Inclut:
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS CE VOLUME.
AMMIEN MARCELLIN.
Traduction nouvelle, par M. Th. SAVALÈTE.
Les treize premiers livres manquent.
Notice sur Ammien Marcellin.
LIVRE XIV.
Sommaire. I. Caractère odieux du César Gallus. — II. Irruption des Isauriens. — III. Tentative avortée des Perses. — IV. Incursions des Sarrasins. Leurs mœurs. — V. Supplices des partisans de Magnence. — VI. Corruption du sénat et du peuple romain. — VII. Barbarie et fureurs de Gallus. — VIII. Description des provinces d’Orient. — IX. Nouvelles cruautés du César Gallus. — X. Constance donne la paix aux Allemands, qui l’implorent. — XI. Gallus est mandé par l’empereur et décapité.
LIVRE XV.
Somm. I. On annonce à l’empereur la mort du César Gallus. — II. Ursicin, général de la cavalerie en Orient, Julien, frère de Gallus, et le chambellan Gorgonius, accusés du crime de lèse-majesté. — III. Rigueurs exercées contre les amis et serviteurs de Gallus. — IV. Constance taille en pièces et met en fuite les Allemands Lentiens[1]. — V. Sylvain, Frank de naissance, et général de l’infanterie dans les Gaules, est salué empereur à Cologne. Il tombe dans un piége, et périt après vingt-huit jours de règne. — VI. Les amis et complices de Sylvain sont mis à mort. — VII. Séditions réprimées à Rome par le préfet Léonce. L’évéque Libère est enlevé de son siége. — VIII. Constance donne le titre de César à Julien, frère de Gallus, et lui confie l’administration des Gaules. — IX. Origine des Gaulois. Étymologie des noms de Celtes et de Galates. Corporations savantes chez ces peuples. — X. Alpes gauloises. Communications ouvertes au travers de ces montagnes. — XI. Divisions du territoire et description sommaire des Gaules et du cours du Rhône. — XII. Mœurs des Gaulois. — XIII. Musonien préfet du prétoire en Orient.
LIVRE XVI.
Somm. 1. Éloge du César Julien. — II. Julien attaque les Allemands, les bat, les disperse, et leur fait des prisonniers. — III. Il reprend Cologne sur les Franks, et traite avec leurs chefs. — IV. Il soutient un siège dans Sens contre les Allemands. — V. Vertus du César Julien. — VI. Arbétion accusé et absous. — VII. Euthère, chambellan de Julien, défend son maître contre Marcel. Éloge d’Euthère. — VIII. Les faux rapports et les calomnies circulent dans le camp de Constance. Rapacité de ses courtisans. — IX. Négociations pour la paix avec les Perses. — X. Appareil belliqueux et presque triomphal de l’entrée de Constance à Rome. — XI. Le César Julien attaque les Allemands dans les îles du Rhin, où ils avaient pris refuge, et relève les défenses des Trois Tavernes[2]. — XII. Coalition des rois allemands contre la Gaule. Julien les attaque et les défait près d’Argentoratum[3].
LIVRE XVII.
Somm. I. Julien, après la défaite des Allemands, passe le Rhin, et détruit par le fer et la flamme les établissements de ce peuple. Il répare le fort de Trqjan, et accorde aux Barbares une trêve de dix mois. — II. Julien réduit par la famine une bande de Franks, qui faisait des courses dans la Germanie. — III. Ses efforts pour alléger dans les Gaules le poids des impôts. — IV. Constance fait élever un obélisque à Rome dans le grand cirque. Des obélisques et des hiéroglyphes. — V. Correspondance et négociations inutiles pour la paix entre Constance et Sapor, roi de Perse. — VI. Les Juthunges, nation allemande, désolent la Rhétie. Ils sont battus et mis en fuite par les Romains. — VII. Nicomédie détruite par un tremblement de terre. Variétés de ce phénomène. — VIII. Julien reçoit la soumission des Saliens, nation franke. Il bat ou fait prisonniers une partie des
Chamaves, et donne la paix au reste. — IX. Julien relève trois forts sur la Meuse, et se trouve en butte aux reproches et aux menaces des soldats irrités par la disette. — X. Les rois allemands Suomaire et Hortaire obtiennent la paix en rendant leurs prisonniers. — XI. Sarcasmes des envieux sur les hauts faits d’armes de Julien. On l’accuse à la cour d’indolence et de pusillanimité. — XII. Constance oblige les Sarmates ainsi que les Quades, qui dévastaient la Mésie et les deux Pannonies, à rendre leurs prisonniers et à livrer des otages. Il remet les Sarmates expulsés en possession de leurs terres, et leur donne un roi. — XIII. Constance fait un grand carnage des Limigantes, et les force à s’expatrier. Sa harangue à l’armée. — XIV. Les envoyés romains quittent la Perse sans avoir conclu la paix. Sapor envahit de nouveau la Mésopotamie et l’Arménie.
LIVRE XVIII.
