Livre:Arnauld et Nicole - Logique de Port-Royal, Belin, 1878.djvu
Titre | La Logique de Port-Royal |
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Auteur | Antoine Arnauld et Pierre Nicole |
Éditeur | Alfred Fouillée |
Maison d’édition | Belin |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1878 |
Publication originale | 1683 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Pages
i ii iii iv v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xxiv 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 TDM TDM TDM
TABLE DES MATIÈRES
Premier Discours où l’on fait voir le dessein de cette nouvelle Logique
Second Discours contenant la réponse aux principales objections qu’on a faites contre cette Logique
contenant les réflexions sur les idées, ou sur la première action de l’esprit, qui s’appelle concevoir.
Chapitre premier. — Des idées selon leur nature et leur origine
Chapitre II. — Des idées, considérées selon leurs objets
Chapitre III. — Des dix catégories d’Aristote
Chapitre IV. — Des idées des choses et des idées des signes
Chapitre V. — Des idées, considérées selon leur composition ou simplicité, et où il est parlé de la manière de connaître par abstraction ou précision
Chapitre VI. — Des idées, considérées selon leur généralité, particularité et singularité
Chapitre VII. — Des cinq sortes d’idées universelles, genres, espèces, différences, propres, accidents
Chapitre VIII. — Des termes complexes et de leur universalité ou particularité
Chapitre IX. — De la clarté et distinction des idées, et de leur obscurité et confusion
Chapitre X. — Quelques exemples de ces idées confuses et obscures, tirés de la morale
Chapitre XI. — D’une autre cause qui met de la confusion dans nos pensées et dans nos discours, qui est que nous les attachons à des mots
Chapitre XII. — Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots ; où il est parlé de la nécessité et de l’utilité de définir les noms dont on se sert, et de la différence de la définition des choses d’avec la définition des noms
Chapitre XIII. — Observations importantes touchant la définition des mots
Chapitre XIV. — D’une autre sorte de définition de noms, par lesquels on marque ce qu’ils signifient dans l’usage
Chapitre XV. — Des idées que l’esprit ajoute à celles qui sont précisément signifiées par les mots
contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements.
Chapitre premier. — Des mots par rapport aux propositions
Chapitre II. — Du verbe
Chapitre III. — Ce que c’est qu’une proposition, et des quatre sortes de propositions
Chapitre IV. — De l’opposition entre les propositions qui ont même sujet et même attribut
Chapitre V. — Des propositions simples et composées. Qu’il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu’on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l’attribut
Chapitre VI. — De la nature des propositions incidentes qui font partie des propositions complexes
Chapitre VII. — De la fausseté qui peut se trouver dans les termes complexes et dans les propositions incidentes
Chapitre VIII. — Des propositions complexes selon l’affirmation ou la négation, et d’une espèce de ces sortes de propositions que les philosophes appellent modales
Chapitre IX. — Ds différentes sortes de propositions composées
Chapitre X. — Des propositions composées dans le sens
Chapitre XI. — Observations pour reconnaître dans quelques propositions exprimées d’une manière moins ordinaire, quel en est le sujet et quel en est l’attribut
Chapitre XII. — Des sujets confus équivalents à deux sujets
Chapitre XIII. — Autres observations pour reconnaître si les propositions sont universelles ou particulières
Chapitre XIV. — Des propositions où l’on donne aux signes le nom des choses
Chapitre XV. — De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division
Chapitre XVI. — De la définition qu’on appelle définition de choses
Chapitre XVII. — De la conversion des propositions, où l’on explique plus à fond la nature de l’affirmation et de la négation dont cette conversion dépend, et premièrement de la nature de l’affirmation
Chapitre XVIII. — De la conversion des propositions affirmatives
Chapitre XIX. — De la nature des propositions négatives
Chapitre XX. — De la conversion des propositions négatives
du raisonnement.
Chapitre premier. — De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu’il peut y en avoir
Chapitre II. — Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes
Chapitre III. — Règles générales des syllogismes simples incomplexes
Chapitre IV. — Des figures et des modes des syllogismes en général, qu’il ne peut y avoir que quatre figures
Chapitre V. — Règles, modes et fondements de la première figure
Chapitre VI. — Règles, modes et fondements de la deuxième figure
Chapitre VII. — Règles, modes et fondements de la troisième figure
Chapitre VIII. — Des modes de la quatrième figure
Chapitre IX. — Des syllogismes complexes, et comment on peut les réduire aux syllogismes communs et en juger par les mêmes règles
Chapitre X. — Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du défaut de tout syllogisme
Chapitre XI. — Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés
Chapitre XII. — Des syllogismes conjonctifs
Chapitre XIII. — Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle
Chapitre XIV. — Des enthymèmes et des sentences enthymématiques
Chapitre XV. — Des syllogismes composés de plus de trois propositions
Chapitre XVI. — Des dilemmes
Chapitre XVII. — Des lieux ou de la méthode de trouer des arguments. Combien cette méthode est de peu d’usage
Chapitre XVIII. — Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et de métaphysique
Chapitre XIX. — Des diverses manières de mal raisonner, que l’on appelle sophismes
Chapitre XX. — Des mauvais raisonnements que l’on commet dans la vie civile et dans les discours ordinaires
de la méthode.
Chapitre premier. — De la science ; qu’il y en a. Que les choses que l’on connaît par l’esprit sont plus certaines que ce que l’on connaît par les sens. Qu’il y a des choses que l’esprit humain est incapable de savoir. Utilité qu’on peut tirer de cette ignorance nécessaire
Chapitre II. — De deux sortes de méthode, analyse et synthèse. Exemple de l’analyse
Chapitre III. — De la méthode de composition, et particulièrement de celle qu’observent les géomètres
Chapitre IV. — Explication plus particulière de ces règles, et premièrement de celles qui regardent les définitions
Chapitre V. — Que les géomètres semblent n’avoir pas toujours bien compris la différence qu’il y a entre la définition des mots et la définition des choses
Chapitre VI. — Des règles qui regardent les axiomes, c’est-à-dire les propositions claires et évidentes par elles-mêmes
Chapitre VII. — Quelques axiomes importants et qui peuvent servir de principes à de grandes vérités
Chapitre VIII. — Des règles qui regardent les démonstrations
Chapitre IX. — De quelques défauts qui se rencontrent d’ordinaire dans la méthode des géomètres
Chapitre X. — Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet
Chapitre XI. — La méthode des sciences réduite à huit règles principales
Chapitre XII. — De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine, soit divine
Chapitre XIII. — Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la croyance des événements qui dépendent de la foi humaine
Chapitre XIV. — Application de la règle précédente à la croyance des miracles
Chapitre XV. — Autre remarque sur le sujet de la croyance des événements
Chapitre XVI. — Du jugement que l’on doit faire des accidents futurs
relatifs à la logique.
Extraits d’Aristote
— de Bacon
— de Descartes
— de Bossuet
— de Malebranche
— de Spinoza
— de Leibnitz
— de Condillac
— de Diderot
— de Turgot
— de Kant
— de Hamilton
— de Stuart Mill
FIN DE LA TABLE.