse, ibid. — Frédéric III, roi de Prusse, ibid. — Démarches singulières, ibid. — Bataille de Molvitz, 194.
Chap. VI. — Le roi de France s’unit aux rois de Prusse et de Pologne pour faire élire empereur l’électeur de Bavière, Charles-Albert. Ce prince est déclaré lieutenant général du roi de France. Son élection, ses succès, et ses pertes rapides, 194. — Discours singulier, 15 décembre 1740, 195. — Maréchal de Belle-Isle, 196. — Courage de Marie-Thérèse, 198. — Enthousiasme de l’Angleterre pour Marie-Thérèse, ibid. — Le comte de Saxe, 199. — Prague prise par escalade, ibid. — Marie-Thérèse près de sa ruine, 200. — Charles-Albert, empereur, ibid.
Chap. VII. — Désastres rapides qui suivent les succès de l’empereur Charles-Albert de Bavière, 201. — Pandours, Talpaches, Croates, Houssards, ibid. — Fausse démarche du cardinal de Fleury, 202. — Mort du cardinal de Fleury, 203.
Chap. VIII. — Conduite de l’Angleterre, de l’Espagne, du roi de Sardaigne, des puissances d’Italie. Bataille de Toulon, 204. — Un patron de vaisseau marchand fait déclarer la guerre, 205. — Les Anglais prennent Porto-Bello, 206. — Ce qui se passait en Angleterre dans cet embrasement général, ibid. — Conduite du roi de Sardaigne, 207. — Neutralités singulières en Italie, 208. — Étrange aventure à Naples, ibid. — Pendant qu’on se bat en Allemagne, l’infant don Philippe prend la Savoie, 209. — Récapitulation de l’état de l’Europe, ibid. — Bataille navale de Toulon, ibid.
Chap. IX. — Le prince de Conti force les passages des Alpes. Situation des affaires d’Italie, 211. — Escalade de Villefranche et de Montalban, 212. — Journée du Château-Dauphin, ibid. — Journée des barricades, 213.
Chap. X. — Nouvelles disgrâces de l’empereur Charles VII. Bataille de Dettingen, 214.
Chap. XI. — Première campagne de Louis XV en Flandre. Ses succès. Il quitte la Flandre pour aller au secours de l’Alsace menacée, pendant que le prince de Conti continue à s’ouvrir le passage des Alpes. Nouvelles ligues. Le roi de Prusse prend encore les armes, 219. — Première campagne de Louis XV, ibid. — Prise de Courtrai et de Menin, 220. — Le prince Charles de Lorraine passe le Rhin, 221. — Les Autrichiens en Alsace, 222. — Le roi de France marche au secours de l’Alsace, 223. — La guerre plus vive qu’auparavant. Le roi de Prusse fait marcher cent mille hommes, ibid.
Chap. XII. — Le roi de France est à l’extrémité. Dès qu’il est guéri il marche en Allemagne ; il va assiéger Fribourg, tandis que l’armée autrichienne, qui avait pénétré en Alsace, va délivrer la Bohême, et que le prince de Conti gagne une bataille en Italie, 224. — Le roi de France est à l’extrémité, ibid. — Témoignages singuliers de l’amour des Français pour leur roi, ibid. — Paroles de Louis XV étant à l’extrémité, 225. — Belle marche du prince Charles de Lorraine, 226.
Chap. XIII. — Bataille de Coni. Conduite du roi de France. Le roi de Naples surpris près de Rome, 227. — Prise de Fribourg par le roi de France, 228. — Les Anglais soudoient presque tous les princes, 229. — Conduite du maréchal de Saxe, ibid. — Situation de l’Italie, 230. — Journée de Velletri, ibid.
Chap. XIV. — Prise du maréchal de Belle-Isle. L’empereur Charles VII meurt ; mais la guerre n’en est que plus vive, 232. — Le maréchal de Belle-Isle et son frère prisonniers, ibid. — Mort de l’empereur Charles VII, 233. — L’électeur de Saxe, roi de Pologne, refuse la couronne impériale, 234.
Chap. XV. — Siége de Tournai. Bataille de Fontenoy, 235. — Siége de Tournai, ibid. — Bataille de Fontenoy, 237.
Chap. XVI. — Suites de la journée de Fontenoy, 247. — Le roi de France vainqueur demande la paix, ibid. — Journée de Mesle, 249. — Prise de Gand, 250. — Autres prises, ibid. — Les Anglais rendent enfin le maréchal de Belle-Isle et son frère, 251.
Chap. XVII. — Affaires d’Allemagne. François de Lorraine, grand-duc de Toscane, élu empereur. Armées autrichiennes et saxonnes battues par Frédéric III, roi de Prusse. Prise de Dresde, 251. — Élection de François Ier, 252. — Le Grand-Seigneur offre sa médiation, 253. — Le roi de Prusse fait encore une paix utile, 254.
Chap. XVIII. — Suite de la conquête des Pays-Bas autrichiens. Bataille de Liége ou de Raucoux, 256. — Prise de Bruxelles, ibid. — Prise de Mons, 257. — Prise de Saint-Guilain, ibid. — Prise de Charleroi, ibid. — Prise de Namur, 258. — Bataille de Liége ou de Raucoux, 259.
Chap. XIX. — Succès de l’infant don Philippe et du maréchal de Maillebois, suivis des plus grands désastres, 260. — Bataille de Plaisance gagnée par le prince de Lichtenstein, 264. — Mort de Philippe V, roi d’Espagne, oncle de Louis XV, 265. — Retraite savante, 266. — Bataille en faisant retraite, ibid. — Gênes se rend, et presque à discrétion, 267.