Somm. I. Bienfaits de la présence de Julien dans les Gaules. Il tient la main à ce que la Justice y soit partout observée. — II. Il répare les murs des forts sur le Rhin recouvrés sur l’ennemi. ravage une partie du pays des Allemands, et oblige cinq de leurs rois à demander la paix et à rendre leurs prisonniers. — III. Barbation, général de l’infanterie, décapité avec sa femme par l’ordre de Constance. — IV. Sapor, roi de Perse, se dispose à attaquer les Romains avec toutes ses forces. — V. Le protecteur Antonio passe avec sa famille auprès de Sapor, dont il confirme les dispositions déjà hostiles aux Romains. — VI. Ursicin, rappelé d’Orient, reçoit un contre-ordre en Thrace, et retourne en Mésopotamie. Il charge Ammien d’observer la marche des Perses. — VII. Sapor, réuni aux rois des Chionites et des Albains, fait irruption en Mésopotamie. Les Romains mettent eux-mêmes le feu à leurs moissons, rappellent dans les villes la population des campagnes, et couvrent de forts et de châteaux la rive citérieure de l’Euphrate. — VIII. Un détachement d’Illyriens, fort de sept cents chevaux, se laisse surprendre par les Perses. Ursicin, dans une rencontre avec un corps de Perses très-supérieur, s’échappe d’un côté, Ammien d’un autre. — IX. Description d’Amide. Force de la garnison de cette ville en légions et en cavalerie. — X. Deux forts romains se rendent à Sapor.
LIVRE XIX.
Somm. I. Sapor engage les habitants d’Amide à se rendre. Il est accueilli à coups de flèches et de traits de balistes. Le roi des Chionites renouvelle la sommation ; son fils est tué à ses côtés. — II. Amide est investie, et les Perses lui
livrent assaut deux fois en deux jours. — III. Ursicin propose une diversion nocturne contre les assiégeants. Sabinien s’y oppose. — IV. La peste se déclare à Amide ; elle est dissipée au bout de dix Jours par une petite pluie. Des causes et des variétés de ce fléau. — V. Nouvel assaut de la ville, combiné avec une surprise à l’intérieur, au moyen d’un passage secret livré par un transfuge. — VI. Une sortie opérée par les troupes gauloises fait beaucoup de mal aux Perses.— VII. Ils élèvent des tours et autres ouvrages de siège qui sont brûlés par les Romains. — VIII. Les Perses s’emparent de la ville au moyen de terrasses qu’ils parviennent à appuyer contre les murs. Ammien s’échappe à la faveur de la nuit, et gagne Antioche. — IX. Les officiers romains qui commandaient à Amide sont mis à mort ou jetés dans les fers. Craugase de Ninive passe du côté des Perses, entraîné par le désir de revoir sa femme. — X. La crainte d’une disette cause des séditions à Rome. — XI. Les Sarmates Limigantes, sous couleur de demander la paix, attaquent l’empereur, et sont repoussés avec grande perte. — XII. Accusations et condamnations nombreuses pour crime de lèse-majesté. — XIII. Brigandages des Isauriens réprimés par le comte Laurice
LIVRE XX.
Somm. I. Envoi en Bretagne de Lupicin avec une armée, à l’effet de réprimer les incursions des Écossais et des Pictes. — II. Ursicin devenu général de l’infanterie, calomnié et destitué. — III. Éclipse du soleil, phénomène du parhélie. Des éclipses du soleil et de la lune, et des phases diverses de ce dernier astre. — IV. Julien, hivernant à Lutèce, est proclamé empereur malgré lui par les légions gauloises, que Constance voulait lui enlever pour les envoyer contre les Perses. — V. Sa harangue à l’armée. — VI. Sapor assiège et prend Singare. Il transporte en Perse tous les habitants, avec un détachement de cavalerie auxiliaire, et deux légions formant la garnison de la ville, qui est rasée. — VII. Sapor prend la ville de Bézabde, défendue par trois légions. Il la répare ensuite et l’approvisionne. Il échoue devant la forteresse de Virta. — VIII. Julien instruit Constance par une lettre de ce qui s’était passé à Lutèce. — IX. Constance mande à Julien de se contenter du titre de César. Opposition unanime des légions gauloises. — X. Julien passe le Rhin, et tombe à l’improviste sur les Franks nommés Attuaires, en tue un grand nombre et donne la paix au reste. — XI. Constance assiège Bézabde avec toutes ses forces, et se retire sans avoir réussi. De l’arc-en-ciel.
LIVRE XXI.
Somm. I. Julien Auguste célèbre à Vienne les fêtes quinquennales. Comment il augura que la fin de Constance était prochaine. Des divers moyens de connaitre l’avenir. — II. Julien Auguste se donne pour chrétien, afin de se rendre agréable au peuple de Vienne, et va publiquement prier dans une église. — III. Vadomaire, roi des Allemands, rompt le traité, et envoie des coureurs piller nos frontières. Il nous tue quelques hommes, avec le comte Libinon, qui les commandait — IV. Julien intercepte une lettre de Vadomaire à Constance, et fait saisir ce roi dans un festin. Il taille en pièces ou fait prisonniers une partie des Allemands, et accorde la paix au reste. — V. Julien harangue ses soldats, et les décide à faire la guerre à Constance. — VI. Constance épouse Faustine. Il renforce son armée, et s’attache par des présents les rois d’Arménie et d’Ibérie. — VII. Constance, sans quitter Antioche, contient l’Afrique dans le devoir par le ministère du notaire Gaudens. Il passe l’Euphrate, et se rend à Édesse avec l’armée. — VIII. Julien, après avoir mis ordre aux affaires des Gaules, se porte sur le Danube, et fait prendre les devants à une partie de son armée par l’Italie et par la Rhétie. — IX. Les consuls Taurus et Florence, tous deux préfets du prétoire, s’enfuient à l’approche de Julien, l’un en Illyrie, l’autre en Italie. Lucillien, maître général de la cavalerie, veut résister ; il est surpris et arrêté. — X. La ville et la garnison de Sunium, capitale de l’Illyrie orientale, se rendent à Julien. Il occupe le pas de Sucques, et écrit contre Constance au sénat. — XI. Deux légions qui s’étaient rangées à Sirmium du parti de Julien, et qu’il envoyait dans les Gaules, occupent Aquilée de concert avec les habitants, et en ferment les portes à Julien. — XII. Aquilée soutient un siège dans l’intérêt de Constance. A la nouvelle de la mort de ce prince, la place se rend à Julien. — XIII. Sapor se retire devant des auspices défavorables. Constance, sur le point de marcher contre Julien, harangue ses troupes à Hiérapolis. — XIV. Présages de la mort de Constance. — XV. Il meurt a Mopsucrène en Cilicie — XVI. Qualités et défauts de ce prince.
LIVRE XXII.
Somm. I. Julien, arrêté en Dacie par la crainte de Constance, y consulte en secret les aruspices et les augures. — II. A la nouvelle de la mort de l’empereur, il traverse rapidement la Thrace, entre paisiblement dans Constantinople, et se voit maitre de l’empire romain sans coup férir. — III. Condamnations plus ou moins justifiables des partisans de Constance. — IV. Julien chasse du palais les eunuques, les barbiers et les cuisiniers. Vices des eunuques du palais, et corruption de la discipline militaire. — V. Julien professe publiquement le culte des dieux, qu’il n’avait observé jusque-là qu’à la dérobée, et travaille à susciter des conflits entre les évêques chrétiens. — VI. Expédient qu’il emploie pour se débarrasser des importunes réclamations de quelques Égyptiens, et pour renvoyer chez eux les pétitionnaires. — VII. Julien rend la Justice en personne a Constantinople, et, pendant qu’il se livre l’administration de la Thrace, reçoit plusieurs ambassades étrangères. — VIII. Coup d’œil sur cette contrée, le Pont-Euxin et les populations du littoral. — IX. Julien, après avoir agrandi et embelli Constantinople, va visiter Antioche. Chemin faisant, il accorde un subside aux habitants de Nicomédie, pour relever les ruines de leur ville. A Ancyre, il donne ses soins à l’administration de la justice. — X. Il passe l’hiver à Antioche, et y siège comme juge, sans persécuter personne pour cause de religion. — XI. George, évêque d’Alexandrie, est traîné dans les rues, mis en pièces, et brûlé avec deux autres personnes par les polythéistes de cette ville ; cet attentat reste impuni. — XII. Julien, méditant une expédition contre les Perses,
consulte les oracles sur l’issue de celle guerre, et offre en sacrifice des victimes sans nombre. Sa dévotion aux aruspices et aux augures. — XIII. Il attribue sans fondement aux chrétiens l’incendie du temple d’Apollon à Daphné, et fait fermer l’église cathédrale d’Antioche. — XIV. Sacrifice à Jupiter sur le mont Casius. Rancune de Julien contre les habitants d’Antioche. Elle est l’origine du Misopogon. — XV. Statistique de l’Égypte. Du Nil, des crocodiles, de l’ibis et des pyramides. — XVI. Des cinq provinces de l’Égypte et de leurs villes les plus célèbres.
LIVRE XXIII.
Somm. I. Vaine tentative -de Julien pour relever le temple de Jérusalem. — II. Il enjoint à Arsace, roi d’Arménie, de se préparer à faire avec lui la guerre aux Perses, et passe l'Euphrate avec un corps de Scythes pour auxiliaires. — III. Pendant la marche de l’armée au travers de la Mésopotamie, les chefs de diverses tribus sarrasines lui offrent leur assistance, et lui font hommage d’une couronne d’or. La flotte romaine, forte de onze cents vaisseaux, couvre les eaux de l’Euphrate. — IV. Description des machines de siège et de rempart : la batiste, l’onagre ou scorpion, le bélier, l'hélépole, et les brûlots. — V. Julien passe l'Aboras sur un pont de bateaux, près de Circésium. — VI.
Énumération des dix-huit principales province de Perse et de leurs villes. Mœurs des habitants.
LIVRE XXIV.
Somm. I. Julien entre avec son armée en Assyrie, et met le feu au fort d’Anatho sur l'Euphrate, qui s’était rendu à lui. — II. Il laisse de côté quelques autres places, brûlant celles qu’il trouve abandonnées. Pirisabore, qui se rend, est incendiée. — III. Julien promet cent deniers de récompense à chacun de ses soldats, qui accueillent avec dédain cette chétive largesse. Il les rappelle à la raison par un langage noble et ferme. — IV. Les Romains assiègent la ville de Maogumaique, et la détruisent — V. Une autre forteresse, des mieux défendues par sa position et ses ouvrages, est prise et incendiée. — VI. Julien, à la suite d’une action ou il avait taillé en pièces deux mille cinq cents Perses sans
perdre plus de soixante des siens, harangue ses soldats et leur distribue de nombreuses couronnes. — VII. Julien renonce è mettre le siège devant Ctésiphon. Il donne inconsidérément l’ordre de brûler sa flotte, et cesse de côtoyer le fleuve. — VIII. Julien, voyant qu’il ne peut Jeter de pont, ni compter sur la jonction du reste de ses forces, se décide à faire retraite par la Cordouène.
LIVRE XXV.