Chap. XX. — Les Autrichiens et les Piémontais entrent en Provence ; les Anglais en Bretagne, 268. — Le maréchal de Belle-Isle, en Provence, fait tête aux Autrichiens et aux Piémontais, 269.
Chap. XXI. — Révolution de Gênes, 270. — Révolution dans Gênes, ibid. — Le duc de Boufflers vient secourir Gênes, 274. — Moines et confessions employés pour sauver Gênes, ibid. — Mort du duc de Boufflers, ibid.
Chap. XXII. — Combat d’Exiles funeste aux Français, 276.
Chap. XXIII. — Le roi de France, maître de la Flandre et victorieux, propose en vain la paix. Prise du Brabant hollandais. Les conjonctures font un stathouder, 278. — Congrès inutile, ibid. — Prise du Brabant hollandais, 279. — Création d’un stathouder dans les Provinces-Unies, 280.
Chap. XXIV. — Entreprise, victoires, défaite, malheurs déplorables du prince Charles-Édouard Stuart, 281. — Débarquement du prince Charles-Édouard dans une île d’Ecosse, 283. — Mœurs et lois des montagnards d’Écosse, ibid. — Ses premiers succès, 285. — Il prend Édimbourg, ibid. — Il gagne une victoire complète à Preston-Pans, 286. — Les Hollandais envoient servir en Angleterre des troupes qui avaient fait serment de ne point servir, 290. — Loi habeas corpus, 291.
Chap. XXV. — Suite des aventures du prince Charles-Édouard. Sa défaite, ses malheurs et ceux de son parti, 292. — Le colonel Lally, 293. — Les troupes hollandaises cèdent enfin à la loi de la guerre qui les obligeait à ne pas servir, ibid. — Nouvelle victoire du prince Édouard à Falkirck, 294. — Il livre un second combat le même jour, ibid. — Bataille décisive de Culloden et victoire complète du duc de Cumberland, 295. — Des femmes combattaient pour le prince Édouard, 296. — Extrémités affreuses où le prince Charles-Édouard est réduit, ibid. — Le roi de France fait en vain intercéder en faveur du prince Édouard et de ses partisans, 300. — Lettre singulière de l’ambassadeur Van Hoey, 301. — Supplices sanglants, ibid.
Chap. XXVI. — Le roi de France, n’ayant pu parvenir à la paix qu’il propose, gagne la bataille de Laufelt. On prend d’assaut Berg-op-Zoom. Les Russes marchent enfin au secours des alliés, 306. — Bataille de Laufelt gagnée par le roi de France et le maréchal de Saxe, 308. — Paroles mémorables du roi de France au général Ligonier, son prisonnier et né son sujet, ibid. — Siége de Berg-op-Zoom, 309. — Berg-op-Zoom pris d’assaut, 310. — Marche admirable du maréchal de Saxe, 311. — Mastricht investie, ibid. — Arrivée d’une armée de trente-cinq mille Russes au secours des alliés, ibid.
Chap. XXVII. — Voyage de l’amiral Anson autour du globe, 312. — Singulière aventure, 313. — Belle observation, 314. — Aventure plus singulière encore, 315.
Chap. XXVIII. — Louisbourg. Combats de mer : prises immenses que font les Anglais, 320.
Chap. XXIX. — De l’Inde, de Madras, de Pondichéry. Expédition de la Bourdonnaie. Conduite de Dupleix, etc., 325.
Chap. XXX. — Paix d’Aix-la-Chapelle, 332.
Chap. XXXI. — État de l’Europe en 1756. Lisbonne détruite. Conspirations et supplices en Suède. Guerres funestes pour quelques territoires vers le Canada. Prise de Port-Mahon par le maréchal de Richelieu, 335. — Le maréchal de Richelieu prend Minorque, 339.
Chap. XXXII. — Guerre en Allemagne. Un électeur de Brandebourg résiste à la maison d’Autriche, à l’empire allemand, à celui de Russie, à la France. Événements mémorables, 340. — Bataille de Kolin ou de Chodemitz, 345. — Bataille d’Hastembeck, 346.
Chap. XXXIII. Suite des événements mémorables. L’armée anglaise obligée de capituler. Journée de Rosbach. Révolutions, 347. — Bataille de Rosbach, 348. — Bataille de Lissa, 350. — Mort de Pierre III, empereur de Russie, 351.
Chap. XXXIV. — Les Français malheureux dans les quatre parties du monde, 355. — Désastres du gouverneur Dupleix, 359. — Lally arrive à Pondichéry, ibid. — Supplice du général Lally, 366.
Chap. XXXV. — Pertes des Français, 367.
Chap. XXXVI. — Gouvernement intérieur de la France. Querelles et aventures depuis 1750 jusqu’à 1762, 376. — Parlement exilé, 381. — Chambre royale, 382.
Chap. XXXVII. — Attentat contre la personne du roi, 389.
Chap. XXXVIII. — Assassinat du roi de Portugal. Jésuites chassés du Portugal, et ensuite de France, 395. — Malagrida, jésuite, brûlé, 397. — Banqueroute des jésuites en France, 398. — Les parlements abolissent l’ordre, ibid.
Chap. XXXIX. — De la bulle du pape Rezzonico, Clément XIII, et de ses suites, 400.
Chap. XLI. — De l’exil du parlement de Paris, etc., et de la mort de Louis XV, 418.
Chap. XLII. — Des lois, 419. — Loi fondée sur un solécisme, 424. — Jugements barbares, 425. — Loi qui préfère l’argent à la vie, ibid. — Contrariétés ridicules dans les lois, 427. — Mainmorte. Origine de cette expression, ibid. — Vénalité, 429.
Chap. XLIII. — Des progrès de l’esprit humain dans le siècle de Louis XV, 430.