Somm. I. Les Perses attaquent l’armée romaine dans sa marche, et sont vigoureusement repoussés. — II. Le pain et les fourrages manquent chez les Romains. L’empereur est effrayé par des prodiges. — III. Pressé vivement par les Perses, Julien néglige de revêtir sa cuirasse, et se jette imprudemment dans la mêlée. Il est blessé d’un coup de javelot. Rapporté dans sa tente, il harangue les assistants, et meurt après avoir bu de l’eau froide. — IV. Qualités et défauts de Julien. Portrait de sa personne. — V. Élection tumultuaire de Jovien, officier supérieur des gardes. — VI. Les Romains se hâtent de quitter la Perse, et, dans leur retraite précipitée, sont harcelés par les Perses et les Sarrasins, qu’ils repoussent en leur infligeant de grandes pertes. — VII. Traité ignominieux, mais nécessaire, avec Sapor. Jovien, poussé par la disette et les murmures de l’armée, achète la paix par la reddition de cinq provinces et des villes de Nisibe et de Singare. — VIII. Les Romains repassent le Tigre, et après avoir longtemps et courageusement
soutenu les horreurs de la faim, rentrent en Mésopotamie. Jovien règle tant bien que mal les affaires de l’Illyrie et des Gaules. — IX. Binèses, noble persan, reçoit des mains de Jovien l’inexpugnable place de Nisibe. Les habitants expulsés se retirent à Amide. On livre encore aux Perses, d’après le traité, cinq provinces avec la ville de Singare et seize forts. — X. Jovien, craignant des soulèvements, parcourt à la hâte la Syrie, la Cilicie, la Cappadoce, et la Galatie. Il prend à Ancyre le consulat, avec son fils Varronien, encore enfant. Une mort subite l’enlève peu après à Dadastane -
LIVRE XXVI.
Somm. I. Valentinien, tribun de la seconde école des scutaires, est désigné, quoique absent, empereur à Nicée, du consentement unanime des ordres civils et militaires. Remarques sur le bissexte. — II. Valentinien accourt d’Ancyre à Nicée, où son élection est confirmée tout d’une voix. Il revêt la pourpre, ceint le diadème, et, sous le titre d’Auguste, adresse une harangue à l’armée. —III. Apronien préfet à Rome. — IV. Valentinien à Nicomédie, élève son frère Valens à la charge de grand écuyer, et bientôt, du consentement de l’armée, l’associe à l’empire dans l’Hebdome à Constantinople. — V. Partage des provinces de l’armée, entre les deux empereurs, qui s’adjugent le consulat, l’un à Milan, l’autre à Constantinople. Ravage des Allemands dans les Gaules. Révolte de Procope en Orient. — VI. Patrie de Procope, son origine, son caractère, ses dignités. Il reste caché pendant tout le règne de Jovien. Comment il s’improvise empereur lui-même à Constantinople. — VII. Procope s’empare de toute la Thrace sans coup férir. Plusieurs détachements d’infanterie et de cavalerie, qui traversaient la province, sont séduits par ses promesses. Quelques paroles adroites lui gagnent les Joviens et les Victorins, que Valens envoyait contre lui. — VIII. Procope fait lever les sièges de Chalcédoine et de Nicée, et devient maître de la Bithynie. Il en fait autant de Cyzique, après avoir forcé le passage de l’Hellespont — IX. Défection de ses partisans, en Bithynie, en Lycie et en Phrygie. Il est livré vivant à Valens, qui lui fait trancher la tôle. — X. Supplices de Marcellus, parent de Procope, et d’un grand nombre de ses adhérents.
LIVRE XXVII.
Somm. I. Victoire des Allemands. Les comtes Charietton et Sévérien restent parmi les morts. — II. Jovien, maître de le cavalerie dans les Gaules, bat séparément deux corps de barbares, en taille en pièces un troisième, et leur tue ou
blesse dix mille hommes. — III. Symmaque, Lampade et Juvence, successivement préfets à Rome. Damase et Ursin, sous l’administration du dernier, se disputent l’épiscopat. — IV. Description des sept provinces de la Thrace, et mention des diverses villes qu’on y trouve. — V. Guerre de trois ans faite par Valens aux Goths, qui avaient envoyé contre lui des secours à Procope. Paix qui la termine. — VI. Valentinien, du consentement de l’armée, confére au jeune Gratien, son fils, le titre d’Auguste, et, l’ayant revêtu de la pourpre, lui adresse une exhortation et le recommande aux soldats. — VII. Irascibilité, humeur farouche et cruautés de Valentinien. — VIII. Les Pictes, les Attacots et les Écossais ravagent la Bretagne, après avoir tué aux Romains un duc et un comte. Le comte Théodose les met en déroute, et leur arrache leur butin. — IX. Ravages exercés par les Maures en Afrique. Valens réprime les brigandages des Isauriens. Préfecture de Prétextat. — X. Valentinien passe le Rhin, et, après un combat meurtrier pour les deux partis, bat les Allemands qui s’étaient postés sur une montagne et les disperse. — XI. Caractère de Probus, sa haute naissance, ses richesses, ses dignités. — XII. Guerre entre les Perses et les Romains pour la possession de l’Arménie et de l’Ibérie
LIVRE XXVIII.
Somm. I. Un grand nombre de sénateurs et de femmes patriciennes sont accusés et condamnés à mort pour magie, empoisonnement et adultère. L’empereur Valentinien garnit de forts et de châteaux toute la rive du Rhin du côté des Gaules. Les Allemands tuent quelques soldats romains employés à l’un de ces ouvrages. Les bandits de Marathocypre, en Syrie, exterminés par l’ordre de Valens, et leur bourg rasé. — III. Théodose restaure les villes saccagées par les barbares en Bretagne, répare les forts de cette île lie, et reconstitue la province, à laquelle il donne le nom de Valentia. — IV. Olybrius et Ampelius successivement préfets à Rome. Vices du sénat et du peuple romain. — V. Saxons en Gaule. Les Romains profilent d’une trêve pour les surprendre et pour les accabler. Valentinien engage les Bourguignons, sous fausse promesse d’agir de concert, à se jeter sur le territoire allemand. Ils reconnaissent la déception, et s’en retournent dans leur pays, après avoir massacré leurs prisonniers. — VI. Désastres causés par les Austuriens dans la province de Tuipoli et aux villes de Leptis et d’OEa restés impunis par les manœuvres frauduleuses du comte romain, qui trompe l’empereur.
LIVRE XXIX.
Somm. I. Secrètes prétentions du notaire Théodore à l’empire. Accusé devant Valens à Antioche, du crime de lèse-majesté, il est mis à mort avec ses nombreux adhérents. — II. Exécutions multipliées en Orient pour maléfices et autres
crimes vrais ou supposés. — III. Traits de cruauté et de barbarie sauvage de Valentinien en Occident. — IV. Il passe le Rhin sur un pont de bateaux pour surprendre le roi Macrien ; mais le coup manque par la faute des soldats. — V. Théodose, maître de la cavalerie dans les Gaules, est opposé en Afrique au rebelle Firmus, fils du roi maure Nabal ; il le bat en plusieurs rencontres, le réduit à se donner la mort, et rend ainsi le calme a la contrée. —VI. Les Quades, irrités du meurtre indigne de leur roi Galbinius, se liguent avec les Sarmates, mettent à feu et à sang la Valérie et la Pannonie, et détruisent presque entièrement deux légions. Claude préfet à Rome.
LIVRE XXX.
Somm. I. Para, roi d’Arménie, est invité à se rendre à Tarse par Valens, qui l’y retient dans une honorable captivité. Para s’échappe avec trois cents des cavaliers qu’il avait amenés avec lui, donne le change aux poursuites et rentre dans ses États. Le duc Trajan le fait assassiner dans un festin. — II. Négociations entamées par ambassadeurs entre Valens et Sapor touchant la possession de l’Arménie. — III. Valentinien ravage quelques bourgades des Allemands. Il s’abouche avec leur roi Macrien. La paix est la suite de cette entrevue. — IV. Modeste, préfet du prétoire, détourne Valens de lldôe de siéger aux tribunaux en personne. Du barreau et des jurisconsultes. Satire des avocats de l’époque. — V. Valentinien se rend en Illyrie pour réprimer l’Invasion des Quades et des Sarmates. Il franchit le Danube, et met à feu et à sang le territoire barbare,
sans égard pour l’Âge ni pour le sexe. — VI. Il meurt d’un coup de sang, provoqué par un accès de fureur, en entendant les députés sarmates essayer devant lui la justification de leurs compatriotes. — VII. De sa généalogie et des actes de son règne. — VIII. Son caractère, enclin à l’avidité, à l’envie, à la peur. — IX. Ses vertus. — X. Valentinien II, son fils, est salué Auguste au camp de Brégétion.
LIVRE XXXI.
Somm. I. Présage de la mort de Valens et de l’invasion de l’empire par les Goths. — II. Régions habitées par les Huns, les Alains et autres nations scythiques de l’Asie. Leurs mœurs. — III. Les Huns s’incorporent les Alains de vive force ou par traité, et tombent avec eux sur les Goths, qu’ils chassent de leur territoire. — IV. Les Thervinges, tribu la plus considérable de la nation expulsée, sont transportés en Thrace, du consentement de Valens, et sous promesse de soumission et de concours. Une autre tribu du nom de Gruthongue, passe aussi le Danube par surprise. — V. Les Thervinges, maltraités par les officiers de l’empereur, et pressés par la misère et la faim, se soulèvent sous la conduite d’Alavive et de Fritigern, et défont un corps de troupes commandé par Lupicin. — VI. Motifs de la révolte de Sméride et de Colias, chefs des Goths, qui, après avoir été accueillis par les Romains, égorgent les habitants d’Andrinople, et se réunissent à Fritigern pour dévaster la Thrace. — VII. Avantages remportés par Profuturus, Trajan et Richomer, contre les Goths. — VIII. Les Goths, emprisonnés par les Romains dans les gorges de l’Hémus, puis relâchés, parcourent la Thrace, marquant leurs pas par le pillage, le meurtre, le viol et l’incendie. Barzimère tribun des scutaires est massacré par eux. — IX. Frigérid, général de Gratien, tue Farnobe, l’un des prindipaux personnages d’entre les Goths, et avec lui une multitude de Goths et de Taïfales. Le reste obtient la vie et la concession d’un territoire sur les bords du Pô. — X. Victoire remportée par les généraux de Gratien sur les Allemands Lentiens. Priarius, roi de ce peuple, y périt. Les Lentiens se rendent et fournissent des recrues. On leur permet de retourner chez eux. — XI. Sébastien surprend et accable près de Béroê les Goths, chargés de butin. Très-peu réussissent à s’échapper. Gratien vole secourir son oncle Valens contre les Goths. — XII. Valens se décide à livrer bataille sans attendre la jonction de Gratien. — XIII. Tous les Goths réunis, les Thervinges sous Fritigern, les Gruthongues sous Alathée et Saphran, se rencontrent avec les Romains en bataille rangée, mettent la cavalerie romaine en fuite, et font un grand carnage de l’infanterie, livrée à ses propres forces, et entassée dans un étroit espace. Valens perd la vie dans cette bataille ; son corps n’est pas retrouvé. — XIV. Vertus et vices de Valens. — XV. Les Goths vainqueurs assiègent Andrinople, où Valens avait laissé son trésor avec les archives de l’Empire, et où se trouvaient enfermés le préfet et les membres du conseil. Ils se retirent après avoir échoué dans toutes leurs tentatives. — XVI. Les Goths s’adjoignent, à prix d’argent, des bandes de Huns et d’Alains, et tentent vainement de s’emparer de Constantinople. Par quel artifice le général Jules délivra des Goths les provinces orientales au delà du Taurus.
Notes sur Ammien Marcellin.
JORNANDÈS.
Traduction nouvelle, par M. G. FOURNIER DE MOUJAN.
Notice sur Jornandès, par le même.
Épitre servant de préface.
Chap. I.
Division générale de la terre.
II.
Description de file de Bretagne.
III.
Description de l’île Scanzia.
IV.
Les Goths sortis de l’île Scanzia. Leurs progrès et leur établissement dans la partie de la Scythie voisine du Pont-Euxin.
V.
La Scythie. Sa situation. Ses peuples. Établissements successifs des Goths dans la Scythie. Le Tanaïs. Le Borysthène.
VI.
Les Goths défont Vésosis, roi d’Égypte. Leurs conquêtes en Asie. Origine des Parthes.
VII.
Les Amazones. Leurs guerres. Elles fondent le temple d’Éphèse. Description du Caucase.
VIII.
Mariages des Amazones avec les peuples voisins. Comment elles traitaient leurs enfants nouveau-nés.
IX.
Les Goths époux des Amazones. Leur roi Télèphe. Son origine. Situation de la Mœsie. Exploits de Télèphe. Sa mort
X.
Guerres de Cyrus contre Thamiris, reine des Gèles. Ville de Thamiris fondée en Mœsie. Guerres de Darius, de Xerxès contre les Goths. Philippe fait alliance avec les Goths. Les Goths font irruption dans la Grèce.
XI.
Arrivée de Diceneus Boroïsta chez les Goths. Il leur enseigne la philosophie, et acquiert une grande autorité parmi eux. Comosicus lui succède.
XII.
Corilius roi des Goths. Dacie ancienne. Sa situation. Description du Danube.
XIII.
Dorpanéus roi des Goths. Ses victoires sur les Romains pendant le règne de Domitien. Anses.
XIV.
Généalogie des Amales. Division des Goths en Visigoths et en Ostrogoths.
XV.
Origine de l’empereur Maximin. Sa force prodigieuse. Comment il parvient à l’empire. Il persécute les chrétiens. Sa mort. Philippe lui succède.
XVI.
État florissant de la nation des Goths au bord du Pont-Euxin. Les Goths fédérés des Romains deviennent leurs ennemis. Ils dévastent la Mœsie et la Thrace sous la conduite d’Ostrogoths. Siège de Marcianopolis. À quelle occasion fut fondée cette ville.
XVII.
Les Gépides jaloux des Gotbs. Leur parenté. Origine du nom des Gépides. L’ile Gépidos. Les Vividariens. Fastida, roi des Gépides, soumet les Burgundions et d’autres nations. Il fait la guerre aux Goths, et est battu par Ostrogoths.
XVIII.
Cniva, successeur d’Ostrogoths, conduit les Goths en Mœsie, et livre plusieurs combats aux Romains. Mort de Décius.
XIX.
Gallus et Volusianus. Peste sous leur règne. Révolte et mort d’Æmylianus. Gallus et Volusianus font un traité d’alliance avec les Goths.
XX.
Irruption des Goths en Asie, sous le règne de Gallien. Ils brûlent le temple d’Éphèse. Ils ravagent la Thrace. Prise d’Anchiale.
XXI.
Maximien se sert des Goths en Perse, en Égypte, etc. Constantin prend à sa solde quarante mille Goths sous le nom de Fédérés.
XXII.
Origine de Gébérich, roi des Goths. Il attaque Vijumar, roi des Wandales. Origine de ce roi. Pays des Wandales. Combat au bord de la Marisia. Les Wandales, vaincus, s’établissent dans la Pannonie.
XXIII.
Ermanaric roi des Goths. Ses conquêtes sur diverses nations du Septentrion. Il
Page:Marcellin, Jornandès, Frontin, Végèce, Modestus - Traductions de Nisard, 1860.djvu/827
Pages.
leur roi Rtolhfme à Bourges. Les Bretons
défaits par les Visigoths. Avitus. Prise
d’Ar verna- Derniers empereurs d’Oceident. 465
Ch. XLVI. Odoacre dépose Augostule. Fin de l’empire
d’Occident. Odoacre maître de l’Italie.
Mort de Brachila 466
XLV1I. Euric prend Arles et Marseille. Ses conquêtes
en Espagne et dans la Gaule. 11 soumet
les Burgundlons. Sa mort. Alaric. . ib.
XLVIII. Winilhar, roi des Ostrogoths, essaye de secouer
le Joug des Huns. Ses combats contre
les Antes, contre les Huns. Il est vaincu et
tué. Rois de la famille des Amales. Ses successeurs.
...» 467
XLIX. Mort d’Attila. Ses funérailles ib.
L. Dissensions entre les enfants d’Attila. Les
peuples vassaux des Huns se soulèvent
contre eux. Manière de s’armer de ces
peuples. Bataille de ffétad. Mort d’Eliac.
Goths,Gépides, Sar mates, etc., recouvrent
leur liberté. Nouveaux établissements de
ces peuples 470
LI. Goths mineurs établis dans la Mœsie. L’évêque
Vulfilas 472
L1I. Waleroir, Théoderoir et Wldemir rois des
Ostrogoths. Ils sont attaqués par les Huns,
et les repoussent. Naissance de Théodéric.
Irruption des Ostrogoths dans l’Ulyrie.
Ils font la paix avec l’Empire. Théodéric
donné en ôtage ib.
LIII. Expédition des Ostrogoths cont re les Salages.
Dinzio, tils d’Attila, envahit les terres des
Ostrogoths. Il est repoussé. Guerre des
Ostrogoths contre les Suèves, contre les
Scires. Mort de Walemir 473
LIV. Ligue des Suèves, des Sarmales, des Scires,
des Gépides, des Ruges contre les ostrogoths.
Sanglante bataille, dans laquelle les
Ostrogoths sont vainqueurs 474
LV. Théodemir attaque et subjugue les Suèves et
les Alemannes. nelour de Théodéric. Expédition
de Théodéric contre les Sarmales. Il
tue leur roi Babal. 11 prend Singldonum. ib.
LVI. Disette des Goths. Ils font irruption en
Orient et cn Occident. Widemir meurt eh
Italie.. Son fils, gagné par Glyoerius, passe
P*»
dans la Ganle et se réunît aux Visigoths.
Théodemir s’empare de Nalssus et de plusieurs
autres villes. Il associe son fils Théoderic
à l’empire. Traité conclu entre Théodemir
et Clarianus. Villes cédées aux
Goths. Théodemir meurt à Cerrès. Théoderio
lui succède. 475
Ch. LVII. Honneurs rendus à Théodéric par l’empereur
Zénon. Théodéric demande et obtient
de marcher contre Odoacre en Italie. Départ
de Théodéric. Odoacre marche À sa
rencontre. Les deux armées se Joignent
sur le territoire de Vérone. Odoacre battu.
Théodéric passe le Pô, et va camper devant
Ravenne. Longue résistance d’Odoacre.
L’Italie reconnaît Théodéric pour
maître. Odoacre réduit k l’extrémitA II
demande grâce et l’obtient. Sa mort. . 476
LVI IL Théodéric épouse Audeflède. Il marie avee
divers princes barbares ses filles, sa sœur,
sa nièce. Petza chasse Transaric de Firmium,
et s’en empare. Il marche au secours
de Mundo contre Sabinianus. Défaite
des Francs dans les Gaules par Hibbas.
Amalaric battu par les Francs. Sa mort.
Rois des Visigoths en Espagne 477
LIX. Athanaric proclamé roi. Provinces de la
Gaule cédées aux Francs. Athalaricsemet
sous la protection de l’empereur d’Orient
Sa mort. Théodat. Son ingratitude envers
Amalasuenthe.il la fait étrangler. 471
LX. Béüsalre quitte l’Afrique pour envahir la
Sicile. Siège de Syracose. Les Goths et
leur chef Sinderich se livrent â Bélisaire.
Théodat est trahij>ar Evermos. Wltigis
eiu roi. Mort deTh&dat. Bélisaire se rend
maître de Naples et de Rofe. Mariage de
Wltigis et de MathasuXihe. Progrès
de Bélisaire. Les Goths défaits devant Pérouse.
Witigis assiège inutilement Rome.
Il est à son tour assiégé dans Ravfenne. 11
se rènd à Bélisaire avec ; Mathasuantbe. Il
meurt h Constantinople. Mathasucntbe
épouse Germanus • ... * . 471
Notes sur l’Histoire des Goths
FRONTIN.
Traduction nouvelle, par M. Th. BAUDEMENT.
Les Stratagèmes, ou ruses de guerre
LIVRE I.
Préface pour les trois premiers livres
Chap. I. Comment on cache ses desseins à l’ennemi
II. Comment on découvre les desseins de l’ennemi
III. Comment on s’assure les chances de la guerre
IV. Comment on fait passer une armée par des lieux infestés d’ennemis
V. Comment on se retire d’un lieu difficile
VI. Des embûches dressées sur le passage
VII. Comment on peut se passer des choses dont on manque, ou y suppléer
VIII. De la manière de semer la division parmi les ennemis
IX. Comment on apaise une sédition
X. Comment on résiste à une demande intempestive de combat
XI. Comment on excite une armée au combat
XII. Comment on dissipe les craintes que de mauvais présages ont inspirées aux soldats
LIVRE II.
Chap. I. Du choix du temps pour donner bataille
Du choix du champ de bataille
III. De l’ordre de la bataille
IV. Comment on trouble l’ordre de bataille des ennemis
VI. Comment on laisse échapper l’ennemi, de peur qu’enfermé trop étroitement, le désespoir ne lui fasse recommencer le combat
VII. Comment on dissimule les échecs
VIII. Comment la fermeté du général rétablit le combat
IX. Comment on en finit avec une guerre
X. Comment, en cas d’échec, on rétablit les affaires
XI. Pour retenir dans le devoir ceux dont ou se méfie
XII. De ce qu’il faut faire devant un camp, si l’on ne se croit pas assez fort avec les troupes qu’on y commande
XIII. Des moyens de protéger sa retraite
TABLE DES MATIÈRES.
819
LIVRE III.
Préface. 561
Coap. I- De l’attaque par surprise. ib.
II. Comment on trompe les assiégés. ib.
IU. Comment on attire au dehors des assiégés
par trahison 553
IV. Comment on coupe les vivres aux ennemis. 554
V. Comment on fait croire à l’ennemi qu’on veut
continuer un siège. ib.
VI. Comment on détruit les garnisons ennemies. 555
VII. Comment on détourne les rivières et on corrompt
les eaux • ... 550
VIII. Comment on intimide les assiégés ib.
IX. Des sorties du côté qu’on n’est pas attendu. 557
X. Des embûches où l’on attire les assiégés. . . 558
XI. Des retraites simulées 5<H)
XII. Comment on rend ses soldats vigilants. . . . ib.
XIII. Comment oo fait sortir et entrer un messager. 561
XIV. Pour faire entrer des secours et se procurer
des vivrt *&•
Pages.
Chap. XV. Comment l’on parait avoir en abondance ce
dont on manque 502
XVI. Comment on va au-devant des projets d’un
traître ou d’un transfuge 503
XVII. Des sorties 564
XVIII. De la fermeté d’&me des assiégés 565
LIVRE IV.
Préface. 566
Chap. I. De la discipline ib.
II. De l’effet de la discipline 571
III. De la tempérance et du désintéressement. . . ib.
IV. De la justice 572
V. De la fermeté 573
VI. De la douceur et de la modération 575
VII. Des divers desseins 57ü
Table des noms d’hommes et de peuples dtés par Frontin
dans ses Stratagèmes 682
Notes sur les Stratagèmes de Frontin 585
Traduction nouvelle, par M. Th. BAUDEMENT.
Notes sur le Précis de Modestus
Traduction du chevalier de BONGARS, revue.
Chap. I. Que les Romains n’ont vaincu toutes les nations que par la science des armes
II. De quel pays il faut tirer les soldats
III. Lequel vaut mieux de tirer les soldats de la ville ou de la campagne
IV. De l’âge des nouveaux soldats 661
V. De la taille des nouveaux soldats 662
VI. A quelles marques, soit du visage, soit de la
complexlon, on reconnaît les Jeunes gens
propres à la guerre ib.
VII. Des métiers qu’on doit admettre ou refuser
dans la milice ib.
VIII. De la marque de la milice 663
IX. Qu’il faut exercer les nouveaux soldats au pas
militaire, au saut et à la course 664
X. Qu’il faut apprendre à nager aux soldats. . . ib.
XI. Comment les anciens exerçaient les nouveaux
soldats aux boucliers d’osier et aux pieux. 665
XII. Qu’il faut apprendre aux nouveaux soldats
k frapper d’estoc et nôn de taille ib.
XIII. Qu’il faut enseigner i’escriiRe aux nouveaux
soldats ib.
XIV. Qu’il faut exercer les nouveaux soldats à lancer
le Javelot 666
XV. Qu’il faut exercer à l’arc les nouveaux soldats, ib.
XVI. Qu’il faut exercer les nouveaux soldats à lancer
les pierres 667
XVII. De l’exercice des dards plombés ib.
XV1Ü. Des exercices du cheval ib.
XIX. Qu’il faut accoutumer les nouveaux soldats
à porter des fardeaux 668
XX. De quelles armes se servaient les anciens . . ib.
XXI. Des retranchements 669
XXII. Des campements 670
XXlii- De la forme des camps ib.
Cn. XXIV. De queUe espèce de retranchements on doit
se servir suivant les circonstances 670
XXV. Comment on doit retrancher un camp en présence de l’ennemi ib.
XXVI. Comment on habitue les soldats à observer
l’ordre et les Intervalles dans les armées. . 671
XXVII. De l’aller et du retour dans les promenades, et du nombre des exercices par mois
XXVIII. Qu’il faut exciter les Romains à l’instruction militaire et au courage
Prologue.
Chap. ï.
II.
m.
IV.
Division de la milice
De la différence des légions aux troupes auxiliaires
Causes de la décadence des légions
Combien les anciens menaient de légions à
la guerre.
V. Comment se forme la légion
VI. Combien il y a de cohortes par légion, et de
soldats par cohortes
VIT. Noms des grades et des officiers de la légion.
VIII. Noms des commandants des anciens ordres,
ou division de la légion
IX. Des fonctions du préfet de la légion
’X. Des fonctions du préfet des camps
XI. Des fonctions du préfet des ouvriers
XII. Des fonctions des tribuns des soldats
XIII. Des centuries et des enseignes de l’infanterie
XIV. Des turmes et compagnies de la cavalerie légionnaire
XV. De la manière de mettre une légion en bataille, et des armes des centurions et des tribuns
XVI. Comment les triaires ou les centurions sont armés
XVII. Que les pesamment armés combattaient de
pied ferme
XVIII. Que le nom et le grade de chaque soldat doivent être écrits sur sou bouclier
ib.
674
ib.
675
ib.
676
ib.
677
678
ib.
C79
ib.
ib.
680
ib.
681
ib.
Üo2
Page:Marcellin, Jornandès, Frontin, Végèce, Modestus - Traductions de Nisard, 1860.djvu/